Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Akita Celebrindal

Pages: 1 ... 3 4 [5] 6 7 ... 10
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Prélude / Re : Une louve part en chasse [Anéa]
« le: samedi 18 juin 2022, 10:57:12 »
Un autre être issu de la nature, au comportement animal.

Bienvenue ! ^^

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 16 juin 2022, 16:13:30 »
16h12: Service téléphonique de la Sécu indisponible. Hier, 18 minutes et pas un qui décroche. Un peu beaucoup d'exaspération.  >:(

63
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: jeudi 16 juin 2022, 16:10:25 »
3 =)

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Prélude / Re : Neila, Mage Lamia du désert [Anéa]
« le: lundi 30 mai 2022, 18:16:32 »
Rebienvenue ! \o/

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La dame-plante ne se formalise pas lorsque l’humaine vient appuyer sur sa tête, tandis qu’elle se régale de son nectar intime. Elle n’avait nullement l’intention d’en laisser la moindre goutte. Autant par intérêt que pour remercier les délicates attentions portées à sa vrille par l’humaine. Pas plus de formalisme, lorsque l’humaine prend appuie sur elle pour avoir une bonne position. Son guide est la survie, pas la patience ou l’impatience ou bien les règles rigides de la bienséance ou de la bonne tenue en société. l’humaine a donc tout le temps qu’elle veut pour prendre une position confortable et pratique pour elle. L’expression "se faire prendre" n’était pas quelque chose qu’Akita pouvait comprendre aussi ne répondit-elle rien.

Le membre s’enfonce lentement dans le sexe de l’humaine. Étant d’une taille bien supérieure à la moyenne humaine, la femme-plante ne voulait pas blesser son amante et voulait aussi prendre son temps. Aussi, c’est avec délicatesse que le phallus végétale progressa dans les chairs intimes, les écartant et dilatant légèrement et de plus en plus la vulve de la jeune femme. Le membre progresse et touche l’entrée de l’utérus. Les mains vertes saisissent les fesses humaines et les soulèvent. Le dos calé contre l’arbre, l’humaine peut poser ses bras autour de la nuque d’Akita et ses jambes autour de sa taille. Les  lèvres végétales viennent se poser sur celles humaines et le baiser est prolongé un long moment. Elle rompt le baiser.

"Akita va donner beaucoup. Parce que tu es généreuse."

Le bassin commence de lents, profonds et puissants mouvement de va et vient, parcourant les chairs intimes, jusqu’à l’entrée de l’utérus, puis revenir à l’orée de la vulve, avant de reprendre son assaut. Un peu moins lentement à chaque mouvement, mais toujours puissants et appuyés. Les mains d’Akita massent les fesses, elles les écartent et un doigt vient tourner autour de l’orifice étoilé, le titillant, avant de le perforer, de se glisser dans l’obscur passage de toute sa longueur et de s’allonger pour ensuite remuer au rythme des mouvements de bassin. Sa voluptueuse poitrine glisse, caressant celle de son amante humaine. Seins contres seins, tétons contre tétons. La vrille vient de nouveau apprécié les délicates attentions buccales de l’humaine. Les petite vrilles continuent de jouer avec les seins et les lèvres intimes de la gourmande humaine. Malgré l’appui contre l’arbre, des vrilles viennent soutenir la jeune femme afin d’éviter qu’elle ne glisse sous les assauts de plus en plus puissants de son amante végétale.

Les mains caressent le postérieur humain. Les lèvres viennent embrasser leurs semblables entre deux gémissements, soupirs ou couinements de plaisir. Après un long moment de puissants mouvements de bassin, où le membre végétal prendre de nombreuses pour satisfaire la moindre parcelle de chair intime de l’humaine, la femme-plante répand le fruit de sa jouissance dans le corps de son amante. La semence se répand dans son utérus, son vagin, souille sa vulve, provoquant même un petit renflement dans son bas-ventre. Le membre se retire lentement après quelques mouvements supplémentaires. Désormais, il est clairement attiré vers les fesses de l’humaine et son petit orifice obscur.

"Akita a encore beaucoup à donner."

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Le coin du chalant / Re : Mogak gra-Urog [Libre]
« le: dimanche 29 mai 2022, 23:02:31 »
Une force de la nature contre une force naturelle. Une femme libre contre une femme en fuite. Des mains qui broient contre des corps contre des vrilles qui peuvent broyer des pierres. L'une s'attaque au corps, l'autre peut s'attaquer à l'esprit. Deux ennemies, deux alliés, deux amis, voir plus, qui sait ?

C'est sur ces bases que je te propose un rp de confrontation qui pourrait évoluer vers bien plus.

Akita est une femme, un homme, un hermaphrodite, tout ça à la fois ! Elle est surtout une plante qui ne comprend pas, mal ou de travers toutes les préoccupations des êtres de chair et leur société. Voilà qui risque donc de mettre la patience à rude épreuve.

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Les doigts végétaux sentent la chaleur intense de l’intimité humain, sa chaleur et son humidité débordante. Ils en parcourent les moindres parcelles, comme pour en garder la mémoire pour une autre visite. Tout comme le pouce qui caresse l’entièreté du clitoris. Sa voluptueuse poitrine caressant celle de l’humaine plus menue. Cette dernière devait être d’ailleurs déçue qu’Akita ne s’occupe de son postérieure, mais ce n’était que partie remise. Elle avait tout son temps pour en disposer et n’allait pas se priver de le faire. Les claques et les griffures sur les fesses végétales ne laissent aucun doute sur la passion qui anime désormais le corps de l’amante humaine. Désormais sous l’influence des phéromones, elle ne se contrôle presque plus. La femme-plante n’y peut rien, mais cela lève le peu de scrupules qu’elle a sur ce qu’elle fera à Automne. Surtout qu’en plus de lui donner son nom, cette dernière lui donne une autorisation totale sur son corps, sans savoir la réelle nature de son être.

Mais Automne semble gourmande, très gourmande. Son amante végétale la voit se jeté, comme affamée sur son entrejambe. Ses lèvres embrassent à plusieurs reprises l’intimité d’Akita, ce qui fait couiner de plaisir la dame-plante. Elle pousse un petit cri en sentant la langue pénétrer son sexe et gémit de plaisir sous les assauts de la langue et les caresses sur son clitoris. Les jambes s’écartent autant qu’elles peuvent pour donner toute liberté à cette assaut gourmand. Ses doigts glissent dans les cheveux, les caressent et les tirent parfois. Un doigt vient même jouer avec un des piercing sur les tétons de l’humaine. Au bout d’un long moment, une main plaque la tête d’Automne entre les cuisses et son amante jouir, répandant sa sève dans la bouche de celle qui la butine comme un papillon affamé. Lui en offrant même plus qu’une humaine normale pourrait lui donner.

Après s’être assurée que l’humaine a bien savouré toute la sève offerte, Akita l’allonge et vient l’embrasser aussi fougueusement qu’elle l’a fait au début de leur étreinte. Les lèvres descendent sur le cou, la naissance de la poitrine, sur les tétons, jouant de sa langue avec les piercing, glissent sur le ventre et chatouille le nombril, embrassent le pubis et souffle sur le clitoris. La dame-plante observe un instant le sexe qui s’offre à elle, avant de plaquer sur les lèvres sur les lèvres intimes. Sa langue se glisse alors dans le vagin brûlant et humide, traversant les chairs intimes et atteignant l’entrée de son utérus. Elle remue avec vigueur, caressant la moindre parcelle, absorbant le jus intime sans laisser la moindre goutte lui échapper. Pendant que sa langue s’amuse, ses lèvres viennent aspirer le clitoris et jouer avec le piercing qui l’orne. Ses mains écartent les fesses musclées d’Automne, un doigt vient titiller son œillet brun, avant de de le perforer, se glissant alors profondément dans sa raie. Remuant dans cet orifice obscur aussi vigoureusement que la langue et les lèvres sur le sexe. Un autre doigt vient alors le rejoint, s’immisçant, à son tour, dans les profondeurs de sa croupe. La femme végétale ne laisse aucun répit à son amante, jouant de sa main avec l’un de ses tétons percé et l’anneau qui l’orne. Elle attend l’inévitable orgasme d’Automne. Et vient alors savoure le jus intime de l’humaine, fruit de sa jouissance.

Une fois rassasiée, elle ne lui laisse pas un instant de répit. Ses doigts se retirent lentement de ses fesses. Et son corps s’allonge sur le sien, sa voluptueuse poitrine se colle à la sienne, ses mains emprisonnent ses poignets. Son bas-ventre remue, sa vulve vient caresser le pubis et le sexe, les souillant de sa sève. Son bassin remue et elle vient embrasser délicatement la jeune humaine sur les lèvres.

"Akita va tout donner à Automne. Ne faire qu’un avec elle."

Alors que son bassin ondule avec douceur, un membre long et ferme commence à pousser entre ses jambes. Recouvert de sève, il n’a aucun mal à se glisser dans l’intimité d’Automne. Dans un bruit de succions assez pervers et sous les gémissements de plaisir de la femme-plante, le phallus progresse. Se frayant un chemin dans les chairs intimes, il prend plus de volume et finit par atteindre le fond de son vagin, l’entrée de son utérus. Akita écarte et relève les cuisses d’Automne pour mieux la pénétrer. Elle commence de lents, mais puissants mouvements de va et vient, caressant vigoureusement de son membre l’intimité de son amante. Sa poitrine caresse alors celle de l’humaine dans un mouvement de plus en plus rapide. Son bassin ondule de plus en plus fort. Le membre glisse de plus en plus puissamment dans les chairs intimes, butant contre l’extrémité du vagin.

"Akita... Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Aime fort... Han ! Han ! Han ! Le corps d’Automne. Han ! Han ! Han !"

Au plus fort de ses mouvements, elle plaque son corps contre celui de son amante, ventre à ventre, vulve à vulve, clitoris contre clitoris, membre au plus profond de ses reins. Le phallus enfle et desserve la semence végétale, inondant l’utérus, le vagin, souillant la vulve. Akita s’était laissé allé, mais elle était ravie et ne comptait pas s’arrêter. Cette fois, Automne avait des phéromones en elle, en contact direct avec l’intérieur de son corps et pour un bon moment. La femme-plante s’extrait, à regrets, du sexe de l’humaine, lui offrant un baiser en dédommagement. Elle se couche à côté d’elle et couche son amante sur le côté. Une main lève une jambe d’Automne et le membre, après avoir rétrécit, vient se glisser entre ses fesses musclées. Son gland vient appuyer contre l’orifice étoilé.

"Akita en veut plus aussi."

Le membre finit par perforer l’orifice obscur et le bassin commence ses mouvements de va et vient dans la croupe d’Automne, les jambes de cette dernière bien écartées.

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"-Akita donne chaud ? Mmmmmmmmmh !"

La dame-plante n’eut guère le temps de finir sa phrase, que la jeune femme lui donne un baiser passionnée. Plaquant ses lèvres sur les siennes en pressant sa nuque au milieu de son opulente chevelure blonde, la langue humaine danse sur celle de la créature végétale. Akita se laisse faire, savourant étrangement ce geste qu’elle ne comprend guère. Mais avec un contact aussi direct, l’humaine s’expose aux phéromones de la manière la plus intense qui soit. Sa langue, plus souple, joue avec l’humaine. Mais elle se recule, avant que sa véritable nature soit éventée. Elle ne pouvait pas répondre à sa question, tout simplement parce qu’elle ne se pose pas et qui n’a aucun sens pour elle.

La femme-plante mime un frisson en sentant la main caressant un de ses voluptueux seins. Un nouveau frisson est mimé lorsqu’elle sent la langue vient caresser son sein et caresser doucement son téton. Akita ôte sa ma main du mur et la glisse derrière la nuque de la jeune femme pour l’inciter à aller plus loin sur son sein. Puis elle glisse le long de sa nuque, sur ses hanches, ses fesses. Les jambes de l’humaine sont écartées et la dame-plante attrape la main humaine pour la glisser entre ses propres cuisses. Son intimité végétale produit alors sa propre substance pour rendre son intimité aussi humide qu’elle puisse l’être. La main de la femme végétale prend place entre les cuisses humaines, sur son intimité. Deux doigt se glissent, sans peine, dans le sexe féminin, ces doigts, plus agiles que n’importe quels doigts humains, remuent lentement dans le vagin. Deux autres doigts caressent les lèvres intimes de la vulve. Le pouce s’amuse avec le clitoris de la jeune femme. Elle tire un peu plus sur le piercing, jouant avec.

"Akita donne chaud alors Akita va s’occuper de ça, d’abord. Ensuite Akita dira tout, si tu acceptes tout ce que donnera Akita."

Les doigts s’affairant sur l’intimité remuent avec un peu plus de vigueur. Sa main alterne entre les deux téton percés ne voulant en négliger aucun des deux. Puis, vient caresser et masser les fesses de son amant, se hasardant même à passer un doigt entre elle, avant de reprendre ses assauts sur la poitrine. Celle d’Akita se presse un peu plus contre la jeune humaine.

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L’eau était un peu chaude pour être absorbée par le corps de la dame-plante, mais elle saurait s’en contenter. Sa peau végétale ne s’était pas desséchée sous le soleil, il faut cependant qu’elle puisse s’hydrater. L’eau de cet endroit n’était pas pure et était déminéralisée. Mais elle trouvait les minéraux dans le sol et son corps peut filtrer les produits toxiques que les humains mettent dans l’eau pour la purifier, selon leurs termes. Ces êtres de chairs ne sauront jamais apprécier l’eau que fournit la nature à sa juste valeur. Akita n’avait pas imaginé l’effet que ferait son intrusion dans cet endroit sur la personne qui s’y trouvait déjà. Ce n’était pas la première fois, qu’elle surprenait des gens. Mais avec cette intensité, cela n’était jamais arrivé. A sa remarque, la nouvelle venue se fend d’un large sourire.

"-Désolée, je ne m’attendais pas non plus à faire autant d’effet. Je ne voulais faire peur à personne."

La femme-plante repris sa pause pour apprécier l’eau. Ses mains derrière sa nuque, le corps étiré. Elle se sent observé, elle se sait observé. Son corps est couvert de couleur et tout autre couleur que le vert lui permet de capter la lumière. Cette dernière traverse sa peau végétal et est ainsi capté par les cellules qui lui permettent d’observer son environnement. Ainsi elle perçoit sa voisine avec plus de détails que cette dernière. Elle peut percevoir son corps avec une myriade de détails et de nuances. C’est ainsi qu’Akita peut voir qu’elle fait un tout autre type d’effet sur la jeune femme. Cette dernière semble médusée par le seul fait de la regarder. La dame-plante curieuse se tourne alors dans sa direction. Elle pose une main sur la surface lisse du mur et se poste très près, tout près de la jeune femme.

"Akita fait toujours de l’effet visiblement."

Son corps est vraiment très près, il effleure celui de sa voisine. Sa poitrine est à la hauteur du visage de l’humaine. Un doigt soulève légèrement un anneau glissant au travers d’un téton. Ses lèvres s’approchent de celles de la jeune femme. Elles descend dans son cou, au-dessus de sa poitrine, sur le téton dont l’anneau est prisonnier de son doigt, son ventre, son nombril et observe un instant son intimité assaillie par des doigts intrusifs. Elle se redresse alors, tenant toujours l’anneau dans son doigt.

"Se caresser sous la douche devant Akita. Comme des désirs à assouvir ?"

Ce que la dame-plante ignorait. C’est que ses phéromones agissaient naturellement, à ce moment-là. Et malgré l’eau qui tombait, une partie d’entre eux se mêlaient à l’eau et atteignaient sa voisine. Certes de manière diluée, mais ils font quand même un certains effets à la jeune humaine.

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Prélude / Re : Mogak gra-Urog
« le: vendredi 27 mai 2022, 13:30:24 »
Une femme forte et courageuse, à n'en pas douté.  :) Bienvenue ! \o/

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Cette ville était grande, comme une forêt sinistre et puante. Mais Akita commence à s’habituer à l’environnement. La nuit, elle peut se déplacer sans attirer l’attention. Le jour est beaucoup plus compliqué à gérer pour elle. Car sa seule silhouette ne peut plus faire illusion, elle doit adapter de nouvelles stratégies si elle veut se déplacer le jour. Soit la dame-plante prend l’apparence d’une plante, d’une fleur ou d’un arbre et peut passer totalement inaperçue, mais elle doit reste totalement immobile, suivre les mouvements du vent et ne peut pas se déplacer, quelque soit les circonstances. Mais, depuis peu, Akita a appris une nouvelle compétence. Celle de prendre l’apparence d’êtres de chair qu’elle croise. Ce n’est pas forcément si facile, cela demande un effort certain, surtout au niveau des couleurs de la peau, pour être le moins visible possible. Mais désormais, elle peut se déplacer avec un minimum de risques, tant qu’elle se conduit comme eux.

La nuit est tombée et la rareté des personnes lui permettent de mieux se déplacer. Mais le manque d’eau commence à se faire sentir. Cependant elle sent la présence de l’eau, non loin. Elle s’approche du bâtiment, mais celui-ci ne ressemble pas à un bâtiment qui pourra contenir de l’eau, pourtant elle se glisse à l’intérieur. Assez facilement d’ailleurs, personne ne semble être présent. La femme-plante reste, quand même, sur ses gardes. Une fois à l’intérieur, elle perçoit le bruit de l’eau. Ses pas la rapprochent de la pièce d’où provient et ses yeux voient alors un endroit blanc, au plancher, aux mur et au plafond de pierre lisse. Une personne, une humaine se trouve à l’intérieur. Mais elle lui tourne le dos et est trop absorbée par ce qu’elle fait pour s’occuper d’elle.

Akita se place sous la douche et prend la forme d’une femme bien plus grande que celle présente, à la poitrine bien plus voluptueuse avec de petits piercings aux tétons et au nombril, à la chevelure blonde plus grande, aux muscles plus prononcés, le corps marqué de motifs pour faire penser à des tatouages. C’est sous cette forme qu’Akita s’étire sous l’eau bienfaisante.


"-Aaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Ça fait du bien !"

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Une nouvelle fois, Akita en est réduite à prendre une nouvelle forme, la plus discrète possible. Tout cela à cause de ses humains, évidemment. A croire, que, quel que soit l’endroit, les humains ne respectent rien, pas même la nature qui leur donne de quoi se nourrir, de quoi se vêtir, de quoi vivre. Ils préfèrent prendre sans rien donner. Et ils ont pris le parc où la femme-plante avait trouvé refuge. La cachette parfaite, l’endroit idéal pour être tranquille, une oasis de verdure au cœur d’un désert de béton, de verre et de pétrole. Au milieu des arbres, des buissons, parmi les hautes, elle se sentait bien. C’était, sans doute, le meilleur endroit que la dame verte pouvait trouver depuis son arrivée dans cet endroit étouffant avec ces flèches sombres et écrasantes, ces humains, si nombreux, qui semblent errer au milieu de leurs semblables, sans même les voir alors qu’ils sont juste à côté. Le parc a été rasé ou remodeler comme disent les êtres de chairs d’ici. Peu importe, il n’est plus habitable. La femme-plante a eut de la chance de ne pas être découverte. Profitant de la nuit, après avoir pris la forme d’une plante pendant la journée, elle a fuit. Habituée à la survie en milieu naturel, mais moins en milieu urbain, elle opte pourtant pour le même solutions : réserve de nutriments, observation de son environnement, transformation en copiant l’apparence des êtres de chair. L’obscurité fut sa meilleure alliée, sa silhouette pouvant passer pour un être de chair, lui permet de tromper les ares personnes pouvant l’observer.

Son évasion est couronnée de succès. Se glissant telle une ombre dans les ruelles sombres, changeant la nature de son corps : passant d’une apparence d’être de chair à un assemblage chaotique de vrilles et de lianes, la femme-plante survivant se glisse dans plusieurs passages étroites, fenêtres, portes, tuyaux. Passant de toits en toits, elle est désormais bien loin de son ancien refuge. Mais où aller ? Akita l’ignorait. Le hasard en décidera donc. Prenant l’apparence d’un bikini aux multiples couleurs éclatantes et à la forme très sexy, la femme-plante est persuadée qu’elle va séduire une femme qui pourra l’emmener dans un autre lieu, sans qu’elle fasse d’efforts, économisant ainsi son énergie, ses réserves et prenant un risque minimum pour se déplacer. Et qui sait ? Sa porteuse pourrait être à son goût et lui rendre bien plus de servir qu’elle espérait. Non loin de l’eau, même une étendue d’eau artificielle, près d’un banc. Qui saurait résister à un beau maillot neuf, propre et gratuit. Au milieu du passages des usagers de cet endroit plein d’eau, Akita attendait sa porteuse, son amie ou sa future proie. Peut-être tout cela à la fois !

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La nouvelle-venue semble clairement apprécie la façon dont Akita la traite. Cette dernière sait à quel point ses fluides peuvent être efficaces. Mais il n’y en a pas assez sur la jeune femme pour qu’elle réagisse ainsi. Aussi étrange que cela apparaît à la femme-plante, sa prise semble être venue de son plein gré dans cet endroit et pour sciemment assouvir ses désirs, même avec un être dont elle ignore tout. En réponse aux délicates attentions sur la vrille qu’elle savoure, cette dernière lui offre un peu de nectar, semence végétal qu’Akita produit. Pour l’aider dans la quête de plaisir de l’être de chair, l’être végétal fait glisser lentement, à l’aide de ses vrilles. Les vêtements et sous-vêtements qu’elle porte, la femme-plante prend son temps, mais il lui en faut peu pour que la nouvelle venue se retrouve entièrement nue. En même temps, la dame verte sort de sa cachette et se dirige lentement vers son "amante."

Son apparence est l’originelle, mais avec quelques ajustements. Sa poitrine est plus voluptueuse que d’habitude, sa taille légèrement plus grande et un membre masculin turgescent de bonne taille se dresse au-dessus d’un vulve de masquant rien de ses lèvres intimes. Akita se dirige lentement en direction de l’être de chair. Ses mains se glissent doucement sous les bras de cette dernière et plonge ses étranges yeux écarlates sur ceux de l’humaine.


"-Tu fais du bien à Akita, alors Akita va te faire du bien aussi."

Ses lèvres se pose alors dans le cou féminin, la langue se posant sur l’épiderme. Puis les lèvres glissent, lentement, descendant au-dessus, puis entre les seins. Elle glissent alors sur l’un d’eux, caressent l’aréole, puis viennent happer le téton. Elles l’aspirent, la langue le caressent avec gourmandise et lenteur. Il est délaissé alors pour son jumeau, qui subit le même sort. Les lèvres reprennent leur voyage, glissant sur le ventre, caressant le nombril avec la langue, embrassant le pubis, puis s’arrêter au niveau de l’intimité. Les mains ont également glissés, passant de sous les brans sur les côtes, pour se poser sur les hanches, puis sur les fesses. La bouche se soude alors à l’intimité et langue s’immisce entre les lèvres intimes, se fraie un chemin dans les chairs intimes, glissant le long du vagin, s’allongeant pour atteindre l’entrée de l’utérus. La femme-plante se met à remuer sa langue et aspira les fluides intimes, comme un papillon butine une fleur. Ses lèvres prennent la place de la main pour aspirer le clitoris. Ses mains caressent les fesses, les écartent, les rapprochent, les massent, un doigt vient, un instant, titiller l’œillet brun. Akita se régale tout en prenant tout son temps. Une fois rassasiée, elle se redresse et rive, à nouveau, son regard sur celui de la jeune femme. Les mains sont posées sur les fesses, sa poitrine contre la sienne, l’extrémité de son membre appuyé contre le sexe féminin de sa "partenaire". Les petites vrilles n’ont pas cessés de prendre soin des lèvres intimes de l’humaine.

"-Que désire l’humaine désormais ?"

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Les yeux, ou du moins ce qu’il tient lieu de récepteurs de lumière chez la femme-plante, observent la nouvelle venue sous les effets de son nuage aphrodisiaque. Avec le temps, elle sait discerné les effets des substances qu’elle génère sur les êtres de chair. Ainsi, les être de chairs suent, comme elle, sous l’effet de la chaleur, qu’elle provienne de l’extérieur de leur corps ou de l’intérieur. Et l’excitation que génère la substance présente dans l’air provoque cette sudation. En plus, de part de son expérience douloureuse vécue en laboratoire, l’héritière du Grand Arbre sait que la sueur peut accentuer les effets de ses substances.

Les caresses sur la vrille ne laissent aucun doute possible sur l’état de la nouvelle venue. Conciliante, Akita rend la vrille la plus douce possible. Cette dernière vient caresser les joues et effleurent les lèvres de la jeune femme. Ces mouvements répétés indiquent clairement l’intention de la vrille. Hardie, la femme-plante agit rapidement. Deux vrilles serpentent derrière cette future amante. L’une des vrilles glisse par l’ouverture du col élargie. Passant derrière la nuque, elle descend lentement le long du dos, bien au milieu et atteint le postérieur de la jeune femme. La vrille se glisse entre les fesses, entre les jambes et son extrémité vient caresser le bas de l’intimité. Par ses mouvements, elle caresse l’entre-fesse et l’orifice qu’elle cache. L’autre vrille passe également par le col, mais se glisse devant. Telle une racine, elle se divisent en plusieurs branches. Deux d’entre elles se glissent sous la poitrine, puis remontent sur chacune des seins, venant caresser leurs sommets et massant et caressant, au passage, les seins. Les autres branches poursuivent leur descente, passant le nombril et le pubis, elles atteignent l’intimité. Le clitoris est alors caressé, ainsi que les lèvres intimes, internes et externes. En contact direct avec la peau, la substance aphrodisiaque a des effets beaucoup plus puissants.

Malgré sa hardiesse à agir, Akita reste caché, dans l’ombre et pourtant si visible, des vrilles prêtes à déshabiller la jeune femme. Ce n’est guère la peur qui commande ses mouvements, mais plutôt la curiosité de voir comment va réagir la jeune femme et si la nécessité fait qu’elle doit se dévoiler.

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