Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Nyebe

Pages: [1]
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... C'est vraiment trop facile, de me griller. T-t-t.

2
Le coin du chalant / BOUH.
« le: lundi 01 juillet 2013, 02:45:25 »

J'ai lancé un sujet. Une envie subite comme ça, d'un coup.


Mais, même si le sujet est lancé, la trame peut partir dans beaucoup de sens différents, hein. Je lui ai fait faire tout un trajet et tout plein de trucs, histoire que votre personnage décide de quand il la remarque & décide de s'intéresser à elle.



Je suis preneuse de tout. Homme, femme, méchant, gentil, petit, grand ... Tout. Je ne vous demanderais qu'une seule petite chose. C'est de poster ici, de poser votre candidature, disons, et de ne pas répondre de suite au sujet. Histoire que je vois qui veut, qui a envie de quoi, qui propose quoi, qu'on puisse voir ensemble, quoi. Ou partir en impro' totale. Bref. Postez ici si vous êtes intéressé, et on en causera à nouveau après.



Sur ce, bonne soirée !



3
Le parc et son sous-bois / ♫ (cf Coin Du Chalant)
« le: lundi 01 juillet 2013, 02:39:04 »


Une fête. Oh, une fête ! Pour rien au monde, Nyebe n'aurait manqué une fête. Même une fête de la musique, où certains miaulaient en espérant que cela passe pour une performance vocale.


Enfin, pour le moment, transformée en petit hibou, elle vagabondait allégrement dans le parc.

La déesse évitait de faire quelques remarques désobligeantes, style "C'était mieux avant". En tant que hibou, non, elle ne pouvait pas vraiment râler. Mais les "Hou-hou" qu'elle poussait se devaient d'être significatifs. Chaque fois qu'une mauvaise voix s'élevait, quelque part dans le parc, squatté par plusieurs musicos, la déesse-hibou arrivait, et poussait des "Hou-hou" qui avait le même sens qu'un "Ta-gueule". En tout bien tout honneur, bien sûr. Puis, après avoir ennuyé quelques personnes, elle prit forme humaine. Enfin, presque humaine. Nyebe avait vu des gens masqués, ici, là. Alors elle avait suivit le mouvement, prenant cette allure, en toute insouciance. On la complimenta sur son masque, on la prit en photo. Et elle joua le jeu.

C'est donc vêtue d'une robe blanche toute simple, à bretelles, s'arrêtant à mi-cuisse, qu'elle vagabonda, s'arrêtant parfois pour entendre quelques sons mélodieux ou jeter du gravier sur des gens qui auraient du naître la bouche cousue. Ses ballerines blanches tapaient sur le sol, chaque fois qu'elle esquissait une danse. Nyebe eut la chance de trouver un paquet de cigarette encore bien garni, et s'en alluma une, les pieds dans l'eau d'un petit étang, à l'écart de toute forme de vie.

- We’ll make this world our own

Mouvement de bassin. Hop hop.

- Yeah just come along we promise you you’ll never be walking alone

Encore un, juste pour la forme. Ces paroles venaient d'une chanson, entendue il y a peu, dans une boîte de nuit nippone. L'éternelle avait allumée le dance-floor. Elle s'enfonça un peu plus dans l'eau, jusqu'au genoux, veillant à ne pas tacher sa jolie petite robe.

La déesse ouvrit les bras, respirant intensément. Cigarette terminée. Alors elle se laissa tomber en avant, dans l'eau, bras en croix. Et c'est un cygne, gracieux, aux plumes scintillantes, qui apparut sur les flots, glissant à la surface de l'eau avec grâce. Ah, elle adorait ça. Devenir un animal, ne plus être perchée sur deux pattes, ne plus avoir à rendre de comptes à qui que ce soit. Pendant dix petites minutes, elle pataugea, faisant sa belle, parce que pardon, mais un cygne, c'est canon. Avant de surgir des flots, redevenue complètement humaine. Sans le masques, ni rien. Chevelure rousse, petite bouche rouge, épiderme trempée et robe ... Ah, c'est vrai. Le tissu vivait mal les transformations diverses. Sa robe était mouillée, et lui collait à la peau.


Soit.

Nyebe s'allongea donc dans l'herbe fraîche, attendant patiemment que tout cela sèche. Et elle s'alluma une clope.


4
Blabla / Re : Phrase du jour
« le: lundi 01 juillet 2013, 02:09:57 »

(Ma vie est une fatalité, ces temps-ci)

5
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 01 juillet 2013, 00:40:35 »
QUI A PRONONCE LE NOM DE LITTLEFINGER ?

... Aaah, Lord Baelish, homme de ma vie. Oh oui, oh oui. Le meilleur d'entre tous. Je l'épouse quand il veut, putain.



00 : 36

6
Merci :D

Beaucoupbeaucoupbeaucoup, même.

7
« Nyebe, souveraine de tout être vivant qui n'est pas humain. Nyebe, reine des animaux, que leurs corps soient pourvus d'écailles, de plumes, de poils, de carapaces, d'épidermes de toutes sortes. Nyebe, celle qui est partout, qui se glisse derrière les pupilles des aigles, dans l'iris des serpents, entre les muscles des loups, contre le cartilage des requins, dans les crocs massifs du lion. Nyebe, épouse d'Ascone, dieu des humains. Nyebe, qui parle et commande aux bestiaux, qui en a dessiné les contours, les ombres et les creux, quand le vaste monde n'était qu'un brouillon. Nyebe. »




N Y E B E





Certaines mythologies meurent avant même que l'on ne puisse se pencher sur leurs cas. Certains panthéons sont détruits, dévastés. Certaines déités, effacées de toutes mémoires.

Chose que Nyebe ne saurait pardonner. Elle existera, pour vous rappeler qu'elle est.



Elle est une déesse, oui. Mis à part qu'elle, on l'a oubliée. On se souvient d'Hera, oui, et puis d'Isis, ou encore de Frigg. Toutes ces femmes, puissantes, dont l'univers dort dans le creux de la main. Nyebe, on l'a effacée. Parce qu'elle était issue d'une toute autre religion, celle d'un peuple dont on ne connaît même plus le nom, dans des contrées éloignées. Comme toutes les déités, elle est née avec le monde. Dés que ce globe flottant vit naître, sur toute sa surface, des formes de vies grouillantes et/ou pensantes, Nyebe naquit, au sein d'une peuplade, sur des terres riches et colorées. Les serpents poussèrent, dans la continuation de ses veines, les arêtes qui formèrent les corps des poissons naquirent d'éclats de ses os, ses cheveux donnèrent vie aux plumes qui s’éparpillèrent sur les corps des oiseaux, et les poils poussèrent le long de l'épiderme des animaux en même temps que ses cils s'échappaient de son visage. Elle est à l'origine de toute vie animale.

Enfin, c'est ce que l'on dit dans les livres de prières de cette époque. Il y a peu, quelques archéologues mirent la main sur des temples partiellement détruits, léchés par les flots ou engloutis par la terre. Découverte d'un nouveau peuple, jusque là oublié. Les Otricas. Dont le panthéon est aussi chargé que tous les autres. Et, au sommet de celui-ci, on put y lire le nom de Nyebe. Le seul nom qui ne soit pas effacé. « Nyebe ? » prononça avec difficulté l'homme qui tentait de déchiffrer cette tablette où était inscrit le patronyme de la déesse. Il ne suivit que de cette suite de consonnes et de voyelles pour qu'elle soit extirpée de son sommeil

« … Et putain, l'éternité, c'est long. » reconnaît-elle même aujourd'hui. Non, elle ne massacra pas la pauvre personne qui avait osé souiller son nom en ne le psalmodiant pas, et sans cérémonial, sans encens, sans offrandes, tout ça. Nyebe ne se fit pas prier pour reprendre vie. Elle était seule, oui. Toute seule. Dernière descendante de la religion des Otricas. Reine des animaux, qui la reconnaissent encore comme leur monarque.

Elle se mua en serpent (sa forme favorite), en hibou, en louve, en baleine, en crabe, en crevette, en lapin, en requin (c'est à ce moment précis que vous êtes censés deviner de qui est issu ce personnage) et visita toutes les terres. Oui, toutes. Sans exception.

En ce moment, Nyebe est au Japon. Elle se complaît à se transformer en bestioles de tous poils, histoire de vivre sa vie sans qu'on la fasse chier, empruntant parfois des formes assez fantasques (genre ça, ou ça) pour effrayer les gens et squatter leurs maisons, une fois qu'ils se sont enfuis en courant, ou effectuer quelques missions à hauts risques contre de l'adrénaline et des frissons partout partout.







Physique


"Alors là, c'est moi qui parle. Narratrice, tais-toi, laisse parler la déesse. Contente toi d'écrire. Bref. J'ai déjà un prénom doux à prononcer, non ? Nyebe. Prononcez-le tout doucement, en décollant chaque syllabe. Ce prénom me va bien, parce qu'il est beau. Je ne suis pas de nature prétentieuse – et je t'interdis de rire, petite narratrice – mais je dois admettre que je suis bien conservée. Typée européenne, oui, avec une peau beige et appétissante. Une peau de pêche. Touchez, pour voir si c'est doux. J'ai de longs cheveux roux, bouclés, qui me tombent jusqu'en bas du dos. Une masse de cheveux impressionnante, oui, que je coiffe avec amour et patience. Je n'ai pas les traits fins des asiatiques, non. Petit nez, petits yeux, petite bouche d'un rouge éclatant. Je ne suis pas très grande non plus. Un mètre soixante-dix, tout pile. Quant à mes tenues … La plupart du temps, je porte des robes. Mh, non. Je ne porte que des robes, en fait. Souples, élégantes, souvent rouges, et jamais deux fois la même. Je vais vous expliquer pourquoi :Je n'ai pas de maisons à proprement parler, où ranger toutes ces tenues. La plupart du temps, je fais apparaître une nuée d'araignées chez une personne, ou un tigre dans le salon, voire des piranhas dans la baignoire. L'habitant meurt, ou se barre, et je récupère les lieux, le temps d'une nuit. Les lieux, et les fringues. CQFD. Il n'y a que quand je suis seule, vraiment toute seule, que je retire tout ça. La nudité, c'est la liberté."






Caractére

Soyons clairs sur ce point : ce n'est pas une déesse commune. Certes, elle déteste qu'on lui manque de respect, se paye un ego relativement gonflé, profite de ses pouvoirs pour punir à tout va. Mais ce n'est pas une mauvaise fille. Depuis qu'on l'a libérée de son carcan-du-sommeil-éternel, elle vit de sa puissance divine. C'est tout. Elle se transforme en animal la moitié du temps, et ne choisit de devenir une femme que lorsque ça l'arrange. Cependant, ce n'est pas vraiment la personne à emmerder. Ah ça non. Surtout pas. T-t-t, mauvaise idée. Son défaut principale est sa susceptibilité légendaire, accompagnée d'une colère bien méchante et d'un sens de la moquerie assez incisif. Ah, Nyebe. On en a lu, des bouquins qui parlaient d'elle, comme une femme qui a toujours ce qu'elle veut, quand elle le veut, où elle le veut, qui n'hésite pas à utiliser ses pouvoirs à tout va, et qui adore se métamorphoser en serpent et se glisser partout. Sur ce plan, elle n'a rien à envier à Méduse. Il suffit de la titiller un peu, et elle vous sort tout un armada de reptiles froids, glissants, venimeux. Surtout venimeux. On dit que le venin extrait des crocs des serpents de Nyebe est le pire poison qui soit. Venez goûter, pour savoir pourquoi.

Autre point intéressant ; elle déteste toute forme d'autorité. Sauf dans le cadre de quelques jeux, bien entendu. Une fois revenue à la vie, elle a cherchée à se faire une place quelque part, dans cette nouvelle société dont elle a mis très longtemps à comprendre les rouages. Flâner, c'est gentil pendant un temps. Elle, elle veut aussi s'amuser. Surtout s'amuser. N'oublions pas qu'elle est seule. Dernière descendante, tout ça. Alors mademoiselle, depuis quelques temps, fréquente les Yakuzas. Qui la prennent pour une magicienne un peu folle, ne donnant aucun crédit à ses tours de passe-passe. Une déesse ? Bin voyons. Ce statut ne la dérange guère, soit dit en passant. Nyebe leur rend gentiment service. Tant qu'ils ne cherchent pas à l'écraser, à être odieux ou méprisants. Sinon, là, elle les brise. Et qui pourrait croire que ces morsures de serpents, d'araignées, qui ont tués quelques mafieux, sont issus d'elle ? Ha, oui, ça a du bon d'être une déesse.

Et, pour finir, elle n'a peur de rien. Ça, c'est très important. Elle n'est pas spécialement insouciante, mais elle n'est effrayée par rien, rien du tout.







Pouvoirs

o Elle peut se métamorphoser en animal. Tous.

o … Et elle peut leur parler, aussi. Oui, à tous.

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