Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Laëlia

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Laëlia

Pages: [1] 2 3 ... 12
1
Quelle vie monotone. Naya déambulait au sein de cette spacieuse chambre dans laquelle elle passait la plupart de son temps, laquelle faisait elle même partie des innombrables pièces qui emplissaient le château dans lequel elle était née.

Fille de bonne famille et première enfant d'un couple fortuné et respecté, elle ne pouvait se permettre de dévaloriser l'image de ses ascendants ce qui la contraignait bien souvent à sortir de sa forteresse - ou plutôt de sa prison - lors d'évènements mondains aucours desquels on lui dictait sa conduite au mot près. Pourtant elle ne supportait plus cette vie, privée de sa liberté et de son libre arbitre, contrainte d'obéir en tout temps et à tout instant peu importe que ses désirs soient en contradiction avec ce que l'on lui demande.

Seulement, voila quelques jours maintenant que son quotidien s'égayait d'avantage par la rencontre d'un jeune homme incroyablement charmant, qui avait réveiller chez elle des émotions inconnues jusqu'alors. Chacune de ses lettres faisait naître des papillons dans le bas de son ventre, elle se surprenait à rêver de lui, penser à lui, imaginer la chaleur de ses bras et la douceur de ses lèvres pales.

Désormais seule au sein de cet immense château, ou en tout cas libérée du contrôle permanent de ses géniteurs, la jeune et fougueuse Naya accourut aussi vite qu'elle le pu lorsque la voix de son bel et tendre raisonna à travers les fenêtres ouvertes du château.

Sa robe rouge et voilée s'élevait derrière elle tandis qu'elle courait à en perdre haleine jusqu'à ouvrir la lourde porte en fer forgée qui dévoilait la raison de sa venue. Un immense sourire étirait ses lèvres alors qu'elle se jetait tout contre lui, pressant sa poitrine comprimée dans son bustier contre son torse si bien dessiné.

Elle le serra alors de ses bras fins et délicats, avant de reprendre ses esprits et de s'éloigner un peu par crainte de ce que le personnel de la demeure pourrait colporter à leur sujet. Lissant sa robe encombrante, les joues légèrement rosies lorsqu'elle relève le regard vers lui, elle s'exclame enfin.

- Je suis tellement heureuse que tu sois ici. Ma journée n'aurait pas pu être plus belle.

2
Je n'ai aucune raison de m'affoler ou de m'inquiéter de quoi que ce soit alors mes muscles continuent de se détendre tranquillement après la bonne douche que je viens de prendre et ce petit moment de détente, allongée sur mon canapé. Je tombe sur quelques vidéos divertissantes que je regarde avec un petit sourire aux lèvres jusqu'à ce qu'une voix que je reconnaitrai entre milles me fasse sursauter jusqu'à presque faire tomber l'appareil lumineux.

Je fais soudain volte face, les yeux écarquillés, tandis que mes prunelles se posent sur celui qui avait disparu de mon quotidien depuis quelques temps. Mes poils s'hérissent lorsque je le vois approcher et immédiatement, je repense aux sensations éprouvées en sa compagnie. Je pince mes lèvres entres elles quand il me demande si il m'a manquée et je m'abstiens de répondre. Qui pourrait regretter sa liberté ? Car c'est clairement ce qu'il me dérobe lorsqu'il s'immisce dans mon intimité, au sens le plus large du terme.

La surprise passe, puis je me demande finalement comment il a pu rentrer, et la réponse me parvient aussitôt. J'aurais bien dû me douter que les choses ne se termineraient pas ainsi. Je souffle alors du bout des lèvres :

- Prévoyant oui, c'est le cas de le dire...

Son absence avait nécessairement anéantit une bonne partie de son "début" d'éducation et je jette un coup d'œil distrait dans le petit sac en plastique à l'intérieur duquel je distingue quelques objets et accessoires qui ont tout de même l'air d'être intéressants. Je me relève alors du canapé, sans jamais éprouvé la moindre pudeur et tandis que mon corps est presque totalement apparent avant de lui glisser un simple :

- Merci.

3
Je déguste ma coupe de mes lèvres pulpeuses, m'amusant de tous les regards avides qui se posent sur moi, ou plutôt sur les formes de mon corps mises en avant par ma jolie petite robe moulante. J'ai l'habitude de me faire reluquer de la sorte, mais j'avoue que cela m'excite toujours beaucoup de lire dans le regard des hommes tout ce qu'ils ont envie de me faire lorsqu'ils observent ma plastique. Et ce d'autant plus lorsque leur désir irradie suffisamment pour venir affecter le mien. Ceux qui me connaissant bien savent que je n'ai pas besoin de grand chose pour m'enflammer.

D'ailleurs, la main appuyée à la naissance de mes reins et ce contact viril me surprend agréablement et diffuse un peu de chaleur dans mon corps lorsque je me retourne aussitôt. Les commissures de mes lèvres s'étirent en un large sourire lorsque je constate qu'il s'agit de mon rendez vous. Je hoche doucement la tête, sans m'assurer d'avantage de son nom puisque je suis certaine qu'il s'agit bien de mon interlocuteur.

- Oui c'est moi, bonsoir et enchantée. Merci pour le compliment, je viens d'arriver.

Je termine ma coupe et le détaille d'un oeil gourmand de la tête aux pieds. Pas de doute, il s'agit bien de celui qui me fait fantasmer depuis quelques semaines maintenant. J'ai du mal à rester calme d'ailleurs, en sa présence, signe de tout l'effet qu'il me fait.

- Je te le retourne d'ailleurs, tu es très élégant.

Le costume lui va à ravir et je devine aisément tout ce qui m'intéresse la dessous. Je remercie la serveuse qui nous apporte nos consommations, une nouvelle coupe pour moi, et un whisky pour lui. Je lève mon verre et trinque avec le sien en lui adresser mon sourire le plus charmeur, sirotant une nouvelle petite gorgée.

- Je suis ravie qu'on puisse se rencontrer. Je ne te cache pas que j'étais plutôt impatiente. A ta santé.


J'avais même eu du mal à tenir en place, ce qui m'arrive plutôt rarement. Je me rapproche discrètement de lui tandis que les effluves de son parfum viennent me chatouiller les narines. Je tente de ne pas aller trop vite en besogne et prends sur moi pour ne pas d'ores et déjà venir sentir la chaleur de sa peau sous mes mains, domptant l'impatience qui suinte à travers les pores de ma peau. Je me penche néanmoins un peu vers lui, lui laissant le loisir de se rincer l'oeil dans mon décolleté.

- Et je ne suis pas déçue d'être ici ce soir.

4
Centre-ville de Seikusu / Un moment devant la caméra [PV Jin Tanaka]
« le: jeudi 11 avril 2024, 11:17:07 »
J'avais repérer depuis quelques temps un bel étalon qui partageait pas mal de vidéos sur internet, un peu comme j'avais l'habitude de le faire. J'aimais autant me filmer que visionner des instants chauds publiés sur le net et je ne me gênais pas de me faire plaisir face à que je voyais. Sauf que cette fois-ci, c'était un peu différent. Cela faisait plusieurs semaines que je retombais toujours sur le même mec qui ne manquait pas de me faire transpirer, et à force de mater ses vidéos j'avais vraiment envie de le rencontrer.

L'avantage grâce à internet désormais, c'est qu'il était plutôt facile de se mettre en relation avec n'importe qui. Un premier message envoyé m'avais permis de prendre contact, et le bel homme bien monté n'avait pas beaucoup tarder à me répondre. J'étais obnubilée par nos échanges et son corps qui attisait un désir de plus en plus ardent en moi, à tel point que nous avions rapidement fixer une date de rendez-vous pour nous rencontrer et nous filmer ensemble.

J'avais attiré son attention également en lui transmettant quelques jolies photos de mon corps dénudé, juste pour lui, ainsi que quelques vidéos qui me mettaient plutôt bien en avant sur mes réseaux. Le rendez vous pris, donc, j'attendais avec impatience les jours qui précédaient notre rencontre tout en me mettant en conditions pour ce moment qui s'annonçait intense.

Le soir venu, je lui avais d'abord proposé que nous allions boire un verre dans un établissement public histoire d'échanger un peu avant de nous retirer pour plus d'intimité. J'avais bien entendu sorti le grand jeu, des sous vêtements très chauds dont un soutien gorge transparent qui laissait apparaître la pointe de mes tétons à travers le tissus de ma robe, ainsi qu'un tanga noir transparent également ouvert au niveau de mes lèvres. La sensation était d'ailleurs assez excitante puisque je pouvais sentir le tissus de ma robe moulante frotter contre mon intimité. Le tout était complété par porte jarretelle et des bas semi-opaque, ainsi que des escarpins suffisamment hauts pour allonger ma silhouette.

Je l'attendais donc, au bar, cambrée, et irradiante de sex-appeal, entrain de déguster une petite coupe de champagne.

5
Voila deux semaines que ma vie a été totalement chamboulée par une rencontre que je n'aurais sans doute jamais dû faire. Celui que je considère désormais comme mon Maître, à qui je dois l'obéissance la plus absolue a pris en main ma vie sans me demander un seul instant mon avis. Pourtant, je n'ai plus eu de nouvelles de sa part depuis ce fameux jour où il m'a atrocement malmenée, ce qui m'a permis de remettre un peu les pieds sur terre. J'ai pu profiter à nouveau de ma liberté, de mon espace vital, de mon petit chez moi et de beaucoup de repos. Cette épreuve a été particulièrement éprouvante, et pourtant elle m'a fait remettre en question beaucoup de chose.

Je reste chaque jour attentive à mon téléphone portable, veillant à ne pas rater un de ses appels ou un de ses messages pour ne pas le mettre en colère. Pourtant rien ne venait, et même si j'avais commencer à ressentir une sorte d'abandon au début, je m'étais vite raisonnée en pensant que ce n'était peut être qu'une passade et qu'il ne reviendrait plus jamais me voir. Même si ses propos avaient indiquer tout le contraire, peut être que ça n'avait été qu'un petit jeu pour me mettre la pression.

Et ça avait marcher. Je m'étais préparée à plusieurs reprises et entrainée comme il l'avait exiger, toujours prête à le recevoir, et ce à tout moment. Le désir sexuel ne m'avait pas quitter bien longtemps suite à cet épisode et j'avais recommencer à m'afficher sur les réseaux et à chercher de nouveaux partenaires avec qui m'amuser, sans rien concrétiser cependant. En bref, j'avais repris le cours de ma vie.

Aujourd'hui, j'ai ma journée pour moi et je décide de la passer seule dans mon appartement pour enregistrer quelques vidéos et photos pour le net. J'ai commencer à effectuer quelques petits aménagements et à entretenir d'avantage l'endroit de sorte que tout brille du sol au plafond. Je sors d'une longue douche bien chaude après laquelle j'enfile une petite nuisette noire presque entièrement transparente, sans rien porter dessous, tandis que ma longue chevelure est encore humide. Distraitement, je navigue sur mon téléphone portable étalée au milieu de mon canapé sans redouter un instant ce qui m'attend.

6
One Shot / Re : Une découverte imprévue [PV Nyoras Club]
« le: lundi 25 mars 2024, 14:41:59 »
Les deux jeunes femmes sont aussi avides de désir l'une que l'autre et leurs corps trahissent sans difficulté cet état de fait. Elles sont toutes les deux trempées et tendues à leur maximum et Clara vient de connaître ce qui est manifestement un parfait orgasme. Mel observe la poitrine de son amante se soulever à une allure irrégulière et se délecte de la voir grisée par le plaisir qu'elle vient de connaître. Le baiser humide qu'elles échangent est particulièrement excitent et Melinda s'agrippe par moments au corps de sa colocataire, désireuse de finir par le connaître par coeur.

Lorsque la belle lui propose de lui rendre la pareille, Melinda accepte sans rechigner, ses joues sont rougies par l'excitation et des violents frissons s'emparent d'elle lorsque son amie vient la découvrir plus intimement, glissant sa langue entre ses lèvres qu'elle a au préalable écarter pour s'en faciliter l'accès. La sensation de sa langue chaude est incroyable et un petit gémissement quitte ses lèvres quand les mouvements de la langue aventurière deviennent plus gourmands et qu'elle la lèche sans ménagement.

- Oh oui vas y...


Melinda pose une main sur la tête de Clara et ferme même les yeux quelques secondes, appuyant sans s'en rendre compte son bassin plus avant encore contre ses lèvres. Elle ne rouvre ses yeux que lorsque la main douce de son amie vient s'aventurer dans une zone plus intime encore et qu'elle se met à titiller son petit trou. Un peu anxieuse, elle se crispe un peu, pourtant elle a aussi envie de voir ce que ça fait que de se faire caresser de ce côté là.

Les sensations sont incroyables, et la chaleur devient plus importante encore. Voir Clara toute humide de sa propre mouille provoque chez Mel une vague de chaleur dans le bas de son ventre qu'elle a du mal à réprimer.

7
Je fini de le sucer et le laisser vider ses bourses sans qu'une seule goute ne s'échappe de mes lèvres expertes. Eprouvée, je suis tout autant satisfaite d'avoir réussi à le faire jouir à nouveau que de pouvoir laisser ma bouche se reposer. J'avais mis tellement de coeur à l'ouvrage et de bonne volonté dans cette fellation que je sentais le début de tension dans les muscles de mes joues. Je hoche doucement la tête lorsqu'il me demande si je suis repue, même si il semble penser que ce n'est pas encore le cas.

J'avais clairement besoin de laisser mon corps récupéré désormais et il semble en prendre conscience, ce qui me soulage un peu car je ne suis pas certaine de pouvoir en rajouter une couche supplémentaire. Mon corps tremblote un peu et je souris quand il me propose de me reposer.

- Merci Maître, effectivement je me sens fatiguée...

Je suis plutôt rassurée par le fait qu'il s'absente car je ne suis pas certaine de pouvoir vraiment me reposer en sa présence, même si j'angoisse un peu des emplettes qu'il a l'intention de faire et de "l'équipement" qu'il compte acheter. Pourtant je chasse rapidement cette émotion puisque je sais que de toute façon, si il a envie de me faire ou de m'acheter quelque chose, il le fera et ce peu importe mes supplications ou mes état d'âme.

Je me relève difficilement et manque même de tomber en repositionnant le poids de mon corps sur mes jambes. L'idée qu'il m'encule à nouveau me fait déglutir avec raideur alors je tache de prendre son conseil au sérieux.

- Vos conseils sont précieux je vous en remercie, Maître. Je ferai comme vous le souhaitez.

J'attends qu'il décide de prendre congés avant de me purifier sous une bonne douche réparatrice et d'aller m'écrouler nue, sur mon lit, tout en prenant le soin de loger dans mon petit orifice serré un nouveau plug qui aura pour effet de suffisamment me dilater pour me permettre de l'accueillir si il le désire. Puis je m'endors presque aussitôt, totalement vidée et prête à accueillir ma nouvelle condition d'esclave. 


8
Le dernier orgasme est incontrôlable, mais je sais que c'est ce qu'il attend, alors je ne cherche pas à me retenir. J'explose au milieu de mon petit salon, me retrouvant rapidement dans une petite flaque qui témoigne de mon plaisir sans jamais cesser de m'atteler à la tâche et de le sucer avec avidité. Sans doute l'expérience dans ce domaine m'aide à concilier les deux, mais c'est surtout l'excitation de pouvoir profiter de son sexe comme si c'était le plus beau des  cadeaux qu'on m'ai fait qui me pousse à continuer.

J'apprécie ses caresses et l'air de satisfaction que je lis dans son regard. Je me sens même fière de moi et cela m'incite à poursuivre sur cette voie la. Alors lorsqu'il me demande de le faire jouir, je me concentre cette fois ci pleinement sur lui et mets encore plus de cœur à l'ouvrage avec le désir certain de sentir tout son foutre remplir ma bouche.

Le plaisir que je prends est évident, je délaisse par moments sa belle queue pour venir glisser ma langue sur ses bourses que je gobe chacune leur tour, avant d'enserrer à nouveau mes lèvres sur le membre palpitant, dopée aux endorphines de mes précédents orgasmes et de l'excitation que me procure cette intense fellation.

Je suis bien trop déterminée à le faire gicler pour que les choses ne s'éternisent d'avantage. Je pompe encore et encore, mes joues se creusant au rythme de mes vas et vient, tandis que je sens avec délice son chibre durcir plus encore, signe évident qu'il n'est plus très loin d'atteindre le point culminant de son propre plaisir.

Je ferme même les yeux par instants, tellement je savoure le moment, sans doute aurais je été capable de jouir rien qu'en le suçant de la sorte. Mais c'est désormais sa jouissance qui m'importe et quand je sens enfin le premier jet de foutre inonder l'intérieur de mes lèvres, je soupire de satisfaction, avalant la moindre goute de semance qui s'échoue dans ma gorge jusqu'a ce qu'il ai entierement fini de se vider.

9
J'avais conscience que je devais m'attendre à tout venant de lui, mais lorsqu'il me crache au visage, j'ai du mal à rester impassible. Pourtant, je ne fais pas le moindre geste pour ôter l'amas glaireux de mon visage, de peur sans doute que cela lui déplaise, et me contente de baisser le regard. Le respect, c'était certainement une notion que je ferai mieux de rayer de mon vocabulaire puisque j'étais presque certaine que je n'y aurais plus jamais le droit.

Je comprends rapidement que je ne suis pas assez diligente à son goût, alors pour éviter la moindre représailles, j'accélère le mouvement. Je hoche doucement la tête pour lui signifier que je vais m'exécuter et j'active discrètement la fonction vibrante du jouet niché à l'intérieur de ma chatte. La menace de la ceinture m'effraie suffisamment pour être source de motivation, alors je me laisse prendre par le plaisir et je me rapproche rapidement d'un premier orgasme. C'est le moment qu'il choisit pour me demander de le sucer et je ne perds pas de temps à le satisfaire. Une première jouissance me fait gémir bruyamment tandis que je le débarrasse rapidement de son pantalon que je tire jusqu'à ses chevilles pour me donner accès à l'objet de mes désirs.

La vision de sa queue provoque une vague d'excitation au niveau de mon bas ventre et je ne peut me contenir de venir la chercher avec ma langue pour la faire durcir suffisamment. Mon regard avide croise le sien quelques secondes et je relève à peine la tête, tout en bougeant le plug entre mes fesses pour lui dire.

- Oui Maître. Merci de me laisser vous sucer.

Il fallait être aveugle pour ne pas voir que la fellation me rendait chienne, je me jette presque sur lui avec l'envie de le dévorer, mes lèvres se resserrant autour du membre rigide pour commencer de profonds mouvements de vas et vient. Je ne cessais dans le même temps de me stimuler avec les jouets et rapidement, un deuxième orgasme m'emporte comme un ras de marée, cette fois-ci plus violent, laissant quelques goutes de mon plaisir s'échouer au sol.

Je ne le délaisse pas pour autant, même si j'ai du mal à rester concentrée, et je m'applique comme toujours dans mon ouvrage. J'alterne entre coups de langue et vas et vient, tentant de le prendre toujours plus loin en bouche jusqu'à ce que le reflexe nauséeux m'oblige à reprendre mon souffle. Mes yeux sont brillants sous l'effort et mes joues rougies, pour autant le plaisir qui continue de me submerger en parallèle me met à bout de souffle. Mes gémissements emplissent et raisonnent dans la pièce et je sais que le troisième orgasme n'est plus si loin et s'annonce dévastateur.

Je continue de le sucer avec avidité mais je fini par lâcher les jouets qui restent enfoncés dans mes orifices tandis que mon corps se crispe à allure régulières jusqu'à ce que le plaisir atteigne son paroxysme. Je me mets à caresser frénétiquement mes seins, tirant sur mes mamelons, agitant mon bassin comme une forcené tandis que je fini par jouir d'une manière encore plus puissante que les deux premières fois. Cette fois-ci, j'arrose clairement le sol de ma mouille, comme une vrai salope façonnée pour le sexe, désormais en conditions pour obéir au moindre de ses ordres.

10
Mon rôle était clair et je tachais de m'y conformer sans trop faire de vagues. Me rebeler s'avererait contre productif et je risquais juste de me bruler les ailes. Alors je me disais que si j'allais dans son sens, que j'étais une bonne chienne, je devrais pouvoir survivre. Ma situation finirait bien par s'améliorer à un moment donné ou un autre non ? Dumoins je m'accrochais à cette idée.

L'idée de m'entraîner semble lui convenir, même si il émet une autre proposition qui me crispe un peu. Avoir le cul plein en permanence n'est pas une idée très aguicheuse. J'acquiesce néanmoins lorsqu'il me met en garde sur les efforts intenses que je vais devoir fournir. J'en ai pleinement conscience et je le lui dis.

- Je ferai tout ce qu'il faut pour vous satisfaire Maître

Je n'aurais de toute façon pas trop le choix. Mais pour le moment, c'est plutôt lui qui satisfait à mes besoins naturelles,, ses mains qui viennent jouer avec ma poitrine me feraient presque gémir, mes extrémités se dressent aussitôt et mon envie se réveille irrémédiablement. Je ne peux pas cacher que le traitement est agréable, et le fait qu'il trouve ma poitrine aussi plaisante flate malgré tout mon ego.

Il doit certainement le percevoir et m'ordonne alors de me faire jouir plusieurs fois. Je le regarde avec des yeux brillants. Il n'a pas tort, le sexe est un besoin compulsif chez moi et je serai sans doute prête à faire n'importe quoi pour avoir ma dose. Il m'en faut très peu pour décoller et c'est quelque chose qu'il semble avoir compris aisément.

Je me decale alors un peu, tout en restant à quatre pattes pour attraper deux jouets dans la malette. Un sexe assez réaliste de gabarit assez epais, avec une option vibrante, lequel atterrit rapidement entre mes cuisses pour penetrer mon intimité déjà humide. Ainsi qu'un plug anal plus simple, noir, qui trouve son chemin jusqu'à mon petit trou après que je l'ai légèrement lubrifier de mes propres fluides. Un soupire de soulagement quitte mes lèvres lorsque les deux objets sont installés en moi et que la sensation habituelle de plaisir se fait ressentir. Mais son avertissement quant à la préparation de mon cul me revient vite en mémoire et je décide alors de me focaliser sur celui-ci, bien décidée à me préparer du mieux que je le peux pour limiter les dégâts.

Je me mets alors à gémir, à quatre pattes face à lui, prête à faire ce que je sais faire de mieux, jouir comme une chienne, cette fois ci reconnaissante de pouvoir soulager un peu de mes pulsions.

11
"C'est maigre". Je baisse les yeux, consciente qu'il y avait beaucoup de chance que cela ne lui suffise pas. En même temps, je n'avais pas l'habitude de pousser le vice aussi loin que ce à quoi il était visiblement habitué. Quand bien même ma pratique du sexe soit conséquente et le nombre de fois où je suis susceptible de m'envoyer en l'air dans la journée, je n'avais jamais tourner dans le hardcore, et encore moins comme ce qui venait de se passer aujourd'hui.

Je craignais une réprimande plus importante, mais il se laisse tomber mollement dans le canapé et semble mettre de côté mes jouets et accessoires. J'approche à sa demande d'une démarche peu assurée, à quatre pattes, ma joue se retrouvant affalée contre sa cuisse,, tandis qu'il se décide à me révéler un peu plus de ce qu'il a en tête.

Changement de mobilier, changement de vêtements, d'habitudes... j'étais loin d'être prête à affronter ce qui allait devenir mon quotidien. Je grimace un peu, discretement, lorsqu'il me parle de la manière de tenir mon appartement. Je n'étais certes pas la fille la plus ordonnée mais au point de me trouver bordélique... il faut dire que je n'étais pas souvent à l'appart, entre mes études, mon boulot au sex-shop, mes sorties... alors ranger n'était pas ma priorité.

- Oui, Maître.

Inutile de protester, même si une question m'angoissait de plus en plus. Avec les plans qu'il semblait me réserver, aurais-je encore l'occasion de maintenir mon rythme de vie professionnel ? Je n'en n'étais pas certaine...

Je frissonne un peu lorsqu'il se met à me tresser les cheveux, étonnée d'ailleurs qu'il joue avec ma chevelure difficile à dompter. Le silence s'installe avant d'être brisé par une question à laquelle je n'ai pas envie de répondre. Et si je n'ai pas envie d'y répondre, c'est parce que imaginer que mon cul se déchire de l'intérieur à chaque fois que lui prend l'envie de m'enculer ne me réjouis pas vraiment. Alors je fais l'effort de lui donner la seule réponse qui me paraît censée.

- Il va mieux, Maître. Je pense que je peux m'entraîner à la rendre plus élastique.

C'était certainement le seul moyen. Sauf que cela risquait de demander beaucoup d'entraînement. Sans parler du fait que ma régénération cellulaire accélérée n'allait pas aider dans le processus...

12
La claque me tire un couinement de douleur, d'autant plus que je ne la vois pas vraiment arriver. Bon, je ne l'avais pas volée, les larmes me montent mais je les retiens avec pudeur. Je n'étais pas habituée à être contrainte dans mon espace personnel, alors les "bonnes habitudes" se perdent vite... Il était entrain de briser les maigres barrières que j'avais érigée pour me protéger. Il était réellement entrain de faire de moi sa chose et il ne manquait pas de me le rappeler. Le peu d'amour propre qu'il me restait encore disparaît alors, écrasé par son autorité débordante et la menace de ce qu'il est capable de me faire.

- Je vous prie de bien vouloir m'excuser Maître, je ne manquerai plus à mes obligations.

Je baisse le regard, déboussolée, tandis qu'il considère tout mon attirail en sifflant, m'accusant même d'avoir jouer les petites natures. J'imagine que lui répondre que lorsque je me fais plaisir par l'anal je prépare un minimum mon corps n'est pas la meilleur des manières de m'éviter des problèmes. Non parce que se faire enculer sans un peu de préparation, ça reste quand même affreusement douloureux, même pour moi qui adore ça. Alors je reste silencieuse, évitant même de respirer trop fort, tandis que je regarde le plus épais et long des jouets sans pouvoir m'empêcher de penser qu'il ne sera décidemment jamais satisfait si il souhaite que j'encaisse encore plus que ça.

Mais chaque chose en son temps. Ou plutôt chaque problème en son temps. Je me mord la lèvre lorsqu'il me parle de déménager, pour éviter de répliquer, car ce n'était jusqu'alors absolument pas dans mes projets. Mais je sais pertinemment que je n'ai plus rien à dire et que ma liberté s'est envolée à l'instant même où il a posé son regard sur moi. C'est juste un peu difficile à admettre. Je vais chercher les quelques accessoires qui complètent mes jouets, bien moins enjouée cette fois, et les pose à côté de la mallette, sur le canapé, sans trop faire la maligne. La collection est moins conséquente, pas de harnais, mais deux colliers, l'un fin, l'autre épais, tous deux en cuir rose, des paires de menottes en dentelle pour les poignets et les chevilles et un bandeau pour dissimuler le regard. Du soft.

- C'est tout ce que j'ai, Maître.

Et j'insistais sur le "Maître", comme pour rattraper un peu mon affront précédent. J'avale un peu de travers lorsqu'il me demande ensuite de me déplacer à quatre pattes en tous temps et je mets d'ailleurs quelques secondes avant de tilter qu'il est vraiment sérieux. La marque de sa claque imprègne sans doute encore ma peau et je préfère éviter de réitérer l'expérience, alors j'obéis, et me mets à quatre pates à côté de lui, réduite à la condition d'un véritable animal. Je panique sans doute un peu à l'intérieur de moi à l'idée de connaître les autres codes dont il parle, mais j'imagine que je saurai très rapidement à quoi m'en tenir. 

13
Je le laissais découvrir les lieux et pénétrer dans ma plus stricte intimité. Il était évidemment curieux, le logement de quelqu'un en disait toujours beaucoup sur sa personnalité. Et la mienne était facilement perceptible. C'était d'autant plus évident lorsqu'il remarqua le matos et la lingerie sexy. Il revient d'ailleurs avec un body à moi que j'apprécie particulièrement tout en semblant comprendre à quel point le sexe est omniprésent dans ma vie.

- J'aime ça oui... alors c'est tout le temps.

Je me fais surprendre bêtement lorsqu'il arrache mes vêtements souillés qui tombent au sol et que je sursaute. Mon corps réagit instinctivement et s'excite. Je dois dire que je me sens bien plus à l'aise à l'idée d'être nue chez moi même si je sais qu'il est capable du pire. J'aime la sensation de l'air contre ma peau nue. Alors lorsqu'il exige que je sois toujours en tenue d'Eve en sa présence j'acquiesce d'un mouvement de la tête.

- Je tâcherai d'être prête à vous recevoir.

Je commençais sans doute un peu trop à m'acclimater à mon nouveau statut de petite chienne personnelle à son Maître. Un bref sourire etire même quelques secondes mes lèvres lorsqu'il évoque ma collection de jouets. Elle avait suffisement grandit au fil du temps pour convenir à chacune de mes envies ou de mes besoins. Il allait être servi.

Je disparais quelques secondes pour aller chercher  une imposante maletre que je pose sur la table du salon. Je ne tarde pas à l'ouvrir pour lui permettre de découvrir une importante collection de chibres, une dizaine, de tailles et de style différents, classés du plus petit au plus grand. La rangée du dessous comporte différents plugs, chapelets, vibros, anneaux vibrants... tout y passe. Tout ça sans compter les quelques jouets qui se baladent dans l'appartement dont une belle queue à ventouse dans la chambre sur lequel je me suis empalée le matin même.

- Voilà tout ce que j'ai.


14
One Shot / Re : Une découverte imprévue [PV Nyoras Club]
« le: dimanche 03 mars 2024, 10:23:31 »
Le plaisir grimpe jusqu'à son summum et Clara semble atteindre ce qui doit certainement être un fabuleux orgasme. Son visage se crispe de plaisir et les décibels montent encore d'un cran tandis que le sexe de sa colocataire se relache dans une effusion de liquide qui envahit son visage. Mel ne s'en pleint pourtant pas, emportée par sa propre excitation et la petite fierté personnelle d'avoir réussi à la faire jouir grâce à sa langue et ses doigts.

Elle se laisse faire lorsque son amante vient capturer ses lèvres et goûter aux marques de son propre plaisir, ce qui ne semble pas la déranger non plus, d'ailleurs. Le baiser langoureux qu'elles échangent est loin de faire retomber la pression et Mel se sent toujours très excitée, son corps est tendu à son maximum et il ne désire qu'une chose, qu'on s'occupe de lui.

Alors lorsque Clara lui parle de la goûter à son tour, tout en venant la caresser la jeune étudiante est cette fois ci prête à se laisser aller à son tour. Elle lui murmure du bout des lèvres :

- J'ai très envie... de voir ce que ça fait aussi... je n'aurais jamais penser pouvoir ressentir toutes ces sensations. C'est incroyable Clara...

Les deux jeunes femmes jusqu'alors innocentes de toutes expériences sexuelles étaient entrain de découvrir les plaisirs de la chair, avançant au grès de leurs envies et de leur désir qui semblait être particulièrement ardent, pour l'une comme pour l'autre.

15
Ses petites caresses me font espérer qu'il va avoir suffisamment pitié de moi et de ce qu'il vient de me faire subir pour me laisser souffler, me nettoyer, et rentrer me reposer. Mais ses plans ne sont jamais ceux auxquels je pense, j'attrape le broc avec un regard écœuré mais je tache de ne pas m'y attarder, avant de m'avancer vers la porte de la petite pièce qui m'isolait jusqu'à présent du reste de l'hôpital. Je déglutis difficilement, tétanisée à l'idée de croiser quelqu'un, ce qui finira nécessairement par arriver, et affolée à l'idée qu'il vienne chez moi, dans mon intimité et mon espace personnel, le seul que je préserve justement de toute intrusion extérieure trop importante.

Mais je sais que je n'ai pas vraiment mon mot à dire, alors je me mets en marche, ignorant la douleur de mes talons qui laisseront certainement des ampoules à mes pieds. Nous ne croisons personne à part un agent d'entretien décontenancé et quelques patients aux regards pervers jusqu'à la sortie. Mais lorsque je me retrouve dehors, poussée par mon Maître qui ne cesse de m'allumer par des propos tous plus obscènes les uns que les autres, les regards se font bien plus nombreux et mauvais. Je me fais littéralement fusillée du regard et même interpellée par une bonne femme qui m'insulte carrément, se dit-elle choquée par mon apparence.

J'accélère alors le pas, baissant le regard, jusqu'à ce qu'il décide que nous prenions un taxi. Je suis un peu soulagée de monter dans l'habitacle mais le trajet ne dure pas suffisamment longtemps, et pour couronner le tout, je me retrouve à devoir payer le chauffeur. Non pas que l'argent soit un problème dans le fond, mais je dois dire que cela me contrarie un peu.

Arrivés devant mon appartement, j'arrive à marcher un peu mieux, sans doute que mes capacités de régénération sont à l'œuvre pour réparer les dégâts causés sur mon corps mais il n'empêche qu'une bonne douche sera certainement ce qui me permettra d'aller vraiment mieux.

J'attrape le jeu de clés dans mon sac pour pouvoir ouvrir la porte de l'appartement devant lequel nous nous trouvons. Lorsqu'il m'interroge sur mon état d'esprit, je me sens un peu perdue. Je ne sais pas si le mot heureuse est le plus approprié, et en même temps, quelqu'un qui s'occupe vraiment de moi, ce n'est finalement pas si commun. Et le sexe ne sera clairement plus un problème... j'attrape la poignée pour ouvrir la porte au moment ou il se met à me peloter et à me demander à quoi s'attendre, et je lui répond du bout des lèvres.

- Oui je suis heureuse que vous vous occupiez de moi. Et pour l'appartement...

Je n'avais évidemment pas prévue de recevoir de la visite alors ce qui est habituellement caché dans mes tiroirs, cette fois-ci, ne l'est pas. L'entrée s'ouvre sur un petit appartement à la décoration assez simple, une grande pièce à vivre dans laquelle se trouve une table basse, un canapé et une télévision, un petit coin cuisine avec le minimum de ce qu'il faut pour une jeune femme qui ne passe pas beaucoup de temps chez elle. Et une chambre qui respire le sexe, avec une salle de bain attenante qui permet de se nettoyer. Plusieurs jouets sexuels trainent dans la pièce principale et la chambre, tandis que de la lingerie bien trop aguicheuse se balade sur le lit et le canapé. Il peut aussi apercevoir l'installation "maison"  avec trépied et appareil photo dans un coin de la chambre qui me permet de me photographier et me filmer.

- Eh bien... voici mon chez moi. C'est... euh... simple.

Je n'allais pas lui dire que ça aurait pu être l'appartement d'une véritable actrice porno. Même si ça sautait un peu aux yeux.

Pages: [1] 2 3 ... 12