Chaque seconde devenait presque insupportable, non pas que c'était une douleur sans nom qu'éprouvait le jeune amant avec sa compagne, le supplice qu'il s'infligeait pour rester humain, l'honorer comme une femme et pas comme un monstre, ca parrait rien comme ca, mais lutter contre l'essence meme de sa vie, de son éxistance, c'était pas facile pour lui. En plus, pour l'aider a etre encore plus torturé, elle lui avoua de maniere plutot claire qu'elle en voulait encore plus, et que probablement les hormones qu'elle avait laché dans l'air étaient là sous sa commande, pour aider un peut le jeune amant a devenir moins timide face a elle.
Je n'ai jamais dis cela, mais c'est peut etre mieux ainsi, finir sous la douceur, mon corps ne tiendra pas longtemps, ma volonté va bientot ceder et la sauvagerie reprendra ses droits, comme ce qu'il t'arrive en ce moment meme.
Il était étonament calme, peut etre parce qu'il vivait vraiment ses derniers instants de lucidité et qu'il souhaitait lui faire comprendre aussi clairement et aussi aimablement que possible que cet acte tendre et doux allait virer au viol sous peut. Et le temps était vraiment de plus en plus proche pour que la nature reprenne ses droits. Il continua a profiter des mains qui étaient encore sienne pour caresser ce magnifique petit brin humain qui s'offrait a lui. Elle était maitraisse, mais pas pour longtemps, l'excitation qu'elle offrait a son amant était pire qu'une torture, elle le reveillait de sa létargie en une fraction de seconde
Dans un grognement montrant son retour sauvage, il empala violament le reste de sa verge dans le corps chaud de sa compagne avant de se retirer rapidement et de la contraidre a la levrette, elle n'aurait pas de choix maintenant, la poigne puissante de Marcus tenant son corps a quatre pattes, les jambes bien écarté. A sa merci, il la penetra sans la moindre douceur et commenca a prendre sa compagne sans la moindre douceur. Nao était maintenant un objet et non une femme, pourtant dans un effort surhumain, il réussi a garder sa forme, épargnant au vagin de sa compagne de passer du sexe banal d'un humain comme les autres au materieiel reproducteur du mâle alpha qui prenait en se moment le droit de cuissé sur sa meute.
Ses grognements étaient maintenant ceux du maitre, celui qui avait aquis le rang supreme, la domination totale et ne manquait pas de le faire rappeler a sa compagne qu'il mordit a l'épaule, pas au sang mais, avec une rage telle que cet avertissement persisterait sur la peau blanche et soyeuse de Nao pendant des semaines.