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Sauvetage+rencontre+jeu étrange = Nuit intéressante? - Venceslas Gordian -

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Venceslas Gordian:
Doucement, je m’éloigne et je me redresse tout en lui souriant.

-   Ne te promet de ne pas de manger, ni même te grignoter. Cependant te faire des bisous c’est possible, mais seulement si tu le veux bien.

Puis, je commence à me transformer. Je grandis en taille et en muscle. Mes pieds changent tout comme mon visage. C’est une transformation qui n’a rien de dégoutante, et les terranides sont habitués à ce spectacle. Je reste délibérément lent pour ne pas faire peur à Zola. La petite lapine me regarde de ses yeux inquiets. Moi de mon côté, j’ai mes bras qui se durcissent, mes cuisses qui s’épaississent, mon chibre qui grossi également. Mes vêtements, poussés par ma magie, grandissent et s’adaptent à ma morphologie. Finalement, j’ai enfin ma véritable forme naturelle, celle du Dieu-Tigre sexuel.
Je baisse la tête pour regarder Zola. Elle est petite, mais si mignonne. Je m’accroupi, pose un genou à terre. Puis j’écarte légèrement les bras.

-   Tu viens ? Viens me renifler. N’hésite pas je ne te ferais pas de mal, je te l’ai promis.

J’avais l’apparence d’un prédateur, ma musculature se dessinait sous ma chemise. Mon poil soyeux exhalait une odeur chargée de phéromones de mâle et de fauve, bien que ça soit une odeur propre.
D’un geste de la main, je fais apparaître une fleur qui semble me pousser dans la main. Elle est toute blanche et sent bon. Je la tends à Zola pour qu’elle s’en saisisse.

-   Tu es une lapine que je veux protéger, pas manger. Tu sais, mon plat préféré c’est la tarte aux pommes … ou aux fraises. Je n’ai jamais su me décider. Toi … tu n’est pas une fraise n’est-ce pas ? Alors tu ne crains rien.

Je la laisse me palper, renifler, osculter autant qu’elle le souhaite, si c’est le cas, avant de me redresser et de tendre la main.

-   Tu me prends la main ? Comme tout à l’heure ? Cela ne te dérange pas de me voir comme ça ?

Une fois la petite lapine calmée, nous reprenons le chemin à notre rythme. Je remarque aussi ses coups d’oeils aux amants ici et là qui forniquent.

-   Ils te plaisent ? Tu aimerais les voir de plus près ? On peut tu sais, mais ils risquent de penser que tu souhaites participer. On devrait attendre un peu avant, non ? Allons manger une part de tarte ! J’ai bien envie d’une tarte aux Pommes … ou alors aux fraises ? Aaah je ne sais pas.

Zola:
Zola se sentait un peu inquiète maintenant qu’elle savait qu’il était un tigre. Les prédateurs lui faisaient toujours très peur. Et il ne serait possiblement pas différent dans sa véritable apparence. Il se recula en douceur avant de se redresser.

-   Ne te promet de ne pas de manger, ni même te grignoter. Cependant te faire des bisous c’est possible, mais seulement si tu le veux bien.
-Des bisous... d’accord?

Elle le regarda et recula un peu alors qu’il prenait sa véritable forme. Il se mit à grandir et plus il changeait plus elle sentait son corps frémir. C’était comme si son lapin intérieur lui hurlait de partir en courant devant un tel prédateur. Elle ouvrit la bouche en le voyant changer encore. Ses yeux s’écarquillaient alors qu’elle se retrouvait devant un tel homme. Elle leva la tête pour le regarder. La jolie et douce lapine  se mordilla la lèvre en le voyant maintenant entièrement tigre. Il du baisser la tête pour la regarder. Elle sentait son corps trembler alors qu’il la regardait mais il posa simplement le genoux a terre pour se mettre à sa hauteur et écarta les bras.Il semblait attendre qu’elle se rapproche de lui. Zola ne savait pas si elle en avait envie...

-   Tu viens ? Viens me renifler. N’hésite pas je ne te ferais pas de mal, je te l’ai promis.
-... Promis?

Elle avança timidement vers lui, sans le quitter des yeux. Elle avala sa salive et se rapprocha encore un peu de lui. Ses petites oreilles frémissaient alors qu’elle ferma les yeux pour humer son odeur. Il ne dégageait rien de menaçant qui pourrait l’effrayée autre que sa grandeur. Elle posa même ses mains sur le haut de son torse pour se pencher un peu et inspirer son odeur près de sa nuque. Puis elle se recula un peu afin de le regarder dans les yeux. Il ne lui ferait pas de mal. Elle le voyait maintenant. Il fit apparaître une fleur immaculée et la lui tendit. Zola fut émerveillée en le voyant faire. Elle la prit en rougissant avant de la sentir.

-   Tu es une lapine que je veux protéger, pas manger. Tu sais, mon plat préféré c’est la tarte aux pommes … ou aux fraises. Je n’ai jamais su me décider. Toi … tu n’est pas une fraise n’est-ce pas ? Alors tu ne crains rien.
-Non je ne suis pas une pomme... ni une fraise...

Zola glissa la fleur blanche dans ses cheveux près de l’une de ses oreilles. Puis il se releva et lui tendit la main. Elle la prit doucement. Il avait de grandes mains maintenant. Mais elles étaient aussi chaudes et douce que tout à l’heure.

-   Tu me prends la main ? Comme tout à l’heure ? Cela ne te dérange pas de me voir comme ça ?
-... Tu est si grand... C’est la première fois que je rencontre quelqu’un d’aussi grand.

Ils se remirent à marcher. Mais plus ils se rapprochèrent de l’entrée de l’immeuble plus elle jetait des coup d’oeils aux deux hommes.

-   Ils te plaisent ? Tu aimerais les voir de plus près ? On peut tu sais, mais ils risquent de penser que tu souhaites participer. On devrait attendre un peu avant, non ? Allons manger une part de tarte ! J’ai bien envie d’une tarte aux Pommes … ou alors aux fraises ? Aaah je ne sais pas.
-Quoi? Non... Une tarte... c’est bien..

Elle se sentait horriblement gênée de s’être fait prendre la main dans le sac comme cela.

-Allons... à l’intérieur...

La jolie lapine avala sa salive alors que les gémissements de plaisir des amants lui faisaient frémirent les oreilles.

Venceslas Gordian:
Alors que les gémissements allaient bon train, nous entrons dans la grande salle de l’auberge. Ici il y a de tous, des lapins, des cerfs, des boucs, des rongeurs, des chats, des chiens, des bovins, des simiens. Toute une sorte de terranides qui caquette, couine, geins, hulule en toute sorte de dialectes. Les odeurs sont fortes, mais pas comme avec les humains. Ceux-ci sont sales, contrairement aux Terrannides.

En caressant Zola entre ses oreilles, je la guide vers une table libre où nous assoir. Il me faut pousser plusieurs personnes. Certains me reconnaissent, des amants et amantes bien sûr, qui toutes et tous me demandent si je veux bien monter avec eux, me faisant comprendre qu’ils avaient bien envie que je leur défonce le cul une nouvelle fois. Mais non, je suis occupé, désolé.
Quand la serveuse vient nous voir, je lui adresse un grand sourire charmeur.

-   Ah bonjour Marguerite !

Marguerite était une femme-vache. Sa poitrine était proprement surprenante.

-   Je vais prendre une tarte … heu … au … heu … zut je ne sais pas. Bon aller aux pommes ! Avec une choppe d’hydromel s’il te plait.

-   Ok ! Et pour ta petite copine ? Elle prendra quoi ?

Ne notant pas le détail dans la phrase, je me tourne vers Zola.

-   Tu aimes quoi toi ? Les tourtes à la carotte tu aimes ça ? Il faut absolument que tu goûte ça si c’est le cas. 

Notant la commande de notre petit duo, elle s’éloigne alors. Moi je me retourne vers ma future conquête.

-   Alors, dis-moi Zola, comme ça va ? Tu as passé une bonne journée ? Que fais-tu de beau dans la vie ?

J’étais tout près d’elle, un bras sur le dossier de sa chaise, tout contre son épaule. Nous étions très proche. Je jetais des regards noirs aux males qui s’approchaient d’elles, histoires qu’ils me la laissent. Mais avec elle j’étais tout sourire.
 Finalement, Marguerite revint avec notre commande et la plaça sur la table. Moi je paye alors l’adition directement, puis je me tourne vers la lapine.

-   Alors, goûte ! Dis-moi ce que tu en pense.

J’attends le verdict, puis je réponds :

-   Alors c’est bon hein ? J’adore ces pâtisseries.

Je la regarde manger un court moment. Elle est mignonne mais elle s’en met un peu partout.

-   Ah tu en as un peu là.

Je me rapproche et avec le bout de ma langue, je viens lui lécher un coin de la joue avant de déposer un rapide baiser.

-   Voilà. Je t’avais dit que si tu avais des questions, tu pourrais me les poser.

A côté de nous, sans trop prévenir, une biche, du même âge que Zola, se faisait draguer par deux boucs musculeux. Finalement ils eurent gain de cause car elle se mit à glisser sous la table et commença à sucer sans aucune discrétion l’un des deux, tandis que le premier vint glisser ses doigts dans sa fente.

-   Oh ne fait pas attention, c’est normal ici. On se laisse aller, tu peux le faire toi aussi si tu veux … te laisser aller je veux dire ! Haha ! 

Zola:
Après de si longues secondes, ils finirent par entrer dans la bâtisse. La porte donnait sur une grande salle. Il y avait foule à l’intérieur. Tous genre de créatures. Lapins, chien, chat.... bovins... cerfs... et encore. Tout le monde semblait s’amuser. Les gens discutaient, jouaient, mangeaient et certains poussaient le vice bien plus loin. À certaines tables il y avait d’autres genre d’amusement plus coquins. La pauvre petite Zola se sentait un peu de trop mais  elle laissait son nouvel ami la guider dans la pièce.

Elle se mordilla la lèvre alors qu’il lui caressa la tête entre ses petites oreilles. Elle leva les yeux pour le regarder avant de reporter son attention devant elle. Il les conduisait avec facilité jusqu’à une table. Zola resta le plus près de lui possible en voyait certains regards se poser sur elle. Certains semblaient la trouver appétissante. Elle avala sa salive et aussitôt qu’elle pu s’asseoir elle le fit. Une femme vache arrivait aussitôt qu’ils prirent place et semblait vouloir leur demander quelque chose. Zola la détaillai en silence, essayant d’ignorer les regards insistants qu’elle ressentait sur elle.

-   Ah bonjour Marguerite !

La femme semblait connaître le tigre. Zola leva les yeux vers lui. Il accordait un sourire charmeur à la nouvelle venue.

-   Je vais prendre une tarte … heu … au … heu … zut je ne sais pas. Bon aller aux pommes ! Avec une choppe d’hydromel s’il te plait.
-   Ok ! Et pour ta petite copine ? Elle prendra quoi ?

La petite lapine sursauta lorsqu’il se tourna vers elle pour la regarder.

-   Tu aimes quoi toi ? Les tourtes à la carotte tu aimes ça ? Il faut absolument que tu goûte ça si c’est le cas. 
-Quoi?... Des carottes? C’est bien les carottes... D’accord.

La vache prit la commande avant de s’éloigner les laissant dans leur intimité qu’offrait cette table. Son compagnon la regardait avant de lui poser des questions.

-   Alors, dis-moi Zola, comme ça va ? Tu as passé une bonne journée ? Que fais-tu de beau dans la vie ?
-Oh. Et bien.. Je vais bien. Ma journée est normale je pense... enfin je ne suis jamais venue ici...

Elle tourna la tête pour le regarder. Il était assez gentil finalement. Elle se rendit compte qu’elle n’avait rien a craindre. Vraiment. Il se plaça si près d’elle. Son bras derrière elle, elle était presque coller contre lui. Sentait-il la peur qu,elle avait? Ou plutôt son malaise alors que dans la pièce la chaleur grimpait de plus en plus ?  La dame reviens ensuite avec leur repas et plaça le tout devant eux. Zola regardait ce qu,il avait commander. Ça sentait très bon.

-   Alors, goûte ! Dis-moi ce que tu en pense.

Elle hocha la tête, prit une fourchette et la planta dans le repas de carotte. Elle en prit une bouche avant de pousser un petit soupir. C’était si délicieux.

-   Alors c’est bon hein ? J’adore ces pâtisseries.
-C’est vraiment bon.

Elle sourit et continua à manger. C’était vachement bon. Elle n,avait jamais manger un truc pareil.

-   Ah tu en as un peu là.
-Humm??

La fourchette dans la bouche, elle frissonna en sentant sa langue contre sa joue. Puis elle la ressortit pour se mordre la lèvre alors qu’il lui offrit un doux baiser sur la joue. Est-ce qu’il... lui faisait du charme? Parce que si oui... Cela fonctionnait très bien.

-   Voilà. Je t’avais dit que si tu avais des questions, tu pourrais me les poser.

Zola le regardait avant d’entendre des bruits qui l’intriguait. Elle tourna la tête et vit avec surprise une biche se glisser sous la table  pour commencer à sucer un des boucs. L’autre en profitait pour la caresser  en glissant ses doigts dans sa fente qui semblait déjà bien humide. Zola les regarda en  était un peu bouche-bée. Le bouc qui doigtait gentiment la biche leva les yeux pour s’apercevoir que Zola les regardait et souriait, comme s’il lui disait de venir les rejoindre. La lapine détourna rapidement le regard. Elle se tourna vers Venceslas en se mordillant la lèvre. Elle ne pouvait pas  nier que cette vision ne l’avait pas excitée quelque peu.

-   Oh ne fait pas attention, c’est normal ici. On se laisse aller, tu peux le faire toi aussi si tu veux … te laisser aller je veux dire ! Haha ! 
-C’est.... normal?  Je... me laisser aller?  Avec toi?

Ses oreilles bougèrent aux sons des gémissements du trio qui ne se trouvait pas bien loin. Son corps était frissonnant alors qu’elle se disait que... qu’elle pourrait peut-être... Se laisser aller comme il avait dit. Elle tourna la tête vers le trio. La biche continuait de sucer le premier alors que le deuxième avait laisser son sexe prendre la place de ses doigts.

-Oh... mon... dieu...

Elle avala sa salive avant de tourner son visage si innocent vers son ami. Elle leva les yeux vers lui en se dandinant un peu. Son corps s'excitait si facilement...

Venceslas Gordian:
-   Si c’est normal ? Oui bien sûr que ça l’est. Nous avons tous nos pulsions, ce n’est pas bien de ses refouler.

Je viens glisser ma main sur ses cheveux, pour replacer une mèche rebelle, puis je fais glisser ma main sur sa joue. Je peux sentir d’ici son excitation. A côté de nous, la biche faisait preuve d’un rare talent pour sucer. Le Bouc était posé sur sa chaise, il buvait sa bière et plaisantait en soupirant avec son ami en face. Sans doute des frères d’ailleurs. La jeune biche gémissait doucement tandis que le second bouc lui commençait aussi à se déboutonner le pantalon. Il bandait dur et il vint se placer de sorte à pouvoir s’insérer dans sa partenaire, déjà sous la table.

-   Moi par exemple j’aime faire ça, je le fais souvent. C’est très plaisant, mais uniquement si la personne en face est d’accord. Comme la jeune biche là.

Je pouvais voir le malaise de Zola, mêlé d'excitation. Je vins glisser ma main sous son menton tandis que de l’autre main j’en profite pour me coller à elle, la garder tout contre moi. Je lève son visage vers le miens et je dépose un autre baiser, doux et rapide, sur ses lèvres aux goûts de carottes.

-   S'ils te rendent mal à l’aise, ne t’occupe pas d’eux. Ici personne ne cherche à te manger tu sais. Tous les males qui te regarde cherchent la même chose que ces boucs-là. Prendre du plaisir avec toi et que toi tu en prennes avec eux.

Nous ne cessions pas de manger nos tartes bien sûr. Moi par gourmandise, elle part nervosité. Elle était tout excitée, je pouvais le sentir.

-   Il y a pas mal de mâles en chaleur ici ce soir. Il y en a qui te plaise ? C’est qui ton genre ? Là-bas il y a un cheval. Tu l’as vu ? Il a un engin énorme.

Effectivement, le terranide équin était en train de se faire tripoter par une chienne très gourmande.

-   De ce côté-là il y a un rat, ils ont de grosses testicules et elles ne semblent jamais se vider totalement.

Puis je pointe du doigt un loup, beau et viril, torse nu, il plaisantait avec un renard à l’air sournois qui était en train de lui faire une pipe.

-   Là-bas tu as deux braves gars. Ils sont gays à la base mais ils aiment bien s’amuser avec des filles parfois. Ils pourraient le faire avec toi, si tu le voulais.

Je lui adresse un clin d’œil complice, caressant sa nuque d’une main et sa cuisse de l’autre.

-   Tu sens les phéromones dans la salle ? Elles se chargent de désir depuis que nous sommes entrées. Je crois que tu as du succès tu sais. Tu peux demander à n’importe quel mâle ici, chacun d’entre nous ici. Nous serions tous content de pouvoir te faire du bien, ma toute belle.

Je glisse ma main sur son bas ventre avant de l’embrasser dans le cou.

-   Il te suffit de faire un choix sur celui que tu veux sentir en toi. Mais si tu es hésitante on peut faire un jeu aussi. Tu aimes les jeux ? Un jeu de dé. On ne mise pas d’argent, comme c’est le cas d’ordinaire, mais des parties de nos vêtements. Est-ce que ça te dirait de jouer ?

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