Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Centre-ville de Seikusu

Un pari qui tourne... très mal. [PV Gabriel Valmy]

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Lili Ivanes:
je suis dans une ruelle du centre ville à genoux, à l’abri des regards indiscrets, dans mon uniforme réglementaire du collège, seulement dix-huit autres paires d’œils sont sur ma personne et elles ne sont pas discrètes du tout, ce sont celles de toute l'équipe de foot du collège, ils ont tous entre 15 et 17 ans, et ils sont tous en train de me déshabiller du regard.
Vous allez encore me demander comment je me suis retrouvé dans cette situation. C'est simple, il y a de ça quelques jours, alors que j'étais en cours de sport et que l'équipe de foot s'entrainait, l'un d'eux est venue me parler, me demandant si j'allais venir les supporter pour le prochain mach. Je lui est répondu sèchement que je ne viendrais les voir seulement s'ils gagnaient le prochain match, il m'a alors proposé un pari. les gains étaient simple, s'ils perdaient le prochain match, il ne me demanderais plus de venir les supporter, par contre s'ils gagnaient je devais les détendre d'une certaine façon. Sur de moi, j'ai accepté son pari sachant que depuis le début de la saison, ils n'avaient remporté aucun match et j'étais persuadé qu'ils allaient perdre.

C'est le lundi matin que j'ai appris qu'il avait gagné ce week-end, à cette nouvelle j'étais quelques peux décomposé, je savais qu'ils viendraient prendre leurs gains, mais je ne les ai pas vue de la journée. Ce n'est qu'en  fin de journée qu'il me sont tomber tous dessus alors que j'étais sur le retour pour rentrer chez moi, ils m'ont tous amené  dans une petite ruelle du centre ville, m'encerclant  je ne pouvais pas m'échapper.
C'est alors que celui avec qui j'ai fait le pari se met à parler.

Alors Lili, tu as oublier le pari que l'on à fait. tu dois t'occuper de nous soulager.

Il me dit alors qu'il se touche l'entre jambe.

Comment vous voulez que je vous soulage? En vous offrant le gouté?

Je lui répond alors que je suis presque sur de ce qu'il va me demander de faire.

Ouais c'est presque ça, sauf que c'est toi le gouté... Tu vas être notre gouté à tous

Attendez les gars vous ne pensez tout de même pas que je vais... Non c'est hors de question.

Comment ça c'est hors de question? Tu as parié, et tu as perdu, tu veux que je raconte à tout le monde que tu ne respecte pas tes paris? Ont veux que tu t'occupe de nous avec ta bouche, c'est tout.

Réfléchissant quelques secondes, je lui réponds.

Juste avec ma bouche alors... Rien d'autre?...

Ouais, juste avec ta belle bouche

Roulant des yeux, je fini par leurs répondre.

D'accord mais vous n'en parlez à personne.

ouais c'est promis on en parlera à personne, t’inquiète.

C'est comme ça que je me retrouve à genoux alors que les trois garçons devant moi ont déjà sortie leurs paquet de leurs emballage, déjà très excité et tendu d'envie, je commence à en prendre un en bouche, suçant juste le gland alors que je masturbe délicatement les deux autres qui se rapproche avec chacune de mes mains

Gabriel Valmy:
Elle se trompait sur un point, il n’y avait pas dix huit paires d’yeux qui étaient braqués sur elle.- Il y en avait dix neuf. Un autre homme se tenait à l’écrt, observant la situation au travers de la forêt de membres qui s’offraient à la vue de la lycéenne. Et bien, se dit Gabriel, voilà une salope drôlement gourmande, vous ne trouvez pas ? Il sourit à cette idée alors qu’il la regardait faire, timidement, suçant  un gland, masturbant deux autres queues dans un rythme lent mais qui était clairement maitrisé, il en savait quelque chose… voilà qui était un joli gang bang d’organisé. Et il n’aurait sans doute jamais pu y assister s’ils avaient été plus discrets… il n’y a rien de moins discrets qu’une vingtaine e mecs à la testostérone débordante qui emmenaient une jeune fille dans une ruelle…. En général, c’est à ce moment là que vous vous dites qu’il y a anguille sous roche.

Il les avait suivi et donc, il avait pu suivre l’échange rapide qui avait précédé, et il avait appris de belles choses… la jeune femme, qui apparemment s’appelaitLili avait perdu un pari et avait accepté d’en subi les conséquences, elle devait sucer tous ces membres pour être débarrassée de son pari…et du coup, le spectacle était intéressant, cette jeune femme, cette jeune fille plutôt, lili, semblait un brin frêle, fine et menue, mais mignonne tout de même. Et elle semblait bien occupée avec un membre dans chaque main et une queue dans la bouche, enfin, le bout d’une queue, car bon, il ne fallait rien exagérer…

Comme mu par un instinct de jeu, il prit son téléphone, alluma la caméra et commença à filmer la scène… la qualité n’était pas bonne, mais ob voyait bien qui faisait quoi : une jeune fille qui se tapait une petite vingtaine de personnes, sans enthousiasme sans doute, mais avec application. D’ailleurs un des garçonle fit remarquer, quoiqu’en des termes un peu moins courtois…

« Et ben alors, Lili ? Vu comment tu as pris les choses en main je m’attendais à ce que tu suces mieux que ça… je suis sur que tu peux en prendre plus en bouche que juste mon gland ! »

Et comme pour l'encourager à se montrer plus volontaire, il lui bloqua la tête de ses mains pour  commencer à accélérer les vas et viens… pas de quoi faire des gorges profondes, hein, mais au moins de quoi la faire gober davantage que juste le bout. IL avait un air extatique sur le visage pendant cet acte. Il dfit ainsi plusieurs mouvements avant qu'un autre prenne la tête de lili pour l'approcher de sa queue, qu'elle ne les fasse pas un par un… autour d'elle, le cercle s'était resserré et du coup, Gabriel ne voyait plus grand-chose. Il poussa tout bas un juron silencieux.

D'une certaine manière, elle avait de la chance, en effet, elle pouvait être heureuse si la plus grosse du lot peinait à dépasser la quinzaine de centimètres pour, tout au plus, trois ou quatre centimètres d'épaisseur. Pas de quoi fouetter un asticot… plutôt de quoi flatter l'égo de gabriel qui culminait, en bandant bien, à sans doute à peine moins d'une trentaine de centimètres pour huit de diamètre, environ. Il sourit et se massa l'entrejambe en continuant de filmer.

« Oh putain, tu suces bien Lili… j'ai bien fait de venir ! »

Et comme si c'était là une forme de signal avant-coureur, il se déversa dans la bouche avec ravissement. Petit puceau deviendra grand, ricana silencieusement Gabriel en sortant lui même son engin, raidi par la vision pour se masturber sans rien dire, dans son coin, filmant a jeune femme à qui on mantenait la tête pour enchaîner  les queues, parfois en allant jusqu'à faire claquer les bourses contre son menton. Parfois, elle suçait à son rythme et parfois, les plus vieux lui baisaient la bouche avec virulence, lui laissant à peine le temps de respirer.

Parfois, certains émettaient dex commentaires, du genre « la salope », ou « prends ça sale chienne », bref, rien de bien flatteur. Il souriat en fiman, s'appochanta ssez pour qu'il puisse tout entendre et quand cela prit fin, il était content. Il avait son nom et son prénom… il s'en fut non sans un regard pour elle, le visage sur lequel prelait encore de la semence, des marques blanchatres dans les cheveux, même sa tenue, surtout au niveau du col ou des manches était souillée…

*
*   *
Il lui avait fallu une bonne semaine our tout mettre en place comme il le souhaitait. Disposant du nom et du prénom de la jeune fille il avait pu trouver son adresse et lui envoyer une lourde enveloppe kraft. Que contenait cette lurde enveloppe ? Tout simplement des photos de la scène, une vingtaine et joint avec, une petite lettre.

Bonjour Lili,
Tu rentres surement des cours, et vue ton expérience, je doute que tu aies des problèmes en cours de langue. Mais trêve de jeux de mots. J'étais préset dans la ruelle quand toi et tes amis vous êtes donnés la peine de vous auser oralement…. Quelle enfilage… c'était à croire que tu étais une vraie chienne en manque de foutre, et que tu avais un troupeau à traire… toi au milieu d'une fortet de queues, je dois avouer que ça m'a fait bander comme un âne et je n'ai pu m'empêcher de me masturber. Tu étais si bandante à sucer ainsi…
Mais j'ai une question pour toi. Que dirais ta famille si elle tombait, par inadvertance, sur les clichés ci-joint ? Je crains qu'ils ne soient blessés par cette chienne en chaleur que tu es en réalité,  et je ne parle même pas de ta réputation au lycée… ce serait compliqué de continuer à travailler pour toi, non ? Tujurs sollicitée pour se vider les couilles… je crois que tu devrais revenir dans cette ruelle où tout s'est passé. Ainsi, nous pourrons « discuter » de la suite à donner à tout cela…
Pour venir, je pense que tu te dutes que les sous-vêtements sont inutiles et que bien sur, il sera facile pour moi de riposter si tu oses en parler à quelqu'un… tu ne veux pas les impliquer, n'est-ce pas ? Alors rendez-vous à 21h00 dans cette ruelle.

Je te souhaites une bonne fin de journée
Monsieur G[/i]
PS : Je te conseille de trouver une excuse pour qu'on ne te pose pas de question quant au lieu où tu auras passé la nuit...[/i]

Il était là, d'ailleurs, à 21h00 précie, un ou deux sacs de course posé sur une poubelle fermée. Il était adossé à un mur et attendait de voir si elle allait venir… une faible lumière due à un unique lampadaire éclairait les lieux. Il allait bien s'amuser.

Lili Ivanes:
J'ai à peine commencé depuis quelques minutes à sucer le gland de l'un et masturber deux autres verges avec mes mains, que celui que je suce commence à sortir des commentaire.

« Et ben alors, Lili ? Vu comment tu as pris les choses en main je m’attendais à ce que tu suces mieux que ça… je suis sur que tu peux en prendre plus en bouche que juste mon gland ! »

Je ne peux rien dire puisque j'ai la bouche prise, mais même si je voulais, je ne pourrais pas puisqu'il viens placer ces mains sur ma tête et commence à enfoncer sa queue plus profondément dans ma bouche, la faisant aller et venir entre mes douces lèvres, son gland venant parfois taper ma glotte me provoquant des haut le cœur. Il m'impose son rythme, d'abord lent, puis accélérant peut à peut, je ne veux pas leurs montrer que je suis expérimenté dans ce domaine, Même si des fois je le sens pousser plus fors son membre dans ma bouche essayant peux être de rentrer dans ma gorge, je ne lui ferais pas ce plaisir.
En ouvrant quelques fois les yeux, je vois les autres de l'équipe se rapprocher de moi leurs queues à la mains, se mettant en cercle autour de moi, attendant chacun leurs tour de passer dans ma bouche ou entre mes mains.
Celui que je suce se remet à parler alors que ma langue s'active sur son pieux à l'intérieur de ma bouche.

« Oh putain, tu suces bien Lili… j'ai bien fait de venir ! »

C'est sans doute la première fois qu'il se fait sucer, je sent son membre pulser avant d'éjaculer dans ma bouche, je ne peux même pas me dégager, ce petit pervers n'a même pas la politesse de se retirer, il me bloque la tête et remplie en partie la bouche de son sperme chaud. Quand il se retire, je fait une mine dégouté avant de recracher son foutre, celui-ci dégoulinant sur mon menton et venant souiller le haut de mon uniforme.
Il c'est a peine retiré qu'une autre pair de mains passe derrière ma tête et m’attire vers un autre membre tendu en l'occurrence un que je masturbais juste avant, lui s'amuse à déformer mes joues avec son dard, alors qu'un autre sexe arrive dans ma main libéré.
Les queues s'enchaine dans ma bouche, et au fur et à mesure que le temps passe malgré la situation contraignante de satisfaire toute cette équipe de foot avec ma bouche, je sent mon bas ventre se réchauffer, l’excitation monter en moi et bientôt ma culotte se tremper de mouille.
Ils y a ceux qui savent ce qui veulent m'imposant leurs rythmes éjaculant soit dans ma bouche, soit sur mon visage, sur mes cheveux, ou sur mon uniforme, mes mains deviennent vite gluante de liquide séminale de ces jeunes garçon surexcité, et ils y à ceux qui me laisse faire ne se concentrant que sur leurs plaisir pour le pas éjaculer tout de suite en sentant à peine la chaleur de mes douces lèvres sur leurs bites.
tout ce spectacles dur quand même un moment quand le dernier me jouis au visage en entendant pour la unième fois.

RRRAAAAAaaaaaah prend ça sale chienne!!!

Ces petit salops partent sans même se soucier de moi, je n'espère qu'une choses, c'est qu'ils tiennent leurs langues, de mon coté j'ai respecté ma par du pari. Mon visage, mes cheveux et mon uniforme sont souillé par le mélange de leurs foutre gluant, heureusement pour moi je ne suis pas loin de chez moi, je ne croise personne et une fois rentré, je me lave pendant une heure sous la douche.

Une semaine se passe, une semaine de cours ou ceux de l'équipe de foot ne loupait pas une occasion de me sortir des gestes ou de propos salaces sans que je n'y répondent, ne voulant pas les pousser à aller plus loin. Ce n'est que le vendredi soir à 17h00 alors que je prend le courrier dans la boite au lettre que je trouve une lourde enveloppe qui m'est destiné, intrigué je rentre chez moi et ouvre cette enveloppe.
C'est en voyant des photos de moi en train de sucer et masturber les garçons de l'équipe de foot, que le monde c'est écroulé autour de moi, mes jambes se mette à trembler avant qu'elle ne cède sous mon poids tombant sur les fesses, je ne pensais pas qu'ils allaient prendre des photos, je met d’abords ça sur le dos de l'équipe de foot avant de lire la lettre jointe aux photos.

Bonjour Lili,
Tu rentres surement des cours, et vue ton expérience, je doute que tu aies des problèmes en cours de langue. Mais trêve de jeux de mots. J'étais présent dans la ruelle quand toi et tes amis vous êtes donnés la peine de vous amuser oralement…. Quelle enfilage… c'était à croire que tu étais une vraie chienne en manque de foutre, et que tu avais un troupeau à traire… toi au milieu d'une foret de queues, je dois avouer que ça m'a fait bander comme un âne et je n'ai pu m'empêcher de me masturber. Tu étais si bandante à sucer ainsi…
Mais j'ai une question pour toi. Que dirais ta famille si elle tombait, par inadvertance, sur les clichés ci-joint ? Je crains qu'ils ne soient blessés par cette chienne en chaleur que tu es en réalité,  et je ne parle même pas de ta réputation au lycée… ce serait compliqué de continuer à travailler pour toi, non ? Toujours sollicitée pour se vider les couilles… je crois que tu devrais revenir dans cette ruelle où tout s'est passé. Ainsi, nous pourrons « discuter » de la suite à donner à tout cela…
Pour venir, je pense que tu te doutes que les sous-vêtements sont inutiles et que bien sur, il sera facile pour moi de riposter si tu oses en parler à quelqu'un… tu ne veux pas les impliquer, n'est-ce pas ? Alors rendez-vous à 21h00 dans cette ruelle.

Je te souhaites une bonne fin de journée

Qui est la personne qui m'envoie ça, ce n'est pas un de l'équipe de foot, mais qui alors? Je n'ai qu'une chose à faire c'est d'aller à se rendez-vous, pour rencontrer cette personne, qui veux me faire chanter. Rien que de penser que mes parents ou que le lycée soit au courant me glace le sang, ma vie serais fichue, des souvenirs d'y il a quelques temps ressurgissent alors que cette homme noir m'avait obligé à coucher avec mon prof de musique et mon prof de math avec le sourire alors qu'ils me prenaient comme ils le voulaient et qu'il fallait que je fasse semblant d'aimer, un vrai cauchemars alors que c'était pour sauver Kira.
Cette nouvelle me trotte tellement dans la tête que je ne vois pas le temps passer qu'il est déjà 20h30, je remet tout dans l’enveloppe et je vais la planquer dans ma chambre, je laisse ensuite un mot sur mon oreiller disant que je vais dormir chez Kira, avant de sortir de chez moi et m'avancer en direction de cette fameuse ruelle ou tout à commencé, toujours habiller de mon uniforme d'écolière sous-vêtement inclue, après tout je n'était pas obliger d’obéir à une lettre, je veux surtout savoir qui est la personne derrière tout ça.
Arrivant dans cette fameuse ruelle, je m'avance en marchant quelques peut nerveuse quand même avant de lancer.

Il y a quelqu'un? Je suis venu comme convenue... Alors montrez vous maintenant!

Gabriel Valmy:
La ruelle était simbre, déserte même, mais qu'espériez vous ? Qu'il voudrait la lrenontrer dans un lieu public plein de monde ? Pas le premier soir, voyons…Gabriel avait des projets pour la nuit, et moins il y aurait de monde, mieux ce serait… il ne put s'empêcher de sourire et pianota sur son portable un peu, revoyant des morceaux de ce qu'il avait pris en cliché une semaine plus tôt… ilé tait toujors occupé à cela quand il entendit les pas dans la ruelle. Il éteignit son portable et le rangea, avant de finalement sourire, restant dans l'ombre, en silence, sans rien dire… il attendait qu'elle soit là, sous la bfaible lueur du seul lampadaire encore actif, mais qui ne le serait plus très longtemps.

Elle l'invectiva, comme pour lui ordonner de son montrer. Il ne le fit pas. Il trouvait le côté mystérieux autrement plus intéressant que d'entrer la lumière déclientete qu'offrait le lieu. Il ne bougea pas mais il ricana en guise de réponse, une réponse bien maigre sans doute par arpport à ce qu'elle pouvait attendre de lui sans doute, mais qu'importait cela, il s'en fichait, il s'en fichait royalement même ! Nouveau sourire, léger regard sur sn corps encore en tenue du lycée. L'unifore ui allait bien. Il prit enfin la parole.

« Bonsoir lili. Ce n'est pas ainsi que ça marche… je suis ravi que tu aie vu mes clichés, j'ai l'oeil pour capturer la bonne image, n'est-ce pas ? Une image à la fois belle et choquante, parfait pour internet… j'imagine déjà les titres :  « prostitution au lycée mishima » ou encore « l'enseignement qui se dégrade et se dévergonde » avec toi, une queue dans chaque main et une autre dans ta joli petite bouche comme photio d'annonce… ce serait superbe, n'est-ce pas ? »

Il se tut quelques instants pour reprendre sur un ton un brin moins amusé, et plus sérieux. Il avait doné le ton de la rencontre, non ? Il voulait le respect, la politresse, la déférence… tout simplement ! Ce qu'elle devait à un adulte, d'abord, puis en plus ce qu'elle devait à quelqu'un qui pouvait la faire plonger, elle et sa famille bien sur, dans la tourmente… il sourit et regarda la jeune fille avant de s'approcher d'elle et de lui lancer, en entrant dans la lumière d'un pas non chalant.

« Voyons voir si tu as pris mes menaces au sérieux petite catin... »

Et sans rien demandé ni autyre sa main fusa pour soulever la jupe de la jeune fille, découvrant un sous vêtement… il eut un regard de travers à celle-ci avanty de  lui plaquer une main sur le sein, sentant le piercing mammaire… à bien y reponser, il avait aussi senti un anneau similaire à son intimité… la gifle partit toute seule, comme si c'éait un réflexe… et si vous connaissez gabriel vous savez que c'est un peu le cas… il la fusilla du regard.

« J'avais donné des ordres j crois, non ? Alors montre moi ce que je voulais voir ! Tout de suite. »

Il prendrait de nouveaux clichés d'elle qui se dévoilait et qui viendraient compléter la suite de la collection… il était sur qu'il y avait de l'argent à se faire… et bien plus de choses encore ! Alors pourquoi s'en empêcehr. Et le problème pour elle c'était qu'elle avant tout intérêt à obéir, non ?  Il lui sourit et se recula dégainant son téléphone pour lui dire sur un ton sec.

« J'attends. Fous-toi à poil. »

Il sourit avant de cinclure.

« Ensuite tu me feras ce que tu faisais çà tous ces gamins.. tu va svoir, c'(est autrement plus prenant ! »

En même temps c'était passer du simple au double, presque, avec ses trente centimètres bien épais... mais le ton était donné, non ?Il donnait des ordres et elle obéissait où il y aurait des conséquences...

Lili Ivanes:
Aucune réponse ne me viens en retour, je décide alors d'avancer doucement dans cette ruelle très sombre seule un lampadaire éclaire celle-ci, je m'avance non sans une certaine appréhension, après tout ce qui met déjà arrivé voilà que ça continue.
Arrivant sous la faible lumière du lampadaire, une vois qui me glace le sang se fait enfin entendre.

« Bonsoir lili. Ce n'est pas ainsi que ça marche… je suis ravi que tu es vu mes clichés, j'ai l’œil pour capturer la bonne image, n'est-ce pas ? Une image à la fois belle et choquante, parfait pour internet… j'imagine déjà les titres :  « prostitution au lycée Mishima » ou encore « l'enseignement qui se dégrade et se dévergonde » avec toi, une queue dans chaque main et une autre dans ta joli petite bouche comme photo d'annonce… ce serait superbe, n'est-ce pas ? »

Il y a de l’ironie dans cette voie, ce qu'il me dit me fait peur tout de même, si il met ces clichés sur internet ma vie et celle de ma famille sera foutu.

Vous n'oseriez pas faire ça? vous ruineriez ma vie et celles de mes proches en divulguant ces clichés.

Un long silence s’installe pendant de longue secondes, ce qui fait monter mon inquiétude, quand l'homme sort enfin de l'ombre, il s'approche de moi avant de me lancer.

« Voyons voir si tu as pris mes menaces au sérieux petite catin... »

Je n'ai pas le temps de voir à quoi il ressemble que Sans aucune gène il soulève ma jupe et viens placer une main caleuse sur ma culotte au niveau de mon pubis, j'ai un mouvement de recule mais déjà son autre main viens sur un de mes seins, il le pétri sans douceur par dessus mon haut et mon soutient gorge, je tente de le repousser avec mes mains.

Qu'est ce que vous... AAAAAaaaaaaaah!!!

Je n'ai pas le temps de réagir qu'une violente gifle me brule la joue, celle-ci me rappel ceux qu'il y avait marquer sur la lettre.
"Je pense que tu te doutes que les sous-vêtements sont inutiles" voilà pourquoi je viens de recevoir cette claque monumental qui me brule la joue, mes mains dessus pour en apaiser la douleur, je peux regarder mon tourmenteur qui se recule de quelques pas.
C'est un homme grand , blond à la carrure assez carré, en jean et teeshirt, mais surtout musclé, je l'ai sentie quand il ma donner cette gifle.
Les yeux au bord des larmes, je vois qu'il me regard d'un air méchant alors qu'il me dit.

« J'avais donné des ordres je crois, non ? Alors montre moi ce que je voulais voir ! Tout de suite. »

L'ordre est donner d'un ton sec, et cette homme n'a apparemment aucun scrupule à frapper un femme pour se faire obéir, il s'éloigne encore de quelques pas, je n'ai pas le choix c'est soit enlever mes sous-vêtement, soit il diffuse les photos, je met un certain temps avant de réagir à son ordre, encore quelques peut sonner par sa gifle, mais lui semble impatient alors que je le vois sortir de sa poche son téléphone portable et qu'il le braque vers moi.

« J'attends. Fous-toi à poil. »

Le ton est encore plus sec, il sais ce qu'il veux et il veux que je m’exécute à la secondes. Ne voulant pas me prendre un autre gifle voir pire me faire tabasser par cette brute, résigné, je commence doucement à enlever mon haut d'écolière, dévoilant mon ventre plat, les fines épaules et mon soutient gorge, mettant le haut sur le couvercle du containers, une courant d'air frais passe dans la ruelle me donnant la chair de poule, à moins que ce ne soit le stress de ce manège.
Je continue déboutonnant les bouton de ma jupe alors qu'il me lance toujours sur le même ton.

« Ensuite tu me feras ce que tu faisais à tous ces gamins.. tu vas voir, c'est autrement plus prenant ! »


J'ai quelques secondes d'absence en entendant ça, il ne veux pas seulement me voir toute nue, mais il veux aussi profiter de mon corps, du moins de ma bouche. j'espère au fond de moi que c'est tout ce qu'il veux. Alors que je fait glisser ma jupe le long de mes jambes, j'entends le déclics des photos qu'il est en train de prendre, ce qui rends la situation encore plus humiliante, je fait tout pour ne pas le regarder, je dégrafe mon soutient gorge et le retire d'une main alors que de mon autre bras je viens cacher ma poitrine percer d'anneaux.
Il ne me reste plus que ma culotte que je retire d'une main, cachant mon pubis avec alors que je fait glisser celle-ci en gesticulant tombant jusqu'à mes pieds.
Mais tout ceci ne sert à rien alors que mon tourmenteur se rapproche avec son appareil en main et me dit.

Ce n'est pas la peine de faire la sainte... Allé ma petite pute montre nous tout... ou tu t'en prend une autre!!!

Encore une fois je n'ai pas le choix, les larme emplissant mes yeux, je retire mes mains, dévoilant à ces yeux et à son objectif mes seins percer et mon pubis épilé de prés dont mon clitoris est percer d'un anneau lui aussi.

Et bien qu'est ce que l'on à ma ma petite chienne? Des piercings au tétons et au clito? Il ne te manque plus que le collier...

je sent ces doigts venir faire bouger l'anneau de mon sein droit et celui à mon clitoris quand il me dit ça, j'ai de petit mouvement de recul quand il me touche, je me sent mal alors qu'il continue de prendre des photos.

Non... S'il vous plais... Ne me touchez pas...

Comment ça? Je te touche si je veux petite pute, c'est moi qui donne les ordres je te le rappelle!!! D'ailleurs tu as déjà oublier les ordre que je t'ai donnés? Allé à genoux! Viens déballer ton cadeau et t'occuper de moi ma petite chiennasse!!!

Je comprend vite qu'il ne supporte pas qu'on le fasse patienté, que l'on discute ces ordres et qu'il ne faut pas oublier ce qu'il demande. une de ces grande mains viens se caler sur mon épaule et appuis vers le bas pour que je me mette à genoux, ce que je fait sans résister, ces propos son si rabaissant et humiliant que ça me met mal à l'aise, surtout dans cette ruelle en pleine ville ou n'importe qui pourrais passer ou même l'entendre.
Alors qu'il s’accoude au containers, je comprend qu'il attends que je m'exécute, de la ou je suis à genoux mon visage au niveau de son entre jambe il ressemble à un géant.
Je viens déboutonner son jean, et je remarque que quelques choses d'assez gros déforme déjà celui-ci, comme s'il y avait un morceau de métal dans sa poche, mais il n'y a rien dans sa poche, dézippant sa braguette, je passe mais main sous son boxer et son jean avant de les baisser.
J'ai pendant quelques secondes le souffle couper alors que la surprise est de taille, le sexe de cette homme est surdimensionné, faisant la taille de mon avant bras et l'épaisseur de mon point fermé, je reste bouche bée et les yeux écarquiller devant un tel membre tendu et veiné sur toute sa longueur. Je comprend ce qu'il voulait dire par "plus prenant", c'est sur que ce n'est pas les petit calibres de la semaine dernière.
Prenant un clicher de ma mine surprise à coté de son énorme queue, il me lance.

Alors elle te plais? Elle n'est que pour toi alors occupe toi en bien...

Un peut paniquer par la taille de se membre, non pas que je n'ai jamais vue un membre aussi gros, mais la personne à qui elle appartient n'est pas un tendre, et j'ai peur de la suite.

Je... Je doit vraiment... Heu...

Sans en rajouter, je rapproche mes douce lèvres de se gland énorme, je donne quelques baissé dessus, mes mains venant soutenir la base de ce braquemart alors que mes doigts d'une de mes mains commence à doucement caresser ces lourd testicules.
Peut à peut, j'ouvre mes lèvres et commence à faire rentrer autant que possible ce gland dans ma petite bouche, mais je n'y arrive pas, bavant abondamment  dessus, ma bave ruisselant le long de son mat de chair et de mon menton, n'arrivant pas à le prendre entièrement en bouche, je viens alors donner de grand cou de langue bien baveuse sur son bâton de chair, laissant au passage une épaisse couche de bave gluante, alors qu'une de mes main avec laquelle je ne peut même pas faire le tour tellement son épaisseur est importante, je commence à lentement le masturber, mes lèvre et ma langue revenant s'occuper de son gland proéminent, aspirant, léchant et suçant son gland dans des bruits lubrique qui résonne dans la ruelle.
Bruit qui pourrait très bien rameuté d'autres personnes malsaines s'ils les entendaient


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