Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Vaas Montenegro

Pages: [1] 2 3 ... 8
1
Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: lundi 26 novembre 2018, 00:46:47 »
Vaas était davantage habitué que Cara à l’usage du rakyat, et l’orgasme agissait comme une sorte de dégel. L’adrénaline était parti, et le rakyat circulait moins dans ses veines, ce qui permettait au mercenaire de retrouver un semblant de lucidité, de calme, et de maîtrise de lui-même. Vaas était, pour ainsi dire, sevré. Apaisé, il restait proche de la femme, lui souriant presque amoureusement, quand celle-ci lui demanda alors de récupérer sa baguette. Le mercenaire hocha alors la tête, tandis que la jeune et belle femme se pressait contre lui.

« Tu es une sorcière, hein ? »

Une bruja... C’était une question purement rhétorique. Vaas savait que la magie existait, il avait eu l’occasion de le réaliser à Seikusu, avec ces gens dotés de super-pouvoirs, les cristaux magiques, et tout ce genre de délires. Et cette femme, pour vivre seule dans un si grand manoir, était nécessairement une sorcière. Et, même s’ils venaient de baiser intensivement tous les deux, Vaas ignorait s’il pouvait vraiment lui faire confiance. Après tout, il avait envahi sa maison, et avait dû la droguer pour la rendre plus conciliante. Mais cette femme tenait à sa baguette, ce qui offrait à l’homme un moyen de pression. Il récupéra sont éléphone portable, et appela Sakura.

Pendant que le téléphone sonnait, il observa la sorcière, un sourire moqueur sur les lèvres.

« Inspire-moi la bonne étoile, ma chérie, suce ma queue... »

Difficile pour la sorcière de faire le contraire si elle voulait récupérer sa baguette ! Le sexe de Vaas avait perdu de sa superbe sous son orgasme, et sa queue était trempée, recouverte d’un mélange de mouille et de sperme. Pour autant, la jeune femme n’eu tpas d’autre choix que de s’exécuter. Vaas soupira doucement en sentant les doigts de la sorcière. Cette fois, elle ne brillait plus de mille feux comme un soleil.

« Sakura ?
 -  Oui, Maître ? »

Vaas appuya sur le bouton du haut-parleur, et posa son téléphone à côté de lui, caressant d’une main les cheveux de la femme.

« Tu as toujours la baguette de cette femme ?
 -  Oui !
 -  Parfait...
 -  Que voulez-vous que j’en fasse ? »

Le mercenaire hésita pendant quelques secondes. Il savait que la sorcière avait besoin de cet instrument, et qu’elle n’était pas totalement fiable... Et il prit donc sa décision.

« Confie-là à Puma, et dis-lui de venir avec les gars. »

Vaas raccrocha ensuite, puis reporta son attention sur la bruja. Elle suçait divinement bien, et la queue de Vaas commençait à retrouver de sa superbe. Il empoigna ses cheveux d’une main, la laissant encore agir. Au moins, sa baguette n’était pas brisée, mais le mercenaire n’avait pas encore dit ce qu’il comptait faire. Quelques minutes après, des bruits de pas se firent entendre, et Brad entra, en compagnie de plusieurs hommes. Ils portaient des masques d’animaux, et Puma, portant logiquement un masque de puma, tenait dans sa main la baguette. L’un d’eux était un homme obèse arborant un masque de cochon.

« Les gars ! Je vous présente notre hôte ! Admirez cette Ange de beauté ! »

Vaas retira son sexe de sa bouche, et les hommes se rapprochèrent, formant un arc de cercle autour du lit, et autour de la sorcière, qui était agenouillée sur le sol, Vaas assis sur le rebord du lit.

« Saluez notre hôte comme il se doit ! » s’exclama Vaas, railleur.

Ils déboutonnèrent alors leurs pantalons, et chacun des hommes libéra sa verge, des chibres tendus, formant une rangée de queues devant la femme.

« Je vais voir à quel point tu tiens à cette baguette, mon Ange... Cette Sakura que tu méprises tant, elle se tape tous ces hommes. Tu penses pouvoir faire au moins aussi bien qu’elle ? »

Il la laissa ensuite agir, désignant les hommes masqués de la main.

« Tu es douée pour sucer... Montre-leur ! »

Six hommes masqués se tenaient devant elle, soit sept hommes en tout. Autant dire que Cara allait passer une sacrée nuit en compagnie de tous ces mâles en rut !

2
Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: mardi 20 novembre 2018, 08:19:55 »
L’Ange et le Prince... Les deux ressemblaient à une sorte de conte de fées lumineux et psychédélique. Vaas flottait en-dehors de son propre corps, chaque coup de reins, chaque coup planté dans la chatte de son Ange, agissant comme un coup de fouet qui le ramenait sur Terre. Il était dans son propre univers, un monde jouissif et exquis où rien d’autre ne comptait que le sexe. Vaas adorait cela, tout simplement, et il ne se lassait tout simplement pas du corps onctueux de la femme. Le rakyat ne faisait qu’amplifier sa beauté surnaturelle, le sexe le plongeant dans un moment guilleret. Là, allongé contre elle, il la pénétrait, ne faisant plus qu’un avec elle. Et son Ange la surprit encore, déplaçant sa main, profitant du très faible espace entre leurs corps respectifs pour caresser ses testicules. Il frémit à ce contact, qui amena une vibration supplémentaire dans son corps, qui se traduisit autour de son sexe, et donna un coup de reins supplémentaire, arrachant à la femme un nouveau soupir, et un coup de griffe de son dos. Vaas l’embrassa alors, à nouveau, plaquant son corps en sueur contre le sien. La drogue circulant dans ses veines le rendait particulièrement endurant, permettant à cette séance de durer, et ce pour leur plus grand plaisir mutuel.

Il n’aurait jamais cru rencontrer une telle femme en venant ici, un tel Ange. Elle rayonnait encore de pureté tandis qu’il l’embrassait, étoile vivante et bouillonnante, cocon de chaleur et de douceur sous son corps. Vaas lui sourit encore, et alla embrasser son cou, mordillant le creux de sa peau, léchant sa chair, s’imbibant de son odeur, de ses cheveux, de la douceur de sa peau, de la tendresse de son corps.

« Oh, ma belle, hmmm... Oui, oui, mon Ange, mi amor ! »

Vaas n’allait nullement se formaliser qu’elle joue ainsi avec ses testicules, mais cette surcharge de plaisir complémentaire commençait doucement à l’approcher du point de chute. Il sentait le point de rupture, tandis que tout devenait blanc autour de lui, plus lumineux. L’excitation sexuelle entraînait un accroissement de l’adrénaline, et le rakyat réagissait en conséquence. C’était comme le point d’orgue de son trip. Il flottait dans le cœur en fusion d’une étoile en train d’entrer en supernovae, ne contrôlant plus rien, et ne cherchant plus à rien contrôler. Le contrebandier se laissait porter par elle, baignant dans la mouille de la femme... Et se pinça les lèvres, puis banda les muscles, en sentant le soleil exploser.

Son membre se tendit au maximum, et se relâcha ensuite. Une secousse spongieuse, s’accompagnant de son sperme, son foutre chaud qui jaillit dans le corps de la femme. Il jouit en elle, jouissance de plaisir suprême, un orgasme qui le traversa de part en part. Son corps se plaqua contre le sien, l’écrasant sur place, tandis que sa semence chaude se répandait en elle, venant la marquer, venant la saillir, venant faire d’elle sien et de lui sienne. L’orgasme le traversa donc, et il jouit pendant une bonne dizaine de secondes, crachant des filaments de sperme en elle.

« Là... Voilà, ouii... »

Vaas soupira doucement, commençant à retrouver une vision plus normale, et embrassa la femme à nouveau. Il venait de la marquer, de la posséder, et laissait l’adrénaline redescendre dans ses veines. Sage et apaisé, il était en ce moment heureux, ce qui se voyait dans la manière dont son corps était détendu, et observa la magnifique femme devant elle, la voyant sans tous les artifices lumineux... Et elle restait ce qu’elle était à ses yeux : une sorte d’ange rayonnant, une femme très belle.

L’homme la regarda encore, et sa main caressa doucement le visage de la belle femme, tandis qu’il repensait aux récents évènements, mais choisit de dire la seule chose qui lui venait à l’esprit :

« Tu es... Bonne. Je n’aurai jamais cru que ce manoir a priori vide habiterait une beauté comme toi. »

Croire qu’il en avait fini avec elle, sexuellement parlant, serait une erreur.

Mais il arrivait même à Vaas d’avoir parfois quelques brefs moments de lucidité.

3
Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: mardi 13 novembre 2018, 22:18:44 »
C’était une conséquence naturelle, physiologique, du rakyat. Cette drogue si particulière boostait considérablement le corps humain, et l’adrénaline battait furieusement dans les veines de Vaas. Outre le côté psychédélique de la chose, il était aussi bien plus énergique, bien plus vigoureux. En temps normal, cela le rendait plus dangereux au corps-à-corps, plus résistant à la douleur... Mais, en matière sexuelle, cette situation le rendait bien plus intense, et bien plus... Violent. Son Ange dut le sentir rapidement, car Vaas se mit à la prendre vigoureusement. Sa trique était bien dure, et, tandis qu’il sentait sur son sexe le délicieux nectar lumineux de la femme, il continuait à la besogner, s’enfonçant en elle, la prenant jusqu’à la garde. Vaas retirait ensuite sa queue aussi loin que possible, et clignait des yeux devant cette rivière d’étoiles.

La cyprine de la femme luisait, comme des vers lumineux, des fils argentés qui s’entortillaient autour de son chibre. Un spectacle magnifique, qu’il observa pendant plusieurs secondes, et qui l’aurait presque ému. Quelle magnificence, quelle... Quelle beauté !

« Tu es magnifique, poupée... Magnifique... »

Elle luisait comme un soleil, son étoile, un phare de brillance. Il retourna la pénétrer, plus fortement encore, donnant de solides coups de reins. Vaas s’en serrait les dents, pinçant ses lèvres, et soupira encore. Il avait un bon rythme, soutenu, prodiguant à sa délicieuse partenaire une levrette magnifique et endiablée. Vaas lui démontrait toute son énergie, ressentant également pour Cara un attrait supplémentaire, une excitation forte et sauvage. Cara était magnifique, une créature de pure beauté, un Ange de lumière.

Les minutes défilaient tandis que Vaas, sans relâche, continuait à la prendre. Ensemble, ils ne faisaient plus qu’un, un même corps dansant à l’unisson, un même battement de cœur. Vaas continuait à la caresser, et sa main remonta jusqu’à se saisir de ses cheveux. Des cheveux qui brillaient, ses cheveux noirs s’entrecoupant de mèches dorées et radieuses. Il tira alors dessus, relevant le corps de la femme. Bien sûr, il ne forçait pas trop, car il ne tenait pas à arracher ses cheveux, mais il comptait bien la faire planer. Et, le pire, c’est que la douleur ne ferait qu’exciter davantage la sorcière, comme une conséquence du rakyat qui palpitait dans ses veines.

« Hmmm... Mon Ange, hnnnn... »

Il relâcha ses cheveux, et gifla ses fesses, poursuivant ensuite son étreinte. Son membre s’enfonçait longuement en elle, et il poussa en avant, renversant la femme, et s’allongea sur elle. Elle se coucha sur le dos, et il l’embrassa à pleine bouche, enfonçant de nouveau son dard en elle, s’unissant avec elle dans un cocktail explosif et kaléidoscopique de couleurs dorées.

Au Paradis, voilà où il se trouvait !

4
One Shot / Re : Transport en commun [PV]
« le: lundi 08 octobre 2018, 20:05:10 »
Honnêtement, Vaas avait tué des gens à Rook Island pour moins que ça. Venir le faire chier, c’était souvent très risqué, car le mercenaire n’était pas connu pour sa grande patience, surtout quand il avait pris du rakyat. Il vit bien que cette salope mal baisée se retenait. Le rouge lui montait délicieusement aux joues, et elle le fusilla du regard. Resté debout, l’homme soutint son regard, goguenard, un sourire moqueur sur les lèvres. Plutôt que de se battre, la contrôleuse se retourna alors, s’éloignant de lui... Et acheva de le convaincre. Honnêtement, Vaas aurait pu faire l’impasse sur tout ceci. Même si la contrôleuse appelait la police, le temps que celle-ci arrive, lui et ses potes seraient bien loin. Et il n’avait pas pris assez de rakyat pour partir au quart de tour. Vaas se contentait juste de répondre avec son mordant naturel, et il aurait donc pu en rester là... Mais il observa sa chute de reins, et son délicieux cul. Vaas frémit alors, et se pinça doucement les lèvres.

Chez lui, il avait une pute personnelle, une ganguro qu’il avait ramassé dans un taudis appartenant à la Mafia russe, Sakura. Elle était devenue sa salope personnelle, mais, plus il la baisait, et plus il avait envie de la baiser. Et, ce soir, avec sa mission, il avait oublié de se la farcir. Autant dire que, là, dans le bus, à voir le joli cul de la femme, son délicieux cul terriblement serré dans sa jupe serrée, Vaas sentit la soif remonter en lui.

Le temps sembla se suspendre autour de lui. Sous l’effet de l’adrénaline, le rakyat remonta dans ses veines. Il observa ce joli cul, et vit la femme attraper son téléphone portable. Elle commença à composer le numéro de la police, et, alors que la première sonnerie résonna contre son oreille...

...Une main se posa brusquement sur le cul de la femme.

Vaas venait de se glisser dans son dos, et posa sa main sur la bouche de la femme, étouffant son cri de surprise contre sa paume, la surprenant visiblement. Il se plaqua contre elle, ses muscles l’immobilisant, et ses doigts se serrèrent sur sa jupe, sentant sa culotte, s’enfonçant dans sa chair moelleuse. Elle trembla sur place, et Vaas se pressa contre elle, son sexe en érection commençant à appuyer sur les fesses de la femme.

« Je crois que tu as besoin qu’un mec te défonce le cul proprement, ma salope mal baisée... » grogna-t-il.

Et il réagit rapidement. Sa main s’écarta de la bouche de la femme, et il poussa la femme contre la vitre. Cette dernière en lâcha son téléphone portable, que Vaas écrabouilla d’un coup de talon, mettant fin à l’appel. Le visage de la femme se retrouva contre la vitre. Pendant ce temps, le seul passager resté en place s’était relevé, surpris, et les deux comparses de Vaas s’approchèrent de lui.

« Dégage de là, amigo.
 -  Mais...
 -  Fous le camp, connard ! »

Restait encore le chauffeur à s’occuper. Les hommes de Vaas étaient fort heureusement plutôt réactifs, et s’approchèrent de lui, pendant que Vaas, lui, serrait son corps contre celui de la femme, retournant pincer son cul avec sa main.

« Petite salope... Tu m’as chauffé exprès, hein ? Tu voulais que je te baise en fin de soirée, ma chérie, hein ? Je te comprends... Les petites bites des citoyens japonais, c’est pas pour ton calibre de super-salope, ça... Avec ta tenue serrée comme une corde de violon, t’es un appel ambulant à te transformer en sac à foutre, ma salope... »

Il lui lécha alors la joue, une lueur malicieuse et perverse dans les yeux...

5
One Shot / Re : Transport en commun [PV]
« le: dimanche 07 octobre 2018, 18:25:05 »
Il était assez fréquent qu’on reprenne Vaas sur la cigarette. L’usage du tabac était totalement proscrit dans un grand nombre de lieux publics, avec des variations en fonction des arrêtés municipaux. À Seikusu, un arrêté assez strict était en cours, et fumer dans un transport en commun était passible d’une contravention. Mais autant dire que Vaas n’en avait tout simplement rien à foutre. Assis sur le fauteuil, il fumait, tandis que le bus s’approchait du terminus. Tandis que le mercenaire regardait le paysage défiler par la fenêtre, la contrôleuse se rapprocha d’eux. Il tirait encore sur sa cigarette quand elle se posta devant lui, l’arrachant à ses pensées confuses sur Rook Island, et sur le lieu où il se trouvait maintenant. Il se tourna brusquement vers elle, et fronça les sourcils, devant laisser passer quelques secondes pour comprendre qu’elle s’adressait à lui, et ce qu’elle avait dit.

Quand les informations remontèrent au cerveau de Vaas, il l’observa encore, et sortit sa cigarette de sa bouche. Le bus s’arrêta alors, rejoignant l’antépénultième station avant le terminus. D’ores et déjà, plusieurs personnes partirent, ne laissant plus qu’un jeune homme, un casque sur la tête. Le bus redémarra alors, et Vaas jeta la cigartete au sol, devant les jambes de la femme, notant au passage ses collants moulants, et, de manière générale, son uniforme serré. Malheureusement pour elle, le rakyat commençait déjà à réagir dans le corps de Vaas. Le rakyat inhalé se mélangeait aux résidus de la drogue se trouvant dans son organisme,e t il se redressa alors, se tenant devant la femme... Et lui souffla au visage. Pas assez pour la droguer, juste pour la provoquer.

« Voilà, M’dame... À votre service. »

Du talon, il écrasa la cigarette, tandis que ses comparses ricanèrent doucement. Vaas se rassit ensuite, ayant visiblement oublié que la femme lui demandait aussi son titre de transport. Quand celle-ci réitéra, visiblement outrée par son comportement, Vaas fronça encore les sourcils.

« Mon... Mon quoi ? C’est pas supposé être gratuit, ce truc ?
 -  Non, Boss, il faut payer.
 -  Pourquoi je paie des impôts, alors ?
 -  Vous ne payez pas d’impôts, Boss. »

Le mercenaire acquiesça doucement, et, comme s’il n’avait cure de la présence de la jeune contrôleuse, sortit une autre cigarette. Comme il voyait bien qu’elle commençait à s’agacer, il parla lentement, la narguant, tout en allumant sa cigarette avec son briquet :

« Sois pas si tendue, poupée, tout le monde s’en fout de ton petit numéro. »

Il l’observa encore, et tira encore sur sa cigarette, commençant alors à examiner ses formes. La contrôleuse s’énerva encore, notant de nouvelles contraventions, et allant jusqu’à lui demander sa carte d’identité, menaçant d’appeler la police. Agacé, Vaas grogna encore, et parla sur un ton plus sec :

« T’as pas un mec pour te sauter ce soir, plutôt que de me casser les couilles, salope ? Un beau petit lot comme toi... Mais peut-être que c’est pour ça que tu viens m’emmerder ce soir. Y a peut-être personne pour te sauter ton cul de sale pute mal baisée dans ton trou ce soir, alors tu viens emmerder les honnêtes gens avec tes conneries de formulaires et de tickets de paiement à la con ! »

Ça y est, le rakyat commençait à faire effet, d’autant que le regard de Vaas se faisait aussi plus libidineux, détaillant davantage les formes très alléchantes de la femme...

6
One Shot / Transport en commun [PV]
« le: samedi 06 octobre 2018, 09:44:34 »
Tirant sur une cigarette, Vaas et ses comparses attendaient à une station de bus en fin de journée. Il faisait nuit, d’ailleurs, et le bus en circulation faisait vraisemblablement sa dernière tournée. Les hommes revenaient d’une séance de « rappel à l’ordre » dans une boutique appartenant aux Petrovski. Si Vaas était connu pour commercialiser du rakyat, une drogue très particulière originaire de son île natale, les Guramu, le clan yakuza local, utilisait aussi Vaas et ses hommes pour accomplir divers menus boulots. Attaque de prostituées, de planques appartenant à des bandes rivales, ou, comme ce soir, une agression dans un magasin où l’exploitant avait cru bon de ne plus s’acquitter de la taxe de protection. Plutôt que d’envoyer des Yakuzas, les Guramu envoyaient parfois Vaas, qui avait un talent fou pour rappeler aux gens l’intérêt de payer pour leur protection. Lui et ses hommes avaient vandalisé l’intérieur du magasin, et molesté l’exploitant, tout en récupérant l’intégralité de ses recettes du jour. Il leur fallait maintenant rejoindre leur contact auprès des Guramu pour remettre l’argent. Envoyer un SMS était exclu, car les Guramu ne pouvaient pas exclure être sur écoute.

« On aurait dû prendre le van, Boss.
 -  Tu ne veux pas profiter de la ville, Eduardo ? »

L’homme de main (dont le véritable nom n’était pas Eduardo) haussa les épaules. Ce soir, Vaas n’avait pas encore pris de dose excessive de rakyat, ce qui le rendait moins instable. Évidemment, tout était toujours à prendre avec des pincettes en ce qui concerne Vaas.

« Notre van commence à être connu, il fallait compter sur l’élément de surprise pour éviter que ce connard n’appelle la police, rétorqua le second comparse de Vaas.
 -  Écoute Alfonso, Eduardo, il est la sagesse incarnée.
 -  Oh, ce que j’en dis, moi... »

Les badauds qui s’approchaient pour prendre le bus avaient tendance à vite repartir en voyant l’allure de Vaas et des siens, leurs regards patibulaires... Et les quelques traces de sang ornant les mains de Vaas. Quand Vaas était arrivé à Seikusu, il avait recruté divers gros bras, des bandits sans affiliation, et qui avaient été ravis de travailler pour lui... Ou forcés de le faire. Mais Vaas payait plutôt bien. Il fallait juste apprendre à ne pas l’énerver. Pour l’heure, les Guramu toléraient le comportement de Vaas, en raison de toutes les recettes qu’il rapportait.

Le bus s’approcha finalement, et Vaas se leva. Il jeta sa cigarette sur le sol, et en sortit une autre, comprenant cette fois une substance de son creux. Le rakyat pouvait s’injecter en seringue, ou se fumer. Les cigarettes au rakyat étaient vendus par différents buralistes de Seikusu, car elles étaient très similaires à des cigarettes normales. Le bus s’arrêta finalement, et les hommes grimpèrent à l’intérieur. Il n’y avait pas grand-monde dans le bus, qui était relativement désert, et ils s’assirent dans un coin.

Le bus roula ensuite, et, au prochain arrêt, accueillit une nouvelle passagère, très particulière : une très belle contrôleuse...

7
Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: lundi 13 août 2018, 00:54:25 »
Ensemble, ils ne faisaient plus qu’un. Deux cœurs battant pour former le même atome. Vaas était depuis le début conquis par cette femme, par son Ange, par cette Reine qui vivait seule dans son grand manoir, à attendre désespérément la venue de son amant pour la saillir, pour ne faire plus qu’un avec elle. C’était une symphonie magnifique, et Vaas s’y enfonçait. Cara dansait sur son chibre, le prenant entre ses lèvres, l’enfermant dans un cocon de chaleur et de salive. Lui, brave mercenaire, ne voyait qu’une onde de couleur et de saveurs, le visage blanchâtre de Cara semblant s’illuminer à chaque mouvement buccal. Il déglutit lentement, crispant ses mains sur ses cheveux, et un profond soupir le traversa une nouvelle fois. Vaas la laissa venir, il la laissa jouer avec lui, accompagnant ses mouvements, de profonds soupirs remontant le long de sa poitrine. Cette femme était tout simplement merveilleuse, et il ne voyait pas comment le dire, il ne voyait pas quels mots rendraient justice à sa beauté. Son Ange, sa perfection. Elle se concentrait, et retira sa bouche. Une salive lumineuse en jaillit, semblable à une cascade de perles brillantes, et il la vit se redresser, écrasant ses seins contre son sexe, enfermant sa lance de missionnaire dans des dunes de chaleur, de douceur et de tendresse.

« Ah, mon Ange, haa... »

Vaas avait parfois les yeux écarquillés sous les vagues de désir, son visage ressemblant alors, très brièvement, à celui d’un dément. Puis ses mains revenaient se serrer sur les cheveux de la femme. Il lui faisait confiance et la laissait faire, la laissait s’approprier son sexe, sa masculinité, sans jamais craindre quoi que ce soit. Qu’aurait-il à craindre d’elle, après tout, si ce n’est une overdose de bonheur ? Elle malmenait son sexe, et les minutes s’écoulaient, le rakyat le rendant assez résistant, très endurant.

Puis Vaas en eut assez, et se pencha vers elle. Il avait encore en tête la vision de son insolente croupe, de son fessier, un spectacle alléchant, irrésistible, qui hantait son esprit, et lui revenait régulièrement en tête. Ces deux boules remuant tendrement, accolées l’une à l’autre, moulées dans un écrin de blancheur.

« Mets-toi à quatre pattes, mon Ange, montre-moi ton derrière, il est temps que ton fondement devienne le Mont Pompée en éruption. »

Il la laissa se mettre en position, ondulant des hanches, succube magnifique. Vaas en aurait volontiers versé sa larme, troublé devant tant de beauté, tant de grâce, tant de... Tant de perfection ! Il se pencha vers elle, et ses mains se posèrent sur chacune des fesses de la femme. Là, ses doigts pincèrent la chair, la compressant entre ses ongles, en sentant la douceur, mais aussi la fermeté, la tendresse... Une texture qu’il éprouva en la giflant, avant de glisser ses pouces sur la croupe, écartant les plis de chair pour révéler la zone défendue, un léger trou, une petite porte discrète, timide.

Un sourire sur les lèvres, Vaas se rapprocha lentement.

« Coucou, toi... Viens voir Papa. »

C’était comme si ce fondement lui parlait, comme si des filaments magiques en sortaient pour l’appeler, pour l’attirer. Sa langue sortit de ses lèvres, et il attaqua cette partie, la léchant tendrement, enfonçant le bout de sa langue, forçant le passage. Le corps de garde s’écarta lentement, la porte se soulevant de quelques millimètres, juste assez pour qu’il puisse continuer son office. Il la prépara donc, puis se redressa alors. Son bassin tapa contre le sien, sa lance heurta sa chair, glissant sur cette peau lumineuse. Là, devant lui, il la voyait, dos déployé, des ailes lumineuses, blanches et dorées, sortant de ses omoplates, avec des pointes de rose.

Son Ange prêt à l’envol, attendant le signal pour que le feu jaillisse de ses entrailles.

« VOLE AVEC MOI, BÉÉBÉÉ !!!!! »

Et sa queue se planta d’un coup en elle. Une onde de douleur fulgurante le traversa, et Vaas éclata de rire tandis que la douleur explosait en eux.

« HAHAHAHAHAHAHAHAAA !! DROIT AU PARADIS !!!! »

Et, tout aussi instinctivement, l’une de ses mains vint violemment gifler la croupe de sa partenaire, de son Ange qui décollait avec lui vers les cieux infinis !

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: dimanche 12 août 2018, 11:52:46 »
Il existait différentes manières d’administrer du rakyat, certaines plus intenses, plus pures, que d’autres. La seringue restait le meilleur moyen de s’envoler durablement au Paradis, mais Vaas n’en avait pas en stock, et, avec son érection, il ne se sentait pas en état de piquer sa douce Ange. La gélule restait la meilleure solution, mais n’offrait qu’une dose de rakyat concentrée, qui partait rapidement. Toutefois, l’adrénaline avait pour effet de prolonger les effets. Et le sexe était toujours un bon moyen de déclencher ce neurotransmetteur. Le rakyat permettait d’ailleurs de libérer l’adrénaline, qui battait en ce moment dans les veines de la femme. Elle frémit sur place, avant de se déplacer, tombant au sol. Vaas la suivit, restant toutefois debout, face à elle.

Le contrebandier prenait très souvent du rakyat, et profita d’ailleurs du fait d’offrir une gélule à Cara pour en prendre lui-même deux. Il prenait cette drogue depuis bien plus longtemps qu’elle, et son corps avait eu le temps de s’y adapter, de sorte qu’il devait régulièrement augmenter le dosage. Il ferma brièvement les yeux en avalant le rakyat, sentant rapidement sa gorge en feu. Pendant quelques instants, sa vision devint floue, tous ses sens se dilatant, ses mains parcourues par des tremblements nerveux. Vaas secoua doucement la tête, se calmant petit à petit, son rythme cardiaque s’emballant démesurément pour revenir à un rythme normal, tandis que, sous les yeux de Cara, ses délicieuses attentions sur le sexe de Vaas se concrétisèrent. La queue de l’homme, tout de même légèrement rabougrie après sa jouissance, se durcit brusquement, et fortement, sa queue enflant même sur place, se redressant devant l’Ange. Elle était là, devant lui, délicieuses créature qui dardait sa lance pieuse d’exquises offrandes. Ses coups de langue étaient divins, ses baisers remontaient sur la surface de son sexe, et faisait trembler tout son corps. Comme électrisé, Vaas l’observa silencieusement, la voyant se dandiner sur place. Elle avait beau faire tout son possible en serrant les cuisses, son sperme coulait tout de même lentement, ornant les cuisses de la femme, qui lui demanda ce dont il avait envie avec elle.

Son bel Ange de lumière qui flamboyait devant lui, telle une flamme incandescente, un feu d’artifice de couleurs et de sensations qui se concentrait à hauteur de ses lèvres.

« Tout ce que je veux, mi Princeza… Mais c’est tout que je veux avec toi. Tout. Je prends le ticket pour la version longue avec toi, bébé. La version longue, avec le supplément et tous les bonus post-générique qui vont avec. »

Elle était un sacré rodéo. Une montagne russe XXL où Vaas grimpait sur le ménage, faisant un tour dans le bolide jusqu’à atteindre la stratosphère, pour filer ensuite dans des virages et des rapides qui semblaient percer le mur du son. Que faire avec elle ? Ce n’était pas ça, la question ! Non, la vraie question, c’était de savoir par où commencer. Vaas était un affamé face à un buffet royal, un buffet de chair, de formes, de courbes, de sexe et de stupre. Par où poursuivre ? Il avait déjà planté sa marque en elle, il avait déjà fait d’elle son Ange, son cadeau, son bouquet. Maintenant, il fallait la consommer pleinement.

« Tu as l’air bien parti comme ça, mon Ange… Et, puisque tu veux garder ma semence, prends ma queue en bouche, et suce-moi bien, comme tu sais le faire. Tu n’auras qu’à conserver ma semence entre tes belles lèvres d’Ange pendant que je te ramonerai la dunette arrière. »

Son insolente croupe allait y passer. Ça, c’était autant une certitude que le soleil qui se lève à chaque matin !

9
Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: mercredi 08 août 2018, 03:01:44 »
Entre eux, c’était désormais une alliance sacrée, une saine et profonde union. Vaas avait trouvé son égale, sa moitié, celle qui allait la tirer vers le haut, faire de lui un meilleur homme.... Sa raison de vivre. Son Ange de lumière, qui brillait devant elle. Les vapeurs la recouvraient, donnant à cette scène surréaliste une ambiance psychédélique. Il sentit les mains de la femme griffer sa chair, ramonant son dos comme pour creuser dans sa chair afin d’y faire pousser une multitude de fleurs. La musique rugissait dans sa tête, rugissait en lui. Il était le Roi Lion butinant sa Cheetah, copulant sauvagement avec elle. La sueur glissait le long de son corps, ses yeux s’écarquillaient régulièrement. Tout nu, Vaas était aux anges, et l’embrassa encore, fourrant sa langue dans sa bouche, sentant la femme se serrer contre lui.

« Oh, bébé, bébé, bébé... ! » répéta-t-il entre ses lèvres closes.

Il ferma les yeux, se cambra doucement, et s’unit pour de bon avec elle. Vaas accéléra le rythme, plus fortement encore, et, quand la musique atteignit le point d’orgue, tous ses sens s’enflammèrent. Le lit brûla, les murs explosèrent, les fenêtres se fracassèrent, une gigantesque explosion qui se concentra ensuite entre ses cuisses, au bout de ses testicules, dans sa lance. Un jet blanchâtre jaillit pendant un temps éternellement suspendu en l’air. L’Ange hurla également, brisant tout sur son passage, comme une vague se transformant en un torrent déchaîné balayant toute la flotte partie à l’assaut de son port.

Vaas s’abandonna donc en elle, et se relâcha progressivement. Ses muscles se détendirent, et il ferma les yeux en s’abandonnant, soupirant gravement, jouissant en elle. Toutefois, si Cara avait cru que cet orgasme mettrait fin aux pulsions de l’homme, elle n’avait qu’à sentir sa tension quand il cessa de remuer. Il avait assez longuement joui, mais sa verge restait encore bien rigide. Ses yeux se rouvrirent alors lentement, et il lui sourit. Sa main remonta, et caressa doucement la joue de la femme, de son bel Ange de luxure.

« T’es magnifique, poupée... Mais il faut t’aider à planer, tu sais, ou tu ne pourras jamais prendre ton envol. »

Le mercenaire se redressa alors, délaissant le corps de la femme, puis tendit sa main vers ses affaires, et récupéra son pantalon. Il fouilla rapidement dans une poche, et en sortit une boîte spéciale, comprenant des gélules très spéciales. Il regarda encore la femme en souriant, puis lui en tendit une.

« Ça... Ça, ma beauté, c’est le Saint-Graal de tout ce qui est le Graal ! » s’exclama-t-il, sans véritablement prendre conscience que sa phrase ne voulait rien dire.

Ce qu’il lui offrait était l’une des drogues spéciales conçues sur Rook Island, du rakyat. Une drogue rare, qui boosterait les capacités de Cara, surtout en matière sexuelle. De quoi offrir à ces deux amants endiablés un rodéo phénoménal.

Nul doute que Vaas aurait besoin d’aide pour satisfaire son Ange, qui allait sous peu devenir une Archange !

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: mardi 07 août 2018, 15:02:48 »
Il était en train de baiser un arc-en-ciel de lumières phosphorescentes et de couleurs vives. Elle était là, devant lui, visage nimbé de bonheur, un sourire étincelant, la caresse et l’étreinte d’une Ange ! L’homme s’était allongé contre elle, la serrant sur son lit, au Septième Ciel, à la pénétrer. L’Humain rencontrant le Divin. Lui, le mercenaire sale, copulant avec une Ange qu’il était venu chercher dans son château. En ce moment, Cara était sa Princesse, son amour, son horizon. Un cocon de douceur et de beauté qui flamboyait devant lui. Le bandit avait pour lui une épée d’excellente facture, un sabre érigé et acéré qui labourait les chairs internes de la femme, comme une lance prête à cracher son jet d’eau dans la caverne d’Ali Baba. Il sentait des exhalaisons de bonheur flotter autour de lui, comme de délicieux papillons lumineux qui viendraient l’envoler avec lui sur une tornade de plaisir. L’adrénaline qui battait dans ses veines, au fur et à mesure qu’il la pénétrait, faisait remuer le rakyat, cette drogue qui avait comme fusionné avec son corps. Imaginer Vaas clean reviendrait en fait à imaginer un dément perdre sa folie.

Partant avec elle, Vaas l’embrassa alors, et déplaça l’une de ses mains, pinçant le sein de la femme, avant de l’entendre gémir, hurler. Ses dents de cristal brillaient devant ses yeux, sa peau aussi parfaite que du satin. Un diamant de beauté qu’il se mit à lécher, sa langue glissant sur son menton, avant de se glisser dans le creux de son cou. Il mordilla sa chair, pinçant cette dernière, mordillant avec ses dents, sentant la peau se fendiller, le diamant onduler, mais sans se rendre.

« Hmmmm... Ange de pitié, bordel, si bonne... »

Il continuait à la prendre, faisant craquer et grincer le lit, enfonçant le corps de la femme dans le lit. Même le lit lui donnait l’impression de flotter, comme si des fils dorés le soutenaient, le soulevaient, pour les emmener tous les deux. Sa main se glissa dans le dos de la femme, et il serra ses cheveux, retournant l’embrasser fortement, déplaçant son autre main le long de son dos, griffant son dos, et la termina en la posant sur ses fesses. Là, l’homme continua à la bourrer, serrant son cul, sa délicieuse chair blanche, qui semblait être taillée et gravée dans l’étoffe des Dieux.

Tout autour d’eux, l’élégant manoir victorien sombrait. Là où Vaas et Cara s’élevaient dans la chambre de la châtelaine, les hommes de Vaas se répandaient dans les couloirs, diffusant des fumigènes colorés. Des fumées vertes et roses emplissaient l’air, une vapeur hallucinogène tandis qu’ils décoraient les murs de tags rupestres aux couleurs flashys, renversant malencontreusement vases et tableaux, installant de puissantes sonos, diffusant dans l’ensemble de la maison de fortes musiques.

Depuis la porte ouverte de la chambre, la musique remontait, ainsi que les vapeurs hallucinogènes, comme si la fumée les accompagnait. Au gré des coups de reins et des morsures de Vaas, sa partenaire pouvait entendre les accords de Make It Bun Dem fuser au loin, remontant à ses oreilles, tandis que le mercenaire continuait copieusement à baiser son diamant. Sa lance s’était fourrée dans un magnifique écrin, tendre et agréable, qui lui donnait l’impression d’absorber à chaque coup de reins son membre, comme pour le retenir. Sa queue trempait en elle, ne faisant plus qu’un avec cette fantastique beauté.

« Oui, ma beauté, je t’aime, si tu savais, putain... Putain !! »

Un nouveau baiser fougueux accompagna cette déclaration surprise, et sa bouche se déplaça ensuite, venant s’attaquer à l’un de ses seins, mordillant furieusement le téton. Aucun des coups de Vaas ne se voulait romantique, ni calme ou apaisé.

« Plane avec moi, bébé, hmmm... Allons chevaucher les étoiles ensemble, mon Ange ! »

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 17:55:47 »
L’Ange avait compris que son héraut était un chevalier pieux perturbé. Un guerrier hanté par ses démons, qui pouvait autant lui déclarer sa flamme que l’abattre d’une balle dans la tête. Vaas voyait cette femme comme un véritable ange de merci, et le rakyat ne l’aidait pas à avoir les idées claires. Tout était confus dans sa tête, tandis qu’il évoluait dans la chambre de la femme. Il s’imbibait de son odeur, de son aura, et la vit se mettre en position. Son cul brillait comme une rivière de diamants, tandis que sa suave voix s’immisça dans ses oreilles, l’invitant à venir, lui parlant tendrement. Vaas en était si ému qu’il aurait pu en pleurer, mais ce n’était pas avec ses yeux qu’il comptait pleurer.

Ses mains défirent son pantalon, et, si Cara le regardait, elle pourrait constater que le mercenaire était redoutablement bien monté. La Nature y avait peut-être sa part, mais, encore une fois, le rakyat parlait pour Vaas. Cette drogue augmentait considérablement l’adrénaline, et, sous l’effet du désir sexuel, le rakyat avait de délicieux effets secondaires, comme transformer les hommes en dopant sensiblement leurs performances sexuelles... Mais au détriment de leur équilibre psychique, comme on pouvait le constater avec Vaas. Il observait le cul étincelant de la femme, voyait ses ailes s’ouvrir, se concentrant en un point central, ressemblant à un arc-en-ciel de mille couleurs contenu dans un joyau aux bords rosâtres.

« Tu es si belle, murmura-t-il d’une voix basse en se rapprochant lentement. Mi bellisima Dios... »

Vaas rejoignit le lit rapidement, et posa ses mains sur cette surface brillante. Il massa fermement le cul de la femme, et vit les lumières exploser devant lui, comme s’il était un navigateur explorant une rivière dorée. Un feu magnifique se déversait devant lui, et il allait fendre cette mer, l’explorer avec sa rame, qui se redressa pour caresser les cuisses de la femme. Le contrebandier soupira doucement, laissant passer au moins une bonne vingtaine de secondes, en se contentant de frotter sa queue contre la porte de la femme, sans encore s’immiscer en elle. Ses mains malaxaient durement son cul, écartant chaque fesse l’une de l’autre. Les ailes dansaient devant lui, et il remonta lentement sa main, caressant les cheveux de la femme, ressemblant à des plumes chatoyantes qui glissèrent entre ses doigts. Il les empoigna brusquement, et tira dessus, arrachant à la femme un soupir.

« Tes cris sont la plus belle des symphonies... Je te jure d’être à la hauteur de tes attentes, mi amor, de te baiser comme tu le mérites... »

En plein trip’ psychédélique, Vaas s’enfonça ensuite en elle. Sa main se posa sur son propre sexe, et il l’enfonça dans celui de la femme, s’unissant à elle, et poussa un frisson. Il se relia aux ailes, et sentit le courant l’envelopper, une vague d’énergie le traversant. La tête du contrebandier bascula en arrière pendant quelques secondes... Puis sa main droite gifla sèchement le cul de la femme, et il commença à la prendre, sa main gauche, elle, empoignant encore la chevelure de Cara. Il tira à nouveau dessus, et continua à la prendre, la bourrant longuement, grognant joyeusement.

C’était si bon, si bon... Comme si son sexe baignait dans un environnement magique, à l’image de tout son corps. Oui, Vaas venait d’entrer au Paradis, il était entré en défonçant la grande porte, et il comptait bien continuer à y rester, à explorer chaque recoin et chaque parcelle du corps de son Ange adoré !

« Là, oui, hmmm... »

Il allait la savourer. Oh oui, il allait la savourer, cette délicieuse Ange de luxure !

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: lundi 21 mai 2018, 12:38:01 »
Jouir une fois n’était pas très difficile pour Vaas. Le rakyat, qui était sûrement en grande partie responsable des troubles hallucinogènes du mercenaire, avait aussi pour effet positif de renforcer sensiblement sa libido. Cara était face à lui, mais, après avoir joui, Vaas restait suffisamment lucide pour pouvoir comprendre ce qu’elle lui disait. Il retint donc son nom. Cara Teixeira... Qu’il traduisit rapidement comme « Cara-la-Texane ». Mais on pouvait au moins se féliciter qu’il ait retenu le prénom. Il la regarda silencieusement, et sourit ensuite quand elle se retourna, et demanda à ce qu’il lui ôte sa nuisette. Il sourit alors, et eut à nouveau le sentiment névralgique d’être comme un idole devant sa Déesse. Il observa son insolente chute de reins, cette croupe magnifique, ce corps somptueux, qui semblait taillé dans le granit des dieux.

Vaas s’approcha lentement, et posa ses mains sur ses épaules, caressant doucement la peau de la femme. Il ne chercha pas à la déshabiller d’emblée, et se contenta de glisser ses doigts sales sur ce corps parfait, qui brillait devant lui. Une véritable blancheur immaculée, tandis que son sexe, trempé de salive, caressa les fesses de Cara. Ses mains glissèrent le long des côtes de la femme, éprouvant la douceur de la nuisette, creusant les plis qu’il y avait dessus.

« Tu es très belle, chica. Les Américaines comme toi, c’est magnifique. »

Mais il n’allait pas la déshabiller ici, dans ce hall infâme, c’était... C’était indigne d’elle ! Elle était une Ange de merci ! Une beauté surréaliste qui avait eu la décence de se rapprocher de pauvres mortels qui avaient daigné taper à sa porte ! Eux, vulgaires Barbares venant souiller de leurs doigts gras les portes du Paradis ! Et elle, gardienne de ces lieux, avait daigné, avec son infinie bonté, sa sagesse immense, porter son regard sur les ignares qu’ils étaient. Il la retourna alors, et caressa son visage d’une main, avant de l’embrasser, puis se mit ensuite à genoux, et lui fit un baisemains, tel un preux chevalier venant offrir ses services à sa Reine.

« Montre-moi ta chambre, mi Princeza, si j’en suis digne. »

Naturellement, refuser semblait exclu, et Vaas se releva ensuite. Le couple improvisé traversa le manoir, grimpa quelques volées de marches. Vaas laissait ses hommes prendre le contrôle du manoir, espérant qu’ils ne feraient pas trop de casse, mais pensant surtout au boule de la femme, à ce corps parfait, à l’impression diffuse qu’il avait d’être tombé sur la Reine de ces lieux, sur le phare qui guiderait sa morne existence au Japon. Ils rejoignirent ainsi sa chambre, et Vaas renversa la femme sur le lit, tout en se déshabillant rapidement.

Une fois nu, Vaas rejoignit la femme sur le lit. Il la coucha sur le ventre, et commença enfin à s’attaquer à sa nuisette. Il observa les perles qui brillaient devant lui, mais, en tentant de les retirer, sentit une résistance. À califourchon sur elle, il laissait sa queue se reposer sur les fesses de la femme, comme une annonce de ce qui allait arriver. Vaas aurait sans doute pu trouver, en d’autres circonstances, comment ôter cette nuisette, mais, rapidement, cette résistance l’agaça, et il força donc sur les perles. Il y eut un bruit de déchirure, puis la nuisette se craqua en deux, se déchirant totalement. L’homme jeta ensuite les pans de la robe, et s’allongea sur la femme, serrant ses cheveux d’une main, et approcha ses lèvres de son cou, léchant sa peau, la mordillant ensuite.

« Haaaa... Comme un délicieux paquet cadeau, mi Diosa ! »

Sa main se déplaça, et il malaxa le cul de la femme, venant ensuite frotter sa queue contre elle, remuant d’avant en arrière, comme pour mieux sentir son membre grossir contre sa chair.

« Je vais te défoncer, ma chérie... » susurra-t-il ensuite.

Il se redressa ensuite encore, et donna ses ordres :

« Mets-toi à quatre pattes, bombe ton beau petit cul, ma salope... Allez, VITE ! »

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L'Art / Re : un petit bout de ma galerie :3 ( Attention c'est... spécial x3)
« le: mercredi 18 avril 2018, 13:52:37 »
*Kikitoutdur*

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: dimanche 25 mars 2018, 22:13:49 »
La survie de cette femme ne tenait pas à grand-chose. Honnêtement, si elle n’avait pas été bonne à se damner, Vaas l’aurait sans doute abattu. C’était une bruja, une sorcière, dotée de redoutables pouvoirs, et il n’aimait pas ça. À Seikusu, Vaas avait déjà eu l’occasion de tomber sur des gens comme ça, et il s’en méfiait. Les pouvoirs, c’était une plaie à gérer, surtout quand les balles rebondissaient sur leur peau. Le mercenaire avait déjà eu affaire à cette femme d’acier habillée en bleu, Supergirl, et ce n’était clairement pas une expérience qu’il avait envie de retenter. Mais là, c’était différent. Sans la baguette, cette nana était mortelle, accessible, et c’était là quelque chose que le redoutable pirate comptait utiliser au mieux. Il la laissa donc faire. Elle s’attaqua à la partie du roi, son morceau intime. Les autres étaient plutôt nerveux. Ils avaient cessé de vandaliser la maison, formant petiot à petit un cercle compact autour de la belle. Tous ces hommes portaient des masques d’animaux sur le visage, et avaient de plus en plus de belles érections. Hey ! Il fallait quand même reconnaître que leur hôte était sacrément bandante. Qui sait ? Peut-être serait-elle destinée à un meilleur avenir que de servir uniquement de réservoir à foutre, comme Sakura !

En tout cas, elle s’attaqua tendrement à sa queue, allant jusqu’à la prendre profondément en bouche. Vaas frémit sous ce contact, observant la femme. Le sexe avait de curieux effets sur le rakyat, car, en augmentant l’adrénaline, il en contrebalançait un peu les effets, sans pour autant totalement les atténuer. Ou alors, ça venait juste de Vaas, qui restait un phénomène dans tous les sens. Quoi qu’il en soit, le bandit iroquois serra de sa main les longs cheveux de la femme, et grogna même légèrement quand il sentit sa queue taper contre sa gorge.

« Damn, damn... »

Quelle... Quelle gourmande ! Vaas la sentit enfoncer sa queue en elle, à tel point que le nez de la bruja disparut dans sa toison de poils. Ses doigts se crispèrent alors sur ses cheveux, mais il la laissa se retirer. Sa verge était recouverte de la salive de la femme, qui reprit sa respiration, avant de le regarder nerveusement, voulant s’assurer qu’elle faisait bien les choses. La main de Vaas caressa doucement son visage, affectueusement.

« Bébé, je sens que toi et moi, on va passer un sacré moment ensemble... Allez, retourne sucer ma queue, elle se languit de tes belles lèvres pulpeuses de salope ! »

Et Cara retourna donc à son office. Ses lèvres étaient magnifiques, et, même si elle était inexpérimentée, Vaas ne le sentait pas vraiment. Lui, il sentait juste le plaisir affluer dans son corps, se concentrant à hauteur de sa virilité. Indéniablement, la petite avait du talent et de l’énergie à revendre ! Plus le temps passait, et plus elle accélérait le rythme. Joueur, Vaas s’amusait néanmoins parfois à bloquer son visage quand il était profondément enfoncé contre son sexe. Ses deux mains se serraient alors sur sa tête, et il coinçait son visage le temps de remuer sa queue.

Puis, par la suite, Vaas se mit également à se déplacer, d’avant en arrière, son gros mandrin accompagnant les mouvements de son amante.

« Hmmm... Ouais, ma belle, j’aime ça, hmmm... ! »

Ses doigts serraient fortement ses cheveux, et il accéléra le mouvement, l’amplifiant, ses testicules fouettant le menton de la femme. Rien n’était véritablement épargné à Cara, Vaas continuant à amplifier ses mouvements. Le plaisir crut en lui, et, dans un long soupir, le contrebandier se relâcha alors. La fellation avait en tout duré une bonne dizaine de minutes, confirmant l’endurance exceptionnelle du tueur, qui s’abandonna dans la gorge de la femme, éclaboussant sa bouche, crachant son sperme. Vaas juta généreusement, si bien qu’il ressortit de la bouche de la femme, et termina en jouissant sur son visage.

Le rakyat lui procurait une endurance exceptionnelle, et une vigueur sexuelle incroyable. Le pire, c’est que la queue de Vaas était toujours bien dure, et il s’agenouilla, observant le visage de la femme.

« Bois bien tout, amour... C’est le jus de l’amour, après tout, non ? Et... Maintenant que j’y pense, chica... Avant que je te baise, comment est-ce que je dois appeler le soleil de mes nuits ? »

Mine de rien, il ne savait même pas comment elle s’appelait...

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Les alentours de la ville / Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]
« le: lundi 12 mars 2018, 07:34:58 »
Vaas avait une sorte de talent de séduction inné avec les femmes. Elle ne le repoussait jamais, allez savoir pourquoi. Et puis, on ne pouvait pas dire qu’il était particulièrement violent. Certes, il était un peu... Enflammé... Mais c’était là une conséquence de sa passion. Il ne les tapait pas, par exemple. Il n’avait jamais blessé physiquement Sakura. Enfin, il lui avait bien giflé le cul une ou deux fois, pincé les seins, mordu sa chair, mais jamais dans le but de la punir ou quoi que ce soit, juste dans le feu de passion. C’est ça que les filles aimaient chez Vaas. Elles voyaient en lui un vrai passionné, quelqu’un qui vivait sa vie à 200%, tout simplement. Devant lui, la jeune propriétaire des lieux, bien trop sexy pour être célibataire dans un manoir pareil, accepta alors de rester calme. Pas de panique, elle savait déjà comment lui parler.

Le mercenaire sourit lentement, et se redressa, observant ses hommes.

« ’Voyez les mecs ? C’est comme ça qu’on séduit les nanas ! On leur montre qui on est, tout simplement. En douceur, sans violence, ‘voyez ? Qu’on est des mecs passionnés et, en même temps... Respectueux ! Pas vrai, Sakura ? »

La jeune ganguro acquiesça lentement. Elle conservait toujours la précieuse baguette, et avait depuis longtemps dépassé le simple stade de la peur avec Vaas. Elle avait eu peur qu’elle ne le tue, au début, mais, maintenant, elle était au-delà de ça. Elle était amoureuse, ce qui était sûrement bien pire. Amoureuse de ce cinglé qui avait menacé de la tuer au moins dix fois, l’avait livré en pâture à ses hommes, avait réveillé tout ce qu’il y avait de sale et de pire en elle. En soi, Sakura était comme un programme de tout ce que Cara allait subir maintenant.

Vaas hésita quand même un peu. Elle pouvait le mordre, car il ne lisait pas ce qu’il avait envie de lire dans son regard. Certes, il ne battait pas les femmes, mais il aimait quand même qu’elles soient un peu effrayées. La peur permettait souvent de les calmer, de les tenir en laisse, d’arrondir les angles. Sans ce précieux moteur, sans ce garde-fou qu’était la peur, elles pouvaient faire n’importe quoi, et surtout des conneries. Vaas tenait tout simplement à éviter ça, et hésita donc un peu. La spontanéité avec laquelle elle se proposait... Mais, d’un autre côté, elle était vraiment bonne, et, surtout, dangereuse. C’était une sorcière ! Mais elle était privée de son bâton magique, et Vaas, pour le coup, faisait davantage confiance à Sakura qu’à ses hommes pour garder précieusement l’objet. L’homme avait vu combien cette baguette était fragile, et hocha donc la tête, tout en déboutonnant sa ceinture.

« Okay, beauté... Mais j’voudrais pas que notre relation commence mal, alors, si tu me fais une saloperie... Ma chienne brisera ton bout de bois en deux. »

Une perspective qui serait sûrement effrayante pour Cara. Vaas abaissa en tout cas son pantalon, révélant rapidement une belle trique. Le rakyat avait cet effet secondaire, chez Vaas, qu’il tendait à booster son libido, faisant de lui un amant aussi redoutable qu’un guerrier. Et là, après tout, cette superbe femme était faite pour bander instantanément. Vaas la laissa donc agir, écartant même son pistolet.

« Viens, bébé... Je veux sentir ta belle petite bouche de salope sur ma queue, viens me la pomper bien comme il faut, sois une gentille chienne... »

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