Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le jeudi 30 mai 2024, 23:54:10 »
Chaque fois qu'elle rouvrait ses yeux en espérant se retrouver dans son lit, la situation où elle se retrouvait devenait de pire en pire. Priscilla était à bout, partout où elle regardait, tout ce qu'elle entendait, même sa propre voix la blamait pour ce qu'il se passait. Elle se recroquevilla sur le sol, couvrant ses oreilles et fermant ses yeux en espérant qu'elle se réveille après un temps.

«C'est faux ! Ce n'est pas ma faute !» hurla-t-elle.

Même avec les oreilles couvertes, les voix résonnaient dans sa tête, elle ne pouvait pas les échapper.

«Arrêtez ! Pourquoi moi ?» dit-elle en sanglot.

Au milieu de toute ces voix, elle continua de répéter de plus en plus fort au point où elle pouvait perdre sa voix, paniquée.

«Réveille-toi, réveille-toi, REVEILLE-TOI»

Priscilla releva sa tête en entendant au milieu des moqueries et des accusations une voix chaleureuse. Elle regarda autour d'elle, tourna sa tête dans tous les sens, et elle le trouva enfin. Elle se leva et traversa la foule d'étudiant qui ricanait à son passage. Elle commençait à courir, trébucha presque, mais gardait sa direction pour enfin arriver devant son tuteur. Elle s'agenouilla pour le supplier.

«S'il vous plait aidez-moi, je ferai tout ce que vous voudrez, emmenez-moi loin d'ici, je vous en supplie !»
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Les alentours de la ville / Re : Divine rencontre...{Los Angeles} {Jin et Hédoné}
« Dernier message par Luxury le jeudi 30 mai 2024, 21:47:23 »
Lorsqu’Edwina entendit sonner, elle sursauta presque, mais son coeur se mit à bondir d’excitation dans sa poitrine. Une sorte de mélodie sur fond de «Le dîner est serviiii» de son giron en ébullition. Si elle n’avait pas été un minimum éduquée, elle aurait tapé dans ses mains en sautillant sur place. Mais au lieu de cela, elle se dirigea vers la porte pour écouter ce qui se disait dans le couloir. Jin semblait s’extasier sur sa demeure et elle en fut plus que ravie. C’était plaisant de savoir que des gens étaient capables d’apprécier le style outrancier de l’architecture qu’elle avait choisie elle-même. Rosie le conduisit ensuite auprès d’elle, qui s’était reculé rapidement afin que personne n’apprenne qu’elle était en train d’espionner comme une enfant qui attend son cadeau de Noël…

«Ne soyez pas si formel ! Appelez-moi Edwina.»

Edwina s’avança en parlant, lui tendant la main afin de recevoir un baiser comme elle avait l’habitude que ce fut fait. Elle aimait déjà ce qu’elle voyait et savait parfaitement ce qu’elle trouverait en-dessous. Ce qui lui plaisait particulièrement. N’était-ce pas odieux, bien qu’excitant, de connaître la nudité quelqu’un alors que ce quelqu’un ne connaissait pas grand-chose de vous ? Oui. Mais elle savait être odieuse dans sa conception des choses, la dame Papadakis. Elle resta à le contempler un moment, puis avisant que Rosie était toujours présente, elle se pencha pour la regarder droit dans les yeux.

«Merci...Josie ! Vous pouvez...eh bien nous laisser. Faites préparez de quoi alimentez ce corps d’Apollon voulez-vous ?» Puis, se remettant face à lui, ses yeux plongés dans les siens avec un sourire éclatant de blancheur. «J’imagine que vous avez faim après ce long voyage ? La nourriture dans les avions n’est pas exceptionnel. Même dans mon Jet et je le déplore...et m’en excuse.» Elle s’était approchée et posa sa main baguée contre le torse, en appréciant la dureté. «Venez. Je vous ferai visiter plus tard et nous irons voir votre chambre. Pour le moment, il faut que nous fassions plus ample...connaissance.»

Edwina pianota de ses ongles longs sur le torse et retira sa main en une caresse délicate qui glissa jusque sur le ventre tout aussi musculeux, elle le savait pour l’avoir vu dans des films. C’est comme à regret d’ailleurs qu’elle se détourna.

«Suivez-moi...Jin.»

 Edwina les conduisit vers une baie vitrée qui couvrait l’arrière de la grande pièce, ouvrit la porte sur une terrasse ensoleillée au sol de pierre blanche. Il y avait des colonnes et un toit en demi-sphère qui les protégerait du Soleil. Là, des sièges confortables les attendaient, avec une table décorée de fleurs. Un vaste jardin les entourait, avec une piscine dessiné comme un immense bassin de pierre naturelle. Elle avait demandé à ce que ce petit havre de paix...enfin...petit. Soit dessiné comme s’il s’était agi du jardin des dieux.

«Installez-vous, Josie va nous apporter de quoi grignoter et boire. Il fait une chaleur étouffante aujourd’hui...» Ou alors c’était elle et ses vapeurs. Mais elle eut la délicatesse de n’en rien dire. «Je vous suis si reconnaissante que vous ayez accepter de venir ! Surtout que ce n’est pas tout près, le Japon !»

Le parfum que dégageait la déesse avait quelque chose de particulier. Une fragrance que l’on n’aurait pu nommer et qui donnait aux personnes se trouvant à son contact, envie de se détendre, de profiter, de rire...un parfum de bonheur et de plaisir. Ses employés n’y étaient pas sensibles autant que les personnes qu’elle ne côtoyait que rarement. Comme une forme d’accoutumance protégeait les habitués de la dame Papadakis de l’attraction que pouvait opérer la senteur divine.

«Mais je parle...je parle...dites-moi plutôt ce qui vous a fait accepter. Et soyez honnête surtout, je ne me vexerai jamais.» Disait-elle. Si une connaissance de la dame s’était tenue présente, elle se serait étouffé devant ce «pieu» mensonge.

Rosie apparut avec un plateau, suivit de deux domestiques qui déposèrent ainsi, des fruits, figues, raisins, baies, pommes, mais aussi une assiette de fromage, surtout du fromage de chèvre, ainsi qu’un panier de petit pain et autre viennoiserie. Il y avait là de quoi nourrir un régiment, sans parler des viandes et charcuteries. En boisson, il y avait divers jus de fruits dont une jarre d’un liquide ambré. Une sorte d’alcool léger au goût de miel, qui rappelait à Edwina l’ambroisie dont elle raffolait au temps où elle siégeait encore sur l’Olympe.

«Laissez, je vais servir monsieur...» Elle dit cela à ses employés, qui s’en allèrent en les laissant seuls. «Permettez ? Que désirez-vous boire ? Après...promis, je me tais et je vous laisse parler.»

 Elle rit de ce rire de poitrine charmant. Elle n’était pas toujours aussi bavarde, mais la liesse qui l’emplissait de voir venir Jin à elle, lui donnait envie de babiller pendant des heures, afin de ne pas trop penser à son ventre qui avait faim et pas de nourriture, pour une fois.
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One Shot / Re : L'entretien d'embauche [PV]
« Dernier message par Mona Duval le jeudi 30 mai 2024, 21:17:36 »
Va-t-il me rendre ma main ? J’en profite pour le détailler sans grande gêne. Je n’ai jamais été du genre timide, alors...une peau caramel, un visage bien dessiné, carré...beau gosse. Je doute que la maison d’édition soit très contente que j’opte pour un assistant aussi comestible, mais tant pis. Ils veulent que je trouve quelqu’un ? Pourquoi pas lui...après tout. Cela pourrait être amusant.

«De même, Darius...»

C’est une presque caresse lorsque ma main quitte finalement la sienne. Ses mots me font sourire. J’ai l’habitude. Et je vais pour ajouter quelque chose, mais il me prend de vitesse par ses simples mots. Pas de problème ? Tant mieux alors...j’aurais trouvé cela triste de ne pouvoir avoir ce bel étalon à mes côtés sous prétexte que je ne suis pas celle qu’il s’attendait à rencontrer. Lorsqu’il s’éloigne vers les sièges en cuir, je souris pour lui signifier que oui, en effet, c’est ici que vous pouvez vous installer. De toute manière, ce bureau n’a pas réellement d’endroit où se poser. Je me suis jurée de mieux meubler celui que j’occuperai bientôt. Le confort est important, surtout lors de rendez-vous professionnels...entre autre chose.

«Oui. Oui bien évidemment, cela fait partie du jeu.» Je viens m’installer en face de lui, la table basse entre nous. Le calepin en équilibre sur mes cuisses jointes. Mon style ? C’est vrai que son texte était osé avec ce qu’il faut de description pour plaire… «Je suis flattée. Eh bien. Pour être honnête, ce serait certainement publiable. Après une petite relecture évidemment...mais non, vraiment, c’était un très bon texte, que j’ai beaucoup aimé lire...» Mon sourire s’agrandit, je ne baisse pas les yeux en rosissant en lui avouant cela. Je n’irai pas jusqu’à lui dire que la lecture m’a fait quelque chose, je dois rester professionnelle… «Non, j’ai aimé...»

Est-ce mon aveu qui a légèrement changé l’expression de son visage ? «Je vous ai choqué ? Pardon. Parfois j’ai tendance à dire les choses peut-être un peu trop franchement et ce n’est pas aux goûts de...» Mal de crâne ? Oh. Certes. Ce doit être ça, car il n’a pas l’air du genre timide, vu la facilité avec laquelle il s’exprime. J’ai déjà eu à faire à des entretiens bien moins confortables. «Nous pourrions nous tutoyer, je doute que nous soyons très éloigné au niveau de l’âge...» Je ne me rappelle plus de ce que disais son dossier à ce sujet. Je me souviens surtout de son texte… «Je comprends...désires-tu un anti-douleur ? Je dois en avoir qui traîne quelque part...»

Ma voix se fait maternante, tandis que pleine de sollicitude, je me lève déjà pour fouiller dans les tiroirs du bureau. Je le partage avec l’autre écrivain, mais il me semble que j’y ai laissé des cachets pour les gueules de bois. Cela devrait suffir...où est-ce qu’elle est cette foutue boîte… «Je les ai..tiens, ça va peut-être te soulager.» Je pose la boîte près de son verre d’eau.

«Je ne conduis pas à cause de ça. Les embouteillages...c’est trop...tellement trop.» Je souris en m’installant à nouveau confortablement, du moins autant que possible, reprenant mon calepin sur mes cuisses, un stylo dans la main. «Bien...alors...» Je soupire, car je ne me suis pas préparée du tout. «Je vais jouer carte sur table, je n’ai pas préparé de question ou...ce n’est pas très professionnel, mais je ne suis pas reconnue pour ça, tu le comprendras rapidement si tu viens à travailler pour moi...» Mon ton est plus ronronnant que ce que j’aurais voulu, mais je ne peux pas revenir en arrière. «Du coup, on va y aller à l’impro...» Je bois une gorgée avant de reprendre. «Qu’est-ce que tu penses être le métier d’assistant d’écrivain ? Histoire de savoir si tu as des attentes qui sont à la hauteur de ce qu’on attend ici. Enfin. De ce que j’attendrai de toi. La Maison d’Édition n’a pas vraiment de regard sur le travail des assistants personnels.»

Des esclaves modernes. C’est ce qu’a dit un jour une secrétaire des autres étages. Je ne sais plus laquelle, il y en a tellement et elles changent souvent. Elle parlait des assistants et assistantes d’écrivains. Et blablabla, je n’aimerais pas être à leur place, blablabla...mais je ne sais pas de qui elle parlait exactement et si elle avait quelqu’un en particulier en tête. Je sais de source sûr, que certains écrivains se comportent comme des divas et d’autres, de véritables tyrans. Je ne suis ni de la première race, ni de la seconde. Je crois même plutôt, sans me vanter, que je suis agréable à côtoyer, du moins dans mes phases hautes. Dans les phases basses, je peux être désagréable, mais j’évite de me pointer au boulot. Jour de congé pour l’assistant, l’assistante…

«Je te dirai ensuite ce que j’attends d’un assistant...» De la pointe de mon stylo, sans le quitter des yeux, je gribouille sans y penser sur la première feuille de mon calepin. Des tourbillons, des petits traits, comme on le fait quand on est au téléphone. «...et les avantages que la maison offre lorsqu’on occupe ce poste.»

 Je trouve qu’il a l’air perplexe. Peut-être que je suis trop délurée et éloignée de l’image que les gens se font des écrivains...peut-être que je ne suis pas assez pro et que cela ne va pas lui plaire...je me mords la lèvre inférieure et je prie pour qu’il ne soit pas effrayé par ma manière de procéder. Cela m’emmerderait. Non seulement il est à mon goût, mais en plus, il est jeune et j’ai royalement la flemme de devoir faire passer d’autres entretiens à des tas de gens sans intérêts. J’aime les choses vite fait, bien fait et n’ai pas le temps pour ces conneries. L’idée, de plus, que la maison d’édition finisse par m’imposer quelqu’un me mettrait dans une mauvaise posture. Ils ont le dont de choisir des gens qui colleraient mieux avec l’image de la maison, qui plus est, qui sont d’un chiants pas possible. Ce n’est pas de bon goût, il paraît, de coucher avec ses assistants ou ses collègues et ils savent que je ne crache pas sur une partie de jambe en l’air dés que l’occasion se présente. Voilà pourquoi ils avaient l’air dubitatifs lorsque Danny, mon agent, à proposer de trouver des candidats et candidates pour moi, me laissant carte blanche pour choisir…

«Est-ce que ça va aller ? Si ton mal de tête ne passe pas ou...s’accentue, nous pouvons repousser l’entretien. Je n’aimerais pas que tu sois mal à cause de moi...»
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le jeudi 30 mai 2024, 21:03:12 »
Voilà, elle rêvait, maintenant, voyons voir. Je la suivais dans le couloir, devant son propre spectacle, offerte pour sa première fois. J’avais ouïe dire de cela, comme j’avais oui dire du reste, alors quand son double s’adressa à elle, je ne pouvais que lui susurrer qu’elle avait raison, tout n’était que de sa faute… j’accentuais cela, et je reconnus que je rendais encore plus sordide cette image qu’elle ut par la suite, pour le plaisir même de la voir horrifier, pleurer, transpirante.

« Ça aussi c’est ta faute »

Je me faisais petite voix, chuchotant à son oreille.

« Et ça recommencera. Parce que tu n’as pas compris la leçon… »

La scène changea, ou plutôt s’adapta, cette fois, c’étaient les couloirs de sa fac, un tableau de liège avec une photo explicite de la jeune femme, non anonymisée cette fois, avec de la semence sur le visage et un « merci pour le repas » assorti d’horaires et d’un QR Code en dessous. C’était d’une vulgarité consommée, mais c’était bien, comme ça. Elle avait de quoi voir ça., et elle devrait voir ça. Pour comprendre qu’elle allait recommencer.

« Tu l’as cherché… »

Et cette voix qu’elle seule entendait, se répercutait, encore, encore, et encore, avec mille et une intonation, mille et une tessiture différente, comme si toutes les personnes quoi l’avaient utilisée le lui disait, ensemble ou chacune à son tour… une accusation unanime.
Et pourtant… pourtant, je lui offrais une porte de sortie. Un visage d’elle, quand tout avait commencé.

« Pourquoi tu ne m’as pas protégée ? Tu m’as laissée seule… »

Et les visions continuaient ainsi, avec sa propre voix, à son tour, enfonçant le clou.

« Tu aurais du faire n’importe quoi pour m’aider et me protéger ! »

Et voilà qu’enfin, la voix de son sensei se fit entendre, lointaine, comme un écho au bout d’un couloir, couloir où elle se trouvait.

« Je te promets de t’aider et de te protéger. »

Viendrait-elle à son professeur pour implorer, le temps d'un rêve, sa protection quel qu'en soit le coût ?
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le jeudi 30 mai 2024, 20:13:38 »
Priscilla était soulagée en entendant la décision de Hayao. Elle pourrait enfin souffler une fois le professeur parti. Elle l'accompagna à sa porte, serra sa main en lui faisant un sourire timide, et une fois la porte fermée, elle resta devant cette dernière, immobile pendant de nombreuses minutes. Ses larmes recommençait à couler même après que la pression retombe. Après se souvenir de tant d'évènements, la jeune femme se sentait sale. Elle passa ainsi une bonne partie de la soirée assise sous la douche à pleurer toute les larmes de son corps. Après tant d'émotions, la fatigue lui retomba tout d'un coup une fois passée au lit et n'eut pas grande difficulté à trouver le sommeil.

Priscilla ouvrit ses yeux, elle se retrouvait dans un long couloir sombre qui ne semblait pas finir. Plusieurs portes remplissait cette semblante infinité. Des rires moqueurs résonnaient de droite à gauche. La jeune femme était désorientée.

«Est-ce qu'il y a quelqu'un ?» cria-t-elle, espérant une réponse.

Il n'y avait aucune réponse si ce n'était les échos des moqueries qui retentissaient partout où elle allait. Priscilla essaya d'ouvrir une porte, elle était fermée. Elle essaya d'ouvrir la suivante, même chose, puis une autre, toujours en vain les rires étaient de plus en plus fort, la jeune femme commençait à paniquer. Soudain, une des portes s'ouvrit doucement laissant passer la lumière de la pièce rentrer dans le couloir, et au même moment les rires semblait plus distant. Pour être plus exact, ils semblaient provenir de la pièce qui était maitenant accessible. Priscilla se rapprocha avec méfiance, c'était son seul moyen d'échapper au couloir infini. Elle s'arrêta en entendant une voix de femme qui lui était bien familière.

«Pfff, regarde moi cette bonasse. Elle fera moins la fière après son réveil, ça lui apprendra à avoir pris ma place dans l'équipe.»

Une autre voix, cette fois un homme, vint rejoindre celle de la femme.

«Tu te sens pas un peu mal de lui avoir menti juste pour prendre ta revanche ?»

«Tu déconnes ? C'est pas moi qui ait prétendu être un soit disant photographe alors que tu voulais juste la sauter.»

«Haha t'es sexy quand tu te mets en colère.»

«Mais tais-toi un peu et aides moi à prendre d'autre photos là.»

«Oui madame ! Oh, attends, j'ai une meilleure idée.»

Priscilla rentra dans la chambre, une fille s'y trouvait et prenait des photos et des vidéos de ce qu'il se passait devant elle. Une scène immortalisée dans l'esprit de Priscilla, son corps inconscient sur le lit, drogué, se faisait souiller. L'autre fille rigola.

«Attend, t'es pas sérieux là ? Elle était vierge ?»

Priscilla serra ses poings. Le temps sembla s'arrêter, mais son alter égo sur le lit ouvrit ses yeux pour la regarder.

«Tu n'as pas le droit d'être en colère, tout est de ta faute.»

La jeune femme s'enfuit de la pièce en courant, en pleurant. Au lieu de se retrouver dans le couloir, elle se retrouvait cette fois dans des toilettes. La même fille qui la filmait avant était devant une des cabines et semblait accepter de l'argent d'un petit groupe d'étudiants qui faisait la queue. Le râle distinctif d'un homme qui jouissait provenait de la cabine. Priscilla transpirait, ses larmes coulait du long de ses joues. Elle ferma ses yeux forts en espérant se réveiller.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le jeudi 30 mai 2024, 19:18:04 »
La jeune fille semblait avoir compris la leçon, quand après les douleurs – qu’elle n’encaissa pas sans broncher mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle reste parfaitement silencieuse car je doutais qu’elle ait une bonne réaction face à la réelle douleur – elle se releva, elle gardait le nez baissé. Penaud. Intimidée sans doute. Cela la replongeait-elle dans le passé ? peut-être. Ou pas. Mais dans tous les cas, je pensais que la leçon était comprise et entendue. Elle ne fauterait plus du genre, me confirma-t-elle, mais nous savions tous les deux que rien de cela n’était garanti.
La suite me fit froncer les sourcils. Arrêter là. J’hésitais… les choses n’eussent-elles pas été mieux si je la poussais encore.

« Hum, je ne sais pas… je ne suis pas sûr que tu aies beaucoup appris aujourd’hui, ou suffisamment pour travailler toute seule… »

Je semblais hésitant malgré le fait qu’elle dise, pour cette fois, la vérité. Elle n’était sans doute pas en état. Enfin, finalement je me décidais en opinant du chef.

« Oui, je crois que c’est mieux. Mais je te préviens, quand je reviens jeudi, je veux que le cahier soit rempli de trois colonnes de chaque Kanji que j’ai tracé, et proprement. »

De toute façon, elle avait compris ce qu’elle risquait à ne pas faire les choses bien et à ne pas travailler suffisamment. N’est-ce pas ?

« Reposes-toi et à jeudi, même heure, et dans de bonnes dispositions pour travailler. »

 Je tendais la main pour serrer la sienne, et je m’en allais sans rien ajouter de plus qu’un au revoir pour la laisser après cette punition que j’espérai être mémorable. Mais je ne partais pas sans aucune idée en tête, et pour preuve, une fois rentré chez moi, je me mettais à guetter ses rêves, pour sentir quand elle commencerait à rêver, elle serait mon repas, et peut être plus, cette nuit. Alors, je me plongeais dans son rêve. Qu’allais-je y découvrir au juste ?
7
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le jeudi 30 mai 2024, 18:35:24 »
Même si elle savait ce qui l'attendait, la vive douleur que lui apportait chaque fessée surprenait Priscilla. Tout d'abord la première, elle ne savait pas forcément à quelle force s'attendre, ni quand la frappe arriverait. Elle poussa un gémissement surprit et douloureux au contact de la main de son tuteur. Elle pensait que ça s'arrêterait juste à cela, étant donné l'intensité à laquelle elle avait été heurtée, mais le deuxième coup survint sans baisser en puissance. Comme elle ne s'y attendait pas, elle poussa un cri plus distinct. La pauvre avait maintenant compris que sa punition n'allait pas encore s'arrêter là. Elle serra ses dents de nouveau, attendant la prochaine fessée qui lui semblait encore plus forte que la précédente, mais c'était plus à cause de la douleur qui commençait à s'accumuler. Même si elle était préparée à recevoir la suivante, cela ne voulait pas dire que sa peine était amoindrie.

Priscilla se crispa, attendant une autre frappe, mais à la place sentit la main de Hayao lui caresser les cheveux. Sa punition était finie. Elle n'avait durée que quelque secondes, mais elle lui avait semblé prendre plusieurs longues minutes. La jeune femme se redressa, son regard toujours rivé vers le sol, n'osant pas regarder son tuteur par honte. Honte de l'avoir déçu et forcé à lui apporter son châtiment, mais aussi honte de s'être soumise si facilement sous la pression. Elle acquiesça avec un léger mouvement de tête pour lui dire qu'elle avait compris, qu'elle ne recommencerait pas à s'absenter mentalement. C'était facile de dire pour l'apaiser mais ce ne serait pas aussi simple, surtout si son simple rapprochement physique la faisait penser à son passé. Elle se reprit et trouva enfin la force de parler.

«Tachibana-sensei... Je me demandais si l'on pouvait reprendre le cours pour la prochaine fois...»

Priscilla savait que la leçon n'était pas terminée mais elle savait aussi qu'elle ne ferait qu'attiser la frustration de son tuteur dans l'état qu'elle était.

«Je sais que nous n'avons pas fini, mais je ne pense pas pouvoir continuer aujourd'hui...»

La jeune femme espérait qu'il comprendrait, après tout, il la voulait au meilleur de sa condition, sûrement qu'il considérerait la situation et serait clément pour lui accorder de finir pour l'instant et reprendre la prochaine fois.
8
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Regalis le jeudi 30 mai 2024, 14:57:50 »
Et DIX

Qui souhaite?
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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« Dernier message par Anéa le jeudi 30 mai 2024, 14:42:08 »
Nueve
10
Ville-Etat de Nexus / Re : Le dieu sauvage et ces bourses pleines (PV->Neel)
« Dernier message par Neel le jeudi 30 mai 2024, 11:58:12 »
Elle sera surprise de la manière dont il va lui faire sentir qu’il la prend à sa manière … Il va lui offrir quelque chose digne de ce corps si bien offert en récompense de la vie d’un autre ! Il sentait sa verge se faire serrer par ses deux trous de manière appétissante. Massées de différentes façons, ses verges étaient bien satisfaites, bien dressée et bien dur, laissant les sensations des différents picots le traverser de toute part … Si bien qu’il ne retenait plus son bassin, oubliant qu’elle était une petite terranide … Mais qui savait encaisser visiblement.

-Viens seulement … Je continuerais aaa … A te prendre … encore et aahhhncorre Touuute la nuit … Aahmm … Tel un dieu et sa servante hmmm …

Et pour profiter, c’était le cas ! Il explorait entièrement les deux trous de Kana, déformant son ventre par sa longueur et sa largeur. Il claquait ce si joli fessier de son bassin, offrant le doux son de l’unissons des corps. Il gémissait avec elle alors qu’elle jouit sur ses deux verges, tombant alors sur le lit en mode j’en peux plus … Mais cela n’empêchait pas Neel de continuer, tenant son bassin pour le garder levé et continuer son traitement. Elle avait été prévenue … Même si elle s’évanouissait, il la prendrait toujours aussi sauvagement.

-Aaaaah Kana … Je vais laisser un souvenir hmm … Indélébile sur tout ton corps …

Il jouissait alors à son tour, écrasant ses fesses de son bassin et laissant ses deux verges exploser et lui offrir une offrande comme personne d’autre n’a eu l’occasion d’en avoir ! Son ventre gonflait à vue d’œil au rythme des jets qui s’écrasaient contre ses chaires, ses queues gonflaient au passage de la semence, laissant les picots titiller d’avantage ses chaires internes. Il sentait son col de l’utérus lui serrer la verge, empêchant la semence se sortir, lui offrant un ventre de plus en plus rond … Son anus, cependant, débordait de semence, n’ayant pas de chambre pour accueillir ce liquide brulant qui l’envahissait … laissant celle-ci gicler sur ses fesses, son dos et couvrir l’intérieur de ses cuisses … Il restait bien planter dans ce corps … Hmmm gémissant de plaisir …

-Oooh … HANNMMWWW … oUiiii ….
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