68
« le: samedi 28 mai 2022, 16:09:00 »
Les doigts végétaux sentent la chaleur intense de l’intimité humain, sa chaleur et son humidité débordante. Ils en parcourent les moindres parcelles, comme pour en garder la mémoire pour une autre visite. Tout comme le pouce qui caresse l’entièreté du clitoris. Sa voluptueuse poitrine caressant celle de l’humaine plus menue. Cette dernière devait être d’ailleurs déçue qu’Akita ne s’occupe de son postérieure, mais ce n’était que partie remise. Elle avait tout son temps pour en disposer et n’allait pas se priver de le faire. Les claques et les griffures sur les fesses végétales ne laissent aucun doute sur la passion qui anime désormais le corps de l’amante humaine. Désormais sous l’influence des phéromones, elle ne se contrôle presque plus. La femme-plante n’y peut rien, mais cela lève le peu de scrupules qu’elle a sur ce qu’elle fera à Automne. Surtout qu’en plus de lui donner son nom, cette dernière lui donne une autorisation totale sur son corps, sans savoir la réelle nature de son être.
Mais Automne semble gourmande, très gourmande. Son amante végétale la voit se jeté, comme affamée sur son entrejambe. Ses lèvres embrassent à plusieurs reprises l’intimité d’Akita, ce qui fait couiner de plaisir la dame-plante. Elle pousse un petit cri en sentant la langue pénétrer son sexe et gémit de plaisir sous les assauts de la langue et les caresses sur son clitoris. Les jambes s’écartent autant qu’elles peuvent pour donner toute liberté à cette assaut gourmand. Ses doigts glissent dans les cheveux, les caressent et les tirent parfois. Un doigt vient même jouer avec un des piercing sur les tétons de l’humaine. Au bout d’un long moment, une main plaque la tête d’Automne entre les cuisses et son amante jouir, répandant sa sève dans la bouche de celle qui la butine comme un papillon affamé. Lui en offrant même plus qu’une humaine normale pourrait lui donner.
Après s’être assurée que l’humaine a bien savouré toute la sève offerte, Akita l’allonge et vient l’embrasser aussi fougueusement qu’elle l’a fait au début de leur étreinte. Les lèvres descendent sur le cou, la naissance de la poitrine, sur les tétons, jouant de sa langue avec les piercing, glissent sur le ventre et chatouille le nombril, embrassent le pubis et souffle sur le clitoris. La dame-plante observe un instant le sexe qui s’offre à elle, avant de plaquer sur les lèvres sur les lèvres intimes. Sa langue se glisse alors dans le vagin brûlant et humide, traversant les chairs intimes et atteignant l’entrée de son utérus. Elle remue avec vigueur, caressant la moindre parcelle, absorbant le jus intime sans laisser la moindre goutte lui échapper. Pendant que sa langue s’amuse, ses lèvres viennent aspirer le clitoris et jouer avec le piercing qui l’orne. Ses mains écartent les fesses musclées d’Automne, un doigt vient titiller son œillet brun, avant de de le perforer, se glissant alors profondément dans sa raie. Remuant dans cet orifice obscur aussi vigoureusement que la langue et les lèvres sur le sexe. Un autre doigt vient alors le rejoint, s’immisçant, à son tour, dans les profondeurs de sa croupe. La femme végétale ne laisse aucun répit à son amante, jouant de sa main avec l’un de ses tétons percé et l’anneau qui l’orne. Elle attend l’inévitable orgasme d’Automne. Et vient alors savoure le jus intime de l’humaine, fruit de sa jouissance.
Une fois rassasiée, elle ne lui laisse pas un instant de répit. Ses doigts se retirent lentement de ses fesses. Et son corps s’allonge sur le sien, sa voluptueuse poitrine se colle à la sienne, ses mains emprisonnent ses poignets. Son bas-ventre remue, sa vulve vient caresser le pubis et le sexe, les souillant de sa sève. Son bassin remue et elle vient embrasser délicatement la jeune humaine sur les lèvres.
"Akita va tout donner à Automne. Ne faire qu’un avec elle."
Alors que son bassin ondule avec douceur, un membre long et ferme commence à pousser entre ses jambes. Recouvert de sève, il n’a aucun mal à se glisser dans l’intimité d’Automne. Dans un bruit de succions assez pervers et sous les gémissements de plaisir de la femme-plante, le phallus progresse. Se frayant un chemin dans les chairs intimes, il prend plus de volume et finit par atteindre le fond de son vagin, l’entrée de son utérus. Akita écarte et relève les cuisses d’Automne pour mieux la pénétrer. Elle commence de lents, mais puissants mouvements de va et vient, caressant vigoureusement de son membre l’intimité de son amante. Sa poitrine caresse alors celle de l’humaine dans un mouvement de plus en plus rapide. Son bassin ondule de plus en plus fort. Le membre glisse de plus en plus puissamment dans les chairs intimes, butant contre l’extrémité du vagin.
"Akita... Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Aime fort... Han ! Han ! Han ! Le corps d’Automne. Han ! Han ! Han !"
Au plus fort de ses mouvements, elle plaque son corps contre celui de son amante, ventre à ventre, vulve à vulve, clitoris contre clitoris, membre au plus profond de ses reins. Le phallus enfle et desserve la semence végétale, inondant l’utérus, le vagin, souillant la vulve. Akita s’était laissé allé, mais elle était ravie et ne comptait pas s’arrêter. Cette fois, Automne avait des phéromones en elle, en contact direct avec l’intérieur de son corps et pour un bon moment. La femme-plante s’extrait, à regrets, du sexe de l’humaine, lui offrant un baiser en dédommagement. Elle se couche à côté d’elle et couche son amante sur le côté. Une main lève une jambe d’Automne et le membre, après avoir rétrécit, vient se glisser entre ses fesses musclées. Son gland vient appuyer contre l’orifice étoilé.
"Akita en veut plus aussi."
Le membre finit par perforer l’orifice obscur et le bassin commence ses mouvements de va et vient dans la croupe d’Automne, les jambes de cette dernière bien écartées.