Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hana Ueno

Pages: [1]
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Base Spatiale / L'abordage est abordable [Jason]
« le: samedi 23 octobre 2021, 19:34:47 »
C'est dans le silence du vide spatial, quelque part entre des dizaines d'unités astronomique de rien, que notre histoire débute. Dans toutes les directions, des étoiles hors d'atteinte forment un décors fixe. Seule l'une d'entre elle est suffisamment proche pour que sa lumière fasse apparaitre le colosse qui s'avance. Le Sauhyo-sen fait son entrée. D'abord silhouette noire masquant la voie lactée derrière sa forme oblongue, il dévoile peu à peu sa face tribord couleur acier, tandis que sa distance avec l'étoile se réduit. Cette étoile est celle-là même qui éclaire avec constance une moitié de la planète bleue, berceau de l'humanité. A Tokyo, il est 15h37, et les employés du tertiaires répriment leurs soupirs de lassitude.

Dans sa petite cellule de repos capitonnée, Hana lit ; on pourrait considérer qu'elle est allongée au plafond, si les notion de haut et de bas avaient encore du sens. De sa jambe gauche tendue, elle presse le pied contre la paroie opposée et se maintient ainsi stable. Son apparence n'est pas glorieuse : après des semaines d'isolement, elle ne se soucie plus vraiment de son apparence et à peine de son hygiène. Elle est, comme à son habitude depuis plusieurs jours, en slip et en t-shirt. Un bandeau maintient ses cheveux gras en arrière. Mais malgré son apparence négligée, Hana ne se laisse pas aller : elle est bien décidée à faire de ce voyage une opportunité de développement personnel, et la petite pile de livre lus, maintenus au mur par deux bandes de velcro, le prouvent.

Le vaisseau ne passera que quelques heures dans le voisinage du Soleil, et ne s'en approchera pas plus qu'une 40aine d'unités astronomique --approximativement la distance à laquelle se trouve Pluton à son apside. Il arrivera ensuite à la singularité spacio-temporelle qui doit l'emmener à sa véritable destination. Nul ne l'aura remarqué, à moins de réceptionner ses signaux d'identification envoyés dans toutes les directions sur différentes fréquences d'ondes radio.

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One Shot / Re : Journée bien méritée, serum de vérité
« le: jeudi 10 décembre 2020, 23:33:37 »
Au sud de la capitale de la Colonie se dresse une chaine de montagnes où pullule une sorte de zèbre de montagne un peu trapu. L'animal est connu pour l'aisance déconcertante avec laquelle il évolue sur les pentes les plus inclinées, malgré son allure massive. Une aisance qu'Hana envie un peu, tandis qu'elle descend sans assurance les premières dizaines de mètres du cratère en suant sous les bretelles de son paquetage. Elle se met a ricaner bêtement en repensant à la manière dont ces animaux sont utilisés lorsque la FaCC veut faire la publicité de l'une de ses nouvelles armes à feu. On les dispose côtes à côtes, bien en ligne, et on tire dedans. Cela donne toujours un spectacle extrêmement burlesque. Le pistolet d'Hana, par exemple, traverse 15 bêtes et sépare l'avant de l'arrière des deux premières. Autant dire qu'elle ne s'en sépare jamais, en terrain inconnu. Il bénéficie d'une poche rigide spéciale, en bas à droite de son sac à dos, de manière à pouvoir être dégainé en quelques secondes.

En progressant vers le centre du cratère, la pente se fait plus douce et la progression plus facile ; Hana arrive finalement au bord de l'eau. Se produit alors un événement surnaturel qui la laisse hébétée : un petit individu à l'allure gothique et menaçante s'approche d'elle en progressant à la surface de l'eau. Hana met quelques seconde à réaliser : la planète est habitée par une espèce technologiquement avancée. Elle prend peur et recule face à l'inconnu qui continue d'approcher, s'assurant de garder 5 bons mètres de distance avec lui. Qui sait à quelle vitesse il pourrait bondir ?

« Halte !... » commence-t-il. Les annonces qui viennent ensuite pourraient être risibles, mais elles sont à prendre aux premier degré, ça ne fait aucun doute. Une bouffée d'adrénaline fait frémir Hana ; sa glande de RESET s'active spontanément tandis que le soldat achève sa tirade. Coopérer n'est pas envisageable. Le combat ou la fuite. Mais elle ne peut déguerpir et tourner le dos à un ennemi armé. Hana répète mentalement les gestes nécessaires pour dégainer et faire feu. Elle devrait pouvoir tirer la première, mais si elle rate sa cible ? Et puis elle ne peut abattre un incconu sans somation. Proposer de se retirer et d'en rester là. Peut être s'en tirer sans danger. Elle prend la parole d'une voix monocorde et sans timbre.

« J'ignorais que cet endroit était habité. Je suis disposée à partir. »

Sa main gauche tire la fermeture éclaire de la poche de son arme et ouvre le battant de tissu. Pour l'instant, son bras droit pend immobile, mais elle ne quitte pas l'étranger des yeux : s'il fait mine de prendre son fusil, elle l'abattra. S'il est perspicace, il a déjà compris quel genre d'instrument elle vient de dévoiler. Les secondes pèsent.

« Je suis citoyenne de la Colonie Libre du Bec de l'Aigle. Je ne peux être soumise à des obligations envers un étranger que par la signature d'un contrat. Je vais quitter cette planète, et je répondrais à toute tentative de m'en empêcher, avec la force nécessaire. »

Elle se tait, en attente une réponse. Jamais de sa vie elle n'a été si immobile.

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One Shot / Journée bien méritée, serum de vérité
« le: lundi 23 novembre 2020, 22:54:17 »
Les voyages spatiaux sont des missions qui s'effectuent en groupe, c'est la base. Pour préserver l'équilibre psychologique de l'équipage, déjà. Pour des raisons de sécurité, ensuite : deux hommes ou plus peuvent dormir en décalé afin que l'un d'entre eux soit constamment éveillé ; les membres d'équipage ne sont pas livrés à eux même en cas de problème ou de blessure grave ; il est bien plus facile de surveiller le vaisseau tout en explorant des zones inconnues ; la concertation permet d'éviter pas mal d'erreurs de jugement. Bref : les voyages spatiaux s'effectuent en groupe.

Le problème, c'est que le Saihyo-sen est bêtement conçu : sa zone d'habitation et ses stocks de nourriture sont trop petits pour accueillir plus d'une personne pendant la durée typique d'une cession d'exploration, qui est de deux à trois mois. Pour cette raison, le navire est souvent resté inutilisé. La plupart des pilotes refusent tout simplement de partir en solitaire, et ce d'autant plus qu'ils sont expérimentés. Le Saihyo-sen est donc resté en état de quasi-abandon pendant deux décennies et n'a retrouvé un usage régulier que deux ans auparavant, lorsque Hana s'est portée candidate aux recrutements de la BFF. La petite n'était, de loin, pas la meilleure du classement. Mais elle était la meilleure de ceux qui s'étaient déclarés prêts à voyager à bord du Saihyo-sen.

* * *

« Qu-quel v-vais-seau de me-E-e-rde ..! . »

Hana s'est encasquée et sanglée solidement au siège du poste de pilotage. Ce dernier la secoue maintenant comme s'il voulait lui briser la nuque. Elle tente de faire abstraction et manipule tant bien que mal les boutons de son poste de commande afin d'ajuster la descente à travers l'atmosphère. Tout autour d'elle, l'immense charpente d'acier vrombit et tremble comme si elle allait se rompre.

« Jvais tni-..quer ta race...gros... ta-as dmerde .. . »

Elle plaisante bien sûr. Le navire et elle ont créé du lien, ces deux dernières années. Et la descente se passe en fait très bien. Dans une dizaine de secondes viendra la partie plus ou moins délicate, qui consiste à se poser au milieu du désert de sable. Mais Hana en a vu d'autres, et puis le sable est un terrain amical qui amortit les mauvais chocs. Enfin, probablement.

De dehors, la baleine d'acier semble descendre à une allure maitrisée en direction des dunes. Tranquillement, avec force grondements et tourbillons de sable, elle dépose entre deux dunes sa carcasse de 10^5 kilos. Elle ronronne encore un peu, puis ses moteurs s'éteignent un a un, laissant le bruit du vent reprendre le devant de la scène. Quelques minutes plus tard, à deux mètres de hauteur, une lourde porte de sas s'ouvre et laisse la pilote apparaitre sous la lumière brulante, avec un râle de bonheur.

« HAAAAN ! Enfin putain ! »

Le vent chaud et sec s'engouffre dans la tenue légère d'Hana. On se croirait devant un four ouvert.

« HAN c'est chaud ! ... il va falloir faire gaffe à l'eau quand même. » note-t-elle. « Pas dit que le lac contienne de quoi boire. ».

La gravité n'étant ici que de 0.5g, Hana s'est préparée un sac d'une trentaine de kilos, dont 20 litres d'eau. De quoi passer un peu de temps à l'extérieur sans craindre de se dessécher. Sans se soucier de déployer la rampe de débarquement, elle jette son paquetage en contrebas et saute à son tour, prête à se réceptionner sur le sable. Elle y atterrit à pieds joints en creusant des sillons, et y laisse tomber ses fesses en riant bêtement. Puis elle y plonge les mains et les retire de suite avec un « AH ! » de surprise : ça brûle. Ses fesses commençant à chauffer de même à travers le pantalon de toile, elle se lève. Voilà donc pourquoi sa tenue d'exploration du désert inclue des bottes. Elle sort de sa poche un petit écran muni d'un clavier rustique couvert de caoutchouc, sur lequel elle tape la commande de fermeture du SAS. Elle pianote à nouveau pour afficher un plan schématique des environs, où apparaissent la position du vaisseau, la sienne, et celle de la destination qu'elle a marquée. Elle s'oriente rapidement : un petit lac devrait se trouver à quelques minutes au nord-ouest, au centre d'un genre de cratère. En montant sur la dune, elle aperçoit un monticule de sable dont la forme évoque étrangement celle d'un volcan. « Yes, facile. »

Une dizaine de minutes de marche lui suffit pour arriver au pied du dit volcan et le gravir jusqu'à l’arête du cratère. Au fond de celui-ci repose bel et bien un lac de, quelques dizaines de mètres de diamètre. Le sol, à l'intérieur du cratère, est légèrement plus clair que le sable environnant. Aucun signe de vie, pour l'instant. Le sol est drôlement stable, ici. pense-t-elle en silence, la chaleur sèche de l'air lui ayant passé l'envie de verbaliser. Le cratère, en forme d’assiette creuse, est bien escarpé sur le bords ; trop escarpé pour être fait de sable. Hana fait un pas à l'intérieur, précautionneusement, craignant de perdre l'équilibre et de dégringoler jusqu'en bas. Ses pieds ne s'enfoncent plus dans le sol, dont la surface semble plus ou moins flexible. Quelques pas de plus, en progressant de profil : la température diminue, on dirait. Elle s'accroupit et tâte le terrain de la main.

« Wow, c'est végétal ? »

Sous ses doigts et ses semelles, semble-t-il, quelque chose vit. quelque chose, quelque chose comme du lierre ou des racines très fines. Des fibres à peine plus épaisses que des cheveux formant un tissage beige clair, qui tapisse apparemment la totalité du cratère et... le maintient ? Bien vite, l'idée que le cratère est vivant suggère à Hana qu'elle a affaire à une bouche titanesque en attente de nourriture. C'est donc exaltée par une terreur irrationnelle qu'elle continue sa descente.

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Prélude / Re : Je voulais juste regarder et toucher [Vanéalidée !]
« le: lundi 23 novembre 2020, 22:44:59 »
Merci vous êtes choux <3

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Prélude / Je voulais juste regarder et toucher [Vanéalidée !]
« le: samedi 21 novembre 2020, 23:06:18 »
La Colonie
Quelque part dans la voie lactée, il existe une planète aux caractéristiques similaires à celles de la terre à l'époque de la Pangée. Ses habitants, présents depuis quelques générations, l'appellent sobrement "la Colonie". Et ils la colonisent avec enthousiasme : sur l'immense et unique étendue continentale du globe, ils ont jeté un réseau de métropoles futuristes. La colonie se développe sous l'autorité lâche d'un pouvoir central, dont l'action est limitée au maintient de la paix civile et qui permet aux entrepreneurs et ingénieurs de développer leurs activité dans une joyeuse absence de réglementation. La société de la colonie est libérale, libertaire, et individualiste. Son peuple se caractérise par un certain optimisme et la conviction qu'à chaque problème existe une solution. Cet état d'esprit est probablement imputable à la situation privilégié des Colons : ceux ci habitent sur une planète encore à conquérir, et d'une précieuse disposition biologique : une capacité qu'ils appellent le RESET.

Le RESET
Le RESET permet de ramener le corps à un état antérieur. Cette capacité est assurée par un petite glande située sous l’hypothalamus. Lorsque celle-ci est activée, le RESET inverse l'évolution du corps, qui remonte graduellement vers ses états passés. Cette remontée est environ trois fois plus rapide que l'évolution normale. Le RESET inverse :
  • le vieillissement,
  • la production ou la perte de masse musculaire/graisseuse,
  • les blessures (celles-ci peuvent cependant prendre plusieurs secondes, voir minutes, pour se résorber),
  • l'évolution des maladies et les infections,
  • l'évolution de l'horloge circadienne,
  • la composition cérébrale (notamment le nombre de neurones), mais pas l'organisation cérébrale (les souvenir, les automatismes acquis et les addictions ne sont pas affectés).
L'une des limites du RESET est qu'il ne créé pas de matière ex-nihilo par conséquent :
  • une personne ayant maigri rapidement aura des difficultés à retrouver son état antérieur ; il lui faudra pour cela absorber de grandes quantité de nourriture pendant la période de RESET,
  • la repousse d'un membre amputé nécessite également une grande quantité d'énergie. En présence d'un apport optimal, elle peut prendre de plusieurs jours à plusieurs mois, en fonction de la taille du membre.
Enfin, et surtout, la glande de RESET s'affaiblit à l'usage. On estime qu'elle permet, avant de s'épuiser, de remonter environ 50 années.

La Beyond Frontiers Fleet
La curiosité, d'une manière générale, est une vertu révérée par les Colons. C'est pourquoi il n'est pas rare que les plus riches d'entre eux investissent leur capital dans des projets d'exploration géographiques ou scientifiques. C'est le cas d'Akio Kato qui, plus ambitieux que la plupart de ses collègues, a fondé la Beyond Frontiers Fleet, société entièrement dédiée à l'exploration spatiale et la recherche de la vie sur d'autres planètes. L'entreprise n'est pas totalement désintéressée, puisque les formes de vies découvertes ont pour vocation d'être ramenées et (peut être) cultivées dans la colonie. Cependant, il est clair que l'argent investi dépasse de loin les gains espérés ; c'est donc bien avant tout une entreprise symbolique. Celle-ci implique une flotte d'une vingtaine de vaisseaux qui, dispersés dans la galaxie, se rendent aux planètes potentiellement habitables à leur portée. Ce qui, au rythme où vont les choses, pourrait bien les occuper pendant les trois prochains siècles, et ce même si l'utilisation opportuniste de singularités de l'espace-temps permet généralement d'atteindre des systèmes solaires proches en quelques semaines.

Le Saihyo-sen
Le Saihyo-sen est l'un de ces vaisseaux téméraires. Pour qui veut le décrire, "gigantesque ballon de rugby space-opéra" est l'expression qui vient immanquablement à la bouche. Et c'est une bonne description. On ajoutera simplement qu'il fait 50 mètres de long et 30 mètres de diamètre à son milieu. La plus grande part de son intérieur est dédiée aux moteurs et carburants. Seconds, en terme d'importance, viennent les espaces de stockage. Ce qu'il reste place est ensuite rempli par la plomberie interne et les systèmes de régulation de la température, les appareils de navigation, les capsules de sauvetages. Les derniers 50 mètres cubes disponibles constituent un réseau de quelques alvéoles capitonnées, espace de vie de Hana, son unique membre d'équipage. Le lieu est pensé pour que son habitant puisse y évoluer en situation d’apesanteur aussi bien qu'en situation de gravité artificielle causée par l'accélération. En pratique, les voyages, qui peuvent durer jusqu'à plusieurs semaines, se font presque tous en accélération constante ; Hana est donc rarement rarement en train de flotter.


L'équipage.
Hana est une jeune femme de 26 ans, 18ème enfant d'une fratrie de 23. Après avoir suivi une formation intensive de pilotage et mécanique, de ses 18 à 23, elle entre au service de la BFF, en tant qu'exploratrice solitaire, à bord du Saihoy-Sen. Sa mission consiste principalement à explorer de nouvelles planètes pour y prélever des échantillons de sol, de végétaux et de petits animaux, qu'elle ramène ensuite à la Colonie.

Description psychologique : La plupart du temps, Hana est d'un tempérament extraverti, énergique et curieux. L'une de ses principales motivations pour le voyage est la recherche de nouvelles expériences : nouvelles nourritures, nouvelles rencontres, nouveaux paysages, nouveaux problèmes, nouveaux vertiges métaphysiques face aux immensités incongrues de mondes aliens. Elle n'est pas timide, c'est le moins qu'on puisse dire, et s'adresse avec facilité aux inconnus. La qualifier de sociable serait cependant abusif, car l'aisance avec laquelle elle se comporte face à des étrangers relève bien plus du sans-gène que de l'habileté véritable : elle comprend plutôt mal les situations socialement complexes et s'exprime généralement sans tact. D'autre part, la plupart des gens l'ennuient au long terme, et elle supporte relativement bien l'isolement. En fait, sa situation d'exploratrice solitaire lui est sans doute plus agréable que ne le serait une promiscuité forcée avec d'autres membres d'équipage. Enfin, Hana est aussi individualiste et libérale que ses compatriotes, si ce n'est plus. Les obligations qu'elle reconnait envers autrui se limitent à la non agression et à la réciprocité : paies tes dettes, tiens ta parole, œil pour œil dent pour dent, et voilà.

Description physique : Hana mesure 1m63, pour un poids d'un peu plus de 50 kg. Pour un Terrien, elle paraitrait avoir tout juste 18 ans. Son physique notablement musclé et svelte la ferait sans doute passer pour une athlète, tandis qu'il est plutôt banal pour une sportive amatrice de la Colonie ; un peu d'organisation dans l'utilisation des RESET permet d'effacer tous les excès alimentaires et de réduire les écarts de temps entre les entraînements physiques. En revanche, Hana est désirable même d'un point de vue de Colon. Sa féminité transparait clairement dans sa silhouette, où la finesse du buste met en valeur la largeur des hanches. Son visage délicat, ses lèvres pulpeuses, et ses yeux bichons lui donnent un air doux qui trompe sur son tempérament véritable. La couleur argentée de ses cheveux, qui est la norme chez tous les colons pubères, est le résultat d'un traitement permanent du cuir chevelu, réalisé à ses 15 ans.

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