Cela va faire un peu plus de six mois que je suis l'esclave de maître Kamui et son apprentie dans l'art de l'alchimie. Pendant ce laps de temps j'ai apprit de mon maître à contrôler mon niveau de ki et de le relâcher quand cela était nécessaire, ainsi que les bases alchimiques et plus important, mon nom, Fiela.
Aujourd'hui je pouvait faire toute les transmutations simple et certaine interdite, que j'apprenais en cachette avec certains livre que j'avais lu sur place pendant que mon maître était distrait. L'alchimie permettait de faire plein de chose impossible, tels que transformer le plomb en or ou construire quelque chose en même pas deux seconde, mais cette art avait des règles à respecter, la première est d'analyser, puis de le réduire à leurs simples atomes et reconstruire après. Plus d'une fois j'avais demandée à maître Kamui pourquoi on ne pouvait pas rester à la deuxième étapes, la réponse était toujours, une transmutation se doit d'être finit.
Il y a une semaine je commençai un projet alchimique très avancée, pour mon niveau. J'avais remarquée que à chaque fois que je faisait allusion à la transmutation humain, il perdait son calme et finissait par être un brin dépressif. En regardant les livres qui trainait j'étais tombé sur une photo de mon maître avec sa femme et un enfant, aussi j'eus l'idée de vouloir les ramener dans cette demeure, pour que mon maître soit plus heureux.
Ce soir était le grand jour, j'avais fait sous mon lit une cercle alchimique d'invocation avec tous les éléments pour que cela réussisse. Je préféra attendre que mon maître s'endorme et laissa une heure s'écouler avant de commencer. Une fois ce temps écoulé, j'active le cercle d'invocation en visualisant la femme et l'enfant de maître Kamui. Au moment où le résultat allait apparaitre, mon maître déboula, fracassant la porte de ma chambre, je senti d'un coup que ma demande allait me prendre ma vie et ce fut à cet instant que l'un de mes pouvoir latents surgit, détruisant le cercle alchimique et son activation. Je voulut regarder mon maître avec une mine déçu et me prit une baffe qui n'avait rien de contrôler, me faisant rouler bouler jusqu'au mur.
Il me cria dessus, me disant que ce que j'avais fait était d'une stupidité sans borne, qu'en tant qu'élève je l'avais déçu de prendre autant de risque pour une tentative qui méritais plus d'un mois de préparation, même pour les meilleurs et qu'il ne fallait pas faire ça sur un coup de tête ou une quelconque envie de lui faire plaisir.
Je ne sus pas pourquoi je m'énervai et lui cria qu'en tant que maître il était misérable, qu'il me dégoûtait. Tous ces mots je ne les pensaient pas , mais le mal avait été fait et maître Kamui préféra fuir dans sa chambre. Je me jete sur mon lit pleurant de rage de n'avoir pas réussit et de tristesse pour avoir encore plus enfoncer l'épine qui était sur le cœur de mon maître. Je prit une décision, il était clair que je n'était pas l'esclave qu'il lui fallait pour le moment, je sorti une lettre et une plume et écrivit en Eden.
Cette erreur est celle de trop, aussi pendant un certain temps je vais partir chercher un autre maître et quand je considérerais que ma punition sera accomplit, je reviendrais à votre demeure pour rester à votre service jusqu'à ma mort.
Votre servante dévouée,Aby.
Puis j'enfile ma robe d'esclave, qui avec le temps moulais mon corps faisant voir toute la splendeur de ce dernier, mit mon collier rouge avec ma clochette, une culotte noire et partie par la grande porte en saluant en guise d'au revoir la demeure de maître Kamui.
Je voulut aller à l'entrepôt et tombe à la place sur un maid café. A peine je traversa la porte d'entrée, que le maître des lieux me poussa violemment dehors en me disant que les esclaves n'avaient rien à faire ici. J'erre donc au grès des rues et au bout d'une heure je me trouva dans les bas fond, je m'en redit compte quand le caïd du coin me dit que pour continuer à avancer, il fallait payer un droit de passage. N'ayant rien de valeur, j'applique la règle alchimique, mon corps fut donc la compensation pour passer, il n'était pas brutale et me complimenta même sur la qualité du paiement, il me dit aussi que si l'envie me prenais, il m'intégrerais à sa bande. Je refusai avec politesse et continue à m'enfoncer, il était dit que dans le cœur de ce lieux, on pouvait tous trouver, je comptais bien trouver un maître ou une maîtresse.
Une demi-heure était passé et j'entendis des ricanement, il ne faisait aucun doute que quelqu'un était pisté, je vit une belle demoiselle qui semblait paumée et devina qu'elle serait la cible. Aussi je vint discrètement devant elle, m'incline et me présente. Avec de la chance, elle pourrait être ma maîtresse
- Bonsoir, je m'appelle Fiela,Abigaëlle ou Aby. Puis-je vous aider mademoiselle.Les agresseurs attaquèrent et se figèrent en me voyant, c'était ceux qui m'avaient fait payer le droit de passage, leurs chef sortie de l'ombre en riant.
- Hé ben, tu es toujours là petit chaton ? Comme tu es là, peus-tu dire à cette demoiselle comment cela se passe quand on veut traverser notre territoire.
Je me relève, me retourne et fit des pas vers le chef jusqu'à atteindre son oreille droite et lui murmura.
- Je peux payer pour cette femme ?Le chef prit son temps pour réfléchir, tout en contrôlant sont groupe et donna sa réponse.
- Si tu n'étais pas une esclave, tu serais la marchande la plus dure à commercer. Comme tu as bien payer ton droit de passage, je veux bien la laisser passer autant de fois qu'elle le désire sur mon territoire.Le groupe manifesta son mécontentement et le chef fracassa un mur à gauche.
- Est-ce que un seul d'entre vous est capable de faire ce que ce chaton peu faire ? Non ! Donc le premier qui touche à la miss et à l'esclave peut préparer sa tombe. Des question ?Le groupe se dispersa, avec leurs chef et je pus enfin soupirer, j'avais cru un moment qu'il ne lâcherais pas l'affaire. Je me tourna vers la dame et m'incline en disant. Ma clochette tinta.
- Vous allez bien madame ?