Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Amy

Pages: [1] 2 3 ... 9
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Les alentours de la ville / Re : Servir la Nuée [Amy]
« le: jeudi 29 août 2013, 10:15:21 »
La femme ne cessa en rien ce qu'elle avait entrepris quand Amy lui avoua qu'elle lui faisait peur, elle lui fit seulement remarquer que c'était regrettable, mais poursuivit son déboutonnage d'un cran. Amy frissonna au contact de ses doigts sur sa peau et observa, les yeux agrandis par la peur, cette main qui tirait sur la lisière de son soutien gorge. Amy restait totalement immobile, comme pétrifiée de peur, en elle même elle se demandait pourquoi elle ne se débattait pas et ne se sauvait pas. Mais la seule idée des créatures qui se trouvaient au fond du couloir l'empêchait de faire le moindre mouvement.

Un instant plus tard, le visage de la femme s'approcha du sien, et ses lèvres, implacables, se posèrent sur les siennes. Sarah avait anticipé le mouvement de recul d'Amy, qui se retrouva prise dans l'étau de sa main qui enserrait ses cheveux. Les deux gangues de chair se pressaient sur sa bouche, ce n'était pas douloureux, ni désagréable mais c'était... totalement inconvenant!
Amy pensa à ce qu'il se passerait après, elle savait qu'elle ne pourrait pas lutter, que c'était perdu d'avance. Une larme déborda de sa paupière et vînt tracer un sillon brillant le long de sa joue satinée. Son corps se relâcha quelque peu, elle capitulait, mais se sentait au comble du désespoir.

Sans bouger, elle laissa la femme déboutonner le reste de son petit chemisier d'écolière. Elle sentit des dents attraper sa lèvre inférieure. Elle eut un hoquet de surprise, mais le contact n'était pas douloureux. Aussitôt après, sa langue insidieuse vînt la caresser. Un frisson traversa l'échine d'Amy. Elle aurait voulu ne rien ressentir, mais ce baiser... non, elle refusait d'y penser... La femme la regardait en souriant, manifestement certaine de son emprise, ce qui était vrai. Ses doigts caressaient la peau tendre de son ventre. Elle lui répéta qu'elle ne lui voulait aucun mal, lui demanda si elle avait toujours peur et si elle oserait dire qu'elle n'avait pas envie d'être encore embrassée...

Le feu monta aux joues d'Amy. La question résonnait dans sa tête... Elle ne pouvait nier à elle même se frisson qu'elle avait ressenti. Elle était perdue, elle n'avait pas le droit de ressentir de pareilles choses! Sa tête oscilla de droite à gauche comme pour nier, mais elle était incapable de proférer un mensonge de peur d'être punie ensuite.

"Je... nous ne devons pas... ce n'est pas convenable..." Souffla Amy entre ses petites lèvres que le baiser avait rougies.

2
Sa compagne était entrain de perdre pied, ce qui rendait Amy d'autant plus excitée... Elle lui dit entre deux gémissements de faire d'elle ce qu'elle voudrait... Amy eut des idées lubriques irréalisable et totalement inédites en tête, et se laissa emporter par le plaisir quand la jeune fille se mit à lui triturer et lui mordiller les seins. Son bassin se colla à celui de la jeune fille, plaquant sa main qui caressait l'intimité totalement trempée de la jeune fille. Deux doigts glissèrent comme des poissons à l'intérieur du vagin dégoulinant. Amy allait et venait dans cette antre chaude et gluante tandis qu'elle sentait la jeune fille se tendre et haleter de plus en plus fort.

Amy sentit l'autre main d'Akiko se poser sur ses fesses et l'appuyer plus fortement contre elle, comme si elle en voulait plus. Elle introduisit un troisième doigt qui entra sans problème, laissant son pouce dehors elle continuait de caresser le clitoris tendu et à le faire rouler.

Elle bascula la tête en arrière pour mieux laisser sa compagne lui lécher les seins, cela la rendait folle, elle se mit à son tour à gémir puis à crier à l'unisson, et son orgasme succéda à celui d'Akiko quand elle sentit des giclées de cyprines lui arroser la main. Un démon semblait s'être emparé de son corps, et elle sortit ses doigts trempés du vagin de la jeune fille pour les plonger dans le sien, jusqu'ici vierge de tout contact.

"Aaaaaah c'est BOOOONNNN!!!!" Cria-t-elle en se cambrant. Ses muqueuse enserraient spasmodiquement sa main tandis que la jouissance la dévastait.

Elle resta ensuite pantelante, allongée sur sa partenaire, sa main posée entre leurs deux sexes palpitants et repus.

Comme emporté par la vague de plaisir, le produit qui la droguait commença à se dissiper et sa raison à lui revenir... Elle sentait ses seins toujours plaqués sur ceux de la jeune fille, ses yeux contemplaient sans vraiment les voir ceux de sa compagne. La jouissance l'avait comme assommée, mais déjà des flash de lucidité commençaient à tenter d'attirer son attention. Qu'avait-elle fait???

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Les alentours de la ville / Re : Servir la Nuée [Amy]
« le: mardi 27 août 2013, 10:13:14 »
A nouveau, la femme lui affirma qu'elle n'était pas prisonnière, qu'elle pouvait s'en aller, pourtant ses gestes démentaient ses paroles, car aussitôt elle la souleva pour la prendre dans son giron. C'était fait sans violence, mais sans aucune possibilité pour Amy de se dégager. Sous sa douceur, cette femme possédait une force incroyable... Sarah lui faisait le détail de ce qui l'attendait dehors si elle se sauvait... C'était donc ça... Rendre la prison plus attractive que dehors... De ce point de vue là, Amy ne pouvait que souhaiter rester... Elle souleva le fait qu'elle était vierge. Amy releva les yeux vers elle. Comment pouvait-elle savoir ça? C'était donc ça qu'elle voulait d'elle? Sa virginité?
Tout en lui parlant, la femme tripottait les boutons de son chemisier. Elle semblait très désireuse de voir ce qui se cachait dessous, tout en résistant à l'envie de les ouvrir. Amy s'était raidie, elle avait porté une de ses petites mains sur sa poitrine et agrippait le tissus par réflexe, pour l'empêcher de s'ouvrir si la femme enlevait un bouton. Pendant ce temps, la jeune femme lui caressait affectueusement le nez. Amy sentait son corps commencer à se résigner, mais la peur sourdait en elle comme un venin.
Sa virginité... si elle la perdait elle perdait tout... Si ses parents la voyaient seulement là, assise dans cette position sur les genoux de cette femme... c'en était fini... Elle allait devenir la trainée qu'ils avaient toujours prétendu qu'elle était...

"Je... vous êtes très belle mais... vous me faites peur..." Répondit Amy en reniflant. Son petit minois tourné vers le visage de la femme, emprisonnée dans ses bras comme un petit enfant, ses longues jambes balançant dans le vide le long des jambes de Sarah, Amy se sentait vulnérable et protégée à la fois. C'était un sentiment étrange. Elle savait le danger que représentait cette femme, mais elle savait aussi, comme Sarah l'avait souligné, qu'à quelque pas de l'autre côté du couloir, des monstres l'attendaient, et qu'elle seule pouvait l'en protéger.

Un bouton de son chemisier finit par céder. Amy baissa les yeux sur la fine main aux longs doigts posée sur la peau tendre près de sa poitrine. Elle les releva vers ceux de Sarah qui brillaient en la regardant. Sa main à elle agrippait toujours son chemisier pour qu'il ne s'ouvre pas. C'était son dernier rempart, elle le savait. Elle savait aussi qu'il était dérisoire et qu'en un seul geste, elle se retrouverait bientôt à la mercie de cette femme.

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Les alentours de la ville / Re : Servir la Nuée [Amy]
« le: lundi 26 août 2013, 10:49:01 »
La jeune femme qui lui faisait face agissait sans violence, avec beaucoup de précautions, comme une prédateur essayant de ne pas faire fuir sa proie. Amy en avait le sang glacé. Elle visualisa mentalement un serpent hypnotisant une souris, et se tassa sur elle même, les pupilles agrandies par la peur.
Doucement, délicatement, la jeune femme lui retira la glace des mains, puis se présenta sous le nom de Sarah Kerrigan. Sa bouche se posa alors sur la glace, en croqua un morceau, sans lâcher Amy des yeux qui était elle-même incapable de détacher son regard de la jeune femme.

Les propos qu'elle lui tînt ensuite plongèrent notre petite innocente dans des abîmes de terreur. Les paroles se voulaient pourtant rassurantes, mais l'idée de la seringue sur sa tempe réveilla chez Amy la peur d'être droguée ou torturée et la conscience qu'elle était ici contre son gré.

Sarah continuait de tenter de rassurer sa captive, lui affirmant qu'elle était ici chez elle, que cette chambre lui appartenait, et qu'elle n'était pas prisonnière.

S'armant de son courage, Amy, se raidit quand la jeune femme se pressa contre elle et embrassa son front, et lui dit :

"Si je ne suis pas prisonnière, alors je peux m'en aller?" Il y avait tout le désespoir du monde dans les yeux de la jeune fille. Son visage avait encore les traces de l'enfance, sa poitrine qui commençait à se développer se levait et s'abaissait au rythme de sa respiration rendue saccadée par la peur. Ses mains serrées l'une dans l'autre reposaient sur sa petite jupe plissée trop courte, qui s'évasait en corolle juste en haut de ses cuisses à la peau tendre et claire.

Elle se demandait pourquoi la jeune femme s'efforçait autant que ça de la rassurer. Si elle l'avait capturée, pourquoi perdre son énergie à tenter d'obtenir qu'elle se détende alors qu'elle semblait parfaitement capable de l'obliger à ce qu'elle voulait? Amy tourna sa tête vers celle que Sarah avait appelée Lisa et qu'elle avait désigné comme sa gouvernante. Sa gouvernante ou sa geôlière? Le gamine était des plus naïves, mais après ce qu'elle avait vu elle n'était pas dupe...

"Que... que voulez-vous de moi?" Finit-elle par demander d'une voix tremblante. Elle voulait pouvoir se préparer à ce qui l'attendait. Rien n'était pire et plus angoissant que l'incertitude.

5
Une vague de plaisir était entrain d'emporter Amy, qui avait totalement perdu pied avec la réalité. Son intimité était une zone de feu où chaque contact lui provoquait un brasier de plaisir. Elle se mit à gémir, puis à crier, à mesure que sa compagne lui léchait les seins tout en  caressant sa fente à travers sa culotte trempée.

Elle s'appuya du haut de son corps sur celui de sa compagne, leurs seins se rejoignirent et s'aplatirent les uns sur les autres, et Amy agita son buste pour que les tétons se frottent en une délicieuse caresse. Pendant ce temps, elle descendit sa main et la glissa entre leurs deux corps, venant rejoindre celle qui la caressait. Elle entremêla un instant ses doigts avec ceux de sa compagne, puis vînt se perdre sons l'élastique de la petite culotte de la jeune fille. La chair gonflée et brûlante sembla la happer dans ses replis trempés.
Amy promena ses doigts dans cette zone inconnue, rencontra un petit bouton  dur et sentit le corps de sa compagne réagir. Elle appuya ses caresses sur cette zone, laissant trainer les deux derniers doigts de sa main à l'entrée de la grotte béante, titillant les rebords du vagin qui semblait vouloir l'aspirer dans son antre.

Le souffle d'Amy était saccadé, son visage enfoui dans le cou de sa compagne, elle gémissait, et murmurait : "Hmmm... c'est bon... te sentir sous mes doigts... c'est chaud..."

Sa bouche embrassait le lobe de l'oreille, le cou, la machoire de le la jeune fille. Leurs seins continuaient de se frotter, et entre ses doigts, Amy faisait rouler le clitoris de sa compagne. Elle était attentive aux mouvements de bassins qui accompagnaient ses mouvements, elle avait l'impression que leurs corps avaient fusionnés, et ne savait plus bien si elle réagissait à son propre plaisir ou à celui de sa compagne.

6
La jeune fille s'était étendue de tout son long sur la banquette, toute au plaisir qu'Amy était entrain de lui procurer. Voir sa compagne si réceptive ne faisait qu'enflammer d'avantage cette sorte de transe dont était victime Amy, et elle suivit le mouvement pour continuer à sucer, lécher, mordiller la poitrine aux tétons si durs.
Son autre main était venue rejoindre la première, une sur chaque cuisse, elle fit ouvrir largement les jambes de la jeune fille, dévoilant dans la lumière tamisée du bar désert le dessin des lèvres intimes gonflées au travers du tissu détrempé de la petite culotte.

L'une de ses mains vînt se plaquer dessus, massant de la paume par des pressions de plus en plus appuyées la vulve brûlante de la jeune fille.

Amy, elle aussi sentait son intimité s'inonder sous sa petite jupe plissée. Jamais elle n'avait ressenti une chose pareille. Elle aurait voulu sentir elle aussi des caresses, des baisers sur tout son corps. Elle se baissa alors et vînt placer ses jambes de part et d'autres du bassin de sa compagne, frottant ses seins contre les siens, sa bouche rejoignant à nouveau pour un court baiser la sienne. Puis elle plaqua son bassin contre le sien, sa jupe était relevée, les deux culottes détrempées se rencontrèrent et au travers des morceaux de tissus, les lèvres gonflées des deux filles se frottèrent délicieusement. Tout en ondulant des hanches pour accompagner le mouvement, Amy redressa son buste pour agiter ses petits seins à hauteur du visage de sa compagne, l'invitant à les goûter à son tour.

7
Les alentours de la ville / Re : Servir la Nuée [Amy]
« le: mercredi 21 août 2013, 23:22:38 »
Amy faillit s'écrouler en même temps que les deux hommes qui la retenaient, mais la femme qui était assise un instant avant sur le trône s'était miraculeusement matérialisée devant-elle à temps pour la retenir. Elle la prit dans ses bras en douceur, sans violence, pourtant les moindres tentatives de résistance de la jeune lycéenne rencontrèrent une force implacable qui lui interdisait tout espoir de s'échapper.

La femme lui tenait des propos rassurants, d'une voix douce, mais le contraste entre ces mots et la pièce qui l'environnait était si grand qu'ils ne l'effrayèrent que davantage. Partout où Amy posait ses yeux, elle trouvait d’invraisemblables visions d'horreur, jusqu'aux murs de la pièce qui donnaient l'impression de se trouver à l'intérieur même d'un organisme vivant. La jeune fille était si terrifiée qu'elle préféra fermer les yeux pour cesser de voir toutes ces choses. Son petit coeur, sous les mains de sa geôlière, battait si fort et si vite qu'elle se demandait s'il n'allait pas exploser.

Les yeux clos, Amy sentait le balancement des mouvements de la femme qui avançait en la portant. Sa voix continuait d'essayer de la rassurer, lui assurant qu'elle ne lui voulait aucun mal. *Aucun mal? Alors pourquoi m'avoir enlevée, ligotée, transportée dans le coffre d'une voiture?* Eut envie de demander la jeune fille, mais elle n'en fit rien, trop effrayée pour dire quoi que ce soit.

Bientôt, son corps bascula et le mouvement s'arrêta. Elle était assise sur quelque chose de mou. Elle savait qu'elle ne pourrait résister à ouvrir les yeux pour voir où elle se trouvait, mais elle était terrifiée à l'idée de s'apercevoir qu'elle reposait sur un machin gluant et palpitant comme elle en avait vu dans l'autre pièce. Rien que l'idée lui soulevait le coeur.
Lentement, pourtant, elle entrouvrit ses paupières, prête à les refermer aussitôt si ce qu'elle devait voir se révèlerait trop effrayant. Mais non. La pièce qui l'entourait était tout à fait normale. Une chambre luxueuse, et un lit moelleux, gigantesque, tel qu'elle n'en avait jamais vu. Elle ouvrit les yeux tout à fait, interloquée. Le contraste était si grand qu'elle se demanda si ce qu'elle avait vu avant ça avait été bien réel.

Devant elle, la femme l'observait. A ses côtés, une jeune fille s'avançait vers elle avec une glace à la main. Elle s'installa dans son dos, ce qui eut pour effet de raidir tout le corps d'Amy, craintive de ce que l'on pouvait lui faire. Une main se tendit devant elle, brandissant la glace, tandis que la femme qui se tenait devant elle lui demandait de la manger, lui assurant que cela lui ferait du bien.

Amy était incapable de lui faire confiance après ce qu'elle venait de vivre. Et si la glace était empoisonnée? Ou bien contenait de la drogue? Dans tous les cas, elle avait tout sauf envie de manger. Son estomac se révulsait encore de ce qu'elle avait vu dans l'autre salle et elle se sentait nauséeuse.
Elle ouvrit la bouche pour répondre, sa voix sortit à peine, enrouée par la peur :

"M... merci non je... je n'ai pas... oh!"

La jeune fille eut un hoquet de surprise quand elle sentit des mains se poser sur ses épaules et commencer à la masser puis des lèvres papillonner dans son cou. Tout son dos était raide, c'était incontrôlable. Elle aurait voulu être n'importe où sauf ici, un millier de calmants n'auraient pu la détendre. Comme en écho à sa réaction, la femme lui demanda de se détendre et de lui dire son nom. Que lui ferait-elle si elle refusait? Elle n'en savait rien et ne tenait pas à le savoir...

"Je m'appelle Amy..." Répondit-elle d'une petite voix. Des questions se bousculaient dans sa tête mais elle était incapable d'en poser aucune. Des larmes perlaient encore à ses paupières, qu'elle avait le plus grand mal à retenir.

Amy n'avait jamais eu de relation sexuelle. Pas la moindre petite aventure. Elle était vierge de tout. Sa seule expérience se résumait à la fois où son frère avait tenté de la toucher, elle s'était alors enfuie, avait tout déballé à ses parents qui l'avaient répudiée pour avoir osé salir la réputation de son frère. Depuis, elle n'espérait qu'une chose : regagner la confiance de ses parents en étant irréprochable et en essayant de les rendre fiers d'elle, d'une manière ou d'une autre. Faire l'amour était donc la dernière chose qu'Amy ferait de son plein gré...

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Vous nous quittez déjà ? / Re : à peine revenue je vous annonce...
« le: lundi 19 août 2013, 11:24:03 »
oh lala je retombe sur ce post et je réalise qu'en fait je n'ai pas dû revenir sur le forum depuis (je me demandais quand et pourquoi j'avais lâché les rp, maintenant je sais!)

et ça fait 4 ans! Pfioulala!

Désolée d'avoir lâché tout le monde comme ça, j'aurai dû me souvenir qu'une fois bébé arrivé il était impossible de faire quoi que ce soit d'autre avant longtemps!

9
Les alentours de la ville / Re : Servir la Nuée [Amy]
« le: lundi 19 août 2013, 09:29:57 »
Ils étaient deux. Ils l'attendaient. Elle était sortie du lycée un peu en retard et devait se presser pour se rendre à son travail, quand en traversant le parc ils lui étaient tombé dessus. Amy n'avait pas eu le temps de réagir, elle s'était retrouvée ligotée en quelques secondes, la tête recouverte d'un sac qui l'empêchait de voir quoi que ce soit. Depuis, elle ne pouvait se repérer que sur les sons et sensations : son corps qu'on soulevait, des propos secs échangés, puis le contact dur du métal, le bruit d'un moteur, une voiture...
Son coeur battait la chamade et tout son corps tremblait de peur, des larmes sillonnaient ses joues mais elle n'osait pas crier.

Au bout d'un trajet qui lui parut interminable, la voiture s'immobilisa. On la sortit du coffre et on lui délia les jambes avec l'ordre de suivre ses kidnapeurs sans faire d'histoires. Aussitôt, une traction à son bassin lui révéla qu'elle était attachée par une corde comme un chien en laisse.

Elle suivit le mouvement tant bien que mal, dans un silence que perçaient seulement par moments des bruits étranges, comme des grouillements, de la matière en mouvement.

Et puis ils s'arrêtèrent. Amy entendit à plusieurs mètres devant elle une voix qui n'était pas celle de ses ravisseurs, celle d'un homme qui semblait se justifier. Une voix de femme, ferme, mit fin aux explications et s'ensuivit alors une série de bruits horribles et effrayants, qu'Amy ne comprenait pas, ou n'osait pas comprendre. Elle se recroquevilla sur elle même autant que ses liens le lui permettaient entre les deux hommes. Sa poitrine se soulevait au rythme des sanglots silencieux qui la secouaient. Les larmes roulaient comme des cascades sur ses joues.

Et puis on ordonna que son visage soit découvert. La lumière l'éblouit un instant, avant de la laisser voir une salle aux vastes proportions, peuplée de créatures sorties tout droit de ses pires cauchemars...

La femme avait demandé son nom, mais Amy était terrifiée et surtout totalement désorientée. Ce qu'elle avait sous les yeux défiait tout ce qu'elle était capable d'imaginer, c'était trop loin de sa réalité. Elle perdait pieds.

L'angoisse montait dans son corps comme une marée incontrôlable, et tout à coup elle se mit à se débattre et à hurler "AU SECOUUUUR!!! LAISSEZ MOI PARTIR!!!!"

Ses cheveux courts fouettaient son visage alors qu'elle secouait la tête pour se débattre. Ses jambes essayaient de fuir, mais les hommes la retenaient fermement par sa "laisse". Elle suffoquait, hoquetait, son visage était inondé de larmes.

10
Amy, dans la brume qui recouvrait sa conscience, remarqua à quel point sa comparse était réceptive à ses caresses. Elle ne tarda pas d'ailleurs à se déshabiller entièrement, ne gardant que pudiquement sa petite culotte dont le tissus laissait voir à quel point elle était excitée.
Amy n'eut que le temps de retirer son chemisier avant que la jeune fille ne se précipite sur elle pour la caresser avec tendresse, avant de lui murmurer qu'elle avait envie d'elle...

"Moi aussi, j'ai envie de toi..." Murmura à son tour Amy en écho. Ses yeux brillaient de désir. Elle prit la main de la jeune fille et la guida vers la salle du bar pour qu'elle se mette à l'aise sur une banquette.

Elle se remit alors à l'embrasser sulfureusement, sa petite bouche devenue vorace et tendre à la fois. Sa langue se mêlait à la sienne, ses lèvres se détachaient des siennes pour mieux revenir se plonger dans le baiser. A un moment, elle attrapa la langue de sa comparse entre ses lèvres et la suça un instant. Pendant ce temps ses mains étaient allées retrouver la poitrine qui l'attirait tant. Elle n'avait jamais touché de seins avant ça, pas même les siens. La chair était ferme sous ses doigts, lourde, la peau était douce, surtout sur les aréoles qui se fronçaient peu à peu pour ériger les pointes gorgées de plaisir. Sous ses doigts, les tétons durcissaient peu à peu, et Amy se mit à les pincer doucement entre ses doigts tout en venant plaquer son bas ventre contre celui de son amie. Elle aussi était maintenant sérieusement excitée. Son corps avait besoin de sentir lui aussi le plaisir des caresses, mais la drogue l'obligeait à se montrer de plus en plus entreprenante...

Sa bouche quitta les lèvres qu'elle embrassait et se mit à descendre comme elle l'avait fait un peu plus tôt, vers la poitrine qu'elle caressait. Ses caresses buccales se précisèrent alors sur les tétons tendus, qu'elle enveloppa tour à tour dans la chaude moiteur de sa bouche pour les sucer, enrouler sa langue autour, et parfois les mordiller, tandis que sa main caressait le sein libre. Son autre main, entreprenante, descendit alors, dessinant la courbe de sa hanche, contournant la cuisse, et s’immisça entre les cuisses pour envelopper le morceau de tissus humides sous lequel palpitait une chaleur prometteuse.

11
Si les garçons n'avaient pas été mis en fuite, ils auraient été content de constaté que l'effet de leur produit était très efficace!

A peine entrée dans le bar, la jeune fille qui l'avait sauvée retira ses vêtements du haut. Amy put admirer un corps aux courbes sculptées par le sport, et une poitrine qui se tendait dans son sous-vêtement, frémissante de désir.

Comme un papillon attiré par une flamme, Amy se dirigea tout droit vers cet écrin, ses petites mains se posèrent sur la peau blanche et douce des épaules de la jeunes fille, et sa bouche vînt embrasser la chair de son cou, de sa poitrine jusqu'à nicher son petit visage à la naissance des deux globes de chair. Ses mains firent glisser les bretelles le long des bras de la jeune fille, entrainant en même temps le soutien gorge qui laissa se déployer la poitrine emprisonnée. Tandis que ses lèvres recommençaient à poser une guirlande de baisers sur les seins, sans mains partaient dans le dos de la jeune fille pour défaire l'attache du sous vêtement afin de le retirer tout à fait.

Amy n'avait jamais fait ce genre de chose, mais elle se laissait totalement guider pour son instinct, son corps lui dictait ce qu'il avait envie de faire et de ressentir, et son cerveau embrumé par la drogue n'opposait aucune résistance...

Elle avait maintenant envie de sentir elle aussi sa peau nue contre celle de sa comparse. Elle se recula d'un pas et commença à déboutonner lentement son chemisier, tout en regardant la fille dans les yeux.

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Si Amy avait eu un tant soit peu de recul, elle aurait pu remarquer le changement étonnant dans l'attitude de la jeune fille qui l'avait sauvée. Un instant plus tôt, sûre d'elle et de son corps, elle avait mis en fuite trois garçons à elle toute seule, et à présent elle se tenait tremblante entre ses bras, visiblement décontenancée et beaucoup moins à l'aise. Pourtant, sous les mains d'Amy, son corps réagissait, ses lèvrs laissaient échapper de légers gémissements, et sa poitrine se tendait. La gamine pouvait presque sentir sous ses doigts l'influx nerveux qui suivait chacun de ses mouvements et qui parlait plus que n'importe quels mots.

"On ne devrait pas faire ça" disait sa bouche, mais tout son corps disait "continuons!"

Malgré tout, à l'écoute de ces quelques mots, le cerveau d'Amy sembla revenir un instant à la réalité. Qu'était-elle entrain de faire? L'évocation de son "chez-soi" et des convenances l'avaient ramenée brutalement à ce qu'elle était, à la ligne de conduite qu'elle s'était fixée depuis qu'elle avait été mise à la porte de chez elle. Que diraient ses parents? Et son oncle et sa tante? Avaient-ils raison? Avait-elle le diable au corps? Etait-elle une trainée, irrécupérable? Pourtant, Amy n'avait jamais rien fait de mal, son seul crime avait été de révéler les tentatives d'abus que son frère avait perpétré contre elle...

Toutes ces réflexions envahirent son esprit comme une vague, et comme une vague elles la submergèrent un isntant seulement avant de se retirer, ne laissant qu'une écume de malaise dans son cerveau embrouillé par la drogue.

"Tu as raison, cessons cela tout de suite!" Voulu dire sa bouche. Mais comme si une autre personne s'était emparée d'elle, elle s'entendit prononcer : "Non... On devrait faire beaucoup plus..."

Sa voix était suave, elle sonnait à ses oreilles comme celle d'une inconnue. Amy ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Sa lucidité subitement retrouvée s'éclipsait aussi vite qu'un mirage, et le produit qu'elle avait ingéré n'avait pas encore atteint l'apogée de ses effets. Elle sombrait à nouveau, tout n'était que sensations et désir dans son corps d'adolescente.

Amy plongea son regard dans celui de la jeune fille, des yeux limpides la contemplaient, brillants de désir. C'était comme contempler dans un miroir le reflet de ses propres sentiments.

Quelque part, à la périphérie de sa conscience, elle entendit un bruit de moteur caractéristique, qu'elle commençait à bien connaître, celui du patron qui repartait dans sa jeep. Comme une allumette qui s'embrase, ce simple bruit éveilla en elle une multitude de possibiltés et sans plus hésiter elle jeta à nouveau sa bouche sur celle de la jeune fille pour l'embrasser. Ce faisant ses main l'enlacèrent, caressant son dos, ses cheveux, et le poids de son petit corps pressé sur celui plus consistant et plus ferme de l'autre fille entraina sa sauveuse en arrière, pas à pas, jusqu'à la plaquer contre la porte arrière du bar. Tout en continuant de faire rouler sa langue dans la bouche de sa comparse, emprisonnant sa bouche entre ses lèvres, l'une de ses mains quitta son dos en sentant le panneau de métal, et fouilla rapidement dans la petite poche de sa veste où elle trouva la clé. Sa bouche s'égara le long de la mâchoire de la jeune fille, descendit dans son cou, tandis que sa main introduisait la clé dans la serrure. En enfonçant l'instrument de métal dans son logement, elle pressa en même temps ses seins contre la poitrine de la fille, son bassin partit à la rencontre du sien. Elle se sentait comme possédée, incapable de contrôler ce qu'elle faisait, et pourtant ses mouvements étaient aussi précis que si elle avait fait cela tout sa vie. 1/4de tour et le panneau céda derrière elles, les projetant dans la pénombre de l'arrière-salle, et se referma sitôt qu'Amy le lâcha, dans un claquement sec.

Autour d'elle, des chaises et des tables empilées, des caisses dont on distinguait à peine les angles dans le noir, et quelques pas plus loin, un rideau ouvert laissait voir les premières banquettes de la salle de bar, baignées d'une faible lueur rougeâtre que le soleil faisait filter à travers les lourds rideaux de velours qui masquaient les fenêtres.

13
Mieux? Oui... Non... C'était de pire en pire à vrai dire...

La jeune fille semblait atteinte du même symptôme qu'Amy car, sans s'embarrasser de se présenter, elle glissa sa cuisse entre les siennes, pressant sa poitrine opulente contre les petits seins d'Amy. La seconde d'après, leurs lèvres se rejoignirent en un baiser certes court mais qui embrasa tout à coup le corps de la jeune lycéenne.

La rue avait cessé d'exister autour d'elle, et le peu de conscience de la réalité qui avait continué à brasiller dans les tréfonds du cerveau d'Amy avait disparu. La jeune fille ne prit pas le temps de répondre à la question qui lui avait été posée, ce fut à son tour d'embrasser les lèvres si attirantes qui dansaient devant ses yeux. Ses mains trouvèrent d'elles-mêmes leur propre chemin, s'appuyant sur les épaules de la jeune fille, puis descendant le long de sa gorge jusqu'à trouver sa poitrine qu'elle pressa dans ses paumes. Sa bouche se pressait contre la sienne, se refermant sur ses lèvres, en haut, en bas, sur le côté, et puis sa langue vînt s'en mêler... oui... sa langue qui n'avait jamais embrassé personne avant ça s'ajouta au ballet, s'engouffra entre les dents de sa comparse en vînt explorer cette bouche de fille, d'une fille terriblement attirante...

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Le contact de la main de la jeune fille sur sa joue laissa comme une trainée de feu sur son visage. Confusément, Amy sentait qu'elle n'était pas dans son état normal, que jamais d'ordinaire elle n'aurait eu ce comportement, mais elle ne se maîtrisait plus et ne savait absolument pas pourquoi.
Tout ce qu'elle voyait, c'était ce visage avenant tout près du sien, ces incroyables yeux couleur d'eau qui la regardaient comme s'ils l'invitaient, et ces lèvres délicatement ourlées qui remuaient pour lui parler, pour lui demander de ne jamais en parler... Tant mieux, elle aussi préférait que cette soirée reste une parenthèse qui ne s'ébruiterait pas...

"Je ne dirai rien..." Murmura Amy, s'approchant malgré elle vers cette bouche qui l'hypnotisait.

Arrivée au point de la frôler de la sienne, elle souffla :

"Je ne sais même pas ton nom, ni d'où tu viens, ni pourquoi tu es arrivée juste à temps pour me tirer d'affaire, mais je suis contente de t'avoir rencontrée..."

Amy avait plongé ses yeux dans ceux de la jeune fille, essayant de détourner son attention de cette bouche qui l'attirait, mais c'était presque pire. Son corps tremblait légèrement, la tension qui comprimait son bas ventre était presque insupportable.

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Décidément, Amy ne se sentait pas bien du tout. Son corps semblait s'embraser peu à peu, sa respiration s'était accélérée, elle sentait sa poitrine se tendre sous son chemisier, et pire, entre ses jambes, son intimité semblait s'ouvrir, s'ouvrir, comme un gouffre sans fin cherchant à être comblé.
Rouge de honte, mais en même temps prête à se laisser emporter dans cette vague de sensations puissantes, Amy jetais des yeux hagards autour d'elle, vers les trois garçons et la fille qui semblaient proches de l'affrontement.

Son souffle était court, saccadé comme si elle avait fait une longue course. Ses pupilles s'étaient dilatées, et elle regardait la scène sans paraître la comprendre. D'ailleurs ce qu'elle vit bientôt était proprement incompréhensible...

Alors que tout semblait bruyant quelques secondes auparavant, un silence stupéfait se fit, accompagnant l'immobilité parfaite des protagonistes, excepté la légère oscillation de l'un des garçons qui flottait maintenant à plus d'un mètre du sol. La jeune fille qui lui faisait face le regardait, totalement concentrée sur sa tâche, un léger sourire flottant sur ses lèvres. Et puis elle fit un mouvement de la main et le type fut projeté avec violence contre les poubelles du bar dans un fracas indescriptible.

Les deux autres, pour le coup, n'en menaient pas large. D'un nouveau geste des mains, la fille sembla les obliger à se ratatiner au sol, ce qui n'était pas pour déplaire à Amy, même dans la brume mentale dans laquelle elle se sentait. Elle était aussi passablement effrayée par le pouvoir que semblait posséder cette fille... ou pire encore, par l'hallucination dont elle était peut être victime, qu'en savait-elle?

Elle aurait dû déguerpir, sans attendre d'en avoir le cœur net. Elle aurait dû prendre ses jambes à son cou et rentrer chez elle. Mais elle était comme hypnotisée par cette mystérieuse jeune femme qui se trouvait devant elle. Alors que les garçons se relevaient tant bien que mal pour s'enfuir, Amy s'approcha de la fille, comme un papillon attiré par une flamme, posa la main sur son épaule et lui dit : "Merci de m'avoir sauvée..."

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