Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Frau Van Lindermann

Pages: 1 2 [3] 4 5
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 09 décembre 2014, 15:47:36 »
je pense refaire un avatar pour ce compte.

- Ouech ! Comme ça, je pourrait enfin me taper le fritz de l'an 40 qui traine des fois par ici.

Occupe toi donc de poutrer le français de la DGCE qui te colle au train, ça sera surement plus épique et professionnel...

- Ouaip... aussi, ouai...

15h47

32
Le quartier de la Toussaint / Re : Moonraker
« le: lundi 10 novembre 2014, 12:32:51 »
17h25

Tu attendais là depuis quoi...Une heure ? Le regard visé sur la lunette de ton E.D.M Windrunner de calibre 50. Ta cible n'était autre qu'un Russe, un trouduc' de communiste, soit, le genre de type que tu aime liquider. Ta cigarette se consumais lentement entre te lèvres, laissant filer une longue rivière de fumer. Tu t'étais mise sur un toi, non loin du dojo où ta cible se trouvait.

'Culer d'ruskoff... P'tain d'pochtron d'merde...

Ouai... T'aimais te le redire encore et encore... Ta haine de bolchévique était dans ta tête aussi limpide et aussi justifiée que ta haine des gens... eux... Colorés diront nous. En faite, qu'est ce qui, en ce monde, ne t'inspire pas du mépris ? Les allemands ? Normal, t'en est une... Après, toutes les autres nations on pour toi une place, une note, un classement, toi, t'est en haut de la liste et... Il faut bien avouer que, dans ta tête  c'est un sacré bordel mais bon, on peut pas vraiment t'en vouloir non plus, t'as grandie dans un environnement propices à se genre d'idéologie, au vue d'la bande de réfractaires à la couleur qui ta servie d'exemple, c'est sur que maintenant... Bas t'as du mal avec certaines personnes.

Aller... 'foiré d'bolchevique, sort de ton trou !

Agacée, tu regardas ta montre avant de te remettre en position  de tire. Il n'allait pas tarder à arriver cet enfoiré... Tiens, d'ailleurs, comment en était tu arrivé à vouloir tuer cet enculé d'rebut de goulag ? A oui, c'est vrai, c'était Jethro*, le parrain de la mafia italienne de Seikusu, il t'avait donné ce contrat sans vraiment te dire pourquoi, après tout, toi, t'en avait rien à cirer de ses raisons, tu connaissait Jethro depuis pas mal de temps déjà et il était l'une des rares personnes à avoir ta confiance dans cette ville. Alors... Bon, t'était là, tu attendais patiemment la sortit de ta cible et...

17h45

L'homme sort... Il regarde brièvement aux alentours... et...

Bonne nuit fils de pute...

Ton doigt pressas la gâchette et hop ! Tu pus entendre le bruit de ton silencieux retentir avant de voir ta balle se loger dans le cœur de l'homme, explosant se dernier d'un coup (calibre 50, s'pas pour les lopettes). Mais, alors que l'homme aller pour s'étaler sur le sol... Tu vit sa tête se faire partiellement exploser par une autre balle... Tes sourcils se froncèrent et cet alors que dans ta tête, tu t'es dit :

Hola... Wait... Il y a une autre mec sur le coup ?

Surement... L’espace de quelque instants, tu resta sans rien faire, regardant les immeubles alentours... non... Il devait être plus loin, ce qui te fit vite fait remballer ton arme dans ta mallette, avant de rejoindre précipitamment ta Pontiac firebird 1979. Tu mis le contact et puis, hop ! tu quitta l'endroit par une ruelle qui menait à l'opposer de la scène du crime dans un crissement de pneu qui allait de concert avec  le bruit de ton moteur.

t'ignorer où était le type qui avait shooter la tête de l'autre Ruskoff, tu ignorait si il t'avait vue mais toujours est il, u l'avait eu AVANT ce contrat ! Ok, ça c'était jouer à rien, mais tu en était sur, c'est toi qui l'avait eu avant et pas l'autre fils de pute !

Fils de pute !



[HRP] nop ! s'pas du tout l'même Jethro que toi è.é

33
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 27 octobre 2014, 17:08:22 »
Frau

Cette soirée commençait à franchement t'emmerder... Tu roulais lentement dans le quartier des mafiosi en lançant de rapide regard dans ton rétroviseur, afin de t'assurer que personne ne te suivait. Tu n'arrêtais pas de te demander pourquoi t'avais acceptée ce putain d'contrat ! Une chance que la police ne connaisse pas encore ton identité...

Bordel ! Avais tu lâchée en frappant sur ton volant alors que tu était arrêté à un feu rouge.

Tous à cause d'un enfoiré d'yakuza... Même les chicanos et les colombiens avait plus d'honneur que ça au temps où tu était encore chez l'oncle Sam... Quoi que, les mexicains étaient de sacrés putes quand même. Enfin, la question n'était pas là, nan, là, le truc, c'était qu'un enfoiré d'citron avait cru bon de te jouer un sale coup, sauf qu'il sais pas à qui il a affaire cet enfoiré de jaune, on t'encule pas toi... Nan, avec toi, faut être le plus réglo possible, sous peine de finir avec une balle entre les deux yeux.
le feu revint au vert et tu reprit ta route vers l'un des plus prestigieux Opéra de Seikusu, Opéra qui, bien évidement, cachait plusieurs sous-affaires plus ou moins licites.

Cet alors que tu pus apercevoir dans ton rétroviseur, une élégante berline qui, tout feux éteint cherchait à te suivre. Tu levas les yeux au ciel, l'air de dire : "quel bande de cons." et tu t'engageas dans une ruelle sombre. Rapidement tu pris ton pistolet, ainsi qu'un silencieux qui ce trouvait dans ta boite à gants. Tu sortis de ta caisse et tu allas te cacher derrière deux gros conteneurs à poubelles. Quelques secondes plus tard, la berlines vint à son tour ce garer dans la ruelle, juste derrière ta voiture. Quatre hommes armés sortirent alors du véhicule, avant de faire le tour de ta caisse.

C'était encore des Yakuzas... Tu soupiras légèrement, puis, tu te lança... Ton arme à la main, décochant deux tires, les deux faisant mouche sur les deux premiers Yakuzas. Le troisième vint alors à te tirer dessus à l'aide de son fusil à pompe à canon scié, mais rapidement, tu allas te remettre à couvert derrière ton conteneurs. L'homme tira deux autres salve de plombs, avant que tu ne ressorte pile au moment où l'homme réamorçait son arme. ton tire se dirigea vers sa main, le faisant lâcher prise, puis, ton canon déviât vers son acolyte, misérablement armés d'un simple revolver à six coups, acolyte que tu immobilisas de deux balles dans la jambe. Le type au fusil chercha bien évidement à récupérer son arme afin de te tirer dessus mais... Trop tard, en t'approchant lentement du dernier gars, tu lui décocha une balle dans la tête, avant de finalement arriver au dessus du Yakuza avec le six coups... Le seul encore en vie, gémissant misérablement contre le sol.

Put... Salope !

Sans rien dire, tu écarta son arme à l'aide de ton pied, puis, tu pris la parole.

C'est con sale jaunes... ton Boss est tombé sur le mauvais cheval !
Ferme ta gueule... Pétasse...
Ah ouai ?

Violemment, tu attrapa l'homme par le col de sa veste, avant d'amener sa tête prêt du caniveaux.

Je pense qu'il est temps que vous appreniez tout le respect que vous nous devez, putain d'face de nems !
C'est grâce à nous, qu'vous êtes devenus aussi "civilisés", enculé d'rebut de rizières ! Alors maintenant fait moi plaisir, met ta putain d'bouche contre le trottoir...


Vas bien t'faire foutre, salope de nazi d'merde ! J'te pisse à la rais, t'entend !

MET TA BOUCHE, CONTRE CETTE SALOPERIE DE TROTTOIR ! Avais tu hurlée en plaquant ton flingue contre la tête de l'homme.

Cet homme avait beau avoir une grande gueule, il n'en menait pas large... Il sentait la peur à plein nez et, un bref regard  sur ses mains tremblantes, suffit à t'en convaincre.

Allez connard...

Lentement, l'homme se mis à poser ses dents contre le bitume de cette sombre ruelle puis...

Tu diras bonsoir de ma part à l'Empereur Hirohito... Fils de pute !

Et crac... C'est avec violence que ton pied vint alors à réduire au silence le pauvre homme... Ton regard vide de toute forme d'émotion ce déplaçât ensuite vers le ciel et, comme un point d'honneur à cette sinistre scène... la pluie vint à s’abattre sur toi.
Rapidement, tu te mis à prendre les corps un à un, afin de les mettre dans les gros conteneurs à poubelles puis, tu allas garer la berline dans un cul de sac un petit peut plus loin. Tu reprit ensuite place dans ta bagnole et tu déserta les lieux, comme ci de rien n'était.

Visiblement, même là... tu n'était pas en sécurité.

C'est une dizaines de minutes plus tard, qu'enfin tu arriveras à destination. Tu garas ta caisse derrière l'Opéra, avant de prendre avec toi ton pistolet, ton couteau, ton poing américain et ta mallette contenant ton fusil de précision. C'est d'ailleurs à ce moment là que tu remarquas qu'un traceur y était toujours collé.

Putain !

D'un violent coup de poings tu l'écrasa, avant de définitivement sortir de ta voiture. Cet alors que l'homme qui gardais la porte arrière te fis signe de rentrer. Surement avait il était prévenu de ton arrivait par Jethro. Sans chercher plus loin, tu te précipita à l'intérieur de l'Opéra puis, tu rejoignis le dernier étage grâce à un ascenseur.
Une fois là haut, tu fit face à deux hommes qui gardait farouchement l'entré du bureau de "scarface", cependant, ces derniers t'ouvrirent grand la porte sans poser plus de questions et c'est ainsi que tu retrouvas face à la seule personne de confiance dans cette ville.

Dobermann... C'est une joie de te voir en vie.
Ouai... Moi aussi je suis contente de me voir en vie... Avais tu dit en te grattant l'arrière du crane.
Ne t'en fait pas, mes hommes savent qui tu es et il n'hésiterons pas à t'aider et à te protéger en cas de besoin.
Tu sais que ça risque de faire une belle merde tous ça... Nan ?
Je sais... Le soucis c'est qu'Akihiro à totalement perdu la tête...
Pfffff... J'aurais jamais due liquider ce putain d'maire...

Jethro fit signe à l'une de ses secrétaire d'aller chercher quelque chose, tendis que toi, tu prit place dans l'un des fauteuils qui faisaient face au bureau du parrain et alors que tu allais pour t'allumer une clope, la jeune femme posa une grosse mallette pleine de fric devant toi.

Qu... ?

Ne dit rien... Je sais que ce n'est pas à moi de te payer, d'ailleurs, il n'y a surement pas le compte demandé à Akihiro mais... En commanditant l'assassinat du maire, Akihiro a fait une grave erreur... Très grave... Surement vas t'il y avoir une déchirure entre plusieurs gangs et... Je compte bien t'avoir à mes coté quand tous ça se barrera en sucette...
Tu te paye une assurance quoi...
Je suis l'un des seul à savoir qu'il vaut mieux t'avoir dans son camp, plutôt que l'inverse...

Tu alluma ta cigarette, un léger sourire en coin, puis, en recrachant un belle bouffée de fumer, tu reprit.

Je t'ais jamais trahi Jethro... Alors remballe ton argent.
J'insiste Frau... Vraiment, prend le, au moins pour ta voitures et les deux trois bricoles à cotés.

Un léger silence traversa la scène, avant que tu ne referme l'attaché de caisse bourré de fric.
Tu savais pas trop quoi faire... T'était un peut paumée, cependant, tu te devait de rester calme.



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Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: mercredi 22 octobre 2014, 17:55:17 »
Frau

Quand cette jeune blondinette t'arracha ton fusil d'entre les mains tu... Bas tu fis pas grand chose enfaîte, un vague haussement de sourcil, rien de plus, elle aurait beau t'enlever tout les joujou du monde, si tu le souhaitait vraiment, tu pourrais la tuer sans rien, juste à l'aide de tes poings et de tes pieds.

« Tu peux opter pour la manière douce ou la manière forte... En sachant que je n’ai pas eu mon quota de côtes fracturées aujourd’hui.

Son quota ? Voilà qui était plutôt amusant venant de la bouche d'une sois disant justicière. Lentement, tu replaçât ta mèche en arrière en faisant quelques pas sur le coté, ta poigne se raffermissant alors sur ton poing américain. Cette petite blonde voulait jouer ? Elle allait être servie.

J'vais te l'offrir ton quota moi, avec supplément molaire et arcades. Avais tu alors dit en glissant ta main gauche che dans ta poche, avant de voir déferler sur toi l'un de ces étranges gadget en forme de chauve-souris, sauf que cette fois, tu eu la rapidité suffisante pour le parer avec ton superbe Coutau de combat. De suite, tu allas à la rencontre de la jeune femme, parant au passage un autre batarang avant d'esquiver un coup de pied latéral de la part de la justicière.

Pfff... Minable...

Et blam ! Tu envoya ton poing droit dans la joue de ton adversaire, poing droit qui fut ensuite secondé par le gauche, avant que finalement, ton pied vienne à son tour, violemment se loger dans l'abdomens de la justicière, qui fut propulsée contre le vans, avant de s'écrouler au sol.

Alors... Tu l'as ton quota, hm ?... Ah, non.... Excuse moi...

Et hop tu envoya ton pied dans le ventre de la bat-gamine avant de faire quelques pas en arrière, afin d'être hors de porté d'un quelconque balayage.

J'avais zappée les cotes brisées... Avais tu alors dit en ramassant ton fusil à pompe, avant de frapper une fois de plus l'héroine au visage, à l'aide de ton pied cette fois. Tu partis ensuite en direction de ta voiture et cet alors que tu remarqua une sorte de petit dispositif duquel sortait plusieurs étincelles. Surement était ce là l'un des traceur que cette petite pute avait en réserve, cependant, celui ci semblait HS et tu n'eu aucun mal à l'extraire de ta carlingue. Le moteur tournais toujours et rapidement, tu grimpa à bord avant de faire crisser les pneu puis de partir à toute vitesse de l'endroit, tu rejoignis ensuite l'entré d'un tunnel routier qui menait à une autre partis de la ville, une partis exclusivement controlée par la mafia italienne. Tu savait pertinemment que les Guramu n'y mettrait pas les pieds, par peur de causer une guerre qui entacherais leurs affaires à coup sur et là-bas, tu te savais donc en sécurité.

Pour ton appartement et cette petite garce ? Finalement, t'en avait rien à faire... Il n'y avait rien de trop compromettant, cet appart était l'un des plus "soft" que tu avait, il n'y avait aucune preuve bancaire, aucune réelle preuve téléphonique et la ligne internet était tellement peut utilisée qu'il n'y avait en sois rien de concluant à vérifier les historiques et toutes les conneries dans le genres, la vois de la fouille était donc une perte de temps pour cette gamine et le temps, c'est tout ce dont tu avait besoin, donc finalement, si elle voulait fouiller ton appart, et bien qu'elle le fasse.



Lucrezia

Que t'était il arrivée ensuite ? Avec le dernier flash que tu venait d'avoir, il était difficile de te remettre dans le contexte de ta chute... Hmmm... Ça y est ! Ça te reviens. T'en était à être cloîtrée dans un abris de chantier en préfabriqué. Un aubaine pour toi qui, manque de pot, avait fini avec deux balles dans le corps et une chute dans les égouts. Tu t'était lentement remise de tes blessures et... T'était par la suite longuement restée là... Plusieurs jours, peut être deux semaines... Voir trois... Nan, tes souvenirs sont trop diffus pour dire avec exactitudes combien de temps tu est restais ici. Toutefois, il fallait bien que tu parte un jour ou l'autre et ce jour arriva, tu prit avec toi la sacoche de premier secours, quelques réserves de nourritures et hop ! Tu partis en direction de... Bas tu l'ignorais enfaîte... Tu savait juste qu'une fois encore tu allais errais dans les méandres sombres et sordides des souterrains de Seikusu, à la recherche d'un endroit où crécher avant qu'enfin tu ne te décide à remonter.

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Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 20 octobre 2014, 18:29:24 »
Frau

A peine avais tu quittée ton garage et fait une dizaines de mètres en bagnole que deux putains d'berline noires foncèrent sur toi. A leurs bord ? Des putain d'niakuzas armés de fusils d’assaut et d'autres armes plus ou moins de bonne facture, oui, car, l'armement, c'est comme tout, soit tu met le prix et tu as de la qualité, soit tu prend d'la merde en grosse quantité et tu te retrouve avec de la merde toute droit venue du fin fond d'un sous-sol chinois clandestin et merdique. Tu t'abaissa légèrement sur ton volant avant de voir l'un de ses enfoirés utiliser son lance grenade, ratant fort heureusement son coup.

Ouai... Vraiment des grosses daubes ces gars là !
Tu l'as dit bouffit ! Avec le recul, tu te demander où était passé les sois disant préceptes ancestraux japonais. Tu sais, les règles et l'art du combat là.

J'imagine que ça doit être comme l'amour du tonton, ça s'est barré en couille à la fin d'la seconde guerre mondiale.

Dommage, t'aurais bien aimé te dire que chacun des mecs qui aller te rater ce soir se donne la mort chez lui... Enfin, toujours est il, là, t'était encore une fois dans la merde ! Surtout quand tu vis un type sortir un putain d'lance patate en te visant. Par chance, le type ratât son coup. Toi, de ton cotés, tu ne freina pas le moins du monde, bien au contraire ! Tu continuait d'avancer en direction des berlines, ton pistolet hors de la fenêtre, crachant ses balles sur les yakuza et, le moins que l'on puisse dire, c'est que même à une telle vitesse, ta précision était toujours d'appoint, certes, elle l'était moins qu'en temps normale, mais le résultat était tout de même là, car plusieurs Yakuza furent abattus par tes soins. Cependant, un rapide coup d’œil dans ton rétroviseur t'alerta de la présence d'une autre super-héroine dans les parages et ça... C'était pas franchement cool...

Merde !

Et là, comme-ci ça ne suffisait pas, le type au lance roquette revint à l'assaut, envoyant une seconde roquette vers ta bagnole, roquette qui te frôla avant d'aller s'écraser contre les berlines... Ouai, c'était vraiment des daubes ces mecs.
Un rapide coup de volant te fit déraper, mettant ta voiture en travers la route. Il fallait vraiment être con pour ainsi rater sa cible et en plus détruire ses acolytes, non ? Tu frappa du point sur ton volant et cet alors que tu constata l'étendue des dégâts... Là, tout autour de ta bagnole, il y avait des débris et des morceau de corps calcinés. Ton regards déviât ensuite vers l'autre cotés de la rue et... Ton constata avec un légère étonnement que la super-héroïne avait lattée la tronche à tous les autres mecs... A défaut d'être très amicale, elle était au moins efficace et ça... C'était forcement une bonne chose pour toi.

...

L'espace d'un instant, tu t'es demandée comment cette blondasse qui, sans nul doute, était une alliée de l'autre rouquine, avait put te retrouver si vite... Et l'idée d'un émetteur t'avait alors effleurée l'esprit. Pourtant, ça te paraissait un peut gros mais... En y réfléchissant bien, cela n'était pas impossible non plus.

La pute m'aurait pistée !?

Oui... Cette idée t'avait pas plus, mais alors pas plus du tout ! Cependant, tu étais partagées entre le fait de partir, ou de rester pour lui latter la tronche... Et la réponse t'apparut alors comme une évidence. Cette gamine savait surement quel était ton appartement, toutefois, à part la weed cachées dans la boite en fer, il n'y avait plus grand chose d'illégale dedans, quelques cartouches ? Et alors, ce ne sont que des cartouches, le fusil étant dans ta tire, il n'y avait là aucun réel soucis et puis, admettons qu'elle tombe sur une armes, tu as le permis pour en posséder, à la rigueur, elle pourrais te faire avoir une amende pour possessions d'objets à caractères néo-nazi, tel que tes drapeaux représentant la croix gammée ou encore le portrait d'Adlof hitler. mais bon, même là, tu doute que ce soit assez pour te faire tomber.

Ouai...mais j'ai pas envie qu'elle foute les pieds chez moi cette truie...

Lentement, tu prit ton fusil qui était dans ton coffre, ainsi que deux boites de cartouches que tu mis dans tes poches et tu sortis... Wow, t'avait à peine fait cinq-cent mètres que tu étais déjà obligée de sortir de ta caisse... Pfff, quel gâchis de temps.
Dans le doute, tu enfila ton poing américain et sans même viser la justicière, tu lui parla, tachant toutefois de rester bien concentrée, afin de parer à toute éventualité.

Bon... Je pense avoir était clair avec ta collègue nan ? J'ai assez d'emmerdes avec les faces de citron, alors s'il te plait, retourne chez les amérloques avec ta clique te sadomasochiste en tenue de cuir et fout moi la paix..

En disant ça, tu tira une latte sur le bout de joins qui pendait au bout de tes lèvres,recrachant par la suite la fumé en mode badass et tendis que tu avait fini de parler, un Yakuza qui était affalé sur le sol, ce mit à gémir. Ton regard se glissa vers lui puis...

Toi ta gueule, sale nyak !

Et bam ! Tu écrasa sa tête contre le sol... Avant de lâcher, une fois encore, l'une de tes cinglante répliques franchement abjectes et immorales.

P'tain... Et dire que durant la seconde guerre mondiale, ont c'est alliés à des loques pareille... Pas étonnant que l'on ais perdus...



36
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 03 octobre 2014, 20:46:16 »
Viens de terminer un dessin o/

Toutefois, pour des raisons qui me son assez évidentes, je ne le posterais pas directement sur mon topic habituel, cependant, ceux qui veulent le voir peuvent toujours s'en référer au p'tit truc que je vais poster en dessous.


Ce dessin, en plus d'être assez hardu, n'est pas de moi, enfin, je l'ais dessiné, mais l'idée m'est venue en matant la page Facebook de Marilyn manson, ce dernier jouant dans la saison sept de Sons of anarchy, il  ont fait un artwork de son personnage (Ron Tully)

Artwork d'origine

Et voilà mon dessin.


20h43

37
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 29 septembre 2014, 20:24:39 »
Frau Van Lindermann
Tu t'étais réinstallée dans ton fauteuil, ton verre de bourbon dans la main. Tout en tournoyant nochalament les glaçons dans ton verre, tu réfléchissais à comment te sortir de cette situation. Fallait il que tu fasse appelle à toutes les connaissance que tu avait sous le coude ou bien devais tu faire comme à ton illustre habitude, soit, lentement remonter vers ta cible jusqu'à la dézinguer d'un coup. Tu savais plus ou moins ou se trouvait les autres clubs et affaires des Guramu, il te suffirait de choper un des nombreux mac et autres gros bonnet à la solde d'Akhiro et le faire parler un bon coup, histoire de savoir comment buter son gros lard de patron... C'était une solution, certes, mais elle ne risquer pas te rapporter grand chose. Cependant... Avais tu vraiment une autre solution ?

Faut que je me calme et que je réfléchisse...

Calmement, tu ouvris le tiroir d'une petite commode qui se trouvait à coter de toi et tu en sortie une petite boite  en fer noire marquée d'une croix de malte rouge. Tu ouvris la dite boite et, qui avait il dedans ? Et bien il y avait tout ce dont tu avait besoin pour te rouler un petit joins. Quoi ? Comment ça ça colle pas aux habitudes et au sérieux des tueurs à gages ? Tous ça, c'est des clichés, rien de plus. Toi, quelque soit ton état, t'était un vrais danger publique, une putain de lionne en furie capable de dessouder n'importe qu'elle bâtard avec n'importe quel objet et ça, qu'importe la situation où tu te trouve. T'était nez avec ce dont, celui de tuer, ton corps tout entier était une armes, c e monde était ton instrument, ta capacité de réflexions et ton adaptabilité faisait de toi la meilleur et ce dont, tu l'as affûté et tu l’affûte encore aujourd'hui... T'es la meilleur, point barre, fermez les guillemet et ranger vos cahier. Cette salope d'héroine de cuir t'avait sous-estimée et bien qu'à cela ne tienne, tu lui avait fait péter ta caisse à la tronche.

Ça lui apprendra à cette grosse pute, tiens. Avait tu dit en affichant un léger sourire en coin, tendis que tu tourner ton grinder afin broyer ta beuh. Beuh que tu mis ensuite dans ta feuille slim avant de finalement te mettre à rouler ton joint avec savoir-faire.

à chaque fois que tu roule un joint, tu ne peut pas t'empêcher de te rappeler ton premier stick avec l'une des pote de ton père. T'avais quoi... Treize, voir quatorze ans et ce bon vieux Frico t'avais fait fumer alors que ton daron était partis conclure un deal avec un gang de bouzeux consanguins. A sont retour, toi et Frico étiez derrière le bar, entrain de tirer au fusil de précision sur des chacals... Ouai, on peut dire que ta jeunesse avait eu la particularité d'être assez... Bas assez singulière quoi. Mais au fond, t'as pas si mal tournée que ça... Enfin, d'un certain point de vue quoi.

Lentement, tu passa ta langue sur la feuille afin de pouvoir refermer le tout et d'ensuite te mettre à fumer. Tu alluma ton zippo, tu brûlas le bout de ton joint et... et tira un bonne latte dessus, avant de recracher une épaisse bouffer de fumer devant toi.

Bon... Reprenons tout depuis le début... Avais tu alors dit en posant la paume de ta main gauche sur ton front.
J'ai buté le maire de cette ville... J'ai pas était payées, mais ! Les enculés qui étaient censés me payer sont maintenant à ma recherche pour me buter... Putain mais merde, pourquoi l'oncle Sam c'est arrête à Hiroshima et à Nagasaki putain !

Ça, c'était vraiment salaud de ta part Frau... Mais bon, c'est pas aujourd'hui que tu va changer de raisonnement, hein.
Il te fallait gagner du temps...Il fallait que tu trouve un moyens d'avoir des informations sur Akihiro, au cas où il ne te payerais pas. Ce qui était, à la base, un malentendus. tu l'ignorais mais, ce n'était pas Akihiro qui devait te payer, mais l'autre tache là, le type qui t'avait montré la photo de la pute en cuir. Pour le big boss Guramu, la livraison avait était faite, mais... Nan, en réalité, elle n'avait pas était faite. Un malentendus... Un malentendus qui aurais peut être pus se résoudre si batgirl n'était intervenue lors de l'échange entre toi et Tamoshi.

Tu tira une autre latte sur ton joins, avant de te déplacer vers une armoire en bois un peut plus au fond de la salle. Tu l'ouvris avant de t'emparer de son contenus, soit, un  Fusil à pompe Taurus-st12 . Tu amorça la pompe dans un "clic-clic" bien connue, alors qu'au coin de tes lèvres, ton bédot était lentement entrain de ce consumer. Tu prit ensuite un gros sac de sport qui était lui aussi dans l'armoire et tu mis le fusil dedans, ainsi qu'une bonne vingtaine de cartouches... Au cas ou. Tu referma le sac et tu alla ensuite le déposer dans ton garage, là où ta magnifique Massacro verte métalisé était entreposée. Cette dernière était elle aussi blindée et avait elle aussi des pneu à l'épreuve des balles, ainsi que des vitres teintées. Tu en ouvris le coffre, afin d'y déposer ton sac dans le double-fond, puis tu remonta à l'étage afin de régler quelques petites choses.

Tu pris ton poing américain dans un tiroir, un couteaux, un autre portable et ton briquet. Puis finalement, tu redescendit à ta voiture. Une fois dans cette dernière, tu ouvris ton garage et tu prit la route... où tu comptait aller ? Tu l'ignorait pour l'instant, il fallait encore que tu réfléchisse, que tu bouge... Tu devais trouver une solution, mais tu ne supportais tout simplement pas le fait de rester chez toi à rien faire.



Lucrezia

Tu venais de te perdre dans tes pensées une fois de plus... Dans ce passé qui t"habite sempiternellement...
Ton regard vacilla fébrilement du miroir pour ce poser sur ta sacoche. Tu t'en saisis et tu en sortis une sorte de pochons remplis d'une mince poudre blanche. Consciencieusement tu rependis le reste de poudre sur le lavabos avant de te mettre à en faire une ligne propre et bien ordonnée... Putain pourquoi tu fais ça ? Pourquoi et comment t'as put tomber si bas... Toi même tu l'ignore... Tu sniffa d'un coup sec toute cette belle ligne que tu venais d"ériger, avant de reculer de quelques pas puis de t'affaler sur ton vieux matelas merdique.

Petit à petit, tu fermas les yeux et tu te laissas emmener une fois de plus dans les méandres de ton esprit... Un rire lointains parvint à tes oreilles... Puis un bruits de porte... Des pas lourds foule lentement le parquet... Puis, une odeur... Son odeur... Celle du chenil et des chiens mouillés par la pluies ainsi que l'odeur acre de l'alcool et du tabac froid...

Tu te vois dans ta chambre, entrain de jouer avec ta mère... Et puis là... Tu entend sa voix caverneuse, sculptée par des années de gauloises sans filtre. Putain... Pourquoi fallait il qu'il revienne toujours...

Adrianna ! Sale pute ! T'est où bordel de merde !!!! Viens faire la bouffe ou j'te brise en deux !

Tu l'entend ouvrir un tiroir dans la cuisine... Et tu vois ta mère se pincer les lèvres avant de finalement discrètement ravaler sa salive en essayant de te sourire.

Je... Reste la mon étoile... Je vais revenir, d'accord.

T'avais cinq ans putains... Cinq ans. Tu la vis sortir de ta chambre en refermant la porte derrière elle... Tu entendais ses pas lent s'éloigner de toi... Puis une fois encore... Tu l'entendis lui...

BORDEL !!!! T’ÉTAIT ENCORE AVEC TA CONNE DE FILLE !!! PUTAIN MAIS J'AURAIS MIEUX FAIT DE TE LATTER LE VENTRE PENDANT LA GROSSESSE SALE CONNE !
Je... S'il te plait... Laisse la, elle n'a ri...
TA GUEULE !
Un léger silence planât sur la scène puis... tu l'entendis se rapprocher d'elle.
Arrête... j'ten supplie...
LA FERME !
Et bam... Encore se soir, c'était le rouleaux qu'il utilisa....
Une fois encore, il la roua de coups, faisant fit de ses sanglots et de ses gémissements. Tu l'entendais hurler sur elle avec hargne et colère, une colère que tu ne saisira jamais vraiment... Pourquoi il faisait ça ?

Une enfance sans saveur et sans réelle plaisir autre que celui de voir une femme qui chaque jour se battait pour toi... Ou qui ce faisait battre pour toi... Tu ne sais pas et tu ne le sera jamais...

Distraitement, le souvenir de cette femme en tenue de chauve-souris te revint... Elle avait plus ou moins parlé de tes parents... Mais au fond, que savait elle de toi et de ce que tu as vécue ? Même à elle tu ne souhaiterai pas l'enfance minable que tu as connue, cette vision immorale d' un être cher se faire frapper sans que l'on puisse le sauver... Cette femme que tu avait torturée avait osée traiter ta mère de salope... Si elle ce sentait vraiment si "juste" elle aurait compris, mais non, elle avait préférée l'insulter en sachant pertinemment qu'elle insultait la seule personne que tu as jamais aimée.
Il n'y avait rien de "juste" dans cette acte...

Lentement, ton esprit s’embruma à nouveau, te faisant replonger inévitablement dans tes souvenirs.

38
Prélude / Re : Jackpot (On va le tirer, le jackpot. Valilolée ! :D)
« le: lundi 08 septembre 2014, 21:55:55 »
how... Bas ça va alors, suffit que tu m'embête pas et ce sera cool  ;D

après... J'en connais une qui cracherais pas sur le fait de te découper les fesses :3

39
Prélude / Re : Jackpot
« le: lundi 08 septembre 2014, 21:43:36 »
Raaaaah nan ! Pas encore une super héroïne D:
Comment qu'ont va faire pour gagner nos vies maintenant ? è.é

enfin, re-bienvenue  :D

40
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 08 septembre 2014, 19:19:56 »
Frau Van Lindermann


Au loin, tu put entendre retentirent les sirènes de polices. Les choses était visiblement entrains de s'envenimer, toutefois, tu gardas ton calme, ton armes était toujours pointée sur cette femme tendis que ton autre mains tenait ta mallette.

« Dépose ton arme tout de suite, et rends-toi. Tu as commis un assassinat, je ne compte pas marchander avec toi. » T'avait elle alors demandait. Ce sur quoi tu esquissa un petit sourire en coin tout en regardant brièvement en directions de deux fourgons, fourgons entre lesquels l'arrière d'une voiture était visible.

Et toi... Tu crois pouvoir marchander avec moi ? Franchement... Tu ne sais même pas à qui tu a affaire, ni dans quelle merdier tu est entrain de te mettre... Tu sais... Je ne suis pas comme la Duchesse moi... Tu ne m’aura pas en appelant les flics...

T'avais tes infos, tu savait qu'une femme en tenue de cuir comme celle là, avait était vue sur le lieux où la Duchesse était morte... Ou plutôt, où elle était "sois disant morte. Car pour toi, elle était encore en vie, tu savait pertinemment qu'un corps que l'on ne retrouvais pas, c'était un corps encore en vie. point.

Tu refis plusieurs pas en arrières, puis, lentement, tu baissa le canon de ton arme, aucun geste brusque... Il ne fallait pas qu'elle ais le temps de se rendre compte de ce que t’apprêter à faire.

Je veux bien te suivre... Tu vois, je suis réglo aujourd'hui. Comme je viens de te le dire, je ne suis pas comme la Duchesse et par conséquent... Je vais me rendre sans résistance. hm ?


Un mince sourire vint à s'afficher sur ton visage puis... Ta rapidité légendaire prit le pas sur la femme en cuir. Tu décocha deux tire en direction du réservoir de ta voiture, tendis une sorte de gros shuriken noir vint à frapper ta mains droite alors qu'au même moment...  ta voiture venait d'exploser avec ton portable, les grenades et toutes les autres preuves que ce trouvait dedans. Rapidement te repris ton armes, avant de te diriger vers le corps de la jeune femme. Cette dernière était encore en vie... Toutefois, tu n'avait pas vraiment le temp de tergiverser. Tu prit son éspèce d'enregistreur puis tu lui donna un grand coup d'mallette en travers la tronche, avant de finalement lui dire sur un ton narquois :

La justice, hein...

Sur ce, tu accourue vers la voiture postée entre les deux fourgons. Les sirènes de police était de plus en plus proches, tu devait donc faire vite... Très vite. Tu explosa la vitre à l'aide de ton arme a feu, tu ouvrit la porte et puis... Bas tu fit ce que toute personne censée fait dans ce genre de situation... Du donne un grand coup de pied sous le volant afin de court-circuiter l'engin. Cette manœuvre, tu la connaissait par coeur, le trafique de voiture étant l'une des nombreuse qualifications que comptait ton CV. Une fois la bagnole lancée, tu démarra au quart de tour en faisant crisser les pneu de l'engin et hop ! Tu partis à toute berzingue hors de cet endroit.
Tu roula rapidement à travers plusieurs rues plus ou moins désertes, puis, une fois loin du parking, tu te mis à ralentir, reprenant alors une vitesse plus modérée. Tu savais pertinemment que les vitres teintées de ton ancienne bagnole avait cachée ton visage sur les éventuelles caméras de surveillances et par conséquent, tu ne risquait plus grand choses... Enfin, plus grand chose... Façon de parler.

Tu alluma la radio et... Oui... Visiblement, ton visage était encore inconnu des autorité policières. Cette nouvelle te fit soupirais, alors que petit à petit, tu te rapprocher d'une de tes planques. Un petite appartement discret au fond d'une ruelle, un truc qui, d’extérieur paraissait miteux, mais qui en réalité était assez spacieux et plutôt confortable... Voir très confortable, mais tu avais choisie cet appartement en partis pour sa très grande discrétion, discrétion que tu comptait bien garder. C'est donc pour cette raison que tu prit soins de garer la voiture, le plus loin possible de ta planque, aux alentours d'un vieux squat. 

De là, te marcha jusqu'à ton appartement, en glissant plusieurs œillades à toutes les personnes que tu croisait. Ta parano était entrain de prendre le dessus. Une fois au devant ton appartement, tu farfouilla dans la poche interne de ta veste, afin d'en prendre les clés puis, tu ouvrit la porte, tu jeta un rapide coup d'oeil autours de toi... Personne. Tu referma rapidement la porte et... Tu soufflât un grand coup en planquant tes cheveux en arrières.

Bordel... Faut que je le contacte...

Tu alluma la lumière d'un élégant salon que tu avait décorait avec plusieurs meubles style victoriens. Tu t'affala dans ton voltaire qui faisait face à une petite cheminée. Tu décrocha le combiné du téléphone qui ce trouvait sur une petite commode juste à coté de toi, tu tapa rapidement le numéros de ton interlocuteur... Puis tu attendis qu'il décroche. ton regard ce tourna vers l'une des fenêtres de ton appartement, cette dernière donnait sur de vastes buildings... Pour une raison que tu ignore, à ce moment précis, tu crus te retrouver en Amérique... Avant que les complots et autres magouilles te face fuir la nations de l'oncle sam, la queue entre les jambes.



Jethro Palmira "Scarface"


L'homme était tranquillement assis à son bureau. En fond, la mélodie gracieuse et cristalline de l' Ave Maria berçait les oreille de l'homme qui était le parrain de la pègre italienne à Seikusu. Il tenait dans sa main un verre de vin, un Chianti pour être plus précis. L'homme prit une grande inspiration, avant d'entendre le téléphone se mettre à sonner. Le regard de Jetrho descendit lentement sur le combiné, avant que sa mains ne s'en saisisse.

Allo.
Allo... Jethro...
Dobermann, que voilà une agréable nouvelle. t'entendre me fait plaisir...
Je suis pas la pour blablater Jethro...
Je sais Dobermann... Je sais, mais, que serions nous sans un minimum de politesse et de courtoisie, hm ?
Un mince sourire vint à éclaircir le visage de l'homme qui  se mit alors à faire tournoyer le vin dans son verre à la manière des grand épicurien.
Des animaux j'imagine...
Tout à fait Dobermann, encore une fois tu a raison... J'aime ton sens de la déduction et ta clairvoyance, toutefois, j'ai eu vent de tes actes... Ils te recherche n'est pas ?
Ouai... Il n'ont pas honorées mon contrat.
L'homme descendit un gorgée de Chianti qu'il considéra longuement au creux de sa bouche, avant de délicatement l'avaler.
Voilà une chose que ne m'étonne guère de la part des Guramu... Ils sont si... irrespectueux des bonnes manières et de la courtoisie, moi qui leur avait pourtant dit ne pas te froisser.
C'est toi qui m'a recommandé, hein ?
Oui... Et je suis conscient de cet erreur Dobermann... Je m'en excuse... Je leur avait pourtant dit de faire attentions et d'être réglo... Mais visiblement... Ils n'en ont eu rien à faire.

De son coté, Frau s'était rendue dans sa cuisine et elle était à présent en possession d'un verre de bourbon.

J'ai besoin d'aide Jethro.
Tout ce que tu voudra Dobermann... Je suis prêt t'aider, cependant, je ne peut pas non plus me permettre d'entrez dans un conflits ouvert avec les Guramu.
Je sais... Mais je pense qu'au fond, ce gros porc d'Akihiro sais à qui il a affaire... Tout ce dont j'ai besoin c'est d'une couverture et d'un assurance que seul toi peut m'apporter.
J'imagine qu'il vas vouloir t'envoyer des tueurs, hm ?
Surement... Mais ça à la rigueur ça ne me dérange pas... Je veux juste qu'il me donne mon fric et qu'il comprenne qui je suis et que je ne rigole pas.

L'homme acquiesça d'un hochement de tête, avant de se lever de son siège.

Bien... Je t'en doit déjà pas mal Dobermann... Il est donc temps pour moi de te rendre l'appareil. J'ai connue ton père et Je serais ravie de t'apporter mon soutient.
Merci Jethro...
De rien... Une fois encore c'est bien là la moindre des choses. Tu as déjà beaucoup fait pour moi dans cette ville.
Frau Répondis pas et ce contenta de raccrocher. L'homme à la cicatrice reposa lentement le combiné sur son bureau, avant de se tourner vers deux des ses hommes.

Bien, vous deux... Je veux des hommes dans toutes la ville... Frau est une personne en qui je tient énormément... Où qu'elle soit, je veux que vous la retrouviez et que vous l'aidiez temps que cette affaire ne sera pas résolue, c'est clair ?

Oui monsieur.
Oui monsieur.

Les deux hommes saluèrent respectueusement leur chef, avant de quitter la pièce. Jethro Se tourna ensuite vers sa grande bais vitrées qui donnait, là encore, sur des vastes buildings. L'homme prit deux autres gorgées dans son verre de vin puis, son regard se descendit vers le combinée qu'il venait de poser. Il fit longuement le tour de la question et puis... Il se décida. Il reprit le combiné et alla se rasseoir à sa place, il amenas à lui une petite boite en bois contenant une sorte de petit calepins pleins de numéros soigneusement rangés et ordonnée
Dedans, il y avait plusieurs numéros, d'alliés, comme de rivaux, il feuilleta brièvement avant de finalement trouver celui qu'il cherchait

Il reconsidéra la chose pendant un bref instant Puis il tapota le numéros et fini par appeler.
La sonnerie retentit longuement dans l'oreille de Jethro puis... Enfin, quelqu'un décrocha.

Allo... Mr. Guramu ?  C'est Mr. Palmira à l'appareil.
Qu...
T-t-t-t... Je n'ais pas beaucoup de temps Mr. je vais donc être concis et clair. En vous recommandant Dobermann, j'ai bien mentionné le fait que cette dernière était d'une très grande expérience et que donc, de ce fait, il était naturelle de se conduire avec elle comme avec n'importe lequel de vos confrères... Toutefois, j'ai eu le regrets d'apprendre que vous vous êtes conduis particulièrement mal avec elle... Rassurez vous, je ne compte pas attenter à votre vie, ni à vos finances... Je tiens juste à vous dire que... Dobermann, tant que vous ne lui aurais pas versée l'intégrité de son argent, n'aura de cesse de vous chercher... Et ci vous croyez qu'elle vas bêtement venir vous attaquer dans votre forteresse et bien... C'est que vous manquer cruellement de jugement et de bon sens. Elle vous aura... D'une manière ou d'une autre elle vous aura... Cherchais bien... Et vous verrez bien de quoi est fait son passé... Je vous assure qu’aucun de vos hommes lui arrive à la cheville.
Réfléchissait bien Mr Guramu... C'est en toute amitié que je vous dit cela.
Sur ce... Je vous souhaite une très agréable fin de soirée.


l'homme raccrocha, avant de reprendre une gorgée de vin. Il n'y avait en réalité aucune amitié entre lui et Akihiro, cependant, courtoisie oblige.


41
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 08 septembre 2014, 16:36:55 »
Je te rassure Lyan... Rien en ce monde ne rend sain d'esprit.  :)

16h36


42
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: dimanche 31 août 2014, 16:38:00 »
Frau

Tu venais d'envoyer chier l'un des plus gros poisson de cette ville... Ouai, on peut dire que pour une représentante de la gente féminine, t'as une sacrée paire de couilles. Il fallait toutefois que tu te calme, c'était pas le moment de te mettre à avoir un sursauts de colère et de tout liquider comme tu aime tellement le faire, non ! Là, il fallait que tu te calme, bordel ! Ouai, ça, c'est ce que tu te disais au fond de toi, mais merde ! Dans les faits, t'avais juste envie d'aller  buter du yak' et de récupérer ton putain de fric.

PUTAIN ! Avais tu alors lâchée, en envoyant ton pied dans ta portière de bagnole.

Cet alors que là, sans prévenire, une masse sombre vint à tomber sur le toit de ta bagnole en explosant ton pare-brise, tendis que toutes les lumières qui ce trouvait autour s’éteignirent à l'unissons. Cette femme, ce n'était autre que l'une de ces super-héroines que tu connaissais plus ou moins de par les médias qui en parlait. Rapidement, tu fit deux pas en arrière en dégainant ton arme vers l'étrange silhouette. Cette dernière vint alors à sortir une sorte de petite appareil qui ce mit à retranscrire une partis de ta précédente discussion avec Akihiro Guramu. Tu amorças le chien de ton arme, prête à faire feu, mes la femme se mit alors à parler.

« Tu devrais apprendre à surveiller tes arrières, Dobermann. Tu es en état d’arrestation pour l’assassinat du maire, et pour les dégâts matériels que tu as provoqué en t’enfuyant.»

Cette femme... C'était la "salope de cuir" que les guramu t'avais proposée de buter, chose que tu avais refusé car tu ne prenait jamais de contrat lorsque un autre n'était pas terminé.

« Si tu coopères pour faire tomber Akihiro Guramu, je m’assurerai que tu ne débarques pas dans une prison où l’un de ses hommes te plantera dans ton dos. »

Lentement, tu te mise à reculer vers l'arrière de ta voiture, toujours en pointant ton arme sur cette femme.

A qui crois tu parler, hein ? A qui tu crois que t'a affaire ? Tu crois que je suis comme toute ses sous-merde contre qui tu te bastonne juste parce que tu pense dur comme fer, être une "justicière"... Pfff... pathétique...

Tu savais pas vraiment comment te sortir de là... Enfin, ci, il y avait toujours la solution de la liquidation mais, au fond... Savoir que cette pouffiasse en costume traquais les Guramu te donnais une raisons d'y réfléchir à deux fois.

Ton petit enregistrement audio là... Il n'a absolument aucune sorte d'influence sur moi. Alors remballe ta panoplie de la parfaite petite détective et laisse les honnête gens faire leur boulots.

Toujours en pointant ton arme vers cette femme ouvris ton coffre de bagnole en donnant un violent coup de pied dessus, afin de récupérer ta mallette. Cette femme ne bouger pas... elle te regardais, attendant surement que tu fasse un faux pas. Une fois ta mallette récupérée, tu recula encore de quelques pas et tu put alors voir que le bouchons et la trappe qui était censées ce trouver au niveau du réservoir d'essence était partie, ce qui, bien évidement, te donnais une petite porte de sortie.

Admettons que je me montre soft et que je coopère avec toi... Ce sera quoi ma récompense ? Parce que si tu crois avoir entre tes main ma liberté, tu te fout le doigt dans l’œil ma belle... La prison ça me fait pas peur et il y a derrière moi d'autres familles toutes aussi influente que les Guramu. Maintenant... Laisse moi partir ou je me sentirais dans l'obligation de te briser tout les os du corps un à un avant de te faire cramer avec de l'essence.

Il est vrai que cette femme n'avait aucune sorte d'influence sur toi, cet enregistrement audio ne valait rien, si jamais tu avais à avoir des soucis avec la justice de ce pays, la mafia italienne que tu côtoyais pas mal te sortirais de la merde à grand renfort de graissage de pattes et autres joyeusetés dans le genre.



Flashback de Lucrezia.

Tu était restée la durant plusieurs jours, te nourrissants des provisions tel que de vieilles chips molles et des boites de conserve de haricots. Tu avait longuement fait le tour de la questions et tu en avais conclus que, même une fois  rétablie... Tu ne remonterais plus à la surface... Tu ne voulais plus avoir à rencontrer la police... Tu voulais que l'on te laisse en paix ! Tu voulais juste être seule... Mais au fond de toi... Au plus profond de ta chair... tu savait que tous ça ne pouvait pas s'arrêter... De toute les drogues que tu avait eu la "chance" de tester, le meurtre était décidément la plus puissante. Tu savais que tu ne pouvait pas t’arrêter... Tu était recluse dans ton lit... Et tu repenser à ton passif... Que se serait il passé si tu n'était pas née ? Qu'aurais fait ta mère si elle n'avait pas rencontrée le monstre qui allait devenir ton père ? Toi... Toi tu ne serais pas de ce putain de monde... Mais elle, elle serait surement encore là... Cette pensé t'avait faite pleurer... Pleurer... Tout ce que tu avait fait depuis le début de ton rétablissement c'était ça... Pleurer comme la gamine que tu as toujours était...

à la surfaces, les gens devait surement fêter ta mort... Tu voyais déjà les psychiatres autrefois en charge de ta personne déblatérer des tonnes de choses sur toi et ce avec fierté.

43
Le coin du chalant / Re : [HDE] - TERRE
« le: dimanche 24 août 2014, 11:39:14 »
Bon, moi je suit.
Par contre, je tiens à préciser que celons comment le RP se déroulera, L’identité de Frau pourra peut être, être mis à jour.

  • Territoire : Seikusu
  • Événement : Le maire de Seikusu, Joshiro Zabimaru a été victime d'un assassina, l’identité du tueur est encore inconnu, mais la police recherche activement des pistes, de plus, un important accident a eu lieu dans un tunnel de circulations, le soir même du meurtre.
  • RP concerné : Une cible à abattre.

44
Prélude / Re : Renaud Maria Guillermo Leopoldo Senorti.
« le: dimanche 24 août 2014, 11:11:40 »
Ahahah !

*s'allume une clope puis plaque ses cheveux en arrière*

Bon tireur, hein ? ça t'dit un concours ? histoire de voir qui c'est qui tire le mieux.

(re-bienvenue, j'aime bien ce genre de personnage ^^)

45
Les alentours de la ville / Re : Cible à abattre [Frau Van Lindermann]
« le: lundi 18 août 2014, 16:27:23 »
"Pour un vrai guerrier, quand il s'engage dans un combat, vaincre son ennemi doit être son seul souci. Réprime toute émotion humaine, étouffe toute compassion... Tue quiconque te barrera la route, fût-ce Dieu ou Bouddha lui-même. C'est le fondement même de l'art du combat."

(Voix off d'un vénérable Sensei japonais dans le film Kill Bill)


Frau


Vous vous regardèrent longuement lui et toi... Tu voulais ton fric et tu ne manquas pas de lui faire sentir ton agacement en serrant tes poings. La tensions était lourdement entrain de monter dans la pièce, les deux gardes du corps de Tamoshi était crispés, tendus... Ils hésitais à pointer leur armes sur toi, de peur que ça parte un peu trop loin. Mais alors que tu étais à deux doigts de définitivement perdre patiente, un accident des plus violent vint à faire irruptions dans la scène.Là, un homme vint à violemment s'écraser sur le bureau, avant qu'une assourdissante onde sonore vienne quand à elle à t'exploser les tympans. Par pur réflexe, tu t'étais reculée de ton siège, avant de chuter au sol en te cachant les oreilles, bordel, qu'est ce que c'était que cette merde ! Tes oreilles sifflait comme pas possible, mais dans de telles circonstance... Tu n'avais pas le droit à l'erreur ! Tu t'étais alors relevée d'un bond en dégainant ton arme, refroidissant dans la foulée, les deux gardes encore abasourdie par l'explosion sonore.

Put...

Là, t'avais rien compris... Enfin, ci, t'avais compris que t'avais pas ton blé et surtout, t'allais pas tarder à comprendre que des renforts allait arriver. Ton regard glissa sur tout ce qui ce trouvais dans le bureau, tu cherchas rapidement un stratégie pour sortir d'ici et à peine avait tu eux le temps de te coller contre le mur juste à coter de la porte, que trois yakuza firent une entrées tonitruante dans la pièce, arme au poing, prêt à faire feu.

Bordel, mais c'est quoi ce merdier !? s’exclamât l'un des trois hommes avant de finalement te remarquer du coin de l’œil, ce sur quoi il braqua son arme vers toi. Rapidement, tu t'étais saisis de ses mains, déviant ainsi le canon de son arme de ton corps, esquivant in extremis, son tir qui alla se perdre dans une des fenêtres du bureau. Ce sur quoi tu rétorquas du tac-au-tac par un franc bourre-piffe magistralement placé. L'homme fut mis KO et tu eux alors tout le loisirs d'en faire ton bouclier humain, tendis que de ton autre mains, tu dégaina ton flingue. Les deux collègue de ce cher yakuza tirèrent sur lui sans vraiment le vouloir, ta rapidité de mouvement légendaire les avait tout simplement dépassés, ils n'avaient pas eu le temps comprendre ce qu'ils leur arriver, voilà tout. Tu décocha une balle dans le crane de chacun et... BORDEL ! C'était trop BON !!! Oh oui, putain, tu la sentais l'adrénaline, hein !!!

Une fois cela fait, tu lâchant un grand soupir, tu replaças ta mèche sur le coté, avant de calmement remettre ta veste noir au propre avec une élégance qui sciait parfaitement au tueur de ta trempe. Tu remit ton arme à sa place puis tu descendit d'un pas pressé les escalier menant au rez-de-chaussé, ton regard scrutant la moindre personne, le moindre détail... Plusieurs gardes te regardais en coins... Quand l'un d'eux commença à prendre son talkie walkie afin de ce rendre compte  de la situation.

Merde...

L'homme, eu vite fait d'aller à son tour à l'étage, accompagné par un autre de ses confrères. Tu rejoignis rapidement ta bagnole, à grand renfort de bousculades, la foule c'était intensifier et certaines personnes plutôt bien éméchées te barrais la route sans vraiment le savoir. T'était à deux pas de la sortie quant le type au talkie-walkie vint à réapparaître juste en haut des escaliers.

CHOPEZ LA ! s'exclamat il en te pointant du doigt.
Merde...

Violemment tu bousculât une pauvre fille sur le coté avant de rapidement rejoindre ta caisse, d'allumer le contact et de partir à toute berzingue vers... T'en avait aucune idée, tout ce dont tu était sur c'est que maintenant, en plus de ne pas avoir ton blé... T'était dans la merde. Trois types sortirent de l'Eastland Chapel et te tirèrent dessus à la dernière minute, leurs balles percutèrent le cul de ta bagnole qui, dans un crissement de pneu monstrueux, s’engouffrât dans une rue, don le nom t'avait échappée.

Là, au volant de ton bolide, tu ne faisait plus attention à rien, les feux, les priorités, les stop, t'en avait plus rien à foutre. Il t'avait suffit d'un regard dans ton rétroviseur, pour voir que trois Karin Sultan XS noires desquelles tu pouvait voire des yakuzas tirer avec leurs pistolet en ta directions.

Putain, moi je vais vous les faire bouffer par le cul vos pétoire de merde, bande de citrons ! Lâchât tu avant de violemment venir enfoncer ton pied sur la pédale d’accélérateur.

Cependant, ta conduite agressive et les coups de feu de tes cher "amis" eurent vit fait d'alerter d'autres véhicules et c'est bien ceux de la cavalerie dont je parle, avec leurs sirènes tonitruantes à vous en faire perdre la raisons. Tu frappa du poings sur ton volant en lâchant un MERDE ! qui venait manifestement du plus profond de ton cœur. Toi qui voulait être discrète, c'était foutu !

Là, à toute vitesse sur l'asphalte, tu t'accorda une minute de réflexions... Et puis... Tu te lanças... Tu sortis de sous ton siège un  fusil à pompe à canon scié, ainsi qu'un petit chapelets de trois/quatre grenades. Tu baissa ta vitre et tu commença à lentement décélérer, arrivant ainsi à hauteur de l'une des voiture noires qui te poursuivait. Tu visa la vitre du coté passager et BLAM ! BLAM ! BLAM ! Tu envoya trois belles rasades de plombs dans la tronche du passager et du conducteur, ce sur quoi tu te mis à ré-accélérer, appréciant le spectacle d'une voiture s'écrasant dans une autres, qui s'écrasa dans une autre et ainsi de suite.

" à toutes les unités, une course poursuite à lieux au niveau du quartier de sokenku... à usage d'armes à feu... Je répète, usage d'armes à feu..." avait alors dit la radios.
tendis que dehors, la police était entrain de grandement venir vous faire chier... Autant toi, que les yakuza. Cet alors que tu vis une entrez de tunnel, que tu t'empressa de prendre... à contresens, histoire de creuser l’écart entre toi, la police et les yakuzas. Une fois encore tu t'étais retrouvée dans une situation pas possible, un truc totalement barré qui allait te coûter cher... si ce n'est pas la vie.

Tu slalomait parmi les voitures et les bruits de klaxons qui ce mélangeait au bruit des balles venant sporadiquement s'éclater contre ta carrosserie et l'assourdissant hurlement des sirènes de police, et alors que tu était deux doit de sortir du tunnel, ton regard se posa sur un énorme camions citerne remplie d'essences... Tu t'accorda deux putains de seconde de réflexions... Puis tu vint à donner un violent coup de volant sur la droite, défonçant alors des espèces de plots qui séparait les deux voies et qui ce trouvait être le seul espace entre les deux barrières de séparation de voies. Une fois remise dans le bon sens, tu ré-appuya sur le champignons afin de te mettre à hauteur du camion, tu tira sur l'un des pneu, faisant déraper ledit camions en travers de la route... Puis tu dégoupilla un grenade que tu balaça par la fenêtre en direction du camions.

Et boom...

Ouaip ! Un gros boom même ! Tu t'était alors mis à rouler comme une dérater vers la sortie, car l'explosion, tu en était convaincue, avait fait et continuer de faire de gros dégâts, à la manière d'une ligne de domino.
Tu fini par ressortir du tunnel, ta bagnole était pleine d'impact de balles et de rayures et tu était en sueur, mais au moins, t'avait plus ou moins réussie à semer tes assaillants.

Tu alla par la suite sur un  grand parking désert qui ce trouvait derrière un vaste building. Tu sortie de ta caisse en t'allumant une clope, puis tu te posa contre ta portière... Tu regarda le ciel deux minutes, avant d'être interrompue par un appel téléphonique. Tu pris alors ton téléphone et tu répondie à cet appel en provenance d'un numéros inconnue.

Allo...
Allo, Dobermann ? C'est Akihiro Guramu à l'appareil...
Mon blé vieux connard, sinon je fait à votre putain de repère, la même chose que je viens de faire à vos boys, ok !?
Calmez vous je vous prit, je crains qu'il y ais eu un mal entendus et...
TA GUEULE ! M'EN BRANLE DE TON MAL ENTENDUE, SALE BÂTARD ! JE VEUX MON PUTAINS D'FRIC ! ET PAS LA PEINE DE ME SORTIR TES RONDE JAMBES ET TES " nous allons vous donner la somme escomptée" PARCE QUE SALLE PORC, JE NE VEUX PLUS CETTE SOMME, MAIS LE TRIPLE ! OK ! TU MA ENTENDUS ENCULER DE NIAKOUE BOUFFEUR DE CHIEN !? HEIN, ?!

tu passa ta main dans tes cheveux en faisant un tour sur toi même, visiblement très agacée.

Je te donne 24 heures... 24 heures pour me filer la somme ou sinon je viendrais dans ton bordel et je me ferai une bon dieu d'priorité de te cramer ta gueule de bouffeur de chiens, ok !? Sale chintok ! ça, tu l'avais fait exprès, tu savais pertinemment que les japonais et les chinois se haïssait.

Vous ignorez à qui vous parlez, Mme Dobermann...
NAN ! Nan, gros porc, c'est toi qui ignore tout de qui tu as à faire ! KGB, FBI, Flics, Officiers militaires, Juges, Procureurs, Chefs de gangs et de mafias, voilà en quelques mots mon palmarès, sale fils de pute ! Alors maintenant, tu me remballe ta fierté d'enfoiré d'jaune mangeur de foetus et tu commence à rassembler mon fric !

Sur ces paroles, tu raccrocha en balançant ton portable en travers ta bagnole, tu mis tes mains sur ton visage en refaisant lentement un tour sur toi même... Puis tu soupira longuement.

Bordel... Dans quelle merde je viens encore de me foutre...

Tous ça.... tu pensait l'avoir laissée en Amérique... Mais visiblement, au japons, c'est l'même bordel qu'au USA.


« Je suis le fils de pute le plus froid que vous ayez jamais rencontré, J’aimais tout simplement tuer, je voulais tuer ».

(Ted Bundy).



Flashback de Lucrezia

Après avoir pansée et désinfectée tes plaies, tu t'étais lentement allongée sur le lit qui trônait dans un coins de cet abris de chantier... Tu avait revue dans ton sommeil, les images de ta précédente nuit, celle où cette chienne de cuir t'avais fait morfler le poussière, avant que tu ne prenne l'avantage sur elle et que tu lui face, à ton tour, subir bien des supplices... Puis il y avait eu les flics et... Les coups de feu... Puis plus rien, sauf l'image attendrissante de ta mère te tenant dans ses bras, avec tout cette amour que seul les mères peuvent avoir... Elle te manquait... Cela allait bientôt faire 15 ans qu'elle t'avait quittée... Et encore aujourd'hui tu en souffrait... T'était tellement chétive et fragile à l'intérieur... T'était toute seule face à ce monde... Personne ne pouvait plus te venir en aide, t'était seule... Seule et vide, tellement vide... Un vide monstrueux, que seul le sexe et le meurtre peuvent combler... C'est triste, mais c'est ainsi.


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