Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Pour le plaisir [Leona]
« le: jeudi 05 septembre 2019, 17:21:39 »Bon j'en ai mare, cette peste joue avec mes nerfs, on va aller la faire pleurer.
La proposition devient tout à coup très alléchante pour les deux autres filles qui imitent Leona, pénétrant en douce dans les toilettes. La rousse était là, enfermé dans un des toilettes, pensant surement que Leona n'irait pas jusqu'à sécher les cours... grave erreur, car elle était bien là et remontée plus que jamais. Discrète, elle attendit que sa proie sorte pour lui envoyer une gifle sévère de sa main froide, faisant tomber ses lunettes au sol. Une des deux autres peste lui tire aussitôt après les cheveux, et lui passes un bras autours de la taille. L'autre main vient cruellement se plaquer contre sa bouche pour la faire taire. Souriante, fière de sa prise, Charlotte fait tout pour maintenir ainsi Sonya en place, devant Leona et Havana.
Je déteste attendre tu sais, tu as fait preuve d'une impolitesse incroyable là, Sonya. Ces deux adorables jeunes filles voulaient elles aussi te voir avec la jolie tenue que je t'ai filé. Tu viens de leur gâcher ça...
On a qu'à faire comme d'habitude, on lui fou la tête dans les chiottes !
Sans t'offenser Hava... j'ai oublié ton nom peu importe, vos méthodes de brutes sont trop classiques. Moi, je vais lui apprendre le respect, lui montrer ce qu'est la peur. Jamais plus elle ne me désobéira après ça. Foutez moi cette peste à genoux et ligotez la.
N'y allant pas de mains morte, charlotte lui appuie sur le dos et la fait tomber à genoux, lui ligotant les poignets derrière le dos, bien solidement, avant de jeter son corps comme un déchet aux pieds de Leona. Celle-ci lui écrase le visage avec la semelle de sa bottine, le talon pressant la pauvre joue de la rouquine alors que l'ado au style gothique prépare du matériel qui aurait de quoi inquiéter. Ce n'est pourtant rien en soit, ce qu'elle sort de son sac à dos n'est rien d'autre qu'un rouleau de scotch, dont un large morceau bien collant scelle les lèvres de Sonya. Ainsi qu'un petit sac plastique vide. En voyant Leona ouvrir ce dernier et le diriger lentement vers le visage de la rousse, il est facile de deviner ce qu'elle compte faire, et il ne lui faut pas longtemps avant de le lui mettre autours de la tête. Les deux autres lèves rigolent pendant que Leona, tout en regardant Sonya cruellement dans les yeux, l'étouffe en serrant le sac plastique autours de sa tête.
Qu'est-ce qui se passe Sonya, tu as du mal à respirer ?
Elle prends bien soin de garder le plastique tout autours de sa tête, le serrant de ses deux mains au niveau de son cou, sans étrangler la jeune fille, simplement pour maintenir le plastique bien collé aux formes de son visage. La voir essayer de respirer, inspirant et expirant le peu d'air présent, rejetant et aspirant le sac plastique contre son pauvre petit nez en recherche d'oxygène frais... la scène est tout bonnement divine pour Leona qui jubile. De temps à autre, pour ne pas qu'elle s'évanouisse, l'adolescente aux vices un peu tordus desserre le sac autours de son cou, et le soulève pour laisser l'air y entrer... Avant de recommencer à nouveau. Son visage passe plusieurs fois du rouge intense à sa couleur d'origine entre les suffocations et les apports d'airs, et les deux autres filles ne sont pas en restes puisqu'elles ne profitent pour envoyer valser Sonya dans tous les sens, comme pour se faire des passes avec un vulgaire ballon. Durant ces passes, elles susurrent de vilains mots humiliant, dégradants de toute sortes, tout en jouant avec ses gros seins. L'une d'elle fini même par réduire son haut en lambeau de tissus à l'aide d'un ciseau, la mettant à nue et l'embrasant à travers le sac plastique et le scotch. Une nouvelle passe vers Leona, et enfin la rousse peut de nouveau respirer, une fois de plus.
Pauvre chose... ta poitrine doit te faire si mal... respire maintenant.... respire...
Des mots presque rassurant, des caresses dans ses cheveux et le visage de Sonya contre sa poitrine. On aurait presque pu penser que Leona la consolait. Seulement... Elle lui remis le plastique autours du visage après qu'elle ait pu bien reprendre son souffle, en scotchant les bords contre sa peau pour que celui-ci tienne tout seul, sans que les filles aient besoin de garder les mains autours de son cou. Elle la pousse alors par terre en ricanant.
Tu veux respirer ? Frotte toi à nous comme une gentille petite chienne. Je ne retirerais pas ce sac plastiques avant que tu n'ai jouit ou que tu ne te fois faite dessus de peur !
Les trois ado rigolent en communion, et charlotte aide la pauvre petite Sonya à se relever, lui pelotant les seins tandis que les deux autres adolescentes présentent déjà leurs cuisses en avant. Elle devrait faire vite pour pas s'étouffer, autant ne pas perdre de temps.