Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Les landes dévastées => Discussion démarrée par: Bleiz le jeudi 04 février 2010, 13:22:34
-
Saloperie de conscience professionnelle. Voilà que je joue au dératiseurs
Cela faisait une semaine que Bleiz était partis de Nexus pour retrouver "un groupe de monstres" qui avait attaquait régulièrement un village isolé. Une belle prime était offerte à ceux qui ramenais la tête du chef et Bleiz n'était jamais contre un peu de revenus.
Il était allé au village et avait attendus l'attaque des monstres. Une fois ceux ci présent il les avait tous tués sauf un qui c'était enfui. Et bien sur, il fallait que ce soit justement le chef. Malgré le fait que tout les autres avaient été tués et que le chef seul ne pouvais constituer une menace, les villageois insistaient pour que le chef le soit également. Ce qui fit que bleiz ce mit à errer seul dans les landes dévastées à la recherche d'un monstre isolé.
Il examina les traces qu'il suivait et remarqua deux choses étranges. Primo que les traces du monstres c'était changés en traces de plusieurs monstres, et qu'un autre paire de pieds, apparemment humain et féminin
-
*Putain ! C’est quoi ce bordel !*
Marine n’était pas du genre à jurer. Au contraire, elle abhorrait ce genre de comportement. Elle considérait que c’était un cruel manque de réserve et un révélateur de l’énervement. Mais là, elle avait du mal à se retenir.
Elle était allée faire son jogging du soir dans le parc quand soudain elle se retrouva dans un endroit qui lui était totalement inconnue. Elle était sur de ne plus être là où elle était cinq minutes auparavant. Les terres semblaient dévastées et rien ne semblait y pousser. Le problème étant qu’elle ne savait pas comment retourner à son point de départ. Elle tourna en rond pendant une bonne heure à la recherche du passage qui avait pu l’amener ici, mais rien. Elle décida de partir à la recherche de quelqu’un qui pourrait l’aider.
Elle marchait depuis un bon moment déjà, mais rien. Il n’y avait pas âme qui vive dans ce lieu. Les plaines désertiques succédaient aux amoncellements rocheux et toujours rien à l’horizon.
Marine commençait à désespérer. Comment allait-elle faire pour quitter cet endroit dévaster ? Elle avait l’impression que cette région sortait tout droit d’un film d’horreur.
Tout à coup, elle repéra des traces sur le sol. Très vite, elle se rendit compte qu’il ne s’agissait pas d’empreintes humaines. Que faire ? Elle n’en savait rien. Faute d’avoir une autre idée, elle décida de suivre les traces espérant finir par rencontrer quelqu’un.
-
Il suivit les traces avec prudence. Il préférai les surprendre afin de pouvoir tuer le chef en premier pour éviter qu'il s'échappe. Il se mouvait en silence dans la nuit tombante à l'affut du moindre bruit et du moindre mouvement.
Il portait une tenus simple, discrète et confortable, constitué d'un simple pantalon noir, et d'une chemise grise à manche courte et ses pas était étouffé par de légères chaussures. Derrière lui, accroché à sa ceinture, pendait le fauchon qui ne le quittais jamais. Et accroché à différente sangles, plusieurs dagues.
Il finit par entendre des paroles gutturales au loin. Il s'arrêta et contourna la source des bruits afin de ne pas arriver à vus.
Il finit par voir au loin ceux qu'il cherchais. Ces créatures avait allumés un feu en ce disputait une carcasse animal. Il en comptait bien cinq et chercha le chef des yeux. Il le vit alors. Dépassant les autres d'une bonne tête, ce qui n'était pas rien vus que la plupart d'entre eux faisait 2 mètres, sa peau était recouverte de fourrure brune et jaune, ce qui ne l'empêchais pas de porter des vêtements. Ces mains étaient humaines et apte à utiliser des armes, mais sa tête était semblable à celle d'une hyène. c'était des terranide hyene, ou plus communément appelé "Gnolls".
-
Marine avançait depuis longtemps maintenant. La nuit tombait à présent et l’endroit devenait effrayant. Malgré tout, elle poursuivait son chemin. Que pouvait-elle faire d’autre d’ailleurs ?
Tout à coup, elle vit une lumière dans le lointain. Espérant rencontrer un semblable, elle poursuivit dans sa direction. En approchant, elle constata que c’était un feu qui brulait et vit un certain nombre de silhouettes autour.
*Enfin ! Ils vont pouvoir m’aider*
Marine déchanta rapidement. Alors qu’elle arrivait à quelques dizaines de mètres du feu, elle comprit que ce n’était pas des êtres humains comme elle. Leurs corps étaient humains mais leurs têtes ressemblaient à celles de chien…non, des hyènes.
*Bon sang ! Mais c’est quoi ça ?*
La jeune femme n’avait jamais vu de telles créatures de toute sa vie. Pragmatique, elle se cacha derrière des rochers et observa les créatures. Ils semblaient se disputer une carcasse animale. Vraisemblablement, elle ne devait pas attendre d’aides de leurs parts. Que faire ?
Marine se retourna et s’adossa au rocher. Elle se recroquevilla sur elle. Elle se sentait découragé. Elle était dans un endroit inconnu avec des créatures dignes des pires cauchemars.
Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle ne devait pas pleurer, surtout pas. Elle avait toujours été forte. Elle devait continuer à l’être. Le vent se leva et elle frissonna. Ses frissons n’étaient pas dus au froid, elle était protégée par sa combinaison verte et sa paire de bottes. Ils étaient provoqués par le stress et l’angoisse.
Elle ne pouvait pas rester là. Si les êtres mi-hommes, mi-hyènes, la trouvaient, elle ne donnait pas cher de sa peau. Elle pouvait combattre même sans armes mais ils avaient la force du nombre.
Elle choisit de s’éloigner en se reculant tout doucement. Ainsi, elle pouvait surveiller les créatures tout en restant le plus invisible possible.
Alors qu’elle s’éloignait du feu, elle perçut un mouvement à quelques mètres d’elle. Elle poussa un soupir de soulagement en voyant qu’il s’agissait d’un homme. Un vrai, au sens humain du terme. Elle se sentait soulagé. Visiblement, l’homme ne l’avait pas vu et restait concentré sur le groupe de monstres. Elle vit qu’il était lourdement armé.
* Au moins, s’ils nous attaquent. On pourra se défendre*
Elle arrêta sa progression. Elle ne pouvait pas partir alors qu’elle avait fini par tomber sur un être humain qui pourrait peut-être l’aider. De plus, s’il comptait attaquer ces sales bestioles, il apprécierait peut-être un peu d’aide.
Toujours en silence, elle essaya d’aller jusqu’à lui.
-
Bleiz l'avait repérée au moment ou elle s'était approchée du camp. Il l'avait juste entraperçue et avait pesté le fait qu'elle allait peut être se dévoiler et le forcer à prendre sa défense sans avoir fini de préparer son plan. Mais elle avait été discrète et s'étaie retournée derrière un rocher.
Il se dit qu'elle allait partir dans la direction opposée sans demander son reste et c'est effectivement ce qu'elle fit au début et il ne la surveilla plus que du coin de l'œil. Mais il vit qu'elle changea de direction et contourna le camp en ce rapprochant de lui. Elle l'avait repéré.
Il pus l'observer plus attentivement sans quitter les gnolls des yeux. Il fut étonné de voir qu'elle portait des vêtements de la terre, mais pas plus que ça étant donné qu'il en portait aussi. Savait-elle ou elle se trouvais, en tout cas, en voyant sa démarche et son physique assez avantageux il devait le reconnaitre, il compris que c'était une combattante. Elle pourrait peut-être lui apporter de l'aide même s'il n'en avait pas totalement besoin. Mais c'était moins risqué ainsi.
Il tourna la tête vers elle pour lui montrer qu'il la voyais et lui souris en lui faisant un clin d'œil. Il sorti deux dagues de leur fourreau et le posa à coté de lui pour elle. Et attendit qu'elle arrive. Quand elle fut à coté de lui, il lui fit signe de se taire et lui désigna les deux dagues. Par de signes qui désignait le gnolls et son fauchon, il lui fit signe également qu'il allait les attaquer. Il observa sa réaction
-
Alors qu’elle s’approchait de Bleiz, Marine le vit tourner la tête vers elle, lui faire un sourire et un clin d’œil. Au moins, lui était totalement humain ! Elle lui rendit son sourire et continua de progresser dans sa direction.
Lorsqu’elle arriva près de lui, Bleiz posa un doigt sur ses lèvres. Elle hocha simplement la tête comprenant son signe. D’un regard, il lui montra les deux dagues posées au sol. Visiblement, il avait compris qu’elle connaissait l’art du combat.
*Moi qui suis venue pour être au calme ! Je n’ai pas de chance*
Elle attrapa les dagues et les soupesa. Elles étaient bien équilibrées, de bonnes armes de combat. Elle prit le manche de manière à mettre la pointe de la dague vers le bas. Elle trouvait que c’était plus facile à manier et que cela donnait plus de force à son coup.
Elle regarda l’homme et hocha la tête, lui faisant comprendre qu’elle prête. Elle regarda l’homme et vit qu’il était bien armé et à sa posture que c’était, tout comme elle, un combattant et visiblement pas un novice. Elle-même se mit en posture d’attaque, un genou au sol. Cela lui permettait de bondir comme un chat en une fraction de seconde.
Elle avait appris à être rapide et efficace. Quand on combat, surtout quand on doit investir une place où les ennemis sont plus nombreux, il faut faire très vite. Le summum étant de tuer en silence pour éviter que les cris fassent rappliquer tout le monde. Tuer silencieusement, ça aussi elle savait faire. C’était un coup particulier, difficile à maîtriser, qui se faisait à l’aide d’une dague ou d’un couteau long. On devait transpercer le poumon en premier pour empêcher le cri puis attendre le cœur pour tuer net. Ce coup était inutile ici vu que tous les monstres étaient réunis et qu’il n’y avait pas de sentinelles.
Elle se mit à contrôler sa respiration, se préparant mentalement à l’affrontement. Bleiz semblait connaître ces bestioles. Elle préférait que se soit lui qui initie le combat mais elle était prête.
-
Il l'observa, la vit prête et en profita pour la matter de plus prêt son corps était tout sauf repoussant et Bleiz imagina avec un sourire ce corps bouger durant un combat...ou une autre activités. Il laissa ses pensée un instant et se concentra à nouveau sur le combat.
Il fit se désigna lui même et pointa dans leur direction. Il voulait lui faire comprendre de le suivre juste un instant après mais ne voyais pas comment. Il décida de s'approcher d'elle et, en rapprochant très prêt son visage du sien chuchota :
J'y vais en premier, vous me suivez un instant après. Je vous laisse les deux premier et je m'occupe du reste.
Lentement, il se mit en position, tel un sprinter pret à faire un 100m... et c'est éxactement ce qu'il fit. Il fonça vers le gnolls et couru le plus vite qu'il pouvais sans faire de bruit.
Lorsque les deux premiers s'aperçurent de sa présence, ils n'eurent pas le temps de dégainer leur armes que bleiz fut déjà sur eux. Il frappa du poing le premier au plexus afin de le tétaniser un instant, et enchaina automatiquement sur un coup de pied au jambes du second, afin de les retenir le temps que sa jolie compagne arrive.
Il fonça derechef vers les deux autres et leurs chef. Le chef semblait l'avoir reconnu car une pointe de peur se lisait dans ses yeux. Ces deux soldat dégainèrent. Le premier tenait une lance, le second une masse. Bleiz fut d'abord attaqué par le lancier, qui lui donnait des coups de pointes, tentant de le tenir à distance pendant que son compagnon le prenait de coté. Bleiz vis venir la manœuvre, et ne la laissa pas être exécutée. Après quelques esquives, Il attrapa la base du fer de lance de sa main droite, puis, abattant son bras gauche tel un marteau, il frappa la hampe de la lance, suffisamment fort pour la briser.
Se retournant, il lança la pointe au second qui lui arrivai dessus et touche le bras qui tenait la masse. Il la lâcha dans un grognement de douleur. Bleiz profita de la distraction pour en finir avec le premier. Avant qu'il ne le frappe avec la hampe de lance qu'il avait gardé, il attrapa cette dernière, collant ses mains contre celle de son adversaire. Il leva le genoux et tendis la jambe pour le frapper au parties. Le gnolls hurla et ses bras perdirent en force durant un instant, ce qui permit à Bleiz de dirige la hampe vers son autre genoux et de la briser en deux.
La voie libérée, Il fonça alors, le frappant à répétition au plexus et à l'abdomen, jusqu'à ce qu'il tombe par terre. Une fois à terre, il pris sa gueule d'une main pour la maintenir fermée, et en tenant l'arrière de sa tête de son autre main, il lui brisa la nuque.
Il se retourna et vis que le second gnoll avait repris sa masse avec son autre main. Sans perdre son calme, Bleiz dégaina une dague qu'il lança sur le seconde bras, fonça vers lui, le frappa d'un coup de pied au ventre qui le fit s'écrouler et d'un seul mouvement, ramassa la masse par terre et lui brisa le crane avec.
Il se remis face au chef qui malgré sa peur avait dégainé son impressionnante épée à deux mains. Bleiz dégaina alors son fauchon et s'avança vers lui. Il s'arretta alors et tourna la tête pour voir comment la jolie rousse s'en sortaient.
-
Marine le vit approcher son visage du sien et lui murmurer :
« J'y vais en premier, vous me suivez un instant après. Je vous laisse les deux premier et je m'occupe du reste »
Elle acquiesça. Elle le vit alors piquer un sprint et s’occuper des deux premières créatures en les blessant. Marine l’observa quelques minutes, le temps qu’il paralyse temporairement les deux premiers gnolls. Il savait se battre, elle ne s’était pas trompée. Puis, il se mit en devoir de tuer les trois qui restaient.
Marine fonça alors à son tour sur les deux créatures qui se relevaient des coups que Bleiz leur avait donné. Elle balança un coup pied fouetté en pleine tête de l’un des deux qui se retrouva au sol. Elle s’attaqua au second en lui donnant un coup de poing qui l’étourdit juste assez de temps pour que Marine passe derrière lui. A une vitesse surprenante, elle enserra son cou avec une de ses main et lui souleva la tête tandis que de l’autre main, elle lui tranchait la gorge. La bête tomba morte à ses pieds.
Elle se retourna vers son deuxième adversaire qui était à nouveau debout. Il hurla. Elle se mit en posture d’attaque devant lui attendant qu’il la charge ce qu’il fit l’instant d’après. Marine se prépara à contrer le coup en se décalant à la dernière seconde sur le côté. La surprise déséquilibra la créature. La jeune femme lui donna un coup de pied dans le bas du dos. Le coup violent fit tomber le gnoll à genoux. Marine plongea alors ses deux dagues d’un coup sec à la base de sa nuque, le tuant net. Le sang gicla sur elle entre autre.
Elle reprit ses deux dagues et avança vers Bleiz. Ce dernier s’était débarrassé des deux gardes. Il ne restait plus que le chef et là, ils étaient en position de force.
-
Bleiz avait un instant observé le combat de cette fille. Elle n'était pas maladroite et maniait habilement les dagues qu'il lui avait prétée. A la voir aussi gracieuse et forte, bleiz fut légerement exité et ce mit à imaginer ce qu'ils pourraient faire une fois le combat terminé. Il se retourna vers le chef et vit qu'il n'avait pas bougé. Il se sentait désespéré et pour cause, ces hommes étaient tous mort et il se retrouvais à un contre deux.
Quand il entendis les pas de la jeune fille s'approcher de lui, Bleiz parla pour la première fois à voix haute:
Vous etes très efficace mademoiselle. malgré tout, je vous serais gré de ne pas intervenir dans ce combat. ça fait trop longtemps que je cours après celui là pour le partager. Vous ne m'en voulez pas j'éspere ? Dit il en tournant la tête vers elle.
Il parla ensuite au chef dans sa langue
T'as une chance de sauvez ta peaux corniaud. Je vais me battre seul contre toi.
Le Gnoll ce calma et pensa qu'il avait une chance. Il aurait été bien sur plus facile de l'attaquer à deux, mais Bleiz voulais un combat qui valait la longue traque qu'il avait enduré.
Il fonça vers la bête et l'attaqua rapidement. Le chef n'était pas un mauvais combattant. Quand il s'était retrouvé seul dans le désert, il avait surement du tuer le précedent chef de ceux qu'ils avaient combattu. De plus, le monstre était plus grand et avait une arme plus longue ce qui lui donnais un avantage d'allonge. Désavantagé par le physique et l'équipement...Bleiz adorait cette situation.
Conscient de son avantage, le chef tendis sa lame vers la direction de Bleiz et tenta de l'estoquer. Bleiz esquivais et tentait d'avancer, mais à chaque fois, le monstre se décalais pour faire tourner son épée et tenter de le couper en morceau et reculais par la suite.
Bleiz compris alors comment retourner cela à son avantage. Il attendis que le chef tente une nouvel fois de l'estoquer, mais cette fois il n'esquiva pas. Au lieu de cela il dévia la lame avec la sienne qu'il leva pointe vers le bas et approcha d'un bon vers lui. De sa main libre il attrapa la garde de la lame afin de la bloquer.
Il savait qu'il ne tiendrai pas longtemps dans un concours de force et à une vitesse foudroyante, Il fis tournoyer sa lame, fit un pas en avant et trancha la carotide qui expulsa du sang sur le visage de Bleiz. dans un mouvement fluide, il ramena le fauchon vers lui et lui trancha les mains afin qu'un coup désespéré ne le blesse pas.
Il vit le chef des gnolls se tortiller de douleur et tomber à terre. Perdant lentement la vie. Pris de pitié pour le monstre, il lui trancha la tête complètement pour mettre fin à ses souffrance.
Il prit un sac en toile qu'il avait pris pour l'occasion et mit la tête dedans. Il se retourna alors vers la fille qui avait observé le combat sans bouger, et la salua.
Merci de votre aide mademoiselle. Je me présente je m'appelle Bleiz.
Le fait d'être joyeux et souriant en étant couvert de sang, une arme ensanglantée dans une main et un sac contenant une tête de l'autre, devait être légèrement cocasse.
-
« Vous êtes très efficace mademoiselle. Malgré tout, je vous serais gré de ne pas intervenir dans ce combat. Ça fait trop longtemps que je cours après celui là pour le partager. Vous ne m'en voulez pas j'espère ? »
La jeune femme s’arrêta. Elle comprenait le choix de l’homme. Quand on court longtemps après une proie, il est très désagréable de se faire couper l’herbe sous le pied. Elle se tint en retrait par respect.
Elle vit l’homme parler au chef dans une langue qu’elle ne connaissait pas. Les deux combattants s’observèrent. Marine comprit que le chef gnoll avait l’avantage physique par sa taille et l’avantage matériel avec son épée. Mais elle avait vu l’homme combattre et malgré ce qui apparaissait comme des désavantages, elle savait qu’il gagnerait. Toujours pragmatique, elle était quand même prête à intervenir au cas où les choses tourneraient mal.
Le combat se déroulera rapidement. L’homme esquiva quelques coups puis attaqua. Elle frappa la créature au cou et lui trancha les mains. Le gnoll mourant tomba sur le sol. Bleiz lui trancha rapidement la tête mettant ainsi fin à ses souffrances.
A sa grande surprise, elle vit l’homme ramasser la tête et le mettre dans un sac de toile.
« Merci de votre aide mademoiselle. Je me présente je m'appelle Bleiz »
L’homme lui souriait tout en étant couvert de sang et de sueur. Marine se sentait un peu perdue. Mais la bonne humeur de Bleiz et l’heureuse issue de la situation la rendirent également souriante.
« Bonjour… enfin bonsoir. Je m’appelle Marine »
La jeune femme avança jusqu’à lui. Visiblement l’homme avait l’habitude de ce genre de situation et de ce genre de créatures, il devait donc savoir où elle était.
« De rien pour le coup de main mais je voudrais savoir où je suis exactement. Pour tout vous dire, je faisais un simple footing et… je suis arrivée ici. Sauf que je ne sais pas où est cet ici ? »
Marine lui souriait espérant qu’il pourrait l’aider à revenir chez elle. Elle lança avec un peu d’humour dans la voix et le sourire aux lèvres :
« Et si vous savez où je pourrais prendre une douche ou un bain, je suis aussi preneuse »
-
Marine ? jolie prénom. Il n'avait que des bons souvenir avec les marine qu'il avait connu
Il la regarda un peu étonné. Ainsi elle ne savait pas ou elle était ? étonnant qu'une terrienne sache aussi bien se battre au corps à corps sans être allé sur terra. Il rit quand elle raconta comment elle était arrivée. Cela lui rappela quelque chose. Il rit de plus belle quand elle parla d'une douche
Ma chère. Très chère Marine. Je pense que les bestioles que vous venez de voir vous aiderons a me croire si je vous dis la chose suivante. Vous n'etes plus sur terre actuellement. Vous êtes sur Terra un monde parallèle. Ici tout est possible et tout peut arriver. Vous avez du tomber par hasard sur un passage qui relis les deux mondes pendant votre footing. C'est ce qui c'est passé pour la la 1ere fois. Je suis arrivé ici alors que je m'entrainais tranquillement.
Il fit une pause histoire d'étudier sa réaction
Mais ne vous en faites pas. Je connais l'emplacement de certains passage pour rentrer sur terre. Je vous y amènerait. En revanche pour la douche, je ne peux pas faire grand chose ici. Eloigné de toute civilisations. En revanche, je connais un point d'eau pas loin. Suivez moi. J'ai aussi besoin de me laver comme vous pouvez le voir.
-
A chacune de ses questions, Bleiz se mit à rire. Il ne se moquait pas, Marine le savait. Il trouvait simplement ses questions amusantes. Sa bonne humeur était agréable et contagieuse. Marine, d’ordinaire réservée, appréciait sa façon d’être. Cela lui permettait de dédramatiser la situation. Elle se prit elle-même à rire. Malgré ses éclats de rire, il finit par répondre à ses questions :
« Ma chère. Très chère Marine. Je pense que les bestioles que vous venez de voir vous aiderons à me croire si je vous dis la chose suivante. Vous n'êtes plus sur terre actuellement. Vous êtes sur Terra un monde parallèle. Ici tout est possible et tout peut arriver. Vous avez du tomber par hasard sur un passage qui relit les deux mondes pendant votre footing. C'est ce qui c'est passé pour la1ere fois. Je suis arrivé ici alors que je m'entrainais tranquillement »
Le fait de ne plus être sur terre, elle s’en doutait un peu. Au moins, elle n’était pas dans un cauchemar. Que Bleiz se soit retrouvé dans la même situation qu’elle, la rassurait aussi. Elle se sentait moins seule.
« Mais ne vous en faites pas. Je connais l'emplacement de certains passages pour rentrer sur terre. Je vous y amènerais. En revanche pour la douche, je ne peux pas faire grand chose ici. Eloigné de toutes civilisations. En revanche, je connais un point d'eau pas loin. Suivez-moi. J'ai aussi besoin de me laver comme vous pouvez le voir »
Elle respira à nouveau quand elle l’entendit dire qu’il savait comment retourner sur terre. Pour la douche, elle se doutait bien qu’il ne devait pas y en avoir dans les parages. Un point d’eau lui conviendrait tout à fait.
« Un point d’eau m’ira très bien. J’avoue que le sang n’est pas vraiment mon parfum préféré »
Elle rit à nouveau. Décidément, cet homme arrivait à la changer, à la rendre plus joviale. C’était un exploit. Mais sa franchisse et son rire lui plaisaient.
L’homme était, lui aussi, agréable à regarder. Grand et musclé, charismatique, de beaux yeux bleus rieurs, des cheveux bruns et des vêtements simples pour agrémenter le tout. Elle regardait assez peu les hommes en général mais lui, elle aimait vraiment bien ça personnalité. Il était à la fois un grand combattant mais aussi quelqu’un de très humain qui, visiblement, ne se prenait pas la tête.
« Je vous suis »
-
un sourire ? voilà qui mettait Bleiz de bon humeur. Il marchèrent tranquillement. Le soleil se levais et la plupart de bêtes de cette région étaient plutôt nocturnes.
Pour une femme qui n'est jamais venue sur terra vous savez bien vous battre. Je vous ais vus durant un instant, s'était très séduis...impressionnant
Ils arrivèrent au cours d'eau que Bleiz avait vus plus tôt. Il commença par se nettoyer le visage. Puis il observa sa veste et se rendis compte qu'elle était également tachée de sang. Il la retira et se retrouva torse nus à la laver
Il sortis alors des sa sacoche du matériel pour nettoyer ses armes et s'y attela. il tourna son regard vers marine en pensant au fait qu'elle avait toujours ses 2 dagues.
Vous pouvez les gardez. Vous me les rendrez quand je vous aurait ramenée chez vous.
-
Ils marchaient depuis un moment. Le paysage n’avait pas changé : désertique et rocailleux. La seule différence était le soleil levant qui parait le ciel de ses multitudes de couleurs rose, mauve, orange, jaune. Le lever du soleil, l’aube, était toujours un spectacle merveilleux pour Marine. C’était un moment magique presque insaisissable entre le jour et la nuit. Les terres désertiques semblaient alors plus accueillantes.
« Pour une femme qui n'est jamais venue sur Terra vous savez bien vous battre. Je vous ais vus durant un instant, s’étais très séduis...impressionnant »
Marine ne remarqua pas le lapsus. Elle allait lui répondre lorsqu’ils arrivèrent devant un cours d’eau.
*Une oasis en plein désert !*
Le cours d’eau semblait peu profond mais bien suffisant pour se laver. Sans plus de cérémonie, Bleiz se lava le visage puis enleva sa veste tâchée de sang et se mit à la laver. Une fois cela fait, il prit ses armes et très consciencieusement se mit à les nettoyer.
« Vous pouvez les gardez. Vous me les rendrez quand je vous aurait ramenée chez vous »
Marine avaient coincé les deux dagues dans sa ceinture.
« Merci »
Au bord de l’eau, Marine ne savait pas trop quoi faire. Ses vêtements étaient couverts de sang comme elle. Mais aucun endroit pour s’isoler et avoir un semblant d’intimité. Elle soupira. Pas trop le choix. Après tout, elle avait passé quasiment toute sa vie avec des hommes et l’intimité, elle n’en avait pas toujours eu.
« Je suppose que vous avez déjà vu une femme nue aussi j’espère que vous ne vous formaliserez pas d’en voir une de plus »
Elle défit alors les lacets de ses bottes avant de les enlever. Elle retira les deux dagues de sa ceinture et les déposa sur le sol. Puis elle défit la fermeture éclair de sa combinaison. Il lui fallut deux minutes pour ça vu qu’elle se trouvait dans son dos. Une fois descendue, elle retira ses bras des manches, elle fit descendre la tenue le long de ses jambes et l’enleva complètement. Elle restait en sous-vêtements noirs.
Elle mit un pied dans l’eau. Elle était froide pour ne pas dire glacée, elle frissonna. L’eau lui arrivait juste au dessus de la cheville. Elle était dos à Bleiz et lui présentait ses fesses et son dos tatoué. Elle se mit à genoux sur le sable et s’aspergea le visage d’eau. Puis elle se passa un peu d’eau sur les bras et le ventre. Elle se releva et alla chercher sa combinaison qu’elle avait laissée sur la plage. Elle revint dans l’eau et, tout comme Bleiz l’avait fait, elle se mit à laver sa tenue.
Comme si de rien n’était, elle se mit à parler à l’homme resté sur la rive.
« J’ai été une sorte de militaire durant des années… Euh environ… 13 ans. J’ai commencé à être formé quand j’avais cinq ans ce qui explique que je sache me battre. Cela explique aussi mes nombreuses cicatrices »
Cela la fit rire. Ces cicatrices sur son ventre et les quatre parallèles étaient plus que visibles. C’était bizarre, elle ne se confiait jamais autant en général. Mais là, elle se sentait bien.
Lorsqu’elle estima que le résultat était correct, elle quitta l’eau et étala sa combinaison sur un rocher pour qu’elle sèche au soleil. Elle ramassa les deux dagues et alla s’asseoir auprès de Bleiz.
« Je peux ? »
Sans attendre de réponse, elle attrapa le matériel de nettoyage et se mit à décrasser les dagues.
-
Ah mais Bleiz ne se formalisait pas de voir une femme nue. Surtout quand son corps recelait d'aussi belle forme que celui qu'il avait devant les yeux. Il aurait volontiers dit que cela ne le génais pas et qu'au contraire elle pouvait même en enlever plus. Il ce contenta de répondre
Pas le moins du monde
Elle entrepris de se laver et voir ce beau corps aspergé d'eau augmenta le désir de Bleiz, ce qui commençais à ce voir au niveau de son pantalons.
Il l'entendis parler de son passé. Ainsi c'était une ancienne enfant soldat. Elle parlait de ses cicatrices comme si elles étaient importantes, Mais au yeux de Bleiz, elles n'enlevais rien à sa beautée. A cela il répondis
Rares sont ceux qui traversent une vie comme la votre sans cicatrices. Et vous avez la chance que les vôtres n'entachent point la beautés de votre corps ;)
Il retourna à la tache de nettoyer ses lames. Une fois celles ci lavés, Il prit une pierre à éguiser et les réaffuta, sans exagérer afin de ne pas les fragiliser.
Elle s'approcha de lui et commença à également nettoyer les lames qu'elle avait utilisée. Ce qui était très polis de sa part. Mais pour l'instant Bleiz ne pensait qu'au fait qu'une belle jeune femme trempée et en sous vêtements était assise à coté de lui. La tension dans son pantalon ne fit qu'augmenter et il ne pus s'empêcher de regarder de temps à autres les formes de sa charmante compagnie.
-
Marine commença à nettoyer les dagues. C’était la moindre des choses qu’elle pouvait faire. Elle devait rendre à Bleiz ses armes en bon état vu qu’il avait la gentillesse de les lui laisser le temps qu’il la ramène. Le soleil commençait à se lever et ses rayons réchauffaient son dos. Une sensation loin d’être désagréable vu l’eau froide avec laquelle elle s’était aspergée. Bleiz, lui, aiguisait ses armes.
Marine ne prêtait pas attention plus que ça à son compagnon. Elle était trop occupée à nettoyer les dagues. Elle ne se rendait pas compte des coups d’œil que Bleiz lui lançait tout en s’occupant de ses armes, ni de l’effet qu’elle avait sur lui. Du moins, jusqu’à ce qu’elle ait terminé de décrasser ses armes. Lorsqu’elle se pencha pour déposer les dagues et les outils nécessaires à leur nettoyage, elle ne put que constater la tension de son pantalon.
Marine se redressa et plongea son regard dans l’eau. Elle était devenue complètement rouge. Elle n’aurait jamais imaginé qu’elle pourrait avoir cet effet là sur un homme. C’était une chose à laquelle on ne l’avait pas préparée. Les choses du sexe étaient assez éloignées d’elle. De plus, elle pensait qu’elle n’était pas belle alors l’idée qu’un homme puisse avoir envie d’elle lui paraissait aberrante. Mais là, elle ne pouvait ignorer l’envie de l’homme assit près d’elle.
Marine ne savait pas comment réagir. Mais son corps, lui, le savait. Son cœur s’accélérait et son souffle devenait plus rapide. Elle sentait une légère excitation en elle. Elle ferma les yeux pour se reprendre et se calmer. Elle se releva.
« Je … je devrais peut-être me rhabiller »
Elle alla jusqu’au rocher où se trouvait sa combinaison. Cette dernière était loin d’être sèche. Elle hésitait à la remettre. Mais au vu des circonstances, c’était peut-être mieux.
-
Elle détourna brusquement la tête et regarda en direction de l'eau. Elle rougissait. Bleiz en conclus qu'elle avait remarqué sa "tension". Elle avait beau être une guerrière, elle réagissait comme une jeune fille. Sa vie ne devait pas lui avoir fait connaitre beaucoup d'homme. Voilà qui était intéressant. Il se tourna vers elle et constata en souriant que son corps réagissait à cette vue, ce qui voulais dire qu'elle n'était pas totalement indifférente.
Quand elle parla de se rhabiller, Bleiz réagit au quart de tour
-Je vous le déconseille pour l'instant. Si vous mettez des vêtements mouillés vous risquez de tomber malade. Je croyais que la nudité ne vous gênais pas ?
-
Alors qu’elle allait attraper son vêtement, elle entendit la voix de l’homme :
« Je vous le déconseille pour l'instant. Si vous mettez des vêtements mouillés vous risquez de tomber malade. Je croyais que la nudité ne vous gênait pas ? »
Non, en général, ça ne la gênait pas. Mais, en général, elle ne faisait pas cet effet là non plus. Mais il n’avait pas tort sur un point. Sa tenue était complètement trempée. La remettre signifiait tomber malade à coup sur. De plus, elle ne savait pas à qu’elle distance ils se trouvaient du passage qui la ramènerait sur Terre et par extension de vêtements secs.
Elle soupira. Non, inutile de se rhabiller tout de suite. De plus, Bleiz ne semblait pas vouloir lui sauter dessus. Par prudence, elle s’assit de l’autre côté de rocher où se trouvait sa combinaison. Ses bras autour d’elle tentaient de la protéger des regards de l’homme. Mais c’était un bien piètre rempart. Elle était perdue. On ne l’avait jamais préparée à ça. Elle avait le visage toujours rouge et son regard plongé dans le cours d’eau. Elle savait que le rocher ne la dissimulait que partiellement au regard de Bleiz. Il pouvait voir tout le haut de son corps jusqu’à sa taille.
Elle se dit qu’ils n’avaient qu’à rester comme ça jusqu’à ce que sa tenue soit sèche. Elle refusait de le regarder ou de lui parler. Ce qu’elle vivait la troublait beaucoup trop et elle ne voulait pas qu’il s’en rende compte. Une nouvelle fois, elle ferma les yeux et tenta de se calmer.
-
Convaincus par l'effet qu'il faisait à cette jeune fille, il termina l'entretient de ses armes. Il se leva ensuite s'approcha de marine. Il observa son corps, à la foix athlétique et avec suffisamment de forme. Même si Bleiz sous cet angle n'en voyait que la moitié. Dommage d'ailleurs car il appréciais particulièrement les fesses de cette demoiselle.
Permettez!
Il posa sa veste à coté de la combinaison de marine. Le rocher étant assez grand. Il s'assit pret d'elle et en la regardant droit dans les yeux, d'un regard complice...
Vous semblez gênée Marine. C'est ma présence qui vous fait cet effet ?
-
Marine l’entendit se lever et approcher d’elle. Son cœur se mit à battre plus fort et elle ne comprenait pas pourquoi.
« Permettez ! »
La voix de Bleiz l’a fit sursauter. Elle tourna la tête vers lui alors qu’il mettait sa veste à sécher à coté de sa combinaison. Il vint alors s’asseoir près d’elle en la regardant dans les yeux.
« Vous semblez gênée Marine. C'est ma présence qui vous fait cet effet ? »
A nouveau, elle plongea son regard dans l’eau. Elle replia ses genoux sur sa poitrine et les entoura de ses bras comme une position de défense face à l’homme près d’elle. Elle ne savait pas vraiment quoi lui répondre.
« Non, non c’est juste… j’ai hâte de rentrer chez moi, c’est tout. D’ailleurs, on repart dans combien de temps ? Le passage vers la Terre est loin d’ici ? »
Elle espérait détourner la conversation. Elle lui avait menti et ça aussi, c’était une chose dont elle avait horreur. Bien sûr que c’était lui qui lui faisait cet effet. Elle ne savait d’ailleurs pas vraiment ce qu’était cet effet mais elle était troublée. Elle n’aimait pas perdre son contrôle et là, elle avait bien du mal à se reprendre.
-
Elle tentait de détourner la conversation. Bleiz fut amusé. Il s'approcha à nouveau d'elle. De moins en moins d'espace les séparais.
Pas tellement. à moins d'un jour de marche. Mais prenons le temps de nous détendre après un tel combat.
Il la détaillais de haut en bas savourant sa beautée.
Vous savez vous n'avez pas à être gênée. si je ne me trompe pas, je sais ce que vous ressentez et c'est tout a fait naturel. ce qui est mal c'est de trop refréner ses envies
-
« Pas tellement. À moins d'un jour de marche. Mais prenons le temps de nous détendre après un tel combat »
Se détendre ? Marine ne savait même pas ce que cela voulait dire. Elle n’avait jamais pris de vacances de sa vie, ni un seul jour de repos. La seule détente qu’elle connaissait c’était le sommeil et encore.
Elle sentait qu’il la regardait et elle ne savait toujours pas quoi faire, ni comment réagir.
« Vous savez vous n'avez pas à être gênée. Si je ne me trompe pas, je sais ce que vous ressentez et c'est tout à fait naturel. Ce qui est mal c'est de trop refréner ses envies »
*Réfréner ses envies ? C’est quoi ça ? Quelles envies ?*
Là Marine était perdue. Elle ne comprenait plus rien. Il disait comprendre ce qu’elle ressentait. Tant mieux pour lui, elle, elle l’ignorait. Elle sentait que la situation dérapait, lui échappait. La présence de l’homme près d’elle ne faisait qu’accentuer son trouble. Elle devait s’éloigner de lui et vite.
Elle bondit sur ses pieds et commença à s’éloigner en marchant le long du cours d’eau. Elle vit ses bottes. Elle alla les chercher afin de se donner une contenance et de s’occuper à quelque chose et surtout d’oublier Bleiz quelques secondes, juste le temps qu’elle se reprenne.
-
Elle répondit vaguement avec nervosité. Comme si elle ignorait de qui il parlait. Ne reconnaissait elle même pas ces sensations comme un besoin physique ? Bleiz allait devoir lui apprendre certaine chose.
Elle se leva en marchant dans la direction de ses bottes. Sans doute pour ce calmer. Mais Bleiz n'allais pas la laisser s'en tirer comme ça. Il la suivait sans faire de bruit, et quand elle ramassa ses bottes se posta juste derrière elle en faisant suffisamment de bruis pour qu'elle se retourne. lorsqu'elle lui fit face, Bleiz parla :
Ma chere marine, je sais ce que tu ressens. Une douce chaleur c'est emparée de ton corps et tu es genée de ne pouvoir la controler. Laisse moi te montrer quelque chose-.
Sans lui laisser le temps de réagir, il baissa la tête et l'embrassa légerement mais avec passion. Il se retira de ses levres
Accorde moi ta confiance et je te donnerai des sensations que tu n'imagine pas.
-
Marine l’entendit arriver derrière elle. Elle se retourna et se retrouva face à face avec lui.
« Ma chère marine, je sais ce que tu ressens. Une douce chaleur s'est emparée de ton corps et tu es gênée de ne pouvoir la contrôler. Laisse-moi te montrer quelque chose »
Avant qu’elle ait pu dire quoi que se soit, il l’embrassait. Ses lèvres étaient douces contre les siennes. Son baiser était léger. C’était la première fois que quelqu’un l’embrassait. C’était inattendu mais pas désagréable.
« Accorde moi ta confiance et je te donnerai des sensations que tu n'imagines pas »
Il était là, devant elle. Mais Marine était incapable de faire un geste. Son corps était assaillis par des sensations jusque là inconnues. Elle ressentait de la chaleur au niveau de ses reins, ses seins se tendaient sous le tissu de satin noir de son soutien gorge, son ventre était contracté. Elle avait la chair de poule.
Il voulait qu’elle lui accorde sa confiance. Ton son corps disait oui, mais son esprit s’y refusait encore. Partagée en deux, elle restait là devant lui, incapable du moindre mot ou du moindre geste. Elle ne pouvait même pas le regarder. Elle avait détourné sa tête sur le côté et elle regardait le sol désertique.
-
Il pris son silence comme une invitation à continuer. Il la pris dans ses bras et l'embrassa avec plus d'intensité. Il senti la chaleur de son corps contre lui, ainsi que les frémissements de sa peau. Ses mains passer derrière son dos et le caressa avec douceur. Il quitta l'étreinte de ses lèvres et le regarda dans les yeux.
Tu es magnifique Marine.
Il embrassa doucement sa joue et descendis de plus en plus. Il s'arrêta au niveau du cou et commença à le l'embrasser avec force. Alternant les baisers avec de légers coups de langues et de dents.
-
Elle sentit les bras de Bleiz l’entourer et la ramener contre lui. Elle le regarda et il l’embrassa à nouveau. Un baiser plus profond, plus intense. Elle sentait ses mains caresser son dos avec douceur et tendresse. Elle voulait le faire arrêter avant qu’elle perde totalement le contrôle. Elle posa ses mains sur ses bras. Elle voulait s’échapper de son étreinte.
Il cessa de l’embrasser et la regarda droit dans les yeux.
« Tu es magnifique Marine »
La jeune femme sursauta. Ça non plus, personne ne le lui avait jamais dit. Elle ne savait pas si c’était vrai. Elle en doutait. Mais, au même moment, il embrassa sa joue et descendit le long de son cou pour en atteindre la base. Il l’embrassait, le mordait, le léchait. Il alternait entre douceur et force.
Marine sentait son cœur s’emballer et son corps s’embraser. Elle n’avait plus envie de s’enfuir. Elle voulait juste profiter de sa bouche. Elle inclina sa tête en arrière pour lui offrir encore plus son cou et sa gorge. Alors que son corps se plaquait plus encore contre celui de Bleiz.
-
Il sentait qu'elle ne protestait plus. Elle se laissait enfin aller. Son corps se collait contre le sien.
Il sentit son membre se dresser complètement au contact de la chaleur de son corps. Il sentit également sa poitrine se coller contre son torse.
Il avait hâte de pouvoir la toucher que ce soit avec ses mains ou sa bouche. Mais il devait aller doucement pour ne pas la brusquer. Étant donné son caractère combatifs, il sentait qu'elle deviendrais sauvage bien assez vite.
Ses mains commencèrent à descendre pour caresser ses fesses.
-
Marine se laissait aller. Elle appréciait le contact de l’homme contre elle. Elle sentit son sexe se dresser contre elle. Cela lui fit peur. C’était quelque chose qu’elle ne connaissait pas et qui l’intimidait, la gênait. Elle ne savait pas vraiment comment se comporter.
Elle sentit les mains de Bleiz descendre sur ses fesses et la presser davantage contre lui. Sa bouche ne quittait pas son cou.
La peur reprenait un peu le dessus chez la jeune fille. Malgré l’excitation, son inexpérience la rendait nerveuse. L’inconnu faisant toujours peur, la jeune femme chercha à se dégager de son étreinte mais l’homme la tenait trop fermement. Le rouge aux joues la reprit et le stress venait gâcher son plaisir. Elle aurait aimé que tout s’arrête malgré les sensations qu’elle éprouvait. Elle avait peur. Peur de lui, peur d’elle, peur de ce qui risquait d’arriver.
-
Il sentit la nervosité la calmer. Il devait la mettre en confiance et il savait comment faire. Il quitta ses lèvres
N'ai pas peur marine. Je ne te ferai aucun mal. Vient.
Il la fit s'allonger contre l'herbe et se remis à l'embrasser. Il fut tendre. Doux. Elle devait se sentir bien et en sécurité. Il garda une distance respective d'elle et ses mains parcoururent doucement, dans de légères caresses, son corps magnifique.
Je n'irai pas plus vite que tu le souhaite. Je souhaite juste te faire du bien
Ces mains s'approchèrent à nouveau de ses fesses et sa bouche retourna à son cou.
-
« N'ai pas peur Marine. Je ne te ferai aucun mal. Vient »
Il avait dû percevoir sa nervosité. Il l’entraîna sur un espace proche de l’eau où l’herbe, profitant de la proximité de l’eau, avait poussé de manière éparse.
Il la fit s’allonger avec beaucoup de douceur. Elle sentait les mains de Bleiz parcourir son corps. Ses caresses étaient agréables mais Marine se sentait toujours tendue.
« Je n'irai pas plus vite que tu le souhaites. Je souhaite juste te faire du bien »
L’homme reprit possession de son cou et ses mains descendirent sur ses hanches. Marine appréciait sa douceur et sa prévenance à son égard. Elle ferma les yeux et essaya de profiter au mieux des caresses de Bleiz. Mais, la peur était toujours présente. Elle se sentit obligée de le lui dire.
« Je ne suis pas sur qu’on devrait… Je ne sais pas quoi… non… Euh… comment faire. Enfin, je… »
*Mais quelle idiote !*
Elle n’arrivait même pas à s’exprimer correctement. Evidement, elle connaissait la partie théorique mais la manière de faire, elle ne savait rien. Aucun homme ne l’avait jamais embrassé. Elle rouvrit les yeux et tenta de se dégager à nouveau.
-
Quand elle se mit à bafouiller et à s'énerver contre elle même bleiz se mit à rire. Attendri qu'une tel guerrière soit perdue dans cette situation.
Tu es adorable Marine.
Il relâcha son étreinte la laissant totalement libre de ses mouvements. Séparés par une distance respectable elle ne devais plus se sentir emprisonnée.
Marine je t'ai déjà dit que tu peux me faire confiance. Il ne t'arrivera rien. Malgré tout si tu le souhaite, je m'arrête ici et maintenant. La décision t'appartient.
-
« Tu es adorable Marine »
Elle vit que Bleiz se détachait d’elle. Elle était attristée mais n’étais-ce pas ce qu’elle voulait ? Elle ne savait plus trop où elle en était.
« Marine je t'ai déjà dit que tu peux me faire confiance. Il ne t'arrivera rien. Malgré tout si tu le souhaites, je m'arrête ici et maintenant. La décision t'appartient »
Elle ne savait plus quoi faire. Entre sa raison et son désir, elle ne savait pas quoi choisir. Elle qui avait toujours été forte et réfléchis. Elle qui avait dû prendre des décisions, parfois de vie ou de mort, en une fraction de seconde, se retrouvait totalement indécise comme une enfant.
Elle finit, contre toute attente, par se mettre à pleurer. Instinctivement, comme une enfant, elle chercha à se réfugier dans les bras de Bleiz.
-
Bleiz ne compris pas pourquoi la belle se mit à pleurer. Quand elle chercha à venir dans ses bras il l'acceuilli tendrement
Là. C'est pas grave. Je suis là tu n'as pas à pleurer
Il l'enlaça tendrement lui embrassant les cheveux et lui caressa le dos.
Ne soit pas triste. Je suis désolé de t'avoir mis dans cette situation. Calme toi.
Il continua de lui parler d'une voix douce
-
« Là. Ce n’est pas grave. Je suis là tu n'as pas à pleurer. Ne soit pas triste. Je suis désolé de t'avoir mis dans cette situation. Calme-toi »
Il était doux avec elle. Bleiz prenait soin d’elle. La jeune femme avait la tête posée contre son torse. Elle entendait le cœur de l’homme battre contre son oreille. Ce battement doux, léger, régulier associé aux caresses de Bleiz la calmaient. Ces larmes cessèrent de couler.
Elle se sentait bien dans ses bras. A l’abri, protégée. Elle comprit qu’il ne lui voulait aucun mal. Si elle le voulait, elle pouvait se lever, s’en aller et qu’il ne chercherait pas à lui faire du mal. Curieusement, elle n’avait aucune envie de partir, de quitter l’abri de ses bras.
Le souvenir de ce qu’il lui avait fait ressentir lui revenait à l’esprit. Il avait réussi à éveiller son corps et elle avait apprécié ça même si ça l’avait effrayé. Elle ne savait juste pas comment s’y prendre. Mais au fond peut-être avait-elle trop réfléchi.
La peur de se retrouver dans un endroit inconnu, le combat, cet homme qui la troublait lui avaient mis les nerfs à fleur de peau. La situation, son corps qui lui échappait avait fini par la faire craquer.
La douceur de l’homme était plus qu’agréable. Elle sentait son odeur, la douceur de ses mains qui la caressait. Elle sentit à nouveau la chaleur inonder ses reins. Mais, là, la peur était moins présente. Sans vraiment réfléchir, elle posa ses lèvres sur le torse de Bleiz. Un baiser doux et léger. Marine apprécia la douceur de sa peau et son goût. Elle recommença et prolongea un peu son baiser.
Elle n’osait pas le regarder. Elle avait peur de ce qu’elle pourrait y voir. Elle se redressa un peu contre lui. Et, comme il lui avait fait, elle l’embrassa dans le cou.
-
Doucement elle se calma. Bleiz n'aimait pas voir pleurer une femme et il fut soulager quand ses larmes cessèrent de couler. Son soulagement fut remplacer par de l'excitation quand elle se mit d'elle même à embrasser son torse. Bleiz se laissa faire afin qu'elle se sente libre. Que ce soit elle qui décide ou elle allait. Ses lèvres remontèrent doucement vers son cou. Un frisson parcouru bleiz et il sentit à nouveau sa virilité se dresser. Marine ne pouvait l'ignorer et il se demandais si elle n'allait pas se braquer à nouveau. Bleiz lui continua ses caresses sur la peau de la jeune fille.
-
Marine sentit le désir de Bleiz s’éveiller à nouveau. Mais il ne la brusquait pas, il continuait juste à lui caresser le dos avec beaucoup de douceur. Elle se sentait bien, en confiance. Elle n’avait pas envie de s’enfuir, bien au contraire. L’excitation augmentait de plus en plus en elle. Elle continua ses baisers, légers comme des caresses de papillon, le long de son cou, sur son menton, ses joues et enfin ses lèvres. Elle les frôla à peine, une fois, deux fois. Puis, elle le regarda dans les yeux. Elle ferma les siens et l’embrassa à nouveau. De timide, son baiser se fit plus profond, plus passionné. Elle posa ses mains sur ses avant-bras musclés et se plaqua contre lui.
-
Bleiz sentit ses baisez monter en direction de son visage. Lorsqu'elle y arriva, elle s'attarda un instant sur ses joues et le coin de ses levres, comme si elle était intimidée par lui. Elle le regarda enfin dans les yeux. Son regard, exprimant le désir mêlé à un légère appréhension. Elle l'embrassa alors. D'abord timidement, puis de plus en plus fort. Elle se plaqua contre lui
Sentir se corps au formes si désirables collé au sien, augmenta l'excitation de Bleiz. Se contrôlant, il l'entoura de ses bras et la serra contre lui tout en l'embrassant. Basculant de coté il la posa au dessus de lui. L'embrassant sur les lèvres et le cou, lui caressant le dos de plus en plus bas. Se trouvant au dessus, en position de force, elle se sentirai sans doute plus rassurée.
-
Elle sentit Bleiz la serrer davantage contre lui. Elle aimait ce contact. Sentir sa peau contre la sienne. Il répondait à ses baisers de manière tout aussi passionnée qu’elle. Elle sentit qu’il basculait sur le sol. Elle se retrouva alors au dessus de lui. Il continuait de l’embrasser, sa bouche, ses lèvres. Elle sentait ses mains descendre le long de son dos, toujours plus bas.
Elle le dominait. Il lui laissait l’initiative. Il voulait lui laisser le choix de continuer ou de tout arrêter. Assise sur lui, elle le regardait. Elle voyait bien dans son regard combien il la désirait. Bien sur c’était loin d’être le seul indicateur. Marine sentait son sexe tendu sous elle. Elle se rendit compte qu’elle aimait cette sensation d’autant plus qu’il la laissait s’habituer à lui, à son corps.
Son propre corps s’habituait de plus en plus à tout ça. Les sensations qu’elle éprouvait devenaient de plus en plus agréables. Sa peur diminuait largement face à ce qu’elle ressentait, face au désir qui la prenait.
Elle sentit les mains de Bleiz lui caresser les fesses. Elle ferma les yeux pour mieux apprécier la caresse. Son corps réagissait de plus en plus. Son ventre était tendu comme ses seins. Elle sentait aussi son sexe s’humidifier. Elle avait envie de lui à présent. Elle voulait qu’il la caresse, qu’il l’embrasse.
Elle s’allongea contre lui et reprit ses lèvres en un baiser passionné. Elle voulait lui faire comprendre qu’elle avait envie de lui. Ses seins se plaquaient contre son torse. Elle avait envie qu’il la déshabille complètement et que ses seins soient en contact direct avec la peau de Bleiz.
Elle se redressa et se rassit sur lui. Elle l’attira à lui pour être à nouveau en contact avec son torse. Elle se mit à l’embrasser sur le torse, les épaules, le cou, la bouche. Elle avait passé ses bras autour de son cou pour le maintenir au plus près d’elle. Maintenant, elle avait envie que se soit lui qui prenne les devants, que se soit lui qui lui apprenne.
-
Enfin il touchait ses fesses qui lui faisaient envient depuis qu'il les avait vues lorsqu'elle se lavait. Il sentit la chaleur de son entrejambe s'intensifier sous les caresses qu'il lui prodiguais. Il vit le regard de sa compagne s'intensifier, signe évidente que le désir montait en elle.
Elle redescendit vers lui pour l'embrasser à nouveau plaquant sa voluptueuse poitrine contre lui. Elle se redressa en attirant Bleiz vers elle. Elle lui embrassa délicieusement le torse et remonta vers son visage. Elle passa ses bras autour de son cou d'un geste passionné.
Bleiz descendis ses baisers vers le cou. Il descendis encore vers ses épaules puis tout doucement vers la base de sa poitrine. Ses mains qui n'avais toujours pas quitté ses fesses remontèrent vers son dos et d'un coup vif, détachèrent le dernier habit qui recouvrait sa poitrine.
Une fois celle-ci libérée, ses mains la caressa avec douceur et sa bouche l'embrassa en alternant de léger coups de langues.
-
Elle sentit la bouche de Bleiz lui embrasser le cou, les épaules et descendre vers sa poitrine. Les mains de l’homme remontèrent dans son dos jusqu’à son soutien gorge qu’il défit dans un simple geste. Il abaissa le sous-vêtement le long de ses bras avant que ce dernier ne se retrouve au sol.
Marine posa ses mains sur ses avant-bras. La bouche de Bleiz se mit à embrasser sa poitrine. Ses mains caressaient ses seins avec une infinie douceur. Elle sursauta lorsqu’il lui donna des coups de langue. Elle en était surprise mais cela l’excita beaucoup aussi. Elle se cambra afin de lui offrir sa poitrine.
Cela lui procurait de plus en plus de plaisir, de plus en plus de sensations agréables parcouraient son corps. Sa respiration se faisait de plus en plus rapide. Elle plaquait son entrejambe de plus en plus contre le sexe de l’homme. Elle commençait à se frotter contre lui de manière inconsciente. Elle sentait comme des décharges électriques la parcourir à chaque léger mouvement du bassin qu’elle pouvait faire.
-
Il sentit Marine se cambrer sous le traitement qu'il prodiguais à sa poitrine. Il la sentait frotter son entrejambe contre son sexe, le massant agréablement. Ses mains quittèrent la poitrine de la jeune fille. L'une passa derrière son dos et l'autre caressa à nouveau ses fesses. Il se pencha en avant le faisant se cambrer encore plus sans que sa bouche quitte sa poitrine. Sous cette position il pouvais masser plus fort l'entrejambe de sa compagne. Il insista sur ses tétons les prenants entièrement en bouche et les léchant.
-
Marine sentit ses mains quitter sa poitrine. Elle aurait bien aimé qu’il continue mais elle sentit un des mains se placer dans son dos et l’autre revenir à ses fesses. Cette main la plaquait de plus en plus contre l’homme, contre son entrejambe, lui faisant sentir encore plus le désir qu’il avait d’elle. La main dan son dos la soutenait alors qu’il la faisait se cambrer encore plus.
La bouche de Bleiz s’empara totalement de ses seins. Il en prit un dans sa bouche, suçant le téton durcit, passant sa langue dessus. Elle émit un léger gémissement sans même s’en rendre compte. Elle sentit qu’il passait à son autre sein, lui faisant subir le même traitement qu’au premier.
La main de l’homme lui pétrissait les fesses mais avec douceur. Elle ne se sentait pas agressé. Bien au contraire. Elle aimait trop ce qu’il lui faisait. Elle avait trop envie de lui à présent.
-
Bleiz la fit finalement s'allonger sur le dos. Il la regarda dans les yeux puis l'embrassa passionnément. Ses mains parcoururent son corps entier insistant sur ses fesses qui décidément le rendaient fou. Il se releva un instant, et sans la quitter des yeux, enleva ses chaussures et son pantalon ne gardant que son boxer.
Il passa sa main derrière la tête de marine et tout en l'embrassant il frotta son sexe désormais uniquement retenu par son sous vêtements, contre son entre-jambe. Ces mouvements étaient doux, mais profonds. Il sentait la chaleur et même l'humidité du sexe de sa partenaire.
Il l'embrassa une dernière fois puis se mis a embrasser son cou, puis sa poitrine... il descendis lentement, avec douceur vers cet endroit. Lorsqu'il se retrouva la tête entre les jambes de Marine, Il embrassa doucement par dessus le tissu de son sous-vêtements ses mains remontèrent alors lentement vers ses fesses et enleverent le dernier vêtements qu'elle portait.
Le sexe ainsi offert devant lui, il l'embrassa puis lecha tout doucement son clitoris.
-
Lorsqu’il l’allongea sur le sol, Marine se laissa faire. Il la regarda avant de l’embrasser. Elle gémit quand il se leva. Elle n’avait pas envie qu’il s’éloigne d’elle. Elle le regarda alors enlever ses chaussures et son pantalon. Elle admirait son corps, un corps parfait, musclés mais sans exagération. Elle fut heureuse lorsqu’il revint vers elle, contre elle.
Il l’embrassa à nouveau avec passion. A présent, elle se laissait totalement emportée par son envie et son désir. Elle sentit les lèvres de Bleiz quitter sa bouche et descendre le long de son corps jusqu’à atteindre son sexe. Elle sentit sa langue la caresser au travers du tissu de sa culotte. A sa grande surprise, cela lui procura un plaisir inattendue. Elle le laissa la lui enlever. Lorsque ce fut fait, elle écarta ses cuisses pour lui laisser l’accès à son intimité. Il plaqua alors sa bouche sur son sexe humide et commença à donner des coups de langue. Elle gémissait à chacun des coups de langue qu’il lui prodiguait. Elle avançait son bassin pour mieux s’offrir à lui. Elle sentait que son sexe appréciait ces caresses, que la cyprine commençait à s’écouler de lui, preuve d’une excitation intense.
-
Ses gémissements l'excitait beaucoup. Il n'avais qu'une envie c'était de la prendre avec autant de force qu'il avait achevé son combat. Mais la jeune fille semblais plus que débutante dans les jeux du plaisir. Il devait aller doucement.
Il continua à lui faire plaisir de sa langue la sentant s'humidifier petit à petit. Il lui caressait les cuisses et les fesses profitant des courbes de son corps.
Il avança alors lentement un doigt à l'entrée de son sexe sans s'arrêter de la lécher. Il commença par en caresser les bords afin de ne pas trop la surprendre. Puis il entra en elle avec son index.
-
Les coups de langue de Bleiz enflammaient le corps de la jeune femme. Elle serrait les poings sous l’effet de l’excitation. Elle sentait les mains de l’homme lui étreindre les cuisses, lui saisir et caresser les fesses.
Lorsque le doigt de Bleiz la pénétra, elle tressaillit, surprise par la sensation. Il la caressait de l’intérieur à présent. C’était une sensation surprenante mais qui stimulait encore plus son sexe qui devenait brulant.
La pénétration accompagnée des caresses prodiguées par la langue experte de l’homme provoquait un désir incontrôlable chez la jeune femme. Elle en voulait plus, elle le voulait.
-
Il sentait la respiration de son amante s'accélérer. Elle appréciais le traitement qu'il lui prodiguait. Il caressai son intérieur avec force mais sans violence. Insistant sur le point qui la faisait plus réagir que les autres.
Il leva les yeux vers elle
Tu aime ?
Il redescendit et continua en ajoutant un second doigt
-
" Tu aimes ? "
Marine hocha la tête. Elle aurait eu du mal à répondre à sa question. Oui, elle aimait ce qu'il lui faisait. Comment ne pourrait-elle pas aimer ? Il était doux. Elle se dit qu'elle avait été bien stupide de ne pas avoir répondu à ses avances avant.
Elle haletait et gémissait de plus en plus. Elle poussa un crie quand il introduit deux doigts en elle. L'excitation devenait extrême. Elle bougea son bassin pour mieux sentir ses doigts en elle. Bleiz les bougeait, la caressait excitant son vagin. Elle sentait qu'elle était trempée à présent. Maintenant elle voulait plus. Elle le lui dit d'une toute petite voix :
"Je... j'ai envie de..."
Elle ne termina pas sa phrase. La jeune femme se sentait un peu honteuse de lui demander de la prendre. Ses joues s'étaient empourprer.
-
Tu as envis de ...?
Dit il avec un sourire sournois. Il savais très bien de quoi elle avait envi.
Ses doigts quittèrent son entrejambe et il remonta vers elle. Embrassant chaque cm de peau séparant son sexe de sa bouche. Quand il arriva face à son visage, Il la regarda tendrement dans les yeux puis l'embrassa. Il colla son corps contre le sien, si bien que leur sexes n'étaient séparés que par le boxer que portait Bleiz.
Envis...de ça
Il lui souris puis enleva son dernier vêtements devant elle. Il se posa prêt d'elle et lui écarta doucement les cuisses. Il s'avança alors vers elle. Frôlant son sexe tout doucement à nouveau pour ne pas la surprendre.
Et alors, lentement, amoureusement, il entra en elle.
-
« Tu as envie de... ? »
Il répéta sa phrase juste pour l'embêter. Mais il remonta vers elle abandonnant ses caresses. Il embrassa tout son corps et chaque baiser provoqua autant de décharges électriques chez la jeune femme. C’était si bon ! Il l’embrassa fougueusement et elle y répondit tout aussi passionnément. Elle sentait le sexe de Bleiz se frotter contre le sien.
« Envie de … ça »
Elle le regarda les yeux suppliants. Oui, c’était ça qu’elle voulait. Il lui sourit et se leva. L’homme enleva son dernier vêtement et se retrouva totalement nu devant elle. Elle appréciait vraiment son corps. Elle lui tendit les bras pour le faire revenir à elle.
Bleiz vint alors à elle. Avec une infinie douceur, il se posa sur elle, lui écarta les cuisses et tout doucement, la pénétra. Il le faisait tout doucement, la laissant s’habituer à sa présence. Centimètre par centimètre, il avançait en elle.
Marine retenait son souffle. Elle appréciait le contact du membre de l’homme en elle mais elle appréhendait le moment où il déchirerait son hymen, anticipant la douleur. Elle le regardait dans les yeux comme pour se rassurer.
-
Il l'avait soupçonné, mais quand il sentit cette légère résistance il n'eus plus aucun doute. Marine était vierge. Il s'arrêta alors et la regarda dans les yeux. Il lu le désire intense, l'envie. Elle voulais qu'il soit sa première fois. Il lui souris et s'approcha d'elle.
Ne t'en fait pas. Je reste avec toi.
Il avança alors passant outre la résistance. Il la tint plus fort prêt de lui afin de la rassurer dans la douleur. Il resta auprès d'elle attendant un instant que la douleur passe.
-
Il s’arrêta quand il sentit une résistance. Marine eut peur, peur qu’il s’en aille, peur qu’il ne veuille plus d’elle. Mais il lui sourit avec tendresse.
« Ne t’en fait pas. Je reste avec toi »
Elle s’agrippa à lui et ferma les yeux quand il la pénétra en déchirant la mince barrière de sa virginité. La douleur était beaucoup moins importante que celle qu’elle avait prévue. Peut-être parce qu’elle avait vécu des choses bien pire. Elle ressentait plus une gêne qu’une réelle douleur.
Elle se rendit compte que Bleiz s’était arrêté. Il lui laissait le temps de se reprendre, de laisser passer la douleur.
Elle rouvrit les yeux pour le regarder. Une larme coula aux coins de ses yeux mais elle lui sourit comme pour le rassurer et lui dire qu’elle allait bien. Elle avança alors ses lèvres pour l’embrasser avec douceur.
-
Il répondis à son baiser et le pris comme un signal pour continuer. Il entama alors un lent et doux va-et-viens. La laissant s'habituer au sensation. La laissant ressentir pleinement cet instant sachant qu'il était unique. Il la regarda intensément dans les yeux guétant ses réactions pour y répondre. De sa main gauche il caressai tout son corps insistant par moment sur sa poitrine, mais plus encore sur son visage. Il descendis son visage vers le sien pour l'embrasser à nouveau et lui chuchoter à l'oreille
c'est bon tu aime ?
-
Alors qu’il l’embrassait, il commença à bouger en elle. Les sensations étaient inattendues pour la jeune femme. C’était doux même si la rupture de son hymen lui provoquait une sensation un peu désagréable. Mais la tension se dissipa au profit du plaisir. Le sexe la caressait au plus profond d’elle. Son vagin, ouvert pour la première fois, était étroit et enserrait le membre de manière importante. La jeune femme se mit à réellement apprécier ce contact.
Bleiz bougeait avec douceur et tendresse. Il prenait soin d’elle et faisait attention à chacune de ses réactions. Il la caressait avec délicatesse. Ces gestes la détendaient mieux ils lui procuraient du plaisir.
« C’est bon tu aimes ? »
Marine hocha la tête. Le choc de la perte de sa virginité passé, Marine se laissa aller aux nouvelles émotions que le jeune homme éveillait en elle. Le membre en elle commençait à l’exciter. Les parois de son vagin étaient stimulés par les mouvements de va et vient que faisait Bleiz.
Tout doucement, elle commença à suivre les mouvements de son compagnon avec son bassin. Elle gémit alors devant le désir que cela lui provoqua.
-
Elle accompagnais son mouvement avec grâce et sensualité. Ses formes harmonieuses et son visage illuminé par un regard empli de désir, intensifia l'excitation de Bleiz. Il ce pencha en avant afin d'embrasser et de lécher son cou. Sa main gauche parcourrai tout son corps pour finir par caresser doucement son sein, tandis que sa main droit s'appuyait à son bassin.
C'est si bon marine
Il ressentait la chaleur et l'humidité du sexe de sa partenaire avec un plaisir immense. Il entrait lentement en elle jusqu'à aller au fond, et sortait complètement son membre d'elle avant de recommencer. Il voulais continuer à la ménager avant d'accélérer.
-
Marine appréciait de plus en plus cette… situation. Son sexe s’était bien humidifié grâce aux bons soins du sexe de Bleiz et aux caresses et baisers qu’il lui prodiguait. Il allait lentement pour lui permettre de s’habituer à toute cette nouveauté.
« C'est si bon Marine »
Visiblement, elle n’était pas la seule à apprécier le jeu de leurs corps. Elle avait craint qu’il ne se lasse d’elle du fait de son inexpérience ou au contraire qu’il ne se concentre que sur elle sans vraiment prendre de plaisir à ce qu’il faisait.
Elle l’embrassa dans le cou, mordillant un peu la peau. A présent, elle suivait son instinct ou plutôt ses instincts. Elle se laissait guider par ses envies et apprenait son corps et celui de son partenaire. Du cou, elle remonta vers sa bouche qu’elle prit avec passion. Elle passa sa main sur la nuque de Bleiz pour maintenir son visage au plus près du sien. Son autre main était agrippée au dos de son amant. Elle la fit glisser jusqu’à sa hanche sur laquelle elle exerça de légère pression et mouvement pour indiquer le rythme dont elle avait envie. Un rythme repris par son propre bassin.
-
Marine se laissai de plus en plus aller. Autorisant ses mains à se balader sur le corps de Bleiz. Il sentait sa main contre sa nuque, maintenant son visage prèt du sien ce dont il profita pour l'embrasser.
Il sentit son autre main au niveau de son bassin imprimant un rythme qu'elle voulait qu'il adopte et qu'elle suivait avec le sien.
Plus ils avançaient plus Bleiz se dit qu'il avait de la chance d'être la 1ere fois d'une femme qui semblais pouvoir devenir une si bonne amante.
Il continua longuement à la pénétrer, gardant son corps collé contre le sien, l'embrassant et lui mordillant le nuque, Puis il se redressa.
Il forma alors un angle droit avec sa partenaire et continua de la pénétrer en admirant totalement son corps.
Bleiz ayant Prit appuis sur ses genoux, ses deux mains libres caressaient la poitrine de Marine
-
Quand Bleiz quitta son corps, elle protesta. Elle avait envie de sentir son corps contre elle. Mais cette protestation se transforma en un râle de plaisir. Le changement de position provoquait de nouvelles sensations en elle. Son plaisir augmentait de plus en plus.
Les mains du jeune homme se mirent à caresser ses seins pour son plus grand plaisir. Elle se cambra pour offrir sa poitrine généreuse à leurs caresses délicieuses. Elle appuya ses mains au sol pour aider la pénétration, pour que le sexe de Bleiz entre le plus loin possible en elle.
Les yeux fermés, elle gémissait, sa respiration était haletante. Spontanément, elle alla chercher, avec une de ses mains, l’une des mains du jeune homme. Elle l’amena jusqu’à sa bouche et commença à lécher les doigts avant d’en mettre un dans sa bouche. Elle ne savait pas vraiment où ça l’amenait. Elle savait juste qu’elle en avait envie alors elle le faisait en faisant fis d’éventuels tabous.
-
La jeune fille timide changeait pour une femme d'une extrême sensualité. La voir se cambrer sous ses assaut était un spectacle qui le faisait accélérer inconsciemment.
Sa main qu'elle avait prise pour la mettre dans sa bouche, bougeais légerement comme pour simuler une fellation. Il s'imaginait en train de ce faire sucer par cette belle créature.
De son autre mains, il lui souleva légerement le bassin afin de pouvoir la pénétrer plus profondément. Il lui caressa ses magnifiques fesses. Il la regarda dans les yeux. D'un regard intense et profond. Un regard qui communiquait toute l'envie qu'il avait envers cette femme.
-
Marine sentait que le rythme que Bleiz lui imposait à présent était plus rapide. Il lui avait agrippé les fesses afin de mieux contrôler sa pénétration c’est-à-dire surtout allé le plus possible en elle.
Elle continuait de lécher et de sucer son doigt. Elle le regardait dans les yeux et voyait combien il avait envie d’elle. Une envie réciproque. Elle se sentait belle et désirable dans ses yeux. Elle désirait lui donner du plaisir.
-
Il enleva sa main de sa bouche et la passa derrière son dos. De toute ses forces il la souleva et la colla à la vertical contre lui, continuant de la pénétrer avec vigueur.
Il penchai la tête afin de lécher à nouveau cette sublime poitrine qui remuait à chacun de ses coups de rein. Son autre main, était occupée à caresser ces fesses rebondie qu'il ésperait pouvoir contempler au cours d'une éventuelle levrette.
D'un mouvement souple il s'étendit sur le dos et Marine se retrouva accroupie au dessus de lui. Il allait maintenant voir de quoi elle était capable maintenant que ses inhibitions étaient levées
-
Elle sentit Bleiz enlever sa main et la glisser dans son dos. Avant qu’elle n’ait pu s’en étonner, elle se retrouva soulevée et plaquée contre lui. Elle sentit son membre la pénétrer encore plus, il allait plus loin en elle. Sa bouche reprit possession de ses seins en les léchant et en les mordillant.
La jeune femme était surprise d’éprouver autant de plaisir avec sa poitrine. Elle n’aurait jamais imaginé que sa poitrine puisse lui donner autant de plaisir. C’était étonnant. Elle passa ses mains autour de son cou et plaqua sa tête contre ses seins afin qu’il puisse encore mieux les lécher. Elle gémissait toujours autant face aux nouveaux plaisirs qu’elle découvrait.
Elle poussa un léger cri quand elle sentit que le jeune homme basculait en arrière et l’emmenait avec elle. Mais visiblement c’était voulu. Elle se retrouva assise sur lui, son sexe toujours en elle. Elle était un peu déstabilisée de se retrouver ainsi et de voir les rôles inversés. Elle ne savait pas trop ce qu’il attendait d’elle. Malgré tout, le membre de Bleiz toujours en elle lui procurait des sensations tout aussi excitantes bien que différentes.
Dans cette position, son sexe était en contact avec d’autres zones sensibles de son vagin. Marine bougea alors légèrement et fut surprise de la décharge qui la parcourue. Elle renouvela alors l’opération. Ces sensations étaient vraiment délicieuses. Elle regarda alors Bleiz et se pencha sur lui pour l’embrasser fougueusement avant de se redresser et de commencer à faire onduler son bassin sur le sexe de l’homme.
De doucement, ses mouvements se firent plus importants, plus amples. Elle s’aidait de ses mains posées sur le ventre de son partenaire et de ses jambes sur le sol. De merveilleuses sensations la parcouraient. Elle bascula légèrement en arrière et changea d’appui à ses mains. Elle les plaça sur les cuisses de Bleizh et se cambra tout en continuant ses va et vient sur le membre en elle. Ses gémissements avaient repris de plus belle, les yeux mi-clos, elle laissait son corps découvrir toutes ses merveilleuses sensations.
-
Il se laissa faire. Observant cette femme découvrir sa sexualité. Elle commença d'abord par un léger mouvement qui, d'après le frisson qui la parcouru, fut fort agréable. Elle se pencha alors en avant et l'embrassa sauvagement avant de ce reprendre sa position et de commencer des mouvements aussi beau à voir, qu'agréables à sentir.
Il compris vite qu'elle aimait ça car ces mouvements s'amplifièrent. Elle posa ses mains sur le corps de Bleiz et ses jambes faisaient onduler son corps.
Elle bascula en arrière pour le stimuler différemment. Elle commençais à prendre des initiatives c'était bon signe. Elle se cambrai avec un érotisme des plus excitant. La vision de ses yeux et l'entente de ses gémissements de plaisir, augmentait encore plus l'excitation de Bleiz
Il posa les mains sur ses hanches. Accompagnant ces mouvements. Il bougea son bassin, le faisant légerement ce lever lorsqu'elle descendais afin d'aller plus profondément en elle
"oh oui c'est bon marine. Tu aime etre au dessus ?"
-
Elle sentit ses mains agripper ses hanches et accentuer encore ses mouvements. Son sexe s’enfonçait de plus en plus fort en elle du fait des mouvements de bassin que Bleiz faisait. Il allait à sa rencontre quand elle descendait et se reculait quand elle se soulevait rendant la pénétration plus intense.
« Oh oui c'est bon Marine. Tu aimes être au dessus ? »
Elle rebascula vers lui pour le regarder. Il prenait autant de plaisir qu’elle. Elle se sentait un peu mal vis-à-vis de lui. Elle s’était seulement préoccupée d’elle sans vraiment tenir compte de Bleiz. Elle continua ses mouvements de bassin en hochant doucement la tête.
« Oui… j’aime bien… j’aime beaucoup même… mais en fait je crois que j’aime tout, tout ce qu’on a fait »
Elle aimait ses mains qui pétrissaient ses hanches. C’était si bon.
-
Il l'agrippa à elle, collant son corps contre le sien et l'embrassa
"Je suis ravi que ça te plaise. Et comme tu ma fait l'honner d'etre ton premier, je ferais découvrir autant de plaisirs qu'il m'est possible d'en donner"
Il pris appuis sur ses jambes et commença à donner de puissants coups de bassin de maniere rapide. Ses mains descendirent vers ses fesses qu'il caressa avec envie
"Mmmmmmmmmh Marine tes fesses sont vraiment magnifiques. A elle seules elle donnent envie"
Il l'embrassa à nouveau
-
Elle l’embrassa avec un plaisir non dissimulé. Elle sentait le plaisir monter en elle mais sans qu’elle arrive à mettre un nom dessus. C’était encore trop nouveau pour elle. Elle regrettait de ne pas avoir connue ça avant. C’était si agréable.
Marine sentit les mains de son partenaire glisser jusqu’à ses fesses, les pressant pour intensifier le mouvement.
« Mmmmmmmmmh Marine tes fesses sont vraiment magnifiques. A elle seules elles donnent envie »
Il prit à nouveau possession de sa bouche sans que la jeune femme puisse rétorquer. Elle n’aurait jamais pensé que ses fesses puissent être attirantes. C’était étrange mais au vu des caresses qu’il leur prodiguait, il les aimait vraiment beaucoup.
-
Il continua à la pénétrer avec force, la position ne demandant aucun effort pour etre maintenue, il pouvais donner des coups rapides et profonds.
Oh oui c'est si bon. J'espère que tu as autant de plaisir que moi
Il la regarda dans les yeux lui caressant la joue de sa main
-
Elle le regarda, ses yeux plongés dans ceux de Bleiz.
« Oui… oui j’ai beaucoup de… plaisir »
Ainsi, c’était ça le plaisir, l’envie, le désir. Elle cala sa joue dans sa main et ferma les yeux pour apprécier ce tendre contact. Petit à petit, sans vraiment s’en rendre compte, elle augmentait sa vitesse sur le sexe de l’homme. Son plaisir croissait de plus en plus en elle. Elle ferma les yeux et se cambra pour mieux ressentir ce plaisir.
Elle avait envie de quelque chose mais elle ne savait pas vraiment quoi. Cette excitation devenait presque douloureuse mais elle ne savait pas vraiment ce qu’elle voulait mais elle le voulait à présent.
-
Il sentait marine accélérer ses mouvements sur son membre. Elle se laissa complètement aller, s'abandonnant au plaisir qu'elle ressentait pour la 1ere fois. La fait de voir cette guerrière si farouche devenir une femme si pleine de sensualité excitait bleiz au plus haut point.
Lorsqu'elle se cambra de plaisir, Bleiz releva légèrement la tête afin de pouvoir à nouveau embrasser et lécher cette superbe poitrine qui remuait sous les mouvements de sa propriétaire
Ta poitrine aussi est magnifique. Ton corps tout entier est un objet de désir.
-
Marine cria quand elle sentit la bouche de Bleiz reprendre possession de ses seins. Cette excitation augmentait encore la tension dans son corps. Involontairement, inconsciemment, son rythme devint encore rapide. Son corps semblait savoir ce qu’il voulait sans qu’elle en soit consciente.
Plus ses mouvements augmentaient en vitesse, plus ses gémissements devenaient forts et se transformèrent en cris. La tension, la chaleur dans son corps devenaient extrême. Un mouvement de bassin supplémentaire et la tension accumulée se libéra d’un seul coup. Elle cria avec force quand l’orgasme éclata en elle. Sans vraiment comprendre ce qui se passait, elle ressentit un plaisir indescriptible se répandre en elle. Elle se laissa aller contre le torse de Bleiz, le corps secoué de multiples spasmes, tout son corps y compris son sexe qu’elle avait sentit se contracter contre le sexe de Bleiz.
Les yeux fermés, le souffle court, le cœur battant à un rythme effréné, la jeune femme n’essayait pas de se reprendre. Elle en était incapable. Elle se laissait juste aller. Ses spasmes diminuèrent jusqu’à s’arrêter mais elle était épuisée comme jamais. Le corps et l’esprit voguant dans un monde de parfaite béatitude.
-
Marine s'était déchainée. Elle allait maintenant à un rythme de folie. Ses gémissement qui avait été aussi discret qu'un murmure devenant des cris de jouissance qui rendais Bleiz fous d'excitation. Son intérieur était ruisselant et dégageait une chaleur des plus douces.
Quand d'un seul coup, Marine ce figea et poussa un ultime cris. Son sexe enserra celui de Bleiz intensément puis elle s'effondra sur lui, le corps secoué de spasme. Bleiz la pris dans ses bras et ralentis ces coups de reins au maximum, sans toutefois les arrêter complètement.
Quand finalement elle fut à nouveau immobile, certainement assomée par son premier orgasme, il releva sa tête et l'embrassa tendrement.
Tout vas bien ? Tu as aimé ? Il posait la question même s'il savait la réponse
Il se tenait là, sa compagne au dessus de lui, Son membre toujours enfoncé en elle.
-
Marine avait du mal à revenir à la réalité. Les doigts de Bleiz vinrent soulever son visage et ses yeux plongèrent dans les siens.
« Tout va bien ? Tu as aimé ? »
Il lui souriait tendrement. Elle lui rendit son sourire et vint déposer un baiser sur les lèvres de son merveilleux amant.
« Oui, oui j’ai beaucoup aimé »
Elle dit ça d’une toute petite voix, les joues rouges. Elle se sentait un peu embarrassée par la situation. Elle se sentait si bien. Elle sentit alors le membre de Bleiz qui bougeait tout doucement dans son corps ce qui lui instilla une terrible peur.
« Tu… Tu n’as pas aimé ? »
Peut-être que son inexpérience l’avait empêché d’aller jusqu’au bout ? Elle en était désolée. Son plaisir en fut quelques peu diminué.
-
Elle se demanda s'il n'avais pas aimé. Il rit à cette idée
Oh non rassure toi ma belle. J'ai adoré. Ton corps est une plaisir à regarder et à toucher et quand tu fait l'amour j'ai l'impression que tu le fait depuis aussi longtemps que moi.
Il l'embrassa à nouveau et la pris dans ses bras pour la rassurer. Il caressa son corps entier, insistant sur ces fesses qui décidément lui plaisait beaucoup. Il compris pourquoi elle lui avait demandé s'il avait aimé
Tu te demande pourquoi je suis encore dure en bas ? C'est bien simple. Je ne suis pas toujours sur de pouvoir recommencer après etre venus une fois. Et je voulais d'abord m'assurer de ton plaisir avant le mien. Je suis heureux de t'avoir fait jouir.
-
Marine profita des bras de Bleiz. Elle s’y sentait si bien. C’était impressionnant. Elle qui n’avait jamais été dans les bras de personne. Là, elle se retrouvait dans les bras d’un homme qu’elle connaissait à peine mais qui avait su lui apporter de la douceur et de la tendresse ce dont elle manquait le plus. Elle lui avait donné sa virginité et elle ne regrettait rien. Bien au contraire, elle en était heureuse, il lui avait fait découvrir un monde tout nouveau et merveilleux.
Elle soupira d’aise et de plaisir lorsqu’il la rassura sur le fait qu’il avait particulièrement aimé faire l’amour avec elle. Elle fut touchée que Bleiz est privilégié son plaisir plutôt que le sien. La jeune femme le sentait toujours en elle, dur. Le bassin du jeune homme bougeait à un rythme très doux. Elle ne se sentait pas agressée. Au contraire, elle aimait bien se léger mouvement.
Les mains de Bleiz la parcouraient insistant sur certaines parties de son corps, certainement celles qu’il devait le plus apprécier. Elle porta son regard sur lui et lui sourit. Elle se pencha vers ses lèvres et l’embrassa avec douceur et tendresse. Elle releva la tête toujours le sourire aux lèvres.
« Tu t’es préoccupé de mon plaisir. Dis-moi ce que je pourrais faire pour provoquer le tien – elle hésita quelques secondes, secondes pendant lesquelles ses joues se colorèrent – Je n’y connais pas grand chose mais si tu dis ce que tu veux, je pourrais essayer. Apprends-moi »
Elle était sincère cela se sentait dans son ton. Marine était également curieuse, curieuse de connaître d’autres choses, d’autres plaisirs. Mais ce qu’elle voulait avant tout c’est que Bleiz prenne autant de plaisir qu’elle.
-
Hola! La tentation était grande de lui faire faire tout ce qu'il voulait. Bleiz imaginait déjà toute les choses qu'il pourrait faire avec une telle beauté à sa disposition. Il laissa ces réflexions pour plus tard.
Il se retira d'elle et la fit s'allonger à ces cotés. Si elle voulait apprendre à faire plaisir, Bleiz allait ce faire une joie de lui montrer ce que tout les hommes apprécient.
Tu te rappelle ce par quoi on à commencé ? Et bien les hommes apprécient tout autant que vous quand on s'occupe d'eux comme ça.
Il lui pris délicatement la main et la posa sur son membre. Il la fit l'entourer complètement et en lui tenant la main il commença à lui faire faire un mouvement de vas-et-viens tout doux.
-
Avec toujours autant de douceur, il la souleva et se dégagea d’elle tout en l’allongeant auprès de lui. Marine se serra contre lui appréciant toujours autant sa peau.
« Tu te rappelle ce par quoi on a commencé ? Et bien les hommes apprécient tout autant que vous quand on s'occupe d'eux comme ça »
La jeune femme se rappela les baisers et la bouche de Bleiz sur son intimité. Il lui prit la main et la posa sur son membre dressé. Toujours en la tenant, il imprima un lent mouvement de va-et-vient.
Bien qu’un peu gênée, la jolie rousse se prêta au jeu. Après tout, elle avait eu énormément de plaisir lorsqu’il s’était intéressé à cette partie d’elle. Se sentant devenir féline, elle se redressa et continua ses doux mouvements. Elle se pencha alors vers son sexe se doutant de ce qu’il attendait d’elle. La combattante prit alors une partie du membre dans sa bouche et commença à le sucer.
C’était agréable en fait. Avec sa langue, elle découvrait cette partie si sensible de son anatomie. Elle sentait les veines gonflées sur son membre, la peau douce et fine, le gland. Elle commença à faire des mouvements de va-et-vient sur le sexe de son amant.
-
Il frissonna à chacun des mouvements de la belle. Elle était joueuse et elle aimait donner du plaisir. Quel gâchis qu'une telle femme soit resté si longtemps vierge.
Il voyais ce doux visage prendre son sexe en bouche. Le lécher légèrement puis commencer à aller et venir.
La chaleur de sa bouche le faisait ce tendre encore plus. Il n'arrivait pas à croire que c'était la première fois qu'elle faisait ça tant cela lui faisait du bien
Oh oui ! Continus c'est si bon
Il tendis le bras en direction de son corps et commença à lui caresser le dos. Il descendis petit à petit vers ses fesses pour à nouveau apprécier leur contact, puis il passa de l'autre coté et ce remis à la caresser.
-
Marine s’appliquait le mieux qu’elle pouvait ou qu’elle pensait pouvoir sur le membre de son compagnon. Léchant, caressant, suçant consciencieusement cette partie de lui qui lui avait donné tant de plaisir. Elle se focalisait davantage sur lui que sur elle voulant lui donner du plaisir et en même temps, se faire apprécier pour ça.
« Oh oui ! Continus c'est si bon »
Les paroles de Bleiz l’interrompirent dans son action buccale. Un peu surprise, elle le regarda et comprit bien vite qu’elle faisait bien ce qu’il fallait. Cet aveu de lui la mit davantage en confiance et elle reprit alors ses nouvelles caresses mettant encore un peu plus de cœur à l’ouvrage.
Elle sentit alors la main du jeune homme descendre sur son corps lui provoquant des frissons bien loin de lui être désagréables. De son dos, il descendit à ses hanches puis à ses fesses avant de venir lui caresser son intimité encore humide de son premier orgasme. Elle s’arrêta de parcourir le membre en sentant les doigts de Bleiz contre ses grandes lèvres. Allait-il recommencer à la caresser ? Elle se demanda brusquement si c’était possible d’éprouver deux fois de suite ce qui s’était produit peu de temps avant. Elle se rendit compte qu’elle était vraiment très ignorante en la matière.
Sans plus de considération, elle poursuivit ses mouvements de va-et-vient. S’amusant à lécher la légère fissure sur le gland qu’elle trouvait extrêmement lisse et doux avant de redescendre sa langue sur toute la longueur de la verge tendue et gonflée par l’excitation.
-
Elle insista sur un moment sur le bout du gland, faisant frémir bleiz à plusieurs reprises. Elle descendis le long de son membre en léchant la longueur.
Pris d'une impulsions subite, Bleiz lui pris les hanches et les plaça au dessus de son visage. sans attendre de voir si elle allait continuer à lui faire plaisir il recommença à la lécher. Il aimait bien cette position car lécher était différent et cela l'excitait plus.
Il en profitait pour parcourir de ses mains le corps de la belle en insistant sur les fesses
-
La jeune femme se sentit agripper par les hanches et mise sur le corps de son amant avant que celui-ci se mette en devoir de lécher son intimité. Marine mit un moment à réagir et à comprendre. Elle se retrouvait allongée pour ne pas dire vautrée sur son partenaire.
« Ahhhhh….. »
Elle ne put s’empêcher de gémir en sentant la langue de Bleiz s’insinuer en elle. Elle commençait à éprouver du plaisir à nouveau. Son sexe qui s’était apaisé, recommençait à s’exciter tout doucement.
La jeune femme se reprit alors et s’aidant de ses jambes, se posa au dessus de l’homme. Elle recommença ses mouvements de bouche sur le sexe tendu. Elle alternait entre les coups de langue sur le long de la verge et les moments où elle le prenait en bouche en instaurant des mouvements de va-et-vient.
-
Il sentit marine gémir ce qui l'excita d'avantage.
Ravi que ça te plaise.
Il lécha avec vigueur insistant fortement sur son clitoris caressant de ses mains la totalité de son corps. ses fesses rebondies. ses seins imposants. Rien que la caresser augmentait son excitation. Ses mains atteignirent sa poitrine tandis que ça langue pénétrait le sexe de sa partenaire. Il pétrissait sa poitrine avec vigueur mais sans violence. Appréciant le volume, insistant sur les tétons en les pinçant légerement.
Sa main gauche lâcha alors le sein et remonta pour remplacer sa langue qui retourna lécher le clitoris.
-
Les mains de Bleiz s’activaient sur elle comme sa langue sur son sexe, le léchant, l’excitant, le pénétrant. Marine appréciait le traitement. Son corps s’éveillait à nouveau sous les mains du jeune homme.
Elle suçait avec plus de vigueur le membre s’agrippant aux hanches de l’homme. Elle était moins dans la douceur de la découverte. Elle était un peu plus sauvage. Sans s’en rendre compte, quand le doigt de Bleiz la pénétra, elle bougea son bassin pour mieux le sentir.
-
L'instinct de la belle s'éveillait. Il enfonça un second doigt en elle, accentuant la pression et accellerrant les va-et-viens.
D'un coup il se releva la laissant devant lui à quatre pattes. Il ce pencha vers elle lui parlant à l'oreille tandis que son membre ce frottait devant l'entrée de sa chatte.
Tu es très douée marine. Tu m'as tellement excité que j'ai à nouveau envis de te prendre. J'éspere que toi aussi
-
La combattante fut à nouveau prise de court quand il se releva alors que quelques minutes avant il avait introduit deux doigts en elle, augmentant la cadence des mouvements. Elle se retrouva devant lui à quatre pattes. La position ne lui plaisait guère cela lui donnait une étrange impression de soumission ce qui n’était guère dans son caractère.
« Tu es très douée Marine. Tu m'as tellement excité que j'ai à nouveau envi de te prendre. J'espère que toi aussi »
Marine se redressa en entendant ça. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres. Elle était heureuse d’avoir réussi à lui plaire et elle n’était pas contre le fait qu’il veuille d’elle à nouveau. Son corps avait été bien préparé par lui et l’excitation était revenue en elle.
La position était juste dérangeante pour elle. Elle referma ses cuisses comme pour refuser l’accès à son antre.
« Oui, j’ai envie de toi… mais… je… »
Elle ne savait pas comment lui dire que la position était embarrassante. Cependant, Bleiz avait été correct avec elle depuis le début. Il s’était bien occupé d’elle, la rassurant, la guidant, lui donnant du plaisir, la faisant jouir. Il était mal venu qu’elle ne veuille pas poursuivre mais elle avait du mal à se détendre ainsi.
-
La position te gene ? Tu sais que je ne te forcerai en rien si tu ne le veux pas. Beaucoup de femme aiment cette position c'est pour ça que j'ai voulu la prendre.
Son sexe continuais ses caresses sur celui de la belle, tandis que Bleiz caressait d'une main sa poitrine. Il embrassa légèrement le cou.
Il ne la forcerai pas mais il préfèrerai qu'elle le laisse essayer. Si après avoir essayé elle n'aimait pas il ne dirait rien même si cette position l'excitait particulièrement. Il repris la parole.
Je te laisse le choix.
-
Marine appréciait toujours autant les mains du jeune homme sur elle mais être à quatre pattes la gênait toujours autant.
« La position te gêne ? Tu sais que je ne te forcerai en rien si tu ne le veux pas. Beaucoup de femmes aiment cette position c'est pour ça que j'ai voulu la prendre »
La jeune femme hocha la tête alors que Bleiz caressait un sein et l’embrassait dans le cou. Son sexe ne cessait de frôler le sien comme pour l’habituer à cette nouvelle position.
« Je te laisse le choix »
Marine en fut ravie mais se sentait aussi piégée. Pouvait-elle vraiment lui refuser ça ? Elle se dit que non, après tout il lui avait fait du bien, elle pouvait bien en faire autant même si elle n’en prenait pas.
Elle écarta un peu les cuisses laissant apparaître son intimité mouillée. Elle laissa tomber sa tête entre ses épaules comme si elle allait se faire exécuter. Elle ne répondit pas à sa question considérant que son corps était une réponse suffisante. Elle attendait juste qu’il la pénètre espérant que ça irait.
-
Bleiz vit qu'elle acceptait en laissant tomber la tête entre ses épaules. Elle ne le faisait pas de gaité de cœur mais bleiz savait qu'il était rare qu'une femme trouve l'idée tentante avant d'avoir essayée.
Il se colla à nouveau contre elle. Mais avant de la prendre, une de ses mains toucha son menton et lui fit relever la tête et la tourner coté. Il l'embrassa alors pour la mettre plus à l'aise et la faire se sentir moins soumise.
Il caressa son entrée un long moment avec son sexe, tout en l'embrassant, avant de la prendre tout en douceur. Il sentit à nouveau la délicieuse chaleur l'entourer mais d'une manière différente cette fois. une fois arrivée au fond d'elle, il commença un lent va-et-viens et étudia avec soin ses réactions histoire de voir si elle aimai vraiment ça.
-
Marine sentit une main l’obliger à relever son menton. Elle se laissa faire et retrouva la bouche de son amant. Il semblait vouloir la rassurer. Elle aimait son contact, le contact de ses lèvres.
Puis, il se plaça derrière elle mais au lieu de la pénétrer directement il se mit à caresser son antre avec son membre. Il voulait qu’elle s’habitue à cette position probablement. Sagement, elle attendit son bon plaisir.
Il finit alors par la pénétrer avec douceur cependant. Marine sursauta. Elle était surprise par les sensations provoquées par cette nouvelle position. Son sexe était excité à des endroits différents. Lorsque Bleiz commença ses mouvements, les sensations furent accentuées, décuplées. Son souffle s’accéléra.
Au final, cette position n’était pas si désagréable. Mise à part l’impression de soumission qu’elle avait ressentie au départ, maintenant son corps appréciait ce traitement. Elle releva la tête et gémit en sentant le membre la pénétrer à nouveau. Son bassin commença à accompagner les mouvements du jeune homme.
-
Bleiz la sentait se laisser aller. Il en fut ravi. Il augmenta la force de ses mouvements sans les accélérer. Sentir son bassin contre ses fesses était un plaisir supplémentaire pour le guerrier. Il aimait aussi l'impression que cette jeune fille était vierge il n'y a pas si longtemps et que maintenant elle appréciais le sexe sous des formes qu'elle n'avait pas imaginée.
Sa main quitta son menton sans que ses lèvres cessent de l'embrasser. Elle descendit le long de tout son corps, doucement s'arrêtant un moment sur sa poitrine, puis redescendit encore en direction de son entrejambe.
Tandis que sa queue continuait à la pénétrer, ses doigts caressaient son clitoris pour multiplier son plaisir.
J'éspere que tu aime ce que je te fait Marine.
-
La combattante appréciait de plus en plus cette position qui donnait un côté un peu sauvage à l’acte mais rien de déplaisant. Au final, l’idée d’avilissement qu’elle avait ressentie au départ n’était en rien justifiée surtout au vu de la manière dont Bleiz prenait soin d’elle.
Il n’avait toujours pas abandonné ses lèvres, bien au contraire. Sa langue jouait de plus belle avec celle de la jeune fille, jouant à s’agacer mutuellement. La main de son amant se mit à descendre le long de son corps en s’arrêtant tout d’abord sur sa poitrine qu’il se mit à caresser et à malaxer avec tendresse et passion. Puis, elle se déplaça sur son ventre provoquant des frissons dans le corps de la jeune femme avant d’atteindre son intimité. Il caressa son sexe puis écarta les grandes lèvres avant de venir tendrement s’en prendre à son clitoris la faisant d’autant plus réagir.
Elle était maintenant stimulé à la fois par la pénétration intense réalisée par le sexe de Bleizh mais aussi par les caresses et par les attouchements qu’il faisait sur son clitoris. Marine sentait son corps s’embraser à nouveau. Elle bougeait son bassin en accord avec les mouvements de hanche du jeune homme. Elle l’avançait quand il se retirait et allait violement à sa rencontre lorsque sa verge s’enfonçait à nouveau dans son intimité.
Il finit par se détacher un court instant de ses lèvres.
« J'espère que tu aimes ce que je te fait Marine »
Elle plongea son regard bleu-vert dans celui de son amant et lui sourit timidement.
« Oui… oui, je… je crois »
Elle avait du mal à parler. Elle se sentait assez mal à l’aise de parler ainsi des sensations qu’elle pouvait ressentir dans un tel moment.
-
Marine allait de plus en plus loin dans la luxure. Elle qui était réticente au début accompagnais les mouvements avec son bassin.
Il la releva alors la faisant ce tenir droite tandis qu'il continuais à la pénètre de plus en plus fort. ces deux mains agrippaient maintenant ces seins et il continuait à l'embrasser
-
Bleiz plaça une de ses mains sur le ventre de la belle et l’autre sur un de ses seins. D’un brusque mouvement, il l’a redressa contre lui sans cesser ses mouvements en elle. Elle poussa un léger cri de surprise qui mourut dans la gorge de son amant qui ne s’était toujours pas séparé de sa bouche.
La main de son amant glissa de son ventre au sein laissé à l’abandon. Il se mit alors en devoir de les pétrir et de les malaxer provoquant alors un plaisir intense à la jeune femme. Elle plaqua son dos contre le torse de son amant afin de mieux le sentir contre elle.
Une de ses mains alla se perdre dans les cheveux bruns de Bleiz alors que l’autre alla se poser sur sa hanche halée. L’angle de pénétration, encore différent, provoquait encore d’autres sensations en Marine. Des sensations merveilleuses qui échauffaient son corps et son esprit. Elle avait l’impression de bouillir de l’intérieur. Une chaleur intense, mais tellement agréable, se diffusait en elle.
-
Bleiz adorait cette position qui lui permettait d'exposer la beautés de sa partenaire dans sa totalité. il regrettait qu'il n'y ai pas un miroir à portée.
Ces mouvements allaient en accélérant faisant claquer son bassin contre les fesses de la belle. La respiration saccadée de marine l'excitait encore plus
C'est si bon marine. Ta chatte et tellement chaude et accueillante. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir
-
Marine haletait sous les coups de reins du jeune homme. Ils étaient puissants et rapides, et leur vitesse augmentait encore. La jeune femme criait à présent à chaque pénétration.
« C'est si bon Marine. Ta chatte et tellement chaude et accueillante. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir »
Ces mots galvanisèrent la combattante. Elle sentait, elle aussi, qu’elle allait bientôt jouir à nouveau. La tension s’accumulait dans tous ses muscles et allait devoir être relâchée.
« J’ai envie aussi ! »
-
Entendant ces mots il se retira d'elle et la retourna pour à nouveau la prendre par devant.
je veux voir ton visage lorsque tu t'abandonnera au plaisir
Il la pris avec force et chaleur. mettant toute son énergie dans ses coups de reins, augmentant les intensité en la tirant de ses mains sur son bassin. Il se pencha en avant pour embrasser la belle. Il sentait le plaisir monter en lui et ne pouvais plus se retenir.
Mmmmh! Marine je ne tiens plus, je vais venir !
Il se décontracta et se laissa aller. Sentant les jets se répandre à l'intérieur de la belle.
-
Brusquement, Bleiz se retira d’elle et la bascula sur le dos, la pénétrant à nouveau.
« Je veux voir ton visage lorsque tu t'abandonnera au plaisir »
Les yeux de la jeune femme ne quittaient pas ceux de l’homme qui la prenait avec passion. Ses cris reprirent de plus belle à chaque fois qu’il avançait son membre en elle. Il s’empara de son bassin et l’amenait toujours plus contre lui, toujours plus fort. Il se baissa alors sur elle s’empara de sa bouche et elle lui répondit avec tout autant de fougue et de plaisir.
Elle sentait son corps bouillant qui réclamait la même chose qu’un peu plus tôt. Elle voulait encore ressentir cette terrible sensation de plaisir et de béatitude extrême.
« Mmmmh! Marine je ne tiens plus, je vais venir ! »
D’un seul coup, elle sentit les muscles de l’homme se détendre et ses propres muscles en firent autant. Son cri fut violent, tout autant, peut-être plus encore, que le tout premier cri de plaisir qu’elle avait poussé. Le cri déchira le silence de la plaine alors que son sexe se contractait violement contre la verge de l’homme qui dispensait sa semence dans son corps qui se laissait aller.
-
Les cris de son amante rendirent son orgasme plus foudroyant encore. Il se colla contre elle, la serrant contre son corps avec tendresse. Il l'enlaça un long moment, l'embrassant cette fois avec douceur.
C'était si bon marine. J'espère que tu as autant aimé que moi.
Il la regarda dans les yeux un long moment et ce dit qu'il ne devrait pas rester trop longtemps comme ça.
Et si nous allions nous laver un peu à la riviere ? Je dois dire que j'ai beaucoup transpiré.
-
Marine avait du mal à reprendre pied dans la réalité comme la première fois.
« C'était si bon Marine. J'espère que tu as autant aimé que moi »
Il plongea son regard dans les yeux bleu-vert de son amante. Les yeux de la belle était toujours voilés par le plaisir qu’il venait de lui procurer. Son souffle reprenait tout doucement son rythme normal.
« Oui, j’ai terriblement aimé »
Elle susurra ses mots d’un ton très faible comme s’il s’agissait d’un aveu honteux.
« Et si nous allions nous laver un peu à la rivière ? Je dois dire que j'ai beaucoup transpiré »
La jeune femme hocha la tête. C’est vrai qu’un bain ne serait pas superflu pour lui comme pour elle. Elle posa sa main sur la joue de Bleizh et posa ses lèvres sur les siennes, elle enfonça sa langue dans sa bouche et l’embrassa tout doucement mais de manière intense. Sa bouche fint, après un long moment, par descendre dans son cou qu’elle mordilla avant d’aller chercher son oreille.
« Merci ! »
-
Terriblement aimé ? voilà qui flattait Bleiz qui savait qu'une première fois n'était jamais facile pour une femme.
Elle l'embrassa ensuite intensément puis descendis vers son cou et lui susurra un "merci" à l'oreille. Ce merci ajouté à l'attitude sensuelle de Marine excitait Bleiz mais la séance était encore fraiche ne le fit pas revenir en érection. Il lui pris la mais et la reconduit à la rivière.
Il commença à lui mouiller légèrement les jambes et à remonter vers ses cuisses qui dégoulinais de son jus. Il la laissa s'occuper de son entrejambe ne voulant pas etre trop brusque avec l'eau mais ce mis à lui nettoyer les fesses avec attention. Dieux ce qu'il aimait cette partie chez une femme.
-
Bleiz se releva et elle en fit autant, lui prenant la main, il la guida vers le cours d’eau. Marine frissonna en entrant dans l’eau à peine plus chaude que tout à l’heure. Néanmoins, ils avaient besoin de se nettoyer un peu tous les deux.
Le jeune homme commença d’ailleurs à la nettoyer. Elle rougit alors violemment. Elle ne se sentait guère à l’aise de le voir la nettoyer mais elle n’osa pas lui dire tandis qu’il s’appliquait consciencieusement à débarrasser ses cuisses de toute la cyprine qui s’y accrochait encore. Par chance, il la laissa s’occuper de son intimité et s’occupa de ses fesses ce qui la fit sourire. Décidément, elle aimait vraiment beaucoup cette partie de son anatomie.
Avec quelques précautions, elle se mit à nettoyer son intimité. Cette première fois avait été agréable et même magique, révélatrice en tout cas. Elle remarqua qu’au final elle ne souffrait pas vraiment. La sensation était légèrement désagréable mais rien d’extraordinaire et le plaisir avait largement prit le pas sur cette douleur insignifiante.
Une fois suffisamment nettoyée, elle se dégagea des mains de Bleiz et le regarda un sourire taquin aux lèvres.
« A vous monsieur ! »