"Pour un vrai guerrier, quand il s'engage dans un combat, vaincre son ennemi doit être son seul souci. Réprime toute émotion humaine, étouffe toute compassion... Tue quiconque te barrera la route, fût-ce Dieu ou Bouddha lui-même. C'est le fondement même de l'art du combat."(Voix off d'un vénérable Sensei japonais dans le film Kill Bill)
Frau
Vous vous regardèrent longuement lui et toi... Tu voulais ton fric et tu ne manquas pas de lui faire sentir ton agacement en serrant tes poings. La tensions était lourdement entrain de monter dans la pièce, les deux gardes du corps de Tamoshi était crispés, tendus... Ils hésitais à pointer leur armes sur toi, de peur que ça parte un peu trop loin. Mais alors que tu étais à deux doigts de définitivement perdre patiente, un accident des plus violent vint à faire irruptions dans la scène.Là, un homme vint à violemment s'écraser sur le bureau, avant qu'une assourdissante onde sonore vienne quand à elle à t'exploser les tympans. Par pur réflexe, tu t'étais reculée de ton siège, avant de chuter au sol en te cachant les oreilles, bordel, qu'est ce que c'était que cette merde ! Tes oreilles sifflait comme pas possible, mais dans de telles circonstance... Tu n'avais pas le droit à l'erreur ! Tu t'étais alors relevée d'un bond en dégainant ton arme, refroidissant dans la foulée, les deux gardes encore abasourdie par l'explosion sonore.
Put...Là, t'avais rien compris... Enfin, ci, t'avais compris que t'avais pas ton blé et surtout, t'allais pas tarder à comprendre que des renforts allait arriver. Ton regard glissa sur tout ce qui ce trouvais dans le bureau, tu cherchas rapidement un stratégie pour sortir d'ici et à peine avait tu eux le temps de te coller contre le mur juste à coter de la porte, que trois yakuza firent une entrées tonitruante dans la pièce, arme au poing, prêt à faire feu.
Bordel, mais c'est quoi ce merdier !? s’exclamât l'un des trois hommes avant de finalement te remarquer du coin de l’œil, ce sur quoi il braqua son arme vers toi. Rapidement, tu t'étais saisis de ses mains, déviant ainsi le canon de son arme de ton corps, esquivant in extremis, son tir qui alla se perdre dans une des fenêtres du bureau. Ce sur quoi tu rétorquas du tac-au-tac par un franc bourre-piffe magistralement placé. L'homme fut mis KO et tu eux alors tout le loisirs d'en faire ton bouclier humain, tendis que de ton autre mains, tu dégaina ton flingue. Les deux collègue de ce cher yakuza tirèrent sur lui sans vraiment le vouloir, ta rapidité de mouvement légendaire les avait tout simplement dépassés, ils n'avaient pas eu le temps comprendre ce qu'ils leur arriver, voilà tout. Tu décocha une balle dans le crane de chacun et... BORDEL ! C'était trop BON !!! Oh oui, putain, tu la sentais l'adrénaline, hein !!!
Une fois cela fait, tu lâchant un grand soupir, tu replaças ta mèche sur le coté, avant de calmement remettre ta veste noir au propre avec une élégance qui sciait parfaitement au tueur de ta trempe. Tu remit ton arme à sa place puis tu descendit d'un pas pressé les escalier menant au rez-de-chaussé, ton regard scrutant la moindre personne, le moindre détail... Plusieurs gardes te regardais en coins... Quand l'un d'eux commença à prendre son talkie walkie afin de ce rendre compte de la situation.
Merde...L'homme, eu vite fait d'aller à son tour à l'étage, accompagné par un autre de ses confrères. Tu rejoignis rapidement ta bagnole, à grand renfort de bousculades, la foule c'était intensifier et certaines personnes plutôt bien éméchées te barrais la route sans vraiment le savoir. T'était à deux pas de la sortie quant le type au talkie-walkie vint à réapparaître juste en haut des escaliers.
CHOPEZ LA ! s'exclamat il en te pointant du doigt.
Merde...Violemment tu bousculât une pauvre fille sur le coté avant de rapidement rejoindre ta caisse, d'allumer le contact et de partir à toute berzingue vers... T'en avait aucune idée, tout ce dont tu était sur c'est que maintenant, en plus de ne pas avoir ton blé... T'était dans la merde. Trois types sortirent de
l'Eastland Chapel et te tirèrent dessus à la dernière minute, leurs balles percutèrent le cul de ta bagnole qui, dans un crissement de pneu monstrueux, s’engouffrât dans une rue, don le nom t'avait échappée.
Là, au volant de ton bolide, tu ne faisait plus attention à rien, les feux, les priorités, les stop, t'en avait plus rien à foutre. Il t'avait suffit d'un regard dans ton rétroviseur, pour voir que trois
Karin Sultan XS noires desquelles tu pouvait voire des yakuzas tirer avec leurs pistolet en ta directions.
Putain, moi je vais vous les faire bouffer par le cul vos pétoire de merde, bande de citrons ! Lâchât tu avant de violemment venir enfoncer ton pied sur la pédale d’accélérateur.
Cependant, ta conduite agressive et les coups de feu de tes cher "amis" eurent vit fait d'alerter d'autres véhicules et c'est bien ceux de la cavalerie dont je parle, avec leurs sirènes tonitruantes à vous en faire perdre la raisons. Tu frappa du poings sur ton volant en lâchant un
MERDE ! qui venait manifestement du plus profond de ton cœur. Toi qui voulait être discrète, c'était foutu !
Là, à toute vitesse sur l'asphalte, tu t'accorda une minute de réflexions... Et puis... Tu te lanças... Tu sortis de sous ton siège un fusil à pompe à canon scié, ainsi qu'un petit chapelets de trois/quatre grenades. Tu baissa ta vitre et tu commença à lentement décélérer, arrivant ainsi à hauteur de l'une des voiture noires qui te poursuivait. Tu visa la vitre du coté passager et BLAM ! BLAM ! BLAM ! Tu envoya trois belles rasades de plombs dans la tronche du passager et du conducteur, ce sur quoi tu te mis à ré-accélérer, appréciant le spectacle d'une voiture s'écrasant dans une autres, qui s'écrasa dans une autre et ainsi de suite.
" à toutes les unités, une course poursuite à lieux au niveau du quartier de sokenku... à usage d'armes à feu... Je répète, usage d'armes à feu..." avait alors dit la radios.
tendis que dehors, la police était entrain de grandement venir vous faire chier... Autant toi, que les yakuza. Cet alors que tu vis une entrez de tunnel, que tu t'empressa de prendre... à contresens, histoire de creuser l’écart entre toi, la police et les yakuzas. Une fois encore tu t'étais retrouvée dans une situation pas possible, un truc totalement barré qui allait te coûter cher... si ce n'est pas la vie.
Tu slalomait parmi les voitures et les bruits de klaxons qui ce mélangeait au bruit des balles venant sporadiquement s'éclater contre ta carrosserie et l'assourdissant hurlement des sirènes de police, et alors que tu était deux doit de sortir du tunnel, ton regard se posa sur un énorme camions citerne remplie d'essences... Tu t'accorda deux putains de seconde de réflexions... Puis tu vint à donner un violent coup de volant sur la droite, défonçant alors des espèces de plots qui séparait les deux voies et qui ce trouvait être le seul espace entre les deux barrières de séparation de voies. Une fois remise dans le bon sens, tu ré-appuya sur le champignons afin de te mettre à hauteur du camion, tu tira sur l'un des pneu, faisant déraper ledit camions en travers de la route... Puis tu dégoupilla un grenade que tu balaça par la fenêtre en direction du camions.
Et boom...Ouaip ! Un gros boom même ! Tu t'était alors mis à rouler comme une dérater vers la sortie, car l'explosion, tu en était convaincue, avait fait et continuer de faire de gros dégâts, à la manière d'une ligne de domino.
Tu fini par ressortir du tunnel, ta bagnole était pleine d'impact de balles et de rayures et tu était en sueur, mais au moins, t'avait plus ou moins réussie à semer tes assaillants.
Tu alla par la suite sur un grand parking désert qui ce trouvait derrière un vaste building. Tu sortie de ta caisse en t'allumant une clope, puis tu te posa contre ta portière... Tu regarda le ciel deux minutes, avant d'être interrompue par un appel téléphonique. Tu pris alors ton téléphone et tu répondie à cet appel en provenance d'un numéros inconnue.
Allo...Allo, Dobermann ? C'est Akihiro Guramu à l'appareil...Mon blé vieux connard, sinon je fait à votre putain de repère, la même chose que je viens de faire à vos boys, ok !?Calmez vous je vous prit, je crains qu'il y ais eu un mal entendus et...TA GUEULE ! M'EN BRANLE DE TON MAL ENTENDUE, SALE BÂTARD ! JE VEUX MON PUTAINS D'FRIC ! ET PAS LA PEINE DE ME SORTIR TES RONDE JAMBES ET TES " nous allons vous donner la somme escomptée" PARCE QUE SALLE PORC, JE NE VEUX PLUS CETTE SOMME, MAIS LE TRIPLE ! OK ! TU MA ENTENDUS ENCULER DE NIAKOUE BOUFFEUR DE CHIEN !? HEIN, ?! tu passa ta main dans tes cheveux en faisant un tour sur toi même, visiblement très agacée.
Je te donne 24 heures... 24 heures pour me filer la somme ou sinon je viendrais dans ton bordel et je me ferai une bon dieu d'priorité de te cramer ta gueule de bouffeur de chiens, ok !? Sale chintok ! ça, tu l'avais fait exprès, tu savais pertinemment que les japonais et les chinois se haïssait.
Vous ignorez à qui vous parlez, Mme Dobermann...NAN ! Nan, gros porc, c'est toi qui ignore tout de qui tu as à faire ! KGB, FBI, Flics, Officiers militaires, Juges, Procureurs, Chefs de gangs et de mafias, voilà en quelques mots mon palmarès, sale fils de pute ! Alors maintenant, tu me remballe ta fierté d'enfoiré d'jaune mangeur de foetus et tu commence à rassembler mon fric !Sur ces paroles, tu raccrocha en balançant ton portable en travers ta bagnole, tu mis tes mains sur ton visage en refaisant lentement un tour sur toi même... Puis tu soupira longuement.
Bordel... Dans quelle merde je viens encore de me foutre...Tous ça.... tu pensait l'avoir laissée en Amérique... Mais visiblement, au japons, c'est l'même bordel qu'au USA.
« Je suis le fils de pute le plus froid que vous ayez jamais rencontré, J’aimais tout simplement tuer, je voulais tuer ». (Ted Bundy).
Flashback de Lucrezia
Après avoir pansée et désinfectée tes plaies, tu t'étais lentement allongée sur le lit qui trônait dans un coins de cet abris de chantier... Tu avait revue dans ton sommeil, les images de ta précédente nuit, celle où cette chienne de cuir t'avais fait morfler le poussière, avant que tu ne prenne l'avantage sur elle et que tu lui face, à ton tour, subir bien des supplices... Puis il y avait eu les flics et... Les coups de feu... Puis plus rien, sauf l'image attendrissante de ta mère te tenant dans ses bras, avec tout cette amour que seul les mères peuvent avoir... Elle te manquait... Cela allait bientôt faire 15 ans qu'elle t'avait quittée... Et encore aujourd'hui tu en souffrait... T'était tellement chétive et fragile à l'intérieur... T'était toute seule face à ce monde... Personne ne pouvait plus te venir en aide, t'était seule... Seule et vide, tellement vide... Un vide monstrueux, que seul le sexe et le meurtre peuvent combler... C'est triste, mais c'est ainsi.