Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Selina Kyle - Catwoman

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Vacances
« le: dimanche 12 août 2012, 15:29:55 »
Hey.

Comme je ne savais plus si j'avais déjà ouvert un sujet dans cette section, et que j'ai la flemme de vérifier, j'en ouvre un autre.

Je pars aujourd'hui en vacances, jusqu'à mi-septembre environ.

Bisous à tous :)

2
Le quartier de la Toussaint / Poursuite, poursuite... [PV SP]
« le: mercredi 06 juin 2012, 22:32:26 »
Je bâillais, et verrouillait le cabinet avant de partir pour rentrer. Les chats de la rue vinrent tous se frotter contre mes jambes. Je leur octroyais plusieurs caresses avant d'enfiler mon casque et de refermer ma veste de cuir. J'avais faim, mais je ne comptais pas rentrer chez moi. J'étais fatiguée, mais Catwoman avait un boulot à accomplir. Bien que toute la journée j'étais au bureau, ma radio était sur le canal de la police. Aussi j'ai très bien entendu, il y a cinq minutes, le signalement d'un cambriolage en cours au Centre Commercial. Un bijoutier apparemment. Il avait réussi à déclencher l'alarme qui sonnait directement au poste de police.

Le costume de Catwoman était au fond de mon sac, mais je n'ai pas de temps à perdre. Je file à toute allure jusqu'au lieu du crime, négligeant plusieurs feux rouges, doublant à fond plusieurs voitures de police. J'y arrivais dix minutes avant eux. Mais le tailleur, c'est pas pratique pour appréhender un malfaiteur. Toutefois, je n'ai pas le temps d'en changer. Je me saisis du fouet qui traîne au fond du sac, et je boitille jusqu'à la porte de secours de la bijouterie. Les escarpins que je portent le jour ne sont pas fait pour la chasse. Finalement, je les retire, quitte à abîmer mes bas, et les jette plus loin, derrière un tas de sacs poubelle. Je les récupèrerais tout à l'heure.

Je me glisse par l'ouverture, arrivant dans le dos du malfrat. Le bijoutier, tenu en joue, écarquilla les yeux malgré les signes que je faisais pour qu'il fasse comme si de rien n'était. Fatalement, ça attira l'oeil du cambrioleur. Je levais les yeux au ciel et jouait du fouet pour lui faire lâcher son arme. Puis, malgré la facilité de mouvement réduite du tailleur, je bondis sur lui pour le mettre à terre, l'assomant net au sol. Je déchirais un bout de mon chemisier noir et j'en fis usage pour l'entraver. Le bijoutier s'effondra, tremblant, avant de montrer du doigt un deuxième malfrat qui sortait du coffre fort avec un gros sac de bijoux.

Dès qu'il me vit, il fonça au dehors et je bondis pour le suivre, courant pieds nus sur le sol froid de la galerie commercial. Tout était fermé. Le bijoutier était le seul à rester tard, en plus des gardiens de nuit pour finir ses commandes. Lorsque je passais devant la loge du gardien, je vis les trois hommes à terre, avec une plaie sur l'arrière du crâne. J'passerais voir tout à l'heure. Pour le moment, je poursuivais toujours mon sale type. Il courait vite le bougre !

3
Vous nous quittez déjà ? / Aye Aye Aye !
« le: samedi 04 juin 2011, 20:14:59 »
Coucou tout le monde !
Je suppose que ma baisse d'activité de ces derniers jours n'est pas passée inaperçue, hein ?
La raison est simple. J'ai dû aller aux urgences pour me faire opérer pour une appendicite aïgue. J'suis sortie ce matin.
J'aurais un peu de mal à faire de longues réponses aux Rps, malheureusement. J'ai encore hyper mal aux épaules, malgré les calmants. >_<
Voilà, veuillez accepter mes excuses ♥

4
Allô l'Amérique, ici le Japon. Dites-moi. C'est quoi cet énergumène que vous avez envoyé ici ? Sentinel Quelque chose... Prime ! Voilà, Sentinel Prime ! Je ne suis pas arrivée ici depuis longtemps et pourtant, j'en entends déjà parler. Dingue ça, non ? Mais c'est vrai que ça faisait un petit bout que je n'en avait plus eu de rumeurs sur lui en Amérique avant de partir. Sans doute prenait-il des vacances... En tout cas, ici, j'ai quelques échos. L'autre fois, il paraît qu'il a arrêter une prise d'otage. Et sauvé une donzelle qui tombait du toit. En fait, peut-être qu'il a décidé de déménager ici. J'hausse les épaules. Mais j'aimerais en savoir plus sur lui. Ce Superhéros. Superhéros, mon cul. Il a p'tet sauvé quelques vies, mais il bouge pas le petit doigt pour sauver ceux qui en ont vraiment besoin, tout au long de la vie. Les prostituées par exemple. Elles qui se font battre et abuser à longueur de journée... Qui est-ce qui leur vient en aide ? Et bien c'est Bibi. Et oui, Catwoman. Du coup, je me dédommage avec le butin ds voleurs de bijouteries.

Froissant un journal contant encore les exploit de ce Sentinel Prime, je soupirais. J'allais sûrement passer du temps dessus. Pour commencer, voyons si ls satellites ont remarqué quelque chose. Comme un truc volant non-identifié sur Seikusu. Je pirate rapidement le site des autorités compétentes. Mais chut, c'est un secret ça. Les mouvements satellites m'indique qu'un truc volant s'est posé dans une demeure de la ville. Souvent. Je souris. Voilà un début de piste. Je continuais quelques recherches supplémentaires avant de fermer le bureau. 20h30, déjà. Je file manger un bout de ragoût de poisson avant de prendre une douche. Ceci fait, je pense que Catwoman ne serait pas contre aller faire un tour là où Sentinel Prime se pose souvent. Après tout, peut-être qu'il couvre d'autres vilaines affaires. Et ainsi, savoir qui c'est et où il habite pourrait aider à la mise en place d'une arrestation. L'avocate en moi se réjouit d'avance du défi que ça serait de faire enfermer un Superhéros aussi connu. Mais dans le cas où il serait un putain d'innocent venu sauver quelques vies au pif de temps en temps, ça valait tout de même le coup de le connaître.

J'enfile la combinaison de cuir. Je dépose des sardines sur la fenêtre avant de prendre un sac. Dedans, j'y fourrais une jupe plutôt courte, en jean, et un bustier noir. Des sandales à talon aiguille également. Et un nécéssaire de retouches de maquillage. Puis je sautais dehors. Je roulais souplement sur le bitume avant d'enfourcher la moto qui démarra rapidement. Je traversais la ville. A toute allure. Je finis par m'arrêter non-loin d'un quartir visé. Cachée dans un coin, je me changeais rapidemnt, prête à mettre en place ma comédie. L'appart' près de là où s'arrêtait Sentinel Prime était vide depuis deux jours. Et le serait encore pendant deux jours. Juste magnifique. Ma combinaison et ses accessoires glissés dans le sac, je marche d'un pas vif. Arrivé à l'endroit voulu, je frappe. Je tambourine. Pendant plusieurs minutes. Avant de soupirer, résignée. Je feint d'être surprise que ça soit fermé, et je me tourne vers l'appartement cible de mes recherches. J'y frappe quelques coups. S'il n'est pas là, je pourrais entrer et faire un rapide tour du propriétaire. S'il est là... Et bien j'aviserais. D'ailleurs, rapidement, je sortis la bouteille de whisky emportée. J'en bois deux grandes gorgées. Assez pour sentir l'alcool. Pas assez pour me saouler. Dans le doute... S'il est là, je pourrais feindre d'avoir été faire la fête et qu'en rentrant, je m'apercevais que ma cousine n'était pas là. Un truc du genre. la bouteille glissa dans mon sac alors que j'ébouriffais un peu mes cheveux. La porte s'ouvrirait-elle ?

5
L'auberge du Coucher de Lune / C'est ma proie... Grr... [PV Mach]
« le: dimanche 29 mai 2011, 17:40:00 »
Trois jours. Trois putains de jours que j'erre dans cette foutue ville. Comment j'en suis arrivée là ? C'est bien simple. IL y a une semaine, j'ai entendu parler d'un criminel étrange aux infos. A ce qu'on dit, il posséderait tout des attributs d'une certaine créature mythologique. Un Dragon. Arrivé on-ne-sait comment en centre-ville, il aurait commencé à brûler des maisons, des gens. Mais, pire que tout, il s'attaquait aussi aux bijouteries. J'ai lu quelque part que les dragons veillaient férocement sur leur fortune. Sur leur trésor. Mais les bijouterie.. C'était mon domaine ! J'avais alors délégué les affaires les moins importantes à mon associé, et je m'étais mise en chasse. Le jour, je récoltais des infomrations sur les lieux de ses massacres et de ses vols. La nuit... Catwoman le filait, je l'espionnais. Et puis, il y a trois jours, alors que Catwoman était toujours sur les traces de l'ignoble bête voleuse, voilà que celle-ci disparut. Avec le butin amassé. J'étais sceptique. Comment avait-il pu disparaître ? Pour essayer d'en savoir plus, j'allais à l'endroit où il avait disparut. A ma grande surprise, me voilà dans un autre monde. Quelques pas. Je vois la queue du dragon au coin d'une rue. Je me rue vers là. La poussière vole et macule ma combinaison de cuir noir. Alors que c'était la nuit à Seikusu, ici il faisait grand soleil. Merde !

Je ne lâchais pas ma proie des yeux. Je repérais la grotte où elle alla. A ma grande surprise, une fois ressortie de la grotte, ce n'était plus une bête énorme. Mais un homme, plutôt costaud, à l'air féroce. Silencieuse, je le filais. Apparemment, il retournait dans la ville. A l'auberge même. Cela fait trois jours que je le suis, à la recherche d'un moyen de rentrer chez moi. Mais jamais il ne reprit un de ces... Passages... J'appris que la ville où j'étais était Nexus. Qu'ici, c'est l'Or qui primait sur les dollars ou Yen ou Yuan ou que sais-je d'autre. Je pris une chambre. Près de celle de l'ex-dragon. Il commit encore quelques vols. Et toujours, il ressortait de la grotte en humain.

Aujourd'hui, j'avais décidé de l'arrêter. Une épée de très bonne facture en main, achetée au forgeron du coin après avoir sacrifié mes plus beaux joyaux, deux chaînes en Or massif ornées de rubis, je me dirigeais silencieusement vers la chambre de ma proie. L'épée que j'avais pouvait lui trancher la tête d'un seul coup, affilée comme était la lame. Mais elle était lourde. Je n'aurais le droit qu'à un seul essai. En me faufilant dans la chambre, le clair de lune éclairait le lit où reposai l'homme. Je passais inaperçue, avec ma combinaison de cuir noir. Seule la boucle en argent de ma ceinture -en forme de patte de chat-, mes griffes et l'épée pouvaient attirer la lumière. Mais restant dans l'ombre, je ne prenais aucuns risques. Ma queue de cuir dont le bout était touffu traînait à terre. Seul un chuintement s'entendait. Et pourtant. Au-dessus du lit, j'aperçu une silhouette. Une silhouette figée depuis que j'étais entrée. Oh merde, un concurrent ?

6
Abruti ! Abruti, abruti, abruti ! Telle était ma pensée du jour. Un client pour qui je travaillais venait de me téléphoner. Je travaillais depuis des jours pour lui. Il m'avait demandé de traîner en justice sa femme pour adultère. J'avais toutes les preuves suffisantes. J'étais prête à lancer le procès et à laisser mon associé défendre l'accusation. Mais cet imbécile de client arrivait aujourd'hui, la bouche en coeur, en me demandant de laisser tomber. Il avait en fait oublié que c'était lui qui avait demandé à sa femme de coucher avec un mec pour obtenir son appui. Bien sûr, il ne le dit pas la raison. Il arguait juste du fait que c'était sa femme, qu'il n'allait tout de même pas aller jusque là. Mais j'avais fait mes recherches. Abruti ! Il me dédommagea, heureusement, généreusement. Je le congédiais pas la suite assez grossièrement, furieuse du temps perdu à une affaire stupide alors que j'aurais pu me consacrer à la traque de voleurs, violeurs, etc...

La fin de la journée arriva bien vite, heureusement. Comme d'habitude, je verrouillais bien tout. Les sardins déposées sur le rebord de la fenêtre attiraient. Elles disparurent bien vite et il y eu quelques ronronnement de contentement. Je souris brièvement. Ce soir, Catwoman serait plus féroce que jamais étant donné mon niveau de frustration et de ressentiment. Et, effectivement, après une bonne douche, lorsque j'enfilais la combinaison de cuir et tout les accessoires, lorsque Catwoman devint moi... Je me sentis hérissée. Furieuse. Je me glissais sur la moto d'un noir étincelant. Et c'est parti pour une nuit de folie. Catwoman est déchaînée. Elle enrage presque. Feulant, elle grilal plusieurs feux rouge. Et la voilà près d'une bijouterie où il y a un trou dans la porte vitrée. Et celle-ci est grande ouverte. Un rictus amusé sur les lèvres, je rentre dans la-dite bijouterie après avoir garée la moto quelque part en sécurité. Mon fouet claque sur le sol. Je ne prends pas la peine d'attendre que leur surprise soit passée. Je bondit dans les airs et après un salto, je renverse deux des cinq hommes. Ceux qui ont les armes. La tête de l'un vient cogner contre celle de l'autre. Je shoote dans les flingues qui, sous l'impulsion de bottes à talons aiguille, file à travers la pièce, hors de portée. Je me retourne vers les trois autres. Ils sont tétanisés. Ils portent les sacs. Le regard d'émeraude brillant de convoitise, je me rapproche doucement. Un coup de poing dans le ventre et sur la pommette tranche avec mon calme précédent. L'homme s'écroule. Les autres tentent de me frapper. Je saute dans les airs, les laissant se cogner l'un et l'autre. Puis je retombe souplement, un poil plus loin. Me saisissant d'un tabouret, je les assomme. J'avise ensuite des cables dans un coin. Ravie, je rassemble les malfrats au centre de la bijouterie. En un rien de temps, ils sont saucissonnés. L'alarme déclenchée quelques secondes auparavant m'arrache les oreilles. Je me saisis des sacs et bondit vers la sortie, en direction de ma moto. Je glisse les sacs dans les rangements, et file dans la nuit en faisant vrombir le moteur.

Rentrée chezmoi, j'avais l'intention de mettre à l'abris ces petites breloques précieuses. Je déposais la moto à sa place, sous le porche. Les sacs finirent leur course sur le lit. Mais la nuit ne faisait que commencer. Catwoman voulait s'amuser. Se déchaîner. Je ressortis d'un bond souple et roulais au sol avant de courir dans la nuit. Je grimpais aux toits. L'air frais de la nuit m'extasiais. J'en voulais plus. Pourquoi pas ce jeune homme qui erre dans la nuit ? Etrange d'ailleurs. Doucement, depuis les toits, je le suis, le surveille. Alors que je me faisais plus discrète que jamais, une ardoise glissa sous mon talons. Un juron bien senti m'échappa alors que je m'aplatissais sur le toit.

7
Le coin du chalant / A mes souhaits...
« le: dimanche 29 mai 2011, 01:20:40 »
Ici seront répertoriés mes rp ainsi que mes demandes et les diverses trames que je pourrais avoir en tête.



Première demande - 29 Mai 2011.

Un premier Rp. Plutôt sur Terre. Avec un homme si possible. Comme idée de sujet, j'avoue que tout me conviendrait à peu près. Hentai sûrement. Et le nombre de ligne importe peu :)



Idées de trames - En Vrac.

Rien pour le moment.



Rps effectués - En Vrac.

29 Mai 2011 : Au mauvais endroit, au mauvais moment. Avec Khaléo.
29 Mai 2011 : « La sérénade. » Avec Sappho.
29 Mai 2011 : Après une nuit bien remplie. Avec Qiang Long. ~ Terminé. Suite à venir.
29 Mai 2011 : C'est ma proie.. Grr... Avec Mach Bonin.
29 Mai 2011 : Héros ou pas ? Avec Sentinel Prime.

8
Nom / Prénom / Surnom : Je m'appelle Selina Kyle. Et l'on me surnomme Catwoman. Mais c'est un secret. Personne ne doit le savoir !

Age : Actuellement, j'ai vingt-trois ans.

Sexe : Je suis une personne de sexe féminin.

Race : Humaine. Mais on pourrait me dire m'identifier aux E.S.P.er.

Orientation sexuelle : Je suis strictement Hétéro. Mais je suis très tolérante, et ne jetterais pas la pierre à ceux qui sont de l'autre bord. Ou même des deux. Chacun fait ce qu'il veut de son cul comme on dit.

Description physique :

Lorsque vous me voyez dans la rue, avec ma chevelure brune qui frise sur mes épaules, mes yeux vert éclatant, mes lèvres ornée de rouge à lèvre vif... Vous avez bien du mal à imaginer que ce petit corps svelte, au teint bronzé et aux formes divines puisse revêtir le costume noir, en cuir, de Catwoman. Et pourtant... C'est votre fantasme. Mais vous ne pensez pas cela réel. Alors laissez-moi vous dire que le charmant petit bout de femme que je suis -1m60- sort ses griffes la nuit venue. Le tailleur stricte mais sexy laisse place à une tenue plus dénudée. Ma poitrine est mise en valeur par un soutien-gorge en cuir noir, mon ventre est dénudé, et le pantalon de cuir noir taille basse que je porte épouse mon fessier de manière divine. En-dessous, un simple tanga noir, en satin. Des bottes montantes aux talons aiguilles affinent mes jambes galbée et les allongent.. Et deux gants noir, montant jusqu'au-dessus de mes coudes, dont les doigts sont ornés de griffes habillent mes bras. On est bien loin de l'ensemble noir, blanc ou gris et des escarpins. Non ? N'allez pas croire cependant que je ne porte que ces tenues. Lorsque je m'octroie un soir de repos, je vais en boîte. Et là, c'est la Sex-attitude. Miaouuw.

Caractère :

Je suis très indépendante vous savez ? J'aime ma liberté. Je suis comme les chats. Je sors mes griffes pour défendre le monde. Et lorsque j'ai quelqu'un en vue, c'est MA proie. Elle devient la souris entre mes griffes. Je joue avec, je m'amuse. Et je m'en régale lorsque le moment est venue. Je comble ma proie pour qu'elle me fasse découvrir mille autres plaisirs. J'affectionne particulièrement la domination. Enfin, la soumission pour moi. C'est amusant. C'est d'abord un contraste avec mon envie de liberté. Et puis... J'aime lutter, me rebeller, avant de me soumettre si la personne est suffisamment tenace. Mais attention, ça n'est qu'un jeu. Et il est hors de question que je sois l'esclave de qui que ce soit ailleurs que dans les ébats intimes. J'aime beaucoup aussi les jeux de rôle. Mais en dehors de ça, lorsque je suis au travail, je suis très pro. Aucune distraction ne pourrait me distraire de ce que j'ai à faire. En même temps, travailler dans un grand cabinet d'avocat est plutôt gratifiant. Je ne suis pas de celle qui passent au tribunal. Non. Moi,  je mène des enquêtes. Et les méchants... Catwoman s'en charge la nuit venue.. Surtout les violeurs ou les proxénètes. Et les tueurs.

Histoire :

Ma vie est tout ce qu'il y a de plus banale. Une mère alcoolique, un père violent et presque jamais là. Alors il était presque évident que moi aussi j'aurais une tare cachée. Un vice... En grandissant, presque seule du coup, je me suis mise à traîner dans la rue. Je piquais des choses. Je faisais quelques petites « courses » pour les grands. Genre amener de la poudre à des messieurs. Et repartir avec l'argent pour le ramener à ces grands garçons du quartier. Ces garçons d'ailleurs... Des mauvais garçons d'après l'avis publique. Dealers, voleurs... Ils avaient tout pour se faire mal voir des flics du coin. Ils passaient d'ailleurs au moins une fois par semaine au commissariat. Ils étaient vite relâchés, faute de preuves solides. Ce sont ces garçons qui, la première fois, m'ont repérée dans la cage d'escalier de mon immeuble. J'aidais ma mère à monter. Elle avait fait la tournée des bars. Deux jours durant. Elle n'était pas en état de travailler le soir. Elle était habituellement strip-teaseuse dans les bars miteux. Elle gagnait de quoi acheter à boire et un peu à manger. Ça lui suffisait. Bref. Je raccompagnais ma mère ce jour-là. Et je suis redescendue, avec le peu d'argent qu'il restait pour aller acheter à manger. Le loyer était payé par mon père. Tous les mois. En même temps, en tant que vigile, il gagnait assez pour cela. Les rares fois où il rentrait, c'était pour se plaindre. De ma mère. Elle protestait. Il y avait une dispute. Il la battait. Et lorsque j'essayais de les calmer tout les deux, il me frappait.

Donc... Je disais... Ce jour-là, après avoir raccompagné ma mère, je redescendais pour aller acheter à manger pour deux jours. Avec le peu de fric qu'il restait. Ils m'ont abordées, au sortir de l'immeuble. Ils faisaient leurs habituels tour de racket. Jusqu'à présent, je n'avais pas été ennuyée. Mais ce jour-là, ils se sentaient d'humeur à harceler une petite gamine de neuf ans. Ils m'ont demandé du fric. J'ai refusé. Ce n'était pas la première fois que quelqu'un leur tenait tête. Alors ils se sont fait plus menaçant. Mais je n'ai pas cédé d'un pouce. Alors seulement, ils se sont dit que j'étais différente des autres. Le plus grands, de quinze ans, a étudié mon visage. Il m'a tourné autour. Il m'évaluait. Et finalement, il a posé sa main sur mon épaule et m'a présentée aux trois autres garçons. Il a dit : « Les gars, voici notre appât. Notre petite main d'œuvre. » Je n'avais pas la possibilité de refuser. Et je crois que je ne VOULAIS PAS refuser.

C'est à partir de ce moment que je faisais quelques boulots pour eux. A douze ans, je fus arrêtée. Le gars à qui je devais refourguer la came était un flic. Malheureusement pour lui, je ne dit pas qui m'employais. Alors, décidé à me faire parler, il m'envoya en centre de détention pour jeune délinquants. Mais je ne dit rien, et effectuais le séjour de trois ans que je devais faire. Enfin... J'en effectuais une année. Le temps qu'il m'a fallu pour projeter mon évasion, la mettre en place, etc... A treize ans, je m'échappais. Je retournais quelques temps avec les garçons. J'étais plus prudente. Le meneur était fier de moi. J'étais un membre à part entière de leur bande. Jusqu'à dix-sept ans, je traînais avec eux. Le jour de mon anniversaire, ils voulurent le fêter. J'acceptais, bien sûr. Je n'étais pas retournée chez moi. Ils étaient désormais ma seule famille. Alors comment refuser ? On passa la soirée à s'enivrer au bar que tenait le père du meneur. Plus qu'un bar, c'était aussi une maison close. Mais j'ignorais cela à ce moment-là.

La soirée se passa très bien. Après l'alcool, j'essayais la drogue. Pour une seule et unique fois ais-je prévenu. Tout était bien. Je planais. J'étais à peine consciente des mains qui soudain se faisaient plus aventureuses. Comme une poupée de chiffon, je me laissais aller entre leurs mains. Ils ne furent pas violents. Non. A vrai dire, c'était même délicieux. C'est eux qui me prirent ma virginité. Je ne sais pas lequel. Sans doute l'aîné. Vingt-trois ans à ce moment-là. Le second avait vingt ans. Les deux autres, des jumeaux, avaient dix-neuf ans. J'étais la plus jeune. Mais j'avais grandi. Je n'avais plus neuf ans. Et ils s'en étaient rendus compte ce soir-là. Oh, ça aurait pu s'arrêter là. On aurait pu tous quitter la chambre le lendemain, avec la gueule de bois, et reprendre les affaires. Mais c'est sans compter le père du leader. Lorsqu'il m'aperçus, nue, entremêlée avec les quatre garçons... Il lui vint une idée. Oh, il se doutait que je n'étais plus vierge. Mais j'étais pile le type de femme qu'il recherchait pour son réseau de proxénétisme. Quand les garçons s'éveillèrent le lendemain, je n'étais plus parmi eux. Le père avait griffonné un mot.  « 'suis partie voyager. Merci pour la soirée. Bonne chance pour vos affaire. Signé : Selina. ».

En vérité, je n'ai jamais quitté Gotham City. J'ai passé deux mois à être louée à tel ou tel homme. Avant de réussir à m'échapper, profitant de la naïveté d'un des clients. Je n'avais pas fait d'études. Mais j'apprenais vite. Je me suis liée d'amitié avec une prostituée. Après ce que j'avais vécu, et ce qu'elle me disait à demi-mot, je savais qu'elle détestait ce qu'elle faisait. Mais elle devait survivre. Et l'argent était trop important. Alors je me suis mise à traîner autour des palais de justice. Tant et si bien que, intrigué de me voir ici tous les jours, l'un des avocats me demanda ce que je faisais. Je pris ma mine la plus innocente, et j'ai feint un intérêt pour le droit. Mais je n'avais pas assez d'argent pour faire des études. Alors je venais au procès, j'écoutais, j'assimilais. Il me donna rendez-vous à la pause de midi. Là, il me présenta une feuille. Un questionnaire. Il voulait tester mes connaissances. En une heure, la feuille était remplie. J'avais répondu à toutes les questions. Parfois en faisant appel à la logique, parfois à mon discernement, mais pratiquement toujours avec ce que j'avais vu aux procès. Il lu mes réponses durant l'après-midi. Deux procès passèrent. Et ce fut le soir. Je l'attendais sur les marches. Lorsqu'il arriva, il avait un sourire amusé. J'étais brillante m'a-t-il dit. Formée sur le tas, j'avais appris pas mal de trucs.

Depuis ce jour, tous les soirs il m'enseigna quelques trucs. Les ficelles du métier. Il me prêta des livres de droit. Et l'année dernière, lors de mes vingt-deux ans, celui qui m'avais enseigné tous ça m'a fait une surprise. A dire vrai, il était un genre d'avocat qui trempait dans ses affaires douteuses sans que personne n'en sache rien. Il me délivra un diplôme d'une Grande Université. Un faux, évidemment. Mais extraordinairement bien fait. En échange de quelques faveurs charnelle, il alla même jusqu'à payer cette université pour que les gérants reconnaissent m'avoir eu comme élève, me constituent un dossier exemplaire. Je devins l'une des associée du cabinet d'avocat de celui qui m'a aidé. Très vite, je préférais le terrain. Avec un peu d'aide, je démantelais le réseau de prostitution où j'avais été forcée d'exercer. J'aidais aussi mon amie à s'en sortir, à ne plus être une prostituée.

Puis, il y a quelques mois de cela, je tombais sur l'une des magouilles du cabinet. Une affaire plus grave que des faux, de la drogue ou de la prostitution. Il s'agissait de trafic de chair humaine. Ils couvraient les meurtriers et utilisaient les corps des défunts pour diverses choses. Quand celui qui m'avait formé appris que je savais, que je n'étais pas disposée à laisser passer cette fois.. Il entra dans une colère noire. Il me frappa. Et, près d'une fenêtre, il me poussa. Je tombais dans le vide, me rompant le cou sur des roches, et mon corps finit sa course dans une rivière. L'eau tracta mon corps plus loin. En-dehors de la ville. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé durant tout le temps où... J'étais morte... Mais quand je me réveillais, entourée de chat, j'étais en vie et couverte de boue. Je suis rentrée me changer. J'ai dormi longtemps. Des symptômes ont commencé à apparaître. Je me suis mise à raffoler des sardines. Je hérissais le poil des chiens. Je n'y faisais pas trop attention. J'avais d'autres soucis. J'ai monté mon propre cabinet. Après tout, j'étais devenue « honnête » aux yeux de la justice. Lorsque mon diplôme de l'Université m'a été remis, il a également effacé mon casier. Selina Kyle était une citoyenne des plus honnête. Je n'ai donc pas eu de problèmes. Le cabinet Kyle & Co' s'est ouvert. J'avais deux trois amies avocate qui ont quitté mon « éducateur » pour venir avec moi. Elles aussi en avaient marre de ces affaires douteuses. Et de devoir passer sous le bureau pour obtenir un salaire convenable. Parallèlement au travail d'avocat, je me découvris dotée des sens d'un chat. La nuit, j'étais une autre. Plus souple, plus féline. De rapides recherches m'indiquèrent que c'est la malédiction de Bastet. Ou le don, tout dépend des gens. J'utilisais ce don du ciel pour écumer les rues le soir venu, à la recherche de criminels.

Beaucoup furent mis en prison. Catwoman était devenue le fléau des criminels. Néanmoins, j'ai toujours laissé de côté les quatre garçons avec lesquels j'avais grandi. Ma famille en quelques sortes. John, Lukas, Fabien et James. Je passais les voir de temps en temps. Presque invisible dans la nuit. Ils avaient continué leurs deals un peu après ma disparition. Puis ils s'étaient rangés. Ils étaient devenus barmen ou vigiles. Ils s'étaient mariés. Je les laissais à leur vie tranquille. Ils étaient bien mieux sans moi. Brillante avocate, j'étais dans les journaux. Je réussis à faire tomber mon ancien cabinet pour toutes leur magouilles. Et rien ne fut jamais découvert sur mon passé. Un jour, une lettre arriva. Un confrère japonais me demandais si je voulais avoir une filière là-bas. Évidemment, j'acceptais. Je confiais le cabinet de Gotham à l'une de mes plus proches collègues. Et je m'envolais pour le japon. Voilà deux semaines que je suis ici. Tous les papiers ont été signés, j'ai un local. J'ai aussi un associé. Un tout jeune avocat. Ma carrière à Seikusu peut commencer. Criminels, proxénètes en tous genre... Méfiez-vous maintenant...

Situation de départ : Expérimentée <3.

Autres : J'ai fait un mix de différentes Yachtwoman. Et j'ai rajouté mon grain de sel :D. Ah, et je voulais faire plus court. Mais je me suis emballée ^^.

Récapitulatif des RP : C'est par ici !

Comment avez vous connu le forum : Google my dear.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non, malheureusement.

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