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Messages - Leona

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Allez savoir pourquoi mais le lycée de Seikusu avait cet irrémédiable don d'être comme le triangle des Bermudes, un aimant à bizarrerie et à histoires étranges. Les nombreuses histoires de créatures au-delà des simples êtres humains, tels que des vampires et autres chimère de contes pullulaient, circulaient vivement dans les couloirs. S'en était absurde.  Si je ne croyais pas à ces plaisanteries d'adolescente et que je restais terre-à-terre, il fallait toutefois bien admettre la sexualité très débridée de l'établissement, hors du commun. Professeur et autres élèves s'adonnaient bien souvent entre deux cours à quelques activités peut catholiques, dans le secret et le silence des nombreuses salles et couloir. Pour ne rien cacher j'étais l'une de ces élèves perverses, enfin... à un tout autre degré de perversité. Mon truc à moi ? Chercher des informations sur un élève, ses petits dossiers bien garder pour en faire mon toutou et observer le résultat. Et rien ne m'échappait. Alors quand cette nouvelle tête avait débarqué dans une classe voisine je ne pouvais m'empêcher de toiser d'abord quelques regards indiscrets, récoltant toutes les informations visuelles dont j'étais capable. S'agissait-il d'une fille ? Si son visage fin, sa coiffure et ses lèvres pulpeuses le laissaient penser la carrure de son buste elle, menait à la réflexion. Qu'était-il ? Qui était-il ? J'avais trouvé ma nouvelle victime de la semaine !

A partir de cet instant j'étais entrée dans une phase d'observation intense, séchant tous mes cours jusqu'au dernier pour suivre les siens à partir du couloir, définissant la moindre de ses gestuelles et de ses habitudes. Même ses goûts en matière de nourriture avaient été noté dans mon carnet. Mais toujours rien de croustillant. J'avais la désagréable sensation qu'une chose importante m'échappait, de passer à côté du scoop dont j'avais besoin sans même l'entrevoir et ça... ça me frustrait réellement. Il ne restait dès lors plus qu'une seule solution. Y aller au culot, foncer dans le tas, et profiter ou subir les conséquences ensuite. Même si cette prise de risque ne me ressemblait pas.

Après tout, cette petite gazelle laissait nullement l'impression de pouvoir se défendre alors, pourquoi y aller par quatre-chemins quand il s'agissait de mener une filature jusque devant sa chambre, d'en connaitre l'emplacement pour m'y introduire ? Ce que je fis avec une aisance remarquable avant de pouvoir trouver le sommeil , non sans relire une dernière fois toutes les informations que j'avais pu trouver sur ma proie.

Ce n'est que le lendemain avant même son réveil que je me tenais contre le mur en face de sa porte, une cigarette gracieusement enfermée entre mes lèvres rouges pour patienter. Et que l'attente fut longue, je m'étais levée si tôt pour être à l'heure, pour préparer soigneusement ma longue chevelure lisse, pour rehausser l'océan profond de mes yeux par une note de maquillage sombre. J'avais même pris tout mon temps pour sélectionner ma tenue du jour, qui n'était autre qu'un slim noir assez moulant et un corset aux lacets rouges. Sans en oublier mes fidèles bottines. Si j'avais su, j'aurais glandé au fond de mes draps encore 10 bonnes minutes.

Pas trop tôt...

Du mouvement se fait entendre derrière la porte et celle-ci finit par s'ouvrir, dévoilant mon corps debout dans ce cadre en bois. De mémoire, c'était la première fois que je me trouvais si proche de ma proie depuis ma séance d'observation, mais pas le temps de penser à ça, j'expire déjà avec abondance une bouffée de cigarette sur son joli visage, avant d'y appuyer fermement l'index contre ses lèvres pour l'obliger à reculer. La porte se referme derrière nous.

Ranges tes affaires, tu as un mot d'excuse pour les cours. J'ai dit que tu étais malades.


Lui présentant le mot d'excuse l'autre main sans le regarder je fouille visuellement sa chambre, prenant mes repaires comme s'il s'agissait de ma propre chambre. A premières vu rien de contraignant alors je décidais d'ouvrir un peu tous les tiroirs en l'ignorant et sans même demander son avis.

Je t'explique comment ça marche dans ce lycée. Je demande, toi tu exécutes. Tu m'appartiens, je fais ce que je veux de toi. Refuses et tous tes dossiers les plus intimes feront la une des journaux scolaires. Des questions ?

Peut-être un peu trop sure de moi, je continue ma lancée jusqu'à découvrir ses vêtements, et me pose alors une question.

Fille ou travelo ? Et m'oblige pas à vérifier par moi-même.

Ce ton froid qui me caractérisait si bien intimidait la plupart du temps les nouveaux élèves, qu'en serait d'elle ?... de... lui ? J'attendais sagement toute réaction de sa part en tirant une dernière fois sur ma cigarette. N'y avait-il pas un cendrier dans cette maudite chambre ?

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Les alentours de la ville / Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )
« le: mercredi 09 novembre 2016, 01:06:11 »
Le spectacle en était arrivé à un point ou son ventre percutait le sol avant sa poitrine pourtant bien large, décrivant aisément les nombreux litres qui remplissaient son corps comme une énorme citerne gonflable. Le plus excitant dans tous ça était surement de voir son gros ventre s'aplatir et s'écraser sur le sol de la même manière qu'ont écraserait un ballon de baudruche contre une surface. La trainée de cyprine quant à elle me donnait une information sur son corps qui réagissait comme celui d'une grosse masochiste face à la douleur. Par expérience, je commençais à comprendre que ces réactions de plaisirs incontrôlées face aux supplices les plus perturbant provenaient d'un passé douloureux. La blonde avait du être torturée et violée sous tous formes possibles pour la former à en apprécier chaque nuance de souffrances et d'humiliation. Dans son cas, c'était une véritable réussite et chaque plainte pour me supplier d'arrêter le traitement me faisait frémir. Comment pouvait-elle croire que j'aurais envie de m'arrêter maintenant qu'elle était si mignonne à me quémander un brun d'humanité.

Non à la place elle n'eut le droit qu'à un pied qui vint s'écraser dans son ventre alors que je l'avais retourner sur le dos pour en apprécier ma bottine qui s'enfonçait dans cette chaire gonflée. Là ou je l'écrasais, l'eau forcée d'être chassée gondolait les autres surfaces de son ventre, formant un jolie cratère au milieu.

Tu entends ce bruit ? C'est terriblement amusant tu ne trouves pas ?

Je faisais bien entendu référence au bruit du ballotement de l'eau qui parcourait son ventre, et pas pur plaisir je repartais pour un grand coups de pieds bien placé mais plus brève. Si je la martyrisais trop elle ne pourrait jamais arriver au bout de son petit parcours dans les couloirs. D'ailleurs la blonde avait l'air d'être connue et un homme visiblement assez mauvais dresseur me félicitait d'y être parvenue. En temps normaux je lui aurait bien dit qu'il devait simplement apprendre les bases, qu'il était tout simplement un piètre dominateur pour lequel même une autre fille de mon age n'éprouverait aucun respect. Il fallut moins de trente minute moi pour la mettre dans cet état, et surement encore moins pour lui faire comprendre ce que j'étais et la faire plier mentalement... Toutefois je ne voulais pas provoquer d'ennui inutile ne serait-ce que par respect pour cet organisation. Après tout elle me permettait de jouir de celle qui était surement déjà ma proie la plus intéressante.

J'aurais pu passé mon chemin et l'histoire ce serait arrêter là mais l'homme semblait ensuite me provoquer en me demandant si j'étais capable d'une chose toute simple. Un sourire narquois se dessina sur mon visage alors que je replaçait cette grosse vache ventre à terre dans un lourd et douloureux impact, faisant sortir une belle goulée d'eau par ses narines.

Même un singe serait capable de lui donner cet ordre, pour qui me prenez vous ? Attendez plutôt et voyez par vous même avec quel hardeur cette chienne vous sucera la queue dans quelque minute j vous autorise même à utiliser mon jouet en choisissant le trou qui vous siéra. Je dois juste terminer sa balade avant ça.

Comme pour lui dire d'avancer le talon d'une de mes bottine s'enfonce dans son cul et s'y tortille, pendant que la semelle pousse pour l'obliger à ramper sur le sol.

Tu vois cette intersection là bas ? On va y aller pour faire tes besoins, tu dois avoir envie d'évacuer un peu après avoir tant bue. Ensuite on fera demi tours, et tu t'occuperas de l'autre imbécile qui attends dans le couloir.

Seulement j'avais peut-être oublier de lui dire que je n'avais pas envie de marcher jusqu'au fond de ce couloir, bien qu'elle devait l'avoir compris quand je commençait à m'assoir sur son dos pour l'utiliser comme monture, en rajoutant une pression sur son ventre qui s'écrasait encore plus contre le sol. Et pour motiver à la faire avancer, mes talons tapaient sur les deux côtés de son ventre quand elle n'y mettait pas assez du sien. La vie de chienne était une vie décidément bien compliquée !

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Dortoirs et douches / Re : Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: mercredi 02 novembre 2016, 14:25:00 »
Toussant sans une once de grâce le liquide épais qui maculait le fond de ma gorge je reprenais mes esprits avec difficulté. Tout tournait autours de moi et j'étais passe a deux doigts de m'évanouir. Je n'écoutais même pas ce qu'elle pouvait bien dire et de toute façon j'étais dans l'impossibilité de comprendre un traitre mot avec les oreilles qui sifflaient autant. Je n'eus la force de me relever que deux grandes minutes plus tard en tapotant des mains sur l'évier, l'ignorant toujours. J'avais vraiment une salle tete et a sentir l'odeur je n'avais pas besoin de le voir pour confirmer. Il fallait simplement que je me rince avec abondance le visage, et que j'aille changer ces vêtements horriblement souille et sale. Putain de garce qui m'avait prise par surprise, si je me serais douter qu'elle irait jusque la ! Mais elle allait le payer au prix fort c'était une certitude, une fois que je me serais bien assez rincer le visage. Mais dégoulinante d'eau comme ça jusqu'aà la moindre pointe de ma chevelure brune, je n'avais guère l'air plus convaincante.

Toi la nouvelle... comment... Qui crois tu que je suis pour oser... je n'ai même pas les mots pour exprimer ma rage.... la !

Grinçant des dents dans l'allure épouvantable d'une lycéenne qui serait tombée toute habillée a l'eau, je saute a sa gorge en hurlant, faisant tomber la blonde tempe contre le bord d'une des cuvettes. Par instinct vengeur, je lui agrippe les cheveux comme le bout d'un sac de paille pour aller lui foutre la tête dans la cuvette des chiotte. Ma force était surement décuplée par ma haine mais je profitais également bien du coups qu'elle avait reçu en tombant. Quoi qu'il en soit je tirais la chasse a diverses reprises pour noyer son visage sous un torrent d'eau toutes les 5 secondes, comme si j'avais l'intention de l'étouffer. Ce qui ne dut pas passer très loin vu la couleur de son visage violacé lorsque j'eus la présence d'esprit de la tirer hors de la.

Oui tu as raison... je tiens toujours mes promesses... c'est pour ça que tu va éjaculer au fond de ta propre gorge... comme je l'ai promis !

Sans même me soucier des possibles autres élèves qui auraient pu écouter à la porte ou rentrer, je lâchais ses cheveux tenus en grappe dans le creux de ma main, faisant retomber la tête de la belle au dessus de la cuvette.

Je suis tellement en colère que je serais capable de te tuer par accident... Et je ne veux surtout pas rester dans cet état dégoutant plus longtemps, je dois me changer...

Je me dirige vers la porte, le poing serrer tout en sachant qu'un peu de temps de répit pour me refaire une beauté ne suffirait pas. J'allais conserver ma haine tant que je ne lui aurait pas fait payer au double du prix. Seulement l'odeur me donnait envie de vomir et je me sentais plus répugnante qu'un cochon s'étant roulé dans la boue, je devais absolument me refaire belle.

Ta première nuit ici sera un véritable enfer, je vais m'en charger personnellement. Et le meilleurs dans tout ça c'est que tu va venir cueillir ta punition de toi même, je te donne rendez-vous dans la chambre à 19H pile. Si tu ne te présente pas à l'heure c'est moi qui viendra te chercher... Et même une sale masochiste comme toi ne veut pas savoir comment je m'y prendrais... crois moi

J'aurais bien pu le battre et la rouer de coups mais ce ne serait qu'une effusion de violence sans saveur dont elle ne tirerait aucune leçon. Elle en avait déjà vu de toutes les couleurs je l'avais bien compris et il allait falloir réfléchir d'avantage pour réellement la marquer. Mais pour ça, il allait d'abord falloir que je me refasse une beauté pour être en condition...

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Ne dit pas de bêtises on n'éclate pas aussi facilement.

Un violent coups de pieds dans son ventre lourd m' offre un doux sons d'eau qui ballote dans tous les sens, un délicieux bruit sourd ressemblant à s'y méprendre à un ballon trop plain d'eau. Eclater ? Qu'elle arrête de me faire rire, je n'avais pas payé une telle somme pour qu'elle commence à pleurer au bout de 6 litres d'eau, même si la prouesse était déjà au delà d'une simple humaine. Ce que j'étais venu chercher là était bien au delà d'une simple prouesse, mes espérances nourrissaient des ambitions bien plus hautes. Toutefois elle n'avait pas tort, elle était pleine... enfin... à un détail près. J'espère qu'elle n'allait pas se réjouir trop vite de la situation en sentant le tuyau se glisser hors de ses larges fesses, dont le bout flottait à demi dans le fond de son anus gorgé de flotte.

Tu as raison ça ne passe plus, tu dois être pleine... du moins de ce côté là... Si tu peux encore parler je sais par ou je pourrais continuer à te remplir plus facilement.

Ce même tuyau qui était dans le fond de son derrière un instant plus tôt et étonnement d'une propreté impeccable, alla se loger contre ses lèvres. Devant le refus de l'ouvrir naturellement  ce fut une décharge électrique qui parcouru de nouveau son corps, bien plus intense cette fois-ci à cause de l'énorme quantité d'eau en elle qui était un parfait conductible. Je profitais que la décharge passe pour lui enfourner le tuyau entre les lèvres, le pied logé dans son gros ventre bombé.

Tu ressemble à une énorme cochonne comme ça ! Je devrais peut être te balancer dans un enclos avec d'autre porc personne ne verras la différence ! Mais je suis sure qu'ont peut encore te faire gonfler un peu ! Alors soit gentille et n'entrave pas mon plaisir de voir ton corps se noyer d'eau... Ou la douleur que je serais capable de te procurer par vengeance serait infâme...

Pour que l'eau ne se vide plus par son anus, je décidais de lui enfoncer bien profondément et bien solidement un bouchon imperméable à l'eau, et solide. Maintenant, il était temps d'en faire de même en gavant cette truie par la voie orale. Immédiatement, l'eau coulait à nouveau pour aller remplir sa bouche et sa gorge, la forçant à boire de longue et étouffante gorgées d'eau. Il était aisé de deviner chaque déglutissions par la bosse qui se formait dans la gorge avant de se faire avalé avec difficulté, toujours dans un sons de supplice à moitié noyé. Un détail me perturbait pourtant et je lui retirais le bandeau de devant ses yeux pour avoir la joie de croiser son regard suppliant. Elle pourrait ainsi y voir le mien, dessiné d'une joie intense de la voir subir son supplice... Lui faisant ainsi comprendre qui j'étais et qu'il ne serait pas aussi aussi simple de me faire arrêter.

Tu vois, ça passe encore ! Je sent que ton ventre pousse contre mon pied, c'est qu'il y a encore de la place. Et pour ta gouverne, au passage, je me fiche que sois retenue ici contre ton grès, et je n'irais pas prévenir les autorités même quand j'en aurais terminé avec toi ! Ce serait une insulte envers ceux qui te détiennent et qui me permettent de vivre ce si délicieux moment !

2 litres plus tard soit 8 et le double qu'un corps humain normal pouvait contenir en restant conscient, j'avais bel et bien la preuve que son corps n'était pas banale, BIOGENIX ne m'avait pas menti et je me rendais réellement compte que tout m'était possible ! Même si la blonde avait elle aussi après tout ses limites que je remarquais bien lorsque quelques salves d'eau commençaient à gicler hors de ses narines. L'eau l'avait vraiment complètement remplis cette fois et son ventre distendu à la limite de son possible avait même fini par déchirer son uniforme sous la pression de se ventre abusivement gonflé. Si l'eau investissait son nez c'est qu'elle ne pouvait même plus respirer et que l'eau ne pouvait tout simplement plus trouver de place à l'intérieur. Elle donc forcée de s'écouler en dehors par ce qu'elle pouvait.

Par un ultime geste de sadisme je lui pince le nez quelques seconds pour que ses joues se compriment comme un hamster sous l'impossibilité de sortir. Et une fois qu'elle sont bien fermes et rouge je relâche la pression pour que tout s'expulse d'un coups. C'était plutôt amusant à voir et je découvrais moi même des facettes de moi même, bien plus sadique encore que j'aurais pu le penser ! N'avais-je donc finalement pas de limite même devant ce spectacle ? La blonde remplie convulsait dans tous les sens et ses yeux se révulsaient comme un dernier signal d'alerte, auquel je répondit en fermant le robinet. Mais comme pour son anus hors de question que l'eau puisse ressortir, et la bouche fut elle aussi scellée par un large morceau de scotch bien solide.

8... peut être même 9... ça risque d'être épuisant quand tu va devoir tout évacuer par la voix naturelle ! ah ah !

Mon pieds s'écrase fermement contre son ventre à lui en faire tortiller de douleur, sentant largement l'eau s'écraser sous mon pied.

Les grosses truies comme toi ont besoin d'exercice tu ne penses pas ? On va devoir faire une petite balade !

L'uniforme déchiré dévoilait à moitié sa poitrine aux allures d'obus alors que je commençait à lui enrouler une laisse en cuir autour du cou. BIOGENIX n'avait réellement pas menti et tout un tas d'accessoire était à disposition, parmi mes préférés en plus. C'est comme s'ils connaissaient mes habitudes et qu'ils savaient déjà à l'avance ce qui allait me plaire ! Peut-être était-ce le cas ? C'est ce que je commençais à croire lorsque je sortais de l'armoire cette petite panoplie à côté de la laisse, qui lui donnerait l'apparence d'une chienne pour de vraie. Ce fut au final de jolies bottes aux allures de pattes de chiens ainsi que des gants au même désigne. Pour agrémenter le tout une paire d'oreilles canine fut fixé sur le sommet de sa tête.

Un peu grosse pour une chienne... Tu va voir besoin de beaucoup d'exercice.

Avec un ventre lourd de presque 10 litres de liquides faire un simple tours en laisse serait en réalité un véritable supplice. Son ventre touchait le sol et le percuterait surement d'avantage à chaque pas en avant. Mais si elle utilisait ce prétexte pour ne pas avancer, ce serait un fulgurant coups de pieds qu'elle recevrait dans ce gros ballon qui lui servait de ventre !

Aller, faisons un tours dans le couloir jusqu'à ce que tu ne puisse même plus tenir sur tes quatre pattes !

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Les alentours de la ville / Re : En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )
« le: samedi 22 octobre 2016, 14:45:36 »
Digne d'un film d'espionnage l'ascenseur se dévoilait dans un mur aux allures parfaitement banales, donnant suite à une galerie tout aussi étonnante. Qui aurait pu croire qu'un tel passage était dissimulé sous le sol de rue que je prenais chaque matin pour aller en cours ? Avaient-ils des liens avec le gouvernement ? Une agence ultra secrète ? Visiblement non si on en jugeait les paroles du guide qui affirmait les problèmes de légalité des services BIOGENIX. Et je comprenais pourquoi lorsque je pu enfin jeter un oeuil à ce qui se passait à l'intérieur. effectivement, les évènements qui se déroulaient sous mes yeux dans les deux chambres auraient pu poser de graves ennuies avec la justice et là on ne parlait pas d'une petite amande pour stationnement interdit, mais plutôt d'une belle peine de prison. Si cela aurait normalement dut inquiéter une jeune fille un léger sourire presque imperceptible se dessinait sur le long de mes lèvres rouges. Si mes recherches ne portaient pas leurs fruits dans un endroit pareil, c'est surement que je pouvais abandonner mon projet de trouver le jouet parfait.

Toutefois un petit déglutissement de dégout marqua le fond de ma gorge à la vue de l'homme. Non pas que la pratique de la fellation était choquante loin de là mais mon aversion envers les hommes étaient assez forte pour n'éprouver aucun plaisir à la vue de la scène, si ce n'est le confort que je pouvais en effet réaliser le plus refouler de mes fantasmes sans avoir peur d'un jugement quelconque ou d'éprouver ce sentiment de dépasser des limites impossibles à franchir.

Au delà de la deuxième chambre dont le judas se referme la visite se continue en un long couloir aux chambres fermées. On peut entendre quelques gémissements de douleurs derrière certaines en y tendant bien l'oreille, entre deux paroles de l'improvisé barman qui continue de vanter la qualité de leurs actions. Du coups plus les pas filaient dans ce tunnel sans fin orné de chambre plus je ressentais une hâte grandissante pour le moment ou je rencontrerais mon joujou. Je réfléchissais déjà à la meilleure façon de tester par moi même la véracité de leurs propos et la résistance de celle qui allait être la poupée de mes caprices.

Ce fut ensuite une pièce plus classieuse dans laquelle je m'asseyais en croisant les jambes, l'air stoïque et froid comme si je n'étais pas impressionné. En réalité je l'étais, comment ne pas l'être ? Même leurs technologies semblait venir d'un autre monde plus avancé que le notre. Une technologie qui me serait simple d'accès pourtant à en croire l'homme qui me fit une petite démonstration de l'outil high-tech. C'était aussi simple que ça ? Un ordi portable, un logiciel et 4 prises ? Intéressant...

Une fille de mon age devrait partir en courant après tout ce qu'elle vient de voir, mais je ne suis pas une lycéenne ordinaire vous savez, ça n'as fait que stimuler mon esprit fertile. Alors ma seule question est simplement de savoir quand je pourrais voir cette " Irina ", j'ai vraiment hâte maintenant...  

Affichant un large sourire la feuille est signée sans aucune hésitation bien que je vérifie tout de même qu'il n'y ai pas de caractère trompeur du genre " nous nous octroyons le droit de collecter vos organes à des fins scientifiques. " Rien de cela bien heureusement, comme tout semblait en ordre je signais en bas de page sans penser aux risques éventuelles d'un piège. De toute façon ils connaissaient mon nom de familles que je m'efforçais de cacher si bien... Ils possédaient surement déjà mon adresse et un tas d'autres informations à mon sujet.

De nouveau, ce fut une petite escapade dans ce couloir jusqu'à arriver devant une chambre, la chambre 9. A l'intérieur de celle-ci se trouvait une superbe blonde, d'une beauté à couper le souffle aussi bien au niveau du visage que de ses formes outrageusement appétissantes ! Comme demandée même si les conditions lui semblent favorable, la blonde est habillée de son uniforme violet. Par sympathie de lui laisser un peu de dignité ? C'est mal me connaitre... Je préférais juste les lui arracher moi même pour lui retirer de mes propres mains ces vêtements qui représentait l'ultime rempart entre sa condition d'humaine et de jouet sexuel. Parce qu'une maitresse se devait de le faire soit même pour montrer qui tenait les reines, selon moi.

Oh alors c'est elle... je suis agréablement surprise, très agréablement surprise même ! C'est la première fois que je vais réduire à néant une femme plus âgée que moi... et d'une telle beauté en plus ! Je devrais peut-être profiter de cette belle image avant que son visage ne soit qu'une déformation de douleur et de grimace face aux supplices !

Ayant bien compris l'importance du logiciel que m'as prêté le courtier, je profite de ses liens pour m'approcher, toujours en compagnie de l'homme qui ne semple pas quitter les lieux tout de suite, comme pour s'assurer que tout irait bien. Répétant dans ma tête la démonstration, je branche les câbles dans sa nuque après avoir toisé sa nuque du bout des doigts. Alors c'était donc vrai !

Voyons voir... Oh il y a tant de réglage intéressant... mhhh c'est difficile de choisir... je ne vais pas toucher tout de suite à ta personnalité nous avons tout notre temps... mhh... Oh tiens, des décharge électriques... et réglons là sur ce paramètre... voila !

Ce paramètre je ne lui annonçait pas à haute voix pour plus de surprise, s'attendre à la douleur était toujours plus supportable que la surprise. Toutefois le réglage était simple et promettait selon les explications une décharge électrique dans tout le corps à chaque râles de rébellion.

Je pense que j'ai compris comment ça marche, vous pouvez nous laisser, je vous remercie pour toutes ces explications. Quant à toi ma belle poupée de chiffon, je vais procéder à un petit teste pour m'assurer que BIOGENIX ne sont pas des escroc. On m'as promit que tu serais d'une résistance à toute épreuves alors je veux le voir de mes propres yeux.

La salle aux allures de laboratoire est plutôt complète et j'ai vite fait de trouver un robinet ainsi qu'un long tuyau assez épais. Un des bout est relié au robinet que j'allume en tournant la valve d'eau froide, l'autre bout lui, vient se glisser dans son anus et s'y enfonce comme un serpent bien glissant.

Mais ne t'en fais pas ce n'est rien qu'un petit test tout simple. Je vais juste te remplir d'eau comme un ballon

Les liens et le bâillon en forme de boule entre ses lèvres n'ont plus lieux d'être, seule la corde liant ses poignets dans le dos persiste pour qu'elle ne retire pas le tuyau de son anus. La belle blonde est donc ainsi allongée au sol, poitrine et ventre contre terre et fesses offerte à ma vue. Une position idéal pour laisser l'eau couler au fond de ses intestins et la remplir d'eau.

Il parait qu'un corps humain normalement constitué ne peut pas supporter plus de 4 litres d'eau. J'en attends donc beaucoup plus de ta part si tu es aussi résistante qu'ont me l'as fait croire.

On allait commencer par 5 litres dans son joli derrière rebondit d'abord, puis l'autre moitié se ferait ensuite par orifice différent... Le but finale était de la remplir jusqu'à la limite qui me serait possible et le jeu continuerait tant que son corps serait capable d'accueillir la moindre petite goutte d'eau...

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Les alentours de la ville / En quête de l'ultime soumise ( Sujet 2501 )
« le: vendredi 21 octobre 2016, 13:25:52 »
Finalement ça devient lassant va t'en, aller va t'en avant que je change d'avis.

Le coups de pieds dans la fesses droite de l'élève la fait couiner et un léger soubresaut agite son corps pour la faire basculer. Un nouveau jouet de plus épuisé que je laisse partir sans même prendre la peine de lui délirer les mains. Elle aurait au moins pu attendre que je ne retire ses liens mais l'opportunité de fuite avait visiblement été plus alléchante, au cas ou je changeais là encore d'avis pour quelques heures supplémentaires. Combien de temps je l'avait garder d'ailleurs celle là ? Même pas une journée entière ? C'était peu tristement cette situation arrivait de plus en plus avec le temps. Je me lassais de mes jouets avec une rapidité alarmante, je ne m'amusais plus correctement et je tournais en rond dans des punitions qui me paraissaient à force enfantines... Pourtant ce n'était pas de la suite dans les idées qui me manquaient mais beaucoup d'entre-elles étaient déjà exploités sous diverses variantes et surtout, un corps humain normal n'était peut-être pas apte à supporter toutes mes idées loufoques. Allais-je progressivement perdre gout envers la domination ? Envers mon amour pour l'humiliation et les punitions qui allaient toujours plus loin ? Hors de question ! Mais je devais trouver l'esclave parfaite, celle capable d'endurer toutes mes idées tordues, dangereuses... Une soumise possédant un corps à toute épreuves que je pourrais couvrir de divers sévisses jusqu'à épuiser toutes mes idées les plus discutable... Une telle soumise existait-elle ?

C'est à cause de cette réflexion que j'avais fini plus tôt dans la journée à zoner sur internet en séchant mon cours de maths, cherchant encore et encore une escort girl capable de subir tout ce qu'ont lui demandait, ou une vilaine soumise qui mettrait son corps en vente sur un site isolé. En vain, elles me paraissaient toutes banales et les quelques pistes avaient décrochés la fenêtre de tchat au moment ou j'exposais certaines de mes idées en matière de punition. Celles-ci n'étaient visiblement pas assez solide mentalement pour encaisser le choc.

Il me fallait un peu plus d'une heure et demi pour tomber sur un site qui avait l'air aux premiers abord d'une blague. BIOGENIX, une drôle d'entreprise au nom presque futuriste et qu'on croirait sortie d'une firme tiré d'un film de science fiction. Après tout peut-être que c'était vraiment une blague, mais je décidais de jouer le jeu devant l'une des annonces. En échange d'un tarif plutôt couteux ou nous proposait certains service disons... discutable avec une des agents du groupe. L'histoire aurait pu s'arrêter là mais on proposait en plus un point de rendez-vous tout proche d'ici, dans un bar qui avait toujours été très peu fréquenté... Y avait-il un lien ? Toujours est-il qu'au vu de mon compte en banque bien portant et de mon envie de voir la chose de mes propres yeux j'avais loué les services d'un des agents, sans même voir à quoi elle ressemblait... J'aurais surement pu mais là aussi je voulais la surprise si tout ceci n'était pas qu'une plaisanterie. Même la phrase que je devais annoncer au barman semblait tirer d'une mauvais film à bas budget...

Voila finalement comment je m'étais retrouvé dans ce bar, un café à la main et vêtue d'une jupe noir, d'un corset et d'une paire de bottines à talons pas très hauts. Le bar-man semblait lui attendre quelque chose, cette fameuse phrase pour vérifier que j'étais une cliente ou une simple passante. Phrase que je n'arrivais pas à sortir de ma bouche tant elle semblait ridicule... Mais après avoir lancer un coups d'oeuil à droite et à gauche pour être sure que personne ne m'entendais je posais la tasse avec une tête déconfite, en annonçant d'un air hésitant.

Je suis... une cliente de BIOGENIX ? Je m'appelle Leona...

J'espère qu'ils n'allaient pas demander ma carte d'identité pour vérifier si j'étais majeur... A moins que ce ne soit pas un problème pour eux qu'une lycéenne s'adonne à ce genre d'activité ?

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Alors c'était Loanne qui revenait ? Ben au moins c'était toujours mieux que de revoir l'autre pour revenir se moquer de moi dans mon état, je la voyait déjà prendre ses grands airs de " alors ça te fait un choc ? ". Reste à savoir comment Loanne le prendrait. D'ailleurs pourquoi ça me préoccupé tant, même si elle était au courant ça changerait quoi ? C'est pas comme si je comptais rester ici de toute façon, autant reprendre mon repas en l'ignorant d'un air froid et vague.

Ce qui ne marche pas bien longtemps, la créature elfique commence à poser les questions, elle n'est visiblement au courant de rien et elle ne pouvait pas compter sur moi pour lui dire quoi que ce soit. Et avec les questions arrivaient vite les mots et les gestes de réconfort, avec en prime un constat idiot. Elle me trouvait pâle ? Elle ne le remarquait que maintenant ? A moins que je ne l'étais encore plus qu'habituellement et là ça devais pas être beau à voir...

J'irais mieux si tu me renvois chez moi... dis-je à voix basse

C'était agréablement chaud et à la fois déroutant, aussi loin que remonte mon esprit c'était bien la première fois que je recevais un câlin, je n'avais jamais manqué de rien mais jamais je n'avais été enserrée dans une paire de bras de la sorte. Hésitante, je laissais mes mains se guidaient sur son dos pour répondre à son geste amical. Cependant je revenais vite sur ma décision en la poussant violemment contre le sol à cause de ce qu'elle avait dit.

T'assurer que les esclaves aillent bien ? Je ne suis pas une esclave !

Etalée fesses contre le sol au milieu de la pile de dossier, je peux admirer une fois de plus les dossiers présentant les multiples visages de mes victimes, éparpillés autours de l'elfe que je viens de rejeter comme un parasite. Sans vraiment en comprendre la raison le fait de revoir ces photos une fois de plus me fit presque culpabiliser de l'avoir faite tomber au sol et je fini par m'agenouiller à son niveau pour me jeter dans ses bras à mon tours, serrant de toutes mes forces.

Je voulais pas faire ça... Merci pour le repas...

Offrir un câlin sincère à une autre personne autrement que dans le cadre d'un jeu de soumise / maitresse était déstabilisant. Le manque d'habitude envers ce geste me glorifiait de honte et était pourtant si bon que je ne bougeais pas d'un centimètre à part pour reposer la tête sur son épaule. Qui sait combien de temps je restais contre elle ainsi...

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Dortoirs et douches / Re : Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: jeudi 13 octobre 2016, 13:28:34 »
C'était à n'y rien comprendre, un instant plus tôt cette pauvre blonde était sur le point de noyer son corps d'une giclée de semence défiant toute possibilité et voila que je me retrouvais un mouvement bien placée bouche englobant sa verge. Prit dans un élan de panique je regarde la blonde en ouvrant de grands yeux, respirant mes dernières bouffées d'air à pleine narines avant que le gland ne s'engouffre dans cette porte étroite qu'est ma gorge. Si étroite face à cette chose trop massive qu'elle y prenait facilement toute la place avec en prime son gout pas très ragoutant. Un gonflement énorme fit office de bosse à travers ma gorge et je crispais mes doigts sur le sol à m'en fait mal aux ongles, débâtant mes jambes en vain. Et c'est quoi ce regard qu'elle me lance, elle se prends pour la maitresse maintenant ? De nous deux c'est elle le jouet et passé cette vague je serais là pour le lui rappeler amèrement... Mais allais-je la passer cette vague... J'avais bien vu comment elle avait jouit tout à l'heure et j'allais surement m'étouffer avant la fin... Même si la verge ne tardait déjà pas à palpiter pour annoncer le raz de marée qui en sortit aussitôt.

Ma tête se secoue de droite à gauche comme pour lui dire non et mes joues déjà rouges montrent le peu de souffle que j'entretiens lors de mes rares séances de sports. Cette blonde ne a rien à faire et déverse un premier jet déjà assommant que j'ai peine à avaler correctement, me faisant rouler les yeux en arrière. Non, il ne faut pas déjà que je parte... il faut que je garde mes esprits même devant ce flot infini qui n'en fini pas de se déverser... oh non pardon, de me remplir comme une vulgaire bouteille qu'ont placerait sous un robinet d'eau ouvert à fond, pour avoir de quoi boire plus vite. Il y en avait trop, beaucoup trop et je n'arrivais déjà plus à avaler la semence qui s'accumulait jusqu'à remonter le long de ma gorge, pour se blottir sur le peu de place qu'il y avait dans mes joues qui gonflaient à vue d'oeuil, et devenaient pourpres.

Putain !! je dois respirer !!!

Mais il ne le fallait pas, si je le faisais ce ne serait pas de l'air qui remplirait mes poumons mais de la semence. Sauf qu'au bout d'un moment quand le sperme sort en giclée par la bouche je n'en peux plus et mon corps se tort dans tous les sens sous de lourds gémissement... je suis forcée de céder et d'inspirer un grand coups, faisant déferler dans le fond de mon gosier toute cette semence qui n'avait pas pu descendre. Forcément, j'en inspirais une grande quantité et but la tasse, laissant plusieurs grandes giclées remontées dans mes narines et être expulsés par mon nez... Mais elle s'arrêtait jamais de jouir cette connasse ? !!!

Je suis à bout cette fois...

Mon coeur battait la chamade et mon corps convulsait doucement alors que mes yeux grands ouverts faiblissaient, devenait légèrement rouge autours des pupilles . C'était comme se noyer, mais dans une semence épaisse à la place de l'eau et même quand les giclées finissent enfin par lentement faiblir elles sont encore bien au delà d'un jaillissement normal... Pourtant la situation m'excitais malgré moi, manquer d'air avait une sorte d'effet euphorisant assez malsain dont je me délectais sans me rendre compte en mouillant ma culotte, tandis que mes yeux se révulsent et que la tête me tourne... J'étais à deux doigts de m'évanouir si elle ne terminait pas maintenant et je n'avais même pas fait gaffe dans mon état, à mon bas ventre qui enflait à force d'être gavée comme une oie.

Lise le payerait si j'en ressortais indemne et ça, c'était la seule certitude qui dansait dans mon esprit, mains dans la main avec ma deuxième obsession qui était de respirer.

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J'en restais bouche bée sans dire un mot, ma supercherie avait marché et la drôle de créature équestre révéla son identité. Akemi Mahoraki, une élève plutôt intelligente, le genre de proie facilement manipulable. Si il était souvent question de jeux sexuel j'avais cette fois-ci cherché à coincé Akemi dans un but moins amusant, celui de lui faire faire mes devoir pour éviter de me fatiguer, et ainsi avoir des notes visant à l'excellence, je lui aurait même demander de brider volontairement son intellectualité pour se retrouver constamment derrière moi et ainsi n'être finalement que la seconde lors des examens... Je devais donc maintenant en plus faire face à l'humiliation ultime de m'être faite acheté par cette intello à la noix, il était définitivement hors de question que je sois sa chose.

Concernant tout le reste et son rajeunissement j'entendais tout sans vraiment être consciente, restant bloquée sur son identité. Effectivement c'était un bien lourd secret qu'elle avait là, surement le plus gros de tout le lycée et de bien loin ! Mais impossible de l'exploiter maintenant...

* Putain je le savais... je savais que cette coiffure me disait quelque chose... *

Lorsque je me réveillais du fond de mes pensées, totalement enragée, je l'entendais dire que j'étais dangereuse, que je détruisais des vies. Des vies ? Tu parles... Au pire des cas il y avait eu les plus faibles qui avaient changés de domicile pour du soit disant harcèlement à l'école, sans jamais dévoiler de noms bien sure. Je détenais des secrets parfois beaucoup trop personnels pour que quiconque veuille prendre le risque de m'énerver, et même la secrétaire de l'école était sous ma coupe... Ce qui permettait de lire facilement les dossiers scolaires et les petites secrets bien gardés. Alors prendre des vies, une meurtrière ? Qu'elle arrête de me faire rire !!!

Espèce de pétasse ! Dis-je une fois qu'elle était assez loin pour ne plus entendre, alors que je balançais les feuilles en vrac contre la porte.

Pauline Catalino était l'une de mes dernières esclave avant de partir, et elle y avait même prit plutôt gout, Et que dire de cette nouvelle, cette bimbo blonde du nom de Lise Peterson ?  Alors qu'elle ne me dise plus jamais que j'étais une meurtrière ! la plupart des mes victimes avaient même pu appréciés ça une fois au fond du gouffre... Et pourtant... Pourtant il avait fallut que je pose les yeux sur l'une des feuilles bien particulière par rapport aux autres. Cette simple marque de brûlure en bas de page faisait trembler tout mes membres et battre mon coeur la chamade... Ou avait-elle eu ça ? Non, elle n'avait pas pu être au courant de cette histoire, ce n'était qu'un accident... j'avais simplement serrer son cou un peu trop longtemps dans un moment de folie quand cette garce avait essayé de se rebeller contre moi en me frappant. Jamais je n'avais voulu la tuer, je n'étais pas une meurtrière !!

*Non... je ne le suis pas... c'était un accident.. un accident... un accident !!!

Comme pour me rassurer je me jetais sur les autres feuilles, à quatre pattes et à taton d'un air paniqué. Hôpital psychiatrique, tentative de suicide... oui ok mais tentative ratée ! Tiens en voila une qui s'en sort bien, puis une autre... seulement quelques déménagement... la prochaine feuille est encore un suicide... une noyade dans un bain... Ce n'est certainement pas un suicide, elle a du glissé mais mon coeur qui tambourine encore plus fort me crie le contraire. Cette fille s'est donnée la mort à cause de moi, la suivante aussi... celle d'après ? Elle a plutôt bien fini... elle n'est qu'en chaise roulante après avoir sauté du 3 ème étage, un miracle qu'elle soit encore vivante...

Non menteuse !! Elle a truqué les dossiers ! Ce n'est qu'une sorcière !!! encore un tours de magie !!

Le prochain dossier est un jeune homme efféminé et fragile dont je me souviens bien, alors il n'avait pas déménagé... mort... mort ?!! Je panique et j'en fini par retenir un vomissement  avant même d'en voir la cause. Je ne veux même pas savoir d'ailleurs, je préfère hurler et envoyer valser les documents partout dans la pièce en agitant mes bras... Avant de tomber au sol et de lentement fermé les yeux dans une crise d'hyperventilation du au stress intense et au choc. Cette connasse avait vraiment raison... je n'étais qu'une meurtrière et je me voilais la face durant tout ce temps en baignant dans ces histoires dont j'étais sure du dénouement. Les autres ? Les élèves qui avaient disparus du jours au lendemain ? Je ne m'en étais jamais souciée... jusque là...

C'est juste un mauvais rêve et cette fois c'est sure,, je vais enfin me réveiller ...

Pendant que j'avais perdu connaissance le temps lui passait et je ne me réveillais que 2 heures plus tard en ouvrant doucement les yeux dans la même pièce. J'avais cette étrange impression d'avoir fait un drôle de rêve sans me souvenir de quoi il s'agissait, mais qui s'en moquait après tout ? Ma première pensait revint immédiatement à ces multiples papiers éparpillés dans cette maudite chambre... Alors c'était bien vrai finalement, j'étais coincée ici pour de bon et j'avais vraiment tué indirectement plusieurs élèves encore en plein adolescence, qui n'avaient pu trouvés refuge que dans la mort devant cet enfer.

Je vois... alors c'était vrai... Mhhh ? C'est quoi sur le bureau là bas... Le repas de Loanne ? Etait-elle au courant de tout ça quand elle m'as préparé le repas ? Quand elle est sorti de la pièce avec ce chaleureux petit clin d'oeuil ? Surement que non...

C'est le regard un peu vide que je me lève difficilement, la tête tournant encore mais la panique étant passée. Je préférais me concentrer sur le repas que m'avait gentillement préparée Loanne avant qu'elle ne revienne et qu'elle puisse croire que je n'aime pas ce qu'elle m'as préparé. Pour une fois... soyons un peu redevable envers quelqu'un pour changer... elle n'as pas l'air très méchante...

Et c'était même plutôt bon pour un repas si rudimentaire et les premiers bouffées avaient seulement eut pour effet de me faire manger encore plus vite sous les gargouillit incessant de mon ventre. Mais avant que je ne puisse terminer l'assiette complètement une main semble tourner la poignet et déverrouiller la serrure. De toute façon j'avais l'estomac encore noué par toutes ces découvertes alors...

* Je dois vraiment être dans un drôle d'état vu d'un regards extérieur... *

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Désormais plus qu'une chienne Pauline est prise par la bouche et pas son derrière, une batte en bois dure et à l'extrémité large pour combler l'anus et un gland entre les lèvres en guise de bâillon. Le ventre déjà amplement remplie était de nouveau gavé de liquide, généreusement distribué par la verge chaude d'un des deux élèves. qui bouchait par la même occasion son souffle. Pauline avait d'ailleurs rejeté un peu d'urine par le nez en buvant la tasse en criant... mais comme le nez était lui aussi pris au piège ça n'avait fait qu'imbiber la cagoule en latex avec le liquide chaud et odorant.

- Et regarde ça rentre vraiment ah ah !!!

Un coups de batte plus puissant s'enfonça loin en faisant trembler les jambes de Pauline qui était à bout de souffle, sur le point de s'écrouler sur son gros ventre tant elle devait respirer. Le gland sortait donc mais pour mieux entrer de nouveau et faire taire la bruyante jeune fille, qui se fit retirer la batte de base-ball avant de la voir de nouveau bien ancrée en elle ! le nouvel objet de son martyre écartait son cul à outrance mais glisser étonemment bien à cause de sa forme arrondit et qui devenait moins large au fur et à mesure bien que le bout forçait jusqu'à cogner bien au fond de son anus, en laissant son bas ventre plein de liquide rebondir à chaque poussée en avant. Un des coups de batte fut enfoncé avec tellement de hargne que la brunette déjà suffocante perdit son appuie et tomba sur le ventre dans un bruit sourd très stimulant.

Moins pour Pauline qui en convulsait alors que la verge se retira pour la laisser crier... visiblement trop fort puis qu'une lampe torche au loin dans le couloir se fit voir. Un surveillant ou un professeur avait du entendre la scène.

Aidez là à se relever on fonce au gymnase dans l'autre bâtiment.

Après une petite course pour être bien sure de l'avoir semée nous étions tous les 4 dans le grand gymnase, composé de cages de handball, de panier de basket-ball et de matériel scolaire.

- Putain la séance est gâchée maintenant !
- tss on a qu'à se venger, c'est la faute de cette chienne qui a aboyée trop fort !

Sans retirer la cagoule l'une des deux attache Pauline les mains suspendues en l'air, au filet de basket. Les pieds touchaient encore le sol mais Pauline ne voyait rien et ne pouvais pas bouger de toute façon puisque les liens la retenaient sur place.

- Hé tu as déjà jouer à la balle au prisonnier ?

Riant aux éclat le premier élève jette avec violence une balle sur ses cuisses. Comme il devait y en avoir une bonne trentaine dans le panier ils en lancèrent sur la cible qu'était Pauline à tours de rôle comme pour se venger. Ils en avaient plus rien à faire de l'abuser sexuellement pour l'instant et cherchaient juste à lui faire mordre le poussière. Au bout d'une petites dizaines de balles un peu partout une percuta avec plus de violence son bas ventre toujours remplie d'eau, dans ce bruit sourd toujours très lourd qui lui d'ailleurs évacué sans se faire prier une belle flaque d'eau sur le sol.

- Hé bonne idée ça, touchons plutôt son ventre !

La pauvre se retrouva vite avec le bas ventre mitraillée de balle lancé avec force dont plus de la moitié avait réussit à atteindre leurs but. De nombreuses marques rouges décoraient son corps puis soudainement, c'est un ballon en pleine joue qui s'écrasa avec une force terrible qui avait surement dut faire siffler ses oreilles. Sous le choc le bâillon à anneau s'envola sur le sol, libérant la bouche de Pauline.

- Plus de balle ! Bon on va tout ramasser et refaire un tours d'accord ? Et cette fois on veut t'entendre supplier sinon ce sera reparti pour un troisième round ensuite !

Le cauchemar de la pauvre Pauline qui ne pouvaient voir les ballons venir sur elle à l'avance ne faisait que commencer.

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Dortoirs et douches / Re : Nouvelle arrivée ! [Pv Leona]
« le: mardi 11 octobre 2016, 13:27:53 »
j'aimais beaucoup ses lèvres pulpeuses qui englobaient son sexe dans une succion bruyante et extraordinaire, plus que d'avoir simplement offert des fellations de qualités à d'autres hommes il était aisé de voir que la bimbo s'offrait des petites gâteries toutes seules régulièrement. Son regard quant à lui je l'aimais moins, il était certes doté d'un joli esprit de défie mais aussi d'arrogance envers moi. Pour le lui faire comprendre je tirais ses cheveux en arrière d'un coups sec, refaisant sortir la verge aussitôt d'un trait sans faire attention aux parois de sa gorge. Une petite giclée de salive s'échappait pour se rependre sur le sol et je crachais moi même sur la base de sa longue verge pour lubrifier la partie qui ne l'avait pas encore était pas sa bouche, massant la longueur pour étaler ce lubrifiant naturel comme il se devait. Une fois bien luisante, je lui enfourne de nouveau dans le gosier, d'abord doucement pour la mise en bouche, puis d'un trait en percutant le le fond de sa gorge du bout du gland, toujours sans faire gaffe à l'état de ses parois, j'aurais bien pu les ravager que j'estimais que ce n'était pas un problème. Qu'importe la douleur ou même un éventuel haut le coeur lorsqu'elle s'enfonce si profondément sans prévenir, l'essentiel c'est qu'elle soit bien au fond et qu'ont puisse deviner cette large bosse qui investit toute sa gorge... cette bosse qui se dessine parfaitement même de l'extérieur.

Aller remplit toi, je veux voir ton corps être inondé par ce raz de marée blanchâtre !

Pour la faire souffrir un peu dans les toilettes je n'ai pas grand chose... à part les liens que j'ai retiré de sur sa verge précédemment et avec lesquels j'attache solidement ses deux testicules, comme pris dans un filet trop serrer qui presses les deux noix grosse et bien pleines. En terme de douleur ce n'était pas suffisant même si j'en tirais l'autre bout pour étirer ses boules comme si je cherchais à les arracher. Si seulement j'avais eu une bougie ou quelque chose comme ça... j'aurais recouvert ses points les plus sensibles de cires brûlantes qui aurait fondue sur son corps... Mais là, dans les toilettes.. il allait falloir un peu d'ingéniosité pour lui faire mal avec ce qui passait sous la main... Tiens d'ailleurs... c'est ça ! Une bougie ? Il fallait chercher une source de chaleur du côté de l'éclairage, une ampoule ferait tout aussi bien l'affaire après tout.

Dans un geste qui devait lui paraitre étrange je retirais mon haut pour l'enrouler autours de ma main, décrochant ainsi une ampoule sans me faire mal. L'ampoule qui était constamment allumé du matin au soir et même pendant la nuit en semaine, chauffait le verre d'une chaleur intense. Une chaleur ^brûlante que la belle Lise découvre lorsque j'étale l'ampoule le long de sa grosse poitrine et que je la roule avec insistance sur ses tétons. J'essayais de faire en sorte qu'elle noie son corps dans son propre sperme jusqu'à s'en étouffer si besoin, mais qu'elle se remplisse bien jusqu'à ce qu'aucune goutte ne puisse y rentrer, pendant que je faisais rouler l'ampoule un peu partout sur son corps pour la brûler d'une chaleur éclatante que je ressentais même encore un peu malgré le vêtement qui protégeais ma main. Alors que l'autre tait toujours occupés à mal mener ses testicules qui eux aussi eurent le droit à un peu de cette chaleur trop poussée...

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L'histoire devenait de plus en plus intrigante et je commençais sérieusement à me dire que j'avais déjà rencontré cette imbécile sur terre. L'elfe était assez clair en me faisant comprendre indirectement que la créature chevaline avait partagé mon monde, et qu'il était possible qu'elle m'en veuille pour ça. Mais m'en vouloir pour quel raison ? Serait... une de mes anciennes victimes ? Quelques unes avaient disparues du jours au lendemain et je ne m'étais jamais vraiment posé de questions quand à ce qu'elles étaient devenues, c'était pas bien compliqué de changer d'établissement scolaire après tout... Il faudrait vraiment que je tire les choses au clair avec cette garce mais... plus tard, je me rends compte que l'elfe est vraiment attirante dans sa tenue de maid, et son clin d'oeuil à peine dissimulé laisse mes lèvres affichées un grand sourire.

Oh toi reviens vite... je vais te punir avant la fin de la soirée...

Ayant bien prit le temps d'assimiler tout son speetch je me tortille sur le lit non sans mal pour me placer dans une position suggestive, ce genre de position qu'ont ne peut refuser, jambes allongées sur le lits et finement écartés pendant que le dos lui était appuyé sur le mur pour dévoile mon buste à son plein potentiel. Un jolie sourire attendait patiemment de croiser son regard et lorsque la poignée tournait je fut déçue de voir que ce n'était pas celle que j'attendais, abandonnant ma position pour rouler sur le côté en grognant, bien que mes menottes cèdent déjà dans un soupir de soulagement par la suite.

Bien sure il fallait que ce soit toi, soit gentil et dit à ton professeur que ton amie l'elfe est demandée dans ma chambre, elle est beaucoup plus plaisante à regarder que... Enfin laisse tomber va t'en, je veux pas de ton repas.

Plus plaisante à regarder que ton stupide corps de jument
C'est ce que j'aurais voulu dire au départ à voix haute mais... inutile d'aggraver mon cas pour le moment, et j'avais encore un point à éclaircir après tout, même si j'étais déçue de ne pas voir l'elfe franchir cette porte... elle me plaisait plutôt bien et ça aurait surement permis de me changer un peu les idées... Je ne comprenais même pas moi même comment je parvenais encore à conserver mon calme... C'était peut-être humiliant à avoue, je le savais, mais j'étais à deux doigts de péter un plombs et de tout casser en hurlant pour me défouler et évacuer la peur envers ce monde inconnu et mon futur incertains.

C'était durant la première année de lycée ou la deuxième ? Je décidais de jouer le bluff, essayant de lui faire croire que je l'avais reconnu en repensant à toutes ces coïncidence et ce que m'avait dit l'elfe. Si elle m'en voulait tant et qu'elle avait logée sur terre, tout cela ne pouvait être le fruit du hasard. Je t'ai mené la vie dure pendant 1 ou deux semaines et tu m'as faite capturée pour mener à bien toute cette mise en scène c'est ça ? La cage, la vente... c'était que du pipeau, j'ai compris... Et c'était quoi ton nom quand tu avait un corps normal ? Parce que t'as pas vraiment gagné au change là

Mon ventre gargouillait fortement à la vue du repas qui avait l'air simple mais pourtant si succulent comparé à la bouillie rudimentaire du cachot. Pour peu, je me serais jetée dessus pour dévorer le repas mais la simple idée de me repaître devant ses yeux était humiliant et prenait le dessus sur la faim. Je ne lui ferait surement pas le plaisir d'accepter un présent de sa part.

En tout cas sache que je n'accepterais rien ta part alors si tu veux me faire passer un message ou me donner quelque chose comme un de ces repas désormais, Tu n'auras qu'à passer par... Loanne, si je me souviens bien de ton nom.

Dégourdissant mes poignets en soufflant tout en restant en tailleur sur le lit, je ne peux oublier cette scène violente que la simple vue de son visage me rappelle. J'enrage silencieusement, mais si je veux sortir d'ici je vais devoir la jouer plus fine et arrêter d'énerver tout le monde à tout bout de champs.

Enfin... comme tu m'as libérée les poignets je vais au moins arrêter de t'insulter, en guise de remerciement.

Je lui aurais bien posé des questions sur cette fameuse Samara ou encore ces portails mais j'avais dit que je ne voulais plus rien venant d'elle après tout...

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Ca allait être compliqué si ce que disait l'esclave était vrai, et je ne pensais pas devoir remettre la parole de cette elfe soubrette en doute. Quitter cet endroit aller être plus compliqué que prévu et il ne fallait pas compter sur une quelconque enquête policière pour élucider le mystère de ma disparition au vu des circonstance. Cependant, il était possible de repartir sur terre par des portails et ça... c'était déjà une bonne nouvelle, je n'étais donc pas définitivement coincée ici. De plus j'avais peut-être l'espoir de me faire des alliés car qui disait chef des esclaves voulait aussi dire esclaves sous son joug... il y en avait donc d'autre, et si je mettais celle à leurs têtes sous ma coupe je pourrais surement mener une rébellion.

Je restais donc amicale et me laissais faire lorsqu'elle me nettoyait agréablement le corps, grimaçant tout de même au niveau du bas ventre encore douloureux... me rappelant le souvenir de cette horrible et pourtant si plaisante pénétration. J'en fit de même lorsqu'elle me fit enfin boire et je ne réchignais pas non plus à porter la tenue en latex même si c'était avec une grimace au visage que je me laissais faire, rougissant comme une tulipe en pensant facilement à l'apparence que je devais avoir. C'était mieux que nue... mais loin d'être satisfaisant.

Alors tu es une elfe comme ces romans de fictions qu'ont peut lire sur terre ? J'aurais jamais pensé qu'ils existaient vraiment quelque part. Mais dis moi plutôt, pourquoi gâcher une si longue existence à rester le jouet d'une autre personne ? Pour tout t'avouer de là ou je viens si je te voyais te trimbaler au lycée dans cette tenue t'aurais surement été mon jouet sexuel aussi, t'es tout à fait mon genre... mais je ne t'aurais surement pas condamner à une éternité d'obéissance. Ca te convient vraiment comme situation ? N'as tu aucun gout pour la liberté ?

Agitant mes bras avec un désespoir surjouer comme pour lui montrer que j'aurais voulu être libérée, je commence à sonder un peu plus le mental de notre chère elfe, voir ce qu'elle valait vraiment.

Moi je ne me contenterais pas de ça, je m'enfuirais en laissant ta maitresse dans une situation deux fois plus humiliante que celle à laquelle j'ai eu le droit. Je me vengerais d'elle et je retrouverais ma liberté. Ca ne te dit pas de me suivre ? Si on se ligue toutes contre elle je suis sure qu'ont peut facilement s'échapper, tu n'as qu'à m'apprendre quelques tours de magie à moi aussi, puis...

Salivant sur quelques reste de repas de l'autre côté de la cuisine, mon ventre gargouille comme un réflexe que je ne peux retenir, m'interrompant dans ma lancée.Je ne voulais surtout pas quémander un repas alors que j'avais les mains attaché et que l'elfe aurait du me faire manger comme un enfant... je préférais plutôt revenir sur notre discussion

...Et puis tu te déplace librement c'est plus facile pour toi de t'échapper... je peux même t'emmener sur terre avec moi si tu as peur de te faire rattraper. Tu seras peut-être dépaysée au début mais ce sera moins dangereux qu'un monde peuplé de démon et de poneys à la verge plus grosse que ton bras.

D'abord initier doucement le doute... elle est esclave depuis trop longtemps elle a du être formaté de force comme un toutou, mais si je la réveille... ah ah... cette conasse a fait une erreur en me laissant toute seule avec elle... elle est trop naïve !

Enfin... c'est toi qui voit. Mais moi je regagnerais ma liberté et d'ailleurs j'ai envie qu'ont me libère les poignets de suite, appelle ta maitresse qu'elle me retire ça, ça commence à me faire mal aux bras

Et j'aurais aussi quelques question à lui poser. Elle avait beau être une princesse d'un autre monde peuplé de poney d'arc en ciel et d'autre joyeuseté comme dans les dessins animés pour les petites filles, mais ce sentiment de familiarité lui ne voulait pas disparaitre ! J'avais réellement besoin de lui demander comment elle avait su tout ça sur moi et s'il s'agissait vraiment d'un pouvoir de divination une fois pour toute... d'autant plus que son esclave préférée avait l'air d'être bien traité à entendre parler l'elfe. Alors que pour moi ça avait été les insultes et les punitions d'entrée de jeu, comme si elle m'en avait voulu pour quelque chose... pour tout ce que j'avais pu faire dans ma vie de lycéenne.

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Flotter ainsi au milieu de tout le monde était humiliant et pour le coups je n'en ressentais aucune excitation refoulée, seulement de l'indignation. Mais dans mon état je ne jaugeais même plus les regard sur moi et sentais juste le sperme sortir de mon sexe comme une vilaine trainée blanche qui indiquerait un chemin à suivre, comme le petit poucet sèmerait les cailloux. Elle voulait du respect après ça ? Impossible, ça ne se gagnait pas sous cette forme sauf quand c'est moi qui le décidait ! Rien à faire qu'elle soit un être hautement magique ou je ne sais quoi, je fermais seulement les yeux pour me reposer en pensant aux multiples vengeance que je lui ferait subir... Question d'amour propre, je ne partirais pas de ce drôle de monde avant d lui avoir rendu le double.

Un peu de temps plus tard une nouvelle voix féminine me fait ouvrir les yeux, tiens, voila une voix que je ne connaissais pas, bien plus douce et respectueuse. Ca parle aussi d'une sensei du nom de Samara. Cette petite pute a donc quelqu'un au dessus d'elle ? Elle ne doit donc pas être aussi effrayante toute compte fait... et si la magie existe je n'aurais qu'à l'apprendre pour la mener par le bout du nez. Après ce qu'elle m'as fait subir je la conserverait près de moi en tant qu'esclave personnelle, pour le restant de ses jours.

Sparkle ? Ca ne me dit rien... peut-être qu'elle a simplement utilisé sa magie pour connaitre des choses sur moi et paraitre impressionnante après tout...

Mais voila que je change de main. Au moins cette cruche bien polie ne me fera pas chier comme ce foutu poney, elle avait beau être l'esclave en chef il restait tout de même le mot esclave dans son titre... Mais elle aussi semble maitriser la magie. Mhh... peut-être que si je sympathise un peu en faisant semblant de vouloir m'excuser j'en apprendrais un peu plus sur l'endroit ou je suis... Enfin !

50 ans ? elle se fou de moi en plus ? Elle doit au grand maximum en avoir 30 ... D'ailleurs je me la ferait bien... elle est mignonne avec sa tenue de maid...

Et relâche moi, je peux marcher toute seule !

Je m'agite un peu en vain, je suis peut-être encore fatiguée mais hors de question qu'ont continue à me trainer dans les airs ainsi, surtout si c'est une esclave qui en tire les ficelles.

Et bien j'aurais peut-être du être dévorée par les dragon ça aurait été moins indignes que de subir ça. Tu sais ce que m'as fait cette grosse salope ? Elle m'as enfoncé sa grosse queue toute entière en moi ! Tu imagine même pas la taille qu'avait ce truc !

Comme elle est esclave je pars du principe qu'elle doit porter une rancune envers la licorne mais qu'elle n'ose pas le dire devant elle, alors je la considère comme une alliée potentiel sans même réfléchir à sa condition au sein de cette demeure...

Et moi Leona. Tu peux me dire dans quel monde on est là et comment je suis arrivée ici ? Tu parles de dragon mais ils n'existent pas sur terre, et les humaines n'ont pas tes oreilles pointues par chez moi. Donc je suis ou ? Et c'est quoi cette licorne bizarre qui se prends pour nos maitresse ? Je suis sure de l'avoir déjà vu quelque part mais je n'arrive pas à savoir ou ...

En lui disant mon nom à mon tours je montrais que j'étais prête à être amicale te qui sait... à monter une rébellion contre cette tyran au corps chevalin ? On ne pouvait pas aimer être une esclave non ? Elle devait surement chercher un moyen de partir elle aussi.

Il serait possible de boire quelque chose ? Je suis assoiffée... Demandais-je avec une voix sincèrement calme alors que je frottais encore mon ventre douloureux... Elle le payerait un jours.

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Pourquoi mouiller autant si j'ai si mal ? Comme si j'avais le temps d'y réfléchir là avec le traitement qu'elle m'infligeait. Aussi loin que mon esprit remontait il ne semblait pas que j'étais masochiste... Bien évidemment je n'avais pas essayé puisque ce n'était pas à moi de souffrir mais à mes jouets, mais il était sure que je ne l'étais pas ! Et pourtant la douleur de cette surprenante verge me faisait hurler de bonheur à chaque coups féroces, je suis déjà loin dans un paradis malsain sans même m'en rendre compte. Je me surprenais mêem à avoir de folles envies de jouer plus amplement avec et de la gratifier de longs coups de langues... Qu'est-ce qui m'arrivait ?

- Après une telle expérience, tout autre sexe masculin te semblera bien fade en comparaison. Quant à me trouver un cheval... Disons que j'aurais bientôt sous peu une belle jument à disposition.


A l'entendre on dirait que mon précédant coups n'as pas porté dans sa maigre tentative désespéré. En même temps vu ma position c'était sure... Quant au sens de ses paroles et bien je ne prenais même pas le temps d'y réfléchir tant j'étais loin, en train d'arroser sa longue verge si jouissif en criant d'une joie intense, à chaque jets qui s'évaporent de mon sexe jusqu'à en éclabousser mes propres cuisses. Ce n'était pourtant rien face à la suite.

Alors que je croyais être au bout de mes peines mes cuisses se mettent à convulser et un cri à peine audible sort d'entre mes lèvres, dans un soupir étouffé par mon souffle coupé. Pourquoi, pourquoi je ne pouvais plus respirer ? D'ailleurs... je ne m'en souvenais même plus vraiment mais est-ce que j'avais pu respirer convenablement durant mon orgasme ? Je n'avait même pas fait attention à cette étrange aura qui serrait mon coups... j'étais si absorbée par la douleur que ne n'avait même pas fait attention à mon oxygène, qui manquait vite. Respirer devenait vite de plus en plus dur et chaque rare goulée d'air était une véritable épreuves qui forçait mon corps, à en faire devenir mes joues aussi rouges qu'une tomate. Ironiquement, c'était l'une des punition que j'infligeais le plus au lycée lorsque je voulais m'amuser à des petits jeux de domination soft ou hard. Je me demandais réellement si elle avait choisit ça au hasard si elle connaissait déjà mes agissements et mon prénom... Tout ce dont j'étais sure, c'est que c'était véritablement jouissif... Un délice.

Les yeux perdus et à deux doigts de m'évanouir de douleur et d'épuisement, un coups de butoir plus puissant que les autres me réveille et me fait sursauter... Mes yeux écarquillées et ma bouches grande ouvertes ne font plus aucun mouvement et je cherche mon souffle alors que je peux le sentir... elle vient de me pénétrer complètement... jusqu'au bout avec cette énorme chose dont les testicules lourds qui s'écrasent contre moi me rappels à quel point elle peut remplir mon sexe. Et ça ne va pas tarder... ses testicules sont pleins, ils sont chauds, et la verge pliée dans mon corps palpite avant de me remplir comme j'avais pu le penser. Les giclées sont très nombreuses et agréablement chaude mais comme ça ne semble pas s'arrêter mon ventre gonfle et se remplis. Ca fait mal... mal ! Et pourtant lorsqu'elle se retire je ressent comme un manque, comme si mon corps manquait de quelque chose et que sa verge était parfaitement à sa place, comme une véritable partie de moi... Cette sensation est humiliante à souhait alors que je retombe lourdement sur le sol, mes jambes convulsant encore et mon vagin dégoulinant de sperme chaud. Je suis d'ailleurs si concentré sur ce plaisir frustrant et cette douleur que je n'ai pas fait gaffe à mon dos couvert lui aussi luisant de sperme.

- Maintenant relève toi, il nous faut encore rentrer. A moins que tu souhaite que je remette ça ? Passer la soirée à te sauter dans cette ruelle ne me dérange pas, tant que la leçon finit par entrer.


Elle est sérieuse là ? Elle a cru qu'elle pourrait me remplir comme ça comme un ballon sans limite ? je me sentais déjà bien assez lourde comme ça ! Et pourtant mon ventre chaud me faisait gémir doucement de bonheur, c'était une agréable sensation de sentir tout ce foutre chaud en moi. Pourtant je n'ai pas envie qu'elle recommence, mon honneur est en jeu et le petit filet de sang qui s'échappe de mes parois vaginales me rappelle que son sexe gros et pointant comme un véritable phare n'est pas adapté aux humains... elle a déjà complètement ravager l'intérieur de mon corps en y passant la première fois...

Du coups comme je ne veux pas la fâcher ou la vexer pour qu'elle recommence vraiment j'essaye de me lever, en vain. Avec les mains ligotées dans le dos c'est déjà plutôt difficile mais alors en rajoutant le ventre qui était devenu lourd comme un vrai sac plein de sperme c'était tout bonnement impossible. Ma dernière tentative me fit d'ailleurs décoller la tête dans une grimace avant de retomber en hurlant, dans un bruit sourd. Mon ventre tout plein percute le sol de plein fouet et fait s'agiter mon corps... J'avais trop mal pour me relever, et j'étais surtout trop épuisé de toute ces étranges aventures... 2 jours dans une cage étaient loin d'être une soirée 4 étoiles dans un hâtel après tout... et les rares repas étaient aussi mauvais que les quelques verres d'eau. En y pensant.. j'avais terriblement soif d'ailleurs...

J'y... arrive pas... tu m'as trop alourdie... et je suis à bout de force...

Je la regarde presque avec pitié comme pour lui demander sincèrement de ne rien me faire de pervers, même si cela ne semble pas être son idée puisqu'elle s'est revêtue et que le sexe disproportionné semble avoir disparu.

J'ai trop mal pour me relever... et j'ai besoin de boire... j'ai la gorge seiche...

Mon visage rouge montre bien que je suis à peine calmée, reprenant encore mon souffle alors que je cherche à réfléchir à comment je me vengerais une fois que j'aurais inverser les rôles. Je pourrais bien la suspendre en l'air,  ses gros testicules liées solidement à une corde qui serait reliée au plafond... Puis je la gaverait d'aphrodisiaque pour les faire bien enflés et qu'elle qu'(elle me supplier de desserrer la corde... Ouai... ça c'était une bonne idée... Mais il fallait déjà que je me sorte de là en un seul morceau.

Tu as chercher à me tuer ou quoi... en m'enfonçant cette chose ... ? Espèce de conasse ... Je t'enfoncerais un truc qui fera deux fois cette taille... on verra ton état...

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