Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Leona

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Le parc et son sous-bois / Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: mercredi 04 juillet 2018, 12:14:55 »
Etrange, oui c'est bien le mot, c'est une étrange bonne soeur qui se tient dans le creux de mon gant en latex. Troublée, peut-être même excitée ? Je ne la sent pas réticente malgré son désirs de se défaire... Je ne la sent pas assez sereine pour se défaire toute seule de cette situation qui sera bientôt hors de contrôle pour elle. A t-elle toujours été une nonne ? Est-elle aussi chaste que sa bure pourrait le laisser croire ? Compliqué à dire, ce qui paraissait être une évidence il y a encore quelques secondes devient de plus en plus brouillon. Puis :

Oh ! Mais que !!

Tiens, voila une autre nonne égarée, un peu plus âgée cette fois-ci, peut être la vingtaine ? Elle porte la même bure que cette proie bien pressée contre ma poitrine, mais semble plus plus choquée et expérimentée qu'elle dans le genre : grosse coincée du cul. Ses petites chaussures rudimentaires s'arrêtent net sur le sol et une de ses mains couvre sa bouche ouverte, visiblement offusquée par ma tenue et ce qu'elle peut y voir. Quoi, c'est mes longues cuissardes en latex qui lui fait cette effet ? ma belle poitrine ? Mes épaules dénudées ? Ou de voir deux filles l'une contre l'autre ? Bien, on va lui faire mouiller sa bure, que le liquide sacré se répande entre ses cuisses !

Cette idée de choquer la nonne d'avantage me fait vraiment rire et la main sur le visage de la soeur glisse doucement, jusqu'à saisir un de ses seins avec fougue. Mon regard aussi froid et paralysant que ceux d'une vipère prête à dévorer sa proie plonge dans le visage de ma captive... Lentement, mes pupilles se rapprochent même des siennes avant de lui offrir un baiser des plus... obscène ? J'y mêle directement ma langue à la sienne et la bouge dans tous les sens en massant fermement son seins, exagérant mes gémissements et le sons produit par ma langue gourmandse. La pauvre Nonne est aplatit contre le mur, piégé dans un baiser à en faire bander un curé, et la poitrine pétrit comme une patte à brioche. Autant dire que l'initié qui observe la scène, toujours une main contre sa bouche, en pâlit et lâche un cri en courant dans l'autre sens, balbutiant des conneries biblique... Ben dis donc, y avait pas de quoi courir si vite ! J'avais même pas encore commencer à la doigter avec mes gant en latex... Elle est partie beaucoup trop vite.

Pêcheresse, je vais devoir purifier le démon qui s'est initier en toi. Il faut vitre trouver les geôles et procéder... Dis-je d'une voix douce alors qu'il ne restait de notre baiser qu'un mince filet de salive reliant nos deux langues, qui lui aussi s'étala bien vite pour disparaitre.

Bon et maintenant il allait vite falloir déguerpir et pas trainer. De une parce que l'autre cafteuse allait surement tout rapporter comme un bon toutou à la mère supérieure ! Mais aussi parce que... ben... courir avec des hauts talons dans un lieu aussi raisonnant qu'une église, c'est vraiment pas discret pour échapper à ses poursuivant, si on commençait par être prise en filature. Je pris donc la main de celle que j'avais embrassé de force, souillant sa pureté de nonne et en témoins devant toutes ces status de saint, haut perchés sur les murs. Me suivrait-elle jusqu'au bout ? Je l'ignorait, mais je serrais fort ma main gantée dans la sienne en commençant à courir, cherchant la salle de mes convoitises.

Aide moi et n'essaye pas de t'enfuir, on est dans le même pétrin maintenant que l'autre puritaine t'as vu avec moi.

On devait plus être très loin... les escaliers descendant dans des couloirs plus vieux faisaient presque penser au bon chemin !

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Le parc et son sous-bois / Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)
« le: dimanche 01 juillet 2018, 16:20:36 »
Une nouvelle cigarette s'écrase cruellement sous l'une de mes bottes à talons, presque vulgaires. Assez longues pour l'être un peu plus que des bottes classiques mais pas assez pour franchir la limite de cuissardes. Ce look provoquant était suivit d'une paire de collant tout aussi sombre que mon maquillage et que ma jupe, courte à en dévoiler ma culotte blanche d'un penchement de crâne. Le haut n'est autre qu'un corset gothique noué de divers lacets, que je prenais un malin plaisir à serrer plus que de coutume au passage. Non pas pour me couper à demi la respiration déjà difficile par cette chaleur, mais être sure que ma poitrine en ressorte généreusement. Cette satisfaction d'être belle et provocante se définissait bien dans ce sourire d'un rouge démoniaque, c'était le rouge à lèvre parfait pour s'accoupler aux notes sombres de mes vêtements et cils assombrit.

Pourtant, cette façade provocante n'est qu'une pièce du grand puzzle que je préparais aujourd'hui. J'avais une idée bien plus abjecte en tête, bien plus provocante et osée ! Une idée qui tenait dans la hanse du sac que je tenais d'une main, gantée d'une belle mitaines en cuir. A l'intérieur de celui-ci, une tenue de nonne. Loin de celle des petite fille sages et proches de dieu, à l'abricot encore sec et préservé de toute perversité du démon. Je l'avais acheté sur internet, pour un prix pas donner. Le latex, ça coute cher après tout, et c'était bien dans cette matière moulante vouée aux fétichismes les plus tabous que j'avais acheté cette imitation. Sauf que... je comptais l'utiliser en publique moi ! Me fondre dans l'église, voir combien de temps je prendrais avant de me faire repérer, avant qu'une petite pucelle de bonne soeur ne crie au scandale et n'alerte tous les saints de l'église. Juste un délire sans conséquence quoi ! Bon, ok... sur le tableau de chasses de mes conneries, j'avais aussi l'intention de faire jouir une ou deux nonne, de les faire se sentir honteuses et impures si j'en, avait le temps... mais c'était si drôle de s'imaginer une sainte, si prude, si pure... se faire masturber par mes gants en latex jusqu'à jouir dessus. l'autre main, scellant ses cris... Oui, ça avait quelque chose de très excitant ...

Oh mais tiens voila la cargaison... Mon dieu, la moitié ont des cernes abominables.... Ca leur ferait pas de mal de se décoincer un peu... Oh, et celle là en fin de rang, encore pire... Je suis sure qu'elle ne sait même pas à quoi ressemble un phallus vu sa gueule...

Celle qui se retourne par contre... A quel chose de spécial. Elle semble m'avoir vu là ou personne ne détourne le regard sur l'hérétique de dieu que je suis. La gothique,l'adolescente rongée par Satan, voilà ce que ces idiotes doivent penser. Mais ce n'est pas ce que je vois dans le regard lumineux de cette bonne soeur. Elle doit avoir un age qui se rapproche du mien qui plus est, alors... j'ai choisit ma cible !

Attendant que tout le monde rentre, je me met dans un coin bien à l'abri des regards pour me retrouver nue. J'enfile la tenue classique de nonne ressemblant fortement à celle de la jeune sainte m'ayant remarquée. Sauf que le petit col blanc lui aussi en latex offre mes épaules et le haut de mon buste dénudés, si on le retire. La robe est aussi plus courte, finissant en jupe qui laisse transparaitre visiblement mes cuisses, et mes longues bottes à haut talon. Plus que les longs gants sur les bras, que la petite coiffe de Nonne encadrant ma chevelure longue et noires ainsi que mes deux larges boucles d'oreilles en anneau et je suis prête.

Comme je passe bien après, je ne me fais pas remarquer tout de suite si ce n'est le claquement percutant de mes talons qui résonnent. Je me permet même d'allumer la dernière clope de mon paquet, la portant sensuellement à mes lèvres pour en souffler l'amère fumée. Bien sure, comme le hasard fait bien les choses, la nonne que je convoitais s'était elle même écartée du groupe et je peux la prendre à part, contre un pilier de l'église. Nous sommes seules, je la toise avec froideur de mon regard bleu profond, en lui soufflant copieusement la fumée de ma cigarette en plein visage.

Ben alors on s'écarte du groupe ? C'est mal vu de se soustraire à son devoir... surtout dans la maison du seigneur. Il va falloir te purifier.

Un petit sourire moqueur dessine mes lèvres rouges, comme pour désigner à quel point je m'en fichais de cette église, tandis qu'une de mes mains gantée caresse presque affectueusement son visage.

Mais dieu n'est-il pas amour ? Je dois me montrer clémente envers les pécheresses. Je me colle bien à elle, ma poitrine se blottissant dans celle de la nonne, sans pudeur. Et puis de toute façon je cherche juste ou sont les anciennes geôles de l'église... tu connais le chemin toi ?

Il y avait un tas d'histoires au sujet de cette vielle église, ou les rituels de purification étaient autrefois beaucoup plus... sectaires ! Rien que par curiosité, je voulais au moins voir ça. Et aussi, me balader dans l'église avec cette tenue avec l'excitant risque de me faire démasquer...

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up : dispo aussi pour tout OS possible

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Ces temps ci un étrange fléau sévissait a Seikusu, un fantôme ? Un élève à la discrétion d'un véritable ninja ? Un professeur un peu trop pervers ? Difficile à dire mais les culottes quant à elles disparaissaient unes à unes. Décidée à mettre fin à ce mystère et à découvrir l'auteur qui se cachait derrière, j'avais pensé toute la matinée à un petit plan très simple. Loin de moi l'idée de jouer aux justicières j'étais en réalité plus attirée par le désir de découvrir le coupable, et ainsi le faire chanter. Une façon simple et efficace se se procurer un jouet obéissant avec lequel se divertir.

Pour s'y faire, j'avais volontairement laissé ouvert en grand mon casier ou y trainait une belle culotte toute fraiche, soigneusement posée à l'intérieur comme un piège. Si les premiers jours n'avaient pas été fructueux, la fin de semaine elle, décida le petit voleur à passer à l'acte dans les vestiaires. Tapis dans un coin du vestiaire, bien cachée, j'observe le petit voleur... voleuse ? fouiller les casier. Le moins que l'ont puisse dire c'est que l'individu n'y allait pas de main morte, culotte après culotte, sa collection semblait s'agrandir jusqu'à se saisir de la mienne. Ce fut le dernier sous-vêtement dont sa petite main se saisit avant que je ne le plaque de tout mon corps contre les casiers en fer, les deux mains appuyées sur ses poignets.

Et dire que je voulais te tendre un piège, mais je vois que tu es bien trop gourmand, tu serais quand même venu de toute façon hein ?

Ma poitrine soigneusement rebondit dans un corset noir, dont le teint s'accordait parfaitement à mon maquillage pour un look presque gothique, s'appuyait férocement contre son dos. Le jeune homme, ou la jeune femme, était totalement immobilisé entre, pris en sandwich.

Alors comme ça on vole les petites culottes hein ? Laisse moi prendre une jolie photo pour le journal de l'école. Je suis sure que le lycée sera heureux de connaitre le visage du coupable.

Je libère une main pour prendre une photo avec mon téléphone, avant de le replacer dans la sacoche qui me sert de sac. Maintenant que les formalités étaient passées et que mon but était atteint, je devais m'assurer d'autres choses. Fille ou garçon ? C'était difficile de le savoir dans cet accoutrement et ce corps androgyne, le seul moyen de s'en assurer restait encore une main vigoureusement glissée dans son pantalon, à l'improviste. Sans grande surprise, mes doigts refermaient d'une poigne féroce ce qui semblait être une paire de couille. Bien, un peu brutal comme approche, mais au moins maintenant j'en étais sure. Pour autant je ne cédais pas de lest à l'emprise poignante, bien au contraire, je jouais cruellement à les faire rouler dans ma paume qui écrasait à moitié le contenue de sa culotte.

Je vois, tu n'es donc qu'un travelo, une vilaine catin voleuse de culotte...

Relâchant doucement la pression pour le libérer, je le toisais d'un regards toujours aussi froid en lui proposant une porte de sortie.

A combien tu estime ton anonymat ? Jusqu'ou es-tu prêt à aller pour conserver toutes ces culottes et m'obliger à garder le secret ? Je t'écoute petit pervers.

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j'ose espérer que c'était du troll :D

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Tout d'abord la fiche pour savoir à quoi vous en tenir : http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=11083.msg244284#msg244284

Sujet du topic=> On va appeler ça la trame bateau réutilisable
Nombre de participants=> 1 dames / 1 trap
Trame=>   Vous êtes du même lycée que Leona et conservez un secret dont vous ne voulez surement pas voir l'existence révélée. Grâce à ses relations et au chantages qu'elle a réussit à exercer sur certains membres du personnel scolaire, Leona a accès aux dossier de tous les élèves quand elle le souhaite, ce qui lui facilite la tâche. Aujourd'hui, vous êtes la personne qu'elle fera chanter. ( Domination essentiellement )

Sujet du topic=> Attendez vous à vous faire dominer !
Nombre de participants=> 1 dames !
Trame=> C'est le week-end, Leona connait mal la ville et se perd le soir. Vous êtes une vilaine personne ( c'est pas bien d'être vilain au passage !) qui veut s'en prendre à elle, l'attaquer ou abuser d'elle, pour n'importe quels raisons que ce soit. Seulement la jeune femme ne se laisse pas faire et a des ressources, votre agression se retourne contre vous et Leona en bonne rancunière, va punir cet affront à sa personne.


Sujet du topic=> Ce que vous voulez ! On peut même aller voler l'argent du gouter aux primaires pour s'acheter des clopes si c'est ce qui vous branche ( mais c'est pas ce qui vous branche hein ? )
Nombre de participants=> 1 dames !
Trame=> Parlez moi en mp si vous avez d'autres idées.

A savoir que je suis très ouverte en rp et qu'ont peut se fixer les limites avant. Je refuse toutefois la scato / gore / et les émissions de NRJ 12

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Le coin du chalant / Re : commençons à RP !
« le: dimanche 21 janvier 2018, 21:29:34 »
*expire la chaude fumée de sa cigarette pour up le topic *

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Prélude / Re : Céleste "Jour-sans-Fin" Hendricks
« le: samedi 02 septembre 2017, 16:29:04 »
*s'allume une clope et lui envoie la fumée dans la figue en guise de bienvenue *

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Dortoirs et douches / Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]
« le: lundi 07 août 2017, 14:55:10 »
Cette brave petite chienne ne se laissait pas abattre, bien, c'est ce que je voulais, ce serait bien plus amusant de la briser dans ces conditions. Elle ne connaissait pas la douleur ? Alors elle connaitrait d'autres formes de punition qui allait la dérouter. Mon pied se lève, je sors une petite corde fine mais solide de mon sac pour lui lier les deux poignets l'un à l'autre devant son corps, laissant un peu de mou pour qu'elle puisse marcher à quatre pattes d'une manière très serrée, mais rien de plus. J'en fais de même avec les jambes avant de sortir un sac plastique et une nouvelle ficelle du sac. La balader comme une chienne dans tout le lycée oui, mais seulement ? Non.

Hé brave petit toutou, j'espère que t'as une bonne endurance.

J'ouvre le petit sachet en plastique transparent et lui enferme la tête à l'intérieur, liant l'ouverture en maintenant la ficelle nouée vers son cou, sans l'étrangler. Non il ne fallait pas serrer son cou, il fallait qu'elle puisse conserver sa capacité à respirer pour souffrir d'avantage et s'épuiser dans ce sac plastique, dans lequel respirer deviendrait au fil des secondes, au fil des minutes, une vraie torture. Ce même fil autours de son cou me servit de laisse dont je pouvais tenir le bout dans mes mains. Comme ça si elle avançait pas assez vite je pouvais toujours la trainer au sol comme le vulgaire animal de compagnie qu'elle était.

Je t'explique ce qui va se passer maintenant. Tu vas respirer et recracher le même air en boucle, confiner dans ce sachet en plastique qui entoure ta tête. Plus tu le feras, plus cette oxygène sera usé.  On verras si tu es toujours aussi difficile quand je te laisserais suffoquer sur le sol.

La descente des escalier se fit en douceur, pour le dernier étage par contre je l'envoyait bien valser en avant d'un grand coups de pied au cul. Outch, quel dégringolade, je n'aurais pas aimé être à sa place.

Relève toi, il faut aller faire ta balade. Lui dis-je en écartant la ficelle autours de son cou pour laisser une brève ouverture sur le sachet. Pas pour la laisser respirer, surement pas, mais pour cracher quelques bouffés de cigarettes à l'intérieur.

Une fois refermer, son visage était désormais prisonnier non seulement de cette prison de plastique étouffante, mais était de plus enfermé avec ce nuage blanc, néfaste, et chaud qu'était la cigarette, l'étouffant d'avantage. J'en éprouvais une joie malsaine, la voir s'étouffer ainsi dans le sac, de plus en plus, tout en enfonçant mon talon aiguille dans son cul lorsqu'elle n'avançait plus... c'était superbe.

Bientôt nous arrivâmes dans la cours de l'école. Le sac en plastique dans lequel il n'y avait plus d'air, collait à la peau de la pauvre Ayano. La condensation avec la chaleur de la cigarette avait humidifié tout le revêtement du sachet et désormais respirer était tout bonnement impossible, elle ne pouvait que suffoquer comme une chienne jusqu'à en convulser....

Pense à toute celle que tu as maltraité pendant ton châtiment, moi, je ne m'en lasse pas de te regarder.

Une justicière ? surement pas. Seulement un prétexte pour lui en faire baver.

Si tu veux pas t'asphyxier pour de bon, urine contre cette arbre comme la chienne que tu es et revient te coller à mes pieds.

Un violent coul de talon droit entre ses fesses la fit voler contre l'arbre, pendant que je m'étais assise sur le banc, contemplant son visage moulé par le plastique qui empâchait toute arrivée d'air. Cruelle ? Peut-être bien, mais c'était rien par rapport à ce qu'elle avait fait subir à d'autre.

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Dortoirs et douches / Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]
« le: dimanche 06 août 2017, 19:45:57 »
Je sourcille à peine au flash, et encore moins lorsque je vois la lame brillante en acier, que je contemple de mon regard le plus froid. Je m'en fiche totalement, je m'allume une autre cigarette que je porte divinement entre mes lèvres rouges cerise. Comme si je savais pas qu'elle serait armée, avec tout ce qu'ont entends sur elle.

Range ça tu va te blesser chérie.

Une nouvelle bouffée de fumée sur son visage. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que la clope que j'allume n'est qu'un moyen de détourner l'attention. Mon autre main se faufile dans ma sacoche accrochée à la taille et attrape un petit tiser que je dissimule dans ma main gantée. Autant dire que l'ambiance allait devenir électrique.

T'as pas à t'en faire on est différentes. Moi je vais pas te tuer, je vais te garder en vie pour que tu porte mes affaires à ma place le matin, pour que tu vienne nettoyer avec ta langue toutes les saletés que je pourrais faire.

Je l'imaginais déjà me suivre comme un toutou en m'appelant maitresse Leona, avec son sourire anxieux de me désobéir, de me mettre en colère comme une déesse que l'ont ne voulait surtout pas contrarier sous peine de disparaitre. J'allais juste briser sa volonté à être celle qu'elle était... du moins, juste en ma présence. Pour les autres je m'en fichais un peu, elle pouvait continuer à faire son affaire. Dans tous les cas je me rapprochais de mon plan en collant ma main contre son bas ventre d'un geste vif. Elle n'avait pas besoin de comprendre pourquoi, un choc électrique allait lui faire lâcher la lame au sol grâce à ce tiser que j'avais voler à un professeur. Le geste suivant fut un bon coups de poing dans l'abdomen, puis un second, et enfin un troisième pour être sure de bien la faire souffrir.

J'aime qu'ont essaye de se défendre contre moi, alors je vais te faire une faveur. Je te laisse choisir ta sentence. Je continue à te battre comme un punch-in ball ? Ou tu préfère un tours en laisse dans tout l'établissement ? Si tu choisit pas, ce sera les deux.

Je profite de sa faiblesse pour attraper ses cheveux et balancer son corps sur le sol, appuyant la semelle fermement contre sa joue, l'agressant sous la semelle et le talon dur en latex.

Tu ne sais pas ce que c'est que pleurer dis tu ? je vais te l'apprendre dans ton éducation...

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Dortoirs et douches / Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]
« le: dimanche 06 août 2017, 18:57:06 »
La nuit brille sur le toit du lycée, un lieu interdit auquel j'ai facilement accès grâce à mes relations. Elèves comme professeur tout le monde a ses secrets et personne ne peut me résister une fois que je les découvre. C'est le cas de Ayano Aishi, une véritable folle pour ainsi dire, moi à coté je n'étais rien. Un faux pas me couterait même peut être la vie, et avec un peu de chance elle ne me torturerait même pas avant... Mais j'étais confiante, ej n'avais pas peur, j'aimais les défis et grâce au numéro de téléphone sur son dossier scolaire j'avais spammer sa boite à sms. " rendez-vous à 23H sur le toit du lycée " Un message inquiétant quand on ne connait pas l'expéditeur, surtout lorsque celui-ci est écrit en boucle. Elle est pourtant là, dans sa parfaite tenue de lycéenne, alors que je suis tapis dans l'ombre en la toisant de mes yeux ciels, entourés d'un maquillage obscur et intense. Des ténèbres s'alliant parfaitement avec mon rouge à lèvre sulfureux et ma peau légèrement pâle. Et je ne vous parlait même pas de ma tenue. Vous pensiez peut-être que j'étais dans mon uniforme ? C'est mal me connaitre. Ma tenue scolaire à moi, dans ces cas là, était plutôt composé d'une robe en latex noire, moulant parfaitement ce cul divin et bien roulé qui se dandinait à l'intérieur, dans l'agréable sons grinçant de la tenue. Je ne connais personne à ce jours qui n'avait pas fantasmer à l'idée d'y coller les mains. Ma poitrine toute aussi bombée est délicieusement enfermée dans cette matière faites pour les dominatrices. Vous ne seriez même pas étonner de savoir que je portais la longue paire de gant qui allait avec ainsi que les longues cuissardes aux talons claquant sévèrement, alors je peux vous le confirmer... c'est bien ce que je porte là.

Donc c'est toi la ptite pute dont je dois me méfier comme la peste ? T'as l'air d'une gamine.

Oui je l'avais provoqué uniquement car une de ses victimes rescapés m'avait parlé d'elle comme une personne bien plus dangereuse que moi. Je me devais donc de lui montrer qui était la véritable reine de la terreur dans cet établissement.

Moi je vais te montrer ce que c'est qu'une vraie psychopathe. A coté, t'auras l'air d'une sombre merde, tu vas juste lécher mes pieds en pleurant

Je sors de ma cachette pour lui dévoiler mon physique et mon visage. Une beauté envoutante et froide, dangereuse comme le plus grand des poison. En parlant de poison, je lui crache copieusement la fumée de ma cigarette au visage comme pour marquer mon territoire, saisissant mon portable en sa direction pour prendre une photo.

Ca, c'est la dernière photo qu'il restera de toi avant que tu devienne ma chienne.

Les hostilités étaient ouvertes et je lui balançais comme ultime provocation le déchet de ma cigarette terminée, dont le bout était brulant... en plein visage. J'avais de quoi la calmer dans ma poche, mais je voulais d'abord voir son répondant.

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Le coin du chalant / Re : commençons à RP !
« le: dimanche 06 août 2017, 10:51:04 »
Vous connaissez le up de l'outre tombe pour refaire sa demande de rp ?

Ben.. up  ::)

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Le résultat suivant la préparation était exquis, formidable, si bien qu'il était difficile d'imaginer la véritable identité sous la robe. Même en connaissance de cause, je doutais presque de ne pas voir une véritable femme devant mes yeux. La robe, la démarche sur ces longues cuissardes à talons, ce maquillage et surtout.. la voix. L'élève avait un véritable donc dans l'art du déguisement. Pour la peine, je l'aurais presque félicité mais mon esclave avait du travail non ? Alors je me contentais d'un petit sifflement avant de le laisser à ses besognes, sans un mot. Toutes autres phrases auraient été superflu pour un soumis connaissais son devoir.

A cette heure-ci ce n'était pas vraiment la foule qui inondait les toilettes, les élèves préféraient glander dans les couloirs avant de subir le premier et pénible cours de la journée. Un moment opportun donc pour y pénétrer moi même en douce et m'enfermer dans une cabine, aux premières loges pour admirer la scène. Normalement je ne rentrais pas et j'attendais dehors que ma petite soumise fasse ses affaires, et me rapporte de l'argent. Là, il n'était pas vraiment question de prostitution vu qu'il n'y avait pas de gain mais plutôt d'une " punition ", ou plus simplement d'un test pour jauger le travesti qui allait pouvoir faire son oeuvre sur cette première entrée.

Premier échec, l'élève de second ne jette que des regards amusé avant de sortir, en la gratifiant d'un petit pic insultant. " Encore une nouvelle pute ? " avait-il dit avant de sortir, dans un rire narquois. Le second lui, ne lui avait donné qu'une puissante claque sur la cuisse en riant. Ce n'est qu'une fois le cinquième garçon rentré que les choses devenaient enfin intéressante.

Et bien.. t'es en manque ? c'est quoi cette tenue, tournes toi pour voir ?

L'illusion était parfaite, le travesti semblait bien lui plaire et le jeune homme blonde, le genre agaçant et sure de lui, insista sur ses fesses en y portant une main soutenue. Ce qui fut effrayant par contre, fut sa deuxième main baladeuse, qui se porta contre son ventre, longeant le latex jusqu'au plus bas presque entre ses cuisses. S'il passait la main sous sa jupe, s'il découvrait son secret si tôt, c'est le plan entier qui pouvait capoter. Non pas que l'idée de voir ma petite chose se faire giflait m'énerverait, au contraire. Mais sa réaction imprévisible aurait ensuite pu être de crier partout la supercherie, avant même qu'il n'ait pu effectué son travail. Puis, je préférais de loin le voir en rogne et exciter sa rage contre ce corps frêle, une fois qu'il serait trop tard pour retourner en arrière.

T'es nouvelle toi non je t'ai jamais vu ? Boarf on s'en fiche après tout, si t'es en manque...

Attrapant férocement ses hanches pour le pousser dans une cabine et s'enfermer à clef avec, le jeune lycéen commence par l'embrasser vigoureusement, et pas aussi proprement qu'ont pourrait le faire entre femme ou à sa petite amie.

t'es en retards sur ta croissance ou quoi ? on sent même pas ta poitrine ? Ah ah t'en fais pas si t'es plates, j'ai juste besoin d'une paire de fesses bien chaude avant mon cours de langues.

Il parlait vraiment trop, qu'il aille au but et vite ! avant de découvrir la supercherie ! Ce qu'il fit enfin, faisant retomber la tension en écrasant le visage et le torse du soumis contre le mur frottant la verge contre les fesses recouvertes par le latex, qui couinait de la pointe des tallons jusqu' sur le bout de ses gants, à chaque mouvements même infimes. Une délicieuse sensation d'être entravé dans cette tenue devait surement le prendre à cet instant, pour peu qu'il aimait ça. Le lycéen, lui, n'en avait pas vraiment grand chose à faire et continuer d'arquer sa verge jusqu'à la rendre bien tendue, et commencer sans plus attendre sa petit sodomie.

Mais une nouvelle fois, la frayeur. Sa main recommençait à voguer sur son bas ventre. Comment mon petit travesti allait-il gérer ce problème, comment allait-il l'empêcher de découvrir sa verge ?

30
Je ne refusais pas ce cendrier tendu comme un présent, qui m'éviterais de brûler le sol avec la poudre chaude du tabac. Au moins, elle était serviable et marquait un bon point sans même que je lui demande, même si sa façon de se mouvoir, de parler, et de sourire me laissaient perplexe. Jouait-elle un rôle, était-elle sincère ? La situation devenait intrigante. D'autant plus que le mystère sur son sexe était levé. Ma proie n'était autre qu'un mâle, peu viril certes mais un mâle... Voila qui me changeait pour une fois, et si j'avais l'habitude de rejeter les hommes, les tendres petites friandises aux airs fragiles tel que lui étaient une gourmandise dont je me délectais. J'avais bien fait de ramener quelques accessoires et une tenue qui irait à merveille à un travestissement.

C'est vrai, bluffer c'est facile, mais tu dois bien connaitre ça vu ton apparence.

J'écrase finalement ma cigarette dans le cendrier avant de le poser sur le premier support à portée, tout en profitant de libérer mes épaules de ce lourd sac à dos. Bien entendu comme je ne comptais pas aller en cours, celui-ci n'était pas pleins de livres ou de cahiers de maths, mais portait plutôt tout ce dont j'avais besoin pour faire d'un petit chaton comme lui mon animal de compagnie.

Tu sais quoi ? C'est parfait si tu te fiche de l'avis des autres, on va pouvoir gagner du temps en évitant les sujets ennuyeux sur la pudeur. Dis-je sur un ton presque moqueur avant d'ouvrir mon sac pour en déballer quelques affaires.

Et de ce côté là il y avait un peu de tout, mais surtout du léger pour ne pas m'encombrer. De quoi ligoter, de quoi sceller sa bouche de diverses manières selon l'humeur, un sexe-toy long et noir d'une taille intermédiaire. Mais surtout, une tenue féminine pour laquelle il ne fallait, en effet avoir aucune pudeur... C'était une tenue noire, d'un latex qui pouvait épouser aisément la peau, même d'une brindille comme lui. L'ensemble soigneusement ranger au fond du sac comportait une robe avec une découpe en forme de coeur, pour y laisser une parcelle du ventre visible.Celle-ci laissait les épaules dénudées et se fermait par le dos à l'aide d'une fermeture éclaire. Quand au bas, il se terminait à mis cuisses dans une élasticité si moindre qu'il était impossible de trop écarter les jambes. Complétant cet arsenal, une longue paire de gants de la même couleur et de la même matière.

T'as des cuissardes ou des longues bottes ? La flemme de retourner en chercher dans ma piaule.

Ca, je n'avais pas pu les rentrer dans le sac bien évidemment. Et j'avais eu plus d'intérêt à y ajouter un intense rouge à lèvre rouge, qui irait parfaitement à sa bouche pulpeuse, ainsi qu'un crayon à maquillé les cils, pour un regards plus intense.

Avec tout ça, au départ, j'avais songé comme je pensais fermement qu'il s'agissait d'une fille, à la prostituer à mon compte un petit moment. Je le faisais souvent la nuit tombée avec certains de mes proies, et avec tout ces accessoire aguicheurs nul doute qu'elle aurait remporté un succès franc. Enfin puisque c'était un " mec " comme il disait si bien, j'avais d'autres plan désormais pour le placer dans une situation humiliante.

Maitresse ? Mademoiselle Leona ? Qu'importe, mais plus jamais le madame. Si tu as bien compris ça, fou toi à poil et enfile moi ces trucs.

A vrai dire je ne savais pas si l'esclave improvisé allait sagement accepté ou se rebeller, mais je décidais de tester si ses signes de politesses n'étaient qu'un jeu, ou s'il était enclin à se soumettre aisément. Pour m'y faire, je lui donnais même toutes les consignes.

Ton travail sera de te rendre dans les toilettes des garçons dans cette tenue, en te faisant passer pour une fille bien sure. Tu feras ton possible pour aguicher les autres élèves jusqu'à ce qu'un d'eux morde à l'hameçon et se vide en toi. Et quand ce sera fait...

Me levant pour m'approcher de lui, j'affichais un large sourire en le fixant droit dans les yeux, relevant le dessous de son menton avec l'index

... Quand ce sera fait, tu lui avoueras que t'es pas une fille.

Juste pour le plaisir de voir la réaction enragée d'un autre élève, en apprenant qu'il avait été trompé et en réalité si excité par un autre mâle. L'idée de voir comment celui-ci extérioriserait sa colère sur le pauvre soumise me séduisait également.

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