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Messages - Marie_DLV

Pages: [1] 2 3
1
Zone Sous-Marine / Est-ce tomber de Charybde en Scylla (PV Lyli)
« le: dimanche 15 juillet 2018, 00:24:37 »
Je descends à une vitesse que je n'aurais pas imaginée. Mes joues gonflées et mes lèvres serrées ne tiendront pas longtemps ! Je peux avoir emprisonné tout l'air possible, je n'ai plus que quelques secondes avant de mourir. Au moins aurai-je débarrassé la terre de quelques ordures, même si j'étais loin d'avoir achevé ma mission. Je vais mourir comme une moins que rien. Nul ne s'inquiétera de ma disparition. Un plongeur retrouvera mon squelette dans des décennies. Et alors ?

L'engourdissement commence à me gagner, mon cerveau ne doit plus être alimenté comme il faut. Mes bras sont parcourus de frissons, ma vue se brouille. Vite, que ça finisse ! Je craque, mes poumons ne sont plus alimentés, mes lèvres jointes vont crier grâce. Mon esprit délire. Je vois une sirène nager. Non ! Ce doit être la mort qui vient à ma rencontre.

Dans un dernier sursaut, affaiblie, je me débats pour la repousser, mais c'est comme si elle fond sur moi, déterminée. Une sirène de mort, ce sera la dernière image, mes poumons capitulent, mes lèvres s'ouvrent.
Je ne comprends pas ce qui m'arrive, un doigt sous le menton, des lèvres qui se collent aux miennes, comme un dernier sursaut où je tousse en avalant de l'air de l'air non vicié. La sirène de la mort me roule un patin avant de me faire vraiment crever. Même elle, elle est vicelarde, elle en profite !
Mais je n'ai pas le choix, je me raccroche à l'air qu'elle me délivre, même si c'est pour mourir ensuite. Quelques secondes de gagnées, quelques minutes même, je m'abreuve, je 'enivre, je stocke, je revis avant de mourir.

« C'est ton jours de chance, mon trésor... »
Je dois être folle, la descente en apnée a dû vriller mon cerveau. La mort, une sirène, une voix, c'est du délire. La mort qui me pelote, qui passe ses mains sur mon corps, c'est plus que du délire. Pour jauger la marchandise ? Enfer ou Paradis ? Je ne le saurai jamais, car la sirène de la mort m'emporte avec elle. Je repense à tous ceux qui parlaient de NDE ; aucun d'entre eux n'avait évoqué ceci.

Mais mon oxygène faiblit, le répit n'aura été que de courte durée, le temps d'embrasser à pleine bouche une sirène qui m'entraîne vers le fond, dans des cavités sombres.

Et soudain, de l'air, ma tête hors de l'eau là-dedans. Je tousse, m'étrangle, racle ma gorge, respire tout l'air que je peux. Ma gorge me brûle, mes yeux me piquent, les cordes me serrent, le poids de fer pèse. Mais je suis en vie, du moins je le pense.

Je regarde autour de moi. Elle est toujours là, de sa douce voix
« Voila, tout va bien se passer maintenant... calme toi, et raconte moi ce qui s'est passé mon petit trésor... »
Je dois délirer comme jamais. Elle a posé ma tête contre... contre ses seins ! Je sens une poitrine, une vraie poitrine de vraie femme. Et une main, une vraie main, qui se promène dans mes cheveux. Je suis folle ! L'autre là-haut, ou en bas je ne sais plus, voulait me faire violer par ses sbires; il change d'avis, et je me retrouve en bas, ou en haut peut-être, tripotée par je ne sais qui ni quoi.
 
« Mais vous êtes qui ? Je suis où ? »
Je ne sais même pas à qui je parle, mais, si j'ai encore un minimum de lucidité, je dois comprendre. En un temps que je ne peux définir, j'ai été balancée d'un bateau avec six lascars et leur chef, pour me retrouver dans les bras d'une sirène qui n'existe pas.
Rêve ou cauchemar, je n'en sais rien, mais je dois me réveiller ! Parce que, raconter ça à une inconnue déguisée en sirène, dans une grotte sous-marine, attachée à sa merci, ça fait un peu beaucoup, même si je semble encore vivante.

Elle ne répond pas, me regardant de son sourire béat, alors que les question affluent.
"Mais je suis morte ou vivante? Et pourquoi vous avez fait ça?"

Elle me regarde, son regard est d'une profondeur inouïe. Elle est belle, mais bon!
"Et puis détachez-moi! Je ne suis pas un jouet que vous avez récupéré, mais un femme."

Et elle? Ces yeux, ce visage, cette silhouette. Oh, le manque d'oxygène a grillé mon cerveau.

2
Zone Sous-Marine / Est-ce tomber de Charybde en Scylla? (PV Lyli)
« le: vendredi 13 juillet 2018, 23:26:43 »
Putain, j'ai mal au crâne ! J'ouvre les yeux, doucement, tant la lumière me semble forte. Ça bouge, ça tangue, j'ouvre un œil, puis l'autre. Je suis au milieu de la mer, sur une espèce de hors-bord.
Horreur ! Une deux jusqu'à six sales gueules me regardent. J'essaie de bouger, mais je suis entravée ; d'un coup d'oeil, je vois un truc qui ressemble à un shibari, bras liés ensemble dans le dos, reliés aux cordes qui relient mes cuisses entre elles, tout cela remontant en boucle en passant entre mes seins, pour venir se relier aux épaules.

Il n'y a qu'un seul taré pour faire ça !
« Tiens, la belle au bois dormant se réveille pour son prince ».
Arnaud Dantin, sa voix de crécelle, aucun doute ! Son père faisait partie des salauds qui m'ont violée, et je lui ai réglé son compte. Mais son con de fils s'était juré de le venger ! Il a voulu s'attaquer à moi, mal lui en a pris ; je l'ai toutefois laissé vivant, mais émasculé. Je lui ai laissé le bénéfice du doute, hélas il n'a pas crevé.
« Qu'est-ce que tu fous là, enculé ? »
Il ricane toujours, de ce mauvais rire qu'il avait, la fois où il pensait me tenir.
« Celui avec qui tu as bu un verre hier était un de mes indics, et il n'a eu qu'à droguer ton verre. C'est simple, non ? »

Conne, que je suis conne ! Comment ai-je pu me laisser berner comme une débutante ? J'ai mi des années et des kilomètres entre moi et ce maudit passé, et je me fais piéger parce qu'un mec trafique mon verre.
« Et tu es content de toi ? Tant de fric pour me retrouver, ils sont peu performants tes mecs ».
Je fanfaronne, mais je suis quand même mal barrée.
« Performants ? Tu vas t'en rendre compte, mes six amis ici présents ont obtenu mon autorisation pour te rappeler l'heureuse période où tu n'étais qu'un trou à bites ».
L'horreur ! Tout me remonte d'un coup, et je hurle :
« Non ! Pas ça ! »
C'est sorti malgré moi, comme un aveu de faiblesse. Mais sans impressionner le dit Arnaud.
« Pourtant, tu avais l'air d'aimer ça. Mon père m'a même raconté que, quand il t'a enculée, ça rentrait tout seul, tellement il y en avait qui t'étaient déjà passés dessus. »
Je sais qu'il prend son pied à raconter ça, même s'il n'a pas participé.

Je tremble, mais je ne me démonte pas.
« Ah, il a eu le temps de te raconter ça, avant de crever ? »
Je tape où ça fait mal, au point où j'en suis.
« Tais-toi salope! Dis-moi où tu as enterré son corps, sinon c'est direct au fond de l'océan, avec ce joli lest de ferraille. »
Au moins, je sais ce qu'il veut, et ce qui me réserve. Mais je  n'ai aucune illusion ; s'il le sait, il me jette. Et, s'il ne le sait pas, je sais déjà qu'il me fera violer encore et encore par les six sales gueules qui me regardent avec des yeux exorbités.
Il faut dire que, même saucissonnée, ma belle robe demeure élégante, et encore ne savent-ils pas les jolis dessous que j'avais mis avant de me faire avoir comme une débutante.

Je vais provoquer Arnaud, avec la vérité même, pour voir si ça me donne une chance.
« Ah ah ah, mon pauvre Arnaud, te rappelles-tu les sangliers que ton père élevait pour la chasse ? Eh bien, ce jour là, ils ont eu un extra, et ils ont apprécié la dépouille de ton père ».
Je le vois devenir livide, j'ai tapé juste, et sans mentir.
« Ferme ta gueule ! »
Il perd ses nerfs, c'est bon signe.
« Et, comme je suppose que tu les as mangés, après les avoir tués à la chasse avec ta bande d'ivrognes, peut-être même que tu as, d'une certaine manière, mangé un morceau de ton père ? »
J'ai touché juste, je le sais, je n'ai jamais vu autant de haine que dans ses yeux, à ce moment-là.
« Jetez-la à l'eau !»
J'ai peut-être évité le viol par ses sbires, mais, en moins de temps qu'il ne m'en faut pour comprendre, les six gaillards me soulèvent comme un fétu, et je fais un vol plané direct dans l'eau, avec cette saloperie de lest de ferraille, qui, aussitôt, m'entraîne vers le bas, après avoir touché sèchement la surface de l'eau.

Je prends juste la force et le temps que je peux, pour gonfler mon torse et stocker le maximum d'air dans mes poumons, mais le lest entraîne déjà mes pieds sous l'eau, et le reste de mon corps suit.

3
Prélude / Re : Soumise, mais il faut me mériter !
« le: dimanche 08 juillet 2018, 07:24:53 »
Bienvenue à toi.

Quelle très belle fiche, très séduisante, très délicieuse, très troublante, très irrésistible.

4
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 06 juillet 2018, 06:42:10 »
Etre closed comme une huitre, c'est fuir le plaisir.

5
Archives / Kama sutra
« le: vendredi 06 juillet 2018, 00:29:59 »
Je met +1 à Leona parce que, sur son message juste avant, je viens de découvrir ce petit bout de tissu blanc, au milieu de tout ce noir.

Ca ravive l'équilibre des couleurs.

6
Centre-ville de Seikusu / Entre richesse et pauvreté - [PV]
« le: jeudi 05 juillet 2018, 23:47:28 »
Hum, je suis très fière de mon idée. Une belle préparation, un bain juste tiède, ces sels que j'aime, et je m'occuperai même d'elle si elle veut. Puis une tenue sexy pour la soirée ; quitte à m'offrir un cadeau, autant qu'il soit à mon goût. Seule inconnue pour le moment, je ne sais pas si je l'emmènerai jusque dans ce joli donjon que j'ai fait aménager dans le sous-sol. Vu la paysanne que c'est, voilà bien un truc qui pourrait l'effrayer !

Je suis d'humeur toute guillerette, lorsque je pousse la porte donnant sur le vestibule, mais le sourire ne dure pas. Cette souillon a été incapable de m'obéir, et elle me sourit en faisant des compliments sur mon canapé. Mais je m'en fous de ce canapé vieillot, de ses goûts en matière de meubles.
« J'avais dit nue, entièrement nue, pas qu'une partie, pas pour faire des galipettes sur ce canapé ! ».

Je claque le talon sèchement à terre : « Quand j'invite quelqu'un chez moi, j'attends un minimum de respect, pas du grand n'importe quoi, et encore moins de la désobéissance ! ». J'ai envie de la gifler, mais mon regard s'arrête sur ses cuisses nues. Bon, j'oublie sa culotte vraiment moche, mais ses jambes, quel élancement, quelle finesse, un peu trop blanches, un peu trop maigres, mais si belles malgré tout.

J'essaie de reprendre mon calme. « Moi, c'est Marie. Et toi ? ». Mais, pas tout à fait calmée, je saisis son poignet et, tenant toujours dans l'autre main les habits préparés, je la fais se lever sans douceur, et l'entraîne de force vers la chambre d'amis sur la gauche.
Ce n'est qu'une fois à l'intérieur de la pièce, que je lâche son poignet. « Je t'ai apporté un peignoir. Tu peux le passer, et aller te rafraîchir ; la salle de bain est juste au fond de cette chambre ». J'essaie de poser un peu ma voix ; si je ne me contrôle pas, elle se retrouvera illico poignets attachés, avec une bonne correction sur ses fesses. « Je t'ai aussi apporté une tenue plus légère, pour après le bain. Tu me rejoindras à la cuisine, j'y prépare de quoi te restaurer ». J'espère qu'elle a compris, cette fois. Je lui adresse un dernier regard en sortant : « Mon Dieu, il te faudrait bien quelques kilos de plus ».
Et je claque la porte sèchement, le martèlement de mes talons ne lui laissant aucun doute sur mon éloignement.

7
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: jeudi 05 juillet 2018, 07:45:39 »
Etre open, c'est s'éclater même en dehors des cinq à sept.

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Entre richesse et pauvreté - [PV]
« le: jeudi 05 juillet 2018, 07:38:56 »
Je déteste les souillons, c'est d'une vulgarité indécente ! Pour moi, une femme est élégante, même avec une simple culotte fendue sur sa chatte ruisselante, alors qu'elle est vulgaire dans une de ces robes sacs sans forme ni élégance. Et là, il faut admettre que celle-ci va loin, côté vulgarité. Mais bon, pour ce que je veux en faire, un bon bain, quelques fragrances, une robe à sa taille que je trouverai bien, et hop, ça me suffira pour la journée, peut-être la nuit si je n'ai pas fini de jouer. Et, si je la jette dehors ensuite, elle gardera même la robe pour masquer les zébrures sur sa peau, celles que je ne pourrai plus faire à Mishiko.

« "Je... Pourquoi moi ? On ne se connait pas ? Vous ne pouvez pas m'inviter comme ça chez vous ? ». Ca, par contre, ce n'était pas prévu ! Comment une telle souillon peut refuser une main tendue ? Je maintiens la pression de ma main sur son poignet, elle a la peau toute douce pour quelqu'un qui ne prend pas soin de soi. Hum, une peau si douce, c'en est d'autant plus excitant à marquer.

« Allez ! Je n'aime pas me donner en spectacle. Suis-moi ! ». J'insiste, je n'aime pas, ou plutôt je n'aime plus qu'on me résiste, ou, à la limite, quand celle qui est attachée devant moi et m'offre son cul tentateur, se débat pour essayer d'éviter le gros gode ceinture qui va la distendre.

Mais, soudain, « Je vais vous suivre si cela peut vous faire plaisir... ». Je ne sais pas si elle a vu la Vierge Marie ou un suppôt de Satan, mais le changement d'attitude est radical. « Mon plaisir oui, mais le tien aussi », lui réponds-je du tac au tac. Elle comprendra assez vite ce que ça veut dire.
Télécommande, ouverture du portillon, fermeture, ma proie est dans ma tanière. Elle se laisse même mener très docilement vers son supplice. J'adore cette petite main menue, comme cette confiance qu'elle me témoigne, sans même savoir ni où je la mène, ni pourquoi je l'y mène. Belle insouciance que j'adore, la suite n'en sera que plus délicieuse.

Je l'entraîne sur les marches, le vestibule nous accueille avec sa luminosité que j'adore, comme une cathédrale de verre, juste meublée d'un canapé et d'une table basse. Il garde mes secrets, et j'adore y exposer le corps nu d'une soumise pour darder de mille lueurs solaires mes marques sur son corps. Hum, claquer d'un coup sec la cravache, juste là où se pose la lumière de l'astre solaire, comme une indication, est la marque d'une déesse. « Mets-toi nue, je vais chercher ce qu'il faut ! », l'ordre est sec et je tourne les talons, sans me soucier de sa réaction. Et, poussant la porte sur le petit côté, j'ajoute « Puis direction la salle de bains ! », martelant d'un dernier coup de talon bien sonore l'obligation d'exécuter mes ordres.

Je disparais, la laissant à la bonne exécution de mes ordres. Mon dressing ! Je sais ce que je veux pour elle, juste un élégant peignoir blanc à liserés rouges pour l'instant. Rien d'ostentatoire au début, pour ne pas l'effrayer; j'ai quand même du mal à croire à ce côté Sainte Nitouche. Et, pour après le bain, je concocte juste un joli assortiment, pour mettre en valeur ce que je devine être un joli petit lot. Vu ce que j'ai entraperçu de sa poitrine, fièrement dressée sans le moindre soutien-gorge, c'est du beau, c'est du charnel.
Je me délecte à l'avance de la suite, en retournant vers le vestibule. Elle a intérêt à avoir ôté ses haillons, sinon je m'en charge ! Je dois garder cette fermeté, cette distance, cette quasi froideur, sinon c'est m'exposer, c'est mettre ma fragilité en avant, c'est lui montrer qu'il y a une faille. Mishiko l'avait découverte; je la voulais soumise à toutes mes perversions, mais son intelligence a eu raison de ma carapace, et, une nuit d'automne, je me suis retrouvée attachée, à subir ses assauts, et à en jouir comme la pire des salopes.
 
Alors, avec cette souillon, pas d'erreur!

9
Centre-ville de Seikusu / Entre richesse et pauvreté - [PV]
« le: mercredi 04 juillet 2018, 23:52:55 »
Cette salope de Mishiko, si je la revois, je la bute, mais après lui avoir fait endurer tout ce qui existe, l'avoir réduite à l'état de rien, qu'elle me supplie de l'achever. Jamais, je ne m'étais donné à une femme ainsi. Jamais, je n'avais été aussi amoureuse. Jamais, je ne me suis sentie autant trahie. Qu'elle me trompe avec ce vieux dragueur de Professeur Bathany, ça ne passe déjà pas. Mais qu'elle pique ma tenue en latex, et trois de mes cravaches, pour aller faire la pute chez ce vieux salaud, je ne le supporte pas. Pourquoi pas se faire sauter par lui dans mon propre lit, pendant qu'elle y est ? Peut-être qu'elle l'a déjà fait ? Il faudra que je désinfecte les lieux au cas où.

« Mishiko, je te tuerai, toi et toutes les bâtardes de ton genre ! ». La trahison, c'est vraiment ce que je déteste le plus. « Si je te chope, je te défonce le cul avec le plus gros gode de la création ! ». Les vengeances les plus monstrueuses occupent mon esprit, tandis que je marche dans les rues de Seikusu, essayant de me détendre, claquant des talons au sol pour évacuer ce trop-plein d'énergie. Il va falloir que je l'évacue vraiment, il faut que je trouve une donzelle qui va payer pour Mishiko, et tant pis si je m'attaque à une parfaite innocente !

J'ai failli craquer pour une bimbo rose fuschia, assise seule sur un banc, mais elle doit causer sur son smartphone, au lieu d'assumer tous les regards sur elle. Ç'aurait été mieux que rien, parce que, là, je rentre seule ; rien à me mettre sous la main, juste vont me revoir, ce soir, ces quelques contacts insipides d'un site à la noix. Et, quand ils s'endormiront d'avoir joui sous mes coups de fouet virtuels, je serai toujours aussi seule. « Mishiko, je te hais ! ».

« Tu m'énerves ! D'ailleurs, tout m'énerve ! ». Mais je marque un temps d'arrêt, tandis que je m'apprête à actionner la télécommande du portillon de ma villa. « C'est quoi ça, en face, cette souillon avec une robe d'un autre siècle, assise au pied du bâtiment de la Stump and Coklin Company ». Pas une de leurs employées, car elles sont toujours élégantes. Une pauvre, une SDF ? Ici, dans ce quartier ? A quoi payer la police montée, si c'est pour que ça squatte nos trottoirs ?

Et soudain, l'éclair de génie, l'illumination : voilà mon souffre-douleur du soir, celle qui va payer pour cette salope de Mishiko. Hum, je vais te la faire rôtir à grands coups de cravache, et te la faire distendre avec tous les toys possibles. C'est un cadeau tombé du ciel !

Je traverse, m'approche : « Mademoiselle, que faites-vous là ? ». Elle lève les yeux vers moi, elle a un regard si triste, elle semble si épuisée. On verra, dans quelque temps, comment elle sera, lorsque je me serai occupée d'elle ! « J'habite en face ; venez prendre un bain, sinon vous allez prendre froid. ». Et, sans lui laisser le temps de réfléchir, je la saisis de ma main gantée, la force à se relever, « Venez ! ».





10
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 04 juillet 2018, 21:33:34 »
quelle belle unvitation!

11
Prélude / Wenoy
« le: lundi 02 juillet 2018, 17:54:47 »
Hum, quelle belle fragilité.

12
Le coin du chalant / Une vie de vengeances
« le: lundi 02 juillet 2018, 11:38:13 »
Bonjour,

Les activités IRL m'avaient éloignée de vous; ce sont aussi elles qui me laissent revenir ici.
J'en suis heureuse, toujours vengeresse donc froide, toujours nymphomane donc chaude.

Toujours moi, en fait.

13
Centre-ville de Seikusu / Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)
« le: lundi 29 août 2016, 07:11:57 »
La première chose qui saisit Marie, en pénétrant dans la cabine est cette odeur étrange, faite de sueurs et de parfums des clientes précédentes, mais aussi étrangement de luxure, comme si cela avait un goût prédéfini. Pourtant, il est aisé de deviner que plus d'une femme a dit à son homme de venir la voir dans ses nouveaux dessous, et en a profité pour les inaugurer en se faisant baiser sur le champ.
Là, pas de danger, même si la donzelle lui attrape le poignet, avant de tirer le rideau, « Il y en a assez qui ont vu ses seins, pas la peine d'en rajouter ! », et la fait même placer dos au miroir. « Hum, c'est moi qui vais être son miroir ; elle est finalement sympa, cette petite ». Et ses seins ! Elle a déboutonné la veste, pans même écartés, sur ces globes trop parfaits. « Tout lui irait à cette petite ; je suis sûr que, même si je lui trouve un bustier, elle sera ultra sexy », songe Marie, ce qui est de nature à ne pas apaiser la moiteur irradiant son entrejambes.

Trop accaparée à ces douces pensées, Marie n'a pas vu l'attaque venir ! Pourtant, il est de ces gestes qui ne trompent pas. Mais, quand votre esprit incite à la prudence alors que votre corps ne demande qu'à franchir les limites, ça ne peut aller. Sans avoir pu esquisser le moindre geste de défense, elle se retrouve plaquée dos au miroir, comme écrasée par cette poitrine trop parfaite, la bouche violée, oui c'est ça violée, par une langue inquisitrice qui force ses lèvres tel un serpent ondulant avant de s'enrouler autour de sa propre langue, de l'emprisonner, tandis que seul un « Oumph! » de détresse, comme pour reprendre un peu d'air, brise le silence ambiant.

Marie est prise au piège ! Elle ne sait même pa pourquoi ses bras battent la chamade sans repousser l'agresseur, tandis qu'elle a l'impression que ses jambes flageolent et ne la portent même plus. Combien de temps dure l'intrusion ? Marie ne saurait le dire, mais pas assez sûrement, car l'autre se retire en lui murmurant un « Alors ça te plait ma chérie ? Je suis entrain de t'exprimer ma tendresse et mon plaisir sexuel avec toi, donc je t'en prie laisse-toi aller et donne-moi ton corps pendant la séance sans résistance... ».

Les derniers mots la brûlent aussitôt. La dernière à lui avoir dit cela est cette salope qui l'a sodomisée avec ce jouet monstrueux, celle-là même qui l'a invitée à se laisser faire pour ne pas souffrir davantage, oui celle-là qui a complètement déréglé sa sensualité, au point de la rendre bipolaire, la sage Marie peinant parfois à contenir les ardeurs de la nymphomane qui se cache en elle. Et il ne faut pas qu la donzelle se rende compte de ce changement qui prend possession du corps de Marie !

Hélas, le « Mais arrêtez, voyons ! », qui aurait dû sortir des lèvres de Marie, se transforme en « Oh, que faites-vous ? » bien moins claquant, d'autant que la donzelle s'attaque alors à son cou, dans une douceur qui contraste étrangement avec la provocation, et même la vulgarité d'ailleurs, dont elle a déjà fait preuve. Marie a presque murmuré ces mots, mais elle ne peut en dire plus car l'autre lui bloque aussitôt la bouche, faisant remonter en elle les mauvais souvenirs des vieux libidineux la forçant à sucer leurs trucs flasques. Et là encore, le geste est si précis qu'il semble naturel, comme si cette donzelle avait l'habitude d'ainsi agresser des femmes de bonne famille. Ses deux doigts miment ainsi à merveille un sexe bien dur auquel elle ferait une gorge profonde. Et cela affole encore plus Marie dont les bras, perdus dans leur battements désordonnés, ne cherchent même pas à repousser l'agresseur.

« Il ne faut pas qu'elle se rende compte ! », l'obsession de Marie ne tient qu'en ça. Mais sa faiblesse se voit, et l'autre ne peut donc l'ignorer, voire en profiter. D'ailleurs la nouvelle attaque est ciblée, plus violente encore, et Marie sent ses forces, ou plutôt sa volonté de réaction s'amoindrir. Elle voudrait crier au viol, mais cet ersatz de sexe qu'elle a envie de sucer -du moins virtuellement, car les hommes resteront ses ennemis- distend ses joues, sans oublier qu'il vaut mieux demeurer discret en ces lieux.

Et il y a plus urgent encore à faire ! La main de l'autre prend un chemin dangereux, et il faut la freiner avant qu'elle ne découvre certaines choses. Hélas, plaquée au miroir, les bras ne parvenant pas à des gestes de défense coordonnés, Marie sent cette main descendre le long de son dos, vers ces fesses ayant gardé le cuisant souvenir de tous ces sex toys qui inaugurèrent leur dépucelage, vers son sexe aussi qui n'est pas celui d'une petite bourgeoise bien sage loin s'en faut. Elle ne doit pas croiser le regard de la donzelle, sinon celle-ci va comprendre qu'elle est en train de partir !

« Non ! Pas là ! Pas ça ! Pas ici ! ».

C'est incongru, c'est farfelu, ça n'a aucun sens. D'ailleurs ç'aurait dû être hurlé comme un geste de défense, et ça a juste été murmuré comme une supplique. La main qui masse ses fesses est une arme redoutable. « Il faut que tu te ressaisisses ! ».

Alors, comme le dernier geste avant de capituler, Marie, dans un élan pas vraiment contrôlé, enserre de ses mains la taille de la donzelle, pour la faire reculer. Cette douce peau, sous la veste entrouverte, là au dessous de ces seins si parfaits. « Non, ne craque pas ! »

14
Centre-ville de Seikusu / Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)
« le: mardi 23 août 2016, 22:36:52 »
« Pétasse ! »

Marie le pense instantanément, lorsque la donzelle lui adresse un clin d'oeil, et se dirigeant avec un air provocateur vers la cabine d'essayage. C'est le seul mot qui lui vient à l'esprit, tant l'autre semble insouciante, jouant de sa silhouette, défiant de mille et une façons, d'un regard ou d'une démarche.

Elle se dandine, elle ondule du cul, en allant simplement essayer un soutien-gorge. Et ce pantalon sans style ne la met pas en valeur ! Une tenue plus sexy, et elle allume la planète entière. Mais, pour le moment, Marie est sous le charme, presque malgré elle. Aussi discrètement que possible, elle cherche pourtant à regarder par l'entrebâillement du rideau mal refermé. Négligence ou nouvelle provocation ?

Peu importe, car le spectacle est là. Quand la veste tombe, Marie peut enfin voir les seins de la donzelle, superbes, parfaits. Après l'asiatique qui les malaxait, voilà qu'elle les tripote à son tour. Exhibitionniste en plus ! Et ça continue, lorsque la main descend vers la fermeture du jeans, semble hésiter à aller plus avant. « Cette nana est complètement givrée ! », et pourtant elle fascine Marie malgré elle. « Elle doit avoir le feu au cul, mais elle peut me causer plein de misères », c'est presque à regrets que Marie se résigne à vite larguer la donzelle.

« Au fait, ma chérie j'aurais besoin de toi pour un truc.. Pourrais-tu entrer dans la cabine une minute ? Ça ne sera pas long, ne t'en fais pas. »

La question surprend Marie. « Pourvu qu'elle n'ait pas remarqué que je la regardais ! ».

« Arrêtez de m'appeler votre chérie, je ne vois pas à quel titre ! », Marie a repris sa contenance, mais sent comme un rose lui monter aux joues avec la chaleur idoine. Le rideau s'est ouvert, la donzelle a remis la veste de tailleur, qui laisse néanmoins dépasser un joli bout de lingerie ouvragée. C'est sexy, ça en ferait presque oublier ce jeans troué ridicule.

« Entrer dans la cabine ? Mais, d'ici, je ne... », la phrase demeure incomplète dans la bouche de Marie. Son cerveau a perdu toute raison. Ses jambes se meuvent, libres, la faisant se diriger, telle un automate, vers la cabine d'essayage. « Dans quoi vas-tu te fourrer ? Arrête-toi là ! », sa conscience ressasse la même litanie vaine.

Et Marie arrive à la cabine d'essayage, presque malgré elle. Franchissant la limite désignée par le rideau, elle sait qu'elle se livre pieds et poings liés. Pourtant, elle essaie de se donner une contenance : « Que vouliez-vous ? ».

Mais ça ne tromperait que les plus sots, et même la douce moiteur qui s'empare de son bas-ventre est sans ambiguïté.

15
Centre-ville de Seikusu / Tea time (PV Violette Baudelaire)
« le: dimanche 21 août 2016, 16:34:08 »
Marie a la tête ailleurs, tandis que la donzelle reluque les mille et une fringues de ci de là. Il est un « à tes ordres, ma chérie » qui l'obsède, ce mélange de soumission et de sexe, au diable l'amour dans ce cas. D'ailleurs, Marie est de plus en plus certaine que la jeune femme appréciait qu'elle boutonnât la veste de tailleur sur sa poitrine, persuadée même que les tétons s'étaient érigés sous le tissu. Si elles avaient été moine en spectacle, Marie se serait peut-être laissée aller à mordiller ces délicieux appendices de chair si sensibles.

Mais fi de ces réflexions, car la délurée désigne soudain l'adorable soutien-gorge que Marie a longtemps fixé. A-t-elle remarqué cette insistance ? Veut-elle lui plaire ainsi ? C'est sûr que coloris et forme iraient si bien à ces deux seins que Marie a trop brièvement devinés, cachés tant bien que mal par le bras de cette exhibitionniste. Aucune hésitation ! Marie hèle aussitôt la vendeuse, désignant l'élégant dessous qu'elle tâte comme avec sensualité, avant de le tendre à la jeune femme.

« C'est bien celui-là ? Allez quand même l'essayer. Ah, au fait, vous voulez aussi la culotte qui va avec ? ». A travers l'entrebâillement de la veste de tailleur, juste à la naissance des seins, Marie se plaît à imaginer ces globes joliment gainés de ce soyeux tissu. Comme une offrande, oui voilà, comme une offrande, juste pour avoir le plaisir de les découvrir. Mais bon, ce sera pour plus tard, enfin sait-on jamais, et puis peut-être jamais justement.

« Et puis ma veste, j'aimerais la reprendre. Alors,, choisissez-vous un haut, enfin voyez lequel. Présentable quand même, quoique, si vous voulez l'assortir à votre jeans... »

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