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Prélude / Re : Sheila la Rousse Incendiaire [Validémonisée]
« le: mardi 30 décembre 2014, 08:57:07 »
Bienvenue ^^
Sympa le vava, tu l'as choppé où ?
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Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: mardi 30 décembre 2014, 00:47:36 »J'ai trouvé le film bon, pour ma part. C'est un bon reboot, et autrement plus cohérent qu'Oméga.Difficile de faire pire qu'Omega tu me diras
00h47
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 29 décembre 2014, 23:10:44 »
J'ai seulement vu le trailer du film StS et le truc qui m'a fait tiquer c'est l'espèce de jarre fixée sur l'épaule de l'Armure du Verseau 
23h10
23h10
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Ville-Etat de Nexus / Re : Dungeon Crawl [PV Solara Blake]
« le: lundi 29 décembre 2014, 23:08:09 »Bon… qu'est-ce qu'on attends ? Que nous voulez-vous ?
La voix la fit se retourner et Zenobia vit devant elle une ravissante jeune femme à la chevelure flamboyante et au corps fin et musclé. Manifestement, elle aussi avait été contactée par le mystérieux commanditaire ; elle se demanda si d'autres répondraient à l'appel mais l'homme encapuchonné, après que la nouvelle venue s'assit, prit la parole :
- Bien, je vois que mon messager a bien fait son travail !... Si j'ai fait appel à vous c'est que j'ai besoin de deux personnes expérimentées pour aller me chercher une vieille relique se trouvant dans des ruines situées à quelques jours de marche de Nexus.
Une servante apporta une cruche de vin et trois gobelets, les remplit et se retira.
- Ces ruines, reprit-il, sont celles d'une ancien château qui appartenait au Comte Ignacio della Rovere qui, selon certaines rumeurs était versé dans la sorcellerie. De sa demeure, il ne subsiste que quelques murs mais c'est surtout le complexe souterrain qui m'intéresse : un réseau de galeries et de grottes aménagé pour ses travaux et qui sert également de tombeau pour les membres de sa famille. L'objet qui m'intéresse est une orbe de cristal noir...
Il fit une pause en buvant une gorgée de vin.
- Retrouvez cet objet et ramenez le moi ! Vous serez récompensées de 8 000 pièces d'or chacune et en outre vous pourrez garder tout le butin que vous dénicherez dans les ruines. Alors qu'en dites-vous ?
Zenobia jeta un regard en coin à sa voisine. Elle avait ressenti une sensation étrange quand elle s'était approchée de l'Elfe et cette dernière avait tout de suite compris qu'elle était dotée d'un sexe masculin ! Crénom, qu'est ce qu'elle pouvait en croiser ces derniers temps des filles membrées comme des hommes ?!...
Elle reporta son attention sur leur commanditaire :
- Pour une somme pareille, je serai prête à aller dans les Abysses pour tâter les couilles des Princes-Démons ! J'accepte !
Elle se tourna vers sa voisine, attendant sa réponse.
La voix la fit se retourner et Zenobia vit devant elle une ravissante jeune femme à la chevelure flamboyante et au corps fin et musclé. Manifestement, elle aussi avait été contactée par le mystérieux commanditaire ; elle se demanda si d'autres répondraient à l'appel mais l'homme encapuchonné, après que la nouvelle venue s'assit, prit la parole :
- Bien, je vois que mon messager a bien fait son travail !... Si j'ai fait appel à vous c'est que j'ai besoin de deux personnes expérimentées pour aller me chercher une vieille relique se trouvant dans des ruines situées à quelques jours de marche de Nexus.
Une servante apporta une cruche de vin et trois gobelets, les remplit et se retira.
- Ces ruines, reprit-il, sont celles d'une ancien château qui appartenait au Comte Ignacio della Rovere qui, selon certaines rumeurs était versé dans la sorcellerie. De sa demeure, il ne subsiste que quelques murs mais c'est surtout le complexe souterrain qui m'intéresse : un réseau de galeries et de grottes aménagé pour ses travaux et qui sert également de tombeau pour les membres de sa famille. L'objet qui m'intéresse est une orbe de cristal noir...
Il fit une pause en buvant une gorgée de vin.
- Retrouvez cet objet et ramenez le moi ! Vous serez récompensées de 8 000 pièces d'or chacune et en outre vous pourrez garder tout le butin que vous dénicherez dans les ruines. Alors qu'en dites-vous ?
Zenobia jeta un regard en coin à sa voisine. Elle avait ressenti une sensation étrange quand elle s'était approchée de l'Elfe et cette dernière avait tout de suite compris qu'elle était dotée d'un sexe masculin ! Crénom, qu'est ce qu'elle pouvait en croiser ces derniers temps des filles membrées comme des hommes ?!...
Elle reporta son attention sur leur commanditaire :
- Pour une somme pareille, je serai prête à aller dans les Abysses pour tâter les couilles des Princes-Démons ! J'accepte !
Elle se tourna vers sa voisine, attendant sa réponse.
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Prélude / Re : Al Saif, la vengeance des dieux [Valilouvée]
« le: lundi 29 décembre 2014, 08:16:44 »
Bienvenue ^^
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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: jeudi 20 novembre 2014, 19:22:22 »
Le Surfer d'Argent
Une personne célèbre et encore de ce monde que vous trouvez complètement zinzin ?
Une personne célèbre et encore de ce monde que vous trouvez complètement zinzin ?
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Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: jeudi 20 novembre 2014, 07:47:01 »
Takeshi's Challenge.
Le film le plus "pété" que vous ayez vu ?
Le film le plus "pété" que vous ayez vu ?
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Blabla / Re : Les personnages fictifs avec qui vous aimeriez RP
« le: jeudi 20 novembre 2014, 07:45:46 »
Balalaïka de Black Lagoon
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Prélude / Re : Améthyste, Erotiste et Prostituée Sacrée
« le: dimanche 16 novembre 2014, 23:45:10 »
Bienvenue ^^
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Ville-Etat de Nexus / Dungeon Crawl [PV Solara Blake]
« le: mardi 28 octobre 2014, 20:04:48 »Zenobia arriva enfin devant "Le Rat d’Égout Lubrique".
Eh ben, c'est pas spécialement engageant... fit-elle, les mains sur les hanches. Vu le nom, l'emplacement de la taverne (il se trouvait au fond d'une ruelle mal famée d'un quartier louche de Nexus), il y avait fort à parier qu'elle se trouvait devant un établissement de catégorie 2.
Car apprenez que dans tout l'univers il n'existe que trois catégories d'auberges, classées selon la clientèle qui les fréquente et les services qui y sont fournis.
- L'auberge de catégorie 1 est un lieu de passage essentiellement utilisé par des marchands de petite et moyenne extraction. La nourriture y est passable, voire bonne, les lits infestés de punaises et d'autres clients arrivés avant vous, les prix y sont raisonnables. La seule distraction proposée par ce genre d'établissement est la fille de l'aubergiste, invariablement gironde et peu farouche. Le tenancier est quant à lui, en toutes circonstances et quel que soit son sexe, un individu gras, rougeaud, souvent moustachu, qui passe la quasi-totalité de ses journées à essuyer le même verre avec le même torchon, activité incommensurablement ennuyeuse qui explique qu'il ne se fasse jamais prier pour discuter avec le voyageur.
- L'auberge de catégorie 2, aussi appelée " bouge " ou " repaire ", se reconnaît à sa localisation - toujours perdue dans le quartier le plus glauque de la ville, au fin fond d'une ruelle sombrissime, comme si le patron souhaitait avoir le moins possible de clients - et à son nom. L'aubergiste est presque toujours de sexe masculin, célibataire, borgne et d'une carrure impressionnante. La clientèle se divise en trois catégories, qui sont les repris de justice, les futurs repris de justice et les évadés. Des distractions variées sont proposées, telles que se battre, regarder les étrangers d'un oeil torve, se bastonner, fomenter des mauvais coups dans l'arrière boutique, s'affronter en duels qui dégénèrent, échanger à mi-voix des propos sibyllins, chercher ses dents sous les table. L'hygiène n'étant pas excellente, on peut facilement y attraper des maladies telles que le poignard dans le dos. Le vocabulaire scatologique ne manque pas de mots permettant de décrire assez justement la qualité des mets et boissons servis dans ces établissements.
- L'auberge de catégorie 3 se distingue par le fait qu'elle fournit, outre le gîte et le couvert, des prestations annexes. Les plaisirs du palais n'étant pas forcément la préoccupation première des clients, on constate que la qualité de la cuisine n'est que rarement en rapport avec les impressionnants tarifs pratiqués. Les prestations annexes consistent en musique plus ou moins fine, consommation de substances plus ou moins légales et surtout ces endroits fournissent à leurs clients une (ou plusieurs) agréable compagnie(s) ainsi que diverses commodités et accessoires. Dans le prix des services en question est toujours comprise une obole à l'association de secours charitable aux orphelins de la milice locale.
Pas de doute, c'était bel et bien là que le mystérieux commanditaire lui avait donné rendez-vous. D'après le message qu'elle avait reçu - un gamin lui avait tendu un parchemin alors qu'elle se promenait dans les rues de Nexus - la personne désirait l'embaucher pour une mission. Restait à savoir laquelle.
Avec un haussement d'épaules, elle entra dans l'établissement. Il était conforme à l'idée qu'elle s'en était faite : une salle basse, sombre et enfumée, une odeur mal définie qui était un mélange de sueur, d'urine, de bière, de vomi, de tabac et de sang, des regards torves et lubriques qui s'étaient tournés vers elle lorsqu'elle fit son apparition ; pour éviter les pinçages de fesses, et c'était ce qui pouvait lui arriver de "mieux", et autres joyeusetés du même acabit, elle posa ses mains sur ses armes, une épée et une dague, et lança à la ronde un regard qui semblait dire "le premier qui me touche est un homme mort !".
Puis elle traversa la salle, direction la cheminée, où, dans la plus pure tradition de l'heroic-fantasy, son commanditaire l'attendait. Ce dernier portait une longue robe à capuche. Classique...
Eh ben, c'est pas spécialement engageant... fit-elle, les mains sur les hanches. Vu le nom, l'emplacement de la taverne (il se trouvait au fond d'une ruelle mal famée d'un quartier louche de Nexus), il y avait fort à parier qu'elle se trouvait devant un établissement de catégorie 2.
Car apprenez que dans tout l'univers il n'existe que trois catégories d'auberges, classées selon la clientèle qui les fréquente et les services qui y sont fournis.
- L'auberge de catégorie 1 est un lieu de passage essentiellement utilisé par des marchands de petite et moyenne extraction. La nourriture y est passable, voire bonne, les lits infestés de punaises et d'autres clients arrivés avant vous, les prix y sont raisonnables. La seule distraction proposée par ce genre d'établissement est la fille de l'aubergiste, invariablement gironde et peu farouche. Le tenancier est quant à lui, en toutes circonstances et quel que soit son sexe, un individu gras, rougeaud, souvent moustachu, qui passe la quasi-totalité de ses journées à essuyer le même verre avec le même torchon, activité incommensurablement ennuyeuse qui explique qu'il ne se fasse jamais prier pour discuter avec le voyageur.
- L'auberge de catégorie 2, aussi appelée " bouge " ou " repaire ", se reconnaît à sa localisation - toujours perdue dans le quartier le plus glauque de la ville, au fin fond d'une ruelle sombrissime, comme si le patron souhaitait avoir le moins possible de clients - et à son nom. L'aubergiste est presque toujours de sexe masculin, célibataire, borgne et d'une carrure impressionnante. La clientèle se divise en trois catégories, qui sont les repris de justice, les futurs repris de justice et les évadés. Des distractions variées sont proposées, telles que se battre, regarder les étrangers d'un oeil torve, se bastonner, fomenter des mauvais coups dans l'arrière boutique, s'affronter en duels qui dégénèrent, échanger à mi-voix des propos sibyllins, chercher ses dents sous les table. L'hygiène n'étant pas excellente, on peut facilement y attraper des maladies telles que le poignard dans le dos. Le vocabulaire scatologique ne manque pas de mots permettant de décrire assez justement la qualité des mets et boissons servis dans ces établissements.
- L'auberge de catégorie 3 se distingue par le fait qu'elle fournit, outre le gîte et le couvert, des prestations annexes. Les plaisirs du palais n'étant pas forcément la préoccupation première des clients, on constate que la qualité de la cuisine n'est que rarement en rapport avec les impressionnants tarifs pratiqués. Les prestations annexes consistent en musique plus ou moins fine, consommation de substances plus ou moins légales et surtout ces endroits fournissent à leurs clients une (ou plusieurs) agréable compagnie(s) ainsi que diverses commodités et accessoires. Dans le prix des services en question est toujours comprise une obole à l'association de secours charitable aux orphelins de la milice locale.
Pas de doute, c'était bel et bien là que le mystérieux commanditaire lui avait donné rendez-vous. D'après le message qu'elle avait reçu - un gamin lui avait tendu un parchemin alors qu'elle se promenait dans les rues de Nexus - la personne désirait l'embaucher pour une mission. Restait à savoir laquelle.
Avec un haussement d'épaules, elle entra dans l'établissement. Il était conforme à l'idée qu'elle s'en était faite : une salle basse, sombre et enfumée, une odeur mal définie qui était un mélange de sueur, d'urine, de bière, de vomi, de tabac et de sang, des regards torves et lubriques qui s'étaient tournés vers elle lorsqu'elle fit son apparition ; pour éviter les pinçages de fesses, et c'était ce qui pouvait lui arriver de "mieux", et autres joyeusetés du même acabit, elle posa ses mains sur ses armes, une épée et une dague, et lança à la ronde un regard qui semblait dire "le premier qui me touche est un homme mort !".
Puis elle traversa la salle, direction la cheminée, où, dans la plus pure tradition de l'heroic-fantasy, son commanditaire l'attendait. Ce dernier portait une longue robe à capuche. Classique...
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Prélude / Re : Solara, la guerrière indomptable [Valimutée]
« le: mardi 21 octobre 2014, 19:03:31 »
Une guerrière avec qui il ne me déplairait pas d'explorer un donjon (par exemple)
Bienvenue ^^
Bienvenue ^^
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Ville-Etat de Nexus / i
« le: jeudi 14 août 2014, 20:50:06 »
C'était divin. Sentir le membre durci d'un mâle en train de lui ramoner le fondement était une des choses qu'elle appréciait le plus dans l'existence, avec découvrir un nouvel objet magique, parcourir un donjon empli de merveilles, d'horreurs et de mystères, chasser, tourner en ridicule les Gobelins et les Orques, écouter de la bonne musique et coiffer des poneys. Patrick prenait son pied avec elle, pilonnant l'Elfe avec un plaisir et une ardeur non dissimulés et cette dernière exprimait sa jouissance en poussant des petits cris rauques. L'air autour d'eux devenait de plus en plus chaud et les deux amants étaient en nage.
Une main fébrile s'empara d'un de ses seins tandis qu'une langue gourmande léchait son épaule. Elle sentait le torse du jeune magicien contre son dos ; tous deux étaient ruisselants de sueur et la douce lumière de la chambre donnait à leur peau un doux éclat, celle de Zenobia brillant comme le bronze tandis que celle de Patrick prenait des reflets ivoirins.
Un coup de rein plus puissant que les autres et elle sentit le sperme de son amant se déverser en elle ; contrairement à Patrick qui poussa un hurlement muet, son plaisir à elle explosa en un long grondement rauque pareil à celui d'un félin.
Patrick n'en avait pas fini avec elle : après avoir retiré son phallus de son derrière, il la coucha sur le dos et introduisit son membre toujours raide (le sort du jeune homme était rudement efficace !) dans son intimité ; ils s'embrassèrent et l'Elfe se serra fort contre lui, agrippant ses larges épaules tout en lui titillant l'oreille avec sa langue.
Un nouveau corps à corps sauvage commençait, ponctué par les grincements du lit.
Errtu entendit l'incantation : elle provenait du Plan Matériel, avait traversé l'Astral pour atteindre enfin cette région éloignée des Abysses. Il sourit : celui ou celle qui avait lancé la formule magique n'appelait pas un Démon en particulier mais n'importe quel habitant de ce Plan, part conséquent il devait se dépêcher car un de ses semblables pouvait répondre à l'appel et pénétrer dans l'autre dimension.
Ne voulant nullement rater une telle occasion, il étendit ses larges ailes et se dirigea à toute vitesse vers le point de chute du sort.
Il était temps : un Démon Mineur, un Dretch (une sous-merde des Abysses quoi... pour Errtu tout Démon de rang inférieur au sien ne valait pas un pet de lapin, hormis, peut être, certaines Succubes) s'apprêtait à franchir le "seuil" qui se présentait sous la forme d'un puits scintillant.
D'une seule main il souleva le Dretch par la peau du cou et l'envoya valser dans les airs derrière son épaule. Puis il plongea dans la fosse lumineuse.
En un éclair il se retrouva au centre d'un cercle gravé de runes destinées à empêcher quiconque d'en sortir, en l'occurrence lui. Devant lui se dressait un freluquet vêtu d'une robe (étoilée) et d'un chapeau pointu (étoilé) ; Errtu ne comprendrait jamais cette manie qu'avaient les Magiciens de mettre sur le dos des robes ridicules. A croire qu'ils devaient faire entre eux, de temps à autre, un concours pour savoir qui aurait l'air le plus bête...
Le crétin, le premier instant de surprise passé, se mit à sautiller de joie : il avait convoqué un puissant Seigneur des Abysses !
- Je t'ordonne de m'obéir Démon !
Errtu ne le regarda même pas, scrutant le cercle de claustration magique. A un moment donné un rictus carnassier dévoila des dents pointues et acérées : un cercle de ce genre ne pouvait pas être presque parfait ; ou bien il était efficace ou bien il était inopérant.
Le Balor franchit sans effort la dérisoire protection, matérialisa sa longue épée flamboyante et découpa en deux, dans le sens de la longueur, le magicien...
Une main fébrile s'empara d'un de ses seins tandis qu'une langue gourmande léchait son épaule. Elle sentait le torse du jeune magicien contre son dos ; tous deux étaient ruisselants de sueur et la douce lumière de la chambre donnait à leur peau un doux éclat, celle de Zenobia brillant comme le bronze tandis que celle de Patrick prenait des reflets ivoirins.
Un coup de rein plus puissant que les autres et elle sentit le sperme de son amant se déverser en elle ; contrairement à Patrick qui poussa un hurlement muet, son plaisir à elle explosa en un long grondement rauque pareil à celui d'un félin.
Patrick n'en avait pas fini avec elle : après avoir retiré son phallus de son derrière, il la coucha sur le dos et introduisit son membre toujours raide (le sort du jeune homme était rudement efficace !) dans son intimité ; ils s'embrassèrent et l'Elfe se serra fort contre lui, agrippant ses larges épaules tout en lui titillant l'oreille avec sa langue.
Un nouveau corps à corps sauvage commençait, ponctué par les grincements du lit.
oOo
Errtu entendit l'incantation : elle provenait du Plan Matériel, avait traversé l'Astral pour atteindre enfin cette région éloignée des Abysses. Il sourit : celui ou celle qui avait lancé la formule magique n'appelait pas un Démon en particulier mais n'importe quel habitant de ce Plan, part conséquent il devait se dépêcher car un de ses semblables pouvait répondre à l'appel et pénétrer dans l'autre dimension.
Ne voulant nullement rater une telle occasion, il étendit ses larges ailes et se dirigea à toute vitesse vers le point de chute du sort.
Il était temps : un Démon Mineur, un Dretch (une sous-merde des Abysses quoi... pour Errtu tout Démon de rang inférieur au sien ne valait pas un pet de lapin, hormis, peut être, certaines Succubes) s'apprêtait à franchir le "seuil" qui se présentait sous la forme d'un puits scintillant.
D'une seule main il souleva le Dretch par la peau du cou et l'envoya valser dans les airs derrière son épaule. Puis il plongea dans la fosse lumineuse.
En un éclair il se retrouva au centre d'un cercle gravé de runes destinées à empêcher quiconque d'en sortir, en l'occurrence lui. Devant lui se dressait un freluquet vêtu d'une robe (étoilée) et d'un chapeau pointu (étoilé) ; Errtu ne comprendrait jamais cette manie qu'avaient les Magiciens de mettre sur le dos des robes ridicules. A croire qu'ils devaient faire entre eux, de temps à autre, un concours pour savoir qui aurait l'air le plus bête...
Le crétin, le premier instant de surprise passé, se mit à sautiller de joie : il avait convoqué un puissant Seigneur des Abysses !
- Je t'ordonne de m'obéir Démon !
Errtu ne le regarda même pas, scrutant le cercle de claustration magique. A un moment donné un rictus carnassier dévoila des dents pointues et acérées : un cercle de ce genre ne pouvait pas être presque parfait ; ou bien il était efficace ou bien il était inopérant.
Le Balor franchit sans effort la dérisoire protection, matérialisa sa longue épée flamboyante et découpa en deux, dans le sens de la longueur, le magicien...
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Le coin du chalant / Re : Erotic-Fantasy
« le: samedi 12 avril 2014, 10:24:42 »
T'as trop lu Le Hobbit toi ^^
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Le coin du chalant / Re : Erotic-Fantasy
« le: samedi 12 avril 2014, 09:54:58 »
Ca me va. Mais pourquoi on pourrait pas se fritter un Dragon ?!