Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - William Stark

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Prélude / Re : Don't be a bitch, be a russian ! ♡ [Law]
« le: mardi 19 mars 2013, 08:10:05 »
Bon, j'ai lu de travers, mais quelqu'un qui écrit " Mouhahahaha " entre parenthèses ne peut pas être mauvais. Bienvenue.

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J’enfile mon maillot. Je sais pas pourquoi ni comment je me suis retrouvé avec ce truc dans mes bagages, mais bon, au moins je viens de lui trouver une utilité. Un truc bien pétant en plus, orange vif. Ca doit être un machin que j’ai chourré quelque part, parce que j’aurai jamais acheté ça. Toujours est-il que là, je suis à la piscine, du coup, hop, maillot de bain. Enfin, short de bain, plutôt. Je sors sous le soleil, mettant une main sur mon front pour me protéger les yeux. Oui,  j’ai viré mes lunettes. Grande première. Mais j’ai pas envie de les abîmer. Maintenant, quelques petites explications : oui, la piscine, ça coûte un bras et ça m’apporte rien. Mais je viens de terminer un job... assez dangereux, j’ai été bien payé, et comme j’ai pas encore pu m’accorder un moment de répit depuis que je suis au Japon, bah j’ai décidé de claquer une partie de la tune dans une petite journée de farniente. Il faut que je bronze un peu, aussi. Je suis aussi blanc que le chibre d’un asiatique qui s’astique devant des pornos sans jamais sortir de chez lui. Sauf que je suis bien évidemment bien plus imposant qu’un chibre asiatique.

Je marche sur le bord de la piscine, en attendant. Il n’y a pas beaucoup de monde, d’ailleurs. Pourtant, le soleil est haut, il fait chaud. C’est la crise, ou quoi ? M’enfin. Si une ou deux jolies poulettes pouvaient se pointer, ça m’aiderait encore plus à me détendre, je crois. Je grimpe au plongeoir, histoire de me la péter un peu pour commencer. Dix mètres de haut. Dix putains de mètres. Ca va être monstrueux. Arrivé en haut, je m’approche du bord, je baisse les yeux, et un sourire éclaire mon visage. Ca va être bon. Je m’étire, laissant mes tatouages luirent au soleil, avant de réfléchir une seconde. Déjà, un mec qui plonge du dix mètres, ça attire les regards. Je vois deux ou trois personnes qui lèvent la tête. Et pour le spectacle, je me penche de côté, je lève mon bras vers le ciel, doigts tendus, et mon autre bras se plie au niveau de mon visage dans la même direction. Et je reste comme ça quelques secondes.

Et en me redressant, je remarque un grand black, super fin, les yeux écarquillés. Il refait  le mouvement, le découvrant - bah ouai, je viens de l’inventer -, et d’un seul coup, il tourne les talons, et se barre en sprintant comme un dératé. Jamais vu un mec courir aussi vite. Il m’a pique mon mouvement, le salopard, ou j’ai rêvé ? J’entends à peine son pote qui lui lance :

« Hey, Bolt, tu vas où comme ça ?! »

Bolt. Un mec qui court super vite et qui s’appelle Bolt. Si c’est pas du cliché, ça ? J’éclate de rire, avant de me remettre sur le bord du plongeoir, prêt à prendre mon envol. Et mon regard est aussitôt attiré par quelque chose, dans l’eau. Est-ce un poisson ? Est-ce une torpille ? Est-ce un sous-marin ? Est-ce Superman ?? Et non, c’est une jeune femme ! Et quelle jeune femme. Je la vois à peine d’aussi haut, mais elle a l’air d’avoir une poitrine aquadynamique. Tellement, d’ailleurs, que je me prends les pieds dans le tapis - au sens figuré hein, un tapis a rien à foutre au bout d’un plongeoir -, et que je me sens tomber. Adieu, veaux, vaches, élégance. Je chute dans le vide, et je me sens soudainement comme une merde qui tombe doucement d’entre une paire de fesses blanches pour aller éclabousser l’intérieur de la cuvette. Et des éclaboussures, j’en fais un paquet en m’écrasant d’un plat du dos magistralement exécuté. Dix sur dix des juges. Je bois la tasse en même temps, évidemment, étant donné que le choc a fait mal et que j’ai ouvert la bouche pour hurler.

J’émerge rapidement en toussant, sans aucune honte, malgré tout, et je nage difficilement jusqu’à la rive. Où elle est, la donzelle ?

Je me hisse sur le bord du bassin, et sort de l’eau pour la chercher des yeux. Et quand je la vois, ils n’en reviennent pas. Je ne sais pas quel âge elle a, mais bon dieu... J’ai gagné ma journée, rien à poser mon regard sur cette délicate beauté qui la caractérise. Et comme j’ai jamais été timide, me voilà en train de m’en approcher, les mains sur les hanches, alors qu’elle s’extrait à son tour de l’élément liquide. Elle lève la tête vers moi, je croise son regard magnifique, et je manque de trébucher encore. Bon dieu, j’ai failli me noyer en tombant, et maintenant, je manque de me noyer dans ses prunelles azurées. Pfiou, je suis pas timide, mais je pourrais le devenir, pour le coup.

Mais non. Je me contente de m’asseoir sur le bord, les pieds dans l’eau, avant de tourner la tête vers elle avec un sourire.


« Je vous ai vu de là-haut. »


Je désigne le plongeoir d’un signe de tête.

« Et je dois dire que vous m’avez impressionné. William. Enchanté. »

Je lui tends la main, la tête légèrement inclinée de côté. Cette gonzesse, elle est incroyable. Et moi, très très con de l’aborder comme ça. Mais bon, ma vie est une connerie, alors pourquoi changer la donne ?

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Et le serveur dépose les plats. Bon dieu, rien que l’odeur, ça me file envie de gerber. Et pourtant, je crève la dalle, hein ! Rien manger depuis ce matin. Et c’est pas avec ça que je vais me nourrir. Du saumon. Donnez-moi un steak, bon dieu ! Bon, je passe outre cette merde, parce que j’ai autre chose à faire. J’écoute attentivement la demoiselle m’expliquer l’origine de son tatouage. Amusant. Juste pour le fun. J’imagine que c’est pour la plupart des gens comme ça. Si j’avais eu une autre vie, peut-être que j’aurais moi aussi fait faire un tatouage juste pour déconner. Là, en l’occurrence, c’était pas vraiment ça. Le code-barre, en tout cas, non. À la fois, je l’ai trouvé intéressant dans le sens où il symbolise le bien de consommation, et en ce qui me concerne, c’est ce que j’avais l’impression d’être à l’époque. Ils nous le faisaient faire à l’entrée en taule. Un tatouage pour tous nous reconnaître, ou je ne sais quoi. Avec un numéro qui nous caractérisait. Pas de noms, évidemment. Et après, en réfléchissant, je me suis dis que le symbole était intéressant. Chaque être humain est un bien de consommation pour les hautes sphères des états. Et quand on a plus besoin de nous, quand on pourrit ou quand on se met nous-même dans une situation délicate - rendus inutiles par nos actes, en quelques sortes - ils nous jettent dans des geôles dégueulasses pour nous oublier là. Je sais, que j’ai pas été un enfant de coeur, et que j’ai tué. Mais ils n’ont pas posé de questions. Ils m’ont juste condamné parce que c’était plus commun, et ça leur évitait de réfléchir. Allez tous vous faire enculer par le système.

Je soupire, et rehausse mes lunettes, avant de picorer le petit morceau de saumon au bout de mes baguettes. J’avoue que j’ai galéré à maîtriser le truc, au départ. Cette histoire de baguettes. Mais finalement, on s’y fait, vite. Je redresse la tête en grimaçant. J’ai avalé et effectivement, je déteste ça. Mais je fixe la donzelle, et me relève un peu sur ma chaise.

«- Triple meurtre. »

Ouai. Comme un cheveu sur la soupe. Sans fioritures. Faut pas croire, ça impressionne, quand c’est dit comme ça, mais c’est juste le motif de ma condamnation, et loin d’être la réalité. J’ai baissé un peu la voix, tout de même. Après tout, je suis en cavale, et même si j’ai changé de pays, je vois pas vraiment en quoi il serait bien fondé pour moi de balancer que je suis un meurtrier évadé au milieu d’un bar à sushis en plein coeur d’une ville qui m’héberge par la force des choses. Manquerait plus que quelqu’un m’entende, hurle, et aille crier aux flics qu’un bâtard est dans la nature, et hop, je retourne dans les égouts de l’état. Je me penche un peu vers la gonzesse. Je vais pas la laisser avec cette simple affirmation.

«- Mais en fait, j’en ai buté qu’un. Je me suis fais niqué pour plus que je n’aurais dû, et c’était en légitime défense. Mais bon. Personne a posé de questions, j’étais un bon coupable, tout me désignait, alors ils allaient pas s’emmerder, hein... »

Je hausse les épaules. C’est du passé, après tout. Maintenant, je suis là, et je compte y rester.

«- J’ai tiré neuf ans. Et je me suis barré, grâce à un trio d’enfoirés qu’ont tellement foutu le bordel à cause de moi que j’ai plus eu qu’à sortir en marchant. En sautillant, même. J’ai jamais appris à fermer ma gueule, et grâce à ça, j’ai déclenché la pire baston qui ait jamais existé dans une taule. C’était l’éclate. Et j’me suis barré. »

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Putain, mais elle va arrêter de me hurler dessus, la gonzesse ? Bon dieu, mais je lui ai rien demandé ! Je suis heureux qu’elle se soit arrêtée pour m’aider, c’est évident, mais c’est pas une raison pour qu’elle s’en prenne à moi. D’autant plus que tout ce que je veux, c’est la sortir de ce merdier plus que moi. Moi, je m’en fiche, limite. Les emmerdes, j’en ai rien à branler, surtout que je commence à avoir l’habitude étant donné que ma vie est une emmerde générale. Bon, je la suis, mais c’est bien parce qu’elle a l’air de savoir ce qu’elle fait, et surtout que j’ai pas de flingue. Du coup, je peux pas répondre aux balles qui fusent de part et d’autres de nos têtes. Non, mais c’est pas possible, franchement. On peut plus se battre tranquille sans que le perdant se ramène avec toute sa famille pour laver l’affront. C’était une baston décontractée, et c’est devenu un règlement de comptes. Les japonais, c’est vraiment tous des tarés. Qu’est-ce que je suis venu foutre dans ce coin paumé du monde, moi ?...

Je cours toujours, et quand la donzelle ouvre la grande porte de l’immeuble, je m’empresse de la suivre à l’intérieur. Au moins, on sera au sec un moment. Elle referme, et on va se planquer, je vous le donne en milles ?... Dans le local poubelle. Evidemment. Ca devrait même pas m’étonner. De toute façon, vu ma dégaine, je dénote pas spécialement avec l’environnement, pour le coup. Je me redresse, ahanant de fatigue, le coeur battant à tout rompre, l’adrénaline dans mon corps le faisant légèrement tremblé. Mes mains sur les cuisses, je suis penché en avant, je reprends mon souffle, avant de me redresser pour observer ma libératrice. Elle me fixe, les bras croisés sur sa poitrine - qu’elle a jolie, d’ailleurs. -. Je sens que je vais me manger un sermon, mais comme je suis pas vraiment d’humeur, je prends les devants.

« Bon, alors déjà, j’ai rien fait de mal. »

La même chose que j’ai dite aux flics avant qu’ils ne m’embarquent pour me condamner à vingt ans de taule. Ca a jamais fait ses preuves, ce truc, mais bon, les automatismes...

« Ils sont venus m’emmerder pour me piquer le peu de pognon que j’ai, donc je me suis défendu, j’en ai étalé deux, le troisième s’est enfui, et il s’est ramené avec ses types. Je veux dire, j’aurai pu me laisser tabasser et voler au départ, mais j’ai déjà tellement peu de choses que ça me paraissait pas une excellente idée ! »

Je remonte mes lunettes sur mon nez, avant de les retirer, dévoilant mes yeux vairons. Je les secoue pour virer le surplus d’eau qui les couvre, avant de les rehausser.

« Quant au reste, hein... Merci, cela dit. Si t’avais pas été là... Et désolé de t’avoir entraîner dans cette merde. Je te revaudrai ça. »

Je soupire longuement, avant d’observer les lieux, autour de moi.

« Comment ça se fait, que tu connaissais le code ? C’est ta piaule, ici ? »

J’entends des coups frappés contre la vitre de la porte où nous sommes entrés, et j’ose jeter un oeil dans le couloir. Ils sont tous là, devant, et n’arrivent pas à ouvrir. Et je doute qu’ils soient aussi cons que ça, donc ils vont sûrement pas flinguer le verre pour entrer, quitte à attirer les flics et d’autres oiseaux mal-famés. Je pense qu’on est relativement tranquille pour le moment, mais faudra faire gaffe la prochaine fois qu’on quittera le building.

« Je pense qu’ils vont finir par se barrer. J’espère, en tout cas. De toute façon, ça me paraît pas être une bonne idée de sortir avant un petit moment. »

En attendant, je suis en train de trembler comme un péquenaud. J'ai tellement froid que j'imagine que si je reste dans cette état mouillé encore une heure ou deux, je suis bon pour la pneumonie. Et ça doit se lire sur ma gueule. Je dois avoir vraiment l'air misérable, mais bon.
On peut pas lutter contre ce qu'on est.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: dimanche 17 mars 2013, 14:17:35 »
Bon, bah moi aussi.


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Vous nous quittez déjà ? / Tadidadidoum
« le: mardi 12 mars 2013, 23:39:11 »
Comme certains l'ont remarqué, je suis un peu absent depuis deux semaines.

Du coup, je poste ici. Depuis que j'ai trouvé un job, j'ai beaucoup moins de temps, et je risque de continuer à venir peu pendant encore une semaine ou deux, le temps de m'habituer au faux rythme dans lequel je suis. Parce que mon emploi du temps change tous les jours, du coup, je n'ai jamais les mêmes horaires et j'ai encore du mal à m'y faire ! Ce qui me cause une grosse fatigue, et une impossibilité de pouvoir me connecter et RP de manière ponctuelle !

Je m'excuse auprès de Neena et Frig. Je vais vous répondre, vos deux textes sont d'ailleurs déjà commencés, mais ça risque de mettre encore un peu de temps à venir ! Mais je ne vous oublie pas.

Pareil pour la CB, une mise à jour manquante m'empêche d'y accéder depuis le temps, et je n'ai pas encore trouvé le moment d'y remédier, donc j'y repasserai également quand les choses se seront tassées. :)

Mais rien de grave dans tout ça, hein. :P

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 10 mars 2013, 20:41:07 »
20h41

Le silence. C'est mauvais signe. Je connais bien ça. Courage, Noh.

38
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 mars 2013, 19:14:49 »
19h15

MOI AUSSI JE VEUX ÊTRE TRIPOTER !!!!

Oups. Désolé, mon inconscient qui s'exprime à travers moi.

39
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 04 mars 2013, 16:54:34 »
Non, j'ai juste deux mains droites. ( Oui, je suis gaucher. )

16h55

40
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 03 mars 2013, 23:18:17 »
23h18

* S'est planté 5 centimètres de couteau dans la main. * Je peux à peine bouger. Ca va être drôle le taff demain.

41
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 02 mars 2013, 19:15:31 »
19h16

Moi j'ai appris à parler anglais grâce à FFX. XD
Et je m'entraîne tous les jours en discutant avec des anglais, paraît que je m'en tire pas trop mal.

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 02 mars 2013, 18:16:14 »
19h16

Really bad, really bad, tu t'en es bien tirée, pourtant.

43
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 02 mars 2013, 17:45:58 »
17h45

Je m'aperçois que le boulot me crève réellement quand je décide d'aller me poser deux minutes dans mon lit vers 11h30 pour mater une vidéo pendant que ma mère se douche, pour y aller après elle... Pour finalement ouvrir les yeux, regarder mon portable, et m'apercevoir qu'il est 17h30.

44
L'Art / Re : Mes photo's
« le: samedi 02 mars 2013, 17:40:31 »
Bien joué, Asami !

C'est étrange, finalement, en voyant ton côté agressif, pervers et mesquin, on ne se dit pas que tu es capable de capturer la beauté de la nature de manière si belle. :P

( PLAISANTERIE ! )
J'adore tes photos. :)

45
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 01 mars 2013, 22:56:57 »
22h57

Ca va plaire. Tu es une rôliste trop douée pour que ça ait un autre effet que l'admiration xD
D'ailleurs, je te répondrai sûrement demain soir.

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