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Le Capitaine, toujours sur le dos ne pouvait s’empêcher de contempler la plastique parfaite de la jeune femme, l’eau ayant humidifiée ses vêtements, aidait beaucoup. Assise en califourchon sur Steve, Lara montra l’orbe, l’objet tant convoité par les deux individus. Ils avaient enfin réussi à mettre la main dessus, d’une manière certes, peu orthodoxe, mais ils l’avaient. L’homme tapota légèrement les cuisses de la jeune femme afin qu’elle se lève. Elle lui proposa de s’en aller et de rentrer à la base quand une voix s’éleva au-dessus d’eux. L’homme plutôt grand, était habillé d’un costume bleu, portait une barbe grisonnante et avait dans sa main un calibre 45. Il était entouré d’une vingtaine de soldats qui sortirent tous de la neige et envoya une fléchette tranquillisante sur Lara qui s’écrasa sur le sol en quelques secondes en seulement. L’homme se retourna vers les soldats, serra son bouclier contre lui et couru vers deux soldats, il réussit à désarmer l’un d’eux et lui asséner un coup de poing dans l’abdomen. Le second avait très bien anticipé l’attaque du Capitaine et lui planta un coup de cross dans le cou. Steve tomba par terre et une fléchette vint se loger au niveau de son omoplate. Il n’avait pas peur car le sérum S.S.S. lui permettait d’être immunisé contre le poison. Mais c’était étrange, ses forces le quittaient malgré tout. Avaient-ils réussi à contourner ce sérum ...

« Malédiction » lâcha-t-il.

Sa tête vint heurter le sol et l’homme perdit connaissance, comme Lara quelques instants plus tôt.

L’homme se réveilla, assis sur une chaise, les mains attachées derrière son dos. Il vit Lara non loin de lui et remarquait qu’elle n’était toujours pas réveillée. Steve essaya machinalement de se débarrasser du cordage qui liait ses mains, mais celui-ci avait dû, comme pour le poison, conçu spécialement pour le Captain ; puisque le cordage avait était conçu d’une matière proche de l’acier. Arrêtons-nous quelques instants sur l’environnement présent. L’endroit était grand, sombre et poussiéreux. On avait l’impression d’être dans une sorte de grande cave aménagée pour l’occasion. Impossible pour Steve de savoir où ils étaient lui et Lara. Les chaises étaient en bois de chêne et donc facilement cassables, ce qui étonna le Captain, car c’était de là que viendrait peut-être leur salut.

Soudain un homme vint, il claudiquait et était aidé d’une canne, la même personne qui leur avait fait face tout à l’heure à leur sortie de l’eau.

« Le Captain Rogers, le GRAND Capitaine Steve Rogers, nous nous rencontrons enfin. Quel bonheur de vous avoir ici. J’espère que mes hommes ne vous ont pas trop fait de mal. Bien qu’il ait fallu vous secouer un peu … » Dit-il en souriant.

Steve essaya une nouvelle fois de défaire ses liens, mais c’était inutile, la prise était trop puissante pour lui. Il regarda instinctivement vers Lara et il s’aperçut qu’elle n’avait plus la petite sacoche dans laquelle était cachée l’orbe. La Capitaine n’avait pas non plus son bouclier. Cependant, l’homme reprit et s’approcha de Lara. Il prit son menton et la dévisagea du regard.

« Une très jolie jeune femme, tu as un visage très joli ma chère. Dit-il en déposant un baiser sur ses lèvres.
-   Lâchez-là !
-   Steve, Steve … Il faut bien que quelqu’un s’occupe d’elle, un si joli bout de femme …  Attention Steve, vous risqueriez de la perdre ! Mais arrêtons de parler de ça. Je me prénomme Johann Fennhoff, Docteur Fennhoff. Je suis spécialiste dans la psychiatrie, dans l’hypnose et autre suggestion mentale. Mais peu importe. L’important c’est vous et … l’orbe. »

Le mot était lâché, ils étaient donc effectivement venus ici pour l’orbe. Mais comment avaient-ils sût pour Steve ? Il demeurait beaucoup de question à Steve et pendant que Lara se réveilla, il continua.

« Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Cet orbe n’a aucun pouvoir, nous sommes venus la chercher car elle présentait des caractéristiques intéressantes sur la possibilité de rendre un endroit inhabitable en un lieu parfaitement vivable. »

Un mensonge en sommes, mais Steve devait se défendre, c’était ce qui comptait avant tout.

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: mardi 30 avril 2013, 21:37:50 »
L’homme était étonné par le laisser-aller de ses deux demoiselles et surtout de Mlle Hardy. Oh il n’allait pas se plaindre, bien au contraire. Il s’était privé depuis trop longtemps, dû à de nombreuses batailles et de combats, diverses missions sur les quatre coints du globe l’avaient tenu éloigné des charmes, des corps et du plaisir que procuraient ces jeunes femmes aux hommes. Et ici, il avait le droit à des très belles femmes, toutes deux extrêmement sexy. Le Capitaine Rodgers ne s’était pas créé une réputation de serial loveur, de chaud lapin ou autre genre de chose, pourtant il n’avait pas de mal à s’attirer les plaisirs de la gente féminine. Mais comme dit précédemment, il n’avait pas pour habitude de profiter de ces instants là. Mais les choses avaient changés, ils étaient tous les trois, seuls et devaient tuer le temps. Les trois jeunes individus étaient beau, sexy et « Super Héros ». Mêmes les fantasmes les plus fous n’auraient imaginés une telle rencontre.

L’homme se laissait embrasser par Felicia, ces lèvres étaient incroyablement bonnes et agréables. Sa langue, son goût et son haleine étaient tellement enivrant que l’homme ne put se retenir et lui renvoya son baiser. Il l’embrassa en fourrant sa langue à l’intérieur de la bouche de Felicia. Il sentit alors les griffes de la jeune femme caresser sa nuque et sa jolie paire de jambe l’enrouler. Il la prenait par les hanches tout en l’embrassant. C’est alors qu’il sentit les mains de Rachel sur ses épaules, ses mains commençèrent à le masser. Elle lui prodigua quelques conseils sur comment faire naître le plaisir chez Felicia. Il souffla du nez, car il savait maintenant que Rachel et Felicia n’étaient pas de simples collègues de travail, il y avait apparemment un petit peu plus. L’homme se laissa emporter sur le lit, Felicia se mit alors sur lui, sa combinaison ultra-moulante, aguichait l’homme, comme si elle avait été conçue pour faire naître chez l’homme l’envie de l’arracher et de découvrir ce qui s’y cachait en dessous.

Les mains baladeuses de l’homme caressaient les cuisses de la femme, puis il prit le temps de bien remonter ces mains, jusqu’aux hanches, au ventre et enfin la poitrine. Les tétons n’étaient pas visibles, mais il pouvait les sentir sous ce latex (ou cuir), cette forte poitrine, ferme et alléchante. Il se releva un peu, afin d’embrasser cette poitrine à travers la combinaison. C’est alors qu’il descendit du lit et enleva le haut de son costume une pièce de Super Héros, s’arrêtant au niveau de la taille. Il rejoignit les demoiselles et s’arrêta derrière Felicia, afin de lui masser les épaules. Il entendit alors la jeune femme ronronner, c’était d’ailleurs très étrange, mais à la fois très excitant. Rodgers fit signe à Rachel de venir près de lui. Depuis qu’il l’avait fait franchir le seuil de son appartement à Seikusu, il ne pouvait s’arrêter de penser à l’Iron Girl et de l’imaginer présente avec lui lors d’ébas de ce genre. Lorsqu’elle arriva à sa hauteur, il mit une de ses mains dans le dos de la jeune femme et il l’embrassa sensuellement en y mêlant langue et salive. L’homme ne s’y était pas trompé, elle avait un goût comme il l’imaginait, terriblement agréable et ses lèvres étaient très généreuses et appétissantes. Il ne put s’empêcher de caresser la poitrine de cette dernière.

« Je ne mettais donc pas tromper. Mademoiselle Hawkes, vous recelez de bien de choses agréables. » Lâcha-t-il.

Il tourna sa tête de nouveau vers Felicia, toujours en lui caressant le dos, il posa ses lèvres sur le cou de cette dernière et l’embrassa.

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Le Capitaine Rodgers était confronté, en cet instant, à un mur d’eau, solide comme la roche. La créature avait voulue s’occuper de Lara, seule. Sans être confronté au Capitaine. Mais Steve n’allait pas se laisser faire, et força le passage, il se mit contre le mur d’eau, poussant à l’aide de son épaule la quantité d’eau qui empêchait l’homme de passer. Il savait que la créature était puissante et il s’inquiétait de la voir s’occuper de Lara. Mais c’est alors que le mur d’eau disparût, sans doute dû à la distance qui s’éparait Steve, des deux femmes. Steve savait donc, à cet instant, que la créature avait une limite à son pouvoir : La distance. Elle ne pouvait contrôler l’eau à sa guise. L’homme continua de marcher dans la grotte, il se dépêcha, et vit au loin de l’eau en ébullition. Il mit son bouclier contre lui et sauta dans l’eau. C’est alors qu’il vit au loin, au fond de l’eau, la créature, qui nageait à une vitesse terrible, fonçait vers la surface en criant. Comme si Lara avait réussi à s’échapper. L’homme ne put s’empêcher de sourire, Lara était décidemment une incroyable aventurière,  en plus d’être très forte et agile. Il espérait juste que la jeune femme s’en soit sortie sans trop de blessure.

L’homme vit alors la créature nager et frapper un épais mur, cela supposait que Lara était de l’autre côté. Il y avait d’ailleurs une petite entrée, assez grande pour laisser passer Lara, mais bien trop petite pour la Capitaine. Il sorti de l’eau et envoya son bouclier sur la créature, qui le para sans difficulté, grâce à ses tentacules aqueux. Elle ne s’était même pas retournée. Le Capitaine récupéra son bouclier et fonça sur la créature, il la frappa au niveau de la tête, mais là encore, l’eau, l’en empêcha et l’envoya sur la paroi. L’homme se releva, et vit la reine des eaux s’avancer vers lui, elle le prit par le cou et le leva sur une vingtaine de centimètre du sol.

«  Ph’nglui n’sana Chala’s waha’ty  glt’agn !
-   Toujours la même rengaine … Hhh … Va falloir passer à autre chose ! »

Il prit son bouclier et l’envoya sur le plafond, des pierres s’écroulèrent sur la créature qui relâcha l’homme. La femme se releva tant bien que mal et l’homme en profita pour lui asséner un coup de poing au menton, qui la fit décoller du sol et s’écraser contre le mur de roche. L’homme s’empressa de se diriger vers la fente par laquelle Lara était passé, il pouvait d’ailleurs entendre la jeune femme l’appeler. Il essaya de passer par ce passage, mais c’était impossible, il insista alors, en écartant la paroi de pierre. Le sol bougeait, mais ce n’était pas dû à sa force, il vit l’eau à ses pieds se diriger derrière lui, comme si elle se rassemblait. Steve se retourna et vit une immense boule d’eau naître. L’homme n’a rien pu faire, la créature envoya cette boule d’eau sur lui, ce qui, par la même occasion, fit éclater le mur de pierre. Il fut alors projeter de l’autre côté, mais grâce à son habileté et vision, il remarqua le filin tenu par Lara. Il l’agrippa, mais le courant d’eau, beaucoup trop fort, projeta Lara et Steve au dessus de la falaise et sur la paroi qui surplombait la rivière, à une bonne cinquantaine de mètre. L’homme atterrit sur le dos, Lara quant à elle, atterrit sur l’homme. Leur respiration était haletante, l’effort avait été grand. Il sentit alors la poitrine de Lara, presque dénudé sur son torse.

« Désolé de vous avoir fait attendre … Mmmh … Vous avez l’orbe ? » Lâcha-t-il.

L’ennemi était partie, le cours d’eau se faisait beaucoup moins rapide. Et ils étaient là, tous les deux, sain et sauf. La « mission » avait été un franc succès.

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: dimanche 10 mars 2013, 22:46:03 »
Evidemment Steve savait bien que Felicia lui faisait du « rentre dedans », de façon assez démonstrative d’ailleurs. Puisqu’elle n’hésitait pas à caresser, embrasser, lécher le bouclier du Capitaine. Cette arme si populaire, qui avait vécu de telles choses ; Félicia était en train de l’utiliser comme un vulgaire jouet. L’homme voulait lui retirer, mais après tout ce n’était pas une image des plus déplaisantes. Cette femme incroyablement sexy, tout comme Rachel, n’hésitait pas à jouer de sensualité et de son audace. Les deux jeunes femmes insistèrent ensuite sur le côté patriotique, le fait qu’elles aient vécues avec le fantasme du Capitaine et de ses exploits, l’icône qu’était le super héros.

C’était trop tentant, ces deux femmes lui envoyaient des signes, elles étaient toutes deux magnifiques et ils avaient du temps à tuer. L’homme n’avait pas l’habitude de faire la cour aux jeunes femmes, il n’avait d’ailleurs connu qu’une seule histoire d’amour avec la gente féminine. C’était à la fin de la seconde guerre mondiale, les esprits étaient légers, remplis de joie et c’est là qu’il avait connu cette femme. Leur histoire n’avait pas duré longtemps, le Capitaine était trop absent, préférant remplir son devoir de super héros et sauver la nation des ennemis venues lui porter atteinte. Et puis l’homme avait vécu dans l’atmosphère de l’armée, un milieu ou la femme n’avait pas sa place, ou la femme était vue comme un objet de plaisir, rien de plus.

Alors il était là face à cette jeune femme qui jouait avec son arme de toujours. Il prit le bouclier et le posa par terre, tout en fixant la jeune femme, il posa une main sur les doigts fins et pointus de Felicia. Il les caressait légèrement, il pouvait ainsi sentir le cuir qui enveloppait sa peau douce et agréable.

« Vous avez de la chance, il se trouve que je suis un peu musclé et je suis comme qui dirait un peu le symbole des Etats-Unis, de l’Amérique. Après, il y en qui n’apprécie pas … Mais j’ai comme une petite intuition sur l’avis que vous portez sur moi. »

L’homme continua de caresser la main de Felicia, il fit monter sa main jusqu’à son bras, son coude, son épaule, son cou pour finalement arriver à sa joue. Steve put ainsi toucher et apprécier la peau de la jeune femme, il continua son geste pour ensuite arriver au niveau de ses lèvres, juteuses et excitantes. Il caressa doucement le contour de celles-ci puis entra un de ses doigts dans la bouche de la femme, il sentit alors sa langue enrouler son doigt et le lécher.

« Une vraie petite féline, à n’en pas douter. » Dit-il.

Sa main libre s’approcha de la cuisse de la demoiselle, le cuir encore présent dans cette partie du corps, l’homme commença néanmoins les caresses. Des cuisses de sportives, mais tout aussi sensuelles que le reste de son corps, cette femme avait vraiment droit à ce statut de femme séductrice, féline et extrêmement bandante.

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Le Capitaine comprit assez vite ce qu’il se passait, elle était venue chercher ce que le Steve et Lara lui avait « volé ». La créature toujours en face de lui, prononçant toujours les mêmes paroles, continuait de faire tourner cette sorte d’orbe d’eau au dessus  de sa tête. Le Capitaine, bouclier en avant, regardait Lara fouiller dans sa petite sacoche pour en sortir l’orbe prise sur l’autel quelques instants auparavant. Les pattes de poulpes qui étaient incrustés sur la tête de la créature pointèrent vers Lara, le visage de cette dernière aussi.

« NON ! » Lâcha-t-il en direction de Lara.

Lara avait commis l’erreur de montrer à la créature l’objet qu’elle convoitait, c’est-à-dire, la relique que le géant défendait. L’homme sauta sur l’ennemi, mais elle avait été trop rapide et il ne pu l’empêcher d’attraper Lara et de l’emmener dans l’eau. L’eau, cet élément si destructeur, était sous l’emprise de la créature et elle en faisait ce qu’elle voulait. La rivière calme était devenue un véritable torrent, le courant était puissant et l’eau éclaboussait toute la grotte. L’homme vit alors  Lara se débattre de la créature tout partant à vive allure au fond de la grotte et passer sous un des murs de roche. L’homme sauta alors dans l’eau, il n’avait pas de problème d’apnée, le sérum SSS lui procurait une quantité d’oxygène suffisante pour rester longtemps sans respirer sous l’eau. 

L’homme n’arrivait pas à voir les deux jeunes femmes et ce malgré la cascade qui arrivait. Il prit une impulsion pour ne pas subir la chute de plusieurs mètres. Il atterrit de nouveau dans l’eau, c’est alors qu’il vit la créature sur Lara, au fond de l’eau, ses jambes serrant les cuisses de Lara, afin qu’elle ne bouge pas. Les griffes de la créature, déchirèrent les vêtements de la femme, mais Lara tenait bon, elle avait toujours l’orbe entre ses mains, au détriment des nombreuses blessures  provoquées par la créature. L’homme arriva à leur hauteur, prit de l’élan et asséna un coup de poing à la tête à celle qui essayait de prendre l’orbe. Elle fit un léger écart, ce qui laissa le temps au Capitaine de prendre la main de Lara et de la ramener à la surface. Une fois la tête hors de l’eau, il entendit la jeune femme prendre le maximum d’oxygène, elle avait dû être atteindre presque sa limite. Il l’aida alors à se poser sur la roche et se retourna. Le courant de l’eau commençait à reprendre de la vitesse pour finalement former un tourbillon ; en sorti la créature qui sauta sur l’homme, elle essaya de l’étrangler, mais Steve l’en empêcha en l’envoyant contre la roche. Elle se releva.

«  Nji’t cl’am dk’me dogu’s ! » Cria-t-elle.

Encore une fois les deux individus ne comprirent de ce dialecte et le Cap’ décida de foncer sur elle, afin d’essayer d’en finir, mais celle-ci écarta ses bras et créa deux boules de feu, à une vitesse hallucinante et les envoya sur Steve qui les prit de plein fouet et l’envoya dans l’eau.

« Aaargh ! Putain ! » Dit-il.

L’homme atterrit au fond de l’eau. Cette femme était dans son élément, qui plus est, elle pouvait créer du feu à partir de rien. Nul doute que cette créature sera des plus coriaces. Steve n’aimait pas procéder à ce genre de plan, mais il fallait fuir au plus vite. Il sauta hors de l’eau et la créature était en train de s’occuper de nouveau de Lara, ses vêtements troués par le combat précédent.

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Toujours devant l’autel, il vit Lara prendre à main nue l’objet tant convoité. Ce qui frappa Steve, c’est le peu de précaution qu’avait prit la jeune femme, normalement dans ce genre de situation on aurait pu s’attendre à un piège, un éboulement, une trappe qui s’ouvre sous leurs pieds, un rocher qui fonce sur eux, des squelettes vivants … Non non, rien de tout ça. Après tout, Lara savait ce qu’elle faisait. Elle fit signe au Capitaine de la suivre vers une nouvelle grotte, celle-ci était très petite, trop étroite pour Steve qui dû avancer de côté afin d’avancer, d’ailleurs, la jeune femme prit un peu d’avance. Ils passèrent devant des paysages invraisemblables, on aurait cru qu’ils avaient atterrit dans une toute autre grotte tant le paysage avait changé. Des écritures phosphorescentes habillaient la roche qui se présentait à eux. Les deux individus marchèrent pendant quelques minutes dans cette grotte, jusqu’à atteindre une rivière souterraine, ornée d’un pont créé par la roche elle-même. Le Capitaine plissa les yeux pour voir Lara se pencher vers l’eau et la toucher. L’homme vint à sa hauteur.

« Rien à signaler ? »

L’homme regardait l’eau, il avait un mauvais pressentiment, ils étaient trop … seuls pour une si grande grotte. Qui plus est, celle-ci était marquée par diverses écritures incompréhensibles pour Steve et très certainement pour Lara. L’homme entendit une éclaboussure venant de dessous le pont, il marcha vers le pont et fixa l’eau. L’homme avait raison, ils n’étaient pas seul, l’onde sur la surface de l’eau trahissait la présence de quelqu’un. Lara n’avait a priori pas entendu le moindre bruit, car elle était toujours penchée au dessus de l’eau en train de s’abreuver.

L’homme fixa les alentours, et tout d’un coup une chose surgit de l’eau et se posa près de l’homme, sur le pont. Steve recula légèrement, la créature lui faisait face. La créature venait à coup sûr des profondeurs abyssales de l’océan et devait vivre ici, dans ces grottes, car en y réfléchissant bien, chaque partie de la grotte était en partie humidifiée par l’eau, un endroit parfait pour ces créatures. Elle se tenait donc face au Capitaine, elle était de couleur turquoise, avait un visage humain, mais ce qui la caractérisait bien c’était ces énormes bras de poulpes qui ornaient son crâne, c’était comme des cheveux … vivants. Pour ce qui était de son corps et de ses mains, il ressemblait  à un corps de femme. Ces mains et ses pieds n’étaient pas palmés, ils le redevenaient sans doute au contact de l’eau. L’homme ne savait pas trop quoi faire et c’est la créature qui prit la parole.

«  Ph’nglui n’sana Chala’s waha’ty  glt’agn » Siffla-t-elle.

Le Capitaine avait combattu beaucoup d’ennemi avec des langages bien différents les uns des autres, mais celui-là lui était complètement inconnu. Mais c’est alors qu’il entendit le courant de l’eau augmenter, comme ci cette chose voulait montrer de quoi elle était capable. Pourtant aucun signe sur son visage ne montrait un quelconque sentiment. C’est alors qu’elle leva la main, l’eau surgit des deux côtés et frappa la main de la créature de plein fouet ; l’eau récolté lors de cette charge se forma en globe sans imperfection, c’était comme une orbe d’eau, faisant trente à quarante centimètres de diamètres.

« Stop ! Qu’est-ce que vous nous voulez ? » Lâcha le Capitaine, son bouclier serré contre lui.
-   Ph’nglui n'sana Chala’s waha’ty glt’agn ! »

Les mêmes paroles sifflées de la part de la créature résonnèrent dans la grotte. Cette créature était étrange, Steve n’avait pas l’impression qu’elle voulait affronter lui et Lara. C’était comme ci elle cherchait à comprendre pourquoi ils étaient ici, dans son repère ; ou comme ci ils lui avaient dérobés quelque chose, une chose auquel elle tenait vraiment.
 

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: dimanche 10 mars 2013, 02:27:04 »
Mais qu’est-ce qu’elle racontait ? Il ne s’agissait pas de lire des cartes, mais bien d’y jouer. Bref, cela importait peu car les deux femmes s’assirent à ses côtés, l’une sur le canapé et l’autre en face, sur le lit. Le bouclier du Capitaine était à ses côtés et Felicia le toucha, le griffa tout en posant une question plus que bizarre à l’homme. De son air aguicheur et prédateur, telle une féline, on aurait dit qu’elle voulait jouer avec l’esprit du Capitaine, en lui posant diverses questions plutôt bizarres, dans un premier temps. Elle voulait jouer, très bien, Steve était d’humeur joueuse aussi. Il mit son bras gauche le long du dossier du canapé et regardait fixement Felicia, terriblement sexy dans sa combinaison.

« Oui, je dois l’avouer, lui et moi on est un comme un couple. Je ne le quitte jamais, je le lave, je le chouchoute quoi. Il est posé non loin de moi quand je dors. Un parfait amant en sommes. Et je ne le troquerais contre rien au monde. »

L’homme voulait casser son image un peu réductrice, une image qui le cataloguait comme quelqu’un de personnel, d’antipathique et de fermé. C’était évidemment des mensonges, car pendant ses longues années à l’armée, il aimait plaisanter avec ces frères d’armes, passer du temps avec eux. Certes, quand il s’agissait du combat, il fallait redevenir sérieux et concentré. C’était à ces moments là qu’il devenait ce genre de personne, mais il trouvait ça normal après tout ; il devait faire son job, point.

« Et vous, Miss Hardy, cet amour du cuir, ca vient d’où ? Les tenues osées ? Ce n’est pas digne d’une personne de votre statut, de votre rang. Vous n’avez jamais eu de problèmes avec ça ? Vous les régliez surement avec ce genre de méthode. »

Il montra le décolleté de la femme. Elle l’avait piqué la première, c’était un juste retour des choses. Il regardait à présent Rachel, qui ne disait rien couchée sur son lit.

« Miss Hawkes, vous ne dites rien. Felicia m’a attaqué et vous n’avez rien fait pour enfoncer le clou, je suis déçu, je vous pensais avec un peu plus de répondant et surtout d’audace. Je me retrouve donc avec deux femmes, sans panache … Mmmh … C’est dommage. »

L’homme regardait à présent le plafond, les bras croisés derrière sa tête. 

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: samedi 09 mars 2013, 18:09:41 »
Felicia Hardy s’approcha de lui, elle avait une tenue … Bandante. C’était le mot. Une combinaison en cuir qui épousait parfaitement ses formes, il était inutile de dire qu’elle était incroyablement sexy. Rachel à ses côtés, l’était aussi bien évidemment, en plus d’être une athlète de premier ordre, elle avait un corps parfait, des formes splendides et un adorable et mignon petit visage. Felicia informa le Captain que leur refuge, pour attendre la nuit et l’assaut était un petit studio, sans doute positionné non loin de leur objectif. Elle lui lança un trousseau de clé comprenant la clé de la voiture qu’ils allaient tout trois emprunter et le fameux studio, et se dirigèrent vers le hangar ou les attendait la voiture typiquement américaine de la fin des années 70.

Les trois individus montèrent à l’intérieur, plusieurs autres voitures se mirent à démarrer et à se diriger vers la sortie de la base. Steve n’avait plus conduit depuis bien longtemps, avec sa fuite, la base située dans la chaîne de montagne de Terra et son retour à Seikusu, il n’avait pas eu beaucoup de temps de se munir d’un véhicule. Il emmena donc ses deux femmes vers la sortie de la base, les différentes voitures prirent une direction différent, il fallait que l’ennemi ne se doute de rien, c’était le plus important, c’était donc pourquoi les soldats étaient divisés en plusieurs groupes, dans divers endroit de la ville, au plus près de la cible. Felicia et Rachel étaient toutes les deux sur la banquette arrière, le bouclier avait donc prit place à côté du Capitaine. Il regarda les deux femmes puis son bouclier d’un air amusé.

« Lui au moins, il m’est fidèle, m’apprécie dans chacun de mes choix et surtout il me tient compagnie … Comme en ce moment même. » Dit-il en tapotant son arme.

Evidemment, ce n’était pas un reproche, il voulait détendre l’atmosphère et blaguer un peu. Bon ce n’était pas ça sa principale force comme on pouvait le constater … L’homme suivait le radar installer par le SHIELD dans la voiture pour leur montrer l’endroit dans lequel ils allaient s’installer en attendant l’assaut final. C’était à une bonne vingtaine de kilomètre au nord ouest de Seikusu. Fort heureusement la circulation était agréable, fluide, sans bouchon donc. Felicia et Rachel gardait contact avec la base et celle-ci les tenait informé des derniers mouvements de l’ennemi. Le SHIELD avait bien préparé cette attaque. Attendons de voir ce que ça donnera lors de l’infiltration chez l’ennemi. Après une vingtaine de kilomètres de circulation, de discussion, de rire, ils arrivèrent tout les trois devant l’immeuble dans lequel était installé leur studio. L’homme prit les affaires des deux jeunes femmes et suivit Felicia et Rachel à l’intérieur de l’immeuble. Ils se trouvèrent devant le studio numéro 32, l’homme donna les clés à Felicia qui actionna le verrou et poussa la porte afin d’entrer. Le Capitaine entra à l’intérieur, après les deux femmes ; l’endroit était assez petit, il y avait un lit, un petit canapé, une cuisinière, une sorte de salon, une salle de bain dans laquelle il y avait douche, évier, toilette. Cet endroit ressemblait un peu au studio qu’avait emprunté le Capitaine et dans lequel Lloyd et Rachel l’avait rencontré. L’homme posa les affaires sur le côté, le long du mur et s’avança vers la fenêtre. La vue était mauvaise, il y avait juste l’immeuble qui faisait face à celui dans lequel était  installé les trois individus. Il ne fallait néanmoins pas prendre le risque de se faire voir, il tira alors les rideaux noirs.

« Vous avez des cartes ? » Lâcha-t-il en plaisantant.

L’attente était longue, ils étaient arrivés tôt et c’était encore le début d’après midi, l’assaut aura lieu à la tombée de la nuit. Il s’installa alors sur le canapé.

39
Grimaçant, le natif de New-York regardait le monstre face à lui ; celui-ci arma un nouveau coup de masse, mais cette fois-ci il n’eut pas le temps de l’asséner au Capitaine, car Lara avait judicieusement utilisée la stalagmite de la grotte pour vaincre le monstre, du moins dans un premier temps attirer son attention. Lara se débrouillait bien malgré la différence nette entre les deux combattants. Elle était agile, fine, rapide, résistante, forte ; on aurait pu en faire un jeu vidéo !  Malheureusement pour elle, le monstre la fit tomber dans un trou, une sorte de puits. Mais de façon inexplicable, le géant s’arrêta, fixant le fond du puits. Pourtant Steve avait entendu Lara raller, donc elle était forcément là, accrochée à une paroi ou quelque chose de ce genre. Mais l’occasion était trop belle, le monstre dont la bave dégoulinait au fond du puits restait immobile, il ne faisait plus attention à Steve. L’homme couru en direction de celui-ci, sauta sur son dos, s’accrochant à ses poils, il l’escalada. Une fois au niveau de sa nuque, il asséna un coup de pied sur le crâne du monstre, qui, par réflexe secoua sa tête ; ce qui d’ailleurs fit tomber l’homme. Le monstre se toucha le haut du crâne, Steve avait réussi son coup. Il se dirigea alors vers Lara pour l’aider à remonter, il prit de ses nouvelles et lui montra la direction du tunnel. Ils n’auraient pas beaucoup d’occasion de se rapprocher autant de leur but, il fallait donc en profiter.

Les deux individus coururent droit devant, le Capitaine restant un peu à l’arrière pour contrer les possibles attaques du monstre. Ils étaient à presque cent mètres de leur but, quand un rocher aussi grand qu’une maison atterrit face à Lara qui s’arrêta nette. Cela témoignait de la force extraordinaire du géant, qui avait pu lancer cette portion de roche sur deux cent mètres, alors qu’elle devait peser plusieurs centaines de tonnes. Les tremblements de terres étaient insoutenables, le monstre chargeait … Le Cap’ fit signe à Lara de continuer, il allait s’occuper de LA chose.

La créature chargea donc le Capitaine, arrivée à hauteur de l’homme, il décida de sauter ; il fit un bon extraordinaire pour arriver à la tête du géant, il lui asséna un coup de pied au niveau de son museau, sa tête bascula légèrement sur le côté. La créature, instinctivement, balança son bras sur l’homme, mais celui-ci, agilement, l’évita. Il en profita même pour prendre appuis sur ce membre et de monter de nouveau sur sa tête. La bête fit un bruit de taureau avant la charge, mais l’homme était déjà sur sa tête et décida d’enfoncer son bouclier dans le crâne de la bête. Celle-ci hurla de douleur, un bruit aigu, fuyant, atroce ; Steve descendit du géant, mit un genou à terre tout en se bouchant les oreilles. La créature n’arrivait pas à rester droite, elle trébucha plusieurs fois, elle se tenait la tête, le sang jaillissant de la fente occasionnée par le bouclier du Cap’. Il ne savait pas pour combien de temps le monstre en avait, mais il décida de rejoindre Lara qui avait réussi à atteindre la grotte.

L’homme arriva dans cette grotte, elle était claire, le sol était net, sans imperfection et Lara se trouvait au pied d’un autel regardant un objet lumineux … La relique. Il s’approcha d’elle.

« Enfin. C’est ce dont vous étiez venu chercher, n’est-ce pas ? » Lâche-t-il en regardant la jeune femme.

Les hurlements du monstre s’étaient interrompus, c’est comme ci cette grotte était indépendante de son environnement. Lorsqu’on y entrait, les choses autour  n’existaient plus.

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Prélude / Re : Connaissez-vous vraiment Jill Valentine ? [Valawdée !]
« le: jeudi 07 mars 2013, 21:06:44 »
Il n'y a aucun problème, je suis quelqu'un de plutôt ... Coriace ! ;)

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Prélude / Re : Connaissez-vous vraiment Jill Valentine ? [Valawdée !]
« le: jeudi 07 mars 2013, 18:49:38 »
Bienvenue miss !

Je me ferais un plaisir de prendre part à de quelconques missions avec toi ;)

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L’endroit était terriblement à pic, on ne voyait pas le fond. L’homme aurait pu sauter sans crainte, mais le fait de ne pas pouvoir voir le fond le gênait, il n’était pas sûr d’avoir de prise quand il arrivera en bas. Mais fort heureusement, Lara était bien équipée et elle sortit de son petit sac, un filin et son croché. Elle l’accrocha à une des parois et descendit doucement jusqu’en bas. L’homme la suivit, les tremblements de terre, dû aux mouvements de la bête géant, faisait bouger le cordage, mais le super-héros réussit à mettre pied à terre. Il décida d’ailleurs de ne pas décrocher le filin, les deux individus en auront peut-être besoin pour un possible retour.

L’endroit était désert, apparemment toujours aussi froid, car de la fumée blanche sortait de la bouche de Lara. Ils étaient seuls, c’était sûr. Les tremblements de terre, s’étaient arrêtés, était-ce une bonne nouvelle ? Ils n’en savaient rien. Mais le but était de passer par cette grotte pour éviter un maximum la présence du monstre et ce fameux combat … Presque inévitable. Le Cap’ s’avança d’un pas décidé vers le fond de la grotte ; chacun de ses pas résonnaient dans la grotte, mais il continua et s’appuya sur un des murs glacés, celui-ci commença à se craqueler, s’effriter et à tomba en miette. La chute de gros blocs de glace et de roche faillirent toucher l’homme. Le tremblement de terre reprit, mais celui-ci était différent, il venait de la grotte lui-même, pas de l’extérieur. L’homme regarda instinctivement le plafond, de grosses stalagmites tombèrent de cet endroit, il fallait fuir. L’homme mit son bouclier au dessus de sa tête et avança rapidement vers le fond de la grotte, l’entrée ayant été bloqué par la suite de la roche. La grotte toute entière était en train de s’effondrer sur elle-même. Il vit derrière lui la jeune femme se débrouiller extrêmement bien malgré sa blessure au dos. Elle ne lui avait rien dit, mais le Capitaine se doutait bien qu’il y avait un problème avec son dos. La jeune femme ayant un égo trop grand, ne voulait pas en parler. Mais bon, elle avait dû en avoir vu d’autre.

Quelques instants plus tard, ils se retrouvèrent à la sortie de la grotte, celle-ci continuant à se démolir d’elle-même. L’homme enleva son bouclier du dessus de sa tête et regarda l’horizon et remarqua avec enthousiasme que l’entrée de LA grotte qu’ils ciblaient depuis le début était à moins de 300 mètres d’eux. Mais soudain un bruit arrivait de derrière les deux individus, c’était la masse du monstre géant de tout à l’heure. Le Cap’, par réflexe, évita de justesse l’arme du monstre qui vint s’aplatir sur 10 mètres carrés de surface. Voilà pourquoi la grotte s’était mise à se démolir, c’était le géant qui en était la source, il avait dû sentir les deux individus entrer dans cette grotte et il voulait en finir.

Le monstre décida de s’en prendre en premier au Capitaine, il asséna plusieurs coups de masse à l’homme qui les évita à chaque fois de peu. Le sérum S.S.S. faisait son effet, celui d’être agile et d’être très rapide. La créature asséna un nouveau coup de masse sur le Cap’, celle-ci heurta la roche glacée sur le côté, la masse y était bloquée pour quelques instants. Steve en profita pour monter sur celle-ci et remonter le bras du titan pour atteindre sa tête. Il sauta en exécutant un saut périlleux avant et atterrit sur la tête du géant. Il prit de l’élan pour lui donner un coup de poing, mais avant d’atteindre son but, la main droite de la créature frappa Steve de plein fouet ; l’homme s’écrasa brutalement contre la roche. Le choc était tellement brutal, que son corps fit un trou dans la roche.

L’homme se releva, un peu sonné, mais lui aussi en avait vu d’autre. C’était trop bête, la grotte, leur but était là, tout près. Mais cette chose les en empêchait et elle avait vraiment envie de les stopper.

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: mercredi 06 mars 2013, 18:57:13 »
L’ambiance était pesante suite aux différents dires des deux protagonistes et surtout de Felicia Hardy. Et c’était clair, le SHIELD avait décidé d’attaquer. Graham n’avait pas encore parlé de la stratégie à avoir lors de l’offensive, quels en seront les protagonistes et surtout ce qui était important pour le Cap’, qu’est-ce qu’il allait faire lui. Allait-il d’ores et déjà l’envoyer au combat et avec qui. Il se voyait bien commandait une troupe de soldat ou même de supers héros. Quoiqu’il en soit l’homme était décidé à traquer et trouver ces criminels qui pourraient nuire à ce monde. Steve avait à cœur de les arrêter car cet homme, ce Selenzki, employait les mêmes moyens que lui de façon criminel afin d’être un surhomme. Graham continua :

« Les ordres de missions seront donc révélés avant l’embarquement. Ce que je peux vous dire, c’est que Felicia Hardy sera le leader d’une escouade composée entre autre de vous Mlle Hawkes et de vous M. Rogers. Les connaissances acquises de l’ennemie, par Felicica sont ultra importantes pour nous, c’est pourquoi elle a été choisie en tant que tel. Les autres composants de votre escouade, seront connus au même moment que les ordres missions. »

Le Cap’ sourit et jeta un regard amusé à Rachel. Ce n’était ni l’un, ni l’autre qui allait diriger ce groupe. Les deux individus en avaient parlé lors de leur combat, et il y avait comme une petite concurrence sage entre eux deux.

« Voilà. Vous pouvez disposez. Rendez-vous dans dix minutes dans le hangar, derrière le centre de commandement. »

Graham éteignit le rétroprojecteur et quitta la pièce, Felicia lui emboitant le pas, ainsi que les autres membres de la réunion. Steve serra la main à … et quitta lui aussi la pièce, direction le vestiaire. Il entra à l’intérieur et se changea afin de mettre son costume de super héros, son bouclier traînant dans le casier qu’il avait prit pour ranger ses affaires. Steve sortit de la pièce et se dirigea vers le hangar. Il y arriva en quelques minutes, la plupart des personnes qui avaient composées la réunion étaient présentes, il y avait aussi Rachel ; il se mit d’ailleurs à ses côtés.

« Prêtes ? … Oui, bien sûr, je me doute que vous êtes prêtes pour cette mission ; mais l’êtes vous à l’idée de travailler avec Captain America ? » Lâcha-t-il.

Evidemment, il s’agissait de taquiner un peu la jeune femme, l’homme n’était pas du genre à se vanter.

Dans ce hangar, il y avait beaucoup de militaire, mais il se doutait qu’il n’y avait pas que ça. Une bonne partie des troupes avaient dû partir en reconnaissance, pour avertir ceux qui étaient dans le hangar, s’il y avait un contretemps, si tout se passait bien là bas, si le plan suivit par le SHIELD pouvait s’exécuter comme prévu. L’homme était habitué à ce genre de manœuvre, son vécu au sein de l’armée américaine l’avait forgé.

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C’était difficile à croire, mais la retraite stratégique était une bonne idée. Leur nombre était bien trop minime face à ce géant. Le Cap’ aurait pu s’en charger, mais il ne l’aurait très certainement pas tué. Lara était une très puissante aventurière, mais elle n’était pas aussi forte que Steve et face à ce colosse, c’était trop. Steve et Lara décidèrent de faire le tour afin d’éviter l’ennemi et d’atteindre cette nouvelle grotte, leur but était presque atteint. Il sentait qu’ils étaient proches, très proches. Le géant qui d’ailleurs était en train de se débarrasser des manticores  qui l’attaquaient. Mais il ne faudra pas beaucoup de temps au géant pour les abattre, il fallait donc faire vite.

Le Capitaine suivait la jeune femme vers un endroit plus à l’abri des possibles attaques de l’ennemi. Soudain des manticores, les mêmes qui avaient attaqués le géant,  foncèrent sur les deux individus. L’homme serra les dents et plaqua son bouclier contre sa tête. Il entendit  le bruit du bec contre son arme. Il prit alors son revolver et déchargea son chargeur sur cette créature, celle-ci n’était pas invulnérable aux impacts de balle, car elle poussa un petit cri et fuit en hauteur. Steve tourna la tête pour voir où en était Lara ; elle était aux prises avec deux des créatures. Elle avait ses deux pistolets dans ses mains et se déplaça agilement pour éviter les attaques de ces bestioles. Pour un humaine sans pouvoir, elle était très impressionnante. Mais malgré sa vigilance, elle ne fit pas attention à la manticore qui venait de derrière, la même que le Capitaine avait fait fuir quelques instants plus tôt. De nouveau, Steve lança son bouclier sur celle –ci, qui prit l’arme du super-héro en plein abdomen. Celle-ci touchée, s’écrasa contre la roche, quelques mètres plus loin. Elle était morte. Ce combat était difficile, car les tremblements de terre, dû au poids du colosse, rendait les mouvements des deux jeunes guerriers difficiles. L’homme se débarrassa de deux autres créatures, tandis que Lara s’occupait à maintenir à distance un autre groupe. Elle avait réussi, car ce groupe de manticores décida de retourner « embêter » le monstre.

« La voie est libre » Siffla le Capitaine à la jeune femme.

Ils continuèrent alors leur chemin et décidèrent d’escalader cette paroi. Elle était à l’abri de ce monstre que les deux individus ne voulaient rencontrer pour rien au monde. L’homme sauta le plus haut possible afin de prendre un peu d’avance, il fit un bon de plusieurs mètres et atterrit face contre la paroi et il s’agrippa à celle-ci à l’aide de ses mains. L’homme entama alors son ascension vers une petite corniche, quelques mètres plus hauts. Il pensait que c’était le meilleur moyen pour contourner la créature qui était en contrebas, et donc d’arriver à la grotte en subissant le moins de dégâts possible.

Plusieurs minutes plus tard, il arriva à cette fameuse corniche, qui était assez large. Il baissa la tête et vit Lara arriver, il lui tendit la main, elle l’agrippa et il l’aida à se relever et mettre pied à terre. De là où ils étaient, il pouvait voir le monstre géant, il restait immobile, devant la gigantesque entrée de la grotte. Inutile de dire qu’ils devront à nouveau escalader des parois pour arriver à leur but. Ils décidèrent de concert, de partir dans cette voie là. Les manticores n’étaient plus présentes, ils pouvaient avancer tranquillement. L’homme entendit Lara en profiter pour recharger ses revolvers, le Cap’ essuya machinalement son bouclier et commença la discussion.

« Je vais finalement vous dire qui je suis vraiment. Approchant du but, il est inutile de garder secret des éléments qui pourraient nous corrompre l’un et l’autre et je pense donc que lorsqu’on travaille ainsi avec quelqu’un, il faut essayer d’être un maximum sincère et juste. Donc je me présente, je suis Steve Rogers, alias Captain America. Je ne m’en vente pas du tout, mais je suis un super-héros, c’est le rang que l’on me donne. J’ai des capacités surnaturelles, comme vous avez pu vous en doutez. »

L’homme continua de marcher devant la jeune femme qui continuait  de recharger ses deux revolvers.

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Les alentours de la ville / Re : Légende et réalité [Captain America]
« le: dimanche 03 mars 2013, 19:06:26 »
L’homme écoutait attentivement ce que disait Graham et il comprit assez vite que la cible avait changée. Lesprotovo était toujours un criminel recherché, mais un nom dont il n’avait encore jamais entendu parler vint, il s’agissait de Selenzki. Une soit disant réunion de criminels afin de parler et de vendre des armes à différentes coalitions terroristes. Mais cela intéressait d’autant plus le Capitaine que Selenzki essayait de produire un sérum semblable à celui du Captain. Steve fronça légèrement les sourcils, il allait intervenir, lorsqu’une autre personne, une femme, fit son apparition et affirma que ce sérum, produit par ces terroristes, étaient aussi puissant que les trois pouvoirs principaux de trois des meilleurs super-héros. Les dires de cette femme étaient apparemment vrais et Steve comprenait à ce moment là l’importance de cette réunion.

« Permettez-moi, vous nous avez dit que ce sérum fonctionnait. A-t-on des preuves de ce que vous dites ? Je ne remets en aucun cas votre jugement, mais j’aurais voulu voir de mes propres yeux l’efficacité chez un homme de ce sérum. Puisqu’ayant moi-même frôlé la mort lors de l’injection de ce produit, je trouve à peine croyable qu’un homme est eu l’idée d’en fabriqué un. »

C’était vrai, car ce sérum avait été utilisé sur Steve qu’en dernier recours, il n’avait plus de raison de vivre, ces parents morts, le refus de l’armée de l’engager. Il avait été prêt à tout, même à la mort.

« Qui plus est, les deux scientifiques qui ont produits le sérum S.S.S., étaient reconnus dans le monde entier. Pas beaucoup de personnes pourraient créer un pareil sérum. En plus vous nous dites que celui-ci serait composé d’une spécificité des trois plus grands super-héros de l’histoire. Mais quel être humain pourrait supporter un tel pouvoir. »

Les affirmations de Steve étaient plus que vraies, certes elles étaient sans doute sans réponse et à moins que le S.H.I.E.L.D. est avancé dans ses recherches plus que Steve ne le pensait. Le Captain croisa le regard de Rachel avant de regarder Felicia Hardy. Mais c’est Graham qui reprit :

« Nul doute que nous avons déjà pensé à ça M. Rogers. Le S.H.I.E.L.D. a fait de nombreuses recherches sur ce projet. Le sérum avait été, dans votre cas, combiné à des radiations. C’est cet élément qui nous laissait penser que c’était trop risqué d’en créer un autre de cette importance. Mais nos recherches ont révélés que Selenzki utiliserait un autre moyen. Nous ne savons pour le moment pas lequel ils utilisent, mais soyez-en sûr M. Rogers et vous autres, ce sérum est bien efficace et prêt à l’emploi. »

C’était une chose horrible. Le Captain se prit la tête à deux mains. Il se frotta le front et prit son verre afin de boire une gorgée d’eau. Graham continuait de montrer, à l’aide d’un PowerPoint, diverses photos prisent du refuge de ses malfrats. On y voyait des centaines de caisses, taguées en russe ; des hommes se serrant la main.

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