Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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« Fais chier ! » Disais-je en esquivant l’attaque du soldat, ou plutôt de l’officier Ashnardien. D’un revers de bras j’enfonçais l’extrémité de mon fourreau dans ses côtes, le faisant gémir et cracher une gerbe de sang. Ça me dégoutait de devoir blesser ainsi mes anciens camarade, mais je n’avais pas le choix, il fallait absolument que je m’en sorte vivant. Deux ou trois contre-attaques plus tard, une fois mes adversaires au sol j’en profitais pour devenir invisible, histoire qu’il ne me trouve plus, je me laissais donc fondre dans le vent pour m’éloigner de la zone. Une fois suffisamment loin je reprenais consistance et je me mettais à courir à toute jambe pour mettre plus de distance entre eux et moi. J’étais en colère contre moi-même donc je ne faisais même pas attention à mes arrières. Comment j’avais pu relâcher à ce point ma vigilance, au point de me faire prendre dans une embuscade, tendu par d’ancien membre de mon régiment en plus. Heureusement que j’étais suffisamment puissant pour m’échapper, mais au passage ils avaient réussi à me blesser. En attester la longue coupure au niveau de ma hanche gauche, sous ma cape, d’où perlaient des gouttes de sangs. Jurant entre mes dents, j’appuyais dessus de ma main libre pour faire pression et ainsi retenir du mieux que je pouvais l’hémorragie, certes minime mais bien présente malgré tout. Au bout d’un moment je réalisais que je m’étais rapproché de la capitale Ashnard, au lieu de m’en éloigner… Quel idiot putain. J’étais tellement pressé de m’enfuir que je n’ai pas fait gaffe. Et mes poursuivants étaient suffisamment compétents pour retrouver ma trace.

La seule solution était de trouver un endroit pas loin pour me cacher. Je fermais les  yeux pour fondre mon esprit dans l’air et ainsi visualiser mon entourage. Me concentrant je repérais un cimetière pas loin de la zone, peut être que là-bas, je pourrais m’y réfugier. Je souriais tout bas, alors que je reprenais un peu espoir. Sans attendre je me remettais à courir entre les arbres en me rapprochant du cimetière. Mais au bout d’un moment, je pouvais sentir à travers l’air, que mes poursuivants c’était rapproché de moi. Serrant les dents, je réfléchissais rapidement à un autre moyen de les semer. Levant mes yeux vers le ciel, je réalisais que les branches des arbres étaient vraiment hautes et assez solide pour supporter un corps humain. Soupirant, je m’envolais, n’ayant pas la force de sauter, je laissais le vent me porter, avant de me poser sur une des branches. Me concentrant ensuite, je devenais invisible pour pas que les poursuivants me repère. Heureusement que cette facette de mon pouvoir, était méconnue. Silencieusement je les voyais courir en contre bas, prenant un malin plaisir à les regarder s’éloigner dans la mauvaise direction. Une fois sur qu’ils ne me suivraient pas, je redescends en souplesse sur le sol et je repris ma marche vers le cimetière.

Me tenant toujours la hanche ou mon sang continuait de suinter, j’essayais de ne pas m’effondrer sous la décharge de douleur. Je me servais de mon long katana comme d’un bâton pour me retenir. Pour ne pas penser à la douleur, je laissais mon esprit vagabonder, retournant en enfance, je me rappelais des longues heures d’entrainement que mon père m’imposer, sur le maniement des armes mais aussi sur le renforcement de mon corps.  Le nombre de combat que j’avais été obligé de faire contre mon père et le nombre de défaite que j’avais reçu et me faisais encore frissonner aujourd’hui. Revenant au moment présent, je remarquais une grande bâtisse, qui était caché derrière les arbres. A première vu c’était une église. C’était peut-être une meilleur cachette qu’un cimetière, je me détournais donc de mon objectif précédent pour me rendre à l’église. Une fois devant, je donnais trois grands coups de poing dessus pour frapper. Le bruit résonna longtemps dans la bâtisse avant qu’un long silence prenne place. En absence de réponse j’ouvrais les lourdes portes avant de me faufiler à l’intérieur. Il faisait très sombre, alors que j’avançais prudemment, titubant un peu, alors que le sang continuait de couler le long de ma jambe, depuis ma hanche. J’avais les sens aux aguets, le plus calme possible en avançant sur l’allée principal qui menait au pupitre. « Il y a quelqu’un ? »

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Les contrées du Chaos / Un peu de compagnie pour la nuit [PV Elia Nelyn]
« le: jeudi 12 février 2015, 06:54:02 »
« Merci monsieur, passait une bonne journée vous aussi. » Disais-je à l’aubergiste, alors que je quittais son établissement, le visage bien caché derrière ma capuche cette fois ci. D’une main je tenais toujours fortement ce katana si cher à mes yeux et de l’autre main, je tenais une grande poche rempli de met divers et variés, histoire de ne pas mourir de faim si je ne trouvais pas nouveau village avant un moment. De bonne humeur, je me dirigeais donc vers la sortie, de mon pas léger et assuré. Je ne prenais même pas garde aux divers regards qu’on me lançait, de toute manière, les voyageurs dans mon genre n’était jamais très apprécié, car souvent cause de problème. Donc il était naturel de les voir pressés que je parte. De toute façon j’en avais rien à faire, de mon côté je menais ma petite croisade personnelle sans penser aux regards des gens extérieurs, ignorant de toutes les vérités de ce monde. Une bonne dizaine de minute plus tard, j’étais sorti du village et je prenais la direction des landes dévastées, qui se trouvait en bordure de l’Empire Ashnard, mais avant ça il fallait que j’en sorte de cet Empire. Car bien que j’en sois encore attaché, je ne pouvais pas me permettre de me cacher ainsi, j’étais recherché dans toutes les villes et villages des environs. Ça ne me plaisait pas trop que ma tête soit mise à prix, après tout ce que j’avais fait pour le Conseil… Si j’avais trahi la cause, j’aurais donné ma tête avec plaisir pour payer cette trahison, mais ce n’était pas le cas. Pour le moment, je ne voulais pas mourir, pas avant d’avoir découvert ce que je cherchais. Je continuais de suivre le sentier perdu dans mes pensées, alors que la journée se passait ainsi, sans danger. Au bout d’un moment, alors que je voyais le jour tomber petit à petit, je me mis en tête de trouver un endroit où camper.

Scrutant les environs je remarquais un peu à l’écart du sentier plusieurs arbres, qui semblaient former le début d’un bois. Souriant, je m’approchais pour déposer mon sac et la poche à côté de l’arbre. J’allais camper à l’orée de ce petit bois. Ça ferait très bien l’affaire. Je découpais plusieurs brindilles de bois en préparation d’un feu, les nuits ici étaient glaciales.  Je déposais mon katana a côté de mon sac pour pas qu’il me gêne, puis je m’emparais de mon briquet, dans une de mes poches intérieurs de veste. J’allumais aussitôt alors que le petit bois commençait à faire des braises. Me relevant j’allais prendre des bouts de bois plus gros pour maintenir une grande flamme. Une fois fait, la luminosité des lieux était bien tombée, la nuit avançant à grand pas. Je décidais donc de sortir ma pipe que je plaçais entre mes lèvres. Mais je fus dérangé car je ressentais grâce à l’air et le vent, une présence inattendue qui m’observait. « Qui que tu sois, tu peux approcher, je ne t’attaquerais pas… Mais si tu restes cacher ça pourrais changer, je n’aime pas être observé. ». En disant ça, j’avais les yeux fermés, tandis que je remplissais avec une lenteur extrême, ma pipe, de tabac. Preuve que je n’étais pas du tout inquiété par cette présence. Je tirais une longue taffe sur ma pipe avant de m’étendre sur le tronc derrière moi, passant un bras derrière ma nuque. Je montrais ainsi, que je n’étais pas du tout enclin à me battre.

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Les terres sauvages / Une aide bienvenue [PV Sonia Nille]
« le: jeudi 12 février 2015, 06:14:30 »
Un juron s’échappa de ma gorge quand une estafilade faisait gicler mon sang au niveau de mon biceps droit. La fatigue commençait à se faire sentir et la journée ne venait que de commencer. Quel idiot j’étais aussi, me faire repérer aussi facilement… Et surtout si ce fichu aubergiste ne m’avait pas dénoncé à la patrouille. Je n’aurais pas été obligé de les affronter et encore moins de devoir me forcer à les épargner… Qu’est-ce qu’il était dur de ne pas tuer un guerrier bien trop faible pour toi. Au moindre coup trop puissant il pouvait en mourir. Et malgré ma démission j’avais gardé ce principe immuable de ne pas tuer des soldats Ashnardiens. Sauf qu’eux, ils attaquaient pour tuer, bien qu’ils soient maladroits de mon point de vue. Dans ces moment-là on voyait bien la différence entre un Maréchal de mon calibre et des simples soldats comme eux. Surtout privés de leur Capitaine. Je l’avais mis hors d’état de nuire en premier. Quoi qu’il en soit il fallait que j’en finisse rapidement. Concentrant mon pouvoir autour de moi je formais un bouclier d’air impénétrable puis d’un revers de bras j’envoyais éjecter les derniers soldats pour qu’ils s’écrasent sur les arbres environnant et ce n’était pas ce qu’il manquait dans une forêt.

Quand je les vois tous retrouver le parterre d’herbe dans un bruit sourd, je me permets de soupirer. Plus aucun ne bougeait et c’était tant mieux. Quand je pense que je n’avais même pas dégainé mon épée. Elle était toujours dans mon long fourreau. Je le tenais dans ma puissante main gauche depuis déjà un bon moment. Lasse de tout ça je m’en servais pour me soutenir, mon poids commençant à être lourd même pour moi. Mais il fallait que je quitte vite la zone. Heureusement que la forêt permettait que je me cache. Malheureusement, je n’avais rien trouvé de mangeable ni même une source pour me revigoré et je commençais à m’inquiéter… ça faisait trois jours que j’essayais de distancer cette patrouille aussi.

La prochaine fois que je devrais fuir un village, je penserais à prendre des provisions, promis… Oui je me le promettais à moi-même.  Un long soupir traversa mes lèvres car je me disais que toute façon je ne voyais pas comment je pouvais la tenir, surtout si je me faisais remarquais d’une façon aussi conne.  Quoi qu’il en soit, après une bonne dizaine de minute à m’éloigner, je sentais la faiblesse de mon corps crier que c’était bon pour lui. Trouvant un arbre au large tronc pas loin, je décidais de m’y adossais pour souffler. Mais au même moment je voyais au loin une silhouette fine s’approcher. Mais ma vue devenait trouble donc je ne pouvais pas bien voir. Tout de suite je me mis à serrer fort mon katana en jurant. « Merde… ». Mais au même moment, je sentais mon corps perdre pied et je basculais sur le côté, m’écroulant sur l’herbe fraiche. Trop fraiche car je me sentais perdre conscience…

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Dictature d'Ashnard / Sauvetage d'une jolie créature [PV Koya]
« le: jeudi 05 février 2015, 08:05:43 »
« Combien je vous dois, Tavernier ? » Disais-je, d’une voix calme. Pour le barbu derrière le bar, il ne pouvait apercevoir que mes yeux vairons, l’un vert et l’autre rouge, qui perçait l’ombre que procurait ma longue capuche. Le reste de mon visage était plongé dans la pénombre, empêchant ainsi  toute identification. Et encore heureux, car quand j’étais rentré dans le village un peu plus tôt, j’étais tombé sur des portraits de moi, plus ou moins ressemblant, placardé sur le mur de la taverne. Quand je pense qu’il y a une semaine je serais rentré dans cette bourgade la tête haute et avec une garde d’une dizaine de nos meilleurs soldats. Les gens d’ici m’auraient regardé avec crainte et respect. Mais non, cette fois ci, j’avais pénétré le village discrètement, la tête baissé et le dos vouté, pour ne pas me faire reconnaître. Pour en revenir au tavernier, qui entre temps m’avait donné le prix des provisions, ainsi que de la chambre pour la nuit, je laissais tomber quelques pièces de monnaie dans sa grosse main musclé et usée par le temps. Preuve que malgré  l’entretien évidant de son corps, l’âge était bien là. Une fois payé, je le saluais d’un hochement de tête avant de rejoindre ma chambre à l’étage. Une fois la porte fermée derrière moi, je scrutais les  lieux avec attention, chaque recoin, bien trop prudent à mon gout. Mais dans l’état des choses je n’avais pas le choix. Une fois certain d’être seul dans la pièce, qui d’ailleurs ne comportait qu’un lavabo sur le mur gauche avec une glace au-dessus, sur la droite un lit simple une place et un placard à côté du lit, au fond contre le mur, je me permettais de rabaisser ma capuche dans mon dos. Un long soupir traversa mes lèvres, la chaleur était étouffante dessous.

Une fois ma longue cape retirée et mon katana posé le long de ma couche, je m’allongeais dessus. Au vu de l’heure, je souhaitais juste dormir. J’avais pu manger un peu avant de payer, donc ça allait. Les yeux fermés, le sommeil arriva rapidement. Avec la journée que j’avais eue aussi, mon corps avait grand besoin de reprendre des forces et ça passer par le sommeil également. Et vraisemblablement ça ne voulait pas, car je restais les yeux grands ouverts, dirigés vers le plafond. Je sentais peu à peu l’irritation monter à l’idée de ne même pas pouvoir dormir. Au bout d’une trentaine de minutes, résolu à ne pas dormir, je finissais par me lever. Lâchant un long soupir de désespoir, je me levais finalement du lit et j’enfilais ma longue cape. Prenant mon long katana, je décidais de sortir pour prendre l’air. Rabattant la capuche sur mon visage, je traversais la salle principale de la taverne, évitant comme je pouvais les divers poireaux encore présent. Sans leurs jeter un seul regard je sors dehors, sentant immédiatement le vent mordant s’insinuer sous ma capuche pour frapper mon visage fin. Un léger frisson parcourt mon corps alors que je ferme les yeux pour apprécier ça. Le vent et moi c’était une longue histoire d’amour. Quoi qu’il en soit je remontais d’un pas léger, la rue principale, prenant la direction d’une des deux sorties du village. Celle-ci menant à un bois. Mais bien avant, je me mis à capter une conversation dans une des ruelles perpendiculaire à l’avenue principale.

Intrigué et surtout inquiet quand j’entends une voix de femme s’élevait parmi celles des hommes, j’accélère le pas. Ainsi ça ne me prit pas longtemps pour atteindre cette fameuse rue. En la pénétrant, je vois plusieurs hommes armées de divers objets et arme. Ils formaient un cercle autour d’une jeune femme d’une beauté saisissante, acculé contre un mur, les genoux au sol. Fronçant les sourcils je m’approche d’eux, serrant mes doigts sur le fourreau de mon katana. Je devais rester prudent, car à première à vue c’était des esclavagistes de l’Empire d’Ashnard, ils me reconnaîtraient surement. Et n’avais pas envie d’en venir à une extrémité regrettable, surtout que les tuer n’était pas la solution. D’autre part je n’avais jamais tué d’Ashnardien, étant mon peuple, je ne souhaitais pas que ça arrive non plus. Quoi qu’il en soit, une fois arrivé à une certaine distance d’eux, je me redressais de toute ma hauteur pour essayer d’impressionner, puis je lançais d’une voix forte et pleine d’assurance. « Bonsoir messieurs les esclavagistes. ». Détournant leurs attentions de la jeune femme, je m’approchais un peu plus d’eux en les fixant de sous ma capuche. Je pouvais les entendre qui commençaient à me cracher des injures en me demandant de les laisser faire leur boulot tranquille. Un léger sourire se forma sur mes lèvres alors que je posais ma seconde main sur ma hanche, les regardant.

« Je ne crois pas que ça sera possible. Je hais les esclavagistes. Donc ça va être simple, soit vous partez en vie, soit vous mourrez ici et maintenant. Sachez juste que vous ne faites pas le poids contre moi. ». Je l’avais dit d’une voix dure et glaciale, digne des plus grands. Rien qu’à voir leurs réactions on pouvait voir que je les avais convaincu un minimum et qu’ils avaient étés impressionnés par mes menaces. Mon sourire s’élargit et je dégainais lentement mon sabre en m’approchant d’eux. Finalement quand la pression fut trop forte, ils se mirent à crier et à jurer contre moi, m’insultant de tous les noms et en débarrassant le planché. Je soupirais en les regardants faire. Une chose était sûr, ils reviendraient et plus nombreux cette fois-ci, ils n’étaient pas du genre à abandonner une proie comme ça. Je ne pouvais donc pas la laisser seule maintenant… Quoi qu’il en soit j’y réfléchirais plus tard. Je m’approchais d’elle en m’accroupissant, les genoux fléchit, je venais plonger mon regard vairon, qui ressortait toujours autant de la pénombre de ma capuche, dans les siens. « Tu vas bien ? Ils n’ont pas eu le temps de te faire du  mal ? ». Je le disais de ma voix la plus douce pour ne pas l’effrayer. Surtout qu’à bien y regarder elle, en plus d’être magnifiquement belle, c’était une créature avec des attributs d’animaux. Les oreilles de chat sur son crâne le prouvaient. De la même voix douce je rajoutais : « Ne t’inquiète pas, tu ne risques rien avec moi, tu peux me faire confiance. » Je ponctuais cette dernière phrase avec mon plus beau sourire, rassurant.

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Le coin du chalant / Cherche partenaire pour RP !
« le: mardi 03 février 2015, 17:20:45 »
Bonjour à tous !

Je suis validé que depuis peu et j'aurais bien besoin de RP. Je suis déjà en train de discuter avec un futur partenaire de RP, mais je peux en gérer un second, donc je me permet de venir par ici voir si quelqu'un serait intéressé :)

Donc je ne cherche qu'un seul participant. Pour la trame, j'avoue ne pas avoir beaucoup d'idée mais je peux donner rapidement ça :

- Depuis sa désertion de l'armée d'Ashnard, il erre un peu sans but précis dans Terra (donc ça peut être n'importe où), mais il a vidé toutes ses provisions, donc il est dans un état de faiblesse telle qu'il pourrait s'effondrer. Donc quelqu'un aurait pu le trouver comme ça et ensuite, suivant le personnage, il aurait pu l'aider à se remettre en le recueillant par exemple. J'accepte tout RP, Hentai également.

Si j'ai d'autre idée de trame, je les rajouterais sur ce post à la suite :)

Concernant le niveau RP, je ne suis pas difficile, tant que j'ai suffisamment de matière pour mes réponses je n'ai pas de ligne minimum, même chose pour la qualité du RP.

Merci d'avance ! :)

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Prélude / Un voyageur pas comme les autres... [Validémonisé]
« le: mardi 03 février 2015, 12:11:31 »
Nom/Prénom/Surnom : Kalriiel. Ça fait bien longtemps que plus personne ne m’a appelé par mon prénom.

Âge : ça fait maintenant vingt-cinq printemps que je foule cette terre. Et j’espère la fouler encore de nombreuses années.

Sexe : Au dernière nouvelle je suis un homme. En atteste mes muscles saignant et mes pectoraux dépourvu de poitrine. Même mes attributs entre mes jambes le prouvent.

Race : J’ai développé depuis maintenant de nombreuses années un pouvoir, un don ou tout autre nom que vous donnez, on peut donc dire que je suis un ESPer.

Orientation sexuelle: Je ne suis intéressé que par les minettes aux jolies formes. Hétérosexuel c’est bien ça ?

Description physique : Quel étrange concept de devoir se décrire physiquement, quand une simple image, comme celle-ci, suffit à le faire :


Mais, en bon samaritain, que je suis, je vais me laisser tenter par l’aventure. D’un point de vue extérieur et sans aucun avis préconçu on peut dire de moi que je suis un très bel homme. Mon physique musclé, bien sec et non vulgaire, prouve que j’ai eu une vie concentré autour d’un entrainement militaire intensif et régulier mais également depuis peu concentré autour d’une guerre sanglante contre un ennemi puissant. Ces deux choses ont marquées ma personne que ça soit en bien, en me forgeant un corps capable de subir de nombreuses sévices physiques et me permettant de survivre au sein des environnements les plus hostiles de Terra. Mais aussi en mal puisque mon corps est marqué à de nombreux endroit, que ça soit des traces de tortures, des cicatrices dû à des coups d’épée. On trouve vraiment de tout, c’est un véritable musée des horreurs en somme. Mais toutes ces blessures commencent à dater, car depuis que j’ai atteint la maîtrise de mon pouvoir, il est devenu compliqué de me toucher pendant un combat. Pour en revenir à cette soit disant beauté, elle n’est pas du seulement à mon physique musclé et avantageux, mais surtout à mon visage d’androgyne. Mes cheveux châtain en bataille et mes  yeux vairons n’aident en rien à rester de marbre en ma présence. D’autre part, depuis ma désertion, j’ai opté pour des vêtements qui viennent d’un lointain pays mystérieux et inconnu, d’orient si ma mémoire est bonne. C’est d’ailleurs une origine similaire à mon long katana. Quoi qu’il en soit, ces vêtements mettent réellement en valeur mon jolie visage et plus encore mon corps bien proportionné.

Caractère : Ah… C’est déjà plus compliqué. Cette fois-ci il me semble que mon caractère ne peut pas être mit en image, il me faudra donc vous en faire un résumé.

Déjà il faut savoir que je suis issue d’une famille de militaire, donc j’ai reçu une éducation très stricte, à la dure comme on dit. J’ai donc un caractère bien trempé, je fais passer la discipline et l’ordre avant tout le reste. Chez moi, dans mon entourage tout doit être bien carré. En somme j’aime quand tout se passe comme je le veux et pas autrement. Maintenant, avec ce que j’ai vécu, j’ai appris à me montrer plus coulant avec ça. Après, quand on dit formation militaire, on pense tout de suite à quelqu’un d’impitoyable, de dur et déterminé et c’est vrai. J’ai appris à ne jamais montrer mes émotions, car ce sont des faiblesses dans notre métier. Le fort dévore le plus faible, donc on doit sans cesse montrer qu’on est le plus fort et pour ça j’étais vraiment doué, on peut dire que c’est à cause de ça que je suis devenu Maréchal. Pour l’instant, je ressemble à un guerrier pur et dur sans émotion, impitoyable, capable de tuer n’importe dans la seconde, n’est-ce pas ? En fait pas du tout. Derrière ce masque de dureté ce cache un cœur tendre et une dévotion pour la vie à toute épreuve. Si j’ai décidé de démissionner de mon poste de Maréchal, enfin déserté pour eux, c’est parce que les tueries commençaient à me révulser. Je suis quelqu’un de foncièrement gentil et doux, j’aime aider mon prochain. Je n’hésite jamais d’ailleurs pour venir en aide à quelqu’un, qu’il/elle soit méchante, gentille, sadique ou peu importe comment elle est. Même chose, peu importe le service, j’ai du mal à refuser d’aider quelqu’un dans le besoin, tant que ce n’est pas un acte immonde ou immoral.

Donc on peut me simplifier en quelques mots : Dur, déterminé, mais doux et gentil à l’intérieur. D’un calme olympien, à tout épreuve, je ne m’énerve que très rarement, faut vraiment le vouloir pour ça. A côté de ça j’ai malgré tout un côté espiègle et joueur quand la situation l’impose, que j’ai développé auprès des diverses relations que j’ai eu dans ma vie. Je sais donc me montrer taquin. Alors la question est là, arriverez-vous à l’attendrir ?

Histoire :
Journal intime

Les Mémoire d’un Vétéran

• Je suis né au sein de la noblesse Ashnardien, dans une famille de militaire de père en fils depuis de nombreuse génération. Au point que mon père n’a jamais pu me dire jusqu’où notre lignée remontait. Petit c’était quelques choses qui m’intriguaient beaucoup et malheureusement je n’ai jamais pu en savoir plus. Le peu de chose que je savais, c’était que dans ma famille on avait une tradition très stricte. De toute manière la discipline y était primordiale. Chaque enfant garçon devait être entrainé dès qu’il était en âge de marcher et de parler pour intégrer l’armée. Si une fille naissait, il était tout de suite relégué au second rôle, seul la mère lui apportait l’attention nécessaire à son éducation et donc qui s’occupait de l’élever. Le fils recevait toutes les attentions. Mais paradoxalement à tout ça, la fille finalement était plus tranquille, car dans mon cas, c’était bien plus qu’une corvée… J’étais sans cesse observé et je n’avais aucune liberté, totalement étouffé par mes deux parents.

• C’est à l’âge de cinq ans que mon père commença à m’inculquer les préceptes de la famille. Je devais tous les jours lui prouver que j’avais bien compris ce qui signifiait de faire partie de la famille.  En parallèle à tout ça, j’entamais ma formation au combat et au maniement des armes auprès encore une fois de mon père. Étant le chef de la famille, il était le seul apte à pouvoir me former, selon ses dires. Le pire c’est qu’à l’époque je buvais ses paroles comme sils venaient de dieu lui-même. On découvrit chez moi un talent certain pour le maniement des armes blanches. J’étais devenu la fierté de mon père et plus je grandissais et plus les entrainements devenaient ardu et violent. Je faisais donc la connaissance avec mes premiers bleus, mes premières coupures.

• Quand j’atteignais l’âge de dix-huit ans, j’intégrais l’armée comme il en était la coutume chez nous et de par mon âge je décidais de quitter la maison familial pour enfin voler de mes propres ailes. L’esprit ouvert à tout ce qu’on m’avait enseigné durant de nombreuses années. C’est avec enthousiasme et détermination que j’avais donc rejoins l’armée. De par mon rang, j’étais rentré directement en tant que sous-officier dans l’armée. Mais mon objectif n’était pas là. Je souhaitais rendre fier mon père plus que tout et monter en grade aussi haut que je pouvais. Donc je me tuais deux fois plus que d’habitude à la tâche. Entre mes entrainements réguliers puis mon travail au sein de l’armée, je n’avais plus de temps pour moi, mais ça me convenait. De toute manière je pensais à l’époque qu’un homme devait toujours privilégier le travail, la détente ne venait uniquement quand ont été sur de n’avoir rien d’autre à faire. Qu’est-ce que j’étais naïf…

• A l’âge de vingt-deux ans, j’obtenais enfin le grade que je désirais par-dessus tout. Un Maréchal avait perdu la vie lors d’une escarmouche contre un royaume rival. A l’époque j’étais Lieutenant-colonel dans l’armée et je me faisais souvent remarquer pour ma bravoure au combat. C’est tout naturellement que la promotion avait été pour moi. J’étais devenu une fierté pour l’Empire et par-dessus tout je faisais honneur à mon nom de famille. Je redoublais donc d’effort une fois mes prises de fonction effectives, mais un léger malaise commençait à se faire sentir. Au début je n’y faisais pas attention mais cette fois-ci, il était bien là.

• Quand j’eus vingt-cinq ans, ce fut pour ainsi dire la révélation. On était maintenant en guerre ouverte contre Nexus depuis quelques temps maintenant. J’enchainais les escarmouches, les batailles rangées ou les attaques surprises contre l’ennemi. En ma qualité de Maréchal je faisais tout pour que la guerre dur le moins longtemps possible. Mais ce fameux malaise était devenu bien trop présent et ne me laissait aucun moment de répit. Je n’arrivais plus à me concentrer dans mon travail et à plusieurs reprises je perdais des batailles à cause d’erreurs grossières. C’est ainsi que du jour au lendemain je démissionnais de mon poste de l’armée et que je m’enfuyais sans dire un mot à personne. J’avais besoin de changer d’air, de me retrouver, car il semblerait que pendant toutes ces années, je m’étais perdu derrière une fausse discipline qui ne me correspondait plus…

Aujourd’hui, j’erre de village en village, de ville en ville, sans but précis, avec pour seul compagnon, mon long katana.

[Désolé d’avoir un peu bâclé la fin de l’histoire, mais je préfère aborder certain détail durant mes RP’s :o]

Situation de départ : En vingt-cinq ans il est normal que j’ai eu de nombreuse relation avec des filles. Je suis quand même beau gosse, j’ai un certain succès auprès du sexe opposé.

Autres : De par ma nature d’ESPer, j’ai développé un pouvoir bien particulier. L’aérokinésie, qui consiste à créer à partir de rien de l’air  et donc par extension, le vent. Et je peux également le manipuler, le modeler et le maîtriser à volonté. Je peux également me servir de l’air. Je m’en sers principalement pour voler, me protéger, me déplacer à haute vitesse ou pour le coupler avec mon katana. Mais pour les détails je vous laisse le découvrir dans mes futures aventures.

Comment avez-vous connu le forum : En cherchant sur Google, il y a bien 3 ans.

Avez-vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Non je ne pense pas, malheureusement.


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