Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Mastunabe Chiiro

Pages: [1]
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Prélude / Matsunabe
« le: vendredi 28 août 2009, 19:13:40 »
Nom: Chiiro
Prenom: Matsunabe
Surnom : Matsu

Age : 16 ans

Sexe : femelle

Race :humaine.

Orientation sexuelle: hétérosexuelle pour le moment. 

Description physique :
Matsunabe était une jeune fille plaisante : Son visage aux traits fins était toujours animé d’une expression avenante. Ses cheveux, d’un brun foncé aux reflets d’un bleu d’encre retombaient en une masse soyeuse et une coupe en dégradé au niveau de la moitié de son dos. La plupart du temps, elle les laissait retomber ainsi, mais ne voulant pas être gênée dans telle ou telle activité, elle les rassemblait en une queue de cheval nette, ou un chignon lâche retenu par n’importe quoi ressemblait de près ou de loin à une barrette.
Ses yeux d’un bleu océanique étaient en amande, soulignés par une rangée fournie de long cils bruns. Sa bouche pulpeuse était d’un couleur rosée et s’étirait souvent sur un sourire timide, naïf et adorable. Son menton était pointu, mais arrondi au niveau de la pointe. Il donnait sur un cou de taille standard, une nuque gracieuse, pareille à celle des majestueux cygnes, et des épaules félines. Son buste n’avait rien à envié à personne : droit et haut, il offrait une poitrine généreuse, ne dépassant tout de même pas une certaine limite de bonnet, un ventre plat et une taille fine et gracile plongeant sur des jambes longues et fuselées, due à de longue séance d’entraînement sportif.
Lorsqu’elle s’habillait, pour se rendre en ville, elle se fondait dans la masse. Etudiante au style classique, elle préférait les jeans de couleur simple au enchevêtrement de jupe compliqué que portaient certaines étudiantes. Elle appréciait les chemises ainsi que des tee-shirt à col en V, portaient par moment des jupes courtes et des robes de petite taille également, mais respectait la pudeur et ne montrait que ce qu’elle voulait bien voir exposer.


Caractère :
D’un naturel généreux, elle aimait faire plaisir, et faisait souvent preuve d’un rare naïveté malgré ses performances scolaires. Elle faisait facilement confiance, et s’attirait généralement la sympathie de bon nombres de gens, ce qui n’avait pas toujours été le cas. Naturellement soumise en amour, elle faisait passer le plaisir de ses amants avant le sien même.
Avec ses amies, elle prenait le temps de les écouter, les consolait et pouvait tout quitter pour leur venir en aide. Il existait bien évidemment des gens pour profiter de cette nature humaine si douce, et la plupart ne se gênait pas, se servant d’elle pour toute sorte de choses : que ce soit simplement lui soutirer de l’argent, ou bien pire. La naïveté de Matsu la poussait parfois à se retrouver dans des situations impossibles, mais elle acceptait cela plus ou moins bien, disciple du destin. Elle avait tout de même certaines règles qu’elle s’appliquait à suivre : Fleur bleue, elle croyait en l’amour, mais pas à l’exclusivité. Pour elle l’amour était un don qu’il fallait partageait, elle réprimait donc la jalousie, qu’elle interprétait comme de l’égoïsme. Elle ne tolérait aucun manquement à l’hygiène chez ses nombreux amants, et choisissait toujours des hommes paraissant plus ou moins honnête. Elle avait pour seconde règle d’or de ne pas imposer, ni son désir, ni son amour à celui sur qui elle jetait son dévolu. Elle faisait une amante facile à vivre et pleine d’attention, comme une mère, mais il lui arrivait, par moment, de suivre ses pulsions et de se laisser aller à ses propres envies.


Histoire :
Elle avait été élevée dans une famille de riches propriétaires terriens. Qui l’avaient toujours ignorée. Elle n’avait rien de particulier, aucun talent pour l’économie, et même pas une beauté digne de ce nom. Dès l’âge de 6 ans, son but vital était de prouver à ces gens qu’ils se trompaient, qu’elle les remettrait tous à leur place. Elle était toujours parmi les meilleurs élèves de sa classe, s’investissait dans plusieurs activités extra-scolaire, sportives et artistiques. Ses professeurs appréciaient son implication, et son dossier était parmi les mieux annotés, pourtant elle restait une enfant avec très peu d’amis, sans personnalité ni style propre, seulement concentrée sur ses études, ignorée de la plupart du monde. Ce ne fut que lorsqu’elle entra au lycée qu’elle rencontra des amies sincères. Keitsuke et Jenko étaient deux jeunes filles franches et au physique avantageux, fortement appréciées des garçons comme des filles pour leur attitude confiante et leur style. Lorsqu’elles rencontrèrent la timide et naïve Matsunabe, elle tombèrent sous son charme enfantin, et décidèrent d’en faire une amie. Matsu fut ravie de se voir admise dans le petit groupe que formaient les deux jeunes filles. Ses nouvelles connaissances s’intéressaient hautement à la mode, au style vestimentaire et au physique, même si elles savaient que la beauté n’était que passagère, elles aimaient prendre soin de leurs formes et de leurs corps. A force de les entendre parler de marque, de maquillage et de salon de beauté, Matsu commença petit à petit à partager leur intérêt, et se métamorphosa au fur et à mesure que l’été passait en une jeune fille aux formes avantageuses, qui savaient ce qu’il fallait et ne fallait pas porter et devint plus extravertie. Elle sentait à présent des regards la frôler lorsqu’elle marchait dans la rue, recevait des invitations à dîner, des numéros de téléphone. Elle obtenu très vite une réputation de fille facile, car elle pratiquait déjà sa théorie de ce qu’était l’amour selon elle, et lorsqu’une rumeur circula dans son lycée selon laquelle elle avait eut une relation avec son professeur de mathématiques, cela ne surprit personne et elle fut convoquée chez le directeur. Il y avait bien eu une relation sexuelle, mais Matsu n’était en rien consentante. Bien au contraire, elle avait été forcée par cet homme et ses idées perverses alors qu’elle avait trop tardé à sortir de classe. Il avait menacé de faire baisser sa moyenne et d elui mettre une appréciation exécrable si elle refusait de se plier à lui, car Matsu n’avait pas envie de cet homme et avait refusé ses avances.
Elle fut renvoyé de son lycée, car cet homme avait une excellente réputation, ce qui n’était plus le cas pour elle, et du aller dans un autre lycée. Le plus proche et qui convenait le mieux à son niveau scolaire était celui de Seikusu, elle y fut donc inscrite, et se donna pour objectif de redorer son blason en évitant tout rapport gênant…Mais y parviendra-t-elle ?


Situation de départ :
Matsu à connu beaucoup d’hommes dans sa vie, n’est donc pas tout à fait ignorante. Il y a tout de même des terrains qu’elle n’a pas explorer…

Autres :
rien à signaler
Comment avez vous connu le forum:  Chiboard

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Oui, d'autres forums =D

2
Le coin du chalant / Kiyoshi vous attend =P
« le: dimanche 29 mars 2009, 11:41:50 »
Sujet du topic=>rencontre qui pourrait débouché en hentaï autoritaire. (Kiyoshi dominée)
Nombre de participants=>1 ou 2(donc 3 avec moi).
Trame=> En fait, il faudrait un personnage plus âgé qu'elle, plutôt un dominant.
Qualité de post=> tant qu'il n'y a que peu de fautes d'orthographe, je uis preneuse.


merci <3

3
Prélude / Kioyshi arrive (pas encore finie)
« le: samedi 28 mars 2009, 17:54:30 »
Nom: Hatano
Prenom: Kiyoshi
Surnom : non

Age : 16 ans

Sexe : femelle

Race : Terranide...

Orientation sexuelle: hétérosexuelle qui ne demande qu'à se laisser convertir.

Description physique : (Voir avatar...non je déconne x)

La fille se tenait près d’un arbre, elle détonnait avec les tons bruns, verts du parc, portant un sweat shirt rouge vif. Plusieurs personnes ne pouvaient s’empêcher de la reluquer, mais elle ne semblait pas y faire attention. Son sweat était ouvert, et laissait entrevoir un haut simple, noir. Ses cheveux étaient d’un brun sombre, et, rabattus sur son visage comme ils l’étaient, ils lui donnaient un on-ne-sait-quoi de mystérieux, et d’aguicheur également, si bien que toute fille passant à moins de trois mètres d’elle lui lançaient des regards mauvais remplis d’une intense jalousie alors qu’elle ne leur demandait rien. La fille se contentait de les zyeuter avec indifférence, comme toujours. Elle portait une capuche sur sa chevelure, malgré le soleil, mais c’était normal : elle se cachait d’une personne, et ne tenait pas à se faire choper par cette dernière.
Sa peau adamantine avait rosie au soleil, mais habituellement elle était si blanche qu’elle en semblait morte. Ressembler à un mort aurait dût alarmer notre jeune fille, mais pour le moment, elle avait autre chose en tête. Son visage d’un ovale parfait était partiellement caché par des feuilles vertes sentant la noisette, elle était plutôt grande, et mince, aussi, il ne lui était pas difficile de se fondre dans le paysage derrière se tronc, mais son choix vestimentaire n’avait pas été des plus judicieux, si bien qu’on ne voyait qu’elle. Mais elle avait une bonne excuse : elle n’avait pas prévu cette filature en plein centre ville, et dix minutes plus tôt, elle faisait son jogging, comme tous les samedi matins, ce qui expliquait son souffle encore rapide, et son air exténué : elle avait courut pendant une demie heure avant de LE voir, et de le suivre.
Son genou était égratigné, elle avait chuté en s’affalant contre l’arbre après sa course.
« Qu’est ce que tu fais là,  Hatano-san ? »
Elle retint son souffle, se sentant prise au piège. Elle n’avait pas prévue se faire avoir comme une bleue, puis elle remarqua son accoutrement, et comprit qu’il avait dût la repérer à 30 mètres.
Elle avait toujours aimé les vêtements de style sport wear, et il connaissait ce gilet rouge, qu’elle portait trop souvent, et qui en devenait usé, chaque jour un peu plus. Il était râpé au niveau des poignets, mais pourtant, sa couleur n’avait pas dépérit au lavage, malgré les années, et les nombreuses lessives qu’il avait subit. Toute sa garde robe était composée de jeans indigos, de tee shirt simple à manches ¾ ou courtes. Elle n’appréciait pas les robes, mais tolérait les jupes, si elles étaient courtes et noires, en jean. Elle ne s’intéressait pas vraiment à la mode, et portait quelques boucles d’oreilles (des anneaux, ou des travaux d’orfèvre offerts à l’occasion par son père) de temps en temps, ainsi que des bracelets fins, en argents ou plastique en guise de bracelets. Elle n’avait toujours pas prononcé un mot alors qu’il la regardait intensément. Par instinct, elle agrippa d’une main le pendentif de son collier le plus vieux et celui qui lui était le plus précieux, et le tripota, trahissant ainsi, malgré elle, sa nervosité. Il s’agissait d’un collier en or blanc, le pendentif était un simple morceau de nacre, en forme de triangle, où était gravé *H*, sa marque de fabrique : elle ne l’avait jamais quitté pour un autre depuis ses trois ans.



Caractère :
Elle soupira. Depuis quand était-elle si timide en présence de garçons ? Elle qui avait toujours su se maîtriser, donner l’impression de tout gérer, de ne pas se laisser avoir facilement. Mais il n’y avait que devant lui qu’elle perdait ses moyens, dès qu’il la regardait, lui souriait, même lors de leurs disputes, elle ne pouvait rien faire, sinon se demander comment il faisait pour supporter de rester en sa compagnie, elle qui était si terne par rapport à lui. Habituellement, notamment lorsqu’elle se trouvait avec ses amies filles, elle était pleine d’assurance, de confiance en elle. Elle était du genre qui balançait des vannes en classes et traînait avec toutes sortes de gens. Elle ne se laissait pas faire, et si on la cherchait, on la trouvait facilement. Elle avait le sang chaud, et on ne lui avait jamais donné de surnoms qui faisaient trop fille. Elle se montrait parfois dure, mais savait être juste et en était fière. Intelligente, elle n’avait pas de problème de scolarité, aussi, on oubliait volontiers ses écarts de conduites au niveau de la discipline.
Mais dès qu’elle se retrouvait près de lui, elle ne trouvait rien à dire, et semblait aussi innocente que l’agneau qui vient de naître. Seul lui l’avait intimidée. Depuis leur première rencontre, au collège, il avait un pouvoir sur elle que ne possédaient pas les autres.
« Ca va ? Tu as l’air chiffonnée ? Tu veux t’asseoir ? »
Il lui prit le bras, elle ne pensa pas à résister tant son emprise lui était douce. Il la mena jusqu’à la fontaine, au centre du parc, et finalement, elle s’affala contre lui, comme à chaque fois. Lui, sourit devant sa tendresse, lui caressant les cheveux.
« Je sais Kiyo, je sais. »
Tellement faible, elle se laissa bercer par sa voix, dont elle connaissait tous les tons, les nuances. Contre son torse elle pouvait entendre battre son cœur, la plus belle mélodie du monde, la seule qui pouvait la calmer en cas de crises.
Elle avait toujours été difficile à contenter. Déjà l’année de ses 4 ans, son père et sa mère peinaient à lui faire manger des légumes et même de la viande. Elle ne se laissait pas faire, et ses parents avaient finit par abandonner au bout de nombreux essais. Lorsqu’elle entra à l’école primaire, elle était de loin l’enfant la plus blasée de toute l’école, refusant de jouer à la corde à sauter et autres « jeux pour filles ». Elle ne s’intéressait à rien, si ce n’était à la mort, ce qui eut tôt fait d’alarmer la directrice de son école, qui s’en référa à l’avis du psychologue scolaire, celui-ci ayant accepté d’avoir en entretien avec la petite. U bout d’une heure de consultation, ce dernier était ressortit livide de la salle d’examens du bâtiment, et avait démissionné, sans un mot sur ce qu’il s’était déroulé dans la salle.
A partir de ce jour là, Kiyoshi fut crainte non seulement par ses professeurs et camarades, mais également par ses parents…
Pourtant, malgré son penchant pour les discussions autour de l’ange de la mort ou la réelle signification de la croix gammée, la petite Kiyo n’en était pas moins charmante, lorsqu’elle se sentait assez comblée pour se monter sous un jour favorable.
Par exemple, elle adorait que sa mère lui brosse sa longue crinière brune en chantant avec elle l’intégralité des œuvres musicales de Walt Disney. Si bien que la pauvre femme avait dût retenir la moindre parole prononcée par Esméralda, Pocahontas, Arielle et autres héros en deux dimensions, car sa fille ne tolérait aucune erreur.
En grandissant, Kiyoshi abandonna ses rites sataniques, au grand soulagement de sa famille au grand complet. Elle devint une jeune fille sûre d’elle, intelligente et jolie, mais assez taciturne, bien qu’elle ne fut jamais persécutée en cours. A douze ans, elle n’avait que deux amies, avec qui elle entretenait une collection insolite de cailloux de toutes sortes.
Puis elle le rencontra…


Histoire :

Sujet: Re: Oza (*O* *W*)   Dim 15 Mar - 13:51   

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{ Informations personnelles }

- Histoire :
Il la contemplait avec un air surpris, et c’était compréhensible : ils ne s’étaient plus parlé depuis six mois. Après une proximité si forte, presque comme une osmose, le calme plat. Plus de nouvelle de l’un à l’autre. Il était parti comme il était arrivé ; semblable à une bourrasque dans des rideaux de flanelle. Mais, à se tenir contre lui, à se serrer contre son cœur, la jeune fille semblait avoir oublié sa douleur, sa colère. Il était là, elle était dans ses bras, ils étaient de nouveau ensemble.
Elle se souvenait parfaitement de leur première rencontre : elle était si troublante pour elle qu’il lui était facile de se souvenir de chaque détail.
Elle avait 12 ans. Et s’amusait, avec deux trois camarades, à barbouiller une bouche à incendie de peinture bleue. La professeur les avait délaissés quelques minutes, et, sous le contrôle de Kiyoshi, la petite troupe eut vite fait de passer par le trou dans le grillage, de traverser la rue, peinture et pinceau en main, et de commettre leur méfait. C’est alors qu’une voiture, dans le genre BMW, s’engagea dans la rue jouxtant l’école primaire. Les vitres étaient teintées, et le groupe de joyeux criminels, intriguée par cette arrivée impromptue, la classe ne finissant que dans trois heures au moins, s’arrêta dans son action pour contempler l’arrivée du propriétaire de cette si belle voiture.
Le véhicule s’immobilisa deux mètre avant eux, sur le trottoir en face. Un homme en costume simple, noir, en sortit le premier, puis ouvrit la portière arrière. Une jambe en sortit, puis une autre, puis, un ange toucha le sol. Il était adorable, et à la vue de cet enfant si parfait, le cœur de la petite Kiyo se serra inexplicablement. Elle s’enfuit, alors que les autres enfants restaient campés sur leurs pieds, trop timides pour approcher le nouvel arrivant.
Ce soir là, dans sa chambre, la petite fille n’avait put chasser de son esprit ce jeune garçon. Aucune explication rationnelle ne lui venait à l’esprit, mais le visage du nouvel élève, car il allait étudier dans le même établissement qu’elle dès le lendemain, ne voulait pas quitter sa tête pour laisser place à des choses plus triviales. Elle ne fit que des bêtises. Renversant de la sauce sur le sol, laissant tomber les couverts sals sur la nappe fraîchement lavée de sa mère. Excédés par son inattention, ses parents la renvoyèrent dans sa chambre après qu’elle eut faillit renverser du café brûlant sur son petit frère, alors âgé de 9 ans.
Le lendemain, elle était arrivée dans son collège avec une mine fatiguée, et fut exaspérée de constater que le nom de ce garçon si beau était dans toutes les bouches. Ce matin là, elle avait évité autant que possible ses camarades de classes, et avait attendu avec impatience la sonnerie annonçant le début de la classe. Lorsque celle-ci retentit, elle marcha avec rapidité jusqu’à sa table, et s’y installa avec non moins de hâte.
La salle était vide, mis à part elle. Personne ne souhaitait arriver trop tôt en cours. Mais c’est alors qu’une voix douce et calme s’éleva dans sa direction.
« Bonjour ! Je suis Koba Mistiruu, le nouvel élève. Je t’ai vu hier, avec la bande qui peignait sur un machin rouge. Mon père n’était pas super content. »
Kiyoshi se retourna d’un coup, à la fois surprise et choquée. Il était bien là, le nouvel élève aux cheveux blonds et au regard trop doux pour être réel. Il lui souriait avec gentillesse.
Sans plus réfléchir, elle avait parcourut la distance qui la séparait de lui, et l’avait serré contre elle, sans aucune gêne, comme si ses bras avaient été conçus pour réaliser cette seule étreinte. Lui, n’avait même pas parut surpris, comme si, depuis la première fois qu’il l’avait vu la veille, il avait sût qu’ils en arriveraient là.
Et alors que les années avaient passées, ils ne s’étaient pas quitté, sauf jusqu’à il y avait six mois.
La jeune fille de 16 ans ouvrit les yeux et regarda son plus vieil ami avec tendresse.
« Tu sais, ce jour-là, je ne sais toujours pas pourquoi tu m’as rendu mon câlin. »
Il sourit avec espièglerie et caressant ses cheveux.
« Moi non plus. »
Ils restèrent un moment l’un contre l’autre. Ils formaient un couple si beau, que quelques passants leur lançaient des coups d’œil complice, ou attendris. Pourtant, jamais Kiyoshi n’avait éprouvé plus qu’une trop forte amitié envers lui, et elle était quasiment sûre qu’il en était de même pour lui. Ils avaient besoin l’un de l’autre, comme des jumeaux. Malgré le peu de ressemblance physique qui régnait entre eux, on aurait pût les prendre pour frère et sœur, tellement ils étaient proches.
Soudain, Kiyoshi se redressa un peu, pour se maintenir à la même hauteur que Koba. Il lui sourit, mais paraissait embarrassé, gêné par un secret ? Il n’avait pourtant jamais eut de secret pour elle. Puis, elle posa la question qui s’imposait.
« Pourquoi es-tu parti ? Qu’est ce qui se passe ? »
Le pauvre sourire qu’il avait sur ses lèvres disparut, il déglutit, son regard glissa du visage de son amie jusqu’au sol. Rien que ce dernier geste suffit à alarmer la jeune fille. Elle lui prit le bras, sans précipitation, mais avec fermeté, comme pour l’amener à elle. Aussitôt, il lui prit la tête et la lui colla contre son cœur, elle sentait le poult irrégulier contre son oreille, et ferma les yeux, sachant qu’il allait tout lui dire.
« Les quatre années en ta compagnie, ont été les plus belles de ma vie… »
Pourquoi parlait-il comme s’il allait quitter ce monde ? Une larme perla au coin de l’œil de Kiyoshi.
« Mais, je suis condamné Kiyo. Depuis mes quatre ans, je…j’ai un cancer de la moelle épinière. »
Il la connaissait par cœur, et savait qu’avec elle, il valait mieux dire les choses de façon claires.
Kiyoshi agrippa sa chemise avec fièvre, elle ne pouvait croire à ce qu’il venait de lui dire, mais la réalité prenait le dessus, et elle comprit que s’il lui en parlait, c’était qu’il n’y avait plus rien à faire. On allait lui enlever la seule personne qui l’avait jamais comprise. La seule qui savait que si elle respirait du poivre, elle passait la nuit à pleurer. Que lorsqu’elle avait six ans, elle était tombée dans un ravin profond de dix mètres, et qu’elle en était sortie par ses seuls moyens, alors que sa jambe était cassée. Seul lui savait la fragilité de son esprit…
Et il allait la laisser.
L’égoïsme resurgit souvent face à la mort, lui semblait-il.
Elle savait qu’il voudrait qu’elle l’accompagne aux radios, qu’elle lui tienne la main durant le long chemin jusqu’à la mort, mais elle, savait qu’elle n’en était que trop peu capable. Et lui aussi….
Un an avait passé, il était mort à l’automne, entouré de sa famille dans un beau lit installé au milieu du salon de sa maison, comme un grand-père heureux, entouré de ses petits enfants. Mais Kiyoshi avait manquée à l’appel. Le jour où il avait périt, elle pleurait dans sa chambre, comme le soir de leur première rencontre. Tout était terminé, il lui fallait repartir de zéro. Elle avait perdu son port dans sa tempête, et toutes les choses qui aurait dût la contrarier du temps où Koba était encore là, lui remontait au visage, lui griffaient le cœur, sans aucune pitié.
Ses parents s’alarmèrent, et la seule solution qu’ils trouvèrent fut de la changer de lycée. Comme si un simple changement d’environnement allait suffire





Situation de départ :

Elle se souvenait encore de ses baisers, ce soir où il lui avait demandé. Il ne voulait pas mourir puceau. Elle en avait rit, malgré la gravité de leur situation. Elle s'était donc offerte à lui, pour sentir son ami une dernière fois avant la fin. Elle l'avait fait pas amitié, non pas par amour. Elle ne se sentait pas vraiment capable de recommencer..

Autres : Pas pour le moment.

Comment avez vous connu le forum: par partenariat avec chiboard.com
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous? Pas vraiment, désolée.


fiche trop tragique, je pense la recommncer dans pas longtemps.

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