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[FINI] Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

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Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 30 mercredi 18 décembre 2013, 01:27:08

« J'vais... T'BUTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!! »

Le cri de rage de la Duchesse ne surprit nullement Barbara, qui resta en position de contact. La tarée tenait toujours son tuyau, et, dans une bande dessinée, on l’aurait probablement montré avec des vaisseaux sanguins ayant explosé dans ses yeux, de la salive s’échappant de ses lèvres. Elle n’effrayait nullement Batgirl, qui répliqua rapidement. Son pied partit, et l’atteignit dans le ventre, coupant, non seulement sa respiration, mais aussi son élan. L’héroïne agit alors, et roua le visage de la Duchesse de coups de poings et de coups de coude en se retournant. Elle l’enchaîna pendant quelques secondes, et serra son poing gauche, pour un formidable uppercut... Qui provoqua un craquement dans le bas de son dos. Quand son poing heurta la mâchoire de la femme, la repoussant, Barbara sentit une pointe de douleur aiguë la traverser à hauteur du bas de son dos, et poussa un cri étouffé en sentant ses jambes se dérober sous elle.

*Oh non, pas ça !*

Ses jambes se dérobèrent sous son poids, et elle tomba à quatre pattes, fermant les yeux, retenant un cri silencieux, sous la douleur fulgurante qui venait d’exploser en elle. Elle secoua lentement la tête. Son dos lui faisait mal, bien trop mal, et elle savait qu’il était trop tard. Il fallait qu’il se replie, mais la Duchesse n’en avait pas encore fini avec elle. L’Oracle réfléchit assez, vite, et porta la main à sa ceinture, en sortant son Bat-grappin. Ce que la Duchesse interpréta comme une tentative d’attaque fut en réalité une tentative de repli à l’aide de son arme, mais elle n’eut guère le temps de trouver une cible valide que le tuyau de la Duchesse s’abattit violemment sur son dos.

« HAAAAAAAAAAA !! »

Le cri de douleur de Barbara s’échappa de ses lèvres, et elle s’écroula sur le sol, se tortillant faiblement, alors que ses vertèbres venaient à nouveau de se déboîter, très légèrement, mais suffisamment pour l’empêcher de reprendre le contrôle de ses jambes

« Alors... Elle est ou ta "justice" maintenant ? » claironna la Duchesse.

Allongée sur le sol, Barbara haletait lourdement, le souffle lourd, de la sueur s’échappant de sa tête. Impossible de se battre, maintenant, ni même de se replier. Son corps était en train de redevenir le sarcophage dans lequel elle était piégée depuis des années, son talon d’Achille. Elle s’en voulait d’avoir voulu agir ce soir, au lieu de laisser les autres endosser le costume. Cependant, Barbara n’était pas encore totalement démunie. Elle ne répondit pas à la Duchesse. Elle savait ce que cette dernière allait lui faire, où elle allait l’emmener. En la provoquant, Batgirl avait déclenché sa rage, et elle ne pouvait pas simplement se contenter de la laisser là, et partir, ou juste la tuer... Ce serait trop rapide. Elle allait vouloir la faire souffrir, auparavant. Et, dans tous les cas de figure, il allait falloir que la Duchesse traîne Barbara le long des égouts, jusqu’à son repaire, soit autant de temps perdu que Barbara pourrait mettre à son profit.

Elle porta sa main à sa ceinture, et la glissa dans une sacoche. Ce faisant, elle appuya sur un petit dispositif, et le laissa dans la sacoche. Elle déplaça ensuite lentement ses doigts, et appuya sur un autre bouton, qui verrouilla sa ceinture. Désormais, si quelqu’un d’autre que des empreintes reconnues parla ceinture essaieraient de la toucher, la ceinture émettrait une charge électrique très désagréable. Le dispositif que Barbara avait enclenché était tout simplement un signal d’alerte, à partir duquel la jeune femme espérait recevoir des renforts... Elle espérait juste que les filles ne traîneraient pas trop.

*Profite de ta victoire, Duchesse... Il se pourrait bien que, là où mon dos ait été mon talon d’Achille, je sois ton cheval de Troie.*

Comme pour donner l’illusion que Barbara était piégée, elle se mit à ramper... Ou, du moins, à essayer. Elle savait que les maniaques aimaient bien ça : deviner la peur chez leurs proies. Or, quelle meilleure expression de la peur que de la fuite ? Tout en gémissant silencieusement, Batgirl tenta donc de ramper, mais ne put enfoncer que ses doigts dans la terre. C’était comme si ses jambes étaient devenus deux poteaux infernaux refusant de la porter.

Elle ne pouvait donc guère aller plus loin, d’autant plus que la douleur était telle qu’elle l’anesthésiait.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 31 mercredi 01 janvier 2014, 23:01:44

La justicière gisait sur le sol, haletant lourdement comme une pauvre chienne battue, Lucrezia se rapprochait dangereusement de sa proie fébrile avec un sourire qui petite à petit venait illuminer son visage blafard couvert de sang. Du haut de sa petite victoire la Duchesse pouvait enfin mieux visualiser sa victime, un corps horriblement attirant Sublimé par une tenue de cuir particulièrement moulante, dieu que Lucrezia aller se régaler... oui... Notre tueuse sentie monter en elle cette sensation irrépressible, cette pulsion sexuellement mortifère qui précède chacun de ses macabres massacres. La pauvre femme tenta vainement de fuir, ce qui excita encore plus Lucrezia, voir ses victimes fuirent, ramper, implorer, elle adorait ça... Oui... Elle adorait vraiment ça, ça l'exciter d'autant plus qu'elle savait pertinemment que sa victime lui appartenait, comme ci cette dernière n'était qu'un jouet, un vulgaire objet, un pions parmi tant d'autres sur cette terre.

 Tu es à moi... Lâchât elle avant de violement poser son pied sur le dos de la jeune femme, faisant crier cette dernière de douleur.

 ahah... ahaha... ahahahAHAHAHAHAHA ! HAHAHAHAHA ! OUAI ! BORDEL OUAI ! CRIE, IMPLORE, PLEURE, CHIALE TOUTES LES LARMES DE TON CORPS AHAHAHA !

 Suite à cela lucrezia lâcha son tuyau puis vint à s'accroupir à coter de le justicière caressant doucement la chevelure rousse de la jeune femme.

 J'vais te faire souffrir ma belle, j'vais me délecter de ton corps de chienne... HaAaAAAAAaaaaaAa.... rien que d'y penser je mouille comme une salope.... souffat elle avant de retourner Batgirl sur le dos puis de se mettre à la caresser de long en large tout en poussant de grand soupir d'excitations.

 HaaaaaAaAAn.... haaAAnnn ouai.... je sent que je vais vraiment prendre mon pied avec toi...

 Lucrezia était dans un état de pur excitations, elle ne contrôlait plus ses pulsions, de son antre juteuse dégoulinait un mince filet de cyprine tendis que sa langue passait frénétiquement sur la cicatrice ornant ses lèvres bleutées... Oui... Oui Lucrezia est belle est bien une maniaque sexuelle, une prédatrice de sexe et de sang, une "lust killer" comme ils disent dans le milieux psychiatrique.

 Cet alors que l'une des mains de notre tueuses vint à entrer en contact avec la ceinture de la justicière et là... BZZZZt !
 Une décharge électrique traversa tout le bras de Lucrezia, faisant basculer cette dernière en arrière.

 Put... t'inquiète... t'inquiète espèce de pouffiasse... tu auras beau avoir autant de joujoux que tu voudras, cette nuit sera ta dernière sur cette salope de terre !

 Une fois cela dit Lucrezia pris dans sa sacoche un flacon de chloroforme à l'aide du quel elle imbiba un petit mouchoir blanc puis délicatement elle vint à rapprocher le mouchoir du visage de la jeune femme.

 Bonne nuit... Mon étoile.... soufflât elle avant de violement plaquer le petit bout de tissu sur le nez et la bouche de Batgirl, cette dernière remua vainement quelques secondes avant de doucement tomber dans les pommes. Aux loin, les sirènes de polices et les hélicoptères semblaient se rapprochaient, Lucrezia devait trouver un endroit où emmener la justicière et... L'endroit s'imposa de lui même dans l'esprit torturé de la tueuse...

 Ooooh... Oui...

 Lucrezia ramassa son couteau, prit Batgirl dans ses bras en évitant tout contact avec la ceinture de cette dernière puis elle alla en directions du dit endroit en titubant quelque peut... Cette macabre nuit n'était manifestement pas prête de ce terminer...
 D'un pas rapide Lucrezia traverssa la Toussaint en passant par d'innombrable petites ruelles mal ou voir, pas du tout éclairées et ce fut en moins d'une petite trentaine de minutes que la meurtrière réussit à rejoindre l'une de ses planque favorites... Un vieux pub crasseux totalement à l'abandon. La Duchesse regarda vaguement aux alentours, histoire d'assurer le coup puis... elle entra dans le pub...

 L'endroit était crasseux, il emmener de ce dernier un horrible odeur de vomit, de pourriture d'alcool et de crasse, les tables et les chaises étaient brisées et renversées sur le sol jonché de bris de verre et de bien d'autres détritus... Lucrezia de s'attarda pas ici, préférant rejoindre directement le sous-sol, un endroit sinistre à l'écart de tout, un endroit ou Lucrezia avait signée certaines de ses pires boucheries, un des nombreux endroit ou elle avait laissée parler ses plus bas instincts et ses pulsions les plus crades et débauchées.
 Le sous sol avait des allure d'abattoir car en réalité ce dernier était autrefois la cuisine du pub, il trônait toujours au centre de la pièce un grand tour en inox couvert de sang à coter du quel on pouvait voir une petite table en bois elle aussi couverte de sang. Pour le reste, la salle n'était qu'une vaste porcherie, il y avait un peut partout dans la pièce des vieux sacs poubelles des quels s'échappait un liquide brun et nauséabond venant dégouliner dans une petite bouche d'égout. Lucrezia alluma la seule lumière qui fonctionnait encore, celle-ci se trouvait juste au dessus du tour en inox et était défectueuse, ne cessant de grésiller et de clignotait. Notre tueuse installa batgirl sur sa table chirurgical de fortune avant de solidement attacher la justicière avec des du fil de fer qui trainait là, la Duchesse jubilait, elle allait enfin pouvoir libérer ses pulsions malsaine sur une pauvre femme, la violer, la mutiler, la tuer et ensuite l'éventrer pour lui retirer son utérus.

Une fois la "patiente" installée, Lucrezia disposa consciencieusement ses ustensiles sur la petite table en bois, Bistouri, couteaux, Spéculum, seringues, flacons divers et enfin, une longue petite baguette effilée servante à élargir l'urètre de la patiente.

Qu... Merde, je l'ais mise où.... lâchât elle en farfouillant dans sa sacoche.

Visiblement, la petite baguette n'était pas de la partie, du coup, Lucrezia était bien embétée... Cette dernière regarda vaguement autour d'elle, histoire de voir si il n'y avait pas quelque chose pouvant servir de substitue à la dite baguette.

Voyons voyons... Oh ! Tiens ! je vais prendre ça !

Lucrezia se penchât alors pour ramasser un... un long bout de fil barbelé rouillé.

J'espère que tu est vaccinée contre tétanos AHAHAHA ! 

En disant cela Lucrezia se saisit de son petit flacons d'Ether afin d'en imbiber un petit mouchoir, mouchoir qu'elle se mis sur le nez avant de prendre un grande bouffer d'air dans se dernier.

Aaaaaaaaaaah.... Bordel !

Cet alors que son regard se tourna vers... Une vieille bouteille de whisky dissimulée derrière un jerrycan d'essence.

JACK... POT !

et hop, doubler gagnant ! En plus de pouvoir se bourrer la gueule, elle aller pouvoir se décaper les neurones avec l'essence... Autant dire que l'opérations allait pas être des plus... propre...
A ta santé... Bitch ! lâchât elle en rammassant la bouteille de sky puis d'en boire plusieurs gorgées cul sec.
Batgirl, toujours dans les vapes, ce mise à pousser de petits gémissement, elle semblait peut à peut sortir de sa torpeur, ce qui bien évidement attira l'attention de la tueuse.

Eyh...

Lucrezia s'enfila cinq ou six autres grosses gorgées d'alcool avant d'essuyer ses lèvres avec son bras.
Notre tueuse, visiblement plus déglinguée que toute à l'heure, prit ensuite son bistouris puis, à l'aide se celui-ci elle ouvra en deux la tenue de batgirl, mettant à l'air libre les seins de la justicière. De beaux seins, bien formés et bien ferme, comme Lucrezia les adorés, le genre de nichons que la duchesse aimait voir être tailladés de toute part...
La Duchesse mouillait comme une salope, sa vulves dégoulinait de cyprine, formant de longs fils de liquide sirupeux venant s'écraser sur le sol en fines gouttelettes.

Tu vois... Moi... Je dit toujours qu'il faut bien désinfecter la patiente avant de commencer une opération... alors... santé !

Et splash ! Lucrezia se mis à verser tout le contenue de la bouteille sur le corps de batgirl puis une fois cela fait elle explosa le cul de la bouteille sur la table.

Aller... dit un truc ma belle... dit le que je t'excite... dit le... moi je m'excite... et toi tu t'excite ? Te masturbe tu quand tu es toutes seul ?

elle glissa un caresse sur le ventre de la justicière...

Moi... Moi j'aime les femmes... Mais le truc qui me fait vraiment prendre mon pied... c'est les gamines.. hihi... hihihi. ihiahahahaHAHAHA ! Avec leur petite chatte virginale, c'est juste... JOUISSIF ! AHAHAHAHA !

Oui... à ce moment précis, Lucrezia débloquer totalement...





Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 32 vendredi 03 janvier 2014, 02:28:27

Sur le sol, Barbara n’entendait pas vraiment la tueuse s’esclaffer. Elle serrait nerveusement les dents. La douleur la clouait sur le sol, l’immobilisant. Batgirl avait les yeux clos, des gouttes de sueur roulant le long de ses joues. Elle soupirait lentement, longuement, et, quand la Duchesse posa son pied sur son dos, une onde de douleur la traversa, la faisant hurler. Au loin, elle pouvait entendre les gyrophares se rapprocher, mais elle connaissait suffisamment la police pour savoir que cette dernière ne viendrait pas à temps. Cependant, Barbara était, tout de même, passablement rassurée : elle avait enclenché son traceur, et, tôt ou tard, ses coéquipières viendraient la sauver. Ce n’était qu’une question de temps... Mais, au-delà de ça, Barbara se sentait surtout faible. Elle avait bien trop traîné contre la Duchesse, et elle n’aurait jamais du l’attaquer, mais s’en tenir à la procédure. Elle savait que sa période approchait, que le moment où ses blessures se réveilleraient se rapprochait. Elle aurait donc du appeler ses collègues, afin que ces dernières prennent le relais. Au lieu de ça, Batgirl avait vu une tueuse en série, une folle dangereuse, une femme qui avait commis de nombreux meurtres. Elle avait réagi sur l’instinct, et les excuses qu’elle avait alors pu se trouver lui paraissaient maintenant bien illusoires, devant sa situation actuelle.

*J’avais pensé pouvoir la neutraliser plus rapidement, mais cette garce est résistante... Quelle conne...*

Barbara ne pouvait nier être effrayée. Elle avait déjà dansé avec la mort. Quand le Joker lui avait tiré dessus, elle avait bien cru qu’elle serait morte. Il lui avait fallu de longs mois pour se dire que ce n’était pas de sa faute, que le Joker ne savait pas que Barbara Gordon état Batgirl, et que sa cible n’était pas elle, mais son père, Jim. Quant à Jim, le commissaire ne s’était jamais vraiment remis de la culpabilité qui pesait sur lui. Avoir été torturé par le Joker par la suite n’avait été rien en comparaison de ces instants passés à l’hôpital, à surveiller sur sa fille, entre la vie et la mort, et à se dire que c’était à cause de lui que sa famille était en danger. Et Barbara s’était sentie doublement coupable... Si son père avait su ce qu’elle faisait la nuit... Jim savait qu’elle était l’Oracle, une consultante auprès de la police, mais, là encore, il ignorait qu’elle avait été à Tekhos Metropolis, et qu’elle subissait un traitement médical lui permettant de se tenir debout.

La Duchesse retourna alors Barbara, lui arrachant un nouveau frisson de douleur. Elle écarquilla brièvement les yeux, sentant vaguement les mains de cette cintrée glisser sur son corps. Lucrezia avait encore son poignard, mais elle semblait auréoler d’une espèce de lueur démente, une folie telle qu’elle ressemblait, pendant un bref moment, au Joker... Barbara comprit qu’elle délirait. Elle remuait lentement, essayant encore de porter des coups, et n’eut même pas une onde d’excitation quand les doigts de la Duchesse heurtèrent la ceinture, tentant de la retirer. Cette dernière était voûtée à sa combinaison, et, en sentant des doigts qui n’appartenaient pas à une empreinte enregistrée dans le programme de l’armure, la ceinture lâcha une décharge électrique, une impulsion qui amena Lucrezia à retirer ses doigts précipitamment. Le choc aurait pu l’assommer, mais la Duchesse était dans un tel état d’excitation qu’elle *ne semblait même pas fatiguée...

*Foutue garce...*

Barbara cligna lentement des yeux, et vit alors la main de la femme s’approcher.

« Bonne nuit... Mon étoile.... » entendit-elle vaguement contre son oreille, avant que le mouchoir ne se pose sur ses lèvres.

Barbara poussa un soupir, ses yeux se révulsèrent, et elle sombra dans le coma.



« L’infirmière... Folle... Les électrochocs...
 -  Augmentez la morphine. »

La jeune docteur obéit silencieusement, et enfonça une nouvelle dose de morphine dans le corps assoupi de Shani Stevens. La belle Française était allongée dans un lit d’un autre hôpital de la ville, l’hôpital Resurgam. Le docteur était un homme assez âgé, qui avait offert à Shani des soins prioritaires. Cependant, elle était plus choquée que véritablement blessée, et elle avait surtout besoin de repos. La femme tenait des propos incohérents et illogiques, parlant d’une infirmière en tenue rose qui lui aurait fait du mal avec des électrochocs. Le docteur avait compris qu’elle était une victime de la Duchesse, et qu’une chasse à l’homme était organisée dans la Toussaint. Le genre de comportements que le docteur avait du mal à comprendre. Ce chirurgien-urgentiste assez âgé était entièrement voué à sa tâche : soigner les gens.

L’infirmière qui mit la dose de morphine tremblait légèrement. Elle était nerveuse, et avait surtout été embauchée parce qu’elle avait une belle poitrine, et que le responsable qui s’était chargé de son embauche lui avait fait essayer une robe d’infirmière en latex, pour la culbuter. Il savait qu’il planait à Seikusu une sorte d’odeur sexuelle, d’atmosphère délurée. Originaire de Seikusu, il savait que ça n’avait pas toujours été ainsi, que, jadis, la ville était relativement paisible. Depuis quelques dizaines d’années, il y avait une recrudescence d’étrangers, de pervers sexuels, et de scandales sexuels.

La Duchesse était l’un de ces nouveaux phénomènes.

*L’air de cette ville est vicié...*

L’infirmière réussit à mettre la dose de morphine, et la patiente s’écroula dans le sommeil. La jeune infirmière se retourna alors, et baissa poliment la tête, joignant les mains devant elle. Le brave docteur ressentit, bien malgré lui, une certaine excitation remonter de son bas-ventre... Cette patiente était également très belle, si belle que, s’il avait été un peu moins courtois et respectueux, il aurait probablement congédié l’infirmière, afin de parcourir ce corps de ses lèvres.

« C’est très bien, Jun. Je pense qu’elle a besoin de repos, maintenant.
 -  B-Bien, docteur... »

Le docteur ne pouvait pas savoir que l’infirmière fantasmait sur les hommes âgés, et qu’elle portait des collants pour qu’il la remarque, et la prenne par l’arrière dans son bureau. Le docteur sortit tranquillement, et croisa les deux policiers.

« La patiente est sauve, ne vous en faites pas... Je lui ai prescrit un peu de morphine, après avoir pansé ses quelques plaies. »

Le policier à qui il s’adressait hocha la tête, lorsque sa radio se mit à crépiter. Il tendit la main vers le docteur, comme pour s’excuser, et attrapa sa radio.

« J’écoute... Ah... Très bien, nous monterons la garde toute la nuit, au cas où elle voudrait repasser par là. »

On venait de lui dire que la Duchesse avait échappé à la police et aux chiens, qui avaient remonté sa trace jusqu’à un site de construction, où elle avait ensuite disparu. La police craignait donc qu’elle cherche à revenir vers Shani. Ils ignoraient, pour l’heure, qu’elle avait une proie plus intéressante.



Ce fut un rire qui la réveilla, un rire sinistre et hystérique.

Quand elle rouvrit les yeux, en gémissant, elle crut avoir été capturée par le Joker... Avant que la mémoire ne se rappelle à elle.

*La Duchesse !*

Barbara cligna des yeux, et prit rapidement conscience de plusieurs choses :

  • Son dos ne lui faisait plus mal, mais elle était toujours immobilisée ;
  • Ses bras et ses jambes avaient été entravés ;
  • Elle avait les seins à l’air.



Par la suite, soit quelques secondes après son éveil, elle prit conscience qu’une lumière l’éblouissait, et, en tournant la tête, discerna peu à peu les contours d’un bâtiment délabré, sombre, poussiéreux, rempli de sacs-poubelles noirâtres dispersés dans les coins. Elle cligna des yeux, avant d’entendre des bruits de pas... Et de sentir une forte odeur d’alcool. Elle vit alors la Duchesse débarquer dans son champ de vision, avant de déverser sur elle son whisky, qui heurta ses seins et son costume, glissant le long de son torse.

« Tu vois... Moi... Je dis toujours qu'il faut bien désinfecter la patiente avant de commencer une opération... Alors... Santé ! »

Elle empestait l’alcool et la démence. Barbara serra les dents, remuant faiblement, éprouvant la solidité des liens. Ils étaient solides, et elle risquait surtout de s’écorcher la peau. De plus, quand bien même elle parviendrait à se libérer, son dos était toujours en compote. Elle ne pouvait pas faire grand-chose, et, si elle faisait trop d’action, elle risquait de briser sa colonne vertébrale. La Duchesse explosa ensuite le contenu de la bouteille contre la table, et Batgirl frissonna, se mettant à craindre que cette tarée ne cherche à l’entailler avec la bouteille. D’un ton plus doux, mais non moins empreint d’une démence primaire, la Duchesse se remit à parler, Batgirl restant silencieuse :

« Allez... Dis un truc ma belle... Dis-le que je t'excite... Dis-le... Moi je m'excite... Et toi tu t'excites ? Te masturbes-tu quand tu es toute seule ? »

La main de la Duchesse glissa alors sur son ventre, tandis que Barbara la regardait. Elle s’attendait probablement à ce que sa victime la supplie, à ce qu’elle implore sa pitié... À sentir qu’elle exerçait du pouvoir sur elle. Barbara essayait de réfléchir à la meilleure façon de s’en sortir, mais elle savait que, face à une psychopathe, il n’y avait pas grand-chose à faire.

« Moi... Moi j'aime les femmes... Mais le truc qui me fait vraiment prendre mon pied... C'est les gamines.. hihi... hihihi. ihiahahahaHAHAHA ! Avec leur petite chatte virginale, c'est juste... JOUISSIF ! AHAHAHAHA ! »

Elle la provoquait, elle voulait l’énerver, la paniquer. Barbara ferma lentement les yeux, décidée à ne pas rentrer dans son jeu. D’un autre côté, si elle énervait Lucrezia, elle risquait aussi de mourir précipitamment. Du temps, c’était tout ce dont Barbara avait besoin, du temps. Elle devait trouver un moyen de la faire parler, en partant du principe simple : un psychopathe est fortement orgueilleux et égocentrique. Il y avait Lui, être invulnérable, au-dessus des lois, et les autres, moutons idiots.

En se mordillant brièvement les lèvres, Barbara finit donc par répondre :

« Pourquoi fais-tu ça ? Torturer... Kidnapper... Violer... Tuer... À quoi est-ce que ça rime ? J’ai arrêté suffisamment de violeurs pour le savoir... Ce sont des lâches, des incapables, impuissants... Toi, tu es belle. Ce n’est pas ton cas, et, vu les filaments que je vois sur ton corps... »

Il fallait parler, la flatter, sans que ça passe pour de la flagornerie. Barbara se mordilla à nouveau les lèvres, avant de poursuivre :

« Tu m’as vaincu... Tu es donc forte. Ne... Ne serait-il pas plus gratifiant d’avoir le consentement de sa victime ? Qu’elle soit heureuse avec toi ? »

La faire réfléchir, la faire parler.

Et ainsi permettre à l’horloge de tourner.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 33 dimanche 12 janvier 2014, 10:38:06

Pourquoi... C'était là l'un des mots que Lucrezia avait le plus entendue dans toute sa misérable existence... Pourquoi, Pourquoi... Il n'y a enfaite aucune réponse... Il y à le vide... Un vide monstrueux. Suite au deux tirades de la justicière, Lucrezia poussa un grand éclat de rire, lâchant le tessons de bouteille sur le sol.

AhAhAhhaAhahAhah !!!!!!!!!! Pourquoi ? Tu me demande pourquoi !? Mais parce que j'aime ça ! ça m'excite ! Je... Je ne me l'explique pas... C'est une pulsion, une envie, un fantasme !

En psychiatrie, on décompose le "cycle du meurtre en série" en six phase bien distinctes :

1 - La phase d’aura, durant laquelle le tueur commence à perdre prise sur la réalité.
2 - La phase de chasse, durant laquelle le tueur cherche une victime.
3 - La phase de relation, durant laquelle le tueur attire sa victime.
4 - La phase de capture, durant laquelle la victime est prise au piège.
5 - La phase de meurtre ou de Totem, qui est émotionnellement élevée pour le tueur.
6 - La phase de dépression, qui a lieu après le meurtre.


 la triste réalité est qu'en faite, le cycle est toujours voué à ce refaire. le tueur à toujours besoin de tuer pour combler un "vide" un vide qui en réalité ne fait que s'agrandir après chaque meurtre, Lucrezia ne fait pas exceptions a la règle, chacun de ses meurtres est comme une drogue, il lui en faut toujours plus, ses pulsions ne sont et ne seront jamais assouvies totalement, Le pourquoi ? c'est une recherche de pouvoir et une irrépressible envie de sexe crade et morbide, la domination totale de sa victime mêlé à la drogue au sang et à des tas de truc dégueu qui tournicote dans le crane dissolue de la tueuse.

Elle fit glisser sa mains jusqu'à l'entre jambe de Batgirl, elle attrapa la jolie culotte de cette dernière et d'un geste violent, elle tira dessus faisant rentrer le tissus dans la fente de la jolie rouquine.

Aller.... crie ! CRIE ! AHAHAHAHA ! Dit elle en tirant plus fermement encore sur le bout de tissus.

Jvais adorer te faire souffrir... Regarde moi, je mouille comme la pire de toute les salopes, putains ! PUTAIN REGARDE MOI TOUTE CETTE CYPRINE AHAHAHAH !

Alors que la culotes de batgirl était à présent entre ses deux lèvres intimes, Lucrezia se mise à lécher le bourgeon de la jolie justicière, elle le lécha puis le suça avec avidité, continuant sans cesse de le titiller de sa langue toute en se masturbant, diantre que notre tueuse était excitée ! Lucrezia, toujours poussée par ses pulsions malsaines se mise à faire gentiment tournoyer sa langue sur la cerise de batgirl, avant de violement la mordre avec acharnement, comme si elle chercher à exciser la justicière avec ses incisive. En faisant cela, la tueuse passa sa mains sur le pubis de la belle justicière, cette dernière avait une adorable petite touffe de poils aux reflets flamboyants.

Bordel... qu'elle est douce et bonne... soufflât elle avant de ce retirais en s'essuyant la bouche du revers de sa mains.

Lucrezia salivait d'excitation, ses yeux brillaient d'un lueur de folie absolument terrifiante, elle en voulais plus, toujours plus ! Il fallait qu'elle comble son "vide", qu'elle assouvisse ses pulsions et plus elle allait faire de sévisses, plus ils allaient devenir violents et obscènes et cela jusqu'au moment de l'éviscération final où la Duchesse signerait son meurtre du désormais classique "prélèvement d'utérus". Délicatement, Lucrezia se saisit de son bistouri avant de lentement l'approcher du corps de sa victime.

Et ci nous faisions de jolie petites entailles sur ses beau nichons... hm ?

La tueuse glissa la lame du bistouri sur le ventre de batgirl, rejoignant petit à petit le seins droit de la justicière entaillant très légèrement cette dernière. une fois le seins de la rouquine atteint, elle fit une première entaille au niveau du tétons. Les sévisses faits aux tétons était particulièrement douloureux et Batgirl, malgré son grand courage et sa forte tête, laissât échapper un petit gémissement mal étouffé.

ça te fait mal ?

La Duchesse esquissa une grand sourire carnassier, elle adorait faire mal à ses victimes, les voir souffrir lui apportait de la jouissance, une forte impression de supériorité et de domination et cela l'excitait encore plus, alimentant ses pulsions mortifères. La tueuse, ne voulant nullement s'en arrêter là, elle pris une aiguille à seringue dans chaque mains et avec toujours le même sourire, elle les enfonçât dans les tétons de batgirl, la faisant hurlait de douleur.

HAHAHAHAHAHAHAHA ! Vas y, HUUUUUUUUUUUUUUUUURLE !

Et VLAM ! Lucrezia envoya son poing dans la joue de Batgirl.


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 34 lundi 13 janvier 2014, 02:31:57

Attendre et tenir, se bercer d’illusions en se disant que les renforts allaient arriver, voilà ce à quoi Barbara devait se réduire. Elle portait toujours en elle les séquelles de la folie du Joker, les traces de la perversion de cet homme. Au dernier moment, ces séquelles l’avaient trahi. Batgirl était maintenant, encore, la proie, d’un maniaque, comme elle l’avait pu l’être du Joker. Cette scène traumatisante de sa vie, qu’elle avait essayé d’oublier, revenait par la porte arrière. Le sourire hideux et le rire macabre de ce psychopathe étaient désormais remplacés par la démence d’une femme nymphomane qui avait une manière perverse et cruelle d’exprimer ses pulsions sexuelles. Barbara la sentait lécher son intimité, et ferma les yeux, retenant les trahisons de son corps. Elle ne pouvait tout simplement pas s’imaginer mouiller contre une folle pareille. Peu importe ce qu’elle ferait, elle serait perdante sur tous les tableaux. Mouiller reviendrait à rentrer dans son jeu, mais Batgirl doutait que ça calmerait la Duchesse. Elle n’était pas là pour ça.

Plus Barbara la voyait, et plus le profil de cette femme lui évoquait ce profil catégoriel des « anges de la mort ». Les tueuses en série n’étaient pas un genre méconnu des études criminalistiques portant sur le tueur en série, et les différents chercheurs, ainsi que Barbara le savait, avaient déterminé une typologie des tueuses en série, les classant selon certaines catégories. La Duchesse s’apparentait à ces femmes qui tuaient pour avoir une sorte de contrôle sur les gens. Des infirmières, des médecins, qui tuaient ceux dont elles avaient la charge, un peu comme Annie Wilkes, la fameuse psychopathe de Misery, ou comme Genene Jones, pour mentionner des cas réels.

La Duchesse léchait plutôt bien, et Barbara soupirait. Elle trouvait ça écœurant, mais, à bien y réfléchir, elle préférait que la Duchesse la viole, plutôt qu’elle la torture. Le temps qu’elle la viole, les renforts viendraient sans doute. Batgirl se rattachait à cette idée que la police allait débarquer, que ses coéquipières allaient venir. Il ne pouvait pas en être autrement, et elle faisait appel à toute son expérience de justicière pour ne pas paniquer. Combien de fois avait-elle été capturée par un cinglé comme Double-Face ou Le Pingouin, avant qu’on ne vienne la secourir ? Elle n’allait pas mourir ici, pas dans ce bar miteux, avec cette folle tarée.

*Savoure, salope, je serais aux premières loges quand on te mettra la corde autour du cou.*

Après tout, la peine capitale était toujours autorisée au Japon. La Duchesse continua à lécher... Avant de subitement mordre. Barbara se raidit sur place, et les choses sérieuses purent alors commencer. Son intimité lui faisait horriblement mal, mais elle vit la Duchesse venir avec son bistouri, et remua sur la table, essayant, vainement, de se libérer, résistant à l’envie de la supplier. Il fallait qu’elle trouve un moyen d’obtenir ce bistouri. En le prenant, elle réussirait à ôter ses sangles. Certes, avec ses jambes inertes, elle ne pourrait pas aller bien loin, mais elle pouvait toujours tomber sur la Duchesse, et l’étrangler de ses propres mains, lui briser le cou.

Quand le bistouri heurta sa peau, remontant vers son sein, laissant une traînée de sang, Barbara serra les dents. C’était loin d’être agréable, et elle respira lentement, essayant de se faire à ce contact, de ne pas hurler. La femme remonta jusqu’à son téton, et Barbara se mit à craindre qu’elle ne cherche à le sectionner. Délicatement, avec une précision chirurgicale, la Duchesse l’entailla, et Barbara ne put retenir un gémissement, un cri plaintif. Elle serra les dents, terrorisée, remuant la tête, clignant des yeux.

« Ça te fait mal ?
 -  Haaa… Haaa… »

Les seins étaient une partie assez délicate de son anatomie, comme de n’importe qui. Elle ferma les yeux, respirant rapidement,  et vit alors la Duchesse délaisser le bistouri pour prendre deux aiguilles à seringue. Barbara frémit, et ne put rien dire que les deux aiguilles s’enfoncèrent dans ses seins, à hauteur de ses tétons.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! »

Elle ne put retenir un hurlement de douleur. Une onde aiguë la traversa, alors que du sang jaillissait de ses seins. Barbara serra les dents, se pinçant les lèvres, tout son corps s’agitant nerveusement.


*Calme-toi, c’est ce qu’elle attend de toi, calme-toi, calme-toi, calme-toi, bordel !*

Dans son état, c’était facile à dire. Elle respirait lentement, et la Duchesse la gifla alors. La douleur explosa dans sa joue, et Barbara se mordilla la langue, crachant du sang. Les gouttelettes tombèrent sur le sol, et elle respira lentement, reprenant peu à peu son souffle, avant de contempler, à nouveau la Duchesse.

*Je ne peux pas compter sur des renforts, il faut que je trouve un moyen de me libérer...*

Les sangles. Elle devait trouver un moyen de les couper.

Cependant, elle avait bien du mal à réfléchir. Il faut dire que la jeune femme était en train de souffrir, avec les aiguilles plantées dans son corps.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 35 dimanche 02 février 2014, 18:42:44

Flashback de l'audience

Tu était assise sur le banc des accusés, à tes coté il y avait ton avocat, un mec assez reconnu dans son milieu qui avait prit ton cas comme un "défi", autant dire que lui, il en avait des couilles, couilles que tu aurais surement pris le temps de sucer si tu avait eu le temps.

La Séance était celle qui devait trancher, celle sur laquelle tout ce jouais ! A savoir si tu devait aller en Asile psychiatrique ou alors si on devait te passer la corde au cou. Toutes les preuves t'accablaient, pour quasiment tout le monde t'était une "psychopathe", même toi tu le savais... Pourtant, il semblait te rester une chance, car comme ont dit... La justice est aveugle. La séance était commencée depuis 1h et demi, certaines familles te fixait  sans détourner du regard, tendis que d'autres n'osait même pas te voir, préférant surement ce concentrer sur les fait et sur ce qui allait devenir de ce procés.

Cet alors que le juge vint à parler.

Bien, Passons maintenant au victimes. Je peut concevoir que cela soit dur pour certaines personnes, c'est pour cela que j'invite les familles, ci cela est trop dure pour elles, à sortir de la salle.

L'homme regarda par dessus ses lunette, puis il pris le dossier que lui tendis une femme en robe

Hum ! Hum ! Ashley Taylor, Agées de 17 ans lors des fais, Elle fut tués par l'accusée la nuit du 21 février dernier d'un injections létal qui entraina un arrêt cardiaque dans les secondes qui suivi la dite injections. L'homme marqua une pose puis, tout en lâchant un soupir, il tourna la page.

L'Accusée, ici présente, à avant cela violée sa victime, en prenant soins de lui injecter une puissante drogue afin que la victime ne puisse se défendre ni même appeler les secours... Il regarda Lucrezia par dessus ses verre avant de reprendre. Est ce bien cela Mme Nietzsche ?

Toi... Toi tu te souviens juste de cette chaleur qui se mise à envahir ton bas ventre, humidifiant abondamment ta culotte, tu ne pus te retenir de lécher ta cicatrice pas plus que ne pus te retenir de discrètement caresser de ton index le dessous de la table en bois qui ce trouver devant toi, comme ci tu caresser une jeune et belle petite vulve virginal... Même là... Même là tes pulsions te dominaient...




Lucrezia lécha le sang qui s'écoulait le long des seins de batgirl, tout en enfonçant ses doigts dans l'intimité de la pauvre justicière, cette dernière gémissait ce qui ne faisait qu'exciter d'autant plus la tueuse.

Haaaan.... Haaannnnn, mais deux bouches baves, regard moi.... OUI ! REGARDE MOI !

Lucrezia se releva et attrapa de sa mains pleine de cyprine les joues de Batgirl, la dévisageant de ses yeux emplis de folies.

Ouiiii... Regarde moi... J'ai t'violer, J'vais te violer puis t'buter... Et comme tu m'excite, j'vais t'violer quand tu sera morte... OUAI ! OUAI, j'vais te baiser quand tu serais crever, j'vais me refaire la scène toute la nuit jusqu'à ce que ton corps parte en charpies AHAHAHAHAHAHAH!!!! AHAHAHAHAHAH!

Lucrezia envoya alors un rafale de gifles à la justicière, finissant son combos par un grand coup de poing dans le nez de La belle rouquine pour ensuite venir se mettre à califourchon sur batgirl.

Bordel... Tu me fait tellement mouiller que j'aurais presque envie de devenir cannibale pour vraiment te bouffer la chatte AHAHAHAH ! OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH les beaux cheveux que voilà ! Dit elle en attrapant d'une main ferme une grosse tignasse de cheuveux.

On dirais des amaryllis qui flamboies dans les champs... Ou mes règles qui ce déversent dans les toilettes AHAHAHA !

Nan Lucrezia... Là c'est toi qui débloque totalement...

J'ai presque envie d'en couper une mèche... Ihih...

De sa mains droite Lucrezia se saisit de son couteaux puis d'un coup violent, elle trancha la belle chevelure rousse de batgirl en deux, reniflant ensuite son trophée puis envoyant la touffe de cheveux virevolter dans la pièce dans un immense éclat de rire.

AhAHAHAHAH ! J'aurais eu une bite, j'me serais branler avec AHAHAHAHA !

Vous savez... C'est dans ce genre de moment que l'on constate vraiment toute l'étendue de la folie de Lucrezia, c'est là que l'on vois la "Maniaque" qui ce cache derrière la plantureuse infirmière, c'est là  qu'on vois toute la monstruosité de sa personne, ce qu'elle est vraiment, ce dont les médias hésite à parler à telle point c'est atroce... Un monstre dans toute sa splendeur...

AHAHAHAHAHAHA ! t'es trop BONNE !

Ayant toujours son couteau à la main Lucrezia fit lentement glisser le dos de la lame contre son intimité, piquant légèrement le ventre de batgirl avec le bout du couteau. la cyprine de notre tueuse dégouliner sur le ventre de la justicière formant ainsi une petite flaque au niveau du nombril de la belle rouquine. La tueuse passa frénétiquement sa langue sur sa cicatrice, elle respirait lourdement sous sous l'effet de l'excitation, un peu comme un ado devant son premier porno. la tueuse était entrain de perdre pied dans sa folie, elle se faisait bouffer par sa propre perversion. Elle frotta sa chatte gonflée et juteuse contre le ventre de Batsy tout en ce titillant le clitoris, la scène l'exciter tellement cas un moment un petit jet de cyprine arriva sur le visage de la justicière.

Haa... HAaaa... HaAAaaa.... Tu aime ça hein... Aha !

D'un coup la tueuse changea de position, elle pris place comme ci elle voulait faire un 69 avec ça victime, elle posa délicatement son couteau sur la table en bois et elle prit à la place le bout de barbelé. Elle écarta ensuite les lèvres intimes de la justicière puis...

Aller ma belle... sert les dents !

Oui ! La putain de grosse maniaque sexuelle qu'était lucrezia enfonça lentement le barbelé dans l'urètre de batgirl, faisant hurlait cette dernière de douleur... Ouai... C'est dégueulasse, crade, dégradant et cruelle... Mais franchement, vous vous attendiez à quoi ? C'est une tarée ! Une putain de grosse timbrée !!!!!!!!!!! Et la vous pensez que c'est fini, mais non ! Elle se saisis de la bouteille d'Ether, sniffa un bon coup les vapeur du dit produit puis déversa un peut du flacon sur la vulve de la justicière, ce qui devait affreusement lui faire mal... Au vue des hurlement qu'elle poussait...

AHAHAHAHAHAH ! AHAHAHAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAH !

Le rire de la duchesse résonna dans toute la pièce, sa folie avait atteint des sommets ! Mais... est ce là tous ce dont elle était capable ? Je ne crois pas...



Flasback de l'audience

Le marteau frappa sur le petit socle en bois qui trônais devant le juge, ce dernier dit alors d'un ton sec et autoritaire la sentence.

Je déclare l'accusée ici présente comme étant "psychotique" et de ce fait, non-responsable pénalement de ses actes pour cause de démence. Je la condamne donc à L'internement en Asile psychiatrique et ce à perpétuité. Cependant, ci cette dernière vint un jour à ne plus être décrite comme "dangereuse", ça peine pour être alléger voir, supprimer, sur ce... La séance est levée.

Le marteau frappa une seconde fois, ton avocat lâcha un grand soupir, les familles de tes victimes serraient les points, versaient des larmes, les avocats qui les défendait ainsi que les psychiatres qui les accompagnés était sur le point d'exploser... Tu venais d'échapper à la prison et à l'inévitable peine de mort qui t'attendait au bout du couloir.
Un petit sourire en coin naquis sur ton visage tendis que tu souffla à l'oreille de ton avocat un délicat petit mots

J'ai pas de fric... Mais je fait des pipes d'enfer... Ihih...

L'homme ne te regarda même pas, il ravala sa salive avant de te répondre sur un ton sec.

Ferme ta gueule... J'ai fait ça seulement pour mon honneur et ma réputation... Tout en toi me dégoute...

L'homme se leva et deux officiers t'attrapèrent par les bras, te faisant sortir de la salle... Tu te souvient avoir glissée un regard à chacune des familles... Tu venais de gagner... Mais tu étais bien la seul à être heureuse dans cette salle. Tu venais d'assister au plus gros fiasco juridique de cette foutu ville et ce fiasco... C'était pour ta pomme !
« Modifié: lundi 03 février 2014, 13:31:05 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 36 mardi 04 février 2014, 01:35:35

Commissariat central de Seikusu

Le commissaire Kaori Akusaki avait été muté à Seikusu il y a maintenant quelques mois. Il officiait alors depuis plus de vingt ans à Tokyo, et sa demande mutation avait enfin été obtenue. Pendant des années, la Commission nationale de sécurité publique avait refusé ces demandes de mutation, ce qu’on pouvait comprendre. D’un strict point de vue économique, Akusaki perdrait de l’argent en allant à Seikusu, ville moins grosse que Tokyo, et où le contentieux était logiquement plus faible. Kaori était de plus un policier d’une grande expérience, qui avait encore réussi à ne pas être impliqué dans un quelconque scandale impliquant les Yakuzas. Le Keisatsu-chō, l’Agence nationale de la police, voulait que l’homme reste à Tokyo, mais Kaori avait envie d’une retraite. Il en avait assez de l’activité folle de Tokyo, de cette démence qui régnait dans cette ville, une ville surpeuplée, si peuplée qu’on devait se serrer comme des sardines dans les rames de métro, à en perdre vos chaussures, et à ne pas pouvoir les récupérer sur le coup, en raison de l’affluence. Seikusu lui apparaissait comme une bonne étape, le temps d’atteindre l’âge de partir à la retraite, et de filer à Okinawa, ou dans une campagne paisible du Japon.

Ce soir, Kaori avait l’impression de retrouver l’atmosphère de Tokyo, à enchaîner les nuits blanches et les cafés froids. Dans son bureau, il donnait des ordres à tout le monde, se déplaçant rapidement. Quand il avait 20 ans, et même jusqu’à la trentaine, Kaori adorait ça. Se rendre utile. Végéter toute une bonne partie de la nuit. Il n’avait jamais réussi à fonder une vie de famille, ayant préféré se sacrifier pour sa nation. Qu’un homme n’ait pas de famille pouvait, au sein de la société japonaise, se justifiait, s’il se consacrait entièrement à son boulot. Aurait-il été une femme que les choses auraient été bien différentes. Cependant, quand on approchait de la soixantaine, les nuits blanches, on commençait à en avoir un peu marre. De plus, Kaori avait surtout prévu de passer sa soirée avec une superbe femme qu’il avait rencontré sur Internet, par un site de correspondance. Cette femme, qui portait des jarretelles et un corset, et qui affirmait avoir eu comme mère une geisha, était la principale raison du départ de Kaori à Seikusu. L’homme était amoureux, et furieux de ne pas pouvoir profiter des charmes de sa dulcinée ce soir. Au lieu de ça, il se retrouvait avec un homicide sanglant dans un hôpital, une tentative d’enlèvement sur une secrétaire, et une course-poursuite dans les rues de la ville. Un joyeux bordel. De nombreux témoins affirmaient avoir vu la Duchesse, et la rumeur enflait. Cette foutue salope échappait depuis trop longtemps à la police, se faufilant entre les mailles du filet.

Kaori avait rappelé tous ses hommes pour mener une battue dans la Toussaint. Il fallait la ramener, morte ou vive, mais de préférence morte. Comme ça, il n’y aurait pas de procès, et aucune chance pour qu’un enfoiré d’avocat opportuniste ne parvienne à jouer la case de la folie pour la renvoyer dans un asile où elle arriverait encore à s’évader. Il suffirait d’invoquer la légitime défense. Cette tarée ne manquerait à personne. Et lui, il pourrait avoir la satisfaction d’avoir purifié les rues de la ville d’une malade mentale. Sa petite geisha qui l’attendait en nuisette fine dans son appartement récompenserait son beau samouraï. Elle aimait les hommes mûrs, plus âgés qu’elle, ceux qui avaient de l’expérience, du pouvoir.

Pour l’heure, ses hommes n’arrivaient pas à la retrouver. Dans son bureau, le commissaire bouillonnait sur place.

« Putain de bordel, ce n’est quand même pas compliqué de choper cette salope ! aboyait-il au téléphone. Vos chiens sont enrhumés ou quoi ?! »

Des témoins affirmaient également avoir vu une immense chauve-souris dans le ciel. Sûrement l’un de ces super-héros américains. L’Agence l’avait informé de la présence des Américains, et de ces mutants. Kaori soupira, et se releva, puis marcha dans un coin de son grand bureau. Le café ne suffisait plus, il avait besoin d’un bon verre de saké. Il entendit soudain un bruit. Kaori sursauta, et porta la main à sa ceinture, en sortant son pistolet...

Pour voir devant lui une femme dans une tenue sombre et moulante.

« Qu’est-ce que... ?
 -  Si vous voulez arrêter la Duchesse, commissaire, il faut faire vite. Je sais où elle est. »



C’était un cauchemar. Un rêve sinistre et impossible. La panique se diluait dans l’esprit de Barbara, qui se mettait à pleurer, en revivant son traumatisme. Le rire sinistre, il y a des années, quand la balle lui avait transpercé le corps. Elle avait baigné dans son sang, gisant sur le sol, sentant les mains sinistres des hommes du Joker déchirer ses vêtements, la photographier, nue, violer son intimité... Ce sentiment d’impuissance, cette faiblesse totale, la certitude de mourir, de dériver au loin... Autant de sentiments qu’elle ressentait en ce moment. Son corps lui faisait mal, lui rappelant la douleur qu’elle avait reçue à hauteur du ventre quand la puissante balle l’avait perforé de part en part. Elle était immobilisée, entre les mains d’une cinglée, une femme démente, qui poussait des rires hystériques.

Barbara n’aimait pas beaucoup les rires.

Pour autant, son calvaire n’allait pas se réduire à des coups de seringues plantés dans les seins. Elle avait lu les rapports d’autopsie, elle savait ce que cette femme faisait subir à ses victimes. Elle se retrouvait dans leur peau, à trembler devant la démence, à souhaiter que la police vienne, que la cavalerie débarque dans un concert de hurlements, de gyrophares hurlantes, de coups de feu rugissants, ou, à défaut, qu’elle tombe dans le coma, qu’elle ne souffre plus.

*Accroche-toi, tu ne dois pas abandonner ainsi ! Bats-toi, bats-toi jusqu’à la fin !*

Une voix rugissait dans sa tête, lui rappelant, assez curieusement, la voix de Bruce. Mais personne n’était là pour la sauver. Elle était seule, tombée au combat, parce qu’elle avait commis l’erreur de se surestimer. Encore une fois, c’était l’ombre du Joker qui s’abattait sur elle. L’injustice de cette scène était terrible. Elle n’avait jamais rien fait de mal. Pourquoi lui faire subir un tel sort ? Pendant des années, elle s’était renseignée. Elle avait lu à de nombreuses occasions « Eichmann à Jérusalem », le fameux livre d’Hannah Ardent, dans lequel cette dernière avait développé sa théorie sur la banalité du mal. Comme Ardent, Barbara s’était longuement penchée sur le mal, afin de savoir ce qui pouvait pousser les gens à vouloir massacrer leurs proches, sans aucune raison. Elle était convaincue qu’il y avait là les mêmes pulsions de haine et de destruction, que ce soit à l’égard des bourreaux nazis ayant gazé des millions de Juifs, ou à l’égard de malades mentaux comme le Joker, ou la Duchesse. Ardent n’avait jamais vraiment trouvé la réponse, et Barbara, fataliste, se demandait même s’il y avait une raison.

Impossible de comprendre ce que cette folle voulait, mais quand elle se mit à quatre pattes sur elle, et que Barbara vit sa vulve dégoulinante de mouille, lui tombant sur le nez et sur les lèvres, elle en eut envie de vomir. La Duchesse visait son intimité, et Barbara, qui s’attendait à ce qu’elle vienne la lécher, poussa un cri de douleur en sentant une pointe s’enfoncer dans son sexe. Des gouttes de sang jaillirent de ses parois, et elle se tortillait, entaillant ses poignets contre le barbelé qui la fixait contre la table.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!! »

Barbara ferma les yeux en hurlant, un cri étouffé par les cuisses de la femme, qui versa ensuite de l’éther. Ce fut comme une explosion. Barbara se mit à pousser des spasmes en pleurant, se tortillant, essayant d’arracher le barbelé, mais sans succès. Elle avait la simple force d’une humaine, et n’était plus qu’une jeune femme effrayée par ce qu’elle vivait. Aucun de ses gadgets ne pouvait l’aider, et elle avait l’impression qu’on lui avait versé de l’acide dans son sexe. Elle avait mal, si mal...Tellement mal qu’elle pleurait, hoquetant silencieusement, versant encore des larmes.

*BATS-TOI !*

Barbara serra les dents, et réagit par instinct. Elle releva sa tête, tirant ur ses poignets, et attaqua avec la seule chose que la Duchesse n’avait pas entravé chez elle : ses dents. Elle mordit l’aine de la Duchesse, mordant fort, sentant un liquide âcre et rance heurter ses lèvres. Elle mordit aussi fort qu’elle put, enfonçant ses dents dans ses vêtements, arrachant un morceau de tissu, tout en faisant couler le sang de la Duchesse. La peur de Barbara se mua alors en une espèce de rage. Elle continua à tirer sur les barbelés.

« C’est moi qui vais te BUTER, salope ! Tu vas CREVER, sale pute !! Je t’égorgerais sur place, et je foutrais ton cadavre au feu ! Des CENDRES, un putain de tas de cendres de merde qui se dispersera au vent, voilà tout ce qu’il restera de toi, salope ! Un tas de merde qu’on oubliera aussi vite qu’il est venu ! Tu rejoindras ton dégénéré de père et ta salope de mère en bouffant les pissenlits par la racine ! Je te TUERAI, salope !! »

Les yeux de Barbara étaient injectés de rage.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 37 mercredi 05 février 2014, 21:19:55



à chaque meurtre la Duchesse était transportée comme dans une sorte de "rêve" elle ce sentais revivre, elle se sentait imposante et indestructible, ça victime n'était rien qu'un pantin déshumanisé, un simple objet de désir, un jouet de sexe... rien de plus. Les pulsions de la tueuses montèrent d'un cran quand cette dernière refit descendre son regard vers la vulve mutilée de batgirl, mais ce qui se passa ensuite refit bien vite redescendre la tueuse.
Alors que Lucrezia savourais son "œuvre" elle sentie tout à coup une onde de douleur atroce lui traverser le corps, cette grosse chienne de justicière était entrain de la mordre jusqu'à sang !

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!!!!!!!!
La tueuse essaya bien donner un coup de pied à batgirl mais la tueuse rata lamentablement son coup et perdit ensuite son équilibre, chutant alors au sol en renversant tout ce qui ce trouver sur la table en bois. L'Ether, les seringues, le couteau... et le jerrycan d'essence... Essence qui se déversa petit à petit sur le sol tendis que la tueuse essayait de se relever, entendant à peine ce que vociférer sa victime... enfin à peine, ci, elle entendue une chose, un misérable bout de phrase qui résonna dans sa tête comme un horrible sons tout droit sortie de son passé...

" ...Ta salope de mère..."

Ce fragment de phrase glaça le sang de la tueuse... Elle tâtonna le sol à la recherche de son couteau, passant sa mains droite dans la flaque d'essence qui ne cesser de grossir puis une fois qu'elle eu saisit son arme elle commença a lentement se relever en marmonnant quelque chose.

Pourquoi... Pourquoi tu dis ça... Pourquoi, comment ose tu... dire ça...

les poings de la tueuse se resserrèrent... Elle s'avançât vers Batgirl puis...

Ferme ta gueule... FERME TA GUEULE !

Et VLAN ! Lucrezia envoya son poing dans le visage de la justicière.

TU PEUT PAS COMPRENDRE ! FERMEZ VOS GUEULES ! TOUS.... FERMER LA !!!!!!! TAAAAAAAAAA GUEUUUUUULE !!!! FERME LA, FERME LA FERME LA FEEEERME LAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!

En vociférant cela lucrezia martela le visage de la belle rousse de coups poings, laissant aller sa colère sans retenue. Mais cet alors que la tueuse leva son couteaux au dessus de sa tête, prête à l'enfoncer dans le crane de sa victime.

CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !

BLANG !... Par chance pour la justicière, le couteaux ne s'enfonça pas dans son crane mais... Il frappa dans la table en inox... La Duchesse se trouvait juste au dessus de la belle rouquine... sa mains qui tenait le couteaux tremblait tendis qu'elle se remise à parler... D'une voix étouffer par... Une sorte de mélange entre colère et mélancolie.

Tais toi... ferm... ferme ta gueule...

Les dents serrées Lucrezia semblait ressasser son passé et alors qu'elle parler à batgirl... une légère larme glissa sur sa joue avant de venir s'écraser sur le visage  de sa victime. Elle resta ainsi quelques secondes avant de ruculer nonchalamment en arrière, tenant toujours son couteau à la main.

J'vais... J'vais t'tuer...

Elle se rapprocha une nouvelle fois de l'intimité sanguinolente de batgirl puis elle écarta à l'aide de son pouce la lèvre gauche de la jeune femme. Que pouvait bien il se passer dans la tête de La Duchesse à ce moment là... Elle venait d'être déstabiliser par un simple mot et... La voilà déjà repartie ? Nan... Nan... Là il n'était plus questions de "sexe" mais juste de sadisme, de la souffrance... de la vengeance... Elle raffermie sa poigne autour du couteau puis elle se mise faire jouer la pointe la lame dans l'intimité de la belle rouquine un peu comme ci elle chercher à lui faire peur. Elle remonta ensuite vers le clitoris, faisant exprès de titillait le bout de barbelés enfoncé dans l'urètre de la justicière.

Et si je te coupait ça...

La voix de lucrezia était comme son visage et ses gestes, vides d'expressions, comme ci le simple "ta salope de mère" avait déclencher une sorte d'interrupteur dans le crane de la tueuse... Ouai, un putain d'interrupteur avec marqué dessus : Not touch the fucking red shining psycko Button ! Malheureusement il était trop tard, Batgirl avait commis une erreur qui allait petit à petit lui couter des membres... Puis des organes... Puis... Puis... la vie... tout simplement.

La tueuse se léchât la cicatrice avant de faire quitter la lame de sous le clitoris de Batgirl... Visiblement l'excision était reportée à plus tard. La tueuse recula d'un pas en arrière avant de lentement se mettre à faire un tour sur elle même puis... de venir violement enfoncer le couteau dans la cuisse de Batgirl !

Tu à mal... c'est bien...

La tueuse ramassa ensuite le bistouris qui était tombé par terre et elle se remise au niveau de la poitrine de la justicière.

Tu sais ou j'ai mal moi... Tu sais ou je souffre ?

Doucement la tueuse vint à planter le bout de sa lame au niveau du sternum de Batgirl... Gravant ensuite dans sa chair un cœur, cœur que Lucrezia continua en faisant un grand trais sur tout le ventre de sa victimes, finissant pile au dessus clitoris. Le regard vide de la duchesse se tourna ensuite vers le poigné gauche de Barbara puis d'un coup elle vint loger le bistouri dans ce dernier, la faisant hurler de douleur. Lucrezia elle... restait impassible et froide, l'exacte opposé de la chienne en chaleur de tout à l'heure... Batgirl devait regretter à présent, elle devait regretter amèrement le fait d'avoir osée fouler du pied l'ange de pureté qu'était la mère de Lucrezia...


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 38 vendredi 07 février 2014, 00:42:56

« Maman, Maman, on est bientôt arrivés ?
 -  Oui, mon trésor. »

En jetant un coup d’œil dans son rétroviseur, Kumi regarda sa fille, Aiko. Elle se frotta les yeux en bâillant. S’il n’y avait pas eu cet embouteillage en sortant de Kyoto, Kumi serait déjà chez elle, à préparer un bon gros gâteau au chocolat avec de la crème anglaise pour sa petite fille. Exactement ce qu’elle adorait. Une mère se devait de faire plaisir à sa fille. Kumi s’engageait sur l’autoroute urbaine de Seikusu, filant le long du périphérique vers leur appartement. Elle était venue chercher sa fille des mains de son père, qui, depuis qu’ils avaient divorcé, vivait à Kyoto. Un bon-à-rien qui venait d’Occident. À chaque fois qu’elle repensait à Dan, Kumi se sermonnait. Elle aurait du écouter davantage sa mère, et ne pas s’acoquiner avec un gaijin. Ces gens ne comprenaient rien. Ils étaient trop insouciants, trop immatures. Dan était un imbécile, et le divorce avait été inévitable. Pour une Japonaise, divorcer n’était jamais très difficile, car, dans la conception japonaise des sexes, la femme avait pour mission de s’occuper de la gestion de la famille, et l’homme devait travailler. Pourtant, Kumi ne s’en sortait pas trop mal, mais travaillait énormément.

Elle pensait à tout cela alors qu’elle avançait. Il était une heure avancée de la nuit, et la fatigue commençait à picorer ses yeux. Aiko s’impatientait, lorsque Kumi vit, dans le rétroviseur externe, de la lumière. Elle tourna la tête en voyant des gyrophares, et vit un camion blindé passer devant elle à toute allure, les sirènes se mettant à rugir. Un autre camion la doubla alors, suivi d’une voiture de police, d’un troisième camion, de deux autres voitures de police... Quelques instants plus tard, d’autres camions la doublèrent. Ils empruntaient tous la sortie menant vers la Toussaint, et Kumi se pinça les lèvres.

Visiblement, quelque chose avait encore éclaté dans ce quartier. Elle était heureuse de vivre de l’autre côté de la ville.



« Équipe-Omega, vous sécuriserez l’arrière du bâtiment, en passant depuis les ruelles. Équipe-Alpha et Équipe-Delta, vous remonterez tous les deux des deux côtés de la rue.
 -  Reçu, Leader.
 -  La cible se trouve dans le bâtiment localisé. D’après nos informations, il s’agit d’un pub désaffecté depuis la crise de 1990. Il n’a jamais été racheté. La cible aurait un otage. Procédez avec une vigilance toute particulière.
 -  Autorisation d’ouvrir le feu, Leader ?
 -  La cible est extrêmement dangereuse. En aucun cas, la vie de l’otage ne doit être en danger. »

Dans les airs, un hélicoptère de police tournoyait, abritant les membres de l’Équipe-Bêta. Contrairement aux trois autres équipes, ceux-ci allaient sauter en parachute pour atterrir sur le toit. L’objectif était d’encercler le périmètre, afin de mener une action conjointe. Leader était le nom de code désignant le commissaire Kaori. Sanglé dans un gilet pare-balles, un ordinateur portable sur les genoux, il se tenait dans l’hélicoptère, un solide casque autour de la tête, communiquant ses ordres aux équipes d’intervention. La police allait encercler le périmètre, tandis que les fourgons blindés libéraient une cargaison d’hommes lourdement armés. Les commandos de police.

Kaori vit ses hommes sauter les uns après les autres, déployant leurs parachutes. L’hélicoptère volait dans le ciel, afin d’éviter que le rotor de l’hélicoptère ne soit entendu par le cible en contrebas. La Duchesse avait une otage, et il était hors-de-question qu’elle comprenne qu’elle était repérée, sous peine d’exécuter l’otage. Comme Kaori l’avait dit aux lieutenants lors du briefing, il voulait que la légende de la Duchesse se termine ce soir. Il n’en disait rien dans les retransmissions radio, car elles étaient enregistrées, et pouvaient donc constituer un moyen de preuve à sa charge, mais les policiers savaient ce qu’il voulait : qu’ils abattent la Duchesse comme une chienne.

Ils ne venaient pas pour une arrestation de police, mais pour une exécution.

Tandis que les policiers descendaient, ils crurent voir une espèce de vaste chauve-souris volant dans le ciel, ailes déployées, filant vers le pub.



Dès le moment où cette femme l’avait capturé, Barbara savait que le cheminement logique serait sa mort. Les tueurs en série, fondamentalement, étaient des lâches. Qu’ils puissent être déclarés pénalement irresponsables de leurs actes était une gageure, une sinistre plaisanterie. Ils tuaient toujours leurs victimes, en se débrouillant toujours pour effacer consciencieusement leurs traces, avec un soin du détail tel qu’ils évitaient ainsi qu’on remonte à eux. Qu’ils soient fous, Barbara le reconnaissait volontiers, mais ce n’était pas une raison pour considérer qu’ils n’étaient pas responsables de ce qu’ils faisaient, qu’ils avaient manqué de discernement. Non, ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. Qu’il faille les soigner, pour Barbara, était un autre problème. Elle savait que, dès qu’elle était entrée ici, la Duchesse ne la laisserait pas repartir en vie. Elle s’était bien trop engagée dans cette voie pour pouvoir la laisser vivre. Barbara allait mourir, et pas d’une façon agréable. Que la Duchesse soit énervée ou non ne changeait rien au fait qu’elle allait souffrir. Batgirl s’y préparait, mais ça ne l’avait pas empêché de saisir la moindre occasion pour lui faire mal. Elle avait dans la bouche le sang de cette femme, et, si elle avait insulté sa mère, c’était parce qu’elle savait que ça ferait mouche.

Quitte à mourir, autant faire en sorte que cette salope cesse de rire. Barbara en avait marre des rires des déments. Autant qu’elle lui fasse les gros yeux en essayant de lui faire peur. Au point où Barbara en était, c’était du pareil au même. Cette femme ne l’effrayait pas, elle avait juste pitié d’elle... Ainsi qu’une furieuse envie de la battre. Ses coups de poings ne lui firent pas aussi mal que la Duchesse l’aurait voulu. Elle frappait sous le coup de la passion, sans chercher à faire mal, et Barbara était une justicière, entraînée. De même, elle ne fut pas inquiète quand la Duchesse planta son couteau à côté de sa tête. En insultant sa mère, Barbara avait attaqué l’océan de sainteté, le dernier îlot de pureté dans l’esprit malade de cette femme. L’héroïne l’avait calculé. Une telle attaque méritait un châtiment adapté, et la Duchesse allait donc longuement la torturer.

Or, tout ce dont Barbara avait besoin, c’était de temps. Son signal était toujours là, dans sa Bat-ceinture, et aucun des bistouris et des scalpels de la Duchesse ne pourrait l’enlever. Les renforts allaient arriver d’ici un moment. Elle n’écoutait même pas la femme, qui se mit à la planter, à hauteur de la cuisse, avant de la saigner. Elle continua à la mutiler, dessinant une sorte de cœur sordide. Barbara tremblait, crachant du sang, son sang, mais aussi celui de Lucrezia. La Duchesse termina sa course en plantant son bistouri dans son poignet, atteignant, par miracle, aucune veine. Une onde de douleur traversa le corps de Barbara, qui respira lourdement, tremblant nerveusement.

« Tu sais où j'ai mal moi... Tu sais où je souffre ? s’était exclamée la Duchesse.
 -  Tu... Tu vas me faire pleurer, salope. Si...Si ta mère était si pure que ça...Elle doit se retourner dans sa tombe, en voyant le monstre qu’elle a engendré. »

Barbara se concentra, et lui cracha dessus, un mélange de salive et de sang.

« Tu crois vraiment pouvoir m’effrayer ? Des tarés comme toi, j’en ai eu tout le temps. Tu te fais passer pour un monstre, mais tu n’es rien d’autre qu’une petite fille qui pleure, une minable et une lâche refusant d’affronter ses... Ses responsabilités. C’est ça... C’est ça le plus terrible, dans ce délire... Que des ratés comme toi puissent ôter la vie à tant de gens qui vous surpassent en tout point... »



Derrière le pub, l’Équipe-Oméga s’avançait rapidement, rejoignant l’arrière du pub, l’ancienne entrée de service. Ils se rapprochèrent de la porte, et Oméga-Leader fit signe à un homme de passer un miroir sous la porte. L’agent s’exécuta rapidement. Ils ne parlaient pas entre eux, communiquant par signes, faisant le moins de bruit possible. L’agent sortit une sorte de petit appareil ressemblant à un écran tactile, et fit passer sous la porte un étroit fil de fer avec une caméra, puis regarda l’écran. Une image infrarouge ne tarda pas à apparaître sur l’écran, et il secoua négativement la tête.

Personne. De la main, Oméga-Leader fit signe à un autre agent de placer les explosifs. La porte était fermée, et un autre agent se tenait à proximité, une flashbang dans la main. Dès que les explosifs feraient sauter les gonds de la porte, la grenade serait balancé, et ils entreraient en force. Oméga-Leader avait transmis les ordres à ses hommes. Les caméras de sécurité de l’hôpital avaient permis d’obtenir le signalement de cette femme. Dès qu’ils la verraient, ils devaient faire feu, en visant la tête. Une semaine de permission à Okinawa pour celui qui l’abattrait.

Sur le devant, dans une rue silencieuse, les deux fourgons de police se tenaient d’un côté comme de l’autre. Tous les gyrophares avaient été éteints en approchant, afin de ne pas effrayer la cible, et les agents s’avançaient lentement, en longeant les murs. Les lampadaires pouvaient les trahir, mais un agent se trouvait près du transformateur électrique de la rue, et couperait l’électricité au moment d’agir. Le pub était là, au milieu d’une rue abandonnée et sinistre, semblant issue d’un décor de film d’horreur. Les deux équipes s’avançaient lentement, longeant le mur, vers le pub. Ils s’agenouillèrent prudemment, et regardèrent à l’intérieur, jetant de brefs coups d’œil.

La Duchesse était là, et était en train de tracer un cœur sur le corps d’une femme.

« Cible repérée », murmura Alpha-Leader.

L’opération allait pouvoir commencer. D’ici dix secondes, l’éclairage sera coupé dans la rue, mais aussi dans le pub… Dans tout le secteur, en fait. Les agents portaient des lunettes infrarouges, et bondiraient alors depuis leur position, en se relevant, puis transformeraient le pub en un stand de tir. La cible était proche de l’otage, mais ils estimaient pouvoir l’abattre sans risquer la vie de l’otage. Cette dernière étant attachée, elle ne pouvait pas bouger. Et eux étaient suffisamment porches pour pouvoir concentrer le tir.

D’ici quelques secondes, ce serait terminé.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 39 vendredi 07 février 2014, 16:55:34

Je meurs de ma propre maladie, je suis un bandit, je suis un tueur et la victime c'est moi
 J'ai un rendez-vous avec le destin et je ne peux juste pas attendre, je vous verrais tous descendre à la morgue
 J'ai besoin d'un peu de café, d'un cadavre et d'une cigarette, juste au cas où je m'ennuierai

 Rouge, blanc, contusionné et baigné dans le péché, j'ai été en enfer et je suis revenu
 Enterre-moi maintenant et dit que c'est la fin, oh mon Dieu, regarde ce que les chauves-souris ont rapporté

 Mon titre de gloire est que je n'ai pas honte, un cadavre est un cadavre...


(Wednesday 13 : Look at the bats dragged in)



Alors qu'elle ressassait amèrement son passer monstrueux, la duchesse torturait batgirl de la manière la plus atroce qu'il soit, tout allait crescendo, tous ce devait de devenir de plus en plus insoutenable, sa victimes avait osée traiter la mère de notre tueuse de "salope"... Elle allait donc subie l'atroce courroux d'une psychopathe devenue  plus froide et sadique qu'avant. Mais malgré cela, malgré la douleur, Batgirl osa une nouvelle fois provoquer la tueuse, comme un ultime claironnement balancer au visage de la tueuse.

-  Tu... Tu vas me faire pleurer, salope. Si...Si ta mère était si pure que ça...Elle doit se retourner dans sa tombe, en voyant le monstre qu’elle a engendré. » Lâchât elle avant de cracher au visage de la tueuse un mélange de salive et de sang.
« Tu crois vraiment pouvoir m’effrayer ? Des tarés comme toi, j’en ai eu tout le temps. Tu te fais passer pour un monstre, mais tu n’es rien d’autre qu’une petite fille qui pleure, une minable et une lâche refusant d’affronter ses... Ses responsabilités. C’est ça... C’est ça le plus terrible, dans ce délire... Que des ratés comme toi puissent ôter la vie à tant de gens qui vous surpassent en tout point...

La tueuse serra les poings en contractant son faciès face à la nouvelle provocation de l'héroine un peut trop fière à son gout. Les yeux de la tueuse se tournèrent ensuite vers un gros morceaux de verre qui trainait dans une flaque mélangeant essence et substance noirâtre. Elle prit un petit mouchoir en tissus dans sa poche, prit le bout de verre avec précaution afin de ne pas se couper avec, puis elle l'approcha du bras de la justicière.

J'vais pas te tuer... J'vais juste te couper avec ça et laisser faire les saloperies qui trainent sur se bout de verre...

L'infections généraliser ? En voilà une idée qu'elle est... Cruelle et bien dégueulasse. décidément, notre tueuse avait vraiment envie de tuer sa victime de la manière la plus cruelle qu'il soit. le geste de la tueuse fut rapide et délicat, comme un caresse... comme un baiser, oui, un baiser de la mort, elle entailla la jolie batgirl au niveau du bras en veillant à enfoncer le vecteur le plus profondément possible, puis au final elle l'arracha d'un grand coup avant de le balancer à l'autre bout de la pièce.

Je te souhaite une agréable et très fiévreuse septicémie mon cœur... lâchât elle en laissant tomber le mouchoir sur le visage de batgirl puis de ramasser sa petit sacoche.

Mais cet Alors que la lumière vint à s'éteindre d'un cou, laissant la tueuse et sa proie dans le noir complet. Évidement Lucrezia sa dit en premier lieu que ça devait être la lumière qui avait rendue l'âme... Mais en réalité la cause de cette soudaine obscurité était tout autre. Alors que notre tueuse resta quelques secondes dans le silence le plus complet... Elle entendit soudain une sorte d'explosion à l'étage.

Qu...

Dans ça tête cette explosion ça pouvait être mille-et-une choses... Mais pas là, là quelque soit l'origine de ce bruit c'était mauvais, Elle hésita une seconde à achever Batgirl... Mais avec quoi, il faisait noir ! Et puis merde, advienne que pourra, la tueuse décampa aussitôt vers la sortie de secours, montant les marches à tâtons pour ensuite venir rouvrir la vieille porte rouillée et grinçante, une porte que Lucrezia dus enfoncer avec un grand coup d'épaule avant de finir par se ramasser lamentablement sur le sol de la toussaint.

Bordel...  grommelât elle alors qu'elle était encore à quatre pattes.

C'est elle !

c'est elle ? se demanda elle intérieurement.

Et là... Un cliqueti retentie... puis un autres, puis encore et encore et encore un autre puis toute une dizaine... Ces cliquetis, C'étaient des armes à feu, toutes braquées sur elle... La tueuse leva les yeux et elle vit alors de chaque cotés de la rue des flics avec leurs armes pointées sur elle ainsi que deux hélicoptères qui braquaient sur notre tueuse leurs gros projecteurs afin d'éclairer la scène. Doucement elle se releva en glissant son regard aux alentours... oui, visiblement sur ce coup là, c'était fini... Adieux douce liberté... Bien le bonjour perpétuité. Et comme pour couronner cette situation fort délicate, une autre donzelle déguiser en chauve-souris descendit du ciel pour atterrie à deux,trois mètres de la tueuse, veillant tous de fois à ne pas faire obstruction au tir des policiers.

Lucrezia regarda Kate dans les yeux, avant d'esquisser un petit sourire en coin.

Regardait ce que les chauves-souris ont apportées...*

La jeune femme de répondit pas... Préférant surement laisser aux flics se plaisir... ce qu'ils firent d'ailleurs très rapidement.

Lucrezia.Harianna.Patriovski.Nietzshe, vous êtes en état d'arrestation veuillez vous rendre sans résistance.

Lucrezia leva lentement les yeux vers l'hélicoptère en montrant un grand sourire

Ahahah ! Nous y voila ! Aller y arrêtaient moi AHAHAH !

La tueuse leva les bras au ciel en ne quittant pas l'hélicoptère des yeux, son heure était elle venue ? Elle savait que les flics de cette ville ne la tuerais pas, trop accrochés à leurs valeurs et à leur éthique. Elle sentie monter en elle un grand frisson et... Elle fit un pas en trop...

Au moment ou Lucrezia entendit le coup partir... Elle était déjà touchée... Un choc... Puis une vive douleur... La tueuse recula de deux pas en arrière, les yeux grands ouvert sur l'homme qui venait de la toucher au niveau de l'épaule gauche... Là... à une dizaines de mètres d'elle un homme se détachait du rang, il y avait de la fumer qui sortait de son beretta et ses yeux était emplie d'une froideur monstrueuse. Lucrezia regarda son épaule et peut à peut un grosse tache de sang vint à apparaitre sur son uniforme.
Elle posa sa main droite sur sa blessure...
Elle relança un regard à l'assembler qui regarder la scène, comme ci cela était normal.

Que... QUE FOUTEZ VOUS ! IL...IL M'A TIRER DESSUS ! AHAHAHAH ! IL M'A TIRE DESSUS ! AHAHAHAHAH !

Puis un autre tir retentie, ce dernier vint alors à effleura son visage... Le tir provenait toujours du même homme.

Tu vas la fermer ta gueule... Ont est pas venu la pour te ramener au bercaille... Ont viens pour te tuer... Comme t'as pus tuer toutes ces innocentes jeunes femmes et ces pauvres gamines... Ce soir était ton dernier Duchesse...

Il amorçât le chien puis reprit son monologue...

Aller... Pleur... J'veux t'voir implorer comme une chienne

Lucrezia lui adressa un sourire... Puis elle lui répondit sur un ton presque emplie de joie.

Eheh... Aller... Tir, prend ton pied... Vas y... Balance la sauce...

Crève... et boucle la...

Un troisième tir retenti... ce dernier toucha la tueuse au niveau de l'abdomen cette fois, visible au rein gauche. Le sourire de Lucrezia s'étiola alors d'un coup... Elle posa sa mains droite sur sa nouvelle blessure et... Elle recula... Les yeux grands ouvert elle regarder son propre sang tacher sa blouse...
Elle trébucha sur un morceau de goudron exploser et au moment ou l'homme tira un second coup... elle chuta dans un grande bouche d'égout... La Duchesse était apriori morte.
L'homme baissa lentement son arme... Puis on pus entendre le corps de la Duchesse tomber à l'eau.

Que... Qu'est qu'ont fous là ! Faut la suivre ! Demanda un autre homme quelque peut paniquer.

Sa sert à rien... Avec ses blessures elle ira pas loin... Au vus de toutes les saloperie qui traine dans les égouts, elle crèvera d'une façon ou d'un autres et puis avec une telle chute elle s'est forcement briser le coup... Elle est morte je vous dit... Et c'est Daisuke qui l'a buté...

Daisuke, un homme rongé  par le remord de ne pas avoir pus aller chercher sa fille au collège... Rongé par le remord de l'avoir laisser rentrer seul... Il était là, fixant la bouche d'égout... Quelque part il ce sentait mal... Pas pour la Duchesse, nan... Il se sentais mal car il savait que ce qu'il venait de faire ce soir ne ramènerais pas ça fille à la vie... Ouai... ç'est pas glorieux d'être humain...
 



flashback

Maman ! Regarde comme elles sont jolies ! Dit tu en tenant un bouquet d'hortensias au creux de tes mains.

Ooooh oui Lucrezia, elles sont magnifiques !

Là... Était ce la fin... Ton esprit une nouvelle fois était broyé par un flashback... Tu aurait aimée qu'il soit infinie... Vainement tu essayer d'y retourner... Souvient t'en... une dernière fois...

Mais tu te souvient juste de cette interminable nuit... Celle où ton père t'avais fais ces marques monstrueuses sur ton visage... Juste après avoir violement battu cette ange qu'était a mère... Une nouvelle fois...
Il put le chien mouillé... Il te dégoute... C'est un monstre... Nan... Nan ! Tu ne veux pas te souvenir de lui !
Rappelle toi d'elle... Rappelle toi de sa gentillesse, de sa chaleur... de cet amour qu'elle t'apporta jusqu'à son dernier souffle... Son dernier souffle... ses dernière paroles... Elles résonnent dans ta tête...

Un jour... Tu sauveras des vies mon amour... Puis quand tu me rejoindra enfin...

Cet phrase se brisa au sons de son électrocardiogramme qui venait d'annoncer son décès... à présent Tu étais seule... Seule... Seul et vide... Un vide monstrueux... Tu te souviens alors que Lucrezia était morte elle aussi ce jour là... En même temps que les deux êtres qui t'était les plus chers... Ta mère... et cette petite sœur que tu n'a jamais connue...





[HRP] Le texte que tu peux voir au début de ma réponse est tiré de la chanson du groupe Wednesday 13 "look what the bats dragged in" Qui raconte la mort d'un tueurs en série puis sa résurrection... J'la trouvais pile-poil alors j'y ais fait référence x)]
« Modifié: vendredi 07 février 2014, 19:39:13 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 40 samedi 08 février 2014, 01:17:52

« ...Conduisez-là...
 -  ...État instable…
 -  …Augmentez la morphine…
 -  …Elle fait de la tachydardie, apaisez-là ! »

*BIP ! BIP ! BIP !*

Elle entendit tout d’abord les sons de son cœur, les rassurants points de l’électroencéphalogramme. Ce fut d’abord son ouïe qui revint à elle, et, juste après avoir compris que son battement cardiaque semblait être normal, elle perçut, comme venant de loin, des bruits, des gens qui discutaient. Elle essaya de se concentrer, de comprendre ce qu’on voulait lui dire, voire de parler, mais ses lèvres n’émettaient aucun son, tant elle était fatiguée.

« ...La fin d’une des plus redoutables criminelles de ces dernières années...
 -  ...La traque de la Duchesse s’est achevée devant ce débit de boissons fermé depuis des années...
 -  ...Une brillante opération policière qui a mis fin à l’action d’une tueuse en série dont le dernier et sinistre méfait... »

Tout venait de loin, et Barbara finit lentement par rouvrir les yeux. Elle était dans une pièce plongée dans l’obscurité, et reconnut assez rapidement un décor d’hôpital. Elle ne sentait pas ses jambes, mais il n’y avait là rien d’étonnant. En revanche, elle sentait aussi assez difficilement le reste de son corps. Elle était patraque, un peu dans le décor, et sa vision était floue. Clignant lentement des yeux, Barbara remua lentement ses bras, et tourna la tête. La mémoire lui revenait assez rapidement : son intervention, la Duchesse, la séance de torture... Elle ferma les yeux. Tout était encore un peu flou, et elle nota alors qu’elle n’avait plus son costume. Elle leva l’une de ses mains, quand une forme se dégagea de l’obscurité.

C’était Kate.

« Enfin réveillée, Barbara... Tu as dormi longtemps... »

Barbara cligna des yeux, et essaya de parler... Mais sa voix était encore atone. Aucun son n’en sortait. Elle se contentait de remuer des yeux. Kate portait sa tenue noire aux motifs rouges, et tourna lentement la tête.

« Désolée d’avoir mis si longtemps à venir, Barbara... Il a fallu que je demande l’aide de la police, afin de pouvoir m’assurer que cette femme ne se servirait pas de toi comme otage. Le docteur qui s’est occupé de toi a maintenu que tu n’avais que des blessures légères... Mais cette femme t’a bien amoché. »

Elle se rappelait d’une torture à hauteur de son sexe, de coups de couteau sur son corps. Barbara toussa, et Kate lui expliqua que la Duchesse avait été abattue de deux balles. Son corps était tombé dans une bouche d’égout, et avait été emporté par l’évacuation des eaux.

« Tu n’as pas à t’en faire pour ton identité. C’est un hôpital public, mais le SHIELD va intervenir, et va s’occuper de protéger ton anonymat. »

Barbara ne dit rien. Elle détestait l’idée de devoir se reposer sur un organisme paragouvernemental, mais ce n’était pas comme si elle avait le choix. Ce que Barbara avait entendu venait de la télé dans la chambre d’hôpital. Toutes les chaînes nationales ne parlaient que de la même chose : l’intervention policière menée contre la Duchesse, Lucrezia Nietzsche. Une femme avait été secourue, sans que son identité ne soit divulguée, tout comme la moindre photographie.

« Cette fois, c’est passé près... », réussit à marmonner Barbara.

Kate s’assit sur le rebord du lit, et attrapa dans sa main gantée celle de Barbara.

« Même toi, tu n’es pas immortelle, Barbara... Mais tu as survécu, c’est l’essentiel. »

Barbara hocha lentement la tête. C’était l’essentiel, oui.

Néanmoins, quelque chose lui disait que cette histoire n’était pas encore terminée. Combien de fois avait-elle affronté de vieux cauchemars ? Des individus censés être morts qui finissaient par revenir à la vie ? Tant que la police n’aurait pas retrouvé le corps de cette femme, Barbara continuerait à croire qu’elle est toujours en vie.

Pour le meilleur et pour le pire.
DC d’Alice Korvander.

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