Aurore se mettait à tourner en rond dans sa maison, elle avait vidé toute les commodes, trouvant des objets insolites, comme des godes et autres outils pour se satisfaire, offusquée par ses objets qu'elle ne pouvait accepter chez elle, Aurore mit tout dans un sac poubelle et attendit que le camion des éboueurs emporte tout les accessoires cochons à la déchetterie où ils seront soit détruit, soit récupérés par une personne plus intéressée.
Cela ne laissa pas le corps de la femme insensible, tout ses mouvements, ayant dû crapahuter un peu partout dans sa propre maison pour récupérer le moindre objet, même si au final elle se disait que c'était peut être du gâchis d'avoir jeté ce qui semblait l'appartenir, Aurore elle-même ne savait pas pourquoi elle avait agit ainsi, mais ce qui était fait était fait, ne pouvant pas revenir en arrière pour changer cela.
C'est alors que l'humaine sentit un courant d'air chaud, elle avait totalement oublié qu'il faisait pas moins de 25°C à l'ombre, un temps où rester chez soit n'était pas une si bonne idée après tout, vint une envie d'aller à la plage.
Aurore fouilla sa penderie, ne trouvant aucune tenue de plage, était-elle si peut adepte d'aller à la plage avant sa perte de mémoire ? Non c'est juste que le colis qui contient les tenues en questions ne sont pas encore arrivé de son ancienne demeure.
La femme n'eut donc d'autre choix que de faire les boutiques pour se trouver une tenue de plage. Elle dû demander à des passants, ne sachant pas encore bien la cartographie de Seikusu, puis finit par trouver un magasin spécialisé dans les articles de plage, seulement elle eut très vite les joues virant au rouge devant les styles de certaines tenues qui sont pour le moins osé.
Pour compliquer encore son choix, sa taille de bonnet ne possédait pas de beaucoup de diversité et était plus conçu pour mettre sa poitrine en valeur, chose qu'Aurore ne voulait pas. Elle en essaya une dizaine, ne cessant de rougir en se voyant dans le miroir, puis elle fit son choix, payant en liquide et partit vers la plage.
Une fois ses pieds foulant le sable brulant, elle se mit à se cacher dans une cabine pour enfiler son bikini, le fait d'entendre les gens passer très près la gênait grandement dans sa tâche, se demandant à chaque fois s'ils n'allaient pas s'amuser à regarder dans le léger jours en haut de la porte.
Une fois habillée de son bikini, elle se mit à sortir, non sans que la gêne soit largement perceptible dans son attitude, se tenant les bras, ce qui avait comme effet de soulever un peu sa poitrine et de la mettre encore plus en valeur.
Les autres plaisanciers pouvait voir qu'Aurore portait
un bikini à ficelle bleu marine, avec des trait bleu clair longeant légèrement les forme de la femme.
Sentir les regards des autres fut assez éprouvant pour l'humaine qui ne savait plus où se mettre, préférant marcher rapidement vers la mer, pour s'y plonger et s'éloigner un peu de la rive, ce n'était sans compter la fraicheur de l'eau qui fit frémir Aurore, crispant son visage et continuant son entrée dans l'élément aqueux en gémissant un peu.
Elle avança vers le large, jusqu'à ce que la partie la plus basse de sa poitrine frôle l'eau, ne sachant pas encore si elle devait aller plus loin où si cet endroit était suffisamment éloigné pour être tranquille un petit moment.
Mais elle n'était pas à la seule à chercher le large et pour une toute autre raison que la tranquillité, car ce que la femme ne savait pas c'est qu'elle était sur un terrain de chasse pour toutes personnes cherchant une femme facile à manipuler pour l’empêtrer dans une toile tissée avec soin.