"Ahhh … Doucement chérie !" Dit Vanessa, un grand sourire aux lèvres, laissant échapper un petit rire cristallin. Karen était décidément une grande fougueuse, n'hésitant jamais à laisser parler, voir même crier, ses passions. Depuis le début de la journée, les deux enquêtrices s'étaient concentrées sur leur mission. Pour une fois, elles avaient été envoyé dans le lycée. L'agence leur avait dit au cours du briefing que d'étranges phénomènes s'étaient déroulés en ces lieux, ces derniers jours, et que cela valait le coup d'enquêter là-dessus. Dubitatif, Vanessa, tout comme Karen, pensait probablement à une petite blague dont l'origine était un ou plusieurs étudiants en manque d'humour. Mais soit, les ordres étaient les ordres. Ainsi, depuis le début de la journée, elles ne s'étaient pas vraiment attardées sur l'une comme sur l'autre, trop occupées dans leur mission. Mais, Vanessa avait pu voir que sa femme, car après tout c'était l'élue qui partageait sa vie désormais, n'était pas très nette. Et ce fut qu'après de longues heures, qu'après s'être isolée dans une artère très peu fréquentée du lycée, que Karen décida de relâcher la pression accumulée.
Les lèvres de Vanessa furent instantanément prise en otage, en un fou-furieux baiser qui l'excita au plus haut point. Répondant à celui-ci avec timidité au début, elle se laissa très rapidement envahir par ses sentiments et sa fougue pour y répondre avec un trop plein d'énergie. Un baiser enragé et débordant de passion. Sa langue se mêlait à celle de Karen, la serrant, jouant avec virtuosité. Sa salive se mélangea à la sienne, et les deux femmes goûtaient à ce cocktail avec appétit au travers de cet échange endiablé. "Tu me rend folle Karen !" Déclara Vanessa entre deux reprises de souffle. Cette salle de cours était déserte, et assez isolée pour permettre aux deux tourterelles de faire intensément l'amour en toute intimité. Karen ne tarda pas à la caresser, faufilant ses mains sous ses vêtements pour tâter sa peau nacrée directement. Le baiser devenait presque bestiale, et l'impétueuse n'hésitait pas à descendre sur sa mâchoire, la mordillant, puis à attaquer le point sensible de sa moitié ; le cou. Les mains de Vanessa couraient dans le dos de Karen, la caressant aussi à même la peau, ayant passée ses mains sous son court chemisier.
Toutefois, elle finit par l'écarter, difficilement. Un petit sourire aux lèvres, la Londonienne recula un peu puis alla prendre assise sur le bureau du professeur. Sa partenaire ne tarda guère à rappliquer. "J'en avais tant envie mon cœur, tu ne m'échappera plus maintenant !" Dit-elle d'un ton taquin. Emprisonnant Karen contre elle en la serrant avec ses jambes, elle reprit de plus belle le furieux baiser qu'elles entretenaient avant. Cependant elle y mit rapidement fin, son sang bouillonnant encore plus qu'auparavant. Elle balaya ses cheveux en arrière ses déboutonna rapidement sa chemise, laissant un plein accès à sa poitrine délicieusement mise en valeur par un soutient-gorge classieux. Une petite pièce en dentelle noir, aux fioritures très féminines rosées, surmonté d'un petit nœud papillon entre les deux bonnets. Soupirant de plaisir, Vanessa passa ses mains dans la luxuriante chevelure appartenant à la femme qui partageait sa vie. Mais, le plus intéressant fut sans doute qu'elle déplaça doucement l'une de ses jambes pour venir la frotter malicieusement contre le bas-ventre de Karen. "Hmmm, je vois que tu es déjà à point trésor …" Déclara-t-elle en sentant une ferme bosse contre sa cheville.
À ce moment, tout était clair dans sa tête ; elle voulait cruellement faire l'amour à sa femme.
Ce n'était pas pour rien que Vanessa éprouvait beaucoup de choses pour Karen. C'était une amante exceptionnelle ; fougueuse, sauvage, libérée, mais aussi douce et attentionnée quand il le fallait. De tout cet aspect, l'ex-policière était tombée sur une réelle pépite, un trésor rare et précieux qu'elle comptait garder jalousement le plus longtemps que possible ! Et de là en découlait l'autre aspect … Les sentiments. Cette femme n'était pas comme les autres, elle était différente. Non pas seulement à cause de l'âge, mais aussi par sa personnalité, son âme. Elle était quelqu'un qui correspondait, aussi incroyable que cela était, point par point à Vanessa qui, en fin de compte, avait réellement trouver la femme de sa vie en Karen. De ce fait il n'était guère étonnant que l'amour et la passion qu'elle lui portait était explosif. Elle souhaitait tant lui prouver son amour, au travers cette féroce séance de sexe qui s'annonçait. Bien évidemment, la jeune femme avait bien d'autres moyens de le lui prouver sans forcément recourir au sexe ; car c'était bien là la nuance à faire. Leur relation n'était pas basée uniquement là-dessus, elle était aussi et surtout sincère. Vanessa aimait Karen, de tout son être et, plus que jamais, même si cela lui faisait peur les premières fois, elle souhaite au fond d'elle passer le restant de sa vie à ses cotés.
"Tu ne sera pas déçue mon amour …" Lui répondit-elle, suite à son désir de se voir offrir tant de délices. Vanessa caressait délicatement l'entrejambe de sa moitié de par son pieds, alors que Karen s'affairait à embrasser sa délicieuse poitrine mise en valeur. L'agente poussait de sublimes soupirs, laissant transparaître tout le désir et la volupté qu'elle éprouvait à cet instant. Les deux magnifiques créatures s'enlaçaient sensuellement, s'embrasser, se caressant de toute part. Vanessa passa ses mains dans ses cheveux pendant qu'elle s'occupait de sa poitrine, mais avait tant envie de mêler ses lèvres aux siennes en même temps. C'était cette fougue qui animait tant leurs ébats à chaque fois, et qui les rendaient si passionnels. Cependant, Karen avait le sang chaud et n'hésita donc pas à déboutonner son moulant pantalon en cuir pour laisser sortir son sexe, bandant fièrement en direction de Vanessa. C'était de la cruelle tentation qu'elle lui prodiguait en montrant ainsi son mat de chair, pulsant et criant. Se mordillant les lèvres, la jeune femme regardait ce monument avec envie et gourmandise. Son regard trahissait de son envie grivoise, et elle le porta bientôt vers celui de Karen.
"Hmm tu sais toujours comment t'y prendre toi." Lui susurra-t-elle, descendant de son bureau. Toute émoustillée, Vanessa posa ses mains sur les hanches de sa femme, et rapprocha son petit visage pour lui asséner un nouveau tendre et doux baiser. Sa langue s'acoquina avec la sienne dans un furieux balais copieusement salivé. Elle frotta son propre bas-ventre avec le sien, jouant de son sexe pour encore mieux la provoquer. Ce faisant, l'agente commençait elle-même à ressentir une chaleur dans son entrejambe, qui annonçait tant de belles choses à venir. Une chaleur qui l’humidifiait de plus en plus, qui la faisait brûler d'envie … D'envie de sexe. Elle ronronna alors que le baiser finit par s'estomper. Esquissant un malicieux sourire, la belle inspectrice commença alors à se pencher. Elle déposa un savoureux baiser au creux de la poitrine de Karen, et descendit tout en caresses, embrasser chaque parcelle de sa peau se trouvant sur son passage. Une fois que son visage fut à haut de son sexe, elle glissa ses mains sur ses cuisses, les caressant tendrement, pinçant légèrement sa peau au passage.
Ses mains finirent par se faufiler sensuellement sur son arrogant fessier, malaxant ses deux parties, les écartant l'une de l'autre. Puis, sentant sa femme bouillonner, elle souffla délicatement le bout rosé de son sexe, concluant en lui donnant un chaste et court baiser dessus. Puis un deuxième, puis un troisième. Elle enchaînait les petits baisers sur cette verge tendue. Elle coulissait sur tout son long, la couvrant de marque de rouge à lèvres, jusqu'à ce qu'elle finisse par céder à sa furieuse envie. Sa langue glissa, elle commença à lécher ce sexe si gonflé et veineux, sur son coté, puis se recadra sur ce gland brûlant, le léchant de toute part, avant de finalement l'introduire de manière très serré entre ses lèvres. "Hmmm …" Ronronnait Vanessa de plaisir. La jeune femme finit par exécuter quelques petits mouvements de vas-et-viens, entamant alors une langoureuse fellation. Pour le moment elle y allait doucement, préférant faire mijoter encore un peu sa chérie, sentant qu'elle était en train de fondre sous son traitement.