Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le coin du chalant / Re : Une démone à votre service.
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 20:15:16 »
Màj.

- Comme c'est précisé, je ne prends plus de RPs avec Sareeth.
- Je m'autorise cependant à prendre encore 1 ou 2 OS supplémentaires pour lesquels j'ai ajouté une section appropriée.
- C'est des images qui sont proposés. Cette option me paraît préférable pour définir ensemble d'une histoire !
2
Les contrées du Chaos / Re : Fille de la Terre et Fils des Astres [Olympe]
« Dernier message par Olympe Polyxena le Aujourd'hui à 18:22:15 »
Le contact des mains de Serenos la firent frémir. Et elle ne pouvait pas mettre ça sur l’eau fraîche dans laquelle ses jambes continuaient leurs rondes délicates. Sa paume chaude mais abîmée par la vie, contrastait avec la douceur de son derme délicat. Olympe le laissa inspecter et serra doucement de ses doigts fins et bagués, les siens, plus épais.

«Vous êtes doués...»

Ce fut dit dans un souffle, ses yeux bleus restant ancrés sur leurs mains jointes. Elle joua de ses doigts avec les siens, se retirant pour lui caresser la paume tout en l’écoutant se raconter. Les mots étaient enregistrés, tout comme chaque détail de sa peau, les petites cicatrices qui parcheminaient celle-ci. Des doigts épais, des mains qui étaient douces dans la gestuelle, mais qu’elle avait vu capable de gestes durs et violents plus tôt dans la soirée. Henry en garderait souvenir également. A la mention de Mère, Olympe failli retirer sa main comme si on la lui avait brûlée, mais se retint au dernier moment. Elle avait eu l’impression que par cet aveux  «Je la connais», il pénétrait violemment dans ce qu’elle tentait de cacher. Heureusement, la force de l’habitude, Olympe ne laissa rien transparaître et plongea le regard vers ses jambes qui bougeaient encore dans l’eau, machinalement.

«Mère ? Bien sûr...tout le monde la connaît ici.»

Son ton était presque un murmure, comme si elle réfléchissait à autre chose. La putain fini par rompre le contact pour placer ses doigts sur le bord de la fontaine et changer de position. L’air frais fit frissonner la jeune femme qui sortit ses jambes de l’eau, posant ses pieds sur le rebord, près des cuisses de Serenos. Elle utilisa le tissu de sa robe pour se sécher avec une grâce non feinte et loin d’être exagérée.

«C’est pour cela...que votre apparence est si...intrigante. Les gens qui ont un vécus riches, en déception autant qu’en joie, dégagent quelque chose de différents des autres...»

Olympe leva à nouveau son visage, tout en continuant de passer le tissu sur ses chevilles et ses mollets, tendant finalement une de ses jambe pour la déposer délicatement sur celles de Serenos. L’autre restait repliée et elle vint poser son menton sur son genou, pour continuer de regarder son interlocuteur.

« Je ne saurais pas dire quoi exactement...»

Les joues de Olympe s’étaient légèrement teintées à la mention des «belles rencontres». Elle se mordit la lèvre inférieure, détourna un instant ses prunelles du visage de Serenos, puis le releva en une simple caresse des cils sur l’anatomie «rugueuse» de l’homme. Sa respiration était légèrement plus rapide, mais elle gardait contenance en jouant avec le tissu de sa robe. Elle avait envie de lui demander comment il connaissait Mère exactement. Était-il client de sa maison de passe ? Mais si elle portait un trop grand intérêt à cet aspect de la vie du Meisaen, ne risquait il pas de se poser des questions et la pousser à avouer le métier qu’elle faisait ? Ses sourcils se froncèrent tandis qu’elle pensait à tout ça, mais la sérénité repris bien vite place sur son faciès.

« Mmm...Vous êtes un charmeur...Serenos.» Le prénom était comme savourer en sortant de ses lèvres pulpeuses et du même roses que certaines fleurs. «C’est un compliment...»

Et c’était vrai. Olympe n’avait pas dit cela comme on peut parfois le reprocher aux hommes à la langue bien pendue, au sexe bien tendu. En parlant, cette fois, elle avait osé glisser sa main jusqu’à sa barbe, frôlant de la pulpe de son index la blessure faites par Henry. Le sang avait commencé à sécher et elle en sentit la croûte sous son empreinte.

«Voulez-vous que nous continuions notre promenade ? Peut-être pourrions-nous aller boire un verre...je connais un endroit calme. Car oui. Avant que vous ne disiez quoi que ce soit, il y en a ici...peu...mais ils existent.»

Et Olympe avait ses entrées un peu partout, en tant que la protégée de Mère. Elle ne prenait pas trop de risque, car les gens extérieurs au quartier de son bordel, évitaient, lorsqu’il la voyait arrivé avec quelqu’un, de mentionner son travail. En sommes, lorsque vous étiez vu en dehors, malgré le fait que La Ville soit remplie de rustre, il y avait une sorte de code de délicatesse, qui fait qu’on ne mentionnait pas la vie des autres face à des étrangers. Ce n’était pas comme ailleurs, ou lorsque vous étiez une pute, on vous fichait comme tel. C’est aussi pourquoi, lorsque Henry avait fait mention de ce détail «C’est ma pute», personne n’avait tenté d’intervenir pour lui donner raison face à Serenos.

Olympe se contentait de bouger lentement sa jambe sur celles de Serenos, comme si c’était normal qu’elle soit ainsi, comme s’ils se connaissaient depuis plus que les quelques heures qu’ils venaient de partager. C’était le geste intime d’une épouse pour son époux et non pas d’une prostituée pour son client ou d’une amante pour son amant.
3
Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Vanéalidé !]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le Aujourd'hui à 18:00:48 »
Sommairement;

Quoi que vous faites, ne le laissez pas monter au pouvoir, sinon, ca va très, très mal se passer.

Bien reçu.

ALLEZ, ON ÉCRASE CETTE NATION ET ON MASSACRE LEURS SORCIERS!

AHOU! AHOU! AHOU!
4
Le coin du chalant / Re : Les olympiades
« Dernier message par Olympe Polyxena le Aujourd'hui à 17:24:09 »
MAJ'
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Le coin du chalant / Re : La petite Molly.
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 16:39:48 »
Bonjour !

Oui, complètement. Ça me dérange pas !

Bien sûr, celles-ci sont juste là pour donner des idées. Si tu veux, on peut en parler par MP !
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Le coin du chalant / Re : La petite Molly.
« Dernier message par Leon Redgrave le Aujourd'hui à 16:26:57 »
Hello Molly !

J'aime bien ton personnage (surtout ton avatar, il est sublime ^^).

Ton personnage m'intéresse mais j'ai deux questions : es-tu ouverte aux One-Shot ? N'ayant aucun personnage compatible avec le tiens, je ne vois que cette possibilité...

Deuxiément, est tu ouverte à d'autres trames ?
7
Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Vanéalidé !]
« Dernier message par Molly Murphy le Aujourd'hui à 16:04:26 »
Rebienvenue !
8
Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Vanéalidé !]
« Dernier message par Hadrian Lumis le Aujourd'hui à 16:02:11 »
Merci beaucoup pour votre accueil !
9
One Shot / L'entretien d'embauche [PV]
« Dernier message par Ekko le Aujourd'hui à 15:52:19 »
Darius ôte son casque, avant de le ranger dans le top-case de son antique scooter avant de lever les lieux vers le bâtiment devant lequel il vient de se garer. Un de ces nombreux immeubles sans âme construit dans les années 2000. Il renfile, consulte sa montre à son poignet. 15h20. Il a un peu d’avance, comme d’habitude. Il dézippe la fermeture éclair de son blouson de cuir pour offrir son torse à la caresse du soleil printanier en se demandant, sourire aux lèvres, à quoi peut bien ressembler son éventuel futur employeur. Il s’est imaginé un quadra blanc, bien propre sur lui, avec une petite paire de lunettes carrées immaculées et une paire de richelieus cirées, mais ça colle pas complètement. Un mec qui écrit des saloperies pareilles doit porter le vice sur lui, quelque part. Une paire de pompes en croco ? Une calvitie précoce ? Hmm…

Il consulte rapidement ses mails, pour constater que son directeur de thèse a encore une fois reporté leur RDV du lendemain et soupire de dépit. Cinq putain d’années qu’il bosse dessus et il n’en voit décidément pas le bout. Contre toute attente et contrairement aux apparences, Darius avec ses cheveux crépus, ses sneakers et son blouson n’est pas un influenceur branché ou un producteur de rap, mais un étudiant en droit parmi les plus brillant, qui ambitionne de devenir professeur des universités. En attendant… Il vit de petits jobs alimentaires des plus ordinaires aux plus pittoresques, puisqu’il apparaît depuis peu dans de petites productions pornographiques, ou encore dans une pub pour des croquettes pour chien.

“Bonjour heu… j’viens pour le rendez-vous avec Charlie...”

La jolie standardiste l’observe avec un mélange d’amusement et de curiosité, mais sans hostilité. Elle est mignonne, avec une grosse paire de lunettes qui bouffe la moitié de son visage et de longs doigts manucurés. Il lui sourit. Il en ferait bien son quatre heures. Fais pas l'innocente princesse, je parie que t'as un exemplaire du dernier bouquin planqué à côté de ton womanizer dans ta table de chevet...

“Oui bien sûr… Vous êtes Darius Williams ? L’auteur va vous reçevoir dans une dizaine de minutes…”

La brunette se retourne, désigne les ascenseurs chromés derrière elle.

“Ce sera au cinquième étage, rentrez directement dans le petit salon en face de vous lorsque vous sortez de l'ascenseur. “

L'intéressé hoche la tête, trop préoccupé pour lui compter fleurette. L’entretien d’aujourd’hui est d’importance. A la clé, un contrat à durée indéterminé et un salaire stable et plus que satisfaisant. Il se dirige vers les portes chromées en révisant mentalement ce qu’il a prévu de dire à Charlie. Votre style, très vivant, presque charnel a stimulé mon imagination. Un peu chelou de balancer à un mec non ? Même si ce n'est pas complètement faux… Ding. Les portes se referment sur lui. Il s’observe dans le miroir qui lui fait face, s’efforce d’ajuster les épis de ses cheveux noirs. Peut-être qu’il aurait dû se raser le crâne avant de venir. C’est une de mes aman…Amies, qui m’a parlé de vos bouquins. Ça lui a donné envie d’expérimenter quelques-uns de ses fantasmes les plus indicibles. Dans le dos de son mec et avec lui, mais il fallait peut-être éviter de le préciser.

Ding ding.

Avec un sourire Darius sort de l’ascenseur pour se diriger vers la pièce octogonale et impersonnelle qu’on lui a indiqué. Il se demande ce que l’auteur aura pensé du test littéraire qu’il lui a envoyé. Il s’agissait de produire cinq pages de littérature érotique impliquant plus de deux personnages. A vrai dire, si le style concis, explicite et incisif du texte est indéniable, Darius n’a pas vraiment cherché à faire fonctionner son imagination. Il s’est contenté de décrire sa rencontre avec un couple d’âge mur, dont le mari, partageur, souhaitait faire un cadeau d’anniversaire à sa femme en lui offrant deux jeunes mâles athlétiques. Plutôt habile de sa plume, Darius a pris le soin d’adopter le point de vue de l’épouse - renommée caroline, dans le texte - pour davantage d’immersion, même s’il avait eu un peu de mal à décrire son propre personnage, qu’il s’est contenté de brosser à gros traits.

Il s’approche de la table pour s’emparer d’une bouteille d’eau, laissée à l’intention des visiteurs et retire sa veste, qu’il pose sur le dossier d’une chaise avant de s’approcher de la baie vitrée pour observer l'effervescence de la ville. Si la perspective de l'entretien l'angoisse un peu, sa thématique ne le dérange pas vraiment; Darius est à l'aise avec sa sexualité et la place prépondérante qu'elle occupe dans sa vie, y compris avec les échanges épistolaires licencieux qu'il entretien sur internet avec plusieurs jeunes femmes, pour se changer les idées les jours où passe la plupart de son temps à la bibliothèque universitaire.
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Évidemment, le petit commentaire n'échappa pas au garçon qui le prit plus pour une blague que pour une insinuation ou pire, une invitation. A leurs âges ils pouvaient bien se permettre d'éviter d'être trop sérieux et coincés, et bien que lui n'aurait jamais osé sortir quelque chose de semblable, il y répondit par un nouveau sourire discret presqu'encourageant. Et oui, il n'allait pas s'aliéner le premier jour une personne qui semblait jouir d'un certain prestige dans l'établissement. Et en plus, s'il pouvait se lier (façon de parler) avec quelqu'un d'ici, ça pouvait toujours être utile!

L'heure suivante passa entre coup de balais et produit à vitres. Brittany était charmante en vérité, contrairement à ce qu'il s'était imaginé. Bien sûr, Shun savait aussi qu'elle assouvissait un certain besoin de curiosité, c'était normal, la nouveauté attirait toujours. Mais elle ne commit aucun faux-pas ni ne le mit mal à l'aise à aucun moment. Forcément, ils se regardaient et Shun convint que la jolie rouquine avait vraiment été gâtée par la nature. Deux fois, alors qu'elle se penchait, il vit le haut de ses cuisses et il eut toutes les peines du monde à ne pas entrer en ébullition. Brittany était très expressive et son visage était un livre ouvert sur sa personnalité. Donc encore une fois charmante mais aussi, vive, loquace, pétillante et rayonnante. Il y avait aussi quelque chose de plus profond, de plus indéfinissable mais Shun ne parvint pas à mettre un adjectif dessus. Elle parlait beaucoup et lui peu. Elle posait des questions mais lui, surfait sur les réponses dès que l'on s'approchait trop du domaine privé. Il savait y faire depuis le temps qu'il évitait de parler de lui. Seulement, il ne pouvait pas non plus ne pas trop répondre, Brittany méritait du respect, elle l'avait gentiment accueilli.

"Oui j'en suis sûr. Encore une fois merci pour ton accueil."

S'ils avaient commencé à nettoyer chacun dans leur coin, le hasard les avait rapproché pour qu'ils finissent quasiment épaule contre épaule les dernières minutes. Brittany avait une mèche rebelle qui balayait son visage et très innocemment, bien qu'encore une fois il n'aurait jamais fait ça en temps normal, il la remit en place du bout du doigt. Il s'empourpra aussitôt, cela ne lui ressemblait pas, et en plus, elle venait de lui poser une question.

"Pardon?"

Oh oui, l'échappatoire parfait! Aborder un sujet qu'il maitrisait!

"J'adore l'électro-funk! Ça me fait plaisir que tu le dises comme ça. Les gens mélangent un peu tout dans l'électro justement, alors que c'est quelque chose de précis. J'en écoute quasiment toujours quand je file en ride de nuit avec ma planche. J'oublie tout ce qui m'entoure dans ces moments là c'est génial."

Peut être la phrase la plus longue qu'il ai dite en une semaine ... et il ne s'arrêta pas qu'à ça.

"Tiens écoute!"

Il se hissa sur une table double et s'y assit en tailleur en retirant son casque de son cou. Il le tendit à Brittany et sélectionna un morceau d'une playlist sur son smartphone. En effet, le rythme était enivrant et permettait de s'échapper ... presque spirituellement.

"Si tu veux ..."

Il la regarda. Elle n'avait pas le profil pour se qu'il s'apprêtait à dire et puis d'ailleurs, il ne se connaissait pas en fait.

"Non rien."

Il ne la voyait pas en baggy et mini top, ni sur des rollers ou une planche à rider après minuit dans les spots sympas de la ville. A cette heure là elle devait dormir en enlaçant des nounours hors de prix dans un lit grand comme une pièce ...
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