--- Chapitre Premier : L'enchère ---
Le Manoir Karlberg brille de mille feux en cette nuit si spéciale. Le balai des limousines à sa porte donne l'impression que celui-ci à été construit au pied d'une véritable rivière de lumière, éclipsant au passage les étoiles du firmament.
Installée depuis déjà quelques heures dans une des plus prestigieuses suite du domaine, Rachele profite de ce répit bien heureux pour détendre son corps fourbu dans l'eau brulante d'un bain moussant.
L'heure approchant, elle abandonne la confortable quiétude de la salle de bain et s'installe dans un fauteuil en cuir noir pour se préparer pour la soirée, ses invités, et surtout, pour sa future « acquisition ».
Elle enfile d'abord un body en latex noir qui moule ses formes de manière provocante au point de souligner l'auréole de ses seins, les mures de ses tétons et le dessin de ses lèvres pubiennes. Puis elle glisse ses jambes longues et galbées dans des bas fins qu'elle fait tenir à l'aide d'un porte-jarretelle.
Elle enfile ensuite ses talons aiguilles préféré et fait glisser ses cuissardes noires jusqu'à mi-cuisse avant d'en serrer les sangles. Puis elle met de longs gants noir qu'elle sangle à mi-bras. Pour finir, elle enfile une simple étole d'un blanc cru qui contraste élégamment avec le noir brillant de son body.
La superposition des deux tenues crée un mélange à la fois très élégant, sexy et provoquant. L'étole ne faisant que souligner le galbe de ses seins, sans couvrir le décolleté outrageusement bas du body. Il se termine en deux simples pans de tissu qui mettent en valeur ses hanches, ses cuisses, et dissimulent à peine la raie de ses fesses et sa vulve. Un observateur qui ne manquera pas de l'admirer pendant qu'elle se meus aura même la chance d'entre-apercevoir les formes délicates de ses parties les plus intimes.
Une fois prête est coiffée pour l'occasion d'une longue queue de cheval qui parfait son style de dominatrice, elle quitte le calme de ses appartements et se jette dans la foule.
Dans la grande salle des enchères, la fête bas son plein, le champagne y coule à flot, Rachele, majestueuse, jouit des regards gourmands et avides qui se posent sur elle de toute pare. Combien des invités de ce soir rêverait qu'elle soit elle-même un lot à vendre...
Parfaitement à l'aise dans les réceptions guindés, la belle mafieuse une coupe toujours à la main, échanges frivolités et éclats de rire avec ceux et celles qui partages son temps, sa présence et son niveau social. Méprisant au passage les petites gens qui, par un étrange coup du sort, ont aussi été invités. Certains lui promettent le même sort si un jour ils l'attrapent, d'autres préfèrent se taire et ruminer une vengeance future.
Rachele, comme de nombreux autres invités, profitent de la fête sans même porter attention aux différentes esclaves qui sont vendues pendant la soirée. Car tous ne viennent que pour une seule et même personne. Une esclave extraordinaire dit-on, la dernière du Grand Maître en fonction, une pièce unique que les grands et les petits de se monde veulent ajouter à leur collection.
Quand enfin le présentateur annonce la venue de Divine, le brouhaha de la fête cesse enfin et un silence révérencieux accompagne ses déclaractions. Forte de sa beauté et de son charisme, Rachele négocie sans peine une place au premier rang, là où elle pourra voir et être vue de sa future esclave. Debout, bien droite, les jambes légèrement écarté et les bras croisé sous ses seins pour mettre en valeur ses atouts, elle attend avec délectation de voir les émotions que suscitera sa vue à l'esclave de luxe, quand elle arrivera sur le podium et surtout, quand elle comprendra que c'est Rachele qui va l'acheter.
J’ai l’honneur de vous présenter la pièce maîtresse de cette journée, celle dans laquelle Mark Karlberg a concentré tout son talent et toute son énergie, celle qui est, je tiens de bonne source, une des favorites les plus prometteuses de ces quelques derniers siècles qui, je suis sûr, vos propres aïeux peuvent l’attester, n’a pas été pauvre en prodiges. Sans plus de politesses ni de péripéties, je vous présente Divine !
Les rideaux cérémonielles s'écarte devant les pas de Divine, qui n'a jamais mieux porté son nom qu'en cet instant, parée de sa robe rituelle et de ses innombrables bijou. L’œil exercé de Rachele commence à les énumérer avec sérieux pour déterminer quelles ont été ses récompenses. Sans surprise, elle remarque qu'elle les à toutes, la danse, le chant, la poésie, les massages, le service de luxe, même la harpe ainsi que d'autres instruments demandant des doigts délicats et expérimentés.
La mafieuse tache alors de capter son regard en la fixant de ses yeux clairs, puis lui lance un sourire pervers et cruel, presque sauvage. Intérieurement, Rachele jubile, elle a hâte de commencer. Divine doit être une esclave extrêmement orgueilleuse et douée au vue des efforts qu'elle à fait pour obtenir toutes ces récompenses, elle à hâte d'admirer sa révolte et sa souffrance quand elle la fera chuter de son piédestal.
Mesdames et messieurs, je vous prie d’applaudir notre dernière favorite, mais surtout d’assister à sa révérence ; Un moment historique, car notre Divine est sur le point de, pour la première fois, faire montre de déférence envers son futur maître ou, j’ai ouï dire qu’elle préférerait, future maîtresse.
Au lieu d'applaudir, Rachele pouffe d'un rire narquois.
"Alors comme ça la petite prodige à des préférences ?" S'amuse intérieurement la mafieuse en réalisant qu'elle a bien cernée la jeune femme. A l'Asylum, aucune de ses putes ne se serait permises de donner son avis sur quoi que ce soit, et encore moins sur le sexe qu'elle préfère. Cette Divine résonne encore comme une courtisane privilégiée et gâtée, Rachele se délecte déjà de ce qu'elle va lui faire subir pour la transformer en vraie esclave sexuelle.
Avec une souplesse et une élégance rare, Divine accomplit alors sa révérence. Bien qu'aillant déjà arrêté son choix et décidé de l'acheter coûte que coûte, Rachele se prend au jeu de deviner ses formes. Placé au plus proche du podium, elle distingue sans difficulté la beauté et la délicatesse de sa vulve. En en devinant l'extrême étroitesse, elle commence déjà à réfléchir aux meilleurs candidats pour lui offrir une première fois... inoubliable... et qui lui fera bien comprendre ce qui l'attend...
Comme vous pouvez le voir au laurier qui la couronne, notre Divine a, fait très rare, mérité l’entièreté des honneurs discernés par la maison Karlberg ; En conséquence, elle reçoit le privilège de demander une faveur à son acheteur qu’il se doit de lui concéder, même si je n’ose imaginer un cœur assez froid pour refuser ce service à notre magnifique Divine.
Pour que vous l’achetiez en toute connaissance de cause, sa requête formelle est qu’elle soit autorisée à partager le lit ainsi que le bain de sa ou son propriétaire. Adorable, n’est-ce pas ?
Cette nouvelle déclaration manque de provoquer un nouveau rire à Rachele, mais elle se garde bien de l'exprimer et se contente de sourire de nouveau à Divine. Sa future esclave et décidément bien habituée au luxe, aux privilèges et à un égo sur-dimensionné au point d'exiger une faveur. Exiger, un mot totalement oublié, banni de l'esprit des esclaves de la Sicilienne.
« Un cœur assez froid ? Hooo toi... tu ne connais pas Dona Florenza, mais ne t’inquiète pas... je vais jouer le jeu... c'est ta belle qui va apprendre à me connaître. Elle va partager mon lit... mais pas comme tu l'entend, enfin, les rares fois où je la laisserais dormir...»Se dit elle à nouveau intérieurement. Car Rachele est adepte de l'épuisement physique et mental de ses victimes, de cet état de faiblesse si total que l'esprit en vient à accepter n'importe quoi en échange de quelques minutes de sommeil. Après quelques nuits entre les mains de sa futur maîtresse, cette petite pucelle abandonnera bien vite ses exigence de gamine pourrie gaté...
En regardant les bijou qui pendant à ses oreilles, Rachele se gosse à nouveau en immaginant tout ce qu'elle va faire à Divine pour détruire son identité actuelle. Elle n'a jamais désobéis... cela va changer quand elle sera injustement punie pour des erreurs qu'elle n'a pas commise ou quand la mafieuse la torturera sans raison.
Elle remarque également qu'elle parle plusieurs langues, comme elle doit en être fier, une courtisane aussi instruite et douée... Rachele réfléchi à un moyen de lui arracher cela aussi.
« Il convient de préciser, pour ceux qui aimeraient recevoir ces faveurs de leur favorite, ou au contraire les leur interdire malgré une envie bondissante, que Divine a été enchantée de manière à ce que, lorsqu’on trace un symbole particulier dans son dos, à l’aide d’un simple doigt, sa perle de plaisir se transformera en un membre plus virile et apte à la pénétration, si vous suivez mes pensées.
Bien entendu, le procédé peut être temporaire, jusqu’au prochain tracé du symbole dans son dos, ou permanent si telle est votre volonté. J’anticipe déjà votre question, et non, elle ne possède pas de testicules, mais est belle et bien capable d’éjaculer, usant du lait mielleux et aphrodisiaque que, autre ensorcellement, ses seins produisent en permanence et en grande quantité ; Il convient cependant de prévenir qu’il faut alors la purger tous les quelques jours de son lait excédentaire, sans quoi elle se plaindra de douleurs, même si j’imagine que, d’une manière ou d’une autre, vous saurez trouver votre plaisir dans ce « dilemme ». »
Rachele félicite d'un simple hochement de tête le présentateur pour la qualité de l'enchantement. Elle est même surprise par un tel degrés de maitrise de la magie utilisée pour une esclave. Déjà elle imagine ce qu'elle va pouvoir faire avec la queue qu'elle lui fera pousser ou avec ses seins gorgés de lait, dans un cas comme dans l'autre, cela n'augure rien de bon pour Divine et à nouveau la mafieuse lui lance un regard cruel et pervers.
Vient enfin le moment de révéler ses seins. Très attentive, Rachele regarde le présentateur dénuder la poitrine de la jeune femme et révéler ses tétons dressés. Il parle de sa production de lait aphrodisiaque, la mafieuse en prend bonne note et se dit avec plaisir qu'elle va pouvoir s'en servir pour créer de nouvelles drogues pour briser ses esclaves. Si ce lait est à la hauteur de ses attentes, elle mettra en place une trayeuse à bétail juste pour Divine...
Elle refuse en revanche de goutter le produit, craignant de réveiller sa nymphomanie pathologique et de ne plus avoir les idées claires. Il y a bien trop de gens ici qui n'hésiteraient pas à profiter de son trouble pour la déstabiliser et l’entraîner à l'écarte pour profiter de son besoin de sexe maladif. Combien de fois c'est elle déjà offerte à un inconnu simplement parce qu'elle n'arrivait plus à contrôler ses pulsions ? Elle ne saurait le dire...
Quand le moment de l'inspection et du premier contact arrive, Rachele passe son tour et laisse les badaux l'admirer ou lui adresser la parole. De toute façon, ils peuvent se faire l'idée qu'ils veulent d'elle, ils ne l'auront pas, ce soir Divine appartiendra à Dona Florenza.
De plus la mafieuse garde ses premières parole pour le moment où elle sera enfin à elle, ses questions, elle les pausera dans le confort et le silence de sa limousine.
« J’aimerais profiter de cet interstice pour signaler quelques détails que je n’ai pas encore mentionné. Tout d’abord, quiconque aimerait avoir Divine à genoux entre ses jambes sera heureux d’apprendre qu’elle a été enchantée pour ressentir énormément de plaisir via sa langue et sa gorge, presque autant que dans ses parties plus intimes, en plus de pouvoir y recevoir des tailles normalement trop « encombrantes ». »
Encore une merveilleuse nouvelle qui enchante Rachele. A nouveau, son esprit pervers commence à échafauder des supplices et des tortures savamment orchestré pour profiter au maximum de la pauvre jeune femme. Très vite, Divine comprendra que toutes ces choses pour lesquelles elle c'est battue, toutes ces récompenses, tout ce savoir, va se retourner contre elle...
Un autre ensorcellement qui je l’espère saura rassurer nos clients aux pratiques les plus ésotériques, Divine a été altérée magiquement pour être capable d’accommoder quasi-littéralement n’importe quelle largeur ou longueur de sexe - ou autre - sans grande douleur.
Bien que ravie d'apprendre qu'elle survivra à tout ce qu'elle compte lui enfoncer dans le corps, Rachele fait néanmoins la moue quand il aborde le chapitre de la douleur. La douleur, c'est une des armes favorites de la mafieuse, une des plus efficace, et cet enchantement la dérange. Elle consulte frénétiquement le « manuel d'utilisation » au chapitre des sorts et pousse un petit soupire de soulagement en voyant que comme pour les reste, la sensation de douleur peut être modulable de la même manière que pour le reste. Les gestes et les symboles sont bien démontrés sur le papier.
Un autre enchantement, que le propriétaire pourra ajuster à volonté via une formule écrite sur le bijou à sa cuisse droite, rend Divine plus ou moins fortement addict au plaisir sexuel. J’ai oublié de le préciser, mais le symbole à tracer dans son dos pour faire apparaître son membre masculin se trouve au dos de son collier ; Encore une fois, je vous demande cependant de ne pas la toucher.
A nouveau le présentateur parvient à captiver l'attention de Rachele et de la réjouir de ses mots. Le fait de pouvoir moduler aussi son addiction au sexe sera source d'innombrables tortures faciles à mettre en place et efficace pour l'épuiser psychiquement et émotionnellement. Rien qu'avec cette arme si, elle peut complètement bouleverser sa psyché et transformer sa personnalité.
Sur cet état de fait qui provoque un nouveau rire malicieux et pervers chez la Sicilienne, les enchères commencent. Des voix s'élèvent et les prix comme les autres contreparties commencent à pleuvoir.
Pendant tout ce temps, Rachele se tais, elle attend, elle fixe Divine de ses yeux pétillants et vicieux pour attirer son attention. A chaque fois que celle-ci la regarde, elle lui sourit froidement, une lueur inquiétante dans le regard, premier signe avant coureur de toutes les horreurs qu'elle lui réserve.
Au bout de quelques minutes, alors que de moins en moins de voix s'élèvent pour proposer un prix, Rachele s'avance de quelques pas, pose ses poings ganté de noir sur ses hanches et regarde intensément le présentateur, puis elle se retourne vers l'assistance. Ici, tout le monde sait qui elle est, ce qu'elle fait, et ce qu'elle est capable de faire à ceux qui la défient. Car « Max » siège sur un trône fait des corps de ses ennemis.
Puis elle annonce son prix, et tout le monde se tais. Derrière elle, le présentateur commence à déclamer les mots d'usage :
« une fois, deux fois, trois fois, Adjugé à Dona Rachele Florenza de Seikuzu ! »Elle monte alors sur le podium, serre la main au présentateur qui l'invite à profiter de la suite spéciale qui lui est prêté pour profiter de la première nuit de sa nouvelle esclave.
A la surprise générale, elle décline l'offre et demande à ce qu'on affrète immédiatement sa limousine. Le client étant roi, le personnel du manoir acquisse et se retire. Rachele se rapproche de Divine, elle s'arrête au moment ou ses seins obusiers viennent éfleurer contre ceux de l'esclave. Juchée sur ses talons hauts, la mafieuse la domine de quelques centimètres.
Délicatement, elle passe un doigt entre son collier finement ciselé d'or et son cou. Puis elle la tire vers elle pour pouvoir lui murmurer à l'oreille.
-Vient avec moi ma pute, et pas un mot temps que je ne t'en donne pas la permission...Même si à la façon dont elle l'appel, Divine peut craindre le pire, l'ordre que lui donne sa nouvelle Maîtresse lui interdit intelligemment de le dire aux gens du manoir. Elle lui donne un petit coup de langue et la tire par le collier jusqu'aux coursives désertes des coulisses. Là, loin des regards et des oreilles indiscrètes, dans le long couloir qui débouche sur le parking privé ou est garé sa limousine, Rachele commence son travail de maquerelle.
-Tourne toi. Tu peux me parler maintenant, mais n'oublie pas tes leçons de bien séance ou tu sera châtiée...Lui ordonne t'elle de manière abrupte pour la faisant se retourner pour présenter son dos.
-Tu es trop habillée pour une pute, ou plutôt trop élégamment.Dit elle en tirant sur les lacets qui retiennent les fragiles étoffes qui couvrent le corps de divine. Délicatement, le tissu glisse le long de son corps pour la dénuder petit à petit.
Elle ouvre un petit sac et le laisse tomber aux pieds de Divine, puis détache le beau et noble tour de cou qu'elle portait et le jette dedans.
-Une pute ne porte pas ce genre de collier.Divine sent soudain que Rachele lui passe un épais collier de cuir autour de sa gorge. Il est orné d'un petit anneau pour y accrocher une laisse, comme une chienne.
-Mes putes portent des bijoux, mais pas là où tu les porte. Tu es une de mes salopes maintenant, et les privilèges c'est terminé.Ajoute la cruelle mafieuse en commençant à lui retirer un à un tout les superbes objets qu'elle à tans oeuvrée à avoir. Petit à petit le sac se rempli. Rachele ne lui laisse que les bijou permettant de contrôler ses enchantements, si bien qu'elle finit par se retrouver nue. Elle lui enlève même sa ceinture de chasteté qu'elle garde dans une poche contrairement aux autres bijoux. Satisfaite d'etre la première avec Divine elle-même à l'admirer directement, Rachele passe un doigt sur sa vulve encore chaste et pure.
-Bien... maintenant la touche finale pour le voyage.Sur ces mots, la mafieuse lui passe des bracelets en cuir aux poignets, aux chevilles, à mi cuisse et à mis bras pour pouvoir la sangler à loisir dans toutes les positions. Mais pour l'heure, elle se contente de lui attacher les bras dans le dos.
Elle lui passe ensuite un petit harnais fait de bandes de latex qui lui enserrent la poitrine et lui surélève les seins. Ainsi vêtue, Divine remarque immédiatement qu'elle perd la prestance due à son rang et ressemble de plus en plus à une esclave utilisé pour le bondage. Remarquant son désarroi, Rachele sourit et ajoute.
-La vue de ta nouvelle tenue te dérange ? Ne t'inquiète pas, je vais arranger ça...Mais au lieux de se montrer gentille et de la rhabiller avec quelque chose de plus respectueux, Divine voit soudain une masse noire tomber sur ses yeux et l'aveugler, elle comprend que Rachele vient de lui mettre un masque sur le visage qui recouvre sa tête, ses yeux mais reste ouvert sur son nez sa bouche et son menton.
-Voiiilaaaa... c'est parfait maintenant. Une pute n'utilise que les sens qui servent à satisfaire ses clients. Tu vas me tenir compagnie pour le voyage de retour, tu n'as pas besoin de tes yeux pour me distraire, juste de tes oreilles pour m'entendre et de ta bouche.Divine entend un petit « clic » quand Rachele attache une laisse à son collier et commence à la tirer vers la limousine. Quand elle hésite ou traîne un peu, la pauvre esclave reçois un coup de badine sur les cuisses ou les fesses comme si elle n'était qu'une esclave de la plus basse extraction, ou un animal de trait.
Attention contenu explicite :
(Pas de bâillon boule ou de piercing sur Divine)
Après ces longues secondes de marche forcée, Divine entend le bruit des portes qui s'ouvre, la voix d'un chauffeur qui salut sa patronne. Elle sent les doigts de Rachele se poser sur ses épaules pour la faire entrer dans la limousine sans se cogner la tête. Elle sent la texture fraîche des sièges en cuir sur ses fesses. La porte se referme, elle sent vibrer la voiture, Divine quitte pour toujours le foyer ou elle est née et a été élevée pendant tout ce temps, emmenée par une femme qui la traite de pute, alors qu'elle a toujours été formée à devenir une courtisane.
- Alors Esclave. Il parait que tu as des exigence que je suis obligée de satisfaire. Cela m'intrigue, parle moi donc de toi sans détour, quelles sont tes attentes, tes désirs, tes exigence, je doit absolument les connaître pour les... satisfaire au mieux...