Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hiyori Azuka

Pages: [1] 2 3 4
1
Complètement sonnée par la situation, je ne peux que me laisser aller, en espérant que ça se termine bien vite, que je puisse enfouir cette horeur au fin fond de mon esprit...
J'ai des crampes d'estomac qui s'accentuent, à chaque nouvelle atrocité dite par Tetyhs: jamais de ma vie on ne m'avait si horriblement parlé, si rabaissé... j'ai vraiment l'impression d'être une épave, un déchet qui ne mérite que de moisir au fin fond d'une poubelle...

Je me cambre et laisse échapper un long gémissement que je peine à étouffer, sous les nouveaux et brutaux assauts de mon agresseur, qui ravage furieusement mon intimité avec des coups de rein destructeurs.
Il finit par céder, déversant sa semence en moi, me faisant fortement me crisper, dans un cri muet, alors que je sens mon intimité se contracter autour de sa verge, sentant ma cyprine gicler d'un coup de mon intimité. Une chaleur se déverse en moi de la tête aux pieds dans un long frisson, alors que je m'affaisse sur la cuvette, sonnée par... par l'orgasme dont j'ai été victime à l'instant, alors que quelqu'un m'avait... violé...

Je ne dis rien à ses dernières insanités verbales, le laissant partir... et je vomis mes tripes quelques instants après, en pleurant silencieusement, le corps tout tremblant... Je n'arrive plus à faire le tri dans le flot d'émotions et de sensations submergeant mon être et mon âme, mais j'ai tellement l'impression que quelque chose s'est brisé en moi...

Je passe un moment à me nettoyer aux toilettes, avant de prendre la fuite, le pas hésitant et titubant et je sens bien quelques regards se poser sur moi, alors que je peine à reprendre le contrôle de mon corps.

2
J'ai du mal à comprendre ce qu'il se passe dans mon corps, alors que Akita continue d'enfouir son sexe végétal dans mes fesses. Je sens sa verge coincer en moi, avant de gonfler, gonfler... Je me crispe et gémis longuement, étouffant mes gémissements en couvrant ma bouche, mais je me retrouve bientôt tue par autre chose. Mon "amante végétale" m'embrasse longuement et je sens bien vite deux objets rentrer dans ma bouche, me faisant frémir de surprise. J'avale les deux choses, qui ressemblent à de petites cerises ou baies... et je sens bientôt des choses s'éveiller puissamment en moi.
Une bouffée de chaleur monte fortement en moi, mais quelque chose monte également au niveau de ma vessie, comme si... comme si j'avais une envie pressante d'un seul coup!

- Ah... Non... C'est trop... trop gênant de faire ça... non... han...

Alors qu'elle continue de caresser mon corps de ses "tentacules végétales", je cède cependant bien vite sous le plaisir et cette envie pressante, complètement submergée par le plaisir ardent embrasant mon corps.
Un petit jet de liquide doré sort d'au-dessus de mon intimité, entre nous deux, et je me contorsionne comme je peux, pour que l'urine atterrisse au sol, le jet tremblotant, alors que je jouis fortement sous la sodomie intense procurée par la femme-plante.

3
Je sursaute et me fige, lorsque la poignée de la porte se baisse dans le vide à quelques reprises: oh non... qui est là? Je pensais que je serai seule à finir la journée ici... Je tourne la tête à gauche à droite, ne voyant pas d'affaires étrangères qui traînent; peut-être que l'on sera venu me trouver, pour me dire qu'ils avaient fini ce qu'il avaient à faire.
Mon portable sur la table, un peu plus loin, vibre soudainement et je le récupère rapidement, alors que je suis bâillonnée par Kaito. Effectivement, Aiko est venue à l'instant pour me faire son rapport. Je l'informe brièvement que j'ai fermé la salle quelques temps pour finir deux trois dossiers sans être dérangée et que l'on parlera de tout ça demain.

J'ai à peine envoyé le message qu'un courant électrique semble parcourir mon être, me faisant longuement couiner et gémir et de plaisir, alors que mon amant s'enfonce... entre mes fesses petites et serrées.
Je sens une vague chaude se répandre en moi, me faisant trembler et jouir en peu de temps, me laissant pantelante et tremblante d'extase... Ouah... c'était si... intense...

Je tourne la tête vers lui, le laissant voir mes joues rouge cramoisi, mes quelques larmes montant aux yeux... mais aussi mon regard pétillant de plaisir planté dans le sien:

- Ah... Con... Continues... s'il-te-plaît...

4
Comment ça a pu dégénérer à ce point? Comment j'ai pu me retrouver dans ces toilettes publiques, à me faire violer par un élève de l'école?
Je grimace et étouffe mes cris, me disant qu'au point où j'en suis, je n'ai pas besoin que l'on me voit comme ça, même si ça devrait me sauver la vie:

- Ah... Ah... Et qui d'autre prendrait cette responsabilité!?! Les deux candidats ayant bien voulu de ce poste le voulaient pour de mauvaises raisons! Entre celle qui voulait abuser de son poste pour faire chanter les élèves et l'autre qui voulait juste mettre au conseil ses copines pour les tripoter, je préfère encore tout prendre sur mes épaules, même si je rate des choses!

Alors qu'il intensifie ses coups de rein brutaux en moi, sans aucun ménagement, je ne peux plus contenir mes cris et couinements, essayant d'étouffer cette chaleur brulant et montant en moi, me donnant l'impression de perdre le contrôle de mon corps.

- Ah... Non... c'est faux... Je déteste juste le rebelle qui... qui ne respecte rien ni personne... et qu'après tout me retombe dessus... comme si je pouvais être derrière chaque élève...

Heureusement qu'il ne me voit pas rougir, suite à ces quelques mots et compliments à mon égard, même si je sais que je ne les mérite pas. S'il le disait à ma mère, je comprendrai, mais moi... je suis insignifiante en terme de beauté et je sais bien que c'est pour ça que j'ai peiné à rassembler l'électorat masculin, parce que je ne suis pas assez jolie...

Grimaçant devant toutes ses pensées sombres m'envahissant l'esprit, je me reprends, dans un couinement de plaisir supplémentaire, alors que Tetyhs a un regain de vigueur et se déchaine d'avantage en moi, comme une bête sauvage. Pour ma part, je me maintiens sur les toilettes comme je peux, alors qu'il tripote ma poitrine aux tétons pointés et durcis...

- Han... N... Non... Si tu viens en moi... je... je risque de venir aussi...

5
Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: vendredi 12 mars 2021, 13:53:41 »
Je ne sais que dire ou que faire de plus, suite aux propos de Héra, parce que j'ai l'impression qu'il a raison. Au fond de moi, je le sais que je suis une vicieuse, que j'ai laissé la peur et un semblant de rébellion, pour pleinement me laisser dominer par cette homme, comme si... comme si je n'attendais que ça au fond.

Je suce son énorme pieu de chair comme une possédée, ayant l'impression de ne plus me reconnaitre sur l'instant, me trouvant décidément bien loin de la fille studieuse qui s'acharne avec le conseil des élèves et ses études, pour faire de son mieux à chaque seconde qui passe.

Un grondement bestial envahit la pièce, me faisant puissamment trembler, ayant l'impression que mon corps pourrait imploser de l'intérieur sous une telle puissance, alors que le sperme explose monstrueusement dans ma bouche. Comme la première fois, c'est impossible de tout avaler et une partie ressort d'entre mes lèvres et même mes narines, me faisant trembler d'avantage encore. Je crois que je vais avoir du mal à me réhabituer au "sexe normal", après tout ça...

Un moment de flottement passe, alors que mon regard croise celui du colosse, ce dernier paraissant soudainement plus doux que quelques secondes avant et durant toute notre étreinte. Il est... Il est juste content d'avoir... "purgé sa frustration sexuelle"? J'ai l'impression que c'est juste parti de ça au final...

- Je... Hum... Ma mère revient dans une heure... une heure et douze minutes environ, sans doute pour se reposer un peu de sa garde de nuit prolongée.

Je tourne la tête à gauche à droite, observant le saccage autour de nous... Heureusement qu'on s'est limité au salon, parce que sinon...
Je demande à être reposée au sol, rougissant un peu de m'être faite porter ainsi, mes jambes tremblant comme des feuilles et je peine à rester stable, alors que j'essaie de me reprendre.
Tant bien que mal, je reprends possession de mes jambes et je vais vers la salle de bains pour me débarbouiller et commencer à nettoyer le bazar.

6
Les alentours de la ville / Re : Soutien scolaire à domicile [PV Hiyori]
« le: jeudi 25 février 2021, 00:46:45 »
Très clairement, j'ai perdu le fil: j'en oublie presque les raisons premières pour lesquelles cet homme était à la maison... Je crois que c'est moi qui l'avait invité ici... ou alors c'est parce que j'avais besoin d'aide? Ou alors... je voulais du sexe avec un inconnu?

Perdue dans ce tourbillon d'émotions où se perdent quelques minuscules accès de lucidité, je me laisse encore aller au plaisir, en criant et couinant mon plaisir, même si je commence clairement à fatiguer oralement, ma voix se faisant rauque et plus étouffée.
Il me ravage monstrueusement depuis ce qui semble être une éternité, alors que je ne peux quitter du regard le reflet de la glace, voyant sa colonne de chair se frayer un chemin dans mes entrailles intimes.
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai joui, presque malgré moi, comme si mon corps cherchait à évacuer un trop-plein... Je me demande même si je pourrai "jouir normalement" après tout ça...

Soudainement, Héraclès se retire de moi, me faisant bien sentir... le vide en moi, signe que... clairement je vais garder des séquelles de tout ça...
Comment expliquer à ma mère le carnage sur mon corps? Comment le faire soigner? J'ai l'impression que je vais devoir faire pas mal de recherches...
Je me retrouve alors avec l'énorme sexe masculin devant mon visage, l'homme criant clairement son impatience et je remarque bien que son sexe est bien tendu et veiné, prêt à exploser...
Bloquant à peine une seconde... je me jette sur son sexe, comme possédée, enfouissant le plus profondément son sexe dans le fond de mon gosier, me faisant fortement frémir et gémir. La chair que je n'arrive pas à enfourner dans ma bouche est caressée et masturbée frénétiquement par mes mains , ripant de temps à autre sur ses bourses, pour les masser intensément.

7
L'esprit embrouillé par le désir ardent embrasant mon être depuis je ne sais combien de temps, j'ai un bref instant de lucidité. Je me rappelle que je suis en plein milieu d'un parc, à califourchon sur un homme rencontré il y a peu, ce dernier me faisant bien sentir la bosse dans son pantalon, contre mon intimité dans laquelle se trouve un œuf vibrant... Comment on a pu en arriver là?

Je frissonne et laisse échapper un gémissement étouffé, en sentant sa grosse verge se frotter tout contre moi et mon antre intime encore dégoulinante de plaisir. Ma lucidité se fait encore expulser d'un coup par le plaisir m'envahissant et je commence machinalement à accompagner le mouvement de mon amant, me dandinant et me déhanchant, de sorte à ce que sa verge caresse aussi bien mon intimité que mes cuisses internes.

Un moment passe durant cette caresse sensuelle, alors que je ne quitte pas du regard l'imposant sexe de mon amant, qui grossit peu à peu, jusqu'à retrouver sa taille massive d'auparavant.
Il me soulève doucement et je me mordille les lèvres, en voyant ce pieu de chair pointant devant l'entrée de mon intimité.
Impatiente et aussi anxieuse à l'idée de le faire en publics, je sursaute et me cambre dans un couinement que j'étouffe en me mordant presque la langue, mon intimité se resserrant fortement sur Himéros, sous le choc de la pénétration:

- Han... Ca va si... profondément... dans cette position...

Sans guère de ménagement, l'homme empoigne mes hanches, me faisant aller et venir puissamment sur sa colonne de chair, me faisant couiner et gémir contre sa nuque, alors que je me pelotonne tout contre lui, toute tremblante d'extase, mais aussi de crainte, à l'idée que l'on se fasse voir.

Un peu sonnée, je cligne des yeux à quelques reprises, lorsque l'étreinte se stoppe, Himéros me demandant de poursuivre l'action intime par moi-même.
Hésitant un peu, je commence finalement à doucement et langoureusement me déhancher, son intimité se frottant à mes parois intimes chaudes et gluante de cyprine sous tous les angles. J'alterne de temps à autre en redressant mon bassin quelque peu, avant de me rasseoir et m'empaler de nouveau sur son sexe.

- Ah... Je n'arrive plus à penser ou réfléchir... je n'ai que ce plaisir si... si dévorant à l'esprit...

8
Avec le sperme en bouche, je peux difficilement répondre autrement que par des signes de tête entendus à Himéros, pas mal rougissante et gênée devant ses propos: à l'entendre, on dirait qu'il veut... me faire sienne...
Intriguée, je vois l'homme déballer un curieux objet, un petit œuf... qu'il glisse rapidement entre mes cuisses, me faisant pousser un petit gémissement de surprise étouffé sous l'intrusion surprise.

Frissonnant sous les vibrations de cette objet enfoui dans mes entrailles intimes, encore bien sensibles après mon orgasme récent, je tâche de ne pas perdre le contrôle et ne pas "recracher" la semence de ma bouche, surtout pas devant la vendeuse.
Je peux finalement avaler la gelée chaude et gluante dans ma bouche, s'écoulant langoureusement dans ma gorge, me faisant trembler quelque peu:

- Ah... Merci... monsieur Himéros... Je... Eh bien, vous pouvez vous laisser aller... si vous voulez, ça ne me dérange pas... et ça peut ajouter un peu de... piment à nos séances intimes...

Tremblant sous les vibrations plus brutales en mon intimité, je tâche de maintenir mon rythme de marche "normal", malgré quelques trébuchements.
On "s'abrite" dans un petit parc, mon amant m'installant bien tranquillement sur ses genoux, me faisant d'avantage rougir, tout mon corps s'étant peu à peu chauffé tout du long de la promenade, avec l'œuf vibrant en moi et les souvenirs de notre étreinte dans le magasin:

- Je... Si vous pouviez... jouir au moins une fois en moi... pour calmer ce brasier que vous avez allumé en moi... avec cet objet enfoui en moi...

9
Les coups de rein se font plus bestiaux encore en moi, me faisant couiner et gémir entre mes lèvres serrées, les faisant les plus fermées possible, pour rester silencieuse au maximum, même si c'est compliqué.
Un rythme sauvage se fait ressentir contre mon fessier, alors que je suis tirée vers l'arrière, la pénétration se faisant plus rude et profonde encore moi, mon amant perforant mon utérus comme rarement on m'avait procuré cette sensation auparavant.

Il finit par se retirer de moi, enfouissant son sexe dans ma bouche, me faisant gémir de nouveau de manière étouffée. Il me pilonne le gosier aussi brutalement que avec mon intimité, me faisant frissonner longuement; il est tellement différent de l'homme que j'ai rencontré dans la rue... il est tellement brutal... et ça m'excite comme jamais...

Une cascade de semence déferle soudainement dans ma gorge, presque directement dans mon estomac, me cambrant et me faisant langoureusement gémir de manière étouffée, jouissant sous ce brutal assaut sur ma bouche et mon gosier.
J'avale copieusement et un peu bruyamment son sperme, avant de bloquer, lorsqu'il me parle de ce "gage", alors que je tète un peu distraitement son gland entre mes lèvres, en le dévorant d'un regard éperdu.

Je garde le reste de sa semence chaude et gluante dans ma bouche, acquiesçant silencieusement à sa demande, en m'inclinant à une seule reprise devant lui, me retrouvant devant son sexe, sur lequel je dépose une petite bise sur son gland, avant de me redresser, les joues rouges.

10
Je sens soudainement en langoureusement le pieu de chair de mon amant s'enfoncer en moi, me faisant couiner de plaisir... sauf que ma culotte se retrouve dans ma bouche avant que je ne puisse dire la moindre chose. Bâillonnée de manière si insolite, je me retrouve prise pleinement et rudement par Himéros, sa grosse verge emplissant copieusement mon intimité, faisant des aller-retours lents et langoureux. Petit à petit, comme moi lorsque je lui faisais la fellation d'avant, il augmente la vitesse, son sexe s'enfonçant peu à peu d'avantage en moi.
Cependant, malgré son coté "maîtrisé", j'ai l'impression que... le rythme se fait aussi plus bestial, ses assauts se faisant plus désordonnés, mais aussi plus profonds et ravageurs.

Je couine et gémis de manière étouffée, bavant et haletant sur mon "bâillon", me tortillant doucement sous ses coups de rein brutaux, mes hanches étant fermement empoignées par mon amant.
Mon intimité dégouline de cyprine sous le brutal traitement de Himéros, facilitant l'insertion de son épais pieu de chair dans mes entrailles intimes.

Je perds le fil du temps, ne sachant pas si ça fait deux minutes, un quart-d'heure, une heure, qu'il me possède rudement comme ça, mais je m'en moque bien au final: c'est juste si bon... que je voudrais que ça dure encore et toujours...
De temps à autre, les caresses de mon amant électrisent mon corps sous tous les angles, rajoutant à mes couinements et gémissements étouffés.

Soudainement, il retire ma culotte de ma bouche, me laissant haletante, les yeux pétillant d'extase, les cuisses internes souillées de ma cyprine:

- Ah... Ah... Je veux... Je veux vous sentir déverser... votre semence par litres... directement dans mon gosier... Vous pourriez... jouir en moi plus tard... de tellement de façons...

11
Mon corps ne cesse de tressauter et vibrer de plaisir, un plaisir brûlant coulant en moi comme de la lave en ébullition. Je tâche de me concentrer au mieux sur la bonne tenue de ma fellation, essayant de m'habituer au mieux au traitement très efficace de mon amant, dont je sens bien son sexe pulser en enfler dans ma bouche, me faisant longuement gémir de manière étouffée. Sa virilité est décidément bien surprenante, en comparaison de sa silhouette assez fluette, par rapport à son entrejambe.

Je sursaute et gémies de plus belle, alors que quelque chose s'enfonce en moi, comme des... boules? Des perles? On dirait que des boules reliées entre elles par une ficelle s'enfoncent une par une dans mon anus, me faisant écarter au mieux encore mes fesses, pour faciliter cette forte insertion.
Et Himéros qui continue de jouer avec sa baguette vibrante sur mon clitoris... c'est si bon...

Les yeux pétillants de plaisir, complètement sonnée par ce plaisir ravageant mon être depuis je ne sais combien de temps, je ressors le sexe baveux de mon amant dans un doux "pop" discret et humide.

- Ah... Je... Vous...

Je me retourne docilement, exposant et relevant ma croupe à l'homme, écartant les jambes et mes lèvres intimes de deux doigts, dévorant mon amant d'un regard de braise suppliant et éperdu:

- Hum... Pitié... calmez-ce brasier brûlant en moi... en m'emplissant de votre dure et épaisse verge...

12
J'ai à peine fini de déguster le sexe végétal de la femme-plante que cette dernière se retire de moi... et je sens des lianes m'encercler d'avantage et me manipuler comme une poupée de chiffon, me bougeant sans aucun effort visible. Des vrilles caressent mon corps sous tous les angles de nouveau, m'envoyant plein de piques de plaisir à travers mon corps, me faisant me cambrer et gémir puissamment.

- Ah... Vous... Vous tripotez tellement mon corps de partout... Han... c'est merveilleux...

Je sens sa verge verte appuyer contre mon anus, me faisant doucement frémir, alors que j'ai du mal à admettre que... j'apprécie la sensation de la sodomie sur mon corps...
Je me cambre et couine de plus belle, en tâchant d'étouffer au mieux mes couinements de plaisir entre mes lèvres serrées:

- Oh oui... j'adore même ce que vous me faites... depuis le début...

13
Peu à peu, mes appréhensions et craintes se font balayer par le plaisir ardent embrasant mon corps peu à peu, alors que Himéros s'élève petit à petit au sommet de mes partenaires, en quelques gestes à peine. Même si je reste novice en la matière, mon corps me dit, me crie même, qu'il est plus doué que la majorité de mes amants.

Je gémies et me tortille de plaisir, mon intimité s'humidifiant et s'écoulant d'avantage encore, débordant le long de mes cuisses internes, alors que mes mains tâchent d'accompagner ses mouvements comme je peux, caressant doucement son torse et ses hanches, même si mes caresses sont quelque peu crispées par le fort plaisir.

- Ah... Ah... D'accord... Je vais tâcher de faire au mieux...

Je déboutonne et baisse le pantalon de Himéros, avec un peu trop d'empressement pour paraitre encore "timide", pour me retrouver face à un gros pieu de chair pendouillant devant moi, me faisant rougir quelque peu... Pourquoi je m'attendais autant à ce qu'un amant si expérimenté possède un si gros sexe?
Je me concentre un temps, avant d'avancer la tête, saisissant la verge et dardant la langue, pour commencer à caresser délicatement le gland qui m'est offert. Faisant quelques tours de ce bout rose que je sais si sensible chez les hommes, je finis par l'embrasser longuement, l'enserrant entre mes lèvres, avant de doucement descendre, d'une traite. Je caresse son sexe de mes lèvres et l'intérieur de mes joues creusées, calant son pieu de chair sur ma langue, jusqu'à me retrouver le nez dans sa toison pubienne, gémissant longuement de contentement. Après "l'expérience Héraclès", ma gorge s'est pas mal "adaptée" aux gros calibres et celle que j'ai actuellement en bouche emplit bien comme il faut mon gosier, sans pour autant me "déchirer". C'est une sensation délicieuse de sentir cette verge chaude et palpitante emplir ma bouche.

Je recule doucement la tête, me retrouvant avec son gland à peine enlacé par mes lèvres... avant de me renfoncer en gorge profonde de nouveau, un peu plus vite que la première fois.
Je continue ce petit manège à quelques reprises, augmentant la cadence légèrement à chaque aller-retour.

14
Même si d'habitude, je ne prête pas spécialement attention aux commentaires des gens sur mon corps, je ne sais pas trop pourquoi, mais j'ai l'impression ici de jouer ma vie sur cette simple "impression corporelle", comme si ça allait tout changer dans ma vie...
Mais les compliments de Himéros me font plaisir et doucement rougir, me trémoussant légèrement de contentement:

- Oh... Merci...

De nouveau, l'homme vient m'embrasser et je m'abandonne rapidement au plaisir, poussant un long et doux gémissement étouffé, alors que je savoure le contact de nos lèvres et bientôt la folle danse entamée par nos langues.
Je vois alors Himéros se déshabiller peu à peu, dévoilant un joli torse fin mais bien bâti, avant que ce dernier ne se presse contre mon corps nu, rajoutant à mes frémissements, un léger soupir s'échappant de mes lèvres.
Je me cambre et gémis de manière étouffée sous ses baisers, ses lèvres et sa langue cajolant bien vite mes tétons, qui durcissent et pointent rapidement sous ces petites attentions.

Intriguée, je vois alors une étrange... baguette s'approcher de ma poitrine... et elle vibre soudainement contre un de mes tétons, me faisant sursauter et pousser un mélange de couinement et de gémissement, plaquant mes mains sur ma bouche, rouge cramoisi: on a dû m'entendre dans tout le magasin là!
Je n'ai pas le temps de penser au fait que je suis dans un espace "public" que mon partenaire continue de jouer avec cet objet sur ma poitrine, léchant et suçotant mon téton laissé libre, me faisant me tortiller et gémir de plus belle encore.

- Han... D'... D'accord...

Je m'exécute docilement, me penchant et écartant mes fesses, alors que je vois la baguette se faufiler entre mes cuisses et je m'attends bien vite au "pire"... et mon clitoris se fait alors sauvagement agresser par cet objet, me faisant trembler fortement, dans une longue plainte de plaisir que j'étouffe entre mes lèvres, mes mains posées sur son torse ripant vers le bas, me faisant perdre l'équilibre. Lorsque je retrouve ma stabilité, je redeviens rouge cramoisi, voyant que ma main gauche était posée sur son entrejambe encore couverte par son pantalon. Je retire la main bien vite:

- Dé... Désolée! Ma main a complètement dérapé!
Je... Hum... C'est... C'est merveilleux...


Je frisonne et me tortille de plaisir, alors que mes deux intimités se font caresser par mon partenaire, qui semble si bien maîtriser ses gestes...

15
De plus en plus intriguée et curieuses de la tournure des évènements, j'acquiesce d'un signe de tête léger, en réponses à la suite du programme évoquée par Himéros:

- D'accord, je vous laisse gérer la partie... on va dire "logistique" de la chose bien volontiers, parce que je suis prête à découvrir autant de choses que possible.

Mine de rien, le mélange d'assurance et de charme que dégage cet homme me met pas mal en confiance et j'ai l'impression d'avoir oublié bien vite de quoi on parle en fait, une chose qui me bloque d'avantage, en temps normal.
Il récupère pas mal d'objets, dont je connais et reconnais la plupart, commençant doucement à sentir... une chaleur naître en mon bas-ventre, alors que je me rappelle que trop bien les contextes intimes dans lesquels j'utilise ces objets.

On se retrouve dans une cabine "d'essayage", même si je ne sais pas trop ce que je pourrais essayer ici: il n'y a pas vraiment vêtements, à part de la lingerie et des tenues BDSM, mais l'homme n'a rien pris de tout ça et... hein?
Je rougies fortement, lorsqu'il me demande de... me mettre nue devant lui?!?

Je bloque quelques secondes, mon regard perdu dans le sien, frémissant encore un peu, suite aux paroles qu'il a prononcé... sur un ton si doux...
Mécaniquement et lentement, sans le quitter des yeux, je retire mes vêtements de haut en bas. Me retrouvant peu après entièrement nue, je glisse une main légèrement vers ma petite poitrine, s'arrêtant vers mon ventre et l'autre main sur mon intimité imberbe, s'arrêtant vers ma cuisse. mon corps avait comme bloqué, au moment où je voulais couvrir les parties intimes de mon corps, comme si je voulais... tout lui montrer:

- Je... Mon corps ne vous dérange pas, j'espère?

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