Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 13:32:45 »
-Je pourrai en profiter pour établir une punition éternelle …

Il plaisantait bien sur et le ton qu’il utilisait en témoignait. Les punitions des dieux n’avaient rien de drôle. De toute façon, s’il devait la punir, ce serait bien entendu pour quelque chose de bien plus grave. Il se fichait un peu qu’une vie soit perdue par ses mains. Regalis avait ses principes en la matière.

Mais le fait que le lit se retrouve mouillé ne semblait pas la gêner. Elle disait qu’elle changerait les draps. Cela faisait sens. Mais Regalis avait envie de lui transmettre son envie cette fois en dirigeant. Ceci afin de répondre à sa générosité lors de la séance de cinéma. C’était son tour de lui faire sentir le plaisir à sa manière.

 Cette poitrine qui avait atterrit contre son visage était un délice. Il ne se gênerait pas de mordiller ces poitrines et ces tétons lorsqu’ils étaient à proximité, les dévorant avec appétit tout en ne cédant pas à l’envie de l’embrocher d’un coup sur sa verge et la faire languir un peu en guise d’une punition légère.

-J’ai l’impression que tu restes aussi serré, qu’importe ce que tu prends …

Il se retrouvait alors au fond d’elle, après une lente pénétration et une dernière phase plus soudaine qui marquait l’envie de la prendre sauvagement. Elle avait elle aussi envie que ce soit plus brusque. Très bien … Elle allait être servie. Elle lui donnait le feu vert pour qu’il puisse profiter d’elle de cette manière n’importe quand. Il serrait sa poigne sur ses fesses, lui faisant confiance pour rester bien accroché à lui avec ses jambes autour de lui …

-Très bien Sareeth … Et bien … Me voila …


Il collait ses lèvres contre les siennes, les dévorant avec une passion ravageante. Il usait de cette poigne sur ses fesses pour la faire bouger, rapidement, sèchement sur cette verge qui s’enfonçait alors avec brutalité en elle, perforant son col à chaque retour pour déformer ce joli ventre plat … Il sentait ses chaires écarter et chauffer au contact de celle de Sareeth tant le mouvement était fort. Heureusement que la lubrification était abondante pour refroidir tout ça … mais ce doux mélange de sensation était épique. Il gémissait contre ses lèvres, revenant les chercher même quand elle cherchait à reprendre sa respiration ! C’était presque comme deux animaux en train de copuler … Regalis se permit même de reculer un peu … puis de se retourner pour la plaquer contre la porte sans retenue pour que les pénétrations soient encore plus intenses, laissant le corps de Sareeth percuter celle-ci à chaque fois qu’il claquait son bassin contre le sien. Les voisins, s’il y en avait, risquaient bien de se demander ce qu’il se passe dans cette appartement …
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 13:13:52 »
Heullo l'ami. L'ambition c'est bien.  ;)
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Alors qu’elle continue sa gestuelle sensuelle, elle pouvait sentir la grosse bite, de nouveau venir se frotter contre sa chatte et ne peut s’empêcher de laisser gémissements de plaisir venir à son oreille. Alors qu’elle tient toujours la cravate entre ses doigts, elle vient plaquer ses gros seins contre lui, et bouge son bassin sur lui, pour qu’il puisse bien sentir qu’elle était encore brûlante, tellement qu’elle avait dû se retenir avant d’avoir le plaisir de prendre une aussi belle, bite que la sienne et sans crier car il n’hésite pas à lui montrer de nouveau son désir qui palpite en bas de son ventre, pour revenir s’enfoncer  en elle .

Tenshi crie de nouveau tellement conquise par le plaisir, et elle élève une de ses jambes pour la placer autour de la taille du manager qui vient lui donner des coups de bas puissants pour se planter au fond de son utérus, faisant bouger ses gros seins contre son entorse. Elle se retrouve sur la pointe des pieds dès qu’il vient se planter au plus profond et elle en profite pour venir l’embrasser à pleine bouche, de manière vulgaire en jouant avec sa langue.

Haaaa haaaaaa…oui je serai une bonne chienne obéissante.… rien que pour mes maîtres haaaaa…ouaf ouaf

Alors qu’elle continue de prendre la grosse bite qu’il a fait grimper carrément au septième ciel après des très longues minutes, il revient exploser son sperme qui inonde complètement son intimité, une dernière fois, et bien entendu, elle ne retient pas son orgasme à son tour et passer ses bras autour de son cou, pour s’accrocher à les jambes qui tremblent. Lorsqu’il finit de caresser toute sa peau et ses formes, il se retire lentement dans un bruit de ventouse, et la belle rouquine tombe à genoux au sol cuisse bien écartées en posant les mains et le regarde, la langue pendante en essayant de reprendre sa respiration. Elle tourne la tête légèrement pour voir le sperme couler par terre Alors que ses trous étaient complètement ouverts

Haaaa… je serai très attentive à mon portable et à ma boîte mail. J’ai tellement hâte de rencontrer tout le monde.… et j’espère pouvoir satisfaire pleinement Roy…haaan Votre groupe me fait tellement fantasmer depuis des années.

Après avoir repris un rythme cardiaque à peu près normal, elle se redresse en essayant de bien remettre sa robe comme elle était lorsqu’elle est arrivée. Elle sort de son sac à main en string. Quel diamètre dans la poche du manager comme un petit souvenir décède rencontre avant de revenir l’embrasser carré sans son torse. Elle était complètement tactile. C’était sa marque de fabrique et sa manière d’être une bonne chienne à se frotter contre ses propriétaires.

J’espère vous revoir très vite…haaaa… Vous savez que vous pouvez m’appeler à n’importe quel moment et je viendrai m’occuper de votre grosse bite.…

Elle lui fait un clin d’œil plutôt espiègle avant de l’embrasser une dernière fois, et de caresser son entrejambe pour bien s’imprégner de cette taille. Elle passe à l’heure à côté de lui pour reprendre une démarche chalouper pour se diriger vers les sorties du musée.
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 12:57:06 »
Rebienvenue
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Prélude / Re : Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 12:19:04 »
Rebienvenue !
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Prélude / Le visage de l'ambition [Anéa]
« Dernier message par Hadrian Lumis le Aujourd'hui à 12:11:29 »
Nom : Lumis
Prénom : Hadrian
Sexe : Masculin
Âge : 25 ans
Race : Humain (sorcier)
Sexualité : Hétérosexuel

Physique :

Hadrian est loin d’être un colosse, mais sa silhouette est athlétique, sa taille bien marquée et ses épaules plutôt larges. Ses muscles sont denses et plutôt souples et secs. Sans préoccupation excessive, il s’entretient avec régularité, pratiquant assidûment la course à pied et la boxe anglaise. Il trouve dans le sport un exutoire après ses longues heures passées à étudier dans son cabinet et son esprit compétitif le pousse à la performance. Hadrian arbore plusieurs cicatrices, souvenirs de rituels magiques et de duels périlleux. Un tatouage discret représentant un ancien symbole de pouvoir orne son poignet gauche, invisible pour ceux qui ne savent pas quoi chercher.

Le jeune sorcier est doté d’une physionomie aristocratique. Son nez est effilé, ses pommettes hautes et saillantes, ses lèvres charnues et la ligne de sa mâchoire, nette et anguleuse. De longs cheveux aile de corbeau encadrent son visage diaphane. L’androgynie de ses traits qui donne une certaine douceur à son visage est accentuée par son regard bleu pâle, presque gris qui semble transpercer l’âme de ses interlocuteurs et dans lesquels brille toujours une lueur de défi farouche.

Hadrian accorde un soin notable à ses tenues, s’agissant aussi bien des coupes que des matières. Connaissant ses codes couleurs sur le bout des doigts, il porte majoritairement des teintes sombres associées à celles de l’or ou de l’argent. Sur sept de ses doigts se trouvent des bagues ouvragées. L’une d’elles est une puissante amulette, transmise de génération en génération dans sa famille et probablement le joyaux le plus précieux qu’il possède. Ses tenues sont souvent complétées par une cape longue brodée de motifs étranges.


Mental :

Sous ses dehors d'aristocrate froid et obséquieux, Hadrian dissimule un caractère orageux et vindicatif. Intolérant à toute forme de frustration, il bouillonne en permanence de la rage sourde et lancinante de son ambition. Néanmoins, son éducation et sa maîtrise de l'étiquette le rendent difficile à sortir de ses gonds, sauf à le connaître suffisamment pour jouer sur la corde sensible.

Doté d’une intelligence hors du commun, d’un tempérament obsessionnel et d’une capacité de travail impressionnante, Hadrian se dévoue corps et âme à la réalisation de son objectif qui n’est pas, comme la plupart de ses condisciples l'imaginent, de devenir Grand Enchanteur, mais de transcender sa qualité de mortel.

Il lui faut exceller dans chaque entreprise qu’il entame, au point de s’en rendre malade de telle sorte qu’il est depuis plusieurs années, loin en tête dans le classement des meilleurs élèves de l’Académie, y compris en botanique.

En dépit de ses capacités intellectuelles, Hadrian reste un jeune homme impulsif et parfois naïf qui sous-estime régulièrement la plupart de ses interlocuteurs. Malgré son apparente confiance en lui, Hadrian est hanté par la peur de l'échec et de retourner dans l’obscurité de laquelle il est issu.

Sans cruauté excessive, il considère la plupart de ses semblables comme des pions et les femmes, spécifiquement, comme des êtres inférieurs destinées aux tâches ménagères et à écarter les jambes lorsqu’on leur en donne l’ordre. C'est pourquoi la prépondérance des femelles dans la hiérarchie des magiciens lui apparaît comme contre-nature. Cette misogynie qu’il ne cherche pas à dissimuler s’accompagne d’une libido vorace, égoïste et obscène qui ne semble pas déranger outre mesure ses amantes, humaines ou sorcières, qu’il souille copieusement.

Il existe toutefois une minorité d’individus qu’Hadrian estime être digne de sa considération et qui bénéficient de son amitié, voire de sa confiance. Il se murmure néanmoins que certains de ces êtres ne sont pas tous tout à fait humains…

Histoire :

Hadrian est le dernier descendant mâle d’une longue lignée de célèbres sorciers quasiment éteinte, ruinée par la cupidité, la sédition et les vices de ses derniers représentants. Le jeune homme est né d’une mère nymphomane à moitié folle et d’un père inconnu. Frappé par l’infamie dès sa naissance, Hadrian a toujours été animé par une volonté de revanche et de conquête. Il a développé très tôt un don surprenant pour la magie et a intégré l’école de sorcellerie à ses douze ans, bénéficiant d’une bourse prenant en charge ses frais d’inscription à raison de ses dispositions exceptionnelles.

Persuadé d’avoir un destin glorieux et de porter la responsabilité de laver l’honneur de sa famille, il fait preuve d’une force de caractère confinant à l’obstination et d’un esprit de compétition presque toxique pour surclasser ses petits camarades dans la plupart des domaines. Il sort premier au classement, avant d’intégrer la prestigieuse Académie de la magie dans laquelle il poursuit assidûment ses études.

Il y développe une misogynie notoire en constatant que la plupart des postes à responsabilités sont occupés par des femelles envers lesquelles il ressent une puissante attirance mâtinée de mépris. Il traite ses amantes comme des

Son profil étonne, intrigue ou inquiète jusqu’aux plus éminents magiciens, jusqu’à Delia Augustus elle-même, la Grande Enchanteresse. Il y a bien des siècle qu’aucun sorcier mâle n’a régné sur le monde magique mais ce n’est point, comme le prétend l’histoire officielle, en raison d’une supposée inaptitude, mais bien d’une volonté des sorcières d’écarter systématiquement les mâles, jugés ambitieux, faillibles et belliqueux du poste suprême. Mais comment écarter de sa destinée un homme aussi brillant qu’Hadrian ? De quoi causer de nombreuses nuits blanches à la grande enchanteresse. Elle a pour le jeune homme qu’elle a personnellement formé une certaine fascination morbide. Tiraillée entre ses allégeances, elle s’est tout de même secrètement entendue avec les examinateurs de l’épreuve de l’Oracle des mystères pour élever sensiblement le niveau attendu.

Mais, contre toute attente, Hadrian, portant désormais l’espoir vengeur des sorciers reprouvé remporte haut la main quatre de six épreuves imposées. Son ascension semble, à terme, inévitable en dépit de son jeune âge. Néanmoins, l’épreuve a été suspendue à raison de soupçons de fraude, Delia elle-même se trouvant à demi-mot, accusée d’avoir favorisée son poulain. Une enquête est actuellement en cours pour déterminer si oui ou non, Hadrian a triché, d’une manière ou d’une autre, notamment en influençant le jury.

Mais Hadrian ne voit cette interruption que comme un contretemps. Certain de sa supériorité, conscient des manœuvres dilatoires des faibles femelles qui s’opposent à son futur règne, il prend son mal en patience, construit des alliances avec des sorciers à la réputation douteuse.

Comment avez-vous connu le forum ? : DC.
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Brittany était ravie du déroulement des évènements.
Bien qu'a ses yeux, Shun ait tout de l'associal typique, elle avait déjà réussi à lui faire décrocher un sourire en usant de ses charmes. Un petit quelque-chose lui disait que ce sourire ne lui était pas habituel, aussi considérat-elle cela comme une première victoire. Elle ne doutait pas un seul instant être capable d'obtenir bien plus de lui en persistant dans cette stratégie. Bien entendu, il allait falloir user de son influence pour éviter au garçon d'entendre trop de rumeurs négatives à son encontre, mais le simple fait de rester dans son entourage devrait dissuader les fâcheux de lui mettre des bâtons dans les roues.
Du reste, rare étaient ceux qui avaient l'audace d'affronter sa colère et les élèves, ainsi qu'une partie du corps enseignant, savaient de quoi elle était capable.

C'est donc en empruntant une façade des plus aimable qu'elle accepta la requete de Shun pour lui faire visiter le lycée.
"Ce serait avec plaisir. J'ai fait toute ma scolarité ici donc je connais les lieux comme ma poche. Je connais jusqu'aux coins les plus discrets.."

Elle se demanda si elle n'y avait pas été un peu fort avec sa dernière remarque; elle ne voulait pas lui faire faire peur avant qu'il ne se soit englué dans les mailles de sa toile.
Brittany sentait bien que Shun n'était pas tout à fait à l'aise, mais elle était aussi parfaitement consciente de l'effet qu'elle produisait sur le jeune homme et elle n'allait certainement pas laisser filer le poisson qui venait tout juste de mordre à l'hameçon.
Aussi tenta-t-elle une approche plus subtile pendant l'heure de ménage. Rien de bien rentre-dedans, elle se contenta de regards en coin, faisant fuir son regard au dernier moment quand il la voyait le regarder.
Elle poussa même le bouchon jusqu'à feindre la timidité et à rougir une ou deux fois, comme une ado innocente. Ceci dit, si elle jouait un rôle à présent, elle n'était pas tout à fait insensible aux charmes de Shun. Son apparence efféminée était déjà un agréable changement par rapport aux sportifs à tête vide qui lui tournaient autour d'habitude; et si sa cicatrice la gênait un peu elle l'oubliait bien vite quand leurs regards se croisaient subrepticement. Qui plus est, le côté renfermé et innaccessible du garçon avait cet effet qui était tout nouveau pour elle: elle n'aimait pas ne pas obtenir ce qu'elle voulait, elle n'était pas habituée à ça. Elle se surprit à envisager de garder ce rôle aussi longtemps qu'il le faudrait pour obtenir une emprise sur ce petit nouveau, ce qui pour Brittany ressemblait le plus à ce qui pouvait se rapprocher d'une concession.

"Je suis heureuse que tu aies intégré notre classe, je pense qu'on va bien s'entendre."

Cependant, pour "bien s'entendre", il allait d'abord falloir qu'elle trouve des points d'entente justement, et Brittany ne naviguait de toute évidence pas dans le même monde que Shun. Heureusement, sa culture musicale était assez vaste et elle repéra vite le badge à l'effigie de Breakbot. Un point d'accroche peut-être?
"Tu écoutes de l'électro-funk?"
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Le métro et la gare / Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 09:02:07 »
La souffrance ne fait qu'augmenter sous son jean quand l'inconnue décide de lui montrer ce qu'elle frottait contre lui depuis plusieurs minutes. N'importe qui penserait maladroitement qu'une personne qui s'adonne à ce genre de chose doit être moche, mal foutue ou alors déséquilibrée mentalement. Dans quelle catégorie est-ce qu'il faudra la ranger ? La question devra attendre car sa bouche lâche un nouveau soupir de plaisir suite au second freinage du métro. Cette contrainte n'a pas arrêtée la belle jeune femme. Au contraire, elle y repart de plus belle.

Explorer et réaliser les fantasmes de ses fans en plus des siens fait partie de son quotidien d'une certaine manière. Le thème des petits plaisirs en extérieur revient régulièrement dans ses échanges avec eux. Lui qui n'était pas vraiment intéressé par cela au début a fini par développer une curiosité à ce sujet. D'abord par des photos envoyées par des femmes qui se dévoilaient peu à peu. Mais aussi par des couples. Exclusifs comme libertins d'ailleurs. Tous ces partages ont fait germer une petite graine de perversité en lui avec le temps.

Jusque là les mains de l'enseignant étaient accrochées à une barre métallique au-dessus de sa tête pour bien se cramponner et éviter de se faire entraîner par la foule. Sauf que la situation est différente maintenant que tout le métro est à l'arrêt.
Mais alors qu'il est sur le point de prendre une initiative, une paire de main délicate vient ouvrir son jean et sa braguette à sa place.
Il se laisse alors faire en observant d'un œil attentif et amusé.

Lorsque l'inconnue revient se presser avec son petit cul bien ferme contre sa queue encore emprisonnée sous son boxer, il décide que c'est l'occasion parfaite pour rejoindre son petit jeu. Sa main droite vient alors se poser sur la fesse à la peau aussi douce qu'il se l'imaginait pour la caresser avec tendresse dans un premier temps.

Il aurait bien voulu pimenter la chose en lui disant quelque chose. Seulement le bruit des contestations inonde la rame de métro et personne ne doit s'entendre ne serait-ce que penser.
Incapable de lui partager oralement sa surprise ou sa complicité, il ne lui reste plus que les gestes. Et c'est ce qu'il fait en utilisant sa seconde main qui vient se poser sur la hanche fine de l'autre côté de ce corps de rêve. Sa grosse main aux doigts épais se faufile jusqu'à un ventre plat pour en couvrir une bonne partie. Une façon comme une autre de lui faire comprendre que maintenant qu'elle a commencé à jouer elle n'ira nulle part.

Toujours incapable de lui parler directement sans avoir à trop élever la voix, son crâne se penche légèrement en avant pour se retrouver au niveau de la chevelure de sa partenaire de jeu surprise. Et là il se met à respirer un peu plus fort. Son rythme est dépendant de son excitation grandissante à cause des mouvements de leurs bassins respectifs qui font frotter son bout de viande épais et son derrière. Elle devrait l'entendre et sentir à quel point il est réceptif à ses gestes.

C'est alors que la main posé sur le petit cul se met à glisser pour venir se frotter à l'intérieur de sa cuisse de manière plus dangereuse.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 08:33:36 »
La jeune fille se sentait-elle mieux ? le Hayao que je présentais face à elle faisait tout pour cela, ceci dit. Il se montrait doux, prévenant, affectueux mais sans excès, il montrait même qu’il pouvait la protéger. Je pouvais le faire, bien sûr. Je pouvais la protéger et lui éviter des ennuis, ne serait-ce que parce que je pouvais offrir des cauchemars sans fin à quiconque userait de ces images contre elle. C’était tout le sel de la chose je doutais qu’elle puisse le comprendre réellement. Il faudrait peut-être que je révèle anonymement ça à quelqu’un et que je le terrorise suffisamment pour qu’il ne s’en serve pas, et qu’elle le sache, pour que je renforce ma position, réellement… avec un peu de chance, cela pourrait se faire, à méditer.
Du cou, quand elle plaisanta sur le fait que ce n’étaient que des paroles, je ne pouvais pas la blâmer, il était vrai que c’était probablement ce qu’elle devait penser au fond, mais n’osait pas le dire autrement qu’en plaisantant.

« Tant que personne ne te ressort ces images et te force à recommencer alors on peut dire que j’ai raison. Et si ça arrive… eh bien disons que tu comprendras bien vite que je ne suis pas démuni de moyen pour te protéger. »

Je souris.

« Je te promets que je ferai le nécessaire pour que tu ne sois pas importunée par tout ça… mais en retour, tu me promets que tu ne rechigneras jamais à aucun sacrifice pour que j’assure ta réussite. N’est-ce pas ? »

Donnant donnant, toujours, mais cette fois, je présentais les choses de manière un peu plus poussée :  elle ne devrait rechigner à rien. Cela me permettrait d’y aller dans la gradation. Je pourrai lui proposer de pire en pire en pire et ce de manière crescendo. En somme, une fois le doigt dans le processus… trop tard.
Mais puisqu’elle était prête à travailler, alors go ! je remontais mes manches et je m’apprêtais à travailler.

« Je vois. C’est très ingénu, mais je suppose qu’on n’a pas pu tout t’enlever. C’est une bonne chose. Enfin bon, allez, au travail ! »

Nous avions bien entamé le temps de travail mais ce n’était pas grave, et je commençais à la faire travailler. Un travail bête et méchant qui consistait à lui expliquer des kanjis et les lui faire tracer, avec les explications de pourquoi il était tracé comme ça, et les définitions de concept qui allait avec. Enfin, presque à la fin, je lui proposais.

« On se refait une session de cartes pour terminer ?  Avec enjeu cette fois, si tu gagnes, tu peux demander une récompense – raisonnable bien sur – de ton choix, et si tu perds, tu devras avoir un gage ou une petite punition. Là aussi tu me proposeras quelque chose qu’est-ce que tu en dis ? »

Je commençais à ressortir les cartes.
10
La nuit semblait permanente. Reprit-il conscience ? Possible, mais tout restait sombre, flou, la douleur et le mal ne lui offrait aucune échappatoire autre que l’oubli rude de l’inconscience…. Le heures suivantes furent seulement une suite de conscience endormie et d’inconscience, en boucle, offrant parfois de petits moments de lucidités où sa vision était trouble. La fatigue n’avait rien aidé, bien sûr. Et il passa sans doute plus d’un jour à dormir ou à rester évanoui, selon les moments, alors que l’on s’occupait de lui. Il délirait peut-être un peu, même, pendant ses périodes assoupies, des choses incompréhensibles, des prières à la flamme éternelle de l’Ardant, aussi sans doute….

Quand il se réveilla, il était….
Où est-ce qu’il était ?

Machinalement, il chercha sa longue épée à portée mais elle n’était pas là. Et une violente douleur cisailla le bras. Il tourna la tête et au-delà de son bras, pansé, qui montrait qu’on s’était occupé de lui et dont il venait probablement de ruiner une partie des efforts étant donné la teinte sanglante que ceux-ci prenaient. Il releva la tête sur le visage de celle qui semblait le veiller. Son premier réflexe fut d’essayer de voir si elle portait une arme. Non. Pas d’arme a priori. Il la scruta un peu.

Elle était penchée sur lui, dans une robe blanche simple et pudique, mais ce n’était pas cela qui le choqua. Ce fut son air… tiré…. Fatigué… éteint… elle aurait pu sembler être fanée…

« Qui êtes-vous ?  Où suis-je ? »

Deux questions essentielles mais qui étaient nécessaires… il porta sa main valide à son crâne, qui lui faisait un mal de chien.

« Ma tête… j’ai dormi longtemps ? »

Nouvelle question. Il la dévisageait. Elle était jolie, et le serait plus si elle avait été plus en forme, elle aurait été très belle, alors. Il regarda autour de lui. Il était sur une couche de mousse et de végétaux dans ce qui semblait être une petite clairière, dans une cabane, sans doute.
Il essaya de se lever. Peine perdue.
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