Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Luna Elunaï

Pages: [1] 2
1
Oh Luna mourrait littéralement d'envie de sauter sur les intimités suintantes de ces deux superbes maîtresses. Mais on ne l'avait pas autorisée à bouger et sa fidélité l'emportait sur sa perversité, ce n'était pas à elle de décider, sauf lorsqu'on lui ordonnait de faire un choix. Ainsi elle resta à faire la belle en attendant que ses maîtresses l'invitent à venir les léchouiller. Elle avait pensé à un bain normal avec ses deux maîtresses pour la toiletter mais, elle ne méritait pas d'être propre. Une sale chienne perverse devait se contenter de sa vraie place, celle d'une créature souillée par les fluides de ses maîtresses adorées.

Lorsqu'enfin elle fut invitée à se désaltérer l'esclave était sur-excitée, elle se mit à lécher frénétiquement l'entre-jambe de Yuko. Sa papatte se leva pour aller directement caresser la jolie petite fente de Yuka qui ne devait pas être délaissée. Puis elle échangea une fois, deux fois, trois fois, dix fois, elle en perdit le compte. Elle était comme folle, complètement absorbée par sa tâche et déterminée à réussir à les faire jouir ensemble.

Très vite le visage de la petite Luna fut recouvert du nectar des jumelles. La petite chienne faisait durer les choses pour que ses maîtresses y prennent un maximum de plaisir mais, aussi pour être sûre de les faire jouir simultanément. Et contre toute attente, Yuka et Yuko se retrouvèrent ensemble au bord de la jouissance, il ne restait plus que les derniers coups de langue pour finir. L'esclave dosa consciencieusement ses mouvements pour que les jumelles se relâche ensemble et elle fut aspergée de leurs cyprines mêlées. Elle baissa alors la tête pour être totalement recouverte par le divin liquide, signe qu'elle adorait sa douche.

« Awuuh ! Awuuh ! Awuuh ! »

Elle poussait de petits gémissements, elle était trop excitée et n'arrivait pas à se calmer. Pour se retenir elle lécha les jambes et les pieds de ses maîtresses pour les nettoyer. Puis elle se coucha sur le dos, se roulant dans la flaque de cyprine aux pieds de ses Déesses. Elle écartait bien les cuisses pour montrer son intimité dégoulinante, montrer à quel point elle aimait les jumelles et à quel point elle avait besoin de jouir. Dans les yeux de Luna il n'y avait que trois choses lorsqu'elle regardait ses maîtresses : De l'amour, du plaisir et surtout de la supplication. Oui elle suppliait du regard d'un air de dire : « Pitié Maîtresses ! Faites moi jouir ! Je n'en peux plus ! ».

2
Sans le savoir, Yuko venait de faire sortir la facette la plus tourmentée et folle de sa nouvelle esclave. Les mots : "Non... non... et non! Tu es une vilaine petite chienne, Luna! [...] Halala, moi qui pensais avoir une chienne obéissante, tu me déçois Luna... terriblement..." lui firent l'effet d'une bombe atomique larguée dans un quartier de marchands de porcelaine. Luna n'avait qu'une seule réelle peur, décevoir et par extension être de nouveau jetée dans sa cage des mois durant. L'esclave pleurait, de vraies larmes cette fois, de peur, de tristesse et les pensées se bousculaient dans sa tête :

~ Non ... Je ... Je ne voulais pas maîtresse ... Pas la cage, pitié ! Je ne le ferais plus ! Je suis une chienne ! ... En fait je n'ai jamais été humaine ... Oui ! Voila c'est ça ! C'était un rêve, j'ai toujours rêvé d'être humaine mais, je suis une chienne ... Celle que j’appelai ma grande sœur était en fait ma maîtresse. Je me rappelle quand elle allait me promener dans le parc ... Quelle humaine accepterait d'être promenée ? Ah ah ... Ah ah ... Oui c'est ça, j'ai toujours été une chienne ! J'ai toujours mangéde la pâtée, c'est bon la pâtée ... Quand j'étais sage j'avais droit à un morceau de steak. Et ces créatures à tentacules ... Heu ... Je sais pas ... Ah si ! Elles voyaient bien que j'étais une chienne ! Donc elles ont voulu me prévenir que je n'étais pas humaine, comme elles sont gentilles ... Personne ne traiterait une humaine de la sorte après tout, c'est impensable, non, non, non ! NON NON NON NON NON ! CA NE COLLE PAS !!! Oui les créatures n'existaient pas ... J'ai inventé, pardon ... Pardon qui au fait ? Oh je m'en fous ! Les créatures ... Oui ! Inventées ! Heu ... Non ... CE N’ÉTAIT PAS DES CRÉATURES !!! Voila, voila, voila ... Tout s'explique ! C'était quoi déjà ? C'était, c'était ... C'était des chiens, oui voila des chiens, les chiens de ma meute, il y avait Tooti, Poopi, Looli, Kooki et Jean-Charles, oui c'est bien Jean-Charles, Jean-Charles était le chef et il avait une très très grosse bite. C'est pour ça que je me rappelle bien de Jean-Charles ! J'étais la seule chienne du groupe donc forcément j'ai pris grave cher. De toute façon j'ai toujours été une sale petite salope ... Et la bite de Jean-Charles, oh mon Dieu ... Oui voila, c'est ça ! Et après ils m'ont capturée, j'ai été à la SPA ! Ils m'ont pas très bien traitée d'ailleurs, si j'étais humaine je porterais plainte mais ... Je suis pas humaine donc je m'en fous ! Je suis restée longtemps dans cette cage, j'aimais pas la cage. Il faisait froid, des fois j'avais très faim, oui la cage c'était pas bien ! Et puis on m'a envoyée chez les maîtresses, j'adore mes maîtresses, elles sont si gentilles d'avoir récupérée une sale bâtarde comme moi. Je dois remercier les maîtresses et faire tout ce qu'elles me demandent ! Oui, oui, oui ! Qu'est ce que je devais faire déjà ? "Une chienne, ça ne parle pas voyons! Une chienne, ça dit Waf, wouf, ça grogne, ça tire la langue, ça fait la belle mais ça ne parle pas!" Ah oui c'est vrai, j'ai rendu la maîtresse triste, je ne dois plus jamais parler, je dois aboyer, grogner, tirer la langue et faire la belle. Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je veux être une chienne ! Je suis une chienne ! Oui voila je suis une chienne ! Je suis une ... NON ! WOUF WOUF !!! WOUF !!! GRRRRR !!! WOUF !!! ~

Pendant ce temps mon cerveau s'était dissocié de mon corps, j’exécutais les ordres machinalement, sans réfléchir, sans penser à ce que je faisais, j’exécutais bêtement les ordres. J'avais gémi comme une petite perverse à chaque coup sur mes fesses, j'avais malheureusement dis "merci" au lieu de "wouf" mais je n'y pouvais pas grand chose. D'ailleurs la fessée suivante fut plus forte que les autres. Et comme ordonné je m'étais masturbée comme si ma vie en dépendait, bougeant mes petites fesses pour faire plaisir à l'appareil photo. J'avais jouis d'une façon absolument pitoyable, relâchant un véritable torrent de cyprine sur mes genoux, le tout immortalisé par une photo prise juste un bon moment. J'ai repris conscience à ce moment là, ma main était toujours plantée entre mes cuisses, toute poisseuse et j'avais bavé aussi.

Puis j'ai entendue la voix de maîtresse Yuka qui m'ordonnait d'aller m'excuser auprès de sa sœur. Je me suis relevée avec difficulté et je me suis précipité vers Yuko pour lui lécher la figure en poussant de petits :

"Wouf ! Wouf !"

Mon regard n'était plus celui d'une fille brisée, c'était celui d'une chienne affectueuse éprouvant un amour sans bornes pour ses maîtresses. J'avais réussi à devenir réellement une chienne, j'étais absolument sûre d'être une véritable chienne, ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. Yuko m'a regardée bizarrement, comme si elle venait de voir quelque chose de surprenant. Puis je suis retournée vers Yuka pour faire la belle parce que je voulais bien une bonne douche avec les maîtresses. Et elle aussi me regarda bizarrement. Mais je n'ai pas compris pourquoi. Je continuais de faire la belle en tirant la langue, attendant un signe de ma maîtresse comme quoi je pouvais arrêter.

3
Petite chienne, son nouveau nom sonna comme une douce mélodie à ses oreilles, tellement heureuse et excitée que son intimité commençait à suinter toute seule. Oh oui, elle était même pire qu'une petite chienne, une véritable obsédée complétement brisée à force de se faire violer, tellement brisée qu'elle avait fini par aimer ça. Elle ne rêvait que de viols, de brutalité, d'être torturée par ses maîtres, la douleur était devenue une récompense pour elle, la plus belle des récompense. On lui avait même offert un corps capable d'endurer le pire, de se régénérer lorsqu'elle subissait trop pour elle. On lui avait offert une vie idéale pour elle, une vie de servitude et de souffrances.

Le premier cliché fut banal, ordinaire, rien de particulièrement compromettant dessus, l'esclave n'était pas encore prête à se livrer entièrement à l'objectif. Malgré ses envies elle avait honte de ce qu'elle faisait mais, avoir honte lui provoquait tant de plaisir, tant d'émotions à chaque fois. Ainsi lorsque Yuko s'approcha elle se laissa faire, sentant sa maîtresse se coller dans son dos, comme un mâle dominant venant prendre une innocente femelle par derrière. Elle se mit à rougir et leva la papatte pour bien montrer où était les doigts de son bourreau. Puis lorsque la joue de Yuko se frotta contre la sienne elle poussa un petit gémissement, presque inaudible mais que la plus proche des sœurs n'avait pas pu ne pas entendre. Finalement se fut le tour de Yuka, je commençait à haleter, je voulais qu'elles me prennent devant l'appareil, qu'elles montrent à tout le monde à quel point je n'avais aucun amour propre. je me retenais, parce que je ne voulais pas les décevoir, je devais me plier à leurs désirs, les miens n'avaient aucune importance.

Puis arriva enfin l'ordre, que je redoutais tout en l'attendant avec impatience. C'est à ce moment là que je devais me livrer devant l'objectif dans tout ce que j'avais de plus pitoyable. Je me suis mise en position, écartant bien les jambes comme demandé et regardant l'objectif avec difficulté. J'ai pris une grande inspiration et j'ai commencé en sachant que je serais incapable de m'arrêter :

"Quand j'étais petite, j'avais déjà des envies bizarres, ma mère adoptive m'attirait, mon papa aussi, les gens dans la rue, quand je me faisais mal je ne pleurait pas, je riais presque. La première à s'en rendre compte fut ma grande sœur adoptive. Elle m'a frappée, violée, torturée et j'en avais honte mais j'adorais ça. Avec le temps c'est devenu comme une drogue, je n'arrivait plus à me passer de ma sœur. Un jour elle a faillit me tuer et j'ai ressenti un tel plaisir à l'idée de donner ma vie pour la satisfaire que j'ai compris à quel point ma vie n'avait aucune importance. Puis on a été séparées. Pendant une année entière je n'ai rien eut, je ne pouvais pas oublier ces sensations malgré mes efforts. J'en étais réduite à me pincer moi-même en me masturbant, à me frapper toute seule, j'ai même envisagé de prendre la rue pour devenir prostituée. C'est dans cette situation que j'ai passé un portail vers ce monde par mégarde. J'ai atterrit dans une sorte de grotte remplie de créatures tentaculaires, c'est comme si le destin voulait faire de moi un jouet sexuel. J'ai accepté ce destin, les créatures m'ont fait découvrir des jouissances que je n'aurais jamais pu soupçonner ..."

En disant tout cela mon visage devenait écarlate, des larmes de joie commençaient à couler le long de mes joues tandis qu'un sourire malsain déformait mon visage. Ma cyprine ruisselait le long de mes cuisses, formant bien vite une petite flaque à mes genoux. Et j'étais incapable d'arrêter de parler, je mourrais d'envie de me masturber mais je ne pouvais pas agir par moi-même, c'était à mes maîtresse de décider si je méritais de me soulager ou pas.

"... Je pouvais sentir leurs énormes sexes qui me déchiraient de l'intérieur, trois fois trop gros pour moi. Ils ont transformé mon corps pour que je supporte ces jouissances inhumaines, pour que je comprenne leur merveilleux message. Je passais mes journées à réclamer leurs bites, à avaler leur foutre chaud et gluant ..."

J'avais de plus en plus de mal à parler, mon corps tremblait d'excitation, ma langue pendait et mon regard se vidait de toute expression.

"... Puis ils m'ont jetée comme on jette un mouchoir après une bonne branlette. Aujourd'hui j'offre mes fesses au premier venu mais rien n'arrive à satisfaire mon appétit. Peu importe à quel point on me frappe, à quel point on me viole, ce n’est jamais suffisant. J'en veux toujours plus mais, ce n'est pas important, ce que je veux n'a aucune importance, je vis pour mes maîtres et maîtresses. Je rêve d'être attachée au pied de votre lit, me faire violer par votre chien et vous lécher les bottes. Ensuite vous me frapperiez parce que je n'ai pas réussi à enlever toute la boue et je finirais dans la cave avec ... dans les fesses ... et ... et ... huuuum ..."

C'en étais trop, si elle ne pouvait pas se masturber elle ne pouvait pas non plus rester indéfiniment à quatre pattes. Ses bras flanchèrent et elle se retrouva joue contre terre et fesses levées. Continuant à gémir des choses totalement incompréhensibles, se tortillant lubriquement. Oh elle avait honte, elle aurait même pu mourir de honte devant cet appareil mais, le plaisir d'être humiliée à ce point, être aussi indécente, manquer à ce point d'amour propre, c'était si bon. En pensant à tout ceux qui verraient ces photos plus tard elle mouillait encore plus, que penseraient ils d'une esclave qui se met seule dans de tels états ? Certains seront horrifiés qu'une telle abomination puisse exister, d'autres se moqueront d'elle, certains seront excités.

4
Luna était heureuse, apparemment ses nouvelles maîtresses étaient assez expérimentées. Elles devaient connaitre plein de choses amusantes à faire avec leurs esclaves. La petite masochiste avait frémi en attendant "petite truie perverse" de la bouche de sa maîtresse, le dire elle-même est une chose, l'entendre de sa propriétaire en est une autre. Et elle avait eu un petit frisson en attendant le mot punition. Elle se mit à imaginer de lourdes chaines la retenant contre le mur tandis que les deux adorables jumelles se serviraient d'elle comme punching ball. A cette pensée ses cuisses se frottèrent mutuellement, ce qui n'avait pas dû échapper aux deux sœurs.

"Couché!"

D'un ton enfantin mais ferme, l'ordre s'était suivi d'une réaction immédiate de l'esclave, guidée par le pied de sa maîtresse elle s'était couchée sur le dos. Dans cette position elle avait une vue imprenable sur la petite culotte de Yuko et se garda bien de l'avouer pour profiter du spectacle. Elle pouvait sentir le pied qui se baladait sur son corps, laissant une petite trainée de sa propre salive sur son passage. Même si Yuko semblait être la plus gentille des deux, Luna sentait son sadisme comme une proie sent venir son prédateur. Il faut dire que l'esclave avait été complétement formatée par ce genre d'expériences SM, elle saurais reconnaitre n'importe quelle véritable sadique, peu importe le masque qu'elle arbore en public. À l'inverse l'autre sœur lui donnait l'impression qu'elle n'était pas si sévère que ça. Une maîtresse se forçant à être sévère pour coller à son image et l'autre prenant un plaisir malsain à la torturer, l'esclave était aux anges.

Une fois de plus l'ordre de sa maîtresse l'arracha à ses pensées. Se déshabiller ? Pas digne de porter des vêtements ? Oui elles avaient raison, les animaux n'ont pas à porter de vêtements, alors les objets encore moins. Si ses maîtresse voulaient s'amuser à l'habiller selon leurs désirs plus tard elle en sera ravie. Mais, pour l'instant elle devait leur montrer la marchandise. Elle se dévêtit rapidement tout en restant couchée, après tout sa maîtresse ne l'avait pas autorisée à quitter le sol. Les deux maîtresses se présentèrent et lui proposèrent une petite épreuve.

Enfin non, ce n'était pas une épreuve, Luna avait parfaitement retenu leurs noms, ce sera donc un choix. Elle avait le choix entre un jeu et une punition. En temps normal elle aurait choisi la punition sans hésiter mais, elle devait faire bonne impression, du moins au début. À cet instant sa seule réelle peur était qu'on la mette dehors et elle faisait tout pour que ses maîtresses ne le découvre pas. Son regard s’est attendri et ses yeux se détournèrent tandis que ses joues rougissaient. Ses lèvres se pincèrent et elle finit par dire d'une voix douce et perverse :

"Maîtresse Yuka ... "

Ainsi elle avait le droit de faire ce qu'elle voulait. Sauf que c'était la première fois depuis longtemps qu'elle avait la possibilité de faire ce qu'elle voulait. Elle s'apercevait surtout qu'elle était incapable de vouloir quoi que ce soit. Puis son regard croisa une boite noire posée sur le dessus d'un des coffres. L'esclave se leva, pris la boite dans ses mains sans savoir ce que c'était et l'ouvrit. À l'intérieur, pas de jouets, pas de lingerie, par d’accessoires douteux ou de tenues explicites. Juste un appareil photo.

Immédiatement l'esprit dérangée de la petite truie perverse s'imagina être pris en photo dans des positions plus que compromettantes. Une de ses deux maîtresses l'humilierait tandis que l'autre prendrait les photos. Et ensuite elles seraient mise sur internet pour que tout le monde puisse rire de la petite salope qu'elle était. Elle se mit à rire toute seule à cette pensée tandis qu'un filet de bave coulait le long de son cou. Puis elle rapporta la boite aux pieds de ses maîtresses avant de se recoucher sur le dos en se tortillant d'impatience.

5
Lorsque le garde du corps entrouvrit sa boite, un rayon de lumière arriva dans les yeux de Luna et la réveilla un peu. Son sommeil se fit beaucoup plus léger et elle rêva. Elle rêva d'une belle maîtresse blonde qui s'amusait à la piétiner avec mépris devant une foule de curieux. Elle était couchée par terre, rampant et gémissant comme une petite truie. Pendant ce temps la maîtresse de ses rêves l'insultait de tout les noms, elle était au paradis selon ses propres critères. Les passants furent invités à se soulager avec son anus et le premier à se lancer fut un superbe terranide cheval avec un sexe énorme. Le coït fut long et brutal, l'esclave prenait son pied dans son rêve, jusqu'à ce qu'arrive la jouissance. Dans le monde réel, elle se tortillait lubriquement tandis que ses vraies maîtresse lui retirait ses liens et son bâillon. Yuko avait à peine fini de lui demander son nom qu'elle se cambra brutalement en poussant un long et puissant cri de jouissance :

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!"

Réveillée par son propre cri elle repris connaissance, s'apercevant qu'elle était cambrée, la bouche grande ouverte et avec ses cuisses largement écartées. Elle réalisa ensuite qu'elle n'était plus dans le carton, puis enfin qu'elle n'était pas seule quand son regard croisa celui de Yuka et celui de Yuko. Ses joues devinrent écarlates, non seulement elle avait osé faire des rêves aussi indécents sans en recevoir l'autorisation mais, en plus elle s'était elle-même infligée une humiliation. Malgré sa gène, l'esclave ressentait surtout beaucoup de plaisir dans ce genre de situation. Ainsi elle commença à imaginer ces deux jolies jumelles habillées de cuir, la fouettant jusqu'au sang et l'attachant dans des positions obscènes. Elle parvint tout de même à se calmer et se prosterna devant ses deux nouvelles maîtresses. Son visage était tout rouge et elle n'osait pas relever la tête, bafouillant d'un ton très respectueux :

"Pardon maîtresses ! Je m’appelle Luna et je suis profondément désolée ! Je n'avais pas le droit de prendre autant de plaisir sans votre permission ... Je rêvais d'une autre maîtresse m'offrant à un terranide cheval et lorsque je me suis réveillée je rêvais que je jouissais. Et je vous ait imaginée toutes les deux habillées en cuir en train de me fouetter. Je ne suis qu'une sale truie perverse et mal élevée, pardonnez moi maîtresses ! Je ne mérite aucune pitié pour mon indécence !"

L'esclave avait l'air particulièrement misérable ainsi mais, ce qui était troublant c'est qu'elle semblait prendre du plaisir à se rabaisser de la sorte. Elle se rendit aux pieds des jumelles et commença à les lécher frénétiquement en signe de soumission, comme un petit chien. Si elle avait eut une queue, celle-ci serait surement en train de faire des allers retours aussi frénétiques que sa langue. Luna attendait désespérément un ordre, une punition, un viol, n'importe quoi, car elle redoutait que ses nouvelles maîtresses se débarrassent d'une esclave aussi gênante et dérangée. Cette maison était probablement sa dernière chance, elle était prête à tout pour rester à leur service.

6
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 14 août 2012, 16:57:30 »
En parlant de fous : http://youtu.be/upxzaVMhw8k

Je suis fan ! *w*

16h57

7
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: mardi 14 août 2012, 16:34:07 »
J'avais cru entendre ficus, que skyrim c'était le mal?^^

Enfin bonjour a tous.
13h16

Surtout que Skyrim avec les mods qui vont bien ça peut ressembler pas mal à ce forum.  ;D

16h34

8
Le coin du chalant / Re : Esclave nymphomane et masochiste
« le: mardi 14 août 2012, 14:39:32 »

9
De nos jours les clients sont difficiles, les esclaves abondent et ils savent exactement ce qu'ils veulent. Fini le temps où posséder un esclave était un luxe. Aujourd'hui c'est un produit de consommation courant et même les plus modestes deviennent de plus en plus exigeants. À l'époque où les habitants de Terra découvraient encore l'esclavage ils étaient curieux, ils voulaient tester les différents types d'esclaves, ils en prenaient soin. Maintenant les esclaves sont sélectionnées et jetées dès qu'elles ne conviennent plus. On disait de moi que j'étais complétement tarée, que je dégoutais les acheteurs, que j'en faisais beaucoup trop, que je devais être plus normale, moins soumise, moins masochiste. Mais j'en étais incapable, alors ils m'ont laissé pourrir au fond d'une cage. Des fois ils oubliaient même que j'existais et je n'avais pas à manger pendant plusieurs jours.

Un jour, un vendeur vint me voir, il s'était rappelé de moi en discutant avec l'une de ses bonnes clientes et il me fit sortir de ma cage, sans m'expliquer quoi que ce soit. On me fit prendre une douche pour me débarrasser de la crasse qui recouvrait mon corps, puis on me donna à manger. Pas cette bouillie écœurante de d'habitude, un vrai repas et on m'a ensuite remis dans une cage propre où il y avait même un lit. Je ne savais pas pourquoi on m'avait aussi bien traité ce jour là, mais c'était bon signe, peut être que je serais bientôt vendue. Je me suis endormie avec l'esprit tranquille et un espoir réanimé.

Mon repos ne dura pas bien longtemps, deux heures à peine après que j'ai fermé les yeux plusieurs hommes entrèrent dans ma cage et me ligotèrent alors que je peinais à me réveiller. Avant d'avoir pu dire le moindre mot un bâillon obstrua ma bouche, excitée par ce réveil je me suis mise à me tortiller en gémissant, se faire agresser et attacher au réveil, c'était une nouvelle sensation que j'aimais beaucoup. L'un des hommes s'exclama alors tandis que je bavais sur le bâillon :

"Elle n'est vraiment pas normale. Qui peut bien vouloir de ... "ça" ?"

"T'occupe pas, dis toi qu'elle sera surement remplacée par une petite terranide avec qui on pourra s'amuser un peu."

On me plaça dans un carton, puis on me mis un masque à oxygène sur le visage, je commençais à comprendre ce qu'il se passais. Ainsi j'allais rejoindre mon futur maître par colis ? Quelle bonne idée, j'aimai beaucoup, être traitée comme un objet ... A cette pensée mes joues rougirent et le même homme que tout à l'heure grimaça avant d'ajouter :

"Referme ce foutu carton elle me fait flipper cette conne !"

Plusieurs heures plus tard, dans le noir complet, la fatigue devint plus forte que mon envie d'être éveillée lorsque le carton s'ouvrira. Je me suis assoupie. Je ne le sais pas encore mais le carton a fini par arriver à destination. Mes nouvelles propriétaires, qui ne savent pas ce qu'il contient, s'apprêtent à faire ma connaissance. Et pendant ce temps je rêve de fouets, de chaines et de punitions.

10
Le coin du chalant / Re : Esclave nymphomane et masochiste
« le: mardi 14 août 2012, 14:02:43 »
Kaoru : Désolée mais les jumelles correspondent plus à ce que je cherche comme maîtresses.

Yuka/Yuko : Je vais commencer le post de ce pas. Et une livraison pour la dictature d'Ashnard ! Une ! ^^

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 14 août 2012, 10:37:21 »
Et encore, imaginez les villes comme Caen, Lyon, Pau qui ont moins de 5 lettres ... Quelqu'un te demande :

"Tu habite où ?"
"Pau."
"Non mais le nom entier !"
"Bah Pau ..."  :(

10h37

12
Le coin du chalant / Esclave nymphomane et masochiste
« le: mardi 14 août 2012, 09:43:47 »
Je cherche : Plutôt des persos féminins aimant dominer les autres.

Qualité de RP : Je m'adapte mais, je préfère éviter les posts de 150 lignes. Non pas que je n'arrive pas à suivre mais, ça me prend trop de temps pour répondre.

Types de RP : Viol, torture, SM, ect ! *w*

Trames : RP de départ - Un(e) vieil(le) ami(e) vous envoie par la poste un bien gros paquet pour votre anniversaire accompagné d'une carte où il est écrit :

"Bon anniversaire [Insérez le nom de votre personnage] ! Et amuse toi bien avec ça !"

Intrigué(e) vous l'ouvrez et y découvrez une jeune fille aux cheveux roses, attachée avec un masque à oxygène sur le nez. Votre nouvelle esclave dort à poings fermés, à vous de voir de qu'elle façon vous allez la réveiller et vous présenter.

13
Luna fut surprise d'être ainsi repoussée, elle ne comprenait pas pourquoi l'on ne voulait pas d'elle. Elle répondit ensuite à la question de la jeune femme :

"J-je ... Je m'appelle Luna. Et ce que je veux ..."

Des larmes coulèrent alors sur ses joues, au départ inexplicables elles prirent aussitôt un sens lorsque l'esclave poursuivit :

"Je veux juste que ma maîtresse revienne ... Je pensais que si une autre femme me touchait elle reviendrait me punir ... Juste parce que je suis incapable de me retenir j'étais prête à la trahir, je ne mérite pas de vivre ..."

Elle continua de sangloter, mais son visage refléta plus de la peur qu'autre chose.

"Et puis, vous avez parlé de gang bang ... Un jour que j'avais fais une grosse bêtise, ma maîtresse m'a enfermée avec 6 hommes dans les toilettes et ils m'ont violée durant toute la journée. Je déteste les hommes, ils me font peur et vous vouliez me le faire aussi, je pensais que si vous deveniez ma maîtresse vous ne voudriez pas me faire de mal."

Tout à coup, la petite Luna sentit les caresses de l'autre femme sur son entre-jambes, elle se jeta alors à son cou en murmurant :

"Je ferais tout ce que vous voudrez maîtresse ... Mais ne touchez plus à mon intimité s'il vous plait ... Elle n'appartient qu'à ma maîtresse, à chaque fois que je me faisais violer elle n'a jamais voulu que quelqu'un d'autre y touche."

14
Luna était plutôt embarrassée qu'une inconnue regarde ses vidéos du temps où sa sœur se servait d'elle comme d'un vulgaire sextoy. Et puis, elle avait changée depuis, du moins c'est ce quelle aimait à penser. Elle avait enfin réussi à se refaire une réputation normale de lycéenne, elle avait enfin réussi à effacer toutes ces années de séances SM et de viols à répétition. Son corps lui appartenait de nouveau et ce n'était pas pour tomber sous le contrôle d'une autre perverse comme sa sœur. Malgré tout, elle avait toujours cette dérangeante sensation dans son bas-ventre, cette envie que tout recommence comme avant mais quelle ne pouvait accepter.

Elle ne s'en était pas réellement aperçue, mais la jeune femme l'avait emmenée plus loin, à l'abri des regards. Le visage de Luna était écarlate et ses yeux refusaient de croiser le regard de l'autre femme. Elle était morte de peur, pas à cause de l'autre femme, mais à cause d'elle même car elle avait beau refuser le plus sincèrement possible de redevenir l'esclave sexuelle d'une malade mentale, il n'en restait pas moins quelle mourrait d'envie de se faire baiser ici.

Lorsqu'elles s'arrêtèrent, Luna versa des larmes de frustration. Elle avait fléchie ses jambes pour se mettre à quatre pattes devant la jeune femme et s'était mise à lécher ses pieds, signe particulièrement humiliant de soumission. Elle avait beau vouloir se relever et s'enfuir, ses jambes refusaient de lui obéir, preuve qu'elle avait été très bien dressée. Elle était parfaitement incapable de s'arrêter, attendant qu'on lui donne un ordre, honteuse d'avoir une volonté aussi faible. Mais le comble de sa honte fut atteint lorsque ces paroles lui échappèrent totalement contre sa volonté :

"Ma maîtresse m'a abandonnée ... Prenez moi s'il vous plait ... Donnez moi un ordre, je vous en supplie."

Au fond d'elle même, elle était désespérée de ne retrouver personne à qui se dévouer, elle avait besoin d'une maîtresse même si elle n'arriverait jamais à le reconnaitre. Elle restait juste horrifiée par ses propres paroles, terriblement honteuse.

15
Cette nuit avait été véritablement merveilleuse ennuyeuse pour la petite Luna, car cette nuit comme toute les nuits depuis deux ans sa maîtresse n'était plus là. Elle aurait tant voulu qu'à ce moment précis son portable sonne, quelle puisse lire un nouveau sms de sa maîtresse l'invitant à ramener ses fesses immédiatement pour tester de nouvelles "choses". Bien sur qu'elle aurait bien aimé que ça se passe comme cela, mais sa maîtresse ne reviendrait plus elle le savait et tout ce qui lui restait c'était ces vidéos d'elles deux. Des vidéos plutôt osées ...

Tandis qu'elle réfléchissait à tout cela, l'envie lui prit tout à coup de regarder l'une des vidéos en question pour se remémorer le bon vieux temps. Dans celle-ci, Luna était attachée à une sorte de croix, pieds et poings liés pendant que sa maîtresse lui élargissait les fesses avec un objet dix fois trop gros pour elle. Casque sur les oreilles, elle regardait la vidéo avec un regard lubrique et s'imaginait déjà recommencer ce genre de choses.

Toutefois, tout ceci fut bien court car trop absorbée par sa vidéo la jeune fille venait de heurter une autre élève à la tenue tout sauf réglementaire. Sous le choc le portable lui glissa des mains, le fil du casque se tendis et se décrocha du portable, laissant entendre :

"M-maîtresse ... C-c'est trop gros ... Ça ne rentrera paaaaAAAAH !!!"

"Tss, tais toi et laisse moi faire, tu es vraiment inutile comme fille ..."

Rouge d'embarras, la jeune fille ramassa le portable et l'éteignit avant de s'excuser à la hâte, prête à s'en aller bien vite avant que quelqu'un ne lui reproche ses gouts cinématographiques.

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