Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

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Alecto Nemed

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    ~Esclave de Thiana Gian~
    Petite, passe inaperçue. Cicatrices, ou traces de brûlures sous les bras, près du cou, bref, un peu cachées.
    Crédule, extrêmement pieuse, facilement impressionnable et très discrète, elle va rougir si vous continuez à la regarder ainsi !

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 30 lundi 01 juin 2020, 19:16:49

Honteuse, Alecto baissa les yeux pour éviter le regard de Yazill... Mais ses iris se posèrent immanquablement sur son sexe, et elle rougit immédiatement. Cette situation était très gênante, et l'Esclave avait réussi à reprendre peu à peu une contenance. C'était sans compter la malice de son Invité, dont le nez taquin frôle le sien, son visage bien trop près pour être convenable...

Repoussant ? Telle était pas la question, c'était un charmant jeune homme, et sa nudité permettait d'attester qu'il ne bénéficiait pas d'atours pour se rendre plus séduisant. Mais. Elle avait un homme nu dans sa chambre. Et puis, quant à poser sa bouche sur celle d'un homme... avec envie, en plus... Comment dire... Ce n'était pas non plus la question, enfin !

Elle allait ouvrir la bouche pour balbutier, quand il lui coupa l'herbe sous le pied, et fondit sur ses lèvres, pour l'embrasser.

Écarquillant des yeux ronds de surprise, elle ne parvient pas à protester, et voir son regard planté dans le sien alors qu'il l'embrasse la déroute. Elle clôt immédiatement ses paupières, honteuse et passive. Elle aurait réussi à supporter son baiser sagement, s'il n'avait pas reprit sa caresse sur sa poitrine. Dès son contact, Yazill aura pu ressentir un tressaillement, et contre sa bouche, elle ne put réprimer un gémissement qu'elle regretta immédiatement.

L'intelligent Yazill, ce très très puissant mage métamorphe, trouva alors du souffle pour trouver les mots justes. Il semblait... lui demander une faveur. C'était une prière. Elle ouvrit doucement les yeux, troublée. Était-il moral de ne pas venir en aide à son prochain ? Il était indigne de ne pas le secourir, quelqu'un qui avait des valeurs aussi pieuses et bonnes se sentirait immédiatement saisi. C'était comme... comme de la Charité ? Oui. Cela fit sens en elle. Ce pauvre voyageur veuf qui avait enduré tant d'épreuves difficiles, devait-elle être cruelle et lui refuser un peu de chaleur ?

Alecto essaya de sonder son regard, comme s'il possédait les réponses à ses puissants dilemmes. Oh, oui, il en avait énormément, des réponses, mais la jeune fille ne su pas les lire. Elles lui auraient sans doute fait peur...
Contrainte de tordre sa bouche en une moue déconfite, l'Esclave murmura.

"Je... D'accord mais... Vous... Vous n'allez pas me frapper, n'est-ce pas ?" Demanda-t-elle avec crainte. La plupart de ses "amants" avaient été violents, elle craignait d'avoir à subir ses brutalités, comme si toute relation était ainsi.
Il était bel homme, elle devait l'avouer, et ses arguments terriblement bien choisi, avec une malice perfide. Alecto ne pouvait pas lutter contre Yazill, qui la surpassait en tout.

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 31 lundi 01 juin 2020, 23:34:06

Je sentais ma supériorité face à sa soumission innée, ou acquise à force de châtiments culpabilisateurs. Là voilà qui cède, comme je l’avais prévu et surtout tant espéré ! Ce baiser à un goût de paradis. Son odeur m’enivre, j’en suis de plus en plus fou. A chaque mouvement, à chaque soupir, je tache de lire en elle, mais je n’y perçois que confusion et pulsions contradictoires. Elle semble tout le temps en proie à des conflits mentaux, dès que se manifestent ses émotions. Nul doute qu’on s’en est servi pour la plier, la soumettre. Je ne le ferai pas à mon tour. Mais j’adore ses yeux qui s’ouvrent tout ronds ! Et ses pommettes qui rosissent. Je serai sa douce consolation d’un soir, dans son monde humiliant et injuste. Un délicieux souvenir pour toujours. Mais voilà qu’elle craint encore quelque chose… qu’elle me questionne. La battre ?  Je m’interromps un instant et bats des cils, perplexe,

- Je… Non ! Bien sûr que non !

Sincère. Mais très vite j’ajoute malicieux, avec un petit  sourire taquin et un ton doucereux,

- Sauf si tu me le demandes gentiment, cela va sans dire, hé hé hé…

Avant de me rendre compte qu’elle ne trouvera sans doute rien d’amusant à cette boutade. Comme pour la lui faire oublier, je l’embrasse à nouveau, avec toute la sensualité dont je suis capable, en la tirant doucement à moi et sur moi, me laissant descende doucement en arrière, m’allongeant sur le lit. Ce faisant, je m’arrange pour glisser une cuisse entre les siennes qui vient doucement appuyer contre son intimité. Et dès que je peux je luis murmure, ronronnant à nouveau bruyamment – car je garde aussi cette fonction là –

- Tu es magnifique Alecto, et j‘ai vraiment très envie de toi…

Avant de picorer l’angle de sa mâchoire et boire de son joli cou, agrippant sa croupe généreuse de mes grandes mains qui la pétrissent aussitôt doucement, mon membre à présent dur et dressé, chaud et pulsant entre nos deux corps serrés.    
   
ces pages qui s'ajoutent que je ne pense pas à tourner ! Grrr... j'aurais vu ton post bien plus tôt !
« Modifié: mardi 02 juin 2020, 10:47:36 par Yazill »
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 32 mardi 02 juin 2020, 19:15:50

Inconsciemment, l'Esclave souffla un soupire de soulagement. Yazill disait qu'il ne lui ferait pas de mal, et en bonne candide, elle le croyait incapable de mentir. Sa petite remarque, non dénuée d'humour pour quiconque hormi Alecto, la fit relever les sourcils en une expression étonnée. Est-ce que des gens aimaient vraiment qu'on les frappe ? Pendant leurs ébats en plus ? Ce concept lui sembla étrange, elle qui n'avait jamais eu la chance d'expérimenter que des relations contraintes et brusques.

Elle avait parfois entendu, à bien y réfléchir, quelques sons comme des gifles quand son oreille était collée aux portes de la chambre d'un de ces anciens Maîtres, quand il revenait ses concubines, régulières ou officieuses, et que sa curiosité maladive la poussait à écouter malgré le risque encouru. C'était toujours un concerto de gémissements, de bruits cocasses ou non-identifiés pour l'imagination limitée par l'éducation de la Domestique.

Mais elle secoua la tête assez vite, lui signifiant qu'il était fort peu probable qu'elle quémande une fessée. Elle finit son mouvement de visage contre sa bouche et se sentit basculer contre lui, se retrouvant bientôt au dessus de son Invité. Son genou entre ses cuisses la firent sursauter et elle manqua de hoqueter, mais ses lèvres étaient emprisonnées par celles de Yazill. Elle mit du temps avant de s'habituer à cette position, encore tremblante, et à la pression qu'elle sentit pulser contre elle, et qui n'était pas du tout son genou...

Son Hôte métamorphe lui roucoula de si flatteurs compliments, que l'Esclave se laissa fondre. Même si elle était loin d'être vaniteuse, qui pourrait détester qu'on lui murmure des mots doux ? Qui résisterait à cet aveu, quand ronronnait un jeune homme dénudé aux baisers assoiffés ?

Au delà de la gêne de se trouver sur et vraiment très très collée à un homme parfaitement nu, elle aurait eu du mal à nier que son corps, lui, avait bien moins de scrupules que sa morale et ses principes rabat-joie. Son bas-ventre était chaud, et les mains qui malaxaient ses fesses n'arrangeaient rien ! Alecto respirait un peu vite, elle cherchait à mesurer ses inspirations, mais les compliments de Yazill l'avaient ému.

Il était décidément bien habile à la baratiner, à moins qu'il n'y ait quelques bribes de sincérité ? L'Esclave ne pouvait, en tous cas, pas douter de l'émoi qui habitait l'ex-matou, que ce soit par son membre dur, compressé contre ses voiles maltraités qui ne cachaient plus grand chose, ou par les baisers et sucions qui dévorait la peau de son cou. Plus il agissait, plus elle peinait à garder les idées claires. Il fallait qu'elle conserve sa raison et sa sagesse... Mais ce pauvre Yazill esseulé avait tant envie d'elle, et tant besoin de la moite chaleur de son être. Comment le lui refuser ? Il serait peu charitable de l'abandonner sans le soutenir dans cette existence d'errance morne, où il expiait pour ce crime affreux d'un amour disparu...

Rompant le contact, elle se redressa sur lui, et frémit de sentir son assise bien plus lourde sur le bassin du voyageur aux oreilles de chat. Alecto avait cru que ce serait plus acceptable, mais finalement, cela accentuait son agitation. Totalement ignare de la manière de procéder, elle lui lança un regard embarrassé, mais il n'était clairement pas acceptable qu'elle lui demande quoi faire. Elle espéra que ses yeux parleraient pour elle. Comment lui apporter l'attention dont il avait tant besoin ?

Les fois où ses Maîtres abusaient d'elle, c'était simple : elle était tirée par les cheveux, et prise comme n'importe qu'elle chienne sans ménagement. Pouvait-on vraiment faire d'une autre façon ? Un peu perdue, et surtout, n'osant absolument pas agir de peur, soit de se faire corriger, soit d'effectuer un geste déplacé qui était tout à fait immoral, l'Esclave se mordit la lèvre. Avec des petits gestes gauches, elle tira sur les cordons dorés qui retenaient une petite chaînette reliant deux pans de tissus plus épais que ses voilages de taffetas, servant à cacher son intimité aux clients les plus vicieux.

Avec des tintements de petites clochettes, comme à chacun de ses mouvements, elle gigota au dessus de lui, se dandina avec maladresse, et une moue gênée, avant d'enfin réussir à se débarrasser du sous-vêtement. Elle le plia sagement, ce qui sembla durer un temps infini, soigneuse, et se contorsionna pour le ranger sur le côté, bougeant son bassin contre le sien, de manière totalement hors de toute sensualité volontaire, et désormais, son pubis noir et nu, contre la peau palpitante de Yazill...

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 33 mardi 02 juin 2020, 20:35:50

Sincère je le suis, sans doute même à 100%, malgré le recul et l’humour que je garde face à la situation. Car à vivre dans la peau d’un chat tout le jour, et n’avoir que deux heures par nuit de vie humaine, j’en ressens une grande frustration et me promets chaque matin d’être totalement authentique quand je suis dans ma vraie peau, pour ne pas en perdre une seconde, une miette, par de faux semblants. Je me promets aussi de ne pas juger, rien ni personne pendant ces deux heures, pour ne pas m’ôter le goût des gens ni des choses. Car ce que l’on condamne, on ne peut plus l’aimer ensuite. Et j’ai trop peu de temps pour en perdre avec ça.

Alors, je me laisse émouvoir sans peine par la maladresse et la sensualité involontaire de la serveuse, qui semble tout à la fois faite pour l’amour avec son corps si charnel, et totalement ignorante en même temps. Je comprends qu’elle ne sait pas quoi faire. Je lui souris, rassurant et espiègle à la fois. Ça ne fait rien ! Puis que c’est ça, je prends les choses en mains. Voilà que je me tortille sous elle, comme si j'avais un caillou dans le dos, soulevant mes hanches, m’agrippant à ses cuisses pour la tirer vers moi, et parvient à la faire glisses sur mon ventre… Elle doit se demander ce que je fais ? Je continue, jouant de mes abdos sculptés, à me faufiler sous elle, tirant toujours plus ses hanches vers ma figure… jusqu’à ce qu’elle finisse par me recouvrir le visage de son sublime séant…  Alors, sans demander, n’en pouvant plus, je happe sa fleur dévoilée, d’une tendre bouchée gourmande, langoureuse et appuyée, dans un soupire ému… Le plus fabuleux des baisers !! 

J’en ai un battement de cœur plus fort, mon membre tressaille derrière elle. Mon ventre se noue d'envie et je pousse un petit soupir sonore… avant de recommencer ! Incapable de résister ni d’attendre une seconde de plus. Ses parfums secrets m’enivrent et affolent mes sens, attisent ma soif de sa rosée intime. Et déjà, tel le matou que j’étais il y a un instant, ma langue fouille ses chairs tendre, ses pétales nacrés... Elle cherche et trouve un autre téton, plus petit et mieux caché celui-là, et commence à le laper consciencieusement, de bas en haut, en soufflant mon air chaud dans son noir pubis… Mes yeux cherchant les siens, fixant le dessous de ses seins, mes mains agrippées à ses hanches. Je suis au festin ! Un festin secret sacré... Foi de matou, je vais éclore son bourgeon caché ! Dussès-je la laper jusqu'au lever du jour.         
« Modifié: mardi 02 juin 2020, 20:41:07 par Yazill »
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 34 mardi 02 juin 2020, 22:01:35

Il lui fallut un moment pour comprendre ce que Yazill fabriquait à se tortiller comme un ver, et se demanda même s'il ne s'agissait pas d'un nouveau sort. Est-ce qu'il avait été serpent dans une autre tentative de métamorphose ? Après tout, il pouvait ronronner en cette apparence humaine, même avec quelques traits félins, alors pourquoi pas d'autres animaux ? Il fallait avouer qu'on s'occupait rarement des Esclaves quand on les possédait, et elle sursauta de surprise quand elle sentit où désormais il l'embrassait.

C'était assez saugrenu pour elle, même si naturellement, elle avait déjà eu des expériences de ce type. Quand son Invité lui avait affirmé être en manque de chaleur, elle n'imaginait pas qu'il serait avide de cette chaleur-là. Assurément, il devait apprécier, vu les sons qu'il ronronnait avec délice, et les frémissements de son corps qu'elle percevait, un peu. Un peu car, alors qu'elle se concentrait pour garder la tête froide, l'ensemble, l'intégralité de son corps venait de monter d'un coup en température.

La caresse de sa langue était si fine à cet endroit si sensible, qu'Alecto se mordit la lèvre avec force et une conviction qui en prenait pour son grade, mais qui tenait bon. Si Yazill savait... intérieurement, l'Esclave récitait des prières et toutes sortes de textes sacrés, afin de rester tout relativement maîtresse de ses émotions.

Mais tout ce qui était tangible chez elle, et notamment ses cuisses, vibraient autour du visage de l'ancien Matou, serrant parfois, quand un lapement faisait résonner tout le plaisir que déployait les parties les plus nerveuses de son anatomie. D'abord bien droite, assise sur sa bouche, Alecto ne put plus maintenir son équilibre et fit un effort pour ne pas chavirer sur cette marée houleuse de sensations, avant de se courber en avant, pour se retenir de justesse à la force de ses bras.

"Hm...." Se retint-elle de gémir, alors qu'elle venait de croiser son regard, ce qui la fit rougir, se sentant épiée, et coupable, avant de fermer les paupières.

Le noir autour d'elle ne fit que décupler les ressentis qui lui brûlait les entrailles, et elle dut faire beaucoup d'efforts pour ne pas onduler les hanches. Mais Yazill s'applique et semble déterminé... Alecto a toutes les peines du monde à ne pas émettre de son, mais... Les petites chaînettes de ses cheveux, et les parures à ses bras commencent timidement à faire retentir leur carillon, signe qu'elle commence à frémir.

Les prières redoublent d'intensité quand elle fronce les sourcils, pour chasser d'elle une pensée si impure qu'elle la choque. Son entre-jambe témoigne de son plaisir et pire pour la Pieuse Alecto, de son impatient désir. Elle chasse cette idée qui vient lui hurler d’obscènes demandes, qui quémande bien plus que sa langue, qui s'agace presque comme un ivrogne en manque de vin.

L'Esclave la repousse, encore, tenant bon. Elle fait cela pour aider Yazill, rien d'autre !
Elle vient en aide aux nécessiteux voyageur solitaire à l'âme meurtrie. Oui, voilà. Cette belle âme, si meurtrie, si érigée, si palpitante, qui l'appelle et qu'elle veut en elle.

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 35 mercredi 03 juin 2020, 00:02:09

La jeune femme fond de partout et, manifestement, apprécie mes assauts de langue experts. Mais je sens, je sais que sa tête résiste de toute ses forces. Le plaisir n’en est que plus grand, augmenté d’autant par ce défi ! En plus de vouloir son plaisir, il FAUT qu’elle jouisse ! Pour démentir son esprit borné qui est stupidement « contre » le plaisir. Le plaisir, cette choses si simple et si saine, que sa foi à surement diabolisé ! Le voilà le vrai sacrilège ! Tout son corps le lui crie, mais elle fait son possible pour faire la sourde oreille. Je ne la laisserai pas faire. Je vais lui rendre l'ouïe ! Je continue de lécher langoureusement, implacablement, emprisonnant son petit bouton entre mes lèvres, afin qu’il ne puisse échapper à aucunes des caresses appuyées de ma langue audacieuse. Mais plus encore, bientôt j’étire les bras et agrippe ses seins dans mes grandes mains, les pétrissant lentement et balayant leur téton de mes pouces. Je veux qu’elle implose de plaisir par son bourgeon secret. Il faut qu’elle connaisse ce trésor-là ! La suite n'en sera que meilleure. Et pour moi, c’est un festin délicieux, même si en même temps j’attends mon tour. Comme je la sens hésitante, résistante, alors que son corps réclame, je m’interromps quelques fois, pour la supplier dans des murmures,

- Hhhhhh… Hhh… Donne-moi à boire Merveille ! Donne-moi ta rosée ! Hhhh… pitiééé ! Vient Alecto ! J'ai soif de toi !

Pour l’encourager à jouir. Tandis que tout mon corps s’échauffe et frissonne de son plaisir qui vient et que je veux sentir exploser à ma bouche... sa rosée est un délice que j'avale à petites gorgées essoufflées. Et son plaisir sera un divin présent. J’ai tant d’impatience à atteindre mon but que mes hanches ondulent en rythme à présent, comme si elle s’était dédoublée et assise sur mon membre brûlant, plus raide et gonflé que jamais.   
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 36 mercredi 03 juin 2020, 14:10:57

Quelle déloyauté que de quémander sa pitié ! Elle qui déjà essaye de contenir enfermé l'intense plaisir qui irradie son corps, qui confond les mots de ses prières internes tant elle est chahutée, voici qu'il fait appel à sa pitié... Cependant, son émoi grandissant ne vient pas que de ce mot, les doigts de Yazill avaient retrouvés le chemin de sa poitrine, elle sentait sur ses tétons la pulpe de son pouce glisser, les titillant avec ardeur. Quel indigne coup bas !

Elle tenait bon, elle allait réussir à respirer calmement et garder la tête froide, reprendre un rythme cardiaque classique. Elle se leurrait. Totalement.

Les caresses conjuguées de ses mains et de sa langue mirent un temps infiniment court à donner leur effet, alors qu'elle avait réussi à lutter pendant un bon moment avant cela. Lamentablement, elle constatait que ses hanches ondulaient de plus en plus vite, qu'elle se cambrait pour guider la langue du Malicieux Voyageur en elle. Et qu'une onde de choc s'annonçait en faisant fourmiller ses muscles. Alecto assistait, impuissante, à la débâcle de ses barrières et tenta, dans un dernier sacrifice, de reprendre le contrôle en serrant la mâchoire.

Tout son corps se contracta d'un coup, elle serra les cuisses autour du visage de Yazill, et elle se fit submergée par une vague extatique qui la fit lâcher un gémissement entre ses dents, qu'elle ne put retenir, et se transforma en râle tremblant. C'était trop pour elle. Ne sachant absolument pas comment gérer cette sensation aussi puissante, et inédite, elle plaqua sa main contre sa bouche pour s'empêcher d'émettre davantage de vocalises, n'osant pas bouger.

Cependant, le bas de son corps, lui, frémissait comme électrisé, à un rythme parfaitement irrégulier, se donnant sans retenue à cet apothéose que ne put que déguster le Matou coincée sous elle.

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 37 mercredi 03 juin 2020, 19:16:48

Le moment arrive enfin où son corps va recevoir son dû, et je guette l’instant avec émotion, impatience. Je sens la tension monter en elle, délicieusement, irrésistiblement… forçant de plus en plus son mental crispé, le corps est une mécanique qui obéit à ses propres lois. La raison n’y peut pas toujours. Et bientôt… HUMMMMMMMMPPPPFF !! C’est l’électrochoc que j’attendais ! Mon cœur a un battement plus fort, et tout mon corps tressaille avec elle tandis qu’elle est secouée par le bonheur. C’est si excitant et si touchant que je manque de jouir avec elle. Essoufflé, la langue épuisée, je bois toute la rosée de son plaisir, tout empli de gratitude pour la beauté et l’intensité de l'instant. En mon for intérieur, je l’offre, à la Vie, aux Dieux, aux hommes, à toute l’Humanité… Je bois, j’avale, je soupire ses délices, et mon coeur s’emballe, essoufflé, malaxant ses seins opulents le temps que je m’en remette et elle aussi.

Quand elle finit de trembler, de sursauter aux répliques décroissantes du premier grand choc, je la renverse doucement sur le côté et… remonte l‘embrasser langoureusement, murmurant pour elle seule,


- Vois ce plaisir que tu viens d’offrir à ton Dieu.  N’est-ce pas magnifique ?   

Je l’embrasse encore, mais me doute qu’elle ne comprend rien à mon propos. Alors j’ajoute, la couvrant de caresses habiles et soyeuses, sur ses rondeurs moelleuses affolantes qui électrisent mes mains,

- Mais oui, ton Dieu vit en toi Alecto, en chacun de nous. Et tout ce que tu ressens, Il le ressent à travers toi.

Je la roule sur le dos, et enfourche ses hanches, ondulant doucement sur son pubis, les mains sur ses seins les pétrissant délicatement mais sans relâches…

- Tu es si belle Merveille ! Un cadeau pour les yeux ! Veux-tu en offrir plus à ton Dieu ?

Dis-je avec un sourire lumineux et les yeux pétillant de malice. Osera-t-elle comprendre que son dieu reçoit ce qu’elle ressent ? Ou persistera-t-elle à le vivre comme une entité lointaine et séparée ? Je plonge l’embrasser encore avec passion, délectation.  Je la happe,  je la picore… Je la respire… Je suis en train de tomber fou de ses lèvres, de ses yeux, du parfum subtil de sa peau. Je suis déjà à moitié ivre de sa rosée secrète. Je bande ! Comme un taureau, là, sous ses yeux. Sans la moindre gêne. Le bout de mon membre pulsant d'envie masquant mon nombril. Je jubile au délices qui m’attendent encore entre ses bras, entre ses draps… La nuit ne fait que commencer !       
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 38 mercredi 03 juin 2020, 20:41:02

Yazill parlait oui, mais les tympans d'Alecto était masqués par du coton et cela résonnait bizarrement à son oreille. Elle s'était bien sentie roulée, oui, c'est vrai, mais tout était assez flou et cela vrombissait dans sa rétine. Le visage de son Invité au dessus du sien la fit prendre conscience qu'ils avaient dû changer de position, et à cet instant, elle sentit d'un coup le corps nu et impatient palpiter sur elle.

Elle battait des paupières un peu ahurie, ses pensées coupables ayant été assommées, et mettant du temps à reprendre le contrôle de son esprit. C'était peine perdue pour son corps, cependant, et avec sa respiration saccadée, Alecto se laissait dévorer des baisers affamés de son amant. La sueur perlait à son front et collait quelques petites mèches sur ses tempes, alors que son regard hagard et translucide observait les yeux de chat, et qu'elle comprenait de mieux en mieux les sons qui sortaient de sa bouche, entre deux ronronnements insatiables. Il a un regard d'un de ses clients, celui qui vient chaque semaine, et dont elle n'arrive pas à se souvenir le nom dans ces conditions s'étourdissement... Mais chaque semaine il boit une liqueur de fruits, en admirant une des Filles qui besogne à l'Auberge, et qui jamais ne s'arrête sur lui. Il la regarde comme s'il avait faim de sa peau, comme un assoiffé voit se dessiner les contours d'un oasis.

L'Esclave semble un peu attendrie par sa réflexion, et lui souffle, comme si elle était ivre.

"Vous n'connaissez pas grand chose de Dieu, hein, Messire Yazill..." Elle souriait presque, mais le bout de ses doigts sur ses seins la rendent toujours aussi frémissante, lui interdisant de réfléchir correctement. Son corps moite au dessous du Métamorphe, Alecto le sent pesant et est désarçonnée de le savoir encore boulimique de désir.

En baissant ses yeux clairs embués, elle semble immobilisée à la vue de son sexe érigé et battant. Alecto sait qu'elle devait donner l'ordre à ses jambes de se resserrer, mais contre sa volonté, elle sent ses cuisses s'écarter et entourer le bassin de Yazill, et ses talons, les traîtres ! appuyer contre ses fesses musclées pour l'approcher de son antre.

Les baisers du Matou redoublent de gloutonnerie et elle s'essaye à le lui rendre, comme s'il s'agissait d'un plus agréable "merci" que n'importe quel mot, la pulpe généreuse de sa bouche glissant sur la sienne et sa langue timide qui le remercie en valsant avec la sienne. A constater la réaction du Voyageur Solitaire, Alecto comprend qu'il apprécie son audace et rougit, mais une part d'elle en est ravie... Après tout, elle veut lui faire plaisir, le soutenir, l'aider... Il n'y a pas plus agréable qu'offrir la charité. Non ?

Ses cuisses béantes épousent sans souplesse de bassin de Yazill, et malgré tous les ordres qu'elle peut donner, ses fesses se contractent pour relever les hanches, appelant à elle, en elle, le membre dur et brûlant.
« Modifié: mercredi 03 juin 2020, 20:49:27 par Alecto Nemed »

Yazill

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 39 jeudi 04 juin 2020, 22:43:55

Je ne saurai pas maintenant si elle partage ma vision lumineuse du plaisir, et probablement jamais, mais assurément, elle y prend goût ! Voilà qu’elle perd la raison, enfin ! Ouvrant ses cuisses, appelant mon corps au sien… Et tout mon être frissonne quand ses petits pieds viennent pousser contre mes fesses musclées pour me tirer à elle. Je voudrais prendre encore mon temps, malgré le désir irrésistible qui m’habite, caresser mon gland à ses pétales, de bas en haut, la faire languir encore mais… à la voir céder à son désir enfin réveillé, enfin révélé, si belle alors, je n’ai vraiment pas le cœur de la faire attendre d’avantage. J’ai juste le temps d’empoigner ma hampe et la guider vers sa fleur, que déjà elle s’enfonce doucement en elle dans une caresse délicieuse… emplissant son écrin nacré inondé. Mon coeur se dilate, mon ventre palpite et mon membre pulse en elle, agité de contractions quand son vente autour se resserre. J’ai un petit soupire sonore entre mes ronronnements, fixant son visage d’ange, bouleversé, et… j’atteins bientôt le fond. Alors… irrésistiblement, mes hanches sont prises d’agitation, et commencent à onduler, en rythme, la pilonnant de petits coups fermes, ressortant le moins possible à chaque mouvement, tant mon désir me veux rester en elle…

- humpf ! humf ! humpf !

Agrippé à ses hanches sublimes, mes fesses et mes abdos sculptés se contractent en rythme... Et bien vite, malgré tous mes efforts, la danse de mon bassin s’amplifie, allongeant mes assauts, ressortant mon membre presque entier, et le renfonçant aussitôt en elle jusqu’à la garde, secouant tout son corps de plus en plus.

- Huuuumpf !! Huuumpf !! Huuumpf !!

A mon tour je perds la raison, enivré de ses parfums nacrés, ému par ses soupirs, envouté par ses courbes voluptueuses qui ondulent à mes assauts… je l’aime !! Je la désiiire tellement !!  Mon cœur accélère et mon souffle le suit. Je deviens plus animal,  mes soupirs plus profonds et plus rauques, et la sueur perle à mon front et entre mes pectoraux. Je sens monter la pression, grandir la vague qui s’approche de la côte pour tout submerger ! J’ai tellement envie qu’elle jouiiise encore !! Et jouir avec elle, en elle, tout au fond ! Bientôt nous ne ferons plus qu’Un ! Dans une même seconde d'éternité. Ainsi le plaisir donne-t-il à ceux qui s’aiment l’intuition du Divin !

- Ooohhooohhh oui ! oui ! ouiii !! Alectooo !! VIENS !!               
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Alecto Nemed

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    Crédule, extrêmement pieuse, facilement impressionnable et très discrète, elle va rougir si vous continuez à la regarder ainsi !

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 40 jeudi 04 juin 2020, 23:05:12

Au contact de cette peau bouillante qui s'enfonce dans son intimité, Alecto ouvre d'énormes yeux ronds, comme profondément surprise. Non pas que ce soit totalement étonnant, n'est-ce pas, mais elle était persuadée d'avoir fait tous les efforts nécessaires pour que ses membres restent immobiles, non pas pour interdire l'accès à son Voyageur, mais plutôt pour ne pas l'encourager trop... Elle se rendait compte que, bien au contraire, son corps tout entier se rebellait de sa raison, et qu'il exultait d'avoir enfin ce qu'il désire tant.

Sortant du carcan fervent d'un esprit patiemment conditionné pour se contenir, chaque partie de son être entre dans une transe démesurée, tant cela reste rare. Basculant la tête en arrière, s'élève de sa gorge un gémissement profond et guttural qui trahit le plaisir que lui procure son membre qui coulisse d'abord lentement en elle, réveillant des vibrations trop souvent emprisonnées.

Les coups de bassin s'accentuant, Alecto se sent chahuter d'avant en arrière à chaque fois qu'il contracte ses fesses ciselées dont les muscles roulent sous ses talons, et elle a depuis longtemps perdu le fil de ses pensées. Envolées les prières et adieu les cantiques qui aident à la faire raison garder, la sueur plaque ses cheveux sur ses joues, et elle a de la peine pour ne pas les avaler lorsqu'elle souffle bruyamment de toute ses forces pour éviter d'élever la voix.

Elle est incapable de nier comme c'est bon, de sentir sa virilité épaisse écarter ses chairs et s'activer avec de plus en plus ardeur et d'animalité. Ses oreilles vrombissent des râles sauvages que poussent Yazill près de son visage, et ses coups de butoir deviennent si puissants, qu'elle passe ses mains sur ses épaules pour s'agripper à lui.

Plus il parle, et plus l'Esclave sent ses nerfs palpiter dans un chaos flou et fou, elle sent la tension entre eux devenir de plus en plus dense, électrique et vibrante, les parfums de leurs ébats emplissent ses narines, alors que la sensation de son membre qui tape au fond d'elle envahit chacune de ses pensées. "Encore, encore" pense-t-elle, même ! Elle a un doute... L'a-t-elle prononcé vraiment ?!

Au paroxysme de leur sursauts brûlants, elle se mord la lèvre avec une telle violence, pour ne pas crier, qu'une goutte de sang perle à sa lèvre inférieure.

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 41 vendredi 05 juin 2020, 00:05:50

Je me laisse complètement emporter par la danse, soufflant comme un taureau, râlant, les vagues de sensations parcourent tout mon corps au départ de mon gland en elle, touchant ses parois dans un massage affolant, dont l’issue ne fait aucun doute. L’orage délicieux approche, et avec lui mon  amour infini pour elle, ses formes, ses parfums, la soie de sa peau, sa sueur, ses cheveux, ses seins grandit… Oui !! J’y suis presque !! Pourvu qu’elle aussiiii !! J’accélère encore, si c’est seulement possible, dans un sprint des derniers mètres ! Des dernières secondes avant l’apothéose ! J’oublie tout, je ne sais plus mon nom ni le sien, je ne suis plus que sensations voluptueuses, odeurs saveurs et douceurs et passion sauvage, animale… Et soudain la VAGUE !

- HUUUUUUMMMMMMMMMMMMMMMPPPPFFFFFFFFFFFFFFFF !!!

Mon cœur implose, et tout mon corps tressaille violement, tout entier crispée dans une épilepsie synchrone, tandis que dans un dernier grand coup de rein bestial, ma sève chaude jaillit tout au fond d’elle, en même temps que le bonheur me submerge totalement. Je reste ainsi, agrippé, paralysé quelques secondes, l’air suffoqué, le regard ému, hagard, sonné, le souffle coupé. Je l’aime infiniment, et loue le Ciel de sa présence en ce Monde au même instant que moi. J’ai l’impression que nous ne faisons plus qu’un, Elle, moi, le lit, la chambre, la ville, la planète, l’Univers… Dieu…

Et puis doucement je m’effondre sur elle, plongeant happer sa bouche dans un baiser éperdu de gratitude, pour elle, pour toutes les femmes du Monde... les yeux pleins de larmes de bonheur, respirant son souffle en retrouvant le mien, lui murmurant des « t’aime » vibrant de ronronnements sonores, tandis que mas grandes mains glissent sur ses courbes à n’en plus finir, incapable que je suis de me lasser de la douceur se sa peau. Et mon membre brûlant, hypersensible mais apaisé, pulse en elle de temps en temps, me faisant tressaillir, chatouillé par les mouvements de son ventre. 

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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 42 vendredi 05 juin 2020, 18:53:43

Ce poids mort pesait sur elle, mais Alecto ne le sentait pas tant que cela. Elle suffoquait un peu, mais cela n'avait rien à voir avec le corps qui la compressait contre son matelas de mauvaise qualité. Tous ses membres étaient habités de tremblements, allant tantôt en symbiose, tantôt en opposition aux vibrations de Yazill qui, reput, avait un regard et des mots qui lui faisaient tourner la tête.

Elle avait déjà été attendrie par les visages irradiant la plénitude des hommes, ou des femmes, qui l'avaient utilisées pour leur bon plaisir, estimant qu'elle avait agi pour leur bien, qu'ils avaient la mine sereine et fervente des illuminations divines, comparable aux sensations de contentement intense qui la gagnaient lorsqu'elle se sentait touchée par la Grâce.

Alecto sourit timidement, presque rieuse, à voir contre elle le faciès d'épanouissement absolu du Voyageur, et poussa ses longues mèches noires de devant ses yeux, tout comme elle décala d'une main moite les cheveux humides de sueur de son amant, qui lui collaient aux tempes. Il avait un visage d'ange, à cet instant. N'était-ce pas le sentiment le plus bienheureux du monde, que de savoir que l'on a donné autant de réconfort à une âme en peine ?

"Vous êtes très beau, quand vous ne blasphémez pas."

Murmura l'Esclave en fixant ses yeux, avant de baisser le regard, intimidée, et reprenant peu à peu ses esprits. Suffisamment pour ressentir à nouveau la gêne, et les questions s'amoncelaient au dessus de sa tête, la faisant tirer une moue empruntée. La Domestique se sent épuisée, et courbatue, alors qu'elle n'a somme toute pas œuvré énormément dans leurs ébats... La crainte d'avoir été entendue la gagne soudain, et elle s'inquiète, d'une toute petite voix aîgue.

"Je... vous croyez que... j'ai... que nous avons fait du bruit ?"

Yazill

Créature

Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 43 vendredi 05 juin 2020, 21:25:15

Je ne reste pas longtemps sur elle, me roulant bientôt à son côté, l’enlaçant et la caressant amoureusement. Elle me tire un sourire quand elle évoque le blasphème. Je rétorque entre deux ronronnements,

- Je suis beau… mais ça ne dure que deux heures.

Je pose des baisers tendres sur sa joue et sa tempe, caressant son sein. Je me sens si bien. Et la nuit ne fait que commencer. J’ai juste envie de me reposer une demi-heure et de remettre ça, tant elle me captive et affole mon désir. Mais la voilà qui redevient timide et coupable de tout…. Je soupire.  Pas sûr qu’elle accepte un deuxième service, même si elle en a envie. Mais mon corps le réclame, lui. Je patiente, heureux, léchant et suçant son téton, comme un jeu. Et à sa question inquiète sur le bruit qu’on a fait, je réponds sans réfléchir, 

-  Hi hi ! Oui ! Et quel délicieux bruit ! J’espère bien qu’on en refera autant d’ici l‘aube.

Et je l’embrasse encore, grisé par ses yeux, son odeur, et la soie de sa peau qui électrise le bout de mes doigts. Mais je réalise l’enjeu de sa question et ajoute, plus sérieux,

- Pourquoi ? ça serait grave qu’on nous ait entendu ? Ne me dis pas que ta sorcière de maîtresse n’admet pas que tu aies du plaisir ?

Je lui souris et bise encore sa peau de velours. Je vois ses cicatrices, j’essaie de ne pas penser à ce qui les a causées.

- Tu es faites pour ça… Tu es si belle alors… Un véritable hommage à ton créateur. La preuve de Sa perfection. Je voudrais travailler ici pour te voir tous les jours. Et t’aimer toutes les nuits. Mais…

Le bout de mes doigts parcoure son ventre, le tour de son mamelon, son épaule, son cou…

- Qui aurait du travail pour un chat ? Si encore je ressemblais à un vrai chat, je pourrais faire l’espion. Mais là… 
   
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Alecto Nemed

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Re : Un soir habituel à l'Auberge... ? [Yazill]

Réponse 44 vendredi 05 juin 2020, 23:07:13

A la différence des Maîtres qui l'avaient possédée, jadis, Yazill était une jeune homme, fringuant, et loin d'être rassasié, constata-t-elle. La plupart du temps, ils roulaient sur le côté une fois repus, et ronflaient à peine avait-elle cillé. Plus rarement, ils faisaient venir un autre domestique pour terminer le travail, si d'aventure la petite mijaurée d'Alecto ne satisfaisait pas leurs attentes... Ils disaient "Misérable glaçon, incapable, nigaude..." A vrai dire, la plupart du temps, même si cela lui valait des corrections, elle se disait que c'était un mal pour un bien. Certes autres servantes, plus fougueuses, soucieuses de plaire au Maître, devaient subir leurs assauts sans cesse, jusqu'à vieillir prématurément, et être revendue, devenue trop fade, lorsqu'ils se lassent et ont aspiré toute leur jeunesse...

L'observant son visage lorsqu'il parlait, Alecto fit une petite grimace, qui ne dut pas le rassurer sur sa Maîtresse.

"J'ignore..." Elle s'interrompit lorsqu'une succion sur son sein la fit frémir. "...ce qu'elle en pense..." Fit-elle en haussant les épaules, sous-entendant que Yazill s'aventurait ici là où peu de visiteurs avant lui avait posé les pieds. Et bien d'autres choses.

L'Esclave supposait que Thiana Gian se fichait pas mal du bien qu'elle se faisait, ou prenait. Elle avait une vie, songea-t-elle, dissolue, ou comme parfois elle qualifiait, assumée. Les deux femmes étaient diamétralement opposée vis à vis de leur caractère, et il lui était même arrivé de soupirer à Alecto de plutôt se trouver un gigolo, afin de faire retomber ses angoisses. Naturellement, la Domestique avait eu la chance qu'il ne s'agisse pas là d'un ordre, et avait donc pu esquiver.

Le Voyageur, nu à côté d'elle, alors qu'elle essayait de percevoir dans ses gestes davantage que ce qu'il ne lui avait dit. Bien qu'elle le pense honnête, évidemment, elle ne pouvait nier que ses caresses, et ses mots, énonçaient clairement son désir d'à nouveau profiter de sa chaleur... Mais. Deux heures ?

"D... Deux heures ?" Elle fronça les sourcils, intriguée, et de sa main, releva son visage d'entre ses seins, pour plonger ses yeux bleus dans l'ambre de son regard.

"Vous voulez vous en allez dans deux heures ?" Déjà en temps normal, assez terre à terre ou premier degré, ainsi chamboulée par les moments intenses qui se rappelaient parfaitement à elle, Alecto avait tendance à ne pas se montrer bien maline.

Bien sûr, elle savait que Yazill était un homme de passage, mais elle lui avait proposé de dormir au chaud, et elle se souvenait très bien pourquoi. D'une voix un tout petit peu plus assurée, et même assez nette, elle leva l'index devant son nez.

"Yazill, je vous interdis de partir ! Vous risqueriez de tomber nez à nez avec ce balourd, et je gage qu'il aura appelé ses amis en renfort."

Hors de question qu'il prenne ce risque ! Elle était prête à l'y obliger, même ! Ah. Comment ferait-elle, puisqu'il était un puissant mage métamorphe, et qu'elle n'était qu'une pauvre esclave gracile ? En pinçant les lèvres de honte d'y songer, tant l'idée était assez indigne, Alecto prit son courage à deux mains. S'il fallait ça pour le sauver, alors qu'il en soit ainsi.

"Vous... pourrez agir ici comme il vous plaira, à votre guise, et autant que vous voulez !"

Elle voyait parfaitement dans les yeux clairs du Matou combien il semblait éperdu de sa poitrine et de son corps, au vu des caresses infinies qu'il ne savait cesser, toujours rappeler vers sa peau. Comme dernier appât, afin qu'il renonce définitivement à sortir -de toute façon il venait de se mettre à pleuvoir- l'Esclave fit glisser une de ses mains sur le ventre fin de son intime Visiteur, le caressant avec timidité, le regardant dans les yeux. Elle semblait là jouer clairement son va-tout car elle paraissait se surpasser pour réussir à le toucher ainsi.


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