Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Darthestar

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Vous nous quittez déjà ? / On a pas de la chance tout les jours...
« le: dimanche 08 novembre 2015, 16:40:40 »
Bonjour ou bonsoir LGJ (le crépuscule à 16h30 me dérègle de plus en plus)

Voici un petit message pour vous présenter mes excuses, notamment à mes camarades de rps, qui se sont vu bien exempt de mes réponses depuis maintenant facilement une ou deux bonnes semaines, sans que rien ne puisse leur faire comprendre un si brusque arrêt de ma part.

Il m'est en fait assez compliqué de poursuivre ces derniers temps pour des raisons claires que je m'en vais vous expliquer : Pour ceux qui me connaissent depuis un certains moments, il ne seront pas surpris que je fasse référence à la maladie psychologique dont je fait l'objet, quand à ceux qui ne me connaissent pas, vous voilà prévenu. Eh bien j'ai rechuté, pas de la bonne manière, ni de la mauvaise, ayant parvenu à reprendre mes esprits là où normalement la déraison m'habitait. Toutefois je me retrouve donc à nouveau en hôpital, sous surveillance, et me dois donc de n'avoir que le contact minimum avec l'extérieur. Vous vous doutez au passage que le net ne fait donc pas partie des attributions auxquelles je peux me permettre la demande.

Je profite d'une sortie pour vous prévenir du coup, et vous assurez que je prends dés lors une copie de vos réponses rps pour pouvoir produire les miennes, tout en essayant de demander à ma soeur de me faire part d'un quelconque changement sur le forum (afin que je puisse me tenir à jour). Ne vous étonnez donc pas si vous voyez mon nom dans la liste de présence, mais sachez que me contactez risque surement de finir dans le néant, Folavril n'ayant pas vraiment envie de s'immiscer dans les affaires du fo'.

Sur ce encore désolé, j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop de délayer un peu mon temps de réponses, le temps que j'aille mieux ^^ Des bises à tous, prenez soin de vous et à tout bientôt.

Tchussy.

17
Territoire de Tekhos / Un cobaye inespéré { Pv~ S.E.R.F-13 }
« le: lundi 14 septembre 2015, 14:06:16 »
Il y a de ces gens qui font attention quand ils ont une mauvaise réputation. Par exemple ils essayent de ne pas aller dans les lieux où ils sont mal vu, ils font même tout pour les éviter, et parfois ils font ce qu'ils peuvent pour aller au plus loin de ces domaines où ils savent que par leurs simple présence, ils risquent de se retrouver avec toute les forces de l'ordre sur leur dos. D'autres acceptent le fait qu'ils sont mal vu, et se décident donc de ne pas faire trop de remous, de rester dans les ombres et de ne pas se montrer au grand jour, ne se déplaçant que quand la lumière a disparue, ou par des moyens qui leur permet de rester parfaitement incognito, tel que les fiacres, les calèches, et autres moyens de déplacement payant mais tellement plus communs et discrets que la simple marche en plein jour. Mais Darthestar ne fait pas partie de ces catégories, et en sommes le voilà encore à vagabonder sur des chemins où il est déjà connu pour plusieurs crimes, alors qu'il y a peu il a enfin été libéré du jugement d'Ashnard, rincer de ses péchés d'autrefois, et donc capable d'enfin entreprendre une vie calme dans un lieu qui saurait lui convenir. Et pourtant il a préféré partir à nouveau, et désormais il suit son chemin en direction de la grande ville de Tekhos, cherchant à rejoindre une vieille amie qu'il connait de sa mauvaise époque, et qui avait eut la gentillesse de le cacher alors même que toute la ville était en alerte pour le saisir et l'envoyer croupir dans les grandes et inviolables prisons des Tekhanes. Après tout il lui devait bien quelques visites après ce qu'ils avaient partagés pendant une ou deux semaines, et vu qu'il a enfin le temps d'aller la voir, il n'allait pas s'en priver, laissant donc ses pas lui faire dépasser les monts abruptes qui protègent le territoire Tekhan pour entreprendre sa longue marche aux travers des plaines arides qui entourent les cités futuristes du pays le plus évolué de Terra.

Il avait d'ailleurs profiter de son voyage pour faire quelques hâtes le long de sa route, et le résultat était sans appel : Il était toujours recherché par les forces de l'ordre, plusieurs des auberges qu'il avait traversé comportant une ou deux affiches à son effigie, avec l'affiche des récompenses pour quiconque arriverait à le reconnaître dans quelques endroits que ce soit. Malheureusement pour eux, il avait un peu changer depuis le temps : Il s'était affiné, ses cheveux avaient blanchis, et sa tenue d'autrefois ne comprenait plus le chapeau à large bord qu'il possédait perpétuellement autrefois, sans parler de sa tenue qui était devenue un brin plus sophistiquée. Enfin, il avait atteint une maîtrise bien supérieur de son être qui faisait que même si il restait sous forme humaine, il avait une puissance largement supérieur à la bête qui les avait toutes mises en déroutes autrefois, si bien que même si il était reconnu, il pourrait vaincre tout un bataillon en un battement de cil, et ce sans même à en avoir à blesser une seule d'entre elle. Mais bon ce n'était qu'une raison de plus au fait qu'il ne faisait strictement pas attention à ses déplacements, avançant en plein jour le long des routes parmi les Tekhanes, les voyageuses, et les voyageurs de toutes sortes tout en regardant distraitement le paysage et les quelques véhicules transportant les personnalités importantes. Que d'ennui d'ailleurs, si bien qu'au bout de la deuxième semaine de voyage, il lâche l'idée de se déplacer sur les routes et entame une traversée direct des terres arides, coupant à travers les plaines pour se diriger droit vers la capitale, au risque de rencontrer quelques dangereuses créature qui lui donneront peut-être un brin de divertissement supplémentaire malgré l'évidente possibilité qu'il soit blessé. Au pire, il était un vampire et régénérait rapidement, donc à quoi bon rester parmi la faible et ennuyeuse plèbe ?

A partir du moment où il s'était écarté de la route, le paysage lui sembla d'un coup bien plus intéressant, et c'est avec un plaisir sans borne qu'il apprécia le moindre changement des lieux, en profitant du coup pour vagabonder, passer par des lieux encore inexploré, se moquant des quelques bêtes qui eurent la malchance de vouloir faire de lui leurs repas. Il ne fit plus attention à rien, si ce n'était l'approche de toute forme de vie sauvage, se fiant uniquement à son instinct de dévoreur sanguinaire pour éviter les soucis, si bien qu'il ne fit même pas attention quand une caméra de surveillance Tekhane le détecta, passant au delà de la capacité du vampiroïde à découvrir les êtres vivants l'environnant, grâce à sa nature purement technologique, et envoyant donc son image ainsi que ses impressionnantes capacités filmés dans le fil de l'action jusqu'à un moniteur particulier, loin dans les labos de Tekhos, où devait travailler une scientifique qui aurait normalement fait connaitre à Darthestar un poil de prudence, si encore celui-ci avait eut connaissance de celle-ci, et du fait qu'elle venait de récolter maintes informations sur son compte. Mais non, enivré par la possibilités de pouvoir à nouveau voyager comme il l'avait toujours fait, l'homme se contenta d'éliminer les obstacles sur sa routes et de parcourir tranquillement les terres Tekhanes sans pour autant en oublier son objectif, si bien que ses pas le menèrent toujours de plus en plus près de celle qui avait surement découvert sa présence depuis le temps. Il n'avait pas remarquer la caméra ni n'avait eut la conscience de se dire qu'il avait put être remarqué, et finalement il décidé de s'arrêter à trois jours de la ville, un beau soir, pour profiter encore un peu des plaines vastes et dénudées avant de retrouver enfin les hauts immeubles et l'impressionnantes technologies des Tekhanes...

C'est là qu'il l'entendit, en pleine nuit, le faible bruit de la caméra volante qui lui tournait autour, à faible altitude, alors qu'il était allongé au sol pour se reposer tranquillement, et se redressant, lentement, il laissa son oreille traîner, cherchant d'où pouvait provenir le bruit, et donc l'appareil gênant qui s'amusait à le filmer. Il faisait nuit, peut-être s'était-il assoupit pendant un court temps, mais une chose était sure, la caméra s'était rapprochée parce qu'elle avait surement calculée qu'il était endormi, et pour cette simple raison elle venait de se mettre dans une zone bien dangereuse. Plus un bruit, en se relevant le vampiroïde avait amené la caméra à passer en mode "furtif", surement était-elle en train de planer à un endroit en économie d'énergie pour ne pas se faire repérée, mais c'était sans compter l'ouïe particulièrement fine de l'homme, et sa capacité à détruire n'importe quoi qui se trouvait à moins de cinquante mètres de lui. Il attendit, ne bougeant plus le moindre muscle, tendant l'oreille, et quand le vent tomba il entendit enfin un fin grésillement, au dessus de lui, à sa droite, et sans hésiter un instant tout ses muscles se contractèrent, lui permettant de bondir haut dans le ciel, pile devant la caméra mouvant, et la trancha d'un mouvement net, laissant donc ses morceaux tomber lourdement au sol avec un bruit de ferrailles brisées. Se réceptionnant, il observa les restes et pesta. Depuis quand cette chose le suivait, il n'en avait aucune idée, mais si ça faisait un moment, qui sait ce qui pouvait venir à sa rencontre, surtout dans ces plaines !? Et dans le pire des cas, il était bien possible que ce soit trop tard, ses ennemis étaient peut-être déjà à portée ? Il sonda autour de lui, instinctivement, cherchant une quelconque forme de vie mais ne détecta rien hormis quelques lézards et insectes... Normalement il n'y avait personne, mais encore une fois, il savait que cela ne voulait dire qu'une seule chose : Il n'y avait pas d'être "vivants" à portée...

Et il était bien possible que ce qui vienne le voir dans peu de temps n'était pas à proprement parler "vivant".

18
Vous nous quittez déjà ? / Cause it's not funny..
« le: mercredi 15 juillet 2015, 15:37:29 »
Bonjour à tous ...

Avant tout pardonnez moi je vous prie de n'avoir quasiment pas donner de nouvelles, sans compter que je n'ai même pas prévenue de cette absence prolongée, j'espère que peu de personnes m'auront attendues, et qu'encore moins auront eut à souffrir de mon absence.

Toutefois si je vous laisse ce message ce n'est pas pour de bonnes nouvelles.

Tout d'abord je n'ai absolument rien réussis à faire de mes objectifs initiaux, résultat je n'ai ni thunes, ni situation confortable qui me permettrais de reprendre sereinement le RP parmi vous tous... Ce premier point explique notamment mon absence par rapport aux quelques semaines où je n'ai pas été présent pour prolonger mes jeux avec mes partenaires... Encore une fois pardon.

Ensuite, je viens d'essuyer la perte de ma première histoire amoureuse, et n'ai donc pas le moindre moral, ce qui encore une fois n'aide clairement pas pour que je puisse reprendre le rp, sachant que le niveau 0 de mon moral est équivalent à une lente destruction de moi-même (je ne mange plus, ne fais que fumer, boire du café, et regarder les mouches voler)

Enfin j'ai foiré mon année de faculté, doit me réengager dans une autre avec toutes les difficultés qui vont avec et je dois avouer très honnêtement que pour le coup, je ne sais pas encore si je reviendrais avant, peut-être, un moment... Encore une fois, je présentes mes excuses pour ceux qui attendaient un rp en ma compagnie, ou une réponse.

Voici le résumé de ma situation actuelle, et donc de ma présence qui vas se faire au mieux rare, au pire rarissime. J'espères que vous vous en sortirez bien de votre côté, et vous souhaites toutes les joies du monde à l'avenir...
Pour moi de toutes façons, ce n'est pas le cas.

Des bises, et prenez soin de vous.
Darthestar.


PS : Et non, pas de blague sur ma mort prochaine ce coup-ci... Cause it's not funny.

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Bon, kay, d'accord...
J'entends déjà les rires au fond de la classe.

Bonjour tout le monde, peut-être que du monde se souviendra qu'il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai voulu faire un personnage du nom de Candice Ergaut, une charmante dame aux atours des plus agréables et qui selon moi devait réduire à néant mon compteur de fiche.
Le fait est que j'ai décidé de créer une histoire particulière sur ce personnage et que je comptes donc me mettre à l'écrit pur et dur pour en faire un véritable conte, qui me soit propre....

Maaaaaaiiiiiiiiis ... je ne veux pas non plus qu'elle n'obtienne pas son droit de jeu ici, c'est pourquoi je propose à quelqu'un de la prendre en charge à ma place.

Voici son profil : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=5271
Bien entendu, je donnerais le mot de passe pour s'y connecter à la personne qui la désirerait ^^ Quand aux infos propre à cette charmante jeune femme, les voici :

Race : divinité, où ce qui s'en approche.

Sexe : purement féminin (mais bon ... je laisse le choix à ceux qui la désirerait de pouvoir modifier cela ... futa)

Âge : oh bon dieu... innombrable

Description physique : l'avatar est là pour ça ^^

Description mentale : Je pensais notamment à une personne fière, capable de se débrouiller par elle même et particulièrement heureuse de cela, même si elle reste dans un cadre de pensée naturel : mangé ou être mangé. Normalement vous me direz qu'en tant que proche de la divinité elle n'a pas vraiment à craindre quoi que ce soit, mais possédant un bon nombre de faiblesses particulières, elle reste toutefois sur ses gardes et prête à réagir au moindre soucis, même si elle préférerait faire confiance à autrui, dans le fond. En tant que femme elle assume pleinement ses désirs et son charme, et peut ne pas hésiter à en faire l'usage, dans les cas un peu compliqué, mais ceux qui la réduiront à de tels extrémités ont intérêt de partir vite après ou la vengeance risque de ne pas être appréciable ^^

Pouvoirs : personnification de la constellation du scorpion, ses pouvoirs sont à leur paroxysme la nuit, où lorsqu'elle traverse un désert, où elle trouve sa source de pouvoir. Elle est alors intouchable, inégalable, et quasiment omnipotente, notamment par le biais de sa "conscience des étoiles" qui lui permette entre autre de naviguer d'une étoile à l'autre avant de retrouver une forme matérielle. Par contre, dés lors qu'elle quitte les sables et les dunes, ou que le jour reviens... Elle est aussi vulnérable qu'une humaine lambda, et tout peut lui arriver, même les pires rencontres. (donc vous avez compris, un personnage relativement polyvalent sur les rencontres selon la situation que vous aimerez mettre en usage)

Histoire : ... Bon bon bon on en vient à la partie qui fâche, car en effet c'est bien parce que je vais créer mon propre bouquin que je ne peux pas trop vous enjoindre à suivre ce que j'ai préparé. En gros pour ceux qui ne suivaient pas dans le fond, elle serait la personnification de la constellation du scorpion, et le cancer aurait été son éducateur et père adoptif... Quelques soucis plus tard, elle aurait commencer à naviguer au travers des étoiles, évoluant au milieu de la toile de l'araignée stellaire, jusqu'à ce qu'elle prenne sa place ... et au delà de ça .... pouet... Je vous laisse à votre imagination, j'aimerais vraiment que vous preniez le personnage et l'adaptiez à votre sauce, si bien que je ne vous offre ici que des pistes à faire évoluer.

Relation : Dans mon univers, je dirais qu'elle connaîtrait un certain "Syon" ... autrement ... à vous de vous faire plaisir.

Pour toutes questions supplémentaires, je suis disponible.
Pleins de bises et prenez soin de vous !

20
Vous nous quittez déjà ? / Parce que la mort arrive à grands pas...
« le: mercredi 29 avril 2015, 14:53:29 »
Vous vous souviendrez que l'année dernière, je vous avais prévenu avec un poste similaire d'une affaire de grande gravité qui me guette. En effet, il s'avère encore une fois que l'état de mes poumons ce sont drastiquement aggravé, et que je m'approche de manière très rapide d'un départ certain, irrémédiable, et sans nul doute particulièrement douloureux pour moi.

C'est donc la peine au coeur que je vous annonce que je vais devoir vous quitter pour deux petites semaines, car je me doit d'aller en hopitâl faire une batterie d'examens particulièrement complexes qui, pour le coup, sauront peut-être me prévenir de quelques souffrances supplémentaires au cours des prochains mois. Je vous assure que je reviendrais toutefois après pour continuer à vous embêter jusqu'à mon trépas.

Pour les petits curieux, apparemment je serais atteint de péculières attaques rhémotienne de troisième indice en limitrophes synchromales. Sous ce nom se cache l'affirmation certaine de mon absence, et j'espère que ce ne seras pas trop dur pour mes partenaire de rp de me voir partir.

Je serais donc mis en chambre dés demain pour pratiquer quelques révisions d'une grande importances sur ce p.a.r.t.i.e.l.s afin de peut-être préserver mon avenirs de complexes douleurs futures

... je passe donc mes exams dans deux semaines et suis obliger de réviser pour ne pas me prendre une tôle, ce qui feras ma quasi totale absence du fo' :D
Je vous dis donc à tous à bientôt, tandis que je bousille mes capacités mentales et physiques.
Des bisous sur vos fesses !

(Et oui ... j'ai menti en disant que je ne le ferais plus !)

21
Ville-Etat de Nexus / Une soirée au coin du feu {Pv Kisume}
« le: mercredi 22 avril 2015, 23:19:05 »
Il faisait terriblement froid ce soir, comme depuis de nombreuses nuits de la saisons, et de manière très curieuse, un tel choix n'étant que peu commun de la part de Darthestar, le vampire n'avait pas voulut rester pour une nouvelle balade au clair de lune, ayant choisi de quitter ses sentiers de solitaire pour une soirée en se dirigeant en cours de journée vers la grande cité état de Nexus, alors à deux pas de sa propre position, afin d'y chercher un gîte et un couvert, certes payant, mais relativement salvateur pour un voyageur éreinté qui ne souhaitait pas une nouvelle fois trouver une petite grotte pour seul abri. C'est ainsi qu'il était arrivé à la tombée de la nuit aux abord de la capitale Ouest de Terra, et qu'il pénétra rapidement par les portes mi-closes qui menaient au beau et resplendissant centre de tout le commerce à la fois maritime et terrestre de ces grands contrées, rappelant d'ailleurs de manière très douce au vampiroïde que dans un tel lieu, l'homme était activement recherché pour obstruction à la loi, si bien qu'il prit soin de voiler en partie son visage derrière les larges pans de son manteau d'ébène. La vie n'était pas toujours amusante pour les voyageurs, surtout quand ils se retrouvaient dans la nécessité, et en effet Nexus lui en voulait pour son comportement entre ses murs, si bien que quelques vieilles affiches subsistaient encore de l'époque, affiches qui le rassurèrent beaucoup en un sens, car il avait quand même remarquablement changer physiquement depuis l'époque de ses méfaits en pleine ville. Enfin, ce fut de manière un peu nostalgique qu'il traversa les rues de la villes, puis se dirigea vers les quartiers relais pour les voyageurs, cherchant dans le fond que le strict minimum pour se reposer, et repartir tout bientôt vagabonder aux travers des terres.

Et finalement il vit une devanture qui lui plus, et  en s'en approchait il ne crut pas entendre la moindre chose qui puisse équivaloir à une mauvaise ambiance, des groupes inconnus et mauvais, ou encore le moindre petit affrontement de bar du à une consommation d'alcool surement trop élevé, si bien qu'il jeta son dévolu sur cette auberge et taverne, joliment nommé toutefois par une large planche en bois suspendue présentant le bâtiment comme le "Chat Doré". Curieuse façon de nommé une auberge, mais il n'en avait pas vraiment quelque chose à faire, si bien qu'il rentra tranquillement en poussant la porte donnant sur un petit escalier de pierre, et fut accueilli de manière très surprenante par un gros et large chat au duvet couleur sable, surement presque aussi gros qu'un chien, et qui de manière très surprenante vint à se frotter à ses jambes avant de sauter sur un tonneau plus loin et de se rouler en boule dessus, laissant d'épaisses touffes de poils. Le fait que normalement les animaux avaient plus tendance à le fuir qu'à s'en approcher rendait déjà la présence de l'animal tout proche de lui relativement surprenante, mais couplé avec le fait que le vampire n'avait jamais vu un chat d'une telle stature, il ne fut plus du tout surprit du coup par l'intitulé de l'auberge, car en effet possédé un félin d'une telle taille tenait surement du record mondiale, et ainsi forçait le respect sans même forcer. En tout cas suite à cette rencontre, il se reprit et descendit tranquillement les marches pour enfin atteindre la salle en elle même, goûtant aux douces fragrances et à la chaleur plus qu'agréable d'un gigantesque foyer se trouvant en fond de salle, entre deux larges colonnes de pierres.

Le lieu était partiellement occupé, quelques fréquents usagers des lieux étant bien là pour partager une petite parties de cartes, et quelques voyageurs éreintés occupants leurs tables pour pouvoir goûter à un repos bien mérités, mais généralement le lieu faisait plus vide qu'empli, et même si une légère fumée s'échappait de la cheminée pour faire ressentir à tous la beau parfum du feu de bois, le lieu semblait particulièrement sain et bien éclairé, si bien que le vampire eut presque envie de se questionner sur la possibilité de faire un véritable séjour à Nexus en se logeant ici, au lieu de repartir dés le lendemain vers quelques terres inconnues. En tout cas il chercha une table vide près du feu, et partit donc lentement s'asseoir à gauche de celui ci, ne lui présentant non pas l'avant de son corps mais son dos en s'asseyant, les flammes ayant souvent tendances à faire un peu trop mal à un vampire, dont le corps mort-vivant supportait généralement mal ce genre de contact. Enlevant son manteau, il ne laissa donc qu'un haut à manches courtes sur son torse d'athlète qui remplissait entièrement le vêtement, et laissa ses membres fatigués se reposer à l'air libre, le manteau étant parfait pour se protéger du soleil, mais restant particulièrement cuisant dés qu'un simple rayon venait frapper l'épais tissu de son nouveau haut de prédilection. Soupirant d'ailleurs et détachant même ses cheveux d'un blanc parfait, chose qu'il ne faisait pas souvent, il attendit que l'on vienne prendre sa commande, voulant prévenir de sa présence ici pour quelques jours et donc de lui réserver une chambre, qu'il paiera bien sur dés qu'il viendra récupérer les clés pour aller se reposer. Ce fut d'ailleurs une femme plutôt jolie qui vint l'accoster, surement l'une des filles du dirigeant des lieux :

 -  Bonsoir monsieur, désirez vous quelque chose ?
 -  Un très rapide repas, et une chambre s'il vous plait. Qu'on m'en réserve une, celle qui vous arrange, je ne ferais pas la fine bouche sur le prix.
 -  Très bien monsieur, une peu de soupe et de pain, ou vous voulez quelque chose de plus consistant ?
 -  Si vous avec un ragoût, je prendrais plutôt de cela, sinon ce seras très bien.
 -  Nous avons du ragoût ce soir, je vous mets donc ça, quelque chose à boire ?
 -  Rien c'est bon.
 -  Très bien, à tout à l'heure.

Elle partie avec un charmant sourire, et Darthestar l'observa s'en aller tout en posant quelques autres lourdes affaires, et enfin s'étirant pour finalement se poser bien contre sa chaise avec joie, commençant lentement son petit rituel pour tendre ses muscles et les libérez de la charge qu'ils avaient subit durant les longues journées de marches et les froides nuits en pleines natures, parfois d'ailleurs bien courtes à cause de la nécessité de trouver un providentiel abri dans les ténèbres environnantes, une bonne vision nocturne comme celle du vampire n'étant parfois pas suffisante sous les arbres et autres domaines filtrant la lumière nocturne. Et ce soir la question ne se posait même pas pour de tels soucis, aussi il en profitait autant qu'il le pouvait pour se détendre, même si il savait qu'il n'irait clairement pas se repaître cette nuit pour ne pas aggraver son déjà lourd passif dans la belle ville-état de Nexus, et c'est avec d'ailleurs un léger sourire, qu'il se mit à penser que cela faisait quand même bien longtemps qu'il n'était pas venu, donc il n'allait pas relancer une abominable machineries de poursuites et de frustration milicière uniquement pour se complaire dans la dégustation d'un doux nectar donc il n'avait même pas la nécessité pour le moment. Pendant ce temps là il se mit à regarder aux alentours, détaillant un peu plus la clientèle, découvrant quelques coquasses présences parmi la petit foule de l'agréable auberge, et c'est alors que son regard se tourna vers le chat qui l'avait accueilli plus tôt que la porte s'ouvrit en grand ... sur une tout autre race de félin, mais non moins charmante...

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Le parc et son sous-bois / De Charybde en Scylla (Pv ~ Yooran)
« le: mercredi 15 avril 2015, 22:38:20 »
Il fallait avouer qu'elle n'en pouvait plus. Non pas que cette forme n'ai pas ses avantages, ni même qu'elle passait enfin inaperçu dans le sdifférentes villes où elle se faisait autrefois pourchasser pour des raisons bien évidentes d'anciens crimes commis, mais elle n'avait même plus la capacité de courir, ou de s'enfuir sous cette forme, ses jambes lâchant à chaque fois qu'elle courrait pendant trop longtemps, en l'emmenant droit vers les ennuis plus d'une fois. C'était encore une fois le cas, étant donné qu'une fois qu'elle était entrée à Nexus, elle s'était retrouvée de manière bien inadéquate à se balader dans les quartiers les plus mal-famés de la ville, en quête d'un ancien camarade qui avait surement sur lui les éléments suffisant pour pratiquer le rituel de transformation du corps, et c'est au détour d'une ruelle que les saloperies étaient arrivés, trois malabars au regard torve et à l'haleine peu fraîche se rapprochant bien trop de la femme et de son corps ô combien alléchant. Pas le choix, elle avait renversée une des poubelles sur le chemin, puis s'était enfuie à toutes jambes pour commencer sa longue escapade au travers des ruelles de la grande ville commerciale, et pour le coup ses anciennes techniques et capacités acquises lui furent d'une grande aide, car même si elle n'avait ni la vitesse, ni l'impulsion d'autrefois, elle avait au moins de quoi remarquer les portes de sorties, et de s'y faufiler avec hâte, sans même que qui que ce soit puisse remarquer son apparent changement de direction avant un petit moment. Mais comme dis plus tôt, les choses ne s'étaient pas passée aussi facilement que cela, et c'est alors qu'elle tourna à un carrefour que son pied ripa sur une flaque des plus mal placés, l'envoyant dans la flotte maladroitement, une douleur lancinante à la cheville.

Le temps qu'elle se redresse, complètement étourdie, et voilà que le bruit des pas de ses poursuivants se rapproche, l'alarmant clairement pour le coup et lui rappelant que sitôt il l'aurait sous la main, elle allait passer un bien mauvais quart d'heure sans le moindre doute, si bien qu'elle chercha à reprendre le plus vite conscience des événements en se mordant durement la main, puis remarqua avec hâte quelques tonneaux peu loin d'elle. C'était parfait, s'élançant comme elle pouvait de sa position assise, elle se jeta vers les tonneaux accumulés près d'un petit magasin, puis se hissa jusqu'à ceci avant de se glisser dans l'ombre, quelques infimes instant avant que ses poursuivants ne débarquent au carrefours pour se mettre à pester, l'expression perverse sur leurs visages lui faisant bien comprendre que dans leurs mains, elle n'avait qu'à espérer finir en esclave à la vente, tout au plus, sinon elle ne serait qu'une bête victime sexuelle prise sans répit jusqu'à perdre définitivement la tête. Mais ils ne la virent pas, chacun partant de son coté de la rue pour continuer de poursuivre la "petite pute" qu'ils avaient perdus de vue, selon leur propre terme, et quand ils furent enfin assez loin, le vampire métamorphosé se redressa lentement avant de gémir entre ses dents, sa cheville gauche ne voulant même pas la porter après la petite cabriole de plus tôt. Soit elle se l'était foulée, soit c'était carrément cassé, et pour tout avouer cela n'était pas la meilleure des choses pour lui remonter le moral, ou lui redonner un peu de confiance dans sa dure tentative de reprendre forme masculine. Enfin ...

 -  Bande de porcs, la prochaines fois que je vous vois je vous atomisent, c'est promis !

Darthestar prit donc une rue latérale en claudiquant, sentant bien que de toutes manières elle ne pouvait pas encore leur échapper longtemps sous cette forme, et avec cette condition physique, si bien qu'il ne restait pour elle plus qu'une seule solution pour s'ne tirer d'affaire, à savoir de disparaître rapidement de Nexus, et pour cela quoi de plus simple que de s'échapper par une faille, et d'aller directement sur Terre pour ne plus avoir personne à ses fesses ? Elle avait donc mis le cap vers le portail le plus proche qu'elle connaissait, dans une vieille cave à vin abandonnée du vieux port de la ville, essayant de se déplacer le plus rapidement possible avec sa cheville folle, ce qui n'aidait bien sur en rien, et même lui faisait de plus en plus mal à mesure qu'elle se forçait à avancer, se doutant bien que dans le cas présent, la première chose qu'elle devrait faire une fois dans l'autre monde sera de se diriger droit vers un médecin, en espérant qu'elle ne réapparaisse pas là-bas en pleine nuit, ce qui serait fâcheux. Mais pour l'instant elle faisait pas après pas avec l'énergie du désespoir, et pour le coup, la douleur elle essayait de l'oublier au maximum, ce qui n'était pas toujours évident, mais qui avait au moins l'avantage de la faire se déplacer un minimum plus vite que si elle se focalisait sur sa blessure. Décidément pourquoi devait elle subir cela sous la forme d'une femme, après tout si elle était encore l'homme d'autrefois, une telle blessure n'aurait même pas été envisageable, et en plus il en aurait presque rit avant de se reprendre... Pareil pour ces abrutis, elle les aurait envoyer voler comme des moins que rien à la première menace qu'ils auraient eut l'occasion de prononcer. Rah elle était en colère contre sa propre faiblesse, cela la frustrait à un point incommensurable.

 -  Mince c'était ... oui là ! Génial.

L'entrée de la cave était juste là, toujours en aussi mauvais état, et la femme s'en approcha rapidement pour en décalé l'unique porte encore en place avant de commencer à descendre gauchement les marches trapues de pierres qui menait à la pièce elle-même, sautillant du pied droit tout en gardant les mains sur la rambardes installée au mur en prévision. Les petits bonds déclenchaient de rapides chocs dans sa cheville opposée, mais elle n'y fit pas plus attention que cela, son but étant si proche, et quand elle parvint enfin à attendre le sol de terre battue du lieu, elle s'avança un peu dans sa démarche claudicante pour enfin s'approcher d'un trou maladroitement creusé dans un coin, contenant moult bris de verres, et assez de saloperies pour que personne n'ai envie de s'en approcher tant qu'il possédait un esprit sain. Mais ce n'était que de l'esbrouffe, et la femme se jeta sans réfléchir dans le trou malsain, avant de sentir soudainement l'air changé d'odeur, de température, et qu'elle rouvre les yeux sur le monde délicieusement calme du parc de Seïkusu, sous les grands arbres du coin Est. C'était parfait, elle regarda autour d'elle avec méfiance et observa le ciel, un peu déçue : il faisait nuit, donc il allait lui falloir du temps avant de trouver le médecin de garde du jour, ou pour atteindre les urgences les plus proches. Pas le choix, elle commence par approcher du premier étang aux alentours, et se déchausse rapidement avant d'ouvrir son haut pour le rejeter en arrière, et s'assoit près du bord pour y faire tremper sa cheville enflée tout en faisant attention à ne pas tremper sa jupe, ou son haut sophistiqué, les seuls vêtements convenable qu'elle possédait sous cette forme ... Aaaah ça faisait un bien fou, l'eau fraîche sur se cheville martyrisée...

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Le coin du chalant / Une sacrée catastrophe.
« le: jeudi 02 avril 2015, 09:36:11 »
Bonjour, pas besoin de me présenter et ...
Ah si faut que je me présentes ? Vraiment ? Surtout que la fiche n'est pas à jour ? Bon bah :

Darthestar est un être mélangeant les pouvoirs de nombreux autres alliés (ou ennemis) ce qui en fait un personnage particulièrement puissant, mais aussi profondément instable. Relativement proche d'un vampire, c'est un homme qui a tendance à se cacher du soleil et qui voyage du coup de nuit dans les contrées les plus dangereuses, cherchant dans le fond à trouver quelque chose à faire d'autre que de simplement batifoler.

Sur ce ... :

Je cherche un rp particulier pour le vampiroïde. En gros, j'ai déjà fait un jeu où une malédiction lui avait ôté tout pouvoirs, en rajoutant en plus de cela un changement de sexe des plus imprévus. Malheureusement le jeu cessa au post où j'avais entamé la transformation et du coup je n'ai pas put en profiter ^^

Aussi, est-ce que quelqu'un serait intéressé pour faire connaître quelques mésaventures à un"e" vampire un peu perdu"e" et qui cherche à survivre la nuit où cette malédiction refait surface ? Ou à l'accompagner dans ses déboires peut-être ? J'avoues que j'adorerais concrétiser cette trame ^^

D'ici à ce que l'on me réponde, passez une bonne journée ^^
Des bises ^^

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Les landes dévastées / Déboires en montagne [Pv - Sanna Shaïgo]
« le: jeudi 12 mars 2015, 20:52:39 »
Actuellement, le vampire n'avait pas vraiment grand chose à faire, pour de nombreuses raisons qui se valaient chacune à elle seules, la principale étant que n'ayant aucune affiliation politique, il était loin, très loin d'avoir la moindre obligation qui le retienne en un lieu précis pour faire différentes corvées plus rébarbatives les unes que les autres. De plus, alors que durant des mois il avait sentit l'influence de la déesse qui l'avait sauver parcourir les moindres recoins de son corps, il n'entendait quasiment plus cette voix dans sa tête qui l'informait en permanence de ce qu'il devait ou ne devait pas faire, et en somme le fait de ne plus les entendre lui laissait désormais une liberté quasiment jamais ressentie depuis le jours où il était devenu le vampiroïde, si bien qu'il était tout aussi rassuré et heureux que mal à l'aise par ce manque d'impositions. Finalement il était un homme fait pour suivre des ordres, pour combattre au nom d'une loi, au nom d'une pensée, au nom d'une envie de survivre, et de se retrouver capable de faire ce qu'il voulait n'était pas vraiment en train de libérer l'homme, mais plutôt en train de l'emprisonner dans ses pensées et ses questionnements, le vampiroïde n'ayant fait que marcher et voyager ces derniers temps, sans but réel hormis celui de se vider l'esprit. Et bien entendu cela ne fonctionnait pas vraiment, chaque nuit apportant son lot de question, chaque jour son lot de misère auxquelles il ne pouvaient pas vraiment réagir... Il traversait une mauvaise phase de son vécu.

Puis il entendit des rumeurs, un jours, alors que cela faisait déjà deux bonnes semaines qu'il traversait les landes dévastées par le nord, le long des grandes chaines de montagnes qui permettent, avec énormément de volonté et un instinct suicidaire en acier trempé, de rejoindre la grande Tehkos et sa politique remarquablement intransigeante envers hommes et criminels de tout genre. Il était dans une vieille auberge miteuse en longueur de chemin, s'y reposant le temps que la nuit au dehors daigne tomber, afin de reprendre son long voyage principalement nocturne, étant donné que son corps continuait de réagir comme le fait celui d'un vampire, une fois la lumière du jour tombée dessus, et le temps passait si lentement qu'il s'était mis à tendre l'oreille pour capter quelques phrases, espérant y obtenir les informations les plus appréciable pour continuer son chemin. Finalement il entendit quelque chose qui le troubla bien plus, et lui rappela une séquence de sa vie qui n'était pas si vieille que ça, alors qu'il avait eut à combattre un être qui l'aurait surement tué si il avait été seul. Ce que prononçait un vieux villageois famélique et apparemment un peu choqué, c'est que les ruines qui se trouvaient là, loin dans les montagnes au nord de leur position, s'étaient de nouveau mise à grouiller de monde, et qu'une force maléfique y opérant, transformant les simples êtres humains en surhommes prêt à écraser quiconque barrait la route de leur noir seigneur.

Il pensa à Malrünn, à Jay Woods, des horreurs qu'ils avaient eut l'obligation de vaincre pour survivre et protéger ceux qui l'avait aider quand la mort avait failli frapper à sa porte, et se mit à se demander ce qui pouvait bien s'être mit à régner dans les sombres ruines dont l'homme parlait, craignant qu'il ne s'agisse d'un cas similaire à celui qu'il avait déjà connu. Toutefois les choses étaient bien différentes aujourd'hui, et pour plusieurs raisons, notamment celle qu'il n'était absolument pas impliqué dans cette histoire, que ce lieu là était loin d'être sur sa route immédiate, ou encore qu'il ne devait rien aux gens qui vivaient au pied de la montagne qui portait en son creux ce lieu prétendument maudit, alors il n'avait absolument pas à y aller et y risquer sa vie comme il s'en était sentit l'obligation dans le désert Sylvandin. Et pourtant il ne put s'empêcher d'y penser quand il déposa les pièces d'étains qui lui permirent de payer sa consommation au bar, et plus il s'avança hors du bâtiment, plus quelque chose se mit à vibrer dans sa poitrine, lui rappelant que peu de monde avait de quoi se défendre contre pareil pouvoirs, et il faisait parti de ces quelques personnes. Dans le fond il était tout de même obligé de vérifier qu'il n'y ai rien de si dangereux dans ces montagnes, c'était à lui, un être particulièrement puissant, de faire face à un être de niveau équivalent si les choses allaient mal. Alors quand il sortit, il se tourna vers la forêt, et s'y enfonça, quittant la route pour aller à l'unique endroit qui l'intéressait pour le coup, droit vers le Nord.

- - -

Il faisait chaud, et l'homme était bien heureux d'avoir acheter ce parapluie pour se protéger du soleil avant-hier, dans ce village à la base de la montagne, ayant entrepris de hâter son pas sitôt qu'il s'était retrouvé à proximité de son objectif, et donc marchant désormais deux heures après l'aube, et deux heure avant le crépuscule, évitant tout de même les horaire où les rayons solaires étaient à leur maximum. En tout, cela faisait six jours qu'il avait apprit l'apparition de cette force obscure dans les ruines, et cela l'avait tant et tant obnubilé qu'il s'était mis à imaginer le type d'adversaire qu'il pouvait rencontrer par le biais de cet approche, revoyant encore les lourdes gargouilles éveillées par le nécromancien, ou encore ses armées de brigands du déserts qui s'étaient ralliés à sa cause pour achever les grands pays qui empiétaient sur ce qu'ils considéraient comme leur territoire. Ici, dans les montagnes, qu'est-ce qu'il pourrait craindre de combattre si en effet l'homme en face de lui se révélait être un serviteur des dieux sombres ? Allait-il voir les montagnes s'élevées pour l'attaquer, les trolls sortir de leurs grottes ou encore les pires gredins s'abattre sur lui avec hargne ? En gros il était en pleine réflexion, et c'était la lueur du guerrier qui brillait actuellement dans son regard, non celui de l'homme doux et bienveillant qu'il était naturellement. En tout cas la solitude l'avait peut-être un peu poussé à réagir de manière drastique, et par chance, même si il ne s'en doutais pas ... Celle-ci allait bientôt prendre fin, au prochain à-pic qu'il allait devoir contourner.

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Plus disponibles / [Réservée] Minerve, elfe lunaire.
« le: lundi 09 mars 2015, 15:06:07 »
Le personnage à trouvée son joueur/sa joueuse, aussi je la lui laisse entre les mains, à moins qu'il/elle ne me fasse signe qu'il/elle ne veut plus la jouer.


Minerve




Identité :

Nom : Aucuns

Prénom : Minerve

Préférence sexuelle : Laissée au choix du joueur.

Situation de départ : vierge


Détails :

Description Physique :
C'est une elfe, relativement belle et élégante, à l'aube de sa majorité. Si de journée sa nature lunaire n'est pas facile à distinguée, elle apparaît de nuit comme enrobée d'une aura étrange, soulignant sa beauté pour la rendre presque aussi désirable que les plus belles des déesses. Elle n'a toutefois pas vraiment conscience de cette beauté et ne se focalise pas dessus, si bien qu'elle parait souvent un peu "négligée", étant bien plus une femme habituée à vivre dans les bois et les plaines qu'en ville.

Description Mentale :
Il s'agit clairement de quelqu'un de doux, de gentil, quelqu'un qui fait toujours tout pour aider autrui, et encore plus ceux auxquels elle tiens. Même si pour l'instant ce champs est peu ouvert (surtout concentré envers son frère de coeur, Darthestar) sa récente visite à Ashnard ainsi que son voyage lui ont apprit à se lier aux gens, à aller vers eux, malgré l'installation d'une certaine méfiance. Un peu enfantine sur les bords, elle apprécie le fait d'être dorloter, et présentes une joie sans noms à l'énonciation de sucreries, dont elle est friande. Dans le fond, elle reste une personne innocente qui a besoin de croire en autrui, et de trouver des personnes pour prendre soin d'elle.


Histoire rapide :

Elle vécu dans un village retiré du monde auprès de ses confrères, mais pour des raisons de magie interdites auxquelles elle avait accès, elle fut banni ainsi que sa famille loin de ce lieu prospère. Rapidement, la cruauté des hommes sépara la toute jeune fille du reste de ses parents, et elle finit par fuir avant de se retrouvée perdue en forêt, y survivant une bonne semaine avant de se faire trouver par Balthazar (l'homme qu'était Darthestar avant), et qui n'hésita pas à la recueillir et à s'occuper d'elle durant de longues années.

Les deux vécurent donc simplement, et quand Balthazar disparu suite à sa "transformation", elle se mit à sa recherche, parcourant Terra à la suite de cet homme qu'elle souhaitait ardemment retrouver. Elle finit par le retrouver en Ashnard, rencontrant par là même quelques hautes archimages, ainsi que la princesse de Sylvandell, dont elle restera relativement reconnaissante après lui avoir permit de revoir Darthestar (ou Balthazar si vous avez suivit). Attachée à son frère, elle hésitera un moment à le suivre mais décidera de faire bande à part, les voyages lui ayant plut, et la demoiselle ayant besoin de découvrir le reste du monde pour l'instant, même si Darth lui a expliqué comment elle pourrait le retrouver.


Pouvoirs :

Magicienne, elle est spécialisée dans l'illusion quasi parfaite, l'art de la lune sombre, selon ses ancêtres. Le fait est que l'ayant peu pratiqué, la jeune femme se fatigue extrêmement vite en l'utilisant, et cela la limite beaucoup.
De manière raciale, elle est dotée d'un odorat très précis, d'une agilité relativement bonne, mais possède en contre-partie une force bien faible.


Relations et informations pratiques :

Connait Samara et Alice Korvander, du moins un peu.
Particulièrement lié à Darthestar, qui reste pour elle un frère protecteur.

Provient de ce rp : Le procès du vampiroïde
Le post visible en premier lieu est celui où elle apparaît pour la première fois (de manière succinct)

Note : pour tout intéressé(e), n'hésitez pas à me mp pour plus de précision !

26
Vous nous quittez déjà ? / départ impromptu
« le: samedi 31 janvier 2015, 20:22:50 »
Il n'est de bonne compagnie qui ne se quittes...

J'ai pourtant passé d'infiniment bon moment, mais parfois certaines actions, certains comportements font qu'obligatoirement l'amour se fane et m'oblige à aller voir autre part. Adieu, cher ami, cher collègue, c'est le coeur transpercer par le chagrin que j'écris ces mots...

... Sur l'ordinateur de mon père car celui de Dex a rendu l'âme comme le mien. Nos ordinateurs nous ont abandonnés, laissé en pâture à l'univers 3D, et c'est pris dans un tourbillon de tourments que je vous annonce que même si je vais surement m'empresser d'acheter un nouveau pc, je ne serais pas disponible avant un court moment.

Bien sur cela concerne aussi Dex, vu que nous écrivions tout les deux sur son pc, alors encore seul équipement informatique actif du foyer.

Donc donc donc ... Eh bien je vous dis à tout bientôt, prenez soin de vous d'ici là, et avec un peu de chance dans trois jours c'est réglé ^^
Tchuss

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Les terres sauvages / L'épopée des mines... des MINES ! (Pv Laëy)
« le: vendredi 05 décembre 2014, 20:58:13 »
Ils en approchaient. Le voyage n'avait pas été particulièrement long depuis Avredir, mais il fallait avouer qu'ils avaient du traverser une végétation dense et quasiment impénétrable pour atteindre l'entrée de leur objectif, à savoir les vieilles mines de souffre du pays d'Aurond. Ces mines avaient été fermées avec la disparition de cet ancien royaume, celui-ci s'étant fait annihiler en une nuit par une armée monstrueuse, en tout cas selon les livres d'histoires, et depuis celle-ci s'était retrouvée infestée de monstres et d'horreurs, en faisant un lieu que peu peuvent approcher. Sans entrer dans des détails encore un peu plus compliqué, il y avait aussi d'autres livres qui disaient que le lieu avait été clos un peu avant la disparition des dirigeants d'Aurond, car les mineurs avaient finit par rencontrer les murs d'une vieille crypte parfaitement ensevelie, et qu'ils avaient dés lors rencontrés des forces bien au delà de ce qu'ils pouvaient gérer, choisissant la retraite et la fermeture définitive de ce lieu. C'est ainsi depuis maintenant plus d'une centaine d'année, et cela faisant, les chemins qui menaient à la mine avaient été totalement recouvert par la végétation, rendant le parcours jusqu'à l'entrée particulièrement ardu, et pas tant pour le vampire que pour les autres membres en présence dans leur groups, notamment l'archère qui peinait à tenir l'allure conservée par ses équipiers, ou le nain qui les accompagnait, plus habitué à la terre meuble qu'aux énormes branches et racines qui barraient le chemin.

Ah oui, car ils étaient huit pour ce voyage. À vrai dire le vampire n'avait pas vraiment prévu ce détour, mais les choses se sont déroulées de telle manière qu'il a finit par rejoindre un groupe qui comptait partir à la recherche d'un artefact puissant dans les cryptes qui avait été découvertes au fond des mines, et n'avait pas vraiment eut l'occasion de refuser. Ceci s'était d'ailleurs passé quelques heures plus tôt, dans une taverne de la ville d'Avredir.

---

Il avait remarqué un groupe déjà conséquent de quatre personnes rentrer d'un coup dans l'auberge, tous apparemment sur le qui vive, et particulièrement observateurs vis-à-vis des membres déjà en présence dans la salle. Constitué d'un nain, d'un guerrier et de deux femmes qui semblait à leurs tenues plutôt proches des domaines magiques, il s'étaient installés sans grabuge et avait discuter pendant un moment avant de commencer à échanger il ne savait quelles messes basses avec le tavernier, comme si tout était fait dans le plus grand des secrets. N'ayant pas voulu tendre l'oreille pour capter ces petits échanges prononcer tout bas, il vit finalement que, sans raisons valables, il fut pointé du doigt par le tenancier, ainsi que quelques autres personnes à l'intérieur de la taverne. Finalement le groupe se dispersa, et chacun des membres se dirigea vers une table particulière, avant de bien s'installer auprès des occupants premiers des tablées, et de les accoster. Dans le cas de Darthestar, c'est un nain avec une vieille pelle aux bords pourtant délicieusement tranchant, et ce à vu d'oeil, qui s'installa en face de lui, sa choppe toujours en main, et qui l'observa un temps droit dans les yeux, sans prononcer le moindre mot. Drôle d'approche pour un type qui semblait vouloir quelque chose, décidément le vampire sentait déjà les ennuis arriver, et il voulut presque se relever quand il entendit enfin son camarade de table parler.

Tu es bon.
 -  Hum ? Oh non pas tant que ça.
 -  Ce n'était pas une question. Tu es fort, ça se voit.
 -  Si vous le dites ...
 -  Écoutes, je vois bien que tu n'as pas envie d'avoir d'ennuis, mais écoutes moi avant de partir.
 -  ... Si vous le désirez, dites moi ce dont vous voulez me parler.
 -  Je suis en voyage en compagnie de trois autres compagnons. Nous voulont entrer au plus profond des mines à l'Est de cette ville, mais si nous étions assez nombreux pour nous défendre sur les routes, nous doutons avoir la même capacité de survie dans ces mines. Ainsi nous cherchons d'autres personnes qui seraient prêtes à nous aider... Et comme je le dit, tu me sembles bon. Voilà pour la présentation maintenant la demandes : Peux-tu te joindre à nous ? Ta présence nous sera extrêmement utile.
 -  Je n'ai pas vraiment de raisons d'y aller vous savez ? Ma direction est à l'opposé.
 -  Si ce n'est pas pour moi, je vous le demande au nom de la mandataire. Elle souhaite nettoyer la honte d'avoir perdue son école de magie, et a ainsi mise en place cette expédition faramineuse pour obtenir l'artefact. Aidez-la donc, elle n'y arrivera pas si nous ne sommes pas là pour l'accompagner.
 -  Ai-je l'occasion d'y réfléchir ?
 -  Nous ne partirons pas avant de nous être un peu reposés, donc jusque là vous avez tout droit de réfléchir. J'espères donc avoir le droit de vous dire à tout à l'heure. Sinon, bonne journée !


---

Il avait finit par accepter, et ils étaient donc partit en début d'après-midi pour passer par le vieux chemin minier, même si celui-ci tenait désormais plus de l'amas de racine qu'autre chose, et ce jusqu'à ce qu'ils soient enfin à moins d'une centaine de mètres de l'entrée, les roches laissées négligement sur les bords de la clairières ayant passablement freinées l'expansion des grands arbres de la forêt. Passant en premier, le vampiroïde fut le premier à passer les dernières racines du chemin avant de sauter au milieu des herbes folles, rapidement rejoint par un solide guerrier du nom de Darim, engagé dans la même taverne que Darthestar, puis l'autre homme qui semblait n'avoir que peu de soucis à se déplacer dans cette végétation dense, Kjörd, qui lui apparemment suivait l'archimage depuis le début de son périple, et ce pour une raison que tous ignorait. Suivirent bien assez rapidement une escrimeuse du nom d'Iseline, qui fut comme le vampire rencontrée à même la ville d'Alondir, et passablement assez émue par l'histoire des deux principales actrices de cette quête pour plonger tête baissée dans les ennuis, sans réfléchir, ainsi que la première des mages partie pour cette expédition, qui avait été présentée à Darthestar comme étant demoiselle Laëy, et qui selon les connaissances du vampiroïde dans la magie n'en était qu'aux balbutiements de son art. L'archimage qui la suivait de près était bien plus connaisseuse de son domaine, du même niveau que les dirigeantes de l'Académie magique d'Ashnard, tout en se présentant sous la même beauté, et portant le nom bien elfique d'Erwonil.

Le groupe était quasiment au complet quand ils comprirent que leurs foulées n'était définitivement pas accordées aux capacités de leurs deux derniers camarades, qui eux peinaient comme pas possible pour enfin atteindre cette petite enceinte rocheuse et la passer pour enfin atteindre un lieu sans embûches ni entraves. Quand l'archère atteignit enfin la clairière, elle soupira avec un profond soulagement et arracha de sa tuniques les quelques branchages qui s'y étaient attachés, ainsi que les racines qu'elle avait arrachée de forces avec ses chaussures pour se libérer la voie. De tous, Sariss était sans nulle doute la moins apte à poursuivre ce genre d'aventure, le vampire avait sentit dés la première rencontre que la jeune fille n'avait rien de la guerrière entraînée, mais plus de la fille de roi qui se serait échappée par caprice et avait décider de vivre un peu autre chose que sa douce petite vie au château, sans comprendre tout les dangers que cela incombait. Enfin, elle se décala, et le nain passa par dessus l'un des rochers pour se laissa rouler au sol, éssouflé, râlant aussi d'ailleurs sur la difficulté à faire tenir des arbres en place, et qu'il serait définitivement bien mieux de tout trancher d'un coup pour faire du passage pour les honnêtes nains qui ne pensent qu'à aider les mages en détresse. Maître Rahock Fer-Blanc était le plus ancien membre de cette équipe, et même si sa barbe bien rousse ne le laissait pas entendre, il avait déjà travailler plus de 15 années dans les mines avant qu'elles ne soient fermées pour cause de danger. Si il n'avait pas été de l'équipe qui avait découvert la crypte, il en connaissait approximativement l'emplacement, et apparemment c'est pour cette raison qu'il était présent.

C'est bon ... je me porte .... aaaah ... comme un charme... z'en faites pas... on continue.
 -  En effet il sera bon pour nous de continuer
, précisa Darim. Ça pue dans le coin, je ne supporte plus les relents de morts de cette forêt.
 -  L'odeur seras surement encore plus présente dans la mine.
 -  Moi ça ne me gêne pas
, ajouta Kjörd. Qui prends les devants ?
 -  Nous y avons réfléchies
, répondit l'archimage, et nous en sommes venues à une disposition particulière : Darthestar prendra la tête, suivit de vous Kjörd, et de sire Rahock. Ensuite nous placerons Sariss, Laëy, et moi, Iseline et Darim fermant la marche pour couvrir nos arrières dans le cas où nous nous ferions prendre dans on ne sait quel piège.
 -  Cela me convient.
 -  Moi de même
, enchaîna Iseline.
 -  Je ferais ce que je peux pour veiller à notre sécurité, témoigna Sariss, volontaire.
 -  En ce cas nous n'avons plus vraiment à rester ici. J'y vais, et vous prévient si il y a quelques chose. Si je ne dis rien, alors vous pourrez me suivre.

Et c'est ainsi qu'il s'enfonça en premier dans les mines sombres, sans se douter de ce qu'il se produira par la suite.

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L'Art / Nouvelles de nuit
« le: mardi 23 septembre 2014, 22:20:36 »
Petit concept fait dernièrement qui me fait écrire une nouvelle non-stop, d'un coup, sans réfléchir ... Une m'ayant fait particulièrement effet, je vous la livre ici afin d'avoir vos avis (et peut-être d'autre si je les trouves réussie...) Enjoy :

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La nuit tombe doucement, les pourpres rideaux ne reflètent plus la sanguine lumière et laisse désormais flotter dans la pièce de sombres ténèbres. Une main frêle fait tourner la poignée de la chambre totalement close, et une figure délicate, féminine, y rentre pour tirer les rideaux avec une lenteur sereine, décalant les lourds drapés qui couvre les fenêtres pour faire entrer dans la belle chambre la lumière triste mais apaisante de la lune. Un visage enfantin depuis des centaines d'années apparaît, aux couleurs fantomatiques, et celui-ci se précise à mesure que la délicatesse de la femme éternelle fait partir les ombres et les ténèbres de la pièce par ses mouvements affinés, par ses toucher précautionneux envers les grands et terribles caches de la pièce, celui-ci laissant voir un plaisir qui laisse entendre que cela fait des heures, peut-être des jours, peut-être des lunes qu'elle attend la délivrance de cet instant. Un visage plissé entre joie et mélancolie, comme si l'époque révolue se retraçait dans les cratères de l'astre lunaire, et lui renvoyait un écho délicat au coeur, comme pour lui offrir un sentiment d'apaisement dont elle avait particulièrement besoin alors qu'elle découvre enfin son royaume des chapes qui empêche la vue du cruel soleil.

Ce soir elle compte aller s'occuper de ce qu'elle a de plus cher, ce qui comptes le plus à ses yeux depuis les décennies où elle perdit son âme dans la solitude imposée, et son désir n'a d'égal sous la belle lune que son plaisir d'enfin retrouver le courage d'énoncer ses demandes à ce qui se tient pour elle comme l'unique élément qui encore maintenant accepte de se tenir à ses cotés. Comment dire à quel point elle est heureuse, à quel point son coeur s'envole, quand elle décide de quitter ses quartiers afin de vaquer dans les longues salles délabrées de son triste domaine qu'elle n'a jamais prit le temps de rénover après le désastre des jours passés. Un jour où, qui de son sang a désiré lui enlever tout ce qu'elle possédait de plus important à ses yeux, et qui put bien voir son entreprise se couronner de succès si par chance elle n'avait pas retrouver ce qui depuis des années avait été l'objet de son affection la plus entière. Passant sous les gravats lourds de l'enceinte, elle trouve, dans le noir, ses pas lourds et bruyants, fuyants échos qui parcourent les salles et les couloirs pour se répercuter fortement contre les cloisons vibrantes d'émotions. Sont-ce ses pas qui produisent un tel vacarme à ses oreilles, ou le bruit de son coeur qui bat la chamade à l'idée de retrouver un visage familier, un visage qui sut dans le plus ancien des temps lui offrir le bonheur qui lui manquait tant ?

De château il ne reste que des ruines, mais de chambres, trois semblent avoir réussir à ne pas souffrir les affres de la destruction. Encore maintenant elle ne sait comme bien les nommer, elles sont devenues une part symbolique de son histoire, une part symbolique du désastre qu'elle a subit, mais surtout une part importante de tout ce qu'elle n'a jamais fait qu'apprécier durant ses longues années de torpeur dans l'innocence. Une chambre de sang, pleine de ces peluches qui n'ont connus que la rage folle d'une entité qui durant son vécu n'as put que se perdre dans sa solitude, à tel point que chacun des doux objets est ouvert sur une mousse d'un blanc pur mais imparfait; trônant dans les sous-sol de la maison, et qu'elle ne visite plus que quand son inquiétude folle la fait courir en bas pour entendre quelques bruits en faire vivre le ténébreux et vide décor. Une chambre d'un luxe effrayant, symbole d'une grandeur passée dans la plus intense des opulences, les meubles les plus anciens et les plus prisés étant accrochés aux murs tandis que les dorures, les draps fins, les draperies soyeuses et un service de thé froid trône dans les moindre recoin de ce lieu perdu dans le temps, où celui ci même s'est éteint par deux fois, il y a plus de 600 années, et plus récemment, il fut 60 ans, quand une noble personne vint pour en protéger l'éternel beauté.

Et enfin une chambre de porcelaine. Une chambre devant laquelle elle se tenait avec dans le fond du coeur une peur croissante, mais une extase infinie à l'idée d'y retrouver l'objet de tant de convoitise ! Si cette chambre appartint autrefois à celle qui si fidèlement la servit, elle n'est désormais que vide de vie, de joie et de tristesse, elle est comme la simple et délicate forme de la porcelaine qui la décrit, une chambre blanche, pleine de raffinerie, mais dont le tableau semble pouvoir voler en éclat à la moindre maladresse. N'en tenir que la poignée pourrait donner l'infidèle impression que cette dernière vas se briser, enfermant à jamais dans le secrets les quelques hontes qui sauraient s'y cacher, les quelques terreurs, les quelques horreurs, les quelques tromperies qui si vilement eurent le temps de s'y loger alors qu'elle avait sa vigilance détruite sous la confiance d'un avenir infini et d'une immuable destiné. Ses mouvements sont invisibles dans la nuit qui la dissimule au commun des mortels, mais il n'est pas moins aisé de comprendre ce qu'elle fait quand on voit à quel point la joie étreint son coeur : Elle empoigne l'unique moyen d'ouverture de la porte, la sert dans sa main fine d'enfant déjà morte, et en tourne lentement l'outil pour faire disparaître le loquet, ouvrant la pièce encore plus sombre que la tragédie qu'elle habite depuis tant d'années.

Ici point de vie, mais l'heureuse demoiselle ouvre les rideaux de cette chambre avec un empressement à peine mesuré, ses pas allant droit vers les fenêtres pour en attraper les lourds et sanguins drapés, Elle tire dessus, d'un pan à l'autre, pour faire entrer la couleur morne de la lune pleine dans la pièce, comme elle le fit plus tôt pour sa chambre étrangement éloignée, et se trouve obligée de forcer contre certains des anneaux qui semblent emplie d'une rouille anormale, l'empêchant finalement de dérouler ces rideaux autrement qu'en un fin rai d'honnête éclaircissement, la chambre de porcelaine acceptant peu la lumière comme elle accepte peu la présence de son premier enfant. Ici, le moindre objet fait écho avec le coeur de la deux-fois nés, car ce chapeau à l'étoile si brillante ne semble-t'il pas refléter la douce lune qui encore maintenant gouverne sur le monde que la grande comtesse essaye de préserver ? Ces livres dans un coin, péniblement entassés, n'ont-ils pas la forme de cette fente astrale qui dans la nuit ont tendance à ne montrer qu'une partie de la vérité, comme si sa lumière était une ombre, et mensonges les étoiles ? Quand à ce couteau, laissé seul sur la console, ne rend-t'il pas honneur à l'impératrice lunaire en vibrant à l'unisson avec les perles qui, de la lune, tombent sur le pâle sol ?

Pourtant tout ces bijoux, tout ces souvenirs, toute cette présence qui fut balayée lors de la venue de l'ire, ne sont rien face à ce qui prit place au coeur de cette pièce de cristal, cette pièce de porcelaine, cette pièce si chère en toute ses apparences mais dont la seule utilité dernière est de capter l'attention d'une rare merveille. Sur le bord du lit, à peine soutenue, une grande poupée de porcelaine dont la beauté la ferait croire tombée des nues, et même si cette incroyable fragilité qui la caractérise refuse à la pensée une telle amalgame, le divin présent assis avec des yeux vides ne fait que courir dans le coeur de la femme l'infini bonheur de retrouver ce qui jusqu'à aujourd'hui lui sauve l'âme. Une poupée, une complexe poupée faites de pâleur et d'insouciance, dont le corps, contrairement aux autres outils du passé, ne réfléchit pas la beauté lunaire, mais la supplante pour en absorber les moindres péchés. Une mécanique qui même au coeur des plus grandes ténèbres, illumine le coeur de la désireuse enfant de cette lumière que seule quelques personnes savent faire naître, et qui jusqu'ici ne fut jamais vu autre part pour la jeune fille que dans cette poupée de porcelaine morte mais dont l'aspect incroyable la fait vivre.

Elle s'en approche, hésitante, et s'agenouille devant la forme immobile avant d'en toucher la main, son coeur s'échauffant au contact fugace de cette terminaison froide dans la paume de la sienne. Des doigts fait pour caresser ceux qui en ont le besoin, voilà ce que cette poupée possède quand on s'y attarde, mais si il s'agissait là de sa première et unique faculté, alors elle ne vaudrait pas toute l'attention que lui prête la femme aux centaines d'année de vie. Non en plus de ces mains divines se trouvent dans ce cadeau divin le plus somptueux des corps, un travail d'artisan venu d'un autre monde, d'une autre époque pour façonner à ses yeux ce qui plus que tout attire le regard, rend le cerveau incapable de réfléchir, et le coeur incapable de cesser de battre. Cette poupée de porcelaine au regard sans vie, mais à la tenue divine, c'est l'immortalité derrière la tristesse, c'est l'éternel après le désastre, c'est l'erreur qui fit connaitre le plus grands des bonheurs, mais aussi le plus infini des doutes. C'est un corps, un visage, une impression qui fait disparaître la douleur, qui rend les plus grands troubles sereins et les plus grands doutes tels de ridicules et innocents soupirs du passés. C'est le rire, la joie, la délicatesse qui fait oublier.

Cette poupée, elle l'avait désirée pendant des temps impossible à définir, elle en avait tant et tant voulu de cette figure merveilleuse qu'elle aurait put en devenir folle si elle n'avait pas finit par la posséder. Se levant de sa position de respect, ses bras s'enroulent autour de la paradoxale fraîcheur de cet objet de passion, l'amenant tout contre son coeur palpitant de bonheur et d'excitation. C'est quand le désastre survint, quand elle perdit tout ce qu'elle eut autrefois, qu'elle eut enfin le droit de la récupérer, de la conquérir, de faire de cette poupée un objet qui allait éternellement connaitre son rire. Au milieu du château dévasté, il n'y avait plus de lunes, mais il y avait un soleil, un soleil qui rappelait à la deux-fois née la joie, le bonheur, l'extase de porter à ses cotés ce qui faisait chavirer son coeur, un soleil qui s'exprimait seulement la nuit tombée, quand les étoiles brillaient dans le ciel, et que la lune berçait le monde endolori d'une pâle lumière qui rappelait la femme et l'objet de ses désirs au passé tortueux des douloureux soupirs. L'histoire de deux éclats de lune au milieux des ténèbres, l'histoire d'un soleil qui allait vouer sa lumière à l'éclairage d'une route qui s'était perdue dans les plus insondables et abyssales profondeurs, là où plus rien n'atteint la raison et le coeur.

Un corps froid, contre un coeur chaud d'espoir. La lune brillait, mais le soleil était empêtré dans le noir. Dans toute son âme, la femme sentait la joie l'étreindre, le bonheur l'emplir, les milliers de rires exploser pour fêter une époque ancienne et qui encore aujourd'hui devait survivre ! Mais le corps lui était vide, le bonheur enfermer dans l'âme ne daignait pas sortir, l'espoir tournait en aigreur au fur et à mesure que l'excitation perdue ralentissait les battements de plus en plus cruels et difficiles du coeur. Quand elle s'était levée aujourd'hui, était-elle heureuse à l'idée de retrouver cette compagnie, était-elle heureuse de retrouver entre ses bras, cet objet de convoitise, cet objet de plaisir, cet objet de confiance en qui elle avait eut foi ? Cette poupée vide qui la regardait avec les yeux dans le lointain, regardant une époque où deux personnes avait su lors d'un drame passé, connaitre une bénédiction qui avait fait connaître même à l'impie le plaisir d'une passion commune et assumée, cette poupée était-elle dés lors un simple objet qui de la lune absorbait la tristesse, et teignait le décor ?

Les jambes tremblent, l'hésitation devient un doute et le doute qui avait précédemment fait surface à l'entrée de la pièce devenait certitude, une implacable certitude qui agrippait à la gorge et empêchait une immortelle de respirer la vie dont elle avait tant besoin si seule de toute compagnie. Depuis quand cette chair si douce, cette chair si chaude était-elle devenue la froide mais parfaite porcelaine, inatteignable objet qui laissait de surface une poupée qui ne pouvait plus connaître la moindre mauvaise trace ? Depuis quand au plus profond de cette torpeur éveillée, la deux-fois née avait-elle compris que son désir s'était muée en un involontaire péché, qui désormais lui rongeait le coeur et le corps alors qu'elle souffrait éternellement du même mauvais sort. Pourquoi en face d'elle se trouvait la tristesse sans limite, se trouvant le plus grand des désespoirs, alors que l'office de son action avait été de garder à ses cotés le seul être qui au milieu du carnage avait su parcourir les fils de l'histoire. Quand avait elle perdue son éternité, pour découvrir que sans une mort, la joie et la gloire de la vie s'effaçait en une forme parfaite, mais si parfaite qu'elle en perdait toute sa beauté.

La poupée était restée muette. La poupée n'avait pas esquisser le plus simple mouvement. La poupée était rester telle qu'elle l'était depuis maintenant 60 ans. La poupée, au milieu de la fragile porcelaine, ne s'était pas brisée sous son étreinte, elle ne s'était pas ravivée à son souffle, elle ne s'était pas réveillée au bruit de sa conjointe. La poupée était restée poupée. Le temps en était fini et elle restait là, immobile, éveillée dans un autre lieu, dans un autre monde, où sa beauté était tel ses cheveux d'ébène, flottant dans un courant d'air qui n'existait que dans un autre univers. La poupée n'était pas, et l'humaine n'était plus. Les soubresauts animent le corps de la deux-fois née prise à nouveau dans son désespoir, et ses jambes la lâchent pour la faire choir aux pieds de son échec, aux pieds de sa panique, aux pieds de son erreur. Les larmes coulent, ce sont des étoiles pour ce soleil éteint, ce sont des promesses qui fusent sur le sol pour la vampire, qui regarde en face d'elle la seule personne qui avait encore eut à ses yeux toute son affection, tout son amour, toute sa tendresse. Ces promesses, sont celle à sens unique, promettant l'éternité, promettant la joie, promettant le voeu sacré alors que tout avait été perdu dans les mains d'une autre aimée.

Ce sont les larmes de la passion, de la peine, et de la culpabilité !

" Je te demande pardon ... je te demande pardon ... Pardon, encore pardon... Mais pitié, rien qu'une fois ... Rien qu'une fois encore ... Comme autrefois... "

Prononce mon nom... Et le silence fut.

29
Vous nous quittez déjà ? / Le temps m'est compté...
« le: vendredi 18 avril 2014, 23:17:05 »
Eh oui ça arrive à tout le monde ...

Le fait est que je viens d'apprendre par courrier que j'étais touché par une maladie orpheline grave terriblement grave, et dont aucun remède n'as encore vu le jour. C'est ainsi que comme une ancienne fleur de ce lieu, je vais bientôt devoir m'éteindre et tous vous abandonner.

Je dois passer des tests durant ce W-E pour voir où j'en suis dans cette terrible maladie, afin de savoir si il me reste plus de 6 mois à vivre, et si dans ce cas je ne dois pas vite m'inscrire à un site de rencontre pour pouvoir avoir le droit au dépucelage avant ma mort.

Je serais donc absent jusqu'à Lundi, et vais bientôt m'éteindre pour ne plus jamais pouvoir revenir, je vous l'annonce au préalable pour être sur que vous ne soyez pas tous trop triste, et que vous fassiez une jolie bannière à ma mort quand j'annoncerais mon départ du forum via mon meilleur ami qui auras toutes ces informations dans mon testament.

Sinon bon Week-end à vous, soyez heureux !

(Et bien sur tout ça c'est que de la connerie ... sauf le fait que je suis absent ce week-end désolé)

30
Le quartier de la Toussaint / (Divini)thé au grand air {Pv Karuta Aurion}
« le: dimanche 09 février 2014, 22:07:09 »
Les gosses s'amusaient à l'embêter avec leur balle de foot, et lui ne trouvait rien de mieux que la leur renvoyer gentiment, avec un petit sourire narquois qui laissait entendre que non, ils n'arriveraient jamais malgré tout leurs efforts à lui faire un de ces "petits ponts", même si ils utilisaient toutes les techniques possible et imaginable pour réussir. Ce n'était pas du à leurs incompétences, mais juste que le clochard qu'ils essayaient de confondre en cette fin de matinée n'était rien de plus qu'un de ces légendaires seigneurs de la nuit, et qu'il voyait cette balle se déplacer avec la vitesse d'une grosse limace sur le point de mourir d'indigestion. Donc à chaque tentative, il la déviait d'un coup de talon, la faisant rebondir juste avant, ou juste se décalait de côté comme si il comptait faire ce geste depuis un petit temps, prenant toujours les enfants au dépourvu, et les faisant tous plus rager les uns que les autres. Finalement, l'heure du repas rappela tout le monde chez soi, et le clochard le plus apprécié de ce coin ci de la ville partit faire son petit brin de marche, laissant derrière lui un ballon et un ou deux autres gosses qui n'avaient pas voulu abandonner avant le déjeuner. Au moins son départ leur évitera de s'écrouler suite à une anémie.

Commençant à se balader, le jeune homme, car c'est bien à cela qu'il ressemblait malgré ses 35 années, partit vers la zone la plus intéressante de la ville à son goût. Contrairement à bon nombre de ses collègues, ses connaissances des passages entre Terre et Terra lui permettaient de se laver, de manger à sa faim, et de faire autre chose de ses journées que de chercher survie et nourriture, ce qui lui donnait enfin un aspect plus que convenable, et un air avenant qui lui permettait de ne pas être refoulé aux portes des infrastructures comme le métro, la bibliothèque, ou aussi, le centre commercial. Après qu'y ferait-il, lui le sans le sou, le non-dôté d'un statut social suffisant, ou de la moindre rentrée de monnaie ? Eh bien il vagabondait, il observait les personnes qui allaient et venaient, se prenant de jeu de deviner qui parmi tout ceux ci pouvait venir ou non d'un territoire de Terra. Car oui, il avait peu à peu compris l'état des êtres qui comme lui venait de Terra, et peu à peu se questionnait-il sur une chose : Quel était le vrai monde, la Terre, ou Terra ? Alors bien sur il observait tout le monde, répertoriait les échanges et les coutumes, pour le plus grand plaisir de sa curiosité.

Mais là c'est une autre sensations qui s'empara de lui alors qu'il venait de passer les portes fenêtres de l'entrée, superbe portes automatisées qui s'étaient ouverte sur un violent vent d'air chaud. Dans la galerie, où normalement le vampire pouvait sentir quelques origines Terranes, quelques petits sangs de nekos, de démons, et autres êtres qui bien sur se dissimulais ici à la perfection, il ressentait à l'instant même une présence écrasante, forte, une de ces présences qui normalement rendent humble quiconque dans l'autre monde où la présence psychique et magique est facilement reconnaissable. Oui ce qu'il sentait dans cette galerie marchande bondée à cette heure par nombre de couples, de familles, de curieux qui profitait d'un jour un peu beau pour sortir de chez eux et aller se ré-enfermer sous des vitres pour faire moults courses, c'était la présence implacable et inestimable d'une divinité. Bloqué sur le palier, interloqué par ce qu'il venait de ressentir, c'est la vigie qui finalement le taquine un peu, et le vampire feint la gêne, un peu rieur dans le fond, avant d'entrer clairement dans la galerie marchande avec une seule idée en tête, une idée somme toute des plus simple et radicale : Trouvez la dite divinité.

S'avançant dans les allées, soudainement bien moins vagabond et tête en l'air qu'avant, il scrute un peu tout autour de lui en essayant de déchiffrer les variations d'énergie présente dans l'air, afin de trouver l'épicentre de celle-ci, et donc de trouver le dieu ou la déesse qui était venue faire sa petite séance détente au milieu du magasin. Sa recherche lui prend malgré tout une bonne moitié du centre commercial, jusqu'à ce qu'il prenne un des grands escalators pour monter au premier étage, et atterrir devant un troquet duquel l'énergie s'échappe en masse. Pas besoin de douter plus longtemps, le vampire s'en approche et voit en effet celle qui devait exulter tant de puissance : Il s'agissait d'une jeune fille, cheveux longs, air froid, ou endormi peut-être ? En tout cas elle semblait se perdre dans les méandres d'une boisson quelconque, à réfléchir. D'un pas léger, le vampire entre, tranquillement, et se dirige sans hésiter vers la table de la demoiselle, pour s'y installer sans le moindre doute, comme si le tout était naturel. Maintenant commençait la phase la plus intéressante : Combien de temps mettrait-elle à comprendre que le vampire à deviner ses origines, et combien de temps mettrait-elle à remarquer que celui qu'elle en face d'elle est tout sauf humain.

- Bonjour, pardonnez moi de m'installer ici, mais la place manque, et quitte à boire quelque chose, je préfère le faire en face de quelqu'un qui me semble agréable.

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