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Sujets - Amélie Lacroix

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One Shot / A bug caught in the spider's web [ Vanessa White / Sombra ]
« le: samedi 05 novembre 2016, 11:12:38 »
Même si elle n’avait rien dit pendant l’extraction de Reaper, Sombra et elle-même, Widowmaker avait surpris la conversation entre la jeune hackeuse et leur supposée cible, sa vision thermique ayant percé les murs derrière lesquelles sa « partenaire » se croyait à l’abri des regards indiscrets. Elle devait avouer ne pas tout à fait comprendre le pourquoi de tout cela. Sa compagnonne avait déjà tant fait sous l’égide de Talon, qu’il lui était difficile de croire que ça serait dans le seul but de faire échouer cette mission ; Inversement, qu’est-ce qui pourrait avoir assez de valeur pour envoyer en l’air tant de travail ?

Si elle n’avait rien dit, c’était pour plusieurs raisons ; D’abord, parce que se faire une ennemie de plus pendant leur retraite n’était pas particulièrement judicieux, sans compter que Sombra avait alors contrôle des défenses du complexe, et que pour le moment, elle était restée dans son rôle et les avait retenu de tuer les agents de Talon. Ensuite, Amélie devait avouer ne pas avoir tant de problèmes que ça avec la duplicité, n’ayant elle-même une allégeance que très relative à l’organisation qui l’emploie. Enfin, il y avait sûrement mieux à faire avec cette information que simplement la divulguer en vue que Sombra soit désavouée, puis tuée - ou autre - et que Talon tapote la tête de Widowmaker comme leur petite chienne fidèle et docile.

Non, il y avait définitivement mieux à faire. Ne serait-ce qu’avoir le fin mot de cette histoire pour pouvoir mieux aviser de la course à suivre ; Il y avait anguille sous roche, c’était sûr, et l’assassin se faisait un défi de la débusquer. Pour cela, il n’y avait bien qu’un moyen : Sombra elle-même, puisqu’elle était pour l’instant le seul lien tangible avec cette histoire, si seulement elle n’agissait pas en solitaire de toute façon.

« Le vin est tiré, buvons le. »

Pensa Amélie ; Il n’y avait aucune vertu à attendre un instant de plus que sa « comparse » file, se terre, voire trahisse tout simplement Talon. Widowmaker mit le cap sur la « safehouse » attitrée de sa cible, qu’elle connaissait à l’avance, en cas de problème - bien entendu, pas le genre de celui qu’elle résolvait, mais le prétexte importait peu, pourvu qu’elle ait une adresse. En chemin, elle s’arrangea pour que Sombra soit ralentie par un « malencontreux accident », auquel elle n’était évidemment pas étrangère, lui permettant, comme à son habitude, d’avoir une longueur d’avance.

Entrer dans l’abri ne fut pas aisé, car, évidemment, il était un peu plus qu’une simple appartement ; Les systèmes de sécurité n’avaient pas été mis au point par Sombra, qui n’avait reçu l’adresse que quelques heures auparavant et jamais mis les pieds, ce qui était un soulagement, mais ils ne devaient tout de même pas être sous-estimés. Amélie n’avait pas beaucoup de connaissance de tout cela, mais par chance, Talon le savait, et lui avait confié un gadget étrange lui servant de passe-partout, pourvu qu’elle ne soit pas trop exigeante ; L’avantage, cependant, était que le dispositif savait évidemment se défaire des défenses mises en place par l’organisation elle-même - Comment ne sauraient-ils pas comment se défaire de leurs propres systèmes ?










Sombra arriva finalement à la « safehouse » qui lui avait été attribuée ; En retard, mais enfin sauve de la police russe - quoique dans son cas, c’était sûrement un moins grand danger que pour ses comparses. L’endroit lui était inconnu, mais il était si insipide, au sein d’un immeuble contenant une bonne centaine d’autres comme lui, que même sans jamais l’avoir visité, il était difficile de s’y perdre - ce en quoi sa taille aidait aussi. La jeune fille n’avait pour autant pas confiance en son architecture aussi traîtresse que simpliste ; A chaque coin, elle pointait son arme en direction de l’inconnu en même temps qu’elle cherchait l’interrupteur de l’autre main, la nuit déjà largement tombée, et l’éclairage public n’étant pas des plus solaires dans le quartier.

Rapidement, évidemment, elle arriva à la pièce principale, qui était à la fois la cuisine et la salle à manger ; Cette fois, la commande de la lumière fut un peu plus difficile à trouver que d’ordinaire, mais Sombra était de toute façon rassurée par le fait que s’il avait du y avoir une attaque, elle aurait sûrement déjà eu lieu, et l’absolue banalité du lieu était étrangement réconfortante. La pièce regorgeait de petites diodes dont l’utilité était sûrement débatable, signifiant au plus qu’il n’y avait pas de coupure d’électricité, quoi que certaines le faisaient déjà ET affichaient au moins l’heure ; En triple exemplaire, dont aucun n’affichait la même heure qu’un autre, mais c’était au moins ça : « 21:11 », « 21:13 », « 21:17 ».

Le silence absolu qui régnait empêcha même Sombra de paniquer lorsqu’elle eut quelques problèmes à allumer la lumière, mais lorsqu’elle le fit finalement, elle eut à peine le temps de réaliser que quelques unes des « diodes » étaient en réalité des lumières du casque de Widowmaker, qui attendait patiemment, assise, qu’une balle étonnamment silencieuse ( Sa tireuse ayant réduite la puissance du fusil pour éviter tout boum sonique ) vint rendre l’arme de la hackeuse inutilisable - en tout cas pas sans risquer sa vie autant que celle de la personne qu’elle visait.


« Comme on se retrouve. »

Amélie se releva alors rapidement, ne daignant pas s’expliquer, en tout cas pas pour l’instant, et posa Widow’s Kiss sur la table derrière elle, se désarmant alors. D’un pas efficace mais pas réellement pressé, elle s’approcha de Sombra ; Elle n’était que très légèrement plus grande que la jeune fille, mais ses talons, doublant comme des armes blanches à part entière, donnaient l’impression de plus. La fermeture de sa tenue - qui à la non initiée ressemblait à du latex tout ce qu'il y a de plus ordinaire - était ouverte sur une bonne vingtaine de centimètres, mais la coupe et taille étaient si bien adaptées à la morphologie de sa porteuse que cela ne créait pas réellement de décolleté, le matériau restant sagement en place pour ne laisser qu'une fent assez large pour y poser un doigt.

« Tout d’abord... »

Elle se pencha pour poser sa main sur le rebord de mur derrière Sombra, amenant leurs deux visages quasiment jusqu’au contact, et plongeant leurs regards l’un dans l’autre ; la hackeuse était assez proche des yeux de celle qui n’était peut-être plus vraiment sa compagnonne pour y distinguer une multitude d’affichages digitaux, flux constant d’information qu’utilisait Widowmaker pour toujours avoir accès à de précieuses informations.

« Laisse moi préfacer tout cela par ceci...Si je te voulais morte, tu le serais déjà, et crois moi quand je te dis que si tu me donnes une seule raison de changer d’avis, rien sur Terre ne m’empêchera de mettre une balle entre tes deux petits yeux de biche...Compris ? »

Amélie fit cependant rapidement oublier cette menace - quoi que, connaissant son sens de l’amusement tout particulier, ça ne l’invalidait pas tout à fait non plus - par un petit rire, et profita de sa main déjà derrière Sombra pour passer son bras par dessus son épaule et doucement la guider jusqu’au tabouret sur lequel elle était assise il y a un instant, le tirant d’un crochet du pied pour inviter la jeune fille à s’y asseoir.
Ceci fait, elle posa son autre main sur l’autre épaule de son « invitée » - même si, techniquement, c’était l’inverse - et commença à délicatement la masser, ses doigts froids et gantés étant néanmoins assez doués à l’exercice pour que ça aide à rassurer la hackeuse, en tout cas quant aux intentions de Widowmaker.

« C’était plutôt stupide de ta part, de longuement parler avec notre cible, sachant que je vois à travers les murs, tu ne crois pas.. ? »

Ni la voix ni les gestes d’Amélie ne trahirent ce reproche, les deux faisant passer celui-ci comme un fait déjà presque oublié et pardonné.

« Oh, bien sûr, je ne sais pas ce que tu peux bien avoir à comploter, mais je suis plutôt certaine que ta langue, aussi traîtresse qu’elle soit, ne tue pas... »

Sombra pouvait remarquer que Widow’s Kiss, une arme tout à fait redoutable, était alors juste devant elle. Il n’était cependant pas dans l’habitude de l’assassin de faire un tel oubli, et c’était alors plus un testament à sa certitude que ça n’était pas dangereux le moins du monde qu’à sa maladresse. Et, Sombra ayant déjà vu ce qu’elle pouvait faire au corps à corps, malgré sa prédisposition aux grandes distances, ce qui lui fit d’ailleurs réaliser qu’avoir ses mains autour de son cou n’était pas si rassurant que cela, elle n’avait que peu de doute qu’elle ferait mieux de ne pas faire de geste brusque en direction du fusil.

« En vérité, je n’en ai pas grand chose à faire...Que tu aies tes propres objectifs, motivations... »

La jeune fille put sentir les mains d’Amélie légèrement se lever de ses épaules, ce qu’elle interpréta comme un haussement d’épaule, mais lorsque la pression se fit à nouveau sentir, c’était à sa gorge, le bras droit de Widowmaker, celui qui était dévoilé et tatoué, la portant rapidement jusqu’à un mur pour l’y plaquer, et ses doigts il y a seulement quelques secondes si doux se resserraient légèrement pour appuyer le discours ; Pas assez pour créer un quelconque étouffement, mais trop pour ne pas en être la menace.

« Mais que tu ruines un de mes tirs, et risques MA vie, ça, je ne le tolèrerai pas, tu m’entends ? »

Le retournement de personnalité de l’assassin était soudain mais pas totalement inattendu, car elle avait effectivement l’habitude de fonctionner à deux vitesses, comme une féline, qui montre de paresse au quotidien pour être une redoutable prédatrice à la chasse. Cependant, sa furie sembla s’arrêter là, au moins pour l’instant, car elle apparut pour la première fois de la conversation réellement attendre une répartie, ou plutôt une confirmation, pour être honnête ; Jusqu’ici, elle avait souvent fait des pauses dans son discours, comme un droit de réponse, mais ça n’avait toujours semblé au mieux qu’une politesse, au pire la chance de commettre une maladresse.



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Centre-ville de Seikusu / Congregation of Spiders [ Black Widow ]
« le: jeudi 03 novembre 2016, 18:03:19 »
Berlin, Allemagne - 17 : 02 : 19 - 03/11/2016

   Amélie Lacroix marchait tranquillement dans le hall du « Blendwerk », un hôtel d'un quartier « branché » de la capitale ; Elle devait avouer que ça n’était pas son premier choix, ni même son second, en vérité, mais elle n’avait pas confiance à aller dans un endroit qu’elle avait déjà visité, et en l’occurrence, cela propulsait ce bâtiment au nom imprononçable en tête de liste. Il ne fallait alors pas penser que l’endroit n’était pas désirable, au contraire ; Le hall, comme les chambres, était plutôt spacieux et bien décoré, quoi qu’il manquait d’extravagance comparé au reste de la rue, sans parler du quartier.

Ici, la culture « underground » de Berlin florissait, et même si cela n’était pas tout à fait la tasse de thé d’Amélie, il y avait un avantage unique à cet environnement : Son apparence y était on-ne-peut-plus normale. Evidemment, quand on croise des tatouages et piercings faciaux toutes les quelques personnes, une peau semblant un peu teintée fait « petit jeu », mais c’était tout aussi bien, de ne pas être regardée de travers à longueur de temps. Tout cela contrastait assez avec le « Blendwerk » qui, bien que semblant légèrement emprunt de l’atmosphère, assez peu classique dans ses choix de couleur, restait assez sobre, quoique l’accueil était plus chaleureux que ce à quoi Amélie était habituée ; Parce que le « standing » était moindre ou parce que la tolérance à sa condition était plus grande, elle n’aurait su dire.

Quoi qu’il en soit, Amélie revenait d’un peu de shopping ; Même si elle avait au départ un peu eu peur d’avoir à se frotter à la langue germanique, elle n’en avait finalement pas eu besoin, l’anglais étant ici couramment parlé, et leur accent teuton ne faisait qu’écho au sien, qu’elle trouvait tout de même plus élégant, mais ce n’était sûrement qu’un peu de chauvinisme. Il était rare qu’elle achète réellement quelque chose pendant ces séances qu’elle appelait « de shopping », sans doute à tort, du coup, appréciant le simple fait de flâner, mais cette fois, elle avait à peine marché hors de la rue de l’hôtel qu’elle avait pénétré dans une boutique qui avait attiré son regard et s’était laissée capturer par le tenancier qui semblait bien inspiré par son apparence.

Il n’y avait eu que quelques essais ; D’abord, un haut assez classique à l’effigie d’un groupe dont Amélie arrivait à peine à lire le nom tant il était stylisé, et qu’elle n’aurait sans doute pas été capable de comprendre de toute façon. Ensuite, un autre qui se définissait plus par sa coupe que par ce qui y était écrit, celle-ci étant d’ailleurs assez osée ; Elle l’avait rejeté aussi, mais il avait eu le mérite de dévoiler le tatouage de son dos, qui sembla piquer de curiosité le vendeur. C’est sans doute pour cela que son troisième choix fut parfait ; Une sorte de veste - lui semblait connaître le nom exact, mais cela échappa complètement à sa cliente, tant dans la nuance de sens que de prononciation - faite de vinyle brillant violet, et qui avait la particularité de sembler plutôt sage à l’avant comparé à l’essai précédent, c’est à dire qu’il arrivait presque au nombril, tout en dévoilant presque intégralement le dos, laissant apparaître l’araignée qui y était tatouée, tout en cachant le marquage à son bras qu’elle exhibait en tant que Widowmaker, et donc impossible à montrer en public.


Bien que c’était l’hiver, Amélie n’avait pas assez froid, en tout cas dans les rues étroites et animées du quartier, pour que ça l’empêche d’exhiber sa nouvelle acquisition, son long manteau qui aurait ruiné l’impression et son ancien haut enroulés autour de ses bras. Même s’il ne faisait pas nuit, il fallait bien lever la tête pour le savoir ; De toutes parts, les devantures étaient illuminées de couleurs vives et racoleuses, et les bâtiments étaient tellement plus haut que les rues étaient larges que la lumière du Soleil, le peu qui en restait à cette heure, parvenait à peine à venir se réfléchir sur la veste d’Amélie, toute la place semblant déjà prise par les bleus, oranges et rouges des vitrines.

C’était donc ainsi qu’elle était entrée dans l’hôtel, marchant droit vers les escaliers tout en saluant brièvement le réceptionniste qui lui semblait si aimable ; Sa chambre était au 4ème avec ascenseur, mais elle préférait les marches, entraînant son cardio’ et lui épargnant le risque d’être bloquée par une panne mécanique, ce qui ne ferait qu’attirer l’attention sur elle, peut-être même des forces de l’ordres. Entrée dans sa chambre, elle mit immédiatement son holster, qu’elle n’aimait pas ne pas porter, mais préférait comme situation à le voir découvert lors d’une séance d’essayage pour la même raison qu’elle évitait les ascenseurs.

C’était assez inconfortable, ce poids à la ceinture, quoi que moins que la contraption de la version d’épaule, mais elle se sentait globalement mieux avec que sans. Si c’était la puissance de feu qu’elle voulait, Widow’s Kiss était sous le lit, à côté de l’ordinateur qu’elle utilise pour communiquer avec Talon - ce serait bientôt l’heure du contact journalier, d’ailleurs - dans une valise scellée de plusieurs façons et disposant d’un GPS, évitant tout vol ou simplement curiosité du personnel de ménage. Mais ce pistolet, qui était bien ridicule, à côté, avait cela pour lui qu’il était rapide à dégainer, contrairement au fusil de plusieurs kilos ; Cela ne gâchait son amour pour l’arme, mais il lui fallait bien reconnaître ses fautes.

En revanche, la manie étrange de ces hôtels à surchauffer, sans doute pour éviter que quiconque, pas même le diable lui-même, n’en sorte avec l’idée qu’il y faisait froid, était délicieuse. Oh, bien sûr, pour la personne moyenne, c’était trop, mais Amélie devait avouer ne pouvoir se lasser de se laisser tomber sur son lit et sentir la douce chaleur des draps éveiller les sens de sa peau assoupie par sa propre froideur. Cette fois, elle n’avait même pas eu à se défaire d’un quelconque vêtement ; Son nouveau haut se prêtait parfaitement à l’exercice de s’allonger sur le dos contre la couette qui sembla un instant avaler Amélie, la submergeant de chaleur...Même si, elle devait l’avouer, l’attente de l’action l’agaçait parfois, à cet instant, elle l’oubliait, laissant lentement les tout derniers rayons du soleil disparaître de la chambre à mesure qu’il baissait à l’horizon pour laisser régner les lumières psychédéliques de la rue...


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Prélude / Amélie Lacroix dite Widowmaker [Violidée ~♥]
« le: mercredi 02 novembre 2016, 15:54:24 »


Historique

« Widowmaker » ( « Faiseuse de veuve » ) est une femme pour la première fois appelée ainsi le 24 Mai 2014, mais qui aurait agi depuis au moins le 5 Mars 2013 en tant qu’agent de Talon, spécifiquement une assassin se spécialisant dans l’emploi d’une arme longue distance encore non identifiée1 ( Un rapport du 7 Janvier 2012 évoque aussi un « sniper » travaillant pour Talon, mais aucun autre lien n’existe ).
Elle possède un fort accent francophone ( Hors Canada et Afrique ) mais a jusqu’ici parlé exclusivement anglais ; Le centre de la France est évoqué ( 2 avis sur 8 ), mais pas assez fortement pour exclure les autres possibilités.

1 : L’arme emploie des balles de calibre 8.58×70mm Lapua Magnum ; L’absence de poudre sur les projectiles et de détonation autre que le boum sonique de la balle laisse penser que la propulsion est magnétique. Les performances balistiques et la fiabilité sont cependant au dessus de toute arme « de Gauss » réalistiquement productible par le civil ; Il est très probable que Talon soit à l’origine de l’arme, celle-ci étant potentiellement un prototype unique étant donné l’absence d’autre apparition d’un modèle similaire.

Suite à l’identification de Widowmaker, l’historique précédent de Widowmaker est contenue dans le dossier N° sous le nom d’ ; Ce dossier présent doit alors être considéré comme la suite directe du dossier d'. Ci-dessous est un extrait du dossier « précédent » faisant le lien entre les deux identités :

"Le , est récupérée à après son enlèvement de semaines par pendant lequel l’organisation exige plusieurs formes de rançons, toutes raisonnablement refusées ; Un examen sommaire ne détecte aucune séquelle et elle refuse l’assistance psychologique. De retour à son foyer le , elle est à nouveau enlevée alors que son est tué le , présumément par . Plusieurs signalements ont suivi mais aucun n’a été confirmé et il s’agirait simplement de bruit."

Elle tue son , le avant de s’enfuir sous la couverture d’avoir été à nouveau enlevée pour réapparaître pour la première fois de manière confirmée le 24 Mai 2014 sous le nom de « Widowmaker » et agissant pour Talon. Le 5 Décembre 2014, l’agent Ana Amari d’Overwatch confirme que Widowmaker et sont une seule et même personne.

Dossiers séparés le 8 Décembre 2014, à la demande des agents Ana Amari, Reinhardt Wilhelm, et Jack Morrison de l’agence Overwatch pour raisons personnelles ; Le dossier Widowmaker est désormais indépendant de celui de son identité précédente et ne peut servir de justificatif pour l’obtention du dossier concerné.

Il est confirmé que Widowmaker est régulièrement armée d'une arme légère comme en témoigne le holster visible sur la photographie attachée, prise à sa propre requête à Paris suite à son assassinat d'un membre d'Overwatch ; C'est sa seule prise de contact volontaire hors de ses missions.

Signes distinctifs

- La peau de Widowmaker est distinctement teintée de bleu, même si ce n’est pas assez apparent pour être repéré par la plupart des caméras ou une inspection trop succincte, notamment au milieu de la foule. De plus, la température de la surface de son corps est plusieurs degrés sous la moyenne ( Les caméras spécialisées peuvent facilement utiliser cela pour l’identifier, mais leurs emplois sont spécifiques et Widowmaker prend soin d’éviter les endroits où on les trouve ), et son poux est quasi indétectable.

- Tatouage des mots « Araignée du matin, Cauchemar » sur fond d’une toile d’araignée autour de l’avant-bras droit. Elle les cache hormis lors de ses missions.

Analyse Psychologique ( Par le Dr. Manuel Strapopoulos )

A cause de son endoctrinement, l’on pourrait imaginer que Widowmaker possède une personnalité, parfaitement adaptée à sa fonction d’assassin, et ce n’est pas loin de la vérité, cependant le procédé de conditionnement de Talon a exhibé quelques défauts. Elle est certes patiente, sans aucune pitié ni dégoût pour la violence ou la brutalité, et ressent même une profonde jouissance à exécuter ses diverses missions au prix de la souffrance des autres.

Mais il serait cependant erroné de la comparer à une machine, car elle est loin d’en être une, parfois même au détriment de Talon. Elle est par exemple très « joueuse », appréciant sa chasse comme simple sport, pour la poussée d’adrénaline, et son instinct de survie, sans s’apparenter à une quelconque forme de lâcheté, Widowmaker étant même plutôt téméraire, est fort ; Elle ne se laissera pas mourir pour sa mission, et se permettra régulièrement quelques largesses pour son propre plaisir si elle pense pouvoir s’en accommoder. En cela, la finalité de son travail est presque secondaire face à la simple possibilité de l’exécuter et il y a à parier qu’elle est plus alliée de circonstance de Talon qu’à proprement parler un de ses sbires, en tout cas à ses yeux.

En particulier, elle garde un certain goût du plaisir voire du luxe1 en général, même si leur perte ne lui fait pas particulièrement peur et que la nécessité les lui fait oublier ; Cela, couplé à sa définition « particulière » de l’amusement, en fait une personne brutalement efficace, garantissant le minimum d’échecs avec le maximum de sadisme. Lorsqu’elle ne peut s’adonner à ces « loisirs » illégaux sous la bannière de Talon, elle s’efforce de calmer ses ardeurs et faire profil bas, mais ne résiste que rarement longtemps2, non pas par manque de patience, mais parce que tôt ou tard survient une occasion qu’elle pense pouvoir saisir en toute impunité, son arrogance et son goût du défi étant sévères.

Il ne semble plus rien rester de la précédente identité de Widowmaker, excepté quelques souvenirs, mais il est possible qu’ils aient été choisis par Talon, car ceux-ci ont pour l’instant seulement été liés à l’identification des agents d’Overwatch, en particulier leurs capacités de combat.

1 : Une grande partie des signalements avérés de Widowmaker sont dans des milieux riches, en particulier dans des hôtels réputés où elle ne reste que quelques temps avant de partir.
2 : Voir l’annexe sur le rythme des attaques attribuées à Widowmaker.


Annexes
 

Représentation d'artiste en mode "Assaut" puis "Sniper"

Le fusil employé par Widowmaker est appelée « Widow’s Kiss », mais il n’est pas sûr que ça soit le nom de ce modèle en particulier ou de sa série ; Elle en est pour l’instant la seule utilisatrice, possiblement car c’est le prototype d’une arme en vue d’une production en masse future, mais sa complexité pourrait restreindre son utilisation à la meilleure assassin de Talon. Ses performances sont extrêmement élevées malgré une nature modulaire qui implique des pièces mouvantes et donc, traditionnellement, une précision amoindrie, ce qui corrobore la théorie d’une arme faite main et ayant donc demandé une grande quantité de ressource. L’arme s’adapte à la situation en modifiant profondément sa configuration, en passant par plusieurs équipements tels qu’une lunette, un canon qui s’allonge, et même un changement de la puissance du tir ; Il semble possible de jouer sur chacun indépendamment mais deux modes semblent se dégager.

Le premier est dit d’« Assaut », et se comporte en tout point comme un fusil d’assaut ordinaire, compact sans perdre en précision et avec un tir automatique rapide. L’arme est alors relativement peu remarquable même si elle reste mortelle, avec un chargeur cylindrique de 30 munitions en 8.58×70mm inséré sur le côté ( Plusieurs témoignages évoquent une éjection automatique du conteneur vide voire un mécanisme - magnétique ? - qui attire le nouveau en place ) pour une grande praticité. Il est à noter que les balles n’ont alors pas la puissance ordinaire de leur calibre, pensées pour être tirées dans ce mode seulement à très courte distance.

Le second mode, celui pour lequel l’arme est connue, est celui de « Sniper », qui, comme son nom l’indique, tire avec une précision redoutable sur de longues distances. Le fusil est alors cependant physiquement différent de sa disposition « Assaut », son canon étant plus long pour une encore plus grande exactitude, et plus effilé, même si la raison est alors plus obscure ; Des possibilités sont la réduction du profil, l’obstruction d’aérations pour éviter la moindre signature thermique ( Même si le type de l’arme n’en dégagerai pas une grande de toute façon ), ou simplement la mise en place de la rallonge du canon qui permet à son « boîtier » de se rabattre pour gagner en place. En outre, une lunette sort de la crosse du fusil ( Bien qu’elle puisse aussi être déployée indépendamment en mode « Assaut » ) et le fonctionnement automatique laisse place à un semi. Il existe une assez grande perte d’énergie entre la puissance théorique et pratique de ce mode, et il est estimé qu’elle est due à un mécanisme de réduction du recul ( L’utilisation du fusil par Widowmaker tend à confirmer cette théorie, car la puissance du fusil serait sinon bien trop importante ).

La plus grande différence entre ces deux modes réside cependant dans la façon même dont le fusil tire ; Dans le premier, chaque balle est tirée grâce au procédé du canon dit « de Gauss » et de sa propre réserve d’électricité, lui conférant une puissance semblable à celle d’une arme à poudre plus primitive. Cependant, pour donner plus de puissance à chaque tir, le mode Sniper emmagasine l’énergie de 3 munitions ( La séquence peut être « avortée » et n’utiliser qu’une fraction de cette énergie, si la rapidité prime sur la force ) pour n’en propulser qu’une seule, ce qui lui fait cependant atteindre des performances terrifiantes ; Les deux balles supplémentaires sont comptées comme inutilisables ( Même s’il leur reste un peu d’énergie ) malgré qu’elles n’aient été éjectées et le fusil refusera de les tirer1.

1 : Cette théorie est basée sur les chargeurs abandonnés par Widowmaker.


Données techniques ( Estimations )

Type : Hybride fusil d’assaut / de précision
Fabrication : Talon ; Lieu et date de fabrication inconnus ; Fabricant inconnu ; 1 Exemplaire connu ; Aucune variante
Utilisation : Widowmaker ( 2014-Présent )

Poids : Inconnu ; ~4000-4500 g
Longueur : De 780-820mm à 1550-1600mm ( Estimations selon extension du canon )
Longueur du canon : De 600-650mm à 1370-1420mm ( Estimations selon extension du canon )

Munition : 8.58×70mm ; Les balles sont identiques au modèle .338 Lapua Magnum ( Mais ne partagent pas le même procédé de tir )
Fonctionnement : De Gauss
Cadence de tir : 600 RPM au maximum ; Atteint sa charge maximale en environ 1.5 secondes pour 40 RPM
Vitesse en sortie de canon : 650 à 1600 m/s
Portée effective : 300-1700 m ( Tir record à 2614 mètres )
Portée maximale : 7 km
Système d’approvisionnement : Chargeur détachable circulaire de 30 munitions
Appareils de visée : Organes de visée illuminés électriquement ; Lunette rétractable



Représentation d'artiste montrant la catapulte ; Le grappin est fixé dans l'intérieur de l'avant-bras, de l'autre côté

Le gantelet gauche de Widowmaker possède une catapulte chargée de quelques ( Au moins 4 ) fioles de poison qui peuvent être ( Grâce à un robot qui se fixe sur pour ainsi dire toute surface puis agit comme un détecteur de mouvement ) propulsées au loin pour libérer leur contenu gazeux sur la première menace qui s’en approche.

De plus, bien que pas une arme à proprement parler, quoi qu’elle ai déjà été vue l’utiliser comme tel, un atout de l’arsenal de Widowmaker est son grappin, propulsé par air comprimé presque sans aucun bruit sur une distance allant jusqu’à environ 30 mètres, rattaché à un câble enroulé autour de son bras gauche. Un puissant ressort ( Lentement tendu après utilisation par un moteur à faible consommation, pour moins de bruit et plus d’autonomie ) le rétracte ensuite, rapprochant Widowmaker de son objectif, que ce soit un objet à saisir ou un endroit où aller.

Cette analyse concerne un gant trouvé le 21 Février 2015 ; Il reste possible que les nouveaux modèles fonctionnent différemment même si l’utilisation semble identique.



Représentation d'artiste avec les lunettes relevées. Un micro a parfois été aperçu, laissant penser qu'il est rétractable.

Le casque de Widowmaker renferme de multiples fonctions. La première est d’à tout moment amener à sa porteuse un maximum d’information, amplifiant les sons, fournissant vision de plusieurs caméras fixées sur les côtés et à l’arrière, et relayant même toute information placée sur le réseau de Talon, essentiellement les communications vocales, en temps réel, avec une intelligence artificielle analysant à chaque instant ce qu’il voit pour ne pas laisser l’assassin être surprise.
Notamment, même si la technologie est expérimentale et demande une puissance de calcule encore trop importante pour être maintenue en permanence par l’ordinateur embarqué1, ce casque permet l’ « infra-vision », qui révèle les signatures thermiques identifiées à travers pour ainsi dire tout obstacle.
Il est à noter que malgré qu'il ne semble pas y y avoir un quelconque intérêt pratique, Widowmaker est souvent vue avec les lunettes relevées.

1 : C’était le cas le 5 Décembre 2014 lorsque son casque fut touché et abandonné ; Il y a fort à parier que depuis, cette situation a naturellement changé avec l’évolution de la puissance de calcul.



Image de vidéo-surveillance - La tenue semble ne pas changer lors de ses missions pour Talon mais ne jamais être portées hors de celles-ci.

Sa tenue est globalement une simple combinaison d’un matériau semblable au latex même si bien plus performant, épousant parfaitement ses formes pour lui fournir une protection et discrétion parfaite ; Même si celle-ci est ornée par endroits de divers ajouts utilitaires, elle reste très exposée, Widowmaker préférant apparemment éviter le danger plutôt que l’encaisser, excepté le bras gauche qui est protégé, sans doute pour absorber les chocs et servir en combat rapproché plutôt que contre des projectiles.
A noter le corset rouge qui pourrait servir de marquage pour éviter tout tir allié, mais aussi de provocation. Aucune image appropriée n'est disponible mais au bout de ses cheveux se trouvent plusieurs armes blanches qu'elle utilise en combat rapproché ; Des tubes enserrant ses cheveux les maintiennent en place, doublant sans doute comme assurance que sa chevelure ne la gênera pas en combat grâce au poids ajouté.












HRP


Identité : Amélie Lacroix dite "Widowmaker"
Âge : 33
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bisexuelle

Histoire

« Widowmaker » ( « Faiseuse de veuve » ) est une femme pour la première fois appelée ainsi le 24 Mai 2014, mais qui aurait agi depuis au moins le 5 Mars 2013 en tant qu’agent de Talon, spécifiquement une assassin se spécialisant dans l’emploi d’une arme longue distance encore non identifiée1 ( Un rapport du 7 Janvier 2012 évoque aussi un « sniper » travaillant pour Talon, mais aucun autre lien n’existe ).
Elle possède un fort accent francophone ( Hors Canada et Afrique ) mais a jusqu’ici parlé exclusivement anglais ; Le centre de la France est évoqué ( 2 avis sur 8 ), mais pas assez fortement pour exclure les autres possibilités.

Suite à l’identification de Widowmaker, l’historique précédent de Widowmaker est contenue dans le dossier N°023677941 sous le nom d’Amélie Justine Lacroix ; Ce dossier présent doit alors être considéré comme la suite directe du dossier de Amélie Justine Lacroix. Ci-dessous est un extrait du dossier « précédent » faisant le lien entre les deux identités :

"Le 17 Janvier 2012, Amélie Lacroix est récupérée à Paris après son enlèvement de 7 semaines par Talon pendant lequel l’organisation exige plusieurs formes de rançons, toutes raisonnablement refusées ; Un examen sommaire ne détecte aucune séquelle et elle refuse l’assistance psychologique. De retour à son foyer le 21 Janvier, elle est à nouveau enlevée alors que son mari est tué le 2 Février, présumément par Talon. Plusieurs signalements ont suivi mais aucun n’a été confirmé et il s’agirait simplement de bruit."

Elle tue son mari [ Officier d'Overwatch supervisant les opérations anti-Talon ] le 2 Février 2012 avant de s’enfuir sous la couverture d’avoir été à nouveau enlevée pour réapparaître pour la première fois de manière confirmée le 24 Mai 2014 sous le nom de « Widowmaker » et agissant pour Talon. Le 5 Décembre 2014, l’agent Ana Amari d’Overwatch confirme que Widowmaker et Amélie Lacroix sont une seule et même personne.

Physique

Le trait le plus particulier de Widowmaker est sa peau légèrement bleutée, son irrigation sanguine se concentrant en profondeur pour la rendre moins détectable par son poux et sa chaleur corporelle. Cela rend également son toucher froid, et ses cheveux ont pris une couleur semblable même si la raison est plus obscure. Son corps est élancé et fin, même s’il est loin d’être dépourvu de muscle ou de forme, en particulier ses jambes sur lesquelles elle est extrêmement rapide et agile.
Son visage est fin et aux contours désirables ; Des yeux profonds rendus jaunes par des implants technologiques, ceux-ci formant un regard pénétrant et toujours aux aguets, séparés seulement par un nez qui s’efface devant une bouche petite mais aux lèvres pulpeuses et s’arquant régulièrement en un rictus joueur. Ses cheveux sont la plupart du temps attachés, Widowmaker ne souffrant pas de les avoir dans les yeux, mais pourtant pas courts, lui arrivant très largement au creux des reins, laissant à son visage toute l’attention qu’elle le pense mériter.
Il est à noter que, sa peau étant extrêmement froide, tout contact avec la chaleur humaine lui semble délicieusement chaud et agréable.
Elle possède de discrètes boucles d’oreille et un tatouage à l’avant-bras droit lisant « Araignée du soir, Cauchemar » dans une toile d’araignée, le tout simplement en noir. Elle n’ôte ou cache ni les unes ni l’autre lors de ses missions les plus dangereuses, prenant soin que sa manche droite s’arrête avant l’encrage, mais le fera, ironiquement, lorsqu’en « civile », craignant que ce signe plus que distinctif ne la découvre. Enfin elle possède un tatouage dorsal d'une araignée faite de droites noires avec en son centre une forme en sablier rouge.


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