Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Messages récents

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Messages récents

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le Aujourd'hui à 14:07:55 »
Priscilla était stupéfaite. Tachibana-sensei avait tapé dans le mille. Rien n'avait arrêté le couple, à part son dernier recours de s'échapper au Japon. Leurs promesses n'avaient aucune valeur, mais elle s'accrochait à l'idée qu'ils la laisseraient tranquille. C'était une façon très candide de penser, et elle le savait. La jeune femme avait un peu changé, plus méfiante, mais juste un peu moins naive.

La soudaine tendresse de Tachibana-sensei contrastait avec les émotions de Priscilla. Elle avait peur, c'était évident, elle tremblait. Mais le touché rassurant de son tuteur était réconfortant. Les larmes coulaient à flot, et elles ne s'arrêteraient pas de sitôt. Enfin quelqu'un la comprenait, il ne semblait pas la juger ni vouloir lui demander quoique ce soit si ce n'était de faire son mieux pendant ses cours. A Manchester, tous ses amis lui avaient tourner le dos, la trouvant sale ou ne voulant pas écouter son point de vue, et elle ne pouvait pas en parler à ses parents car elle avait évidemment honte. Elle avait été isolée pendant toutes ces épreuves, tant que les tortures journalières qu'elle subissait étaient presque les seules interactions qu'elle avait avec les autres étudiants, vers la fin de son calvaire.

Priscilla restait dans ses bras, ne cherchant pas à se défaire de son étreinte. On pouvait facilement voir qu'elle avait sans aucun doute eu besoin de ce contact tendre pendant longtemps. La jeune femme ne parlait pas, mais ses pleurs traduisaient sa peine. Elle resta ainsi, profitant de ce moment, pensant que ce serait sans doute le seul réconfort qu'elle aurait jusqu'à trouver quelqu'un avec qui partager sa vie. Cette attention inatendue commençait à déformer la vision que l'étudiante avait de Tachibana-sensei. Au lieu de l'admirer en tant que professeur, elle se trouvait à vouloir son contact consolant. Elle savait que ce n'allait pas être possible à moins qu'elle se donne à fond dans ses cours.

Priscilla s'enleva doucement de son tuteur, séchant ses larmes, puis souria sincèrement.

« Merci, mais je pensais que votre métier était professeur, pas thérapeute. » dit-elle en riant.

Elle pensait pouvoir relacher toute sa pression et sa garde autour de lui, il la comprenait, et même si son tempérament jovial et taquin habituel n'était pas forcément approprié dans un rapport élève à professeur, elle ne semblait plus s'en soucier et voulait lui montrer son vrai soi.
2
Les alentours de la ville / On s'ouvre plus aux étrangers - PV (Luxury)
« Dernier message par Randal Dragunov le Aujourd'hui à 13:55:04 »
La petite ville de Corry en Pennsylvanie ne compte même pas 7000 habitants. Un mélancolique couché de soleil se reflète dans le regard d'un homme qui vient de quitter une bâtisse constituée de pierres rouges à l'instant. Une porte en bois claque derrière lui en se refermant alors que son regard reste fixe vers l'horizon. Le temps se veut légèrement frais mais agréable. Ses cheveux se soulèvent légèrement à l'arrière de son crâne sous l'effet d'une brise qui traverse la rue principale qui serait qualifiée de déserte dans une grande métropole.
Les gens du coin ne trainent pas dehors passé 19h. Ils sont généralement chez eux, en famille. A profiter d'un repos bien mérité après une longue journée de travail. L'anomalie qu'il représente a se promener dans la rue à une heure pareille, glisse ses mains légèrement humides dans les poches d'un manteau bien chaud porté par-dessus un costume bleu marine. Errant d'un pas lent, l'homme finit par s'arrêter devant un panneau suspendu à un mur qui indique "Traveler's pub" (le pub du voyageur). Cette drôle de coïncidence le fait sourire timidement et l'incite même à pousser la porte pour investir les lieux.

Une forte odeur de bois et d'alcool lui emplit les narines au premier pas effectué à l'intérieur. Ce parfum nostalgique pourrait presque lui faire baisser sa garde le temps d'une seconde. Sa tête se redresse le temps de vérifier où se trouve le bar avant de décider quoi faire.
L'endroit est bien entretenu et sans fioriture au niveau de la décoration. Bien que légèrement vide. Seule une poignée de personnes, qui doivent probablement être des habitués, est là. Aucune d'entre elle ne semble cependant intéressée par son entrée. Aucun regard n'est dirigé vers cet homme qui décide de s'approcher du bar.

Une fois assis à l'un des tabourets du comptoir, un homme dont l'apparence ressemble plus à celle d'un employé de bureau que d'un barman s'approche de lui « On voit rarement de nouvelles têtes par ici. Qu'est-ce que je vous sers ? ». « Whisky, sec. » lui répond l'inconnu en posant un billet sur le comptoir.
La somme inscrite sur le billet a de quoi surprendre le propriétaire « Je pense que vous vous êtes trompé... ». « Laissez la bouteille. » l'interrompt-il sans pour autant hausser la voix.

La surprise passée, le propriétaire hausse les épaules et fait ce que son client lui demande après lui avoir versé son premier verre.

« Longue journée ? »
« On peut dire ça. »


Il peut arriver que de riches investisseurs viennent à Corry pour visiter des terrains ou juste faire escales durant un voyage plus long. Mais jamais ils ne viendraient passer de leur temps dans un pub avec de parfaits inconnus. Ce qui rend la présence de cet homme aussi déroutante qu'insolite.

« Qu'est-ce qui amène un homme comme vous dans notre ville ? » cherche à savoir le propriétaire des lieux pour engager la conversation. L'homme vient se saisir de son verre de la main droite pour siroter une gorgée de son breuvage bien corsé avant de répondre « Je me posais justement la question en entrant ici. Peut-être que cette soirée m'en donnera la réponse. »

Le propriétaire n'a pas le temps de le relancer qu'un client à une table l'appelle pour commander quelque chose. Celui-ci s'éloigne alors en s'excusant. Laissant son interlocuteur seul à fixer le contenu de son verre qui reflète la lumière.
C'est vrai, qu'est-ce qui l'avait amené à venir ici ? Aux USA. Ou plus précisément dans un patelin paumé au milieu de nulle part. Ce n'était clairement pas pour le changement de décor ou d'air. Lui qui vit aujourd'hui principalement au Japon n'est venu qu'une dizaine de fois aux États-Unis avant aujourd'hui.

De quel bâtiment venait-il de sortir avant d'arriver ici d'ailleurs ? Il n'y avait aucune inscription ou plaque sur ce dernier. A peine un numéro de rue effacé par le temps. Y était-il seul ? En tout cas lui se posait une question bien différente sur l'instant : Est-ce que ce voyage était une bonne idée ?
D'un côté cela lui a permis de régler un problème en plus de développer une opportunité commerciale rare. Mais loin d'être indispensable à sa réussite. Son objectif était davantage personnel que professionnel et c'est cela qui semblait le perturber plus que le reste.

Perdu dans ses pensées, seul, il termine son verre d'une traite pour se resservir tout aussi rapidement.
3
Ville-Etat de Nexus / Re : Le dieu sauvage et ces bourses pleines (PV->Neel)
« Dernier message par Neel le Aujourd'hui à 12:51:01 »
Sa récompense, il allait en profiter un maximum. Kana était une belle Terranide comme on en voyait peu. Alors il pouvait bien lui offrir les services d’un mâle qui s’occupe de sa femelle, de se dépenser pour l’acte de reproduction ! Chaque picot qui entrait en elle était un délice. Un de ses orifices était plus serrer que l’autre et offrait donc des sensations bien différentes. Parfois, les picots se voyaient forcé de se coucher lorsque c’était son tour de pénétrer, d’autres restaient bien droit et frottaient particulièrement bien les parois de Kana, offrant diverses sensations de plaisir plus qu’agréable et qui faisait changer le ton de ses gémissements quand ça se produisait … C’était un peu aléatoire mais c’était ce qui rendait la chose encore plus plaisante.

-Sans intérférence ? … Aaah D’accord … Je vais donc t’en donner ce dont j’estime que tu mérites …

Et il avait envie de lui offrir ce qu’il y avait de mieux ! Une semence de très bonne qualité, chaude, épaisse et collante pour que celle-ci ne s’échappe pas si facilement de ses orifices et qu’elle puisse en profiter un maximum, même lorsqu’il devra partir de cette superbe rencontre. Durant ces va et vient, il profitait pleinement d’entrer en profondeur tout en collant son bassin à ces magnifiques fesses. Il restait plus ou moins doux pour le moment, mais un peu de bestialité ne faisait pas de mal dans ce genre d’échange …

-Ton mâle ? … Seulement si t’es ma femelle voyons …

Il la taquine un peu avant de soudainement lui attraper les bras pour qu’elle se redresse, collant le dos de Kana contre son torse et tirant sur ses bras pour qu’elle s’enfonce contre ses verges … Elle pouvait facilement deviner que la suite allait être plus sportive …

-Même si je suis un dieu … Je pense que tu peux supporter ce rythme hmm ?

Il commence alors de mouvement de va et vient plus sec, plus sauvage, laissant sa poitrine rebondir à l’air libre, claquant ses fesses de son bassin en les déformant à l’impact … Elle peut sentir ses verges la traverser, son anus étant perforer comme il faut et son utérus devant se déformer pour épouser le gland qui la pénètre et qui palpite d’excitation. Elle pouvait également sentir la présence couler, chaude et lubrifiante à chaque fois qu’il arrivait au fond … Quelques picots devaient passer le col de l’uterus, laissant peut-être également la pré-semence gonfler cette chambre bien chaude …

-Jouis … Autant du tu veux … sur mes verges … aaaaa
4
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Anéa le Aujourd'hui à 11:26:39 »
7 ne seront même pas suffisantes pour connecter mes neurones et voir que j'ai loupé un chiffre. ToT
5
One Shot / Re : Une ange de compagnie [PV NUHM]
« Dernier message par Nuhm le Aujourd'hui à 11:18:29 »
Elle semblait particulièrement bien aimer la luxure pour une ange. C’était tout de même étrange. Du peu qu’il savait d’eux, ils n’étaient pas du tout communs de voir un ange tomber dans ces travers. Elle semblait avoir été créé pour ça. Est-ce que cette théorie serait donc vrai ? Qu’importe notre lieu de naissance, on finit toujours par tomber sur une personne qui nous est destiné et pour lequel on vivra de nouvelle chose sans rechigner ?

-Ca pourrait se faire … Mais ne deviendrais tu pas accro si tu venais à jouir ainsi tous les jours ?

Elle semblait apprécier la proposition des vêtements sexy. Nuhm n’y connaissait rien cela dit. Elle devra certainement gérer cette partie. La seule chose qu’il pourrait faire c’est la suivre dans les magasins pour voir ce qu’elle pourrait vêtir et valider la chose … Mais dans les faits, il n’avait aucune idée à quoi pouvait ressembler un vêtement de ce genre. Les seules fois ou il avait vu de tel vêtement c’était en allant faucher la vie de prostituer pour les amener de l’autre côté.

-Aucune idée … Je n’ai pas vraiment eu l’occasion d’observer des humains comme toi. Saurais tu remplir cette nouvelle mission ?

Elle rougissait en voyant le collier. Mais elle ne semblait pas contrariée de le revoir. Elle venait poser cette belle poitrine contre son torse, l’enlace et l’embrasse à nouveau. Il répondait au baiser avant de lui mordiller la lèvre inférieur. Bien qu’il la sente encore bien chaude, il fallait peut-être passer à autre chose ?

-Maintenant que tu es bien pleine … Que faisons nous ?

6
One Shot / Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le Aujourd'hui à 09:56:43 »





Tenshi ne comprends pas. Pourquoi est-ce qu’elle se soumet donc à cet homme et pourquoi est-ce qu’elle prend du plaisir à être dans cette situation qui ne devrait pas laisser place à ce genre de sensation pourtant, elle était là à genoux en train de lui sucer de nouveau sa grosse queue, en faisant des bruits de ventouse et quelques petits gémissements, pendant que ces gros seins étaient en train de se frotter contre ses couilles, elle ne regarde toujours lorsqu’il lui parle avant de venir ouvrir dans les yeux. Dès qu’il aborde la question du mariage de l’épouser. Lui plutôt qu’un autre. C’était inconcevable pour elle. en tout cas pour le moment, cela voudrait dire qu’elle passerait définitivement du côté de la trahison , tandis que là elle peut toujours suggérer d’avoir donné son corps pour justement, ne pas offrir à cette le pouvoir qu’elle détient et après quelques longues minutes à se délecter de son membre imposant, il finit par jouir dans sa gorge et sur son visage, elle n’avait pas le choix, et comment ça avaler en plusieurs gorgées pour retirer ses lèvres, délicatement dans un bruit  de suçons. Elle essaye de reprendre sa respiration, la langue bien sorti de sa bouche pour montrer comment elle avait ce visage de chien en chaleur, alors qu’elle avait bien remonté son cul et que sa chatte était en train de Desmoulines par terre. Les gros seins, toujours contre lui, elle vient le fixer essayer d’être un peu plus Lucide.

Haaaa…haaaaaa… Je t’offrirai mon corps autant que tu le souhaites mais le mariage je ne peux pas l’accepter… il y a des limites à ne pas franchir

C’est ce qu’elle essaye de se convaincre que d’offrir son corps était la seule solution pour ne pas qu’il revienne sous le tapis avec ses pouvoirs. Mais en faisant cela elle se tire littéralement, une balle dans le pied sans le savoir. Elle vient d’être un bras sous sa grosse poitrine. Pour la mettre en avant. On respire fortement, mais les présentations venait d’être faites et elle devait rendre des comptes à son nouveau propriétaire. À partir de maintenant. Elle secoue la tête pour essayer de retirer de sa mémoire, cette image de mariage avec lui qui ne serait que débauche et pouvoir. Elle continue malgré elle, de frotter ses gros seins contre sa queue, comme pour la nettoyer instinctivement.

Alors qu’elle était sur le point de rétorquer, un sou rentre dans le palais pour tenir compte d’une intrusion dans le hueco Mundo, un petit groupe de Shinigami, sûrement venus en éclaireur pour tenter de trouver des traces de la jeune fille, mais hors de question de donner ce qu’il voulait. Aizen claque des doigts le sourire aux lèvres pour venir téléporter la jeune fille. Dans ces quartiers, il avait congédié les deux petites arrancards pour laissez place à sa future Reine

————————TO BE CONTINUED…
7
La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« Dernier message par Randal Dragunov le Aujourd'hui à 08:45:28 »
Apparaître dans un nuage de fumée ou parvenir à lui faire croire la même chose avec un papier sur lequel s'affiche un texte petit à petit sous ses yeux ne suffira pas à dissiper le scepticisme de Randal si facilement. Tout cela pourrait très bien être un tour de passe-passe destiné à le tromper. Par le passé il lui est arrivé de croiser la route de plusieurs E.S.P.er. Ces gens dotés de pouvoirs surnaturels peuvent réaliser des miracles aux yeux de personnes lambdas.
Alors non, ce dont il a besoin pour se faire un avis définitif c'est de concret. Seule une preuve de l'utilisation de ses pouvoirs face à lui suffira à satisfaire sa curiosité et sa prudence perpétuelle.

Randal répond « L'avenir nous le dire. » sur un ton calme à sa question sur sa capacité à pouvoir satisfaire ses demandes aujourd'hui et à l'avenir. Étrangement cette question le conforte dans son choix car elle sous-entend être intéressée par sa proposition.
Le regard du mafieux reste concentré sur le contrat pendant qu'il réfléchit à la condition qu'il pourrait imposé en cas de rupture de celui-ci au cas où la succube ne remplirait pas son rôle. Les pouvoirs possédés par cette dernière ne lui seraient pas d'une grande utilité s'il venait à les posséder. C'est alors qu'un sourire malsain vient s'afficher sur son visage alors qu'il relève la tête dans sa direction. « Vu à quel point tu tiens tant à ta liberté... Si jamais tu ne respectes pas ta part du contrat tu ne pourras plus utiliser tes pouvoirs pendant un mois. »
Autrement dit, elle sera totalement à sa merci si jamais cela venait à se produire.

L'homme s'avance alors en direction de la succube jusqu'à se retrouver presque collé contre elle. Son regard perçant plongé dans le sien pour la jauger le temps de quelques secondes. De la main droite il saisit par le col l'invocateur en lui ordonnant « Libère-la de ses entraves. » avant de le relâcher en continuant de fixer la succube en souriant pour ajouter dans la foulée « Je veux vérifier qu'elle est bien ce qu'elle prétend être avant d'aller plus loin. »

Un nouvel halo de lumière vient illuminer le tracé du cercle aux pieds de la succube pour le faire disparaître aussi rapidement qu'il a été dessiné à la craie par l'homme confus qui recule de plusieurs mètres par sécurité.
Randal effectue, lui, deux pas en arrière en levant le bras gauche « James, approche. » demande t-il sans quitter la femme du regard un instant. Un ordre auquel l'homme répond « Oui ! » pour ensuite se positionner à côté de son boss.

Le groupe est alors surpris quand James se mets à cracher ses tripes la secondes suivantes. Randal venait de le saisir par le crâne avec sa main gauche pour lui coller un puissant coup de poing du droit en plein dans l'estomac. La douleur est tel que l'homme de main de Randal tombe à genoux. Une poigne brutale lui attrape les cheveux pour le forcer à relever la tête en direction de la succube à qui Randal vient expliquer son geste. « Vois-tu, ce cher James ici présent a cru bon de... glisser sa main et se servir dans une boite à biscuits qui ne lui appartient pas. Et pour ne rien arranger à son cas il est même allé jusqu'à buter une civile qui l'a surprise. »

Coincé sous une poigne qui ressemble plus à un étau qu'à une main, James tente de sortir un couteau et de planter son Boss qui anticipe la chose et qui le plaque au sol en lui cassant le bras au passage dans un son qui fait grincer des dents l'invocateur qui regarde la scène de loin.
« Je ne te demande pas de t'en débarrasser à ma place car c'est mon homme, donc mon problème. Mais c'est l'occasion idéale de voir tes pouvoirs à l’œuvre. »

Une fois cette démonstration effectuée il signera le contrat sans hésiter un seul instant.
8
Le palais d'ivoire / Re : La Crise Nexusienne [PV: Serenos]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le Aujourd'hui à 07:42:20 »
Eleanor ne démordit pas, et à son allure, Serenos comprit qu'elle était déterminée à faire de lui un allié. Elle s'approcha de lui, sa petite carrure semblant plus petite encore devant les flammes de la cheminée, lui donnant un air réduit. Pourtant, il voyait bien dans ses yeux qu'elle avait la force d'une géante, et le courage qui y était associé. Cela lui plaisait. Une femme était trop souvent réduite, en ces contrées, à une pièce d'échange politique, bonne qu'à être mariée au plus fortuné. Il le savait, cependant, celui ou celle qui s'arrogera la valeur requise pour demander sa main devra la démontrer, pas seulement la clamer, et il aimait cette image.

Elle lui présenta une clé. L'objet était simple, mais brillait à la lumière des flammes comme pour signaler son importance. La clé en elle-même arborait un panneton simple, mais sa tête, elle, était ornementé de symboles. Il comprit, à ce simple coup d'œil, que la clé était autant une chose physique que magique.

"La tour d'argent."

Son regard se leva vers Eleanor, et il eut un sourire.

"Je vois que vous prenez la situation avec le sérieux qui lui est dû. Fort bien."

Il plongea la main dans la boite et en tira la clé, qu'il enfourna sans cérémonie dans sa poche. Elle lui expliqua devoir reprendre sa place sur le trône, et il sut que leur rencontre tirait ainsi à sa fin.

"Je ne prendrai que quelques hommes pour cette tâche. Les autres vous tiendront "compagnie", le temps de mon absence."

Par compagnie, il entendait bien sûr qu'il les plaçait là parce que la garde ne suffirait pas en cas d'invasion. Si le voile se déchirait, même en mesure réduite, il lui fallait des gens habitués à combattre ces créatures, qui étaient assurément les choses les plus éloignés de la forme humaine, pas des gardes qui n'avaient jamais qu'intervenu dans des disputes entre nobles. Pas qu'il souhaitait insulter la garde royale nexusienne, mais Nexus n'avait pas eu à vivre ce genre de phénomène depuis des siècles, et ceux qui en avaient l'habitude étaient soit non-affiliés à l'armée, soit déjà sur le front à lutter contre les engeances dépêchées par Mordred.

Il la salua simplement, puis il se dirigea vers la porte, faisant un bref arrêt en posant la main sur la poignée. "Eleanor," dit-il en tournant la poignée, "quoi qu'il arrive, ne perdez pas espoir. Ce n'est pas votre dernier combat, certes, et la victoire est loin, mais elle existe."

Et il ouvrit la porte, passant de l'autre côté et la refermant derrière lui, avant de suivre les couloirs qu'il avait, à une époque qu'il peinait à remémorer, parcouru de si nombreuses fois. Le regret l'assaillit, comme à l'époque, et il dût lutter contre la mélancolie qui cherchait à s'emparer de son cœur. Il chassa cette émotion et s'avança dans les couloirs, sentant malgré lui les regards des anciens Ivory, comme s'ils l'accusaient d'être responsable de la disparition de leur unique héritière légitime, mais il se refusa à les écouter.

Une fois près de l'entrée du Palais d'Ivoire, il rencontra Alessa.

"Alors ?" demanda-t-elle. "Rentrons-nous ?"

"Non," répondit le Roi. "Nous allons aider."

Le regard renfrogné d'Alessa trahit son agaçement, mais il l'ignora. La Matriarche n'avait que faire de tout ce qui ne touchait pas à Meisa et les Meisaens, et cela donnait parfois l'illusion qu'elle était fermée d'esprit, mais au contraire, c'était justement parce qu'elle était capable de voir les dangers qui pesaient sur sa nation qu'elle était si désespérée de rentrer, pour se préparer à la tempête qui, inévitablement, menace de se propager jusqu'à leur foyer.

"Prend dix de nos guerriers les plus vaillants," dit-il, "et dix autres. Déploie-les dans le palais, avec consigne de protéger la Grande Duchesse. Toi, moi et les dix autres iront prendre d'assaut la Tour d'Argent."

"C'est à une demi-lieue, sire ! À pied, c'est…"

"Je sais. Ce n'est pas idéal, et il y a de grande chance que le voile soit perforé dans notre déplacement. Je veux que nos hommes restants se déploient dans la ville, en groupe de cinq ou de dix, et cherchent ces fissures. Qu'ils protègent le peuple."

"Et les Nexusiens ?" Cracha-t-elle. "On doit faire le travail pour eux?"

Le Roi posa sur la jeune femme un regard sévère. Parfois, la langue d'Alessa lui semblait être un lourd fardeau, d'autant que par son statut de Matriarche de Meisa, elle était probablement l'une des entités les plus respectés de Meisa, et donc avait le pouvoir et l'autorité requise pour se dispenser du protocole.

"Le plus vite cette situation sera réglée," dit Serenos en posant une main sur l'épaule de la guerrière. "Le plus vite nous rentreront chez nous. Fais ce que je te demande, Matriarche. Ceci n'est pas un ordre de ton Roi, mais une requête."

Elle soutint son regard un moment, visiblement prête à lui opposer sa volonté, mais plus elle le défiait du regard, plus elle se décourageait en voyant qu'il ne changerait pas d'avis. Elle lâcha un soupir et repoussa sa main avant d'aller s'exécuter et distribuer les ordres.
9
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 03:11:26 »
6 :3
10
Blabla / Re : Embrasses-tu / n'embrasse pas
« Dernier message par Em le Aujourd'hui à 03:07:05 »
*Em regarde le Minotaure et son énorme t---*

"Ouaaaaaais, non. Ca pourrait tuer quelqu'un '-'

Embrasseriez-vous une méduse pour une récompense? :3
Pages: [1] 2 3 ... 10