Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Compte Inactif

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Compte Inactif

Pages: [1] 2 3 ... 6
1
Les alentours de la ville / Re : Une suée de luxure. - Héraclès
« le: lundi 04 avril 2022, 00:09:20 »
Vendredi soir. Héraclès trouve un énième boulot, pour une énième épopée. Passant de Terra dans ses terres chaotiques, à ici dans une mission qui n'a pas l'air de demander des ressources colossales. Ressources qu'il a toujours mobilisé par ses capacités surhumaines, son esprit n'en reste pas moins usé par tous ces changements. Ce manque de stabilité. Et en parlant de stabilité, voilà que cette soirée lui donnerait assez de beurre dans les épinards pour respirer quelque temps. Pas de guerres, pas de tortures, pas de combats.

Seulement l'escorte et la protection d'une personne très importante. Et maintenant que cela est dit comme ça, il y a probablement quelques appréhensions à avoir.

Il n'est qu'un homme capable de porter des poutres en acier de plusieurs tonnes. Écouter les ordres de son chef de chantier pour faire du bon boulot. Ecouter son éthique pour faire au mieux. Quand elle n'est pas altérée par ses pulsions. Mais peut-être que ce travail lui permettrait de découvrir d'autres facettes de lui-même qui ne demandent qu'à se mettre en lumière. Il a su qu'il avait eu le job lorsqu'on lui donne le nécessaire afin d'avoir une tenue adéquate pour ladite soirée. Cherchant la simplicité, il optera pour un costume - taillé sur mesure pour ses 2m20 de haut, et ses 190 kilos - ainsi que des chaussures adaptées qui ont quand même leurs places dans des soirées chiadées comme celles qui les attendent. Une montre, au détail précieux, qui ajoutera une symbolique de richesse dans son ensemble bleu nuit.

Justement, c'est en regardant cette nouvelle montre dans cette nouvelle tenue qu'il n'a pas l'habitude de porter qu'il se trouve au lieu de rendez-vous. Elle était déjà là, il prendra quelques secondes pour la détailler. Son cou et ses épaules enveloppés par un châle probablement inestimable, il couvre de jolies épaules souples, tenant des bras gracieux et élégants qui se terminent par des doigts filiformes. Sa robe sublime ses courbes régulières de sablier, accentuant une certaine sensualité en apercevant la chair de sa cuisse sur une fente du tissu. La courbure du dos lui laissait deviner qu'elle était sur des talons qui doivent coûter plusieurs salaires que Héraclès ne touchera jamais. Il déglutit, pour reprendre contenance. Ce soir, il travaille.

- Heureux de vous revoir également, Dame Hua.

Cette même main, douce et fine vient se mettre à portée, qu'il saisit automatiquement afin d'y déposer un baiser. La douceur n'a d'égale aux fragrances qui s'en dégagent. Les clés finissent dans le creux de sa main, devinant la marche à suivre. Ajusté, ceinturé, les clés finissent sur le contact, et il prend quelques secondes pour savourer le moteur bruyant vrombir gravement sous le capot. Il n'avait jamais conduit pareil bolide de sa vie. Il en oublie presque les prochaines instructions.

- Un couple, bien reçu.

Il opine doucement du chef, avant de sentir une chaleur sur sa cuisse. Celle de sa main, mimine ridiculement petite sur sa cuisse râblée et épaisse, débordant du siège. Ce à quoi il répondu affectueusement en posant la sienne sur la base de sa cuisse, le galbe et la douceur viennent s'épouser dans le creux de sa pogne grande et calleuse. Puis, première vitesse, les voilà partis. 

***

L'extérieur de l'établissement qui accueillera cette remise de trophée était exactement comme Héra l'imaginait. Grand, lumineux, entouré de tonnes de voitures prestigieuses et inestimables. Voilà qu'il arrive dans ce cadre en étant acteur et non spectateur. Il trouve sans mal l'entrée, avant de rencontrer le voiturier qui vient réceptionner les clés. Ce soir ? Il était dans son personnage. Enserrant la taille de sa "nouvelle" compagnie, il tend une main vers les appareils photos mais aussi les personnes qui viennent saluer Li Hua de loin comme de près. Il prendra un moment pour la dévorer des yeux ostensiblement, son doigt suit lascivement la ligne de sa mâchoire, un véritable mâle complètement perdu dans les yeux de sa compagne. Passant les agents de sécurité, vérifiant les identités de chacun, voilà qu'ils longent un couloir sur un tapis rouge les menant à une réception. Le moment de prendre la température avant de voir d'autres personnalités. Il se pencha dans sa direction, un murmure finit à l'oreille de son vis-à-vis.

- Tout va bien jusqu'à présent ?

2
C'était tout de même particulièrement déstabilisant. Il ignorait que ce genre d'individu si soumis pouvait exister. Il se questionne alors. Comment elle en est arrivée à ce stade de soumission et surtout de demande implicite à vouloir se faire troncher salement et sans vergogne. La souillure de ses efforts ruisselle doucement avec le savon lorsqu'il passe sous la douche brûlante, suivant des yeux l'écoulement jusqu'à son pénis qui se fait nettoyer assidûment par une langue experte. Le liquide gras et visqueux et léché goulument, il pouvait sentir ce pétale tiède entre ses lèvres courir pour suivre la ligne de ses veines, un léger soubresaut lorsqu'elle passe sur le frein de son gland, véritable zone qui ne peut que relancer son érection d'une vigueur nouvelle.

Puis elle vient s'inviter dans le canal dans un mouvement de langue pourtant non intrusif.

- Han... Grr.

Comme pour ouvrir la porte de son orifice, ses lèvres se resserrent pour en extirper le jus. Il vacille, une seconde, sa main finit par se poser contre le mur pour se soutenir. Un râle incontrôlé s'échappe de sa bouche dans un souffle bruyant. Sa mâchoire s'ouvre en grand, et s'invente donc le fourreau qui va accueillir son sabre. L'étau buccale bien serré, il moule sa queue dans une perfection sans pareille. Changeant sa posture, l'angle de pénétration change et les râles deviennent encore plus bruyants une fois que son membre se retrouve étranglé dans cette étreinte orale. Maculant son pénis d'une salive notable, les bruits de succions se mêlent à la déglutition de la gorge, véritable concert débauché et vulgaire. Reproduisant le même schéma, sa langue revient courir sur le pilier de chair et bientôt elle en arrive à bout en aspirant ce sexe dans toute sa longueur. Les yeux d'Héraclès se révulsent, embrumés par le plaisir, tirant la tête en arrière, mais cette curiosité naissance avait germé suffisamment de temps pour tenter un premier échange.

Ouvrant la bouche, d'abord en encaissant comme il le peut se massage aux niveau de ses bourses duveteuse, il extirpa d'un geste négligé son membre avant de lui bifler le visage pour comme pour la gratifier de son geste comme un maître caresse le crâne d'une chienne. Puis...

- Pourquoi ?

Une question générale dont il attendait beaucoup de réponses. Comment une femme - très jolie - en plus de ça, préfère se faire pilonner dans ses conditions. Qui est-elle ? Est-ce qu’elle aime ce qui lui arrive ? Etalant son pré-sperme sur son visage qui sèche à l'air libre malgré l'humidité de la douche il préféra s'écarter, sa queue pulsante désormais vibrante sous les yeux d'une femme remplit de mystères. Et de sa semence, assurément. 

3
Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: lundi 03 janvier 2022, 22:28:19 »
L'entendre couiner comme une grosse chienne qui n'attendait que ça. Lui boire la vulve goulument, lui aspirer ses lèvres intimes, et rouler sur son clitoris avec une langue habile et curieuse. Je la tiens correctement pour la besogner comme il faut, lui faire du bien comme il le faut, la faire jouir comme il le faut. La tête coincée entre ses cuisses pour mon plus grand bonheur. Ses rondeurs moelleuses et grasses dans le creux de mes mains perverses et envieuses de la toucher de toute part. Elle dégage pourtant une certaine sensualité lorsqu'elle se masse le sein tandis que je masse l'autre, mais l'odieux et pourtant si bandant portrait de la giclée de lait venant perler sur sa frimousse, me fait encore plus bander que je le suis déjà.

Attendant sa réponse, elle retentit comme un appel, une demande, un ordre. Que je retire ma langue de son antre fraîchement réveillé et inondé de mouille dans un claquement de bouche, avant de lécher la commissure de mes lèvres pour ne pas en louper une goutte. Chaude, amer, et pourtant je le savoure comme une vraie sucrerie.

- Je vais te la donner en pleine bouche, tout ce que tu voudras.

Grognant de plaisir en sentant ses cuisses que j'adorerais avoir autour de ma queue qui m'enserre le visage, je me lève doucement comme une montagne se dressant devant sa cible. La surplombant de toute ma masse, je la chevauche avant de lui attraper sa chevelure d'une prise ferme et autoritaire et lui dévorer les lèvres d'un baiser grossier et vulgaire.

- Lèche moi la gueule avant de me bouffer la bite.

Alors je laisse son pétale humide et tiède de grosse suceuse me nettoyer le visage de sa mouille abondante. Mes deux mains attrapent en attendant ses deux monts de viandes ronds et rebondis pour les malaxer brutalement afin d'assouvir la simple envie de la tripoter. Je retrouve sa bouche pour une galoche aussi sale qu'obscène, durant de longues secondes à laisser ma langue dégueuler ses effluves de salives avant de nous séparer ; laissant un filet de bave faire le pont entre nous pour finir par clapoter, visqueuse, sur sa poitrine.

- Ouvre grand la bouche. Tire la langue. Montre-moi la salope qui t'habite.

Je lui tourne le dos, mes énormes cuisses striées entoure sa tête, mes burnes suivent la gravité en se posant sur son front, et d'un mouvement souple du bassin je lui poignarde la gorge, m'arrachant un soupir d'aise, mon gland vibrant dans cet étau buccale parfait.

- Han. Ta bouche. Ta grosse bouche... Suce, maintenant. SUCE !

Je lui écarte les jambes, attrape ses cuisses, puis passe un énorme coup de langue de l'aine, puis l'intérieur de sa jambe avant de repartir sur sa chatte que je compte m'occuper, comme elle le dit si bien. Mon bassin commence à bouger, lui ravageant la gorge sans me soucier de comment elle pourrait respirer, simplement en pensant au bien-être de sentir mon pénis courir dans ce couloir serré, sa langue suit les lignes de mes veines, comme le dos de mon frein qui tire des salves de pre-sperme pour lui enrubanner le palais de son liquide gluant et gras. Je garde un rythme d'horloge en lui baisant la bouche, et de mon côté je me remets à la boire de sa mouille si enivrante.

Une nouvelle addiction, je deviens doucement addicte de son corps et tout ce qui l'a constitue

4
Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: samedi 04 décembre 2021, 11:04:51 »
 
Les minutes s'égrènent et il reste infatigable.

Coup de pilons répétés dans un fracas de viandes, abîment toujours sa victime avec la même ferveur, le même entrain, la même énergie, on voyait dans ses traits déformés par l'extase, les yeux révulsés par le plaisir, la bouche béante par la satisfaction de se soulager en elle. Les pénétrations de plus en plus fluidiques, ses burnes remontent doucement tandis que son gland continue de gonfler, l'urètre étant la dernière porte que son sperme brûlant compte défoncer pour remplir ses parois vaginales. Le contact de ses fines phalanges, des petites mimines s'agrippant comme elles le peuvent, les épaules galbées et striées de tissus enflées par sa musculature herculéenne lui permettant de se focaliser sur sa besogne. La baiser. Encore. et encore.

Il aimait regarder sa queue sortir, emportant avec elle ses lèvres extérieures s'étirer dans une éclaboussure de cyprine avant de la charger de nouveau. Comme il pouvait observer l'une de ses mains quitter son épaule pour chercher son bas-ventre qui se fait déformer, chaque fois que sa colonne de chair vient s'empaler avec une fermeté presque cruelle. Et dans tout ce concert de vulgarités aussi sales que luxuriants, la jeune femme siffle des mots entre ses gémissements. Un rire caverneux vient remplir les douches, couplé avec ses râles et ses expirations bruyantes. Le vice dans ses yeux, l'espièglerie dans son rictus, il approcha son visage vers le sien, ses lèvres continuant de pisser son hémoglobine par sa morsure. Bizarrement, il y trouvait un portrait presque poétique, joli... Elle était presque plus belle comme cela.

- Je peux... Ou, c'est toi, qui le veux ?

La corde de l'orgasme tendue au maximum, il faudra quelques coups de reins supplémentaires pour l'entendre rugir dans les douches quand le coup de tonnerre de la jouissance vient traverser sa colonne. Un déversement diluvien vient incinérer l'intérieur de son antre, compact, brûlant, grumeleux et gras, une vraie purée de foutre gonflant son abdomen pour que le surplus gicle du même orifice pour rejoindre le siphon. Son corps gainé, il s'enfonça de nouveau, pour terminer d'entendre le plus bruit inquiétant de remplissage, son sexe continuant de pomper dans ses burnes rétractées les derniers jets de spermes, puant de sa virilité.

Puis, une accalmie.

Seulement les respirations respectives de chacun, mêlées à la pluie continue de la douche. Une buée opaque s'échappe de ses lèvres, un soupir d'aise lorsqu'il retira doucement son pénis toujours en vigueur, déclenchant un appel d'air bruyant avant que le reste des fluides viennent tomber dans un clapotement visqueux sur la flaque déjà présente qui disparaît doucement dans l'évacuation d'eau. Il la laisse glisser doucement au sol, et comme si de n'était, il se sert dans la borne de savon afin de se shampouiner. Mais son ton ferme et autoritaire revient à la charge. D'une main libre il emprisonna son crâne de ses phalanges pour la blottir contre ses couilles qui avait encore du foutre à revendre. Souillant son visage par la sueur et les effluves séminales, caché de moitié par un membre d'une taille relative à ses proportions, il prit une voix sombre et féroce.

- Nettoie ma queue.

Ramenant son visage et non ses mains, le message était clair : il voulait sa bouche, sa langue, et le câlin buccal qui allait avec. Et comme le plus naturellement du monde, il poursuivit sa toilette en lavant son corps, chaque goutte ruisselant sur les sillons de ses muscles lui donnait un air plus imposant, plus saillant. Sa crinière hirsute plaquée en arrière lui donnait finalement des airs de Lion qui savait ce qu'il voulait.

Chasser, et non être chassé.

5
Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: dimanche 28 novembre 2021, 22:36:17 »
Ses jambes flottant dans l'air, suspendue comme une damnée, il essaya de chercher un comportement magnanime dans le fond de son esprit. Comme il se le disait, il voulait joindre l'utile à l'agréable. C'est étrange, parce que, c'est finalement comme s'il avait un peu de reconnaissance, de l'avoir croisé sur son chemin, de lui accorder ce moment, sans le chercher. Le demander. Lui proposer. Disposer de lui comme bon lui semble. Bien sûr dans une idée presque égoïste ; il cherchait à se vider en elle, tandis qu'elle cherchait à combler son désir par une figure d'autorité, brutale et ferme. Mais finalement, ce qu'il fallait retenir c'est que tout le monde soit gagnant.

Il l'observait, son corps suant sous l'effort, moite par la douche brulante de l'eau. Il pouvait contempler son buste gonfler et se dégonfler rapidement, une poitrine petite mais ferme, durcie aux extrémités par des tétons rosies par une sensibilité flagrante. Elle avait le regard vitreux, presque embrumé. Perdu dans les volutes de ce coït qui ne s'arrêtera pas tant qu'Héraclès en avait envie. Sa queue pulsante, maculée de cyprine, continue de perler dans son pubis, ruisselant plus bas pour souiller ses lourdes burnes duveteuses. Le silence ne s'étire pas si longtemps avant d'avoir une bonne réponse qui le fait arquer un sourcil. Soit elle est maso, soit elle est assez libérée d'esprit, soit elle a perdu la tête. Son corps accueillait difficilement le sien, mais cette voix qui lui disait de faire comme bon lui semble l'emporta. Plus de lucidité, plus de réflexion. Seulement une chatte qu'il compte remplir comme une outre.

- Je vais me faire ce plaisir, tout en arrachant le tient.

Sa main libre vient chercher sa cuisse pour la remonter à sa hanche, il s'avança pour poser que le dos sa partenaire puisse se poser contre le mur, un appuie nécessaire pour reproduire la même chose avec l'autre jambe. Ses gambettes entourant sa taille désormais, son gland revient à la charge pour écarter ses chairs pour mieux lui empaler son fourreau dans un claquement cinglant. Son bassin est arrivé comme un mur en marbre pour bosseler encore son abdomen. Le relancement d'un train qui ne fera pas escale avant l'orgasme.

- Si chaude, si mouillée, si serrée...

Sentir ses contractions enserrer son gland, tout en stimulant son frein - son point le plus sensible - qui lui confère un plaisir si exaltant que ses gémissements surpassent la demoiselle malmenée par ce fracas de viandes musclées qui frappent, bousculent, bombardent dans un rythme strict et infatigable. Presque face à face, ses yeux louchent sur ses lèvres pulpeuses qui crachent ses couinements au gré de ses violences, qu'il étouffera par une langue imposante pour forcer un balais fiévreux et passionnel. Les bruits de pénétrations deviennent gras et fluidiques, ajoutés à cette grosse galoche qui ne faisait qu'amplifier son excitation. Il y suce son pétale humide avant d'y mordre ses lèvres, puis après lui avoir odieusement lécher le visage comme un clébard en manque, il lâcha une main pour venir attraper sa poitrine qu'il palpe fermement, malaxé grossièrement, avant de tirer son téton vers lui pour maximiser sa sensibilité.

Il arriva bientôt sur le sentier de son premier d'une longue séries d'orgasme, remerciant son ADN Alien de pouvoir en abuser longuement.

6
Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: mercredi 24 novembre 2021, 18:19:45 »
Dans le tumulte sauvage et charnel qui remplissait les douches d'un écho orchestral, Héraclès se perdit en elle, littéralement abandonné à ses instinct pour répondre à ses besoins. Physiques, hormonaux, primitifs. La bouche ouverte par l'extase, son bassin bouge avec souplesse, frappe avec brutalité, le dos raide et infatigable sur des jambes épaisses et solides. Un arbre puissant qu'on ne pourra pas  faire tomber de sitôt. Chaque percée contre son utérus imprime une odieuse bosse dans son bas-ventre. Ses lourdes burnes duveteuses viennent la sanctionner chaque fois qu'elles la flagellent, pleines d'un foutre gras et grumeleux qui continue de bouillir en lui, irradiant cette chaleur corporelle avec l'eau déjà bouillante sur leur corps respectif. L'eau amplifie l'odeur de sueur, donnant à ce cadre une sale scène sexuelle et sauvage. Pour autant, des mots viennent à ses oreilles qui vont en contradiction avec ladite situation.

Elle souffre. Ou plutôt, sa douleur est transcendée par le plaisir. Ses cris et ses gémissements tellement bons à entendre pourtant, une vraie ode à la luxure.

Il pouvait sentir, oui, sa main tenter une vaine tentative pour arrêter le train en marche. Il pouvait entendre, oui, ses vains mots qui voulaient lui dissuader d'y aller aussi fort. Un combat commence alors dans son esprit. La raison contre la passion. L'écrasant contre le mur de douche de manière impitoyable et autoritaire ajoute un piment de contrôle qu'il maîtrise déjà dans une domination grisante. Mais, qu'en est-il du plaisir ? Des femmes, il en a brisé, comme elle le dit si bien. Mais combien de femmes ont passé un bon moment ? Une seule, dans sa mémoire, en réfléchissant pas très fort, ni longtemps. Alors son bassin ralenti sa cadence, l'angle de pénétration beaucoup moins attaqué, sans dissimuler sa frustration dans un grognement presque félin dans son torse. Ses phalanges exercent une pression moins brutale, laissant des ecchymoses sur sa peau de porcelaine. Il finit même par s'extirper de moitié de son antre, avant qu'elle ne sorte totalement car la différence de taille était bien trop grande pour rester en elle lorsqu'il se redressa.

Une fille qui avait envie de lui. Mais qui ne voulait pas le faire comme ça. Pour la première fois alors, il s'accorde à écouter.

- Je ne veux pas te briser. Je veux simplement te baiser.

Un sourire carnassier, tandis qu'il saisit son épaule pour la retourner, dos au mur. Joignant ses deux mains dans l'une de ses pognes épaisses, il la hissa sans forcer, désormais suspendu à son niveau, face à face. Rappeler que oui, il voulait se faire du bien sans casser son jouet bien consentant, mais tout en marquant son esprit qu'elle était enfermée dans sa soif de domination et de contrôle. Il gronde de sa voix grave et puissante une nouvelle fois.

- Et donc... Comment on les baise, les filles comme toi ?

Il plisse les yeux, ses iris devenus ambré la traverse avec une telle intensité qu'il voulait mettre son âme à nue, comme à l'extérieur. Il tangue la tête d'un côté, pour l'observer une nouvelle fois, comme une première fois, s'étonnant voir pareille créature s'offrir dans un pareil contexte, mais finalement, n'est-ce pas cela le plus excitant ? Alors, dans un silence religieux, l'observant toujours pendue par les poignets joints dans sa main, telle une condamnée sexuelle à se faire remplir de semence, il attend une éventuelle réponse qui pourra rendre ce coït plaisant pour les deux partis.

Et dans le cas où les choses ne se résolvent pas, il retournera terminer ce qu'il a commencé.

7
Quand vous êtes capable de soulever un poids lourd chargé de 40 tonnes, il faut trouver des moyens pour rester en forme. Dans son cas, il fallait plutôt pour Héraclès qu'il se dépense. Pas nécessairement pour se décrasser, mais plus comme une accumulation d'énergie qu'il doit évacuer quelque part afin de ne pas faire de casse. Heureusement avec la technologie actuelle, c'est possible. Des disques capables de multiplier plusieurs fois sa gravité afin d'avoir un matériel capable de déchirer ses tissus musculaires pour un effort qu'il peut solliciter jusqu'à l'échec. Pas insocial, mais plutôt pas très chanceux dans sa manière de s'intégrer dans un groupe, il retrouve cette salle dans la solitude la plus totale.

Alors, autant se concentrer sur l'essentiel : lui.

Chaque mouvement qu'il faisait congestionnent son corps strié d'une masse musculaire si enflée qu'on pouvait voir chaque fibre, tissus et tendons rouler aux moindres faits et gestes. La sueur coulant à flot sur son derme brûlant, sa respiration forte qui battait la mesure sur chaque répétitions, que ça soit à la presse, au développé couché, aux haltères, au soulevé de terre. Un plaisir de sentir son corps s'engourdir, alors que plusieurs tonnes sont tirés sur ses barres. Le moment opportun pour ne penser rien d'autre qu'à la singularité si simple du geste. Soulever. Pousser. Tirer. Pas de complications, pas de complexes, seulement la volonté primitive d'envoyer son corps à la tétanie.

Une chaîne épaisse sur ses épaules, une ceinture attachée à plusieurs disques à la taille, il termina les cent dernières tractions qui clôturent la séance. Très peu de temps il lui reste à savourer cet état de fatigue curieusement agréable avant que ça régénération fasse des siennes. L'odieux privilège d'être presque invincible. Vêtu d'un simple shorty, un débardeur très fins, il chercha les vestiaires pour une douche belle et bien méritée. Il ne pouvait s'empêcher de sourire, l'endorphine inondant son cerveaux, la sensation de vide, son cœur qui bat dans chacun de ses muscles. Une serviette sur la tête, pour s'éponger le front, il venait de créer de manière hasardeuse des œillères qui l'emmena du mauvais côté des vestiaires.

Celle des filles.

La serviette, imbibée, humide, et lourde par la transpiration claque sur son épaule tandis qu'il redresse les yeux. Une femme. Venait-il de se tromper ? En temps normal, il partirait. Mais ce regard refusait de quitter ce corps nu qui n'a pas encore fuit les yeux de son observateur. Il glissa de haut en bas ; une peau opalescente, moite, qui reflétait la lumière des vestiaires, une chevelure flamboyante encadre ses épaules souples. Des yeux en amande qui ont l'air de cacher un millier de vices. Un visage de poupée aux lèvres pulpeuses, qui s'ouvrent à la vision du colosse qui n'a pas moufté d'un centimètre. Son corps était voluptueux mais harmonieusement bien proportionné. Les muscles de sa mâchoire se serrent, la pupille de ses iris se rétracte. Comme un prédateur bloquant sur une proie étrangement consentante.

Il marcha vers elle, lourdement.

Il venait de se passer peu de temps, aucun mot n'avait été échangé. Pourtant, il comprit assez rapidement. Comme une évidence. L'alerte était aussi violente que la pulsion sexuelle qui l'habite. Parlant de chaque côté, il renvoya à son tour l'envie foudroyante de la prendre. Un contrat tacite, un intérêt silencieux. Un échange entre deux corps qui parlent sans utiliser de langage. Son short se retrouve peu à peu serré par une turgescence empestant le rut depuis ici, une virilité puante de testostérone qui vient s'ajouter aux odeurs florales des vestiaires. La distance venait d'être réduite. Un seul pas les séparent dorénavant. Un regard à gauche, un autre à droite, pour comprendre qu'ils étaient seuls. Quand bien même cela ne serait pas le cas, les choses deviendraient plus excitantes. Alors, il retire également son haut, puis son bas, puis ses chaussures. Laissant sa queue s'échapper de son caleçon dans un rebond intimidant. Veineuse, odorante, une toison épaisse coiffe son pubis. Du haut de ses 2m20, il surplombe cette nouvelle rencontre de toute sa masse. Laissant un grognement rouler dans son torse comme prédateur s'adressant à plus petit que lui.

Il tourna autour d'elle, lentement. Toujours dans ce silence. Juste pour la reluquer davantage, apercevoir ce fessier sexy, ses jambes galbées. Son abdomen dessiné, son buste petit mais ferme. Ses hanches et sa taille sont marquées. Elle était magnifique et désirable. Parfait pour un casse-croûte. Maintenant en face, son index se pose contre sa poitrine.

- Je dois prendre une douche.

Il s'avança, tout en la poussant vers le pommeau. Une fois arrivé, sa main suit la ligne de sa mâchoire, puis sa gorge avant d'y fermer ses phalanges rugueuses et épaisses autour dans une cage de domination indomptable. Elle venait de signer pour un long moment à jouer les quartiers de viandes pour un barbare en manque. L'eau chaude vient frapper leur corps, sa crinière de lion collant à son front, cachant un regard sombre sur un sourire carnassier tandis que son bras gonfle pour la retourner contre le mur. Soulevant une jambe, sa hampe vient frôler ses lèvres intimes avant de buter contre son antre. Une main ferme et permissive s'enfoncent dans sa cuisse qu'il tient avec une prise autoritaire, l'autre vient se saisir d'un sein pour la pétrir brutalement.

- Déjà chaude... Déjà mouillée...

Il venait effectivement de sentir la chaleur de son sexe irradier le sien pour mieux le maculer de cyprine déjà présente. Aucun préliminaire n'était effectivement nécessaire même si bien sûr, il compte ravager sa gorge d'une fellation obscène plus tard. Butant contre son antre, il écarte ses parois pour rentrer dans un geste sec et féroce dans un soupir satisfait. La chaleur de son sexe, couplé à l'eau qui frappe leurs corps nus, donnait une certaine sensualité à la situation. Pour autant, c'est un véritable fracas d'organes internes qui vient chambarder la vulve de la concernée, traversant son fourreau avec une joute épaisse et veineuse pour frapper le fond.

La collision cinglante fait des vagues sur sa peau, ses fesses rebondir indéfiniment chaque fois qu'il la pénètre. Il quitte sa poitrine pour écarter son fessier pour observer son pénis courir avec force, entrant et sortant dans des effluves de fluides qui trahissent l'excitation commune. Lui qu'il pensait se défouler, il venait de trouver le jackpot. Une débauchée soumise qui n'attendait que son passage. Ses râles commencent à résonner dans la pièce, un écho caverneux qui donnait du poids à toute sa force déjà présente, la besognant dans un rythme strict et viril. La pénétration donnait un bruit très gras ; un "plop" qui signifiait toute une quantité de pré-semence visqueuse remplir ses parois pour le meilleur et pour le plaisir. Sale, barbare, mais étrangement bandant, pensa-t-il.

8
Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: vendredi 15 octobre 2021, 13:41:48 »
Une main aventureuse dans ma crinière hirsute qui attise encore plus mon excitation, elle impose un poids plus conséquent faisant plonger ma langue entre ses lèvres intimes pour mieux malmener son clitoris, les bords de son antre avant d'y pénétrer langoureusement, les gorgées abondante de cyprine marquant la mesure chaque fois que je déglutis.

- Hmmm... Hmmm... ~

Un parfum de chatte à m'en tordre le bas-ventre de plaisir, mes yeux affichent la folie d'extase, embué par un plaisir si grand de la voir se contorsionner sur mes coups de langues, mes succions sur son clito enflé, mes baisers grossier roulant sur ses lèvres, un balais d'obsédé pour un cunni' appétissant. Bientôt, ses énormes cuisses, moelleuses et chaudes viennent enserrer mes joues avant d'avancer son bassin, ma posture devient plus confortable, on peut l'entendre à un ronronnement si grave dans mon torse qu'on se demande qui prend le plus son pied dans la chambre.

En levant les yeux, c'est une chaîne de montagnes de chairs qui bringuebalent au gré de ses gestes, voyant un sein bien seul tandis que son jumeau subit des attentions de son propriétaire, une poigne virile et autoritaire vient plonger sur lui, avant de le malaxer, fermement, avant de chercher son bourgeon pour le stimuler. Ma main libre se ferme sauf sur le majeur et l'annulaire, et commencer à écarter ses chairs pour racler ses parois, la paume de la main vers le plafond, toujours en suçant son bouton avec la voracité d'un dalleux en manque, ramonant désormais sa vulve avec ferveur.

Un claquement de lèvres pour lui sourire, savourant son sein dans le creux de ma main, sa chaleur, moelleuse et douce. Sentant le filet de lait ruisseler entre mes phalanges comme pour refroidir la friction brûlante entre nos peaux. La pièce se retrouve embrumé par cette chaleur qui irradie de nos êtres, le mâle, la chatte, nos corps en sueur et ce n'était que le début.

Comme un avertissement coquin et pervers, j'impose un "dilemme" avec un sourire espiègle.

- Soit tu réclames ma queue, soit je te fais jouir. Rassure-toi, je te baiserais quoi qu'il arrive.

Je m'attaque à ses cuisses en les butinant entre le baiser à la morsure, comme si sentir sa chaire épaisse et galbée pouvait calmer mes envies, mais non, tout le contraire. Deux gros doigts qui la baise comme deux queux qui connaissent leur chemin, ma bouche retrouve ses lèvres et son bouton de chair, avec un gémissement qui trahissait de nouveau la saveur que j'appréciais.

- Hmmm... Tu es délicieusement bonne.

Que je bredouille avec exaltation. 

9
Zone Sous-Marine / Re : Quand la lumière baisse [Héraclès]
« le: samedi 28 août 2021, 22:48:57 »
 Il y avait une question en suspens, et je vais vite trouver une réponse. Dans ses yeux. Un regard mêlant la dépravation, l'appétit insatiable, la luxure à son paroxysme. Bientôt, j'y lâche même mon emprise lorsque son élan trahit l'envie débauchée de me limer la queue avec sa gorge, sa langue, ses lèvres pulpeuses et évidemment sa lourde poitrine grasse et opulente. Les bras maintenant croisés derrière la tête après avoir léché mes doigts de sa mouille abondante, je gronde mes gémissements dans une voix grave et satisfaite, des souffles d'aises bruyants à chaque expiration.

- Salope... Tu es parfaite. Délicieuse, au passage.

Des petites mimines tenant difficile ses monts de chairs, à la fois grotesque et incroyablement excitant, elle se fracasse avec une vitesse grandissante en étau autour de ma queue, le réchauffant toujours plus, l'engluant toujours plus, glissant toujours plus, me crispant bientôt tout le corps à l'approche imminente de mon orgasme. Ma respiration s'emballe, mes oreilles entendent toujours les bruits de succions et claquement de poitrine et son coulissement dans son sillon.

- Grrr...GRRR...RAAAH !

Le premier jet de sperme explose les portes de mon urètre pour ébouillanter le couloir buccal qui massait mon sexe. Les salves se poursuit dans un bruit de remplissage odieux, compact et gras, le liquide s'en va s'obstruer dans son œsophage alors que je continue de rugir ma jouissance, mes lourdes burnes se rétracter pour continuer de vomir sa semence épaisse. Débordant de ses lèvres alors que ses joues gonflent, pour sécher sur son visage et sa poitrine, j'enroule mon poing dans sa chevelure pour retirer ma bite de ses lèvres comme un sabre qu'on sort de son fourreau, le souffle haletant. Laissant sous yeux de désir une verge veineuse, souillée de baves et de fluides, mais toujours pulsante.

- On a pas fini, il faut que cette queue te baise maintenant. On va reprendre tranquillement dans la chambre... 

Je quitte le pick-up après m'être rhabillé pour faire le tour, saisis une veste large pour mes épaules sur la banquette arrière, et en faisant le tour côté passager, je lui prête derrière un clin d'œil taquin pour éviter de se faire virer par le gérant parce que j'amène une pute à moitié à poils dans mon plumard.

- Je te garde encore chaude, ça serait dommage que tu chopes froid. Que je gronde presque attendrissant.

Lui offrant donc mes bras, je la porte en la gardant près de moi. J'ignorais si elle aimait les muscles, mais j'espère pour elle que ça sera confortable. On passe le comptoir, un signe de tête entendu avec le réceptionniste qui doit imaginer une copine, je retrouve l'ascenseur. La veste la couvrant suffisamment, j'en profite avec mon bras tenant ses jambes de glisser de nouveau mes doigts entre ses chairs pour continuer à la faire couiner et mouiller. Roulant sur ses lèvres, puis son bouton de chair, un majeur bien trop taquin finira par s'engouffrer pour élargir ses parois.

- Chaude...Mouillée...

Les portes s'ouvrent. La portant que d'un bras maintenant, je lèche sa mouille sur mon doigt comme si je dégustais un nectar divin. Elle était si bonne. Habilement, je trouve sans mal la carte pour ouvrir le battant et m'approcher de suite du lit avec le pas pressé, encore la béquille dans mon pantalon. Avec une nonchalance qui m'est propre je la balance sur le lit, profitant de toute ses chairs remuer avec la concupiscence dans les yeux. Prédateur. Carnassier.

- Est-ce que tu aimes quand on te bouffe la chatte en retour ? Parce que moi j'adore ça.

Attrapant ses jambes, je pose mes genoux au sol pour que ma bouche soit au niveau de sa vulve quand je la tire d'un geste sec dans ma direction - au bord du lit - simplement pour respirer la chaleur odorante de son vagin moite par le plaisir. J'y palpe l'intérieur de ses cuisses, embrasse ses chevilles puis remonte dans un filet de bave toute ma langue contre sa peau sur sa jambe pour finir jusqu'à l'aine. Puis son pubis légèrement duveteux, le regard embrumé par son saisissant parfum d'œstrogène.

- Alors...?
 
Je retire alors mon t-shirt, des bouffées de chaleur d'excitation tandis que mes muscles roulent sous ma peau au gré de mes mouvements, mon dos massif et encombrant devenant rond pour se pencher devant mon potentiel repas dont je vais prendre un plaisir sans fin à déguster.

10
Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: mercredi 25 août 2021, 15:17:49 »
  Tous mes sens sont aux aguets, mais dans une sélectivité cruelle. J'oublie ses cris pour entendre ses couinements, j'oublie son corps en panique pour ne voir que sa chair se dévoiler derrière le tissu humide, j'oublie ses prunelles affolées pour contempler simplement la beauté de ces dernières. Comme une proie enfermée entre les pattes de son prédateur, je la laisse s'agiter pour qu'elle s'essouffle à l'usure, sans m'arrêter sur cette masturbation forcée qui le devient... De moins en moins.

Un combat entre sa pensée et ses sens. L'infirmière devenait de plus en plus la salope que j'attendais.

Elle ne crie plus, elle gémit, elle ne se bat plus, elle embrasse le plaisir. Un plaisir que je souris avec un sourire carnassier. Parce que c'est toujours satisfaisant de faire couiner une chienne, et j'ai l'impression qu'aujourd'hui j'ai touché le jackpot. Ses yeux sur le jet qui se déverse en continue dans une pluie chaude devient son seul intérêt, où elle pouvait observer derrière ma queue enfler doucement, bringuebalante vulgairement au gré de mes pulsations. Crachant sa pré-semence doucement par la simple excitation d'observer ce corps qui se voit à travers le tissu.

- Qu'il est beau ce string...

Joignant mes mains à mes mots, je lâche le pommeau pour déchirer son pantalon en l'ouvrant comme un paquet cadeau. Pour observer ses lèvres intimes mordre son sous-vêtement que je frotte du plat de la main alors que l'autre déchire le haut pour en apprécier sa poitrine ronde, opulente et rebondie. Son soutif dans le creux de la pogne, je le respire avec une obsession animale. Pour mieux pétrir ses seins quand je m'en suis débarrasser. Deux mots de chairs que je palpe, masse, pétrie, avant de me pencher pour les embrasser, saisir le bourgeon entre mes lèvres, faire des cercles autour de ma langue pour les mordiller dans des morsures mêlés à des baisers. Vorace. L'un puis, l'autre, je recommence, puis les écrasent l'un contre l'autre pour en profiter de leur grosseur entre les mains. J'en veux plus, beaucoup plus... Lui empoignant les hanches, ma langue vient lécher le tissu pour rouler sur son clitoris, inlassablement. Cette même langue qui viendra aussi parcourir ses cuisses, une morsure sur la partie interne avant d'arracher ce string qui devient seulement un obstacle.

Lui attrapant sa cheville si fine que je pourrais la casser sur un mauvais geste, je la retourne pour la faire rouler brutalement sur le ventre. Une énorme gifle viendra la punir avant de soulever sa croupe dans une position de levrette, mais pas encore pour la baiser. Seulement lui bouffer la chatte, plongeant mon visage entre ses fesses, et me délecter de ses lèvres intimes dans des bruits de succions qui continuent de m'exciter au plus au point. Sentir sa mouille remplir mon œsophage, écartant ses fesses pour apprécier ce que je vais défoncer encore et encore. Son vagin comme son anus. L'odeur de luxure. L'odeur de chienne.

Une autre gifle, pour voir remuer son gros cul, je gronde mes gémissements sans un mot.

Son fessier déjà marqué par mes violences, je me redresse pour enrouler sa chevelure autour de mon poing et la traîner en laisse jusqu'à ce que ma queue veineuse et intimidante finisse sur son visage. Frottant le long de ma bite sur sa frimousse, je lui laisse le soin également de laisser mes effluves séminales et odorantes de mâle badigeonner son museau avant de lui pincer les joues, pour les tapoter vulgairement dans un geste humiliant.

- Avales-la.

Mon poing se ferme, pinçant dangereusement son cuir chevelure tandis que mon nœud désormais décalotté bute contre ses lèvres, brûlant, fumant, coiffée d'une toison pubienne épaisse. On pouvait déjà observer le pré-sperme épais et gluant sécher à vu d'œil sur sa bouche.


11
Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: mardi 24 août 2021, 12:23:46 »
Des fois, on a l'impression que la vie nous fait une farce.

Comme si le destin s'emmêlait les pinceaux, et qu'il vous écrivait une situation qui n'avait ni queue ni tête. Des moments insensés donc, mais qui nous exemptent pas d'une certaine surprise. Enfin, j'irai mollo avec ce terme. Une surprise pas forcément agréable, ni désagréable mais qui nous laisse niaisement sur le cul. Alors, on cherche, on se refait l'histoire et les choses deviennent soudainement plus claires : Rien ne va. Si les lignes de cette histoire devaient être écrite, on pourrai presque dire que l'auteur était complètement pommé sur les tenants et aboutissants de la situation.

L'existence me fait donc une belle farce. Terminant d'assembler la jambe avec une attention rigoureuse, un nouveau silence prend place. Comme si j'avais besoin de ce calme pour réfléchir. Donc, elle a ratée sa mission, ils ont les données, elle ne connait pas son client... Donc...

"... C'est... Inutile ?"

J'hausse les deux sourcils, soupir et quitte la pièce. Laissant la porte ouverte, peut-être qu'elle trouvera le moyen de sortir, ou pas. Plus vraiment mes affaires, désormais. Mais moi, mon travail s'arrête là. Croisant donc mon nouveau patron, il croise les bras, mécontent, mais il ne verra que ma main attraper sa gorge pour le balancer contre un placard qu'il traverse sans difficulté. Lui aussi, inutile, insensé. Comme une figuration vide qui ne servait qu'à incarner un cadre d'autorité.

Je retrouve l'extérieur. Il fait jour, l'air n'est pas frais, mais poussiéreux. Une tempête se lève. Mettant ma cape à l'épaule, je recouvre ma tête avant de prendre une direction vers la ville, espérant trouver un travail peut-être plus sain, et qui a un minimum de sens. Evitons les tortures cette fois.

Evitons les, pour toujours.


FIN.

12
Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: vendredi 20 août 2021, 18:49:51 »
Un clignement des yeux, super. Elle a pigée. Une demi-journée pour ça. Ma foi, mieux vaut tard que jamais. Un regard sur le carnage que j'ai laissé ; ça me rappelle les androïdes de maintenance quand j'étais en chantier industriel sur Terre. Les pièces sont d'une technologie plus avancée car miniaturisée mais rien de bien impressionnant. Mais si devant elle j'ai le stéréotype du colosse qui a un biceps plus gros que le cerveau, tant mieux, ça me laisse une longueur d'avance pour mieux la duper. Une ponceuse pour virer les bavures métalliques, chanfreins, et autres impuretés sur le membre inférieur arraché, je rends les zones de l'articulation lisse au maximum pour permettre une jonction entre sa cuisse et la prothèse la plus proche possible. L'assemblage est une chose, mais il faut que le mouvement soit dans une cinétique irréprochable.

La rotule me fait d'ailleurs penser à une biellette de direction qu'on trouve sur les drones à quatre roues. Je retire le câblage défaillant, le dénude et fixe du neuf derrière une nouvelle gaine isolante. Il fallait maintenant fixer et souder autant pour les capteurs que les sondes thermiques pour que le cerveau puisse envoyer ses commandes. Mais d'abord, une réponse.

"Alors, qu'est-ce qu'on t'as demandé de faire ?"

Je cherche une visseuse, avec les rivets correspondants, un poste à soudé pour fixé toute la partie connectique, des mouvements délicats, sûrs, presque chirurgicaux. Tout est prêt, mais juste à côté, je déploie une barre à mine de 17 kilos. Rouillée, épaisse, et enduit de sang séché. Elle finira de biais contre la table. Pile ou face. Noir ou blanc. Réparation ou empalement.

13
Les contrées du Chaos / Re : Le silence de l'agent.
« le: jeudi 19 août 2021, 19:54:14 »
Aucune réaction. Et autant dire qu'elle était aussi attirante qu'un vagin de poche en décomposition. Donc elle est prête à mourir pour ses informations. Ou peut-être parce qu'elle ne voit pas la lumière d'espoir qui lui permettrai de lâcher le morceau. Pas faute d'avoir poser une seule et dernière question, pas faute qu'elle n'ait pas saisi l'opportunité. Pas faute que la lumière ne passe pas dans ses connectiques.

Mais, soit, essayons de mettre un peu de lumière dans cet endroit macabre.

Difficile de rester dur entre les jambes. Alors, avec un grognement de frustration je remets mon pantalon. Silencieux, une gifle calleuse et épaisse s'abat sur son visage, impact cinglant qui l'envoie rouler bouler plus loin avec une facilité déconcertante. Madame invincible, madame robot, madame jouet, madame rien. Je m'en vais sans demander mon reste, une idée derrière la tête.

Un sursaut d'espoir. Je la laisserai mariner à l'intérieur encore quelques temps. Qu'elle rumine son semblant de réflexion, en espérant qu'elle soit un peu plus pertinente que jouer les impassible. On peut vivre dans la dignité, pas mourir. Quand on est mort c'est fini, nous sommes qu'un monceau de chair - ou tas de pièces détachées pour certaines - qui prennent la poussière, soumis au lois du temps et de l'espace. Jusqu'à ce que ces outrages temporels nous vaporisent pour de bons, ne laissant aucune trace. Hormis un nom. Mais personne ne se souviendra du sien, ou alors de celle qui a préférer se taire plutôt qu'avouer ses bêtises.

***

Six heures plus tard, laissant à elle un sentiment d'intemporalité affreux pour les sens et pour le moral si on est un peu humain, j'arrive avec nouveau dispositif demandé gentiment à mes nouveaux "supérieurs"; un nécessaire de réparation. Des prothèses de remplacement, et même un siège d'opération confortable ; un cuir moelleux en position réglable. Deux sbires saisissent rapidement "l'accusée" avant de la sangler fermement. En face d'elle, une table qui présente cette lumière d'espoir. Un matos suffisant pour qu'elle retrouve ses gambettes, et un semblant de dignité. On me trouve une chaise, que j'écrase de mon poids dans un concerto de couinement métallique avant de me frotter le front d'une sueur notable.

"On va donc recommencer. Tu t'es fais arrêter par un groupe de personnes. Tu faisais probablement des choses, et quand je dis des choses ce n'est pas aller aux chiottes, manger un cheeseburger ou recoiffer ta petite tignasse. Tu as fais des choses qui les intéressent. Manifestement, tu as "pris" ces dites choses. Matérielles ? Immatérielles ? Magiques ? Virtuelles ? Ca, ça va être ta partie, puisque tu vas me répondre. Tu as fais une mission, tu as manifestement loupé le tir ce qui doit donner une bonne idée de tes compétences."

Je pointe du doigt la table.

"Je vais donc commencer à te poser des questions. Elle ne sera posé qu'une fois. Mais, chaque fois que tu m'en donnes, paf, je te retape une partie de ton corps. Mauvaise réponse ou alors tu me fais du boudin, tu meurs éparpillée en pièces, et jetée dans un tas de déjections et d'urines et de cadavres. Je m'assurerais que ça durera le plus longtemps possible. Dans le cas contraire, tu peux t'en sortir et espérer continuer ta vie de machine, forniquer avec des ordinateurs ou que sais-je."

Je finis par prendre une grande inspiration, renforçant déjà mon esprit au pire.

"Cligne des yeux si tu as compris."

Un silence religieux tandis que j'attends sa réponse. J'ouvre une caisse à outils à côté, évidemment ce qu'il faut pour rafistoler, une visseuse, des câbles de rechanges, des écrous neufs, de l'éteint pour les points de soudure, etc.

Choisis cocotte, soit je suis ta porte de sortie, soit ton bourreau.

14
 
Même en boudant, elle garde cette candeur enfantine toujours aussi attachante et adorable. Je ne pouvais m'empêcher de ricaner nerveusement. A cette légèreté. Rendant mon séjour si léger justement, que j'avais presque du mal à réaliser que j'étais le Mâle ennemi n°1 actuel. J'hausse toutefois un sourcil un peu inquiet lorsqu'elle se décide soudainement sur un chemin après un regard bien trop rapide sur son guide. Je me dis que quoi qu'il arrive nous risquons pas grand chose vu la désertion du coin, et que je suis tout de même accompagné d'une Sénatrice connue de tous, enfin, toutes, plutôt.

Mais quand aux potentielles autres menaces, mieux vaut rester vigilant.

Si elle me posait la question, oui, je lui dirais directement que sans elle, je suis perdu. C'est dire à quel point je lui fais une confiance aveugle. Cette confiance qui me fait apprécier justement le coin, même si j'ai l'impression que le relief est bien plat et désert, non que j'aime pas les plaines, mais qu'il manquait de formes. Et puis elle avait quand même parlé d'une crevasse, c'est donc que l'environnement a l'air assez varié pour y apprécier ses richesses. Mais les prunelles de ma guide de fortune balaye sa carte plusieurs fois, et je ressens comme une hésitation bien présente.

Aussitôt effacé par la certitude de ce que nos yeux voient enfin : ladite crevasse.

Elle ressemblait à une bouche obscure qui crachait son sable par des bourrasques incessantes et dérangeantes, autant pour elle que pour moi. Derrière mes bras en croix pour me protéger la vue, je pouvais “admirer” la désolation du lieu. Dépourvu de verdure, de vies organiques, les couleurs du désert se mélangent à l'argile grise des profondeurs, dont ses parois ont l'air abrasives et parfaitement lisse à la fois. Une terreur naturelle et fascinante. Curieuse dichotomie. Entre les sifflements du vent, j'entends alors l'agacement de Lied, et pour le coup, moi aussi je la comprends.

- Aucune idée... Mais je pense qu'il va falloir faire attention.

Curieuse promenade. Elle avait désormais des allures d'aventures à l'improviste. Je dis pas que je n'aime pas ça, mon soucis était surtout la survie de Mueller. Parce que si elle lui arrive quelque chose, je serai fatidiquement le responsable. Et aussi, que je ne me pardonnerai jamais qui lui arrive quelque chose seulement pour me faire plaisir. Mais, elle avait raison. L'endroit avait son lot de mystère mais dégageait une immensité si envoûtante, un cadre magnifique pour un dépaysement total.

Mais le temps se gâte.

Finalement en s'engouffrant, c'est la crevasse qui va nous servir d'abris dans un spot qui m'a l'air prévu pour. Elle avait l'air de connaître finalement le chemin et si en apercevant que la potentielle sortie était devenue également une impasse et qui la faisait rire, moi, c'était plutôt l'inverse : l'inquiétude grimpe encore d'un cran. De son côté, elle avait l'air d'apprécier ce danger ambiant comme un espèce de sursaut dans sa vie entourée de la plus entière des sécurités. Je comprends le sentiment, on se sent vivre, pour de vrai, l'impression que les choses comptent vraiment. Et c'est presque un honneur qu'elle puisse vivre ce genre de sentiment en ma compagnie. Sans la terreur de se faire brutaliser ou malmener. Un exploit. Clairement. Maintenant, à l'abri...

- Sacrée aventure, oui. Euh, là, dans l'immédiat...

Je regarde alors la tempête nous passer devant, cette membrane d'air emportant la poussière dans une vitesse et une violence conséquentes. Rien d'autre à faire. Ma voix s'éteint doucement tandis que je l'observe balancer la pierre dans une expérience aussi innocente qu'infantile. Mais ça donne une idée de la profondeur abyssale du trou. Finalement une pierre arrive dans le creux de ma main, je pouvais observer les phalanges fines et douces caresser ma paume, y laisser le projectile sur ma peau calleuse. Un sourire timide fend mes lèvres, le regard attendri par tant de pureté qui s'en émane. La culpabilité grandit en moi. M'imaginant étrangler tout ceci, impitoyable, sauvage, juste pour assouvir mes désirs les plus obscurs. Quel horrible scénario... Je rassasie alors aussi la curiosité sur cette profondeur en observant la pierre disparaissant dans les ténèbres rocheuses...

Durant l'ellipse qui précède la fin de la tempête, je m'amuse comme un enfant en la suivant dans tous ses jeux avec une curiosité nouvelle que je découvrais au fur et à mesure. Une bulle, amusante, légère et sans se poser de question. Malheureusement, on perd le guide plus tard. Et je ne lui en veux pas de ne pas avoir fait attention. Maintenant la question se pose, maintenant que nous sommes au milieu de nulle part. Et d'un coup, j'ai une idée.

- J'espère que tu n'as pas le vertige.

Je pris quand même le soin de prendre un autre cacheton avant de porter Lied dans le creux de mes bras sans m'annoncer, et décoller dans les airs pour avoir une vue panoramique et totale du paysage. L'air est plus fort, maintenant que nous sommes à une cinquantaine de mètres de haut. Le monde au sol rapetisse, une déconnexion terrestre toujours aussi agréable à vivre, qu'importe la planète. Mais peut-être pas pour ma nouvelle comparse.

- Ca sera plus simple de repérer la maison. Tu seras mon copilote.

Sur ses mots, je me propulse vers l'avant, m'assurant que son corps soit bien blotti contre moi pour éviter les accidents malheureux. En espérant que sa mémoire lui revienne...

15
Centre-ville de Seikusu / Re : On a besoin d'un médecin ! [PV Teruna]
« le: dimanche 06 juin 2021, 00:05:06 »
D'abord un silence alors que le jet rythme sa valse aqueuse contre le syphon de la salle d'eau. L'épaisseur de mon torse gonflait et dégonflait doucement au gré d'une respiration calme et tranquille. Remerciant silencieusement mon infirmière de m'avoir sorti de là.

Mais je doute qu'elle compte me remercier après ce que je m'apprête à lui faire.

- Mon sous-vêtement aussi ? Très bien.

Un sourire narquois, un regard sombre, des gestes lents, je fait rouler doucement les plis de mon bas sur mes cuisseaux avant de le faire tomber au sol. Ma queue dans une érection paresseuse en sort après un odieux rebond alors que mes bourses bringuebalent entre mes cuisses, nonchalantes. A ce moment-là, l'odeur de sexe testostéronée emplit la pièce, amplifiée par l'humidité et les vapeurs de l'eau chaude qui embaume le cadre. Ma queue dans une proportionnalité qui me rendait honneur, la question sera de savoir si elle m'encaissera. Quelque part, rien à carrer, ça passera, peu importe comment et peu importe dans quel état.

Un dernier sourire alors qu'elle tient le pommeau. Je m'approche alors que mon ombre l'enveloppe de toute ma masse. Avant de rire doucement. Jubilant déjà à ma prochaine idée.

- Je vais récupérer le pommeau. Et vous aussi par la même occasion.

Sans m'annoncer, j'attrape ses deux mains dans le creux de la mienne. Une projection au sol aussi rapide que violente l'écrase au sol dans une éclaboussure d'eau. Menotté dans ma pogne scellé comme un carcan d'acier, mes énormes cuisseaux écartent les siennes avant d'envoyer le jet partout sur son corps dans un premier temps. Apprécier le tissu devenir transparent, voir ses sous-vêtements, puis ses formes voluptueuses. Une grosse poitrine, des cuisses galbées, des hanches parfaites pour se faire attraper...

- Ouaw, tu es peut-être très conne, mais tu es diablement sexy...

L'autre main tenant le jet d'eau va descendre dangereusement, cherchant d'abord l'intérieur de ses cuisses, puis l'agitant de haut en bas, fouettant sa fente par la flotte qui l'embrasse par salve constante d'eau chaude. Elle bouge, s'agite dans tous les sens, mais ma poigne vient enserrer ses mains dangereusement pour mieux la faire couiner. Puis en relâchant l'étreinte c'est une gifle ferme et punitive qui vient lui dévisser la tête vers la gauche pour faire disparaître le dernier sursaut d'espoir qui mijotait en elle. Profitant qu'elle soit sonné, ma main empoigne sa gorge, la plaquant davantage au sol. Pour ensuite poser mes règles.

- Tu viens de t'enfermer avec un quelqu'un qui va se faire du bien, beaucoup de bien. Tu n'es plus infirmière ce soir... Juste ma petite chienne durant le temps que je décide.

J'approche le pommeau, puis continue de le bouger délicatement pour que la pression roule sur son clitoris puis sur ses lèvres extérieures, le tout à travers un tissu dorénavant détrempée. Jubilant comme le plus parfait des dépravés, ma bite se dresse rapidement pour montrer toute sa colonne derrière ses veines épaisses sur sa peau fine, des lourdes burnes duveteuses, perlant de gouttes d'eaux sur tous les sillons de mes muscles congestionnés par l'excitation, l'appétit, le désir.

- Une question de temps avant que ton corps ne réagisse... On a tout le temps devant nous...

Pages: [1] 2 3 ... 6