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« le: vendredi 25 novembre 2016, 08:08:53 »
Je me trouve dans le camp des Khans dans l'Iowa. Nous sommes en pleine campagne de pillage dans cette région. Dans une semaine nous ramènerons les biens matériels et les esclaves dans le territoire du Grand Khan. J'espère avoir une promotion à la fin de tout ça et monter Oerleuk. Je suis assise prêt du feu de camp, derrière moi se trouve les esclaves fraîchement récupéré et devant moi, le reste des Khans entrain de boire ou de se droguer. Je bois et je me drogue de temps en temps mais, je n'avais pas envie cet après midi. Ma Détan s'approche de moi et elle commence à me masser les épaules. J'apprécie Kass pour ses initiatives, ça m'évite de devoir lui donner des ordres toute la journée.
Cependant, elle n'a pas le temps de terminer le massage qu'une bande de pillard approche de notre camp. Nous prenons rapidement nos armes afin de les accueillir dignement. Notre chef nous dit d'attendre afin de connaître le but de leurs présences. Je prend mon revolver en main et j'écoute la conversation de mon Oerleuk et du chef des pillards.
- " Ecoutez bande de con ! Vous êtes sur le territoire de Quendall ! Partez sinon nous vous attaquerons avec notre grosse armée !" Dit alors le chef des pillards. On se retourne tous pour se regarder, je ne sais pas si il est conscient de sa bêtise mais, il va rapidement le regretter. Notre Oerleuk mets alors un coup de boule au chef des pillards qui s'écroule sur le sol le nez en sang. Ni une ni deux et on fonce contre ses acolytes pour les éliminer. Avec mon arme je tire deux fois, les deux dans la tête des pillards. Le chef laisse alors volontairement fuir un des pillards pour pouvoir le suivre et dénicher le fameux Quendall.
-" A vos montures les Khans v'ont en guerre !" Hurle alors notre chef. Je presse ma Detan d'aller chercher notre Longue-corne tendis que je vais récupérer nos armes à savoir une carabine Winchester, un revolver colt et ma batte de baseball clouté. Kass, ma détan me retrouve devant notre camp et je monte derrière elle, j'en profite pour lui faire un petit bisous dans le cou afin de la remercier de sa vitesse. Nous sommes tous prêt rapidement et on commence à charger dans la direction de fuite du pillard. On ne mets d'ailleurs pas longtemps à arriver destination.
Le camp des pillard n'est autre qu'une base en bois. avec des cabanes en bois et des gardes mal habillés et mal armés. Notre chef ordonne alors de foncer et d'exploser la porte du camp. Nous nous plions donc aux règles et nous commençons à charger. Le pillard qui fuyait n'est pas encore arrivé dans le camp ce qu'il fait qu'il se fait piétiner par nos longues-cornes. Finalement, la porte ne résiste pas longtemps et nous sommes vites au coeur du camp. L'alarme est rapidement donnée et les pillards se présente devant nous pour nous abattre. Je profite de l'état de surprise pour commencer à ouvrir le feu avec ma carabine. Une salve nous arrives dessus mais heureusement Kass c'est mis à l'abris derrière une balustrade en acier. Nous décidons de charger les petites rues du camp pillard et dans cette manoeuvre nous avons piétiné pas mal de pillard mais aussi des femmes et des enfants.
Kass' subit un tir en pleine tête et tombe inerte au sol. Je suis sous le choc de perdre ainsi ma Detan mais je me reprend rapidement. Je suis en colère et je vais venger la mort de ma Detan. Je vide donc le chargeur de ma carabine et de mon revolver sur plusieurs pillards. Finalement je prend ma batte pour terminer le travail. J'affronte plusieurs personnes, des pillards armés de couteaux ou de machettes. Je suis couverte de sang, mes vêtements sont un peu déchiré, j'ai mon sein gauche qui sort de temps en temps de mon haut abîmé. Mais, je ne m'arrête pas... Quand il semble ne plus y'avoir que des femmes et des enfants je décide d'en massacrer un pour passer le reste de ma colère sur elle. Cette mère de famille à eu le crâne explosé à cause de mes nombreux coups et c'est son fils un jeune ados de quatorze ans qui s'approche pour m'arrêter. Je pose ma batte et je le mets dans le feu de camp juste à côté. Il prend feu mais survie et il va venir avec nous en tant qu'esclave de Khan.
Je ramasse ma batte et je regarde le massacre que je viens de faire. J'ai nettoyée à moi seule toute la rue jusque la place central. Les autres Khans arrivevent après moi jusque cette place et le chef m'applaudit avant de me rouler une pelle. Je le laisse faire, ma langue taquinant la sienne. Puis il se recule alors.
-" Félicitation tu l'as ta promotion." Je ne dis rien, je suis heureuse, certes mais je préfère ne pas le montrer. Je prend alors par la main une ado de seize ans, je la force un peu à me suivre. Je la guide dans une maison de bois et je l'allonge de force sur le lit. Je commence à me déshabiller et elle fait de même sans doute pour ne pas avoir à me contrarier. Je m'approche alors et je la serre dans mes bras avant de l'embrasser d'un baisé langoureux.