Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Camille Catalino

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Camille Catalino

Pages: 1 ... 3 4 [5]
61
L’argent... Le nerf de la guerre, ne dit-on pas ? Et bien, ils ont bien raison... On a besoin de l’argent... Tout le temps. Les pepettes, les billets, les mandats, les actions, le fric, le liquide, les dollars, les roupies, les millions... Il y a que le pognon ! C’est les comptes en banques, les placements, plus valus, capitales, honoraires, patrimoines... Bref, vous avez bien compris... L’argent avait toujours été au sens de Camille Catalino, ce qui était le plus important. Après tout, elle avait toujours été frustrée de ne pas être née dans une famille riche, qui pourrait lui permettre d’avoir ce qu’elle voulait... Donc, elle avait toujours espérer être adulte et pouvoir avoir le plus de fric possible, et pouvoir prendre tout ce qu’elle voulait... Sauf que, bien entendu, ce n’était pas aussi simple... Surtout quand tu violais une fée, et que tu en payais les conséquences, n’est-ce pas, chère Camille ?

Ainsi, devenue une fille, sans famille, sans ami, sans soutien... La fameuse Camille se devait de trouver de l’argent. Elle avait encore 30 000 Yen de ses transactions, vis à vis de la drogue... Mais elle savait qu’elle avait aussi 5 000 Yen qui venait d’un mec qui consommait, mais qui n’avait pas encore payée... Et oui ! La drogue avait été le moyen d’atteindre la richesse, sans problème, sans véritablement travailler, et le mériter. Donc, elle espérait bien regagner tout cet argent. Après tout, elle le devait. Donc, elle avait donné un rendez-vous anonyme au mec dans les chiottes des mecs. Elle espérait que cela allait être rapide, et qu’elle allait vite pouvoir en partir. Il n’y avait... Qu’un seul et unique petit soucis... En effet, quand Camille expliqua la situation au mec, celui-ci déclara, d’un ton incrédule :

« Je sais pas qui t’es, sérieusement, mais t’es gonflée à me demander du fric pour la drogue. Sérieux, t’abuses. »

Sauf que voilà le problème. Elle était plus Camille Catalino, le trafiquant de drogue des bas quartiers... Elle était Camille Catalino, une petite lycéenne, qui faisait peur à personne... Et quand je dis, personnes, c’est bien personne... Elle n’était qu’une jeune adolescente ! L’autre soucis, c’était que... Bah, le fameux mec avait pris la drogue à un mec, et se retrouvait confronté à une petite fille... Enfin, une jeune femme, pas une petite fille non plus. Mais bref, vous comprenez la situation... Camille était furax, elle. Elle voulait son fric, et bordel... Ce mec avait sans doute encore de la drogue sur lui, qui venait d’elle ! Et puis, en plus, elle rappelait quand même que premièrement, le fait qu’elle le savait, et bien, et bien... C’était bien la preuve qu’elle était Camille. Puis, merde, d’accord, elle était différente de sa version mec, mais quand même ! Il y avait des points de ressemblance... Malheureusement pour Camille, elle n’eut le temps de finir, étant donné que, tout d’un coup, une voix retenti.

"...Q-qui est là ?"

« 
-... »


… Quelqu’un ? Elle avait pourtant vérifié qu’il n’y ait personne... Et oui, Camille avait espéré que tout soit rapide. Sauf, que non, il y avait quelqu’un. Et le pire, c’est que d’habitude, si c’était un mec, cela passait... Mais là... C’était une meuf ? Une meuf qui était dans... Dans... Sérieusement, dans les chiottes des mecs ? Mais qu’est-ce qu’elle faisait là. La fameuse Camille eut son reflexe habituelle dans cette situation... Elle restait parfaitement calme, et elle ne bougeait absolument. Plus le temps passait, plus la fameuse fille avait des chances d’oublier, et de partir le plus rapidement possible... Putain, donc, là, il n’y avait qu’une règle, une seule et unique règle : être totalement calme. Il ne fallait rien dire. Il ne fallait rien faire. Décontracter tout les muscles. Contrôler sa respiration... Et surtout... Et bien ne pas faire ça :

« PUTAIN PUTE ! TU AS TENTE DE ME PIEGER ?! Je me ferais pas choper moi et ma drogue ! »

Elle se fit violemment giffler qui l’envoya contre les cabinets de toilettes, qui la sonna un peu, tandis que le mec s’enfuyait. Putain, pensa la fameuse Camille. Non seulement elle n’aurait pas le moindre yen avec la drogue, mais en plus, elle allait avoir un beau bleu à cause de cet enculé. Et bon dieu qu’il était con. Il aurait du hurler encore plus fort, pensait l’ancien garçon. Sans doute, il y avait des hommes à Tombouctou qui ne l’avait pas entendu, c’était dommage...  N’est-ce pas ? Bref, de toute façon, elle pouvait faire une croix sur ses 5 000 Yen, le mec étant parti à la vitesse de la lumière. Encore une fois, Camille se disait que plus louche, cela n’existait pas. Titubant un peu, elle se leva, avec quelques difficultés, et finalement s’approcha du lieu d’où venait la voix... Elle déclara, une fois ayant ouvert la porte :

« … T’es qui... ? »

Et oui, tout était bien prêt, pour un beau quiproquo. En effet, tout portait à croire que la consommatrice de drogue, n’était pas le mec qui venait de partir... Mais Camille ! Donc, cela permettait un beau quiproquo en approche... Camille, elle, était entrain de juger son interlocutrice, qui avait empêché la jeune femme de récupérer quand même 5 000 Yen. C’était une fille pas trop moche, dommage qu’elle était beaucoup trop grosse aux yeux de Camille, qui avait a peu près autant de tolérance qu’un membre du K.K.K. Sinon, elle avait des beaux attributs, surtout ses beaux cheveux blonds... Mais bref, quoiqu’il en soit, elle regardait, un peu surprise. Elle pensait qu’elle pourrait être en situation de force... Mais non, elle était en grosse situation de faiblesse. C’est juste qu’elle ne le savait pas encore. C’est bête !

62
Comment. Allait. Elle. Faire. C’était... Elle ne voulait pas passer pour une pute totalement accrocs au sexe, elle passerait pour une folle dingue, et puis, elle se taperait la réput’ de merde... De l’autre côté, visiblement, elle avait pas affaire à une balance qui enverrait les infos sur les réseaux sociaux. Puis, elle pouvait profiter du fait qu’elle le tenait par les couilles pour cette fameuse histoire de devoir et de triches... Donc bon... De l’autre côté, c’était extrêmement gênant. Elles faisaient comment les filles ? Peu à peu, très lentement, elle commençait à comprendre les difficultés des demoiselles dans la vie, et se disait que c’était pas si facile... Mais bon. Elle pouvait le faire. Elle écouta alors les déclarations de Kenta.

- Pas besoin de t'exciter comme ça. Ce que tu fais de ta piole m'intéresse pas, je t'ai juste demandé un service, rien d'autre et puis même si t'as des trucs qui crains c'est ton problème, pas le mien. Je suis pas une balance, chacun à ses trucs et chercher les secrets des autres ça attire plus d'embrouille qu'autre chose. 

Elle baissa la tête, toute rouge. C’était trop tard. Elle avait déjà maintenant une réput de merde aux yeux du fameux Kenta. -Bien qu’elle ne connaissait toujours pas son nom-. Mais bref, elle avait déjà celui d’une fille facile. Génial. Elle avait très envie de tout abandonner, de lui dire de partir, et d’aller se faire enculer, lui avec tout ses devoirs à la con... De l’autre côté... Elle avait encore de la fierté. Ce n’était pas car elle était devenue une fille, qu’elle devenait devenir une lache. Une réputation de merde... Pourquoi cela la préoccupait tout d’un coup ? Quand elle était un garçon, elle avait eu la pire réputation du Lycée ! Donc, pourquoi MAINTENANT cela la préoccupait ? Elle devait rester calme. Ainsi, elle écouta la suite des déclarations de son interlocuteur, la Tresse, qui donna enfin son prénom.

- Juste pour info, mon prénom c'est Kenta, m'appeler « la Tresse » ça pense tant qu'on est que nous deux, mais devant les autres c'est Kenta, pas envie d'avoir à me dépenser inutilement à fracasser des débiles qui ont la langue plus vite que leurs cerveaux. Je viens de remarquer un truc, la couleur de tes yeux est presque la même que ma daronne. 

« D’ac. Entre la Tresse. Je te préviens, c’est pas Byzance hein. »

Bien sur que ce n’était pas Byzance, on est au Japon. Débile. Bref, elle prit la clef de sa chambre, et ouvrit la porte. La chambre était... Charmante. Encore un tour de la fée, pensait Camille. D’habitude, ses lieux de vies avaient toujours été de porcheries. Et ce n’était pas une question de sexe, étant donné qu’elle avait, à l’époque où elle était un homme, rencontré des chambres de filles qui étaient encore plus en bordel que la sienne. Bref, donc, la fée avait du changer une partie de son comportement, car elle ne supportait pas que sa chambre soit en bordel. Alors, bien sur, ce n’était pas non plus un côté maniaque : son lit était défait, mais voilà... Cela choquait quand elle se remémorait les différentes chambres où elle avait vécu. Bref, en tout cas, la fameuse Camille sa tourna alors vers le fameux Kenta :

« Allez, installe toi sur le lit... Oh, et euh... Je suppose... Merci pour le compliment ? Tu sais, pour les yeux ? Ca me fait plaisir. Je... Je te propose pas un verre hein, on a pas de frigo. Ouais, c’est naze la vie en internat. »

Elle l’invita alors à s’asseoir sur son lit. En même temps, elle avait sinon juste sa chaise de merde. Il y avait pas grand chose dans sa chambre... D’ailleurs, Kenta pouvait supposer -et il aurait raison- qu’elle était plutôt pauvre. Quelques vêtements, des livres de cours d’ocassion, un roman qui trainait sur la table de chevet... Et c’était à peu près tout. Ni ordinateur, sans doute un téléphone portable, mais celui-ci n’était pas visiblement -en vrai, elle avait un vieux smartphone de l’époque où elle était encore un garçon, à l’écran pêté, mais boah. Il marchait. En vrai, il lui restait plus que 30 000 yen, de ses deals de drogue. Ça, et une dette d’un consommateur de 5000 yen. Mais ça, elle pouvait courir pour la récupérer. 30 000 yen... Cela lui permettrait de vivre un moment, mais pas de faire de folie. Donc, elle devait se concentrer sur l’essentiel. Surtout que c’était que du liquide, super louche quoi.... Elle déclara alors :

« Donc, t’es au lycée depuis longtemps... Oh, et puis merde... Tu permets... ? »

Elle n’attendait pas une réponse. Elle se pencha, profitant qu’il était assit au bord du lit, pour lui baisser son pantalon, puis son caleçon, sans lui laisser le temps de faire autre chose. Elle regarda alors l’engin du jeune homme, et laissa échapper un petit « gasp », de surprise. Pour Kenta -s’il n’était pas totalement choqué de l’idée d’avoir été désapé comme ça, par une camarade de classe-, et bien, il pouvait supposer que c’était la première fois que Camille voyait un engin d’homme. Bah, pour tout dire, ce n’était pas la première fois, elle avait souvent vu... « le sien ». Mais maintenant qu’elle était une fille, cela était très étrange de voir pour la première fois un homme a moitié nu. Elle hésitait, et lança un petit regard confus vers Kenta, comme si elle n’avait pas du tout compris ce qu’elle-même avait fait. Comment allait-il réagir ? Violemment, pensant que cette fille était complètement folle ?  De manière charmeur, comprenant que Camille tentait quelques choses... ? On allait bien voir.

63
Alors, qu'allait-il proposer, la fameuse tresse ? Elle allait pas demander son prénom. Il avait un surnom adopté, maintenant, c'était « La Tresse », quoiqu'il arrive. Après tout, elle avait tout les droits sur lui, non ? Non, elle le savait bien, mais cela l'amusait.. Puis, elle savait qu'il y avait au moins une chose que les filles avaient le droit, et pas les mecs... Quoi donc ? Et bien, c'était d'être des pestes. Et cela, elle avait très envie de l'être... Après tout, c'était très amusant d'être une vilaine chippie... Non ? Bref, en tout cas, Camille était intéressée par tout ce que disait le fameux garçon à la tresse. C'était pas tout les jours qu'elle pouvait utiliser son « intelligence » pour profiter. C'était presque mieux que la violence pour imposer quelques choses. La violence, tu passais pour un gros enculé, alors que par l'intelligence, c'était normal. Donc, elle écouta la longue tirade que déclara son interlocuteur.

- Ben écoute avec l'ancienne fille qui m'aidait, je me faisais passer pour son petit copain, c'était surtout pour écarter les lourdingue. Comme t'as pas un physique dégueulasse, tu dois certainement avoir croisé des mecs ou des nanas relous. Donc avoir quelqu'un près de toi pour les refouler ça peut aider, non ? Comme je t'ai dis, hormis la drogue et ce qui tourne autour, je me débrouillerais. Propose n'importe quoi, qu'est-ce que tu risques si ce n'est que je rigole un peu avant de répondre. Toute les personnes ont des envies, des vœu, ma daronne me rabâche ça et elle a beaucoup d'expérience dans la vie. Enfin surtout dans l'auto-défense. 

Mmh... la proposition... Etait franchement sympa. Après tout, elle devinait qu'elle n'allait pas du tout tomber amoureuse d'un garçon... Enfin, elle espérait, étant donné que la fameuse fée avait fait aussi des modifications à son psyché, et cela, cela l'inquiétait particulièrement... Bref, donc, en ayant la tresse comme petit copain, cela lui permettrait d'être tranquille, et de rembarrer facilement les lourdingues qui pourraient la faire chier. Puis, comme une fois : il était pas moche. Donc, cela lui permettrait d'avoir pas une réputation de grosse nulle... Car c'était important la réputation ! Bref, donc, elle se disait que c'était une bonne idée... Mais elle trouvait cela un peu simple, et puis... Il y avait toujours son idée... Mmh... Peut-être qu'elle pouvait faire les deux. Alors qu'elle allait répondre, un coup de fil interrompit la discussion :

- Quand on parle du loup. Excuse moi deux seconde. Oui ? Ok tu travailles ce soir. Ben je vais certainement m'arranger pour dormir chez des potes. Oui promis je fais pas de conne … Ok, ok. Bonne soirée.

Eheheh. C'était amusant. Elle pouvait pas s'empêcher de sourire... D'accord... Elle comprenait mieux pourquoi il se devait d'avoir des bonnes notes... Visiblement, ce n'était pas un garçon très indépendant... Visiblement, sa maman avait beaucoup de pouvoir sur lui. C'était l'une des rares formes d'autorités que le fameux jeune homme, à l'époque où il était encore un garçon, qui n'avait jamais fais peur à Camille. Camille n'avait jamais eu peur de ses parents, qui étaient plutôt du genre à tout laisser passer. Donc, elle trouvait très amusant d'entendre cela. Visiblement, le fameux garçon faisait son fort, mais il était bien un fils à Maman. C'est troooop mignon. Damn, se dit-elle soudainement. Elle avait un vrai côté chipie. C'est fou... bref, elle se concentra à nouveau sur les déclarations du fils à maman.

- Désolée Camille de l'attente. On tout le temps pour discuter au final, ma mère bosse et donc je dois pas la déranger à la maison. Mais revenons à nos moutons. Proposes donc tes idées, même les plus saugrenue, après on fera du tri dans ce foutoir.

« Ecoute, la Tresse, je suis sympa. »

Elle avait rien à perdre... Et oui ! Kenta pouvait bien être content : Elle allait accepter. Elle allait le laisser copier. Elle se disait qu'elle devrait faire attention : pour demander à quelqu'un, elle devait avoir affaire à un pas doué total, étant donné qu'il semblait pas doué au point... De devoir demander de pouvoir copier ! Après, peut-être s'attendait-il à avoir de l'aide pour copier ? Ouais,  cela serait plus cohérent... Bref, en tout cas, elle déclara :

« J'accepte ta proposition. Allez, viens avec moi. Une fois, je suis restée trop longtemps dans une salle de cours, et on m'a enfermé. Je t'amène dans ma chambre, on va en parler. »

Véritable anecdote de la part de Camille Catalino ! Sauf qu'encore une fois, cela pouvait étonner son interlocuteur : après tout, elle était censé être nouvelle. Donc, comment cela se faisait qu'elle pouvait comme ça, déclarer qu'elle avait déjà eu cette anecdote ? Surtout dans le passé...? Elle était nouvelle dans l'établissement. Quoiqu'il en soit, elle attrapa la main du fameux garçon à la tresse, et arpenta les couloirs... L'avantage d'être les derniers à sortir, après la dernière heure de cours, c'est que bien souvent, on était peinard, dans les couloirs. Une fois arrivé au dortoir, on pouvait entendre pas mal de bruit. Camille avait l'habitude, et l'amena vers la porte de sa chambre. Alors qu'elle insérait la clef dans la serrure, elle lança un regard assassin au fameux garçon, pour bien lui faire comprendre, et déclara :

« Ne vas pas croire que j'amène des garçons tout le temps dans ma chambre, ou je t'égorge, compris la Tresse ? »

Elle lança un regard de la mort, comme elle avait eu l'habitude de faire quand elle était un garçon. Alors, je vais vous demander juste une seconde d'attention... Regardez l'avatar de notre chère Camille, et dîtes si vous pouvez avoir peur ne serait-ce qu'un dixième de seconde, de cette demoiselle ? Franchement, si vous me dîtes oui... Et bien, vous êtes un gamin. Ou un trouillard. Ou un phobiques des femmes...Et là, je m'en excuse. Mais que faîtes-vous là ? Bref, la fameuse Camille espérait être clair... Et sans doute que son interlocuteur avait compris ce qu'elle voulait faire, sauf si elle avait affaire à un garçon pudique, et extrêmement timide d'un point de vue sexuel. Elle aimerait bien : comme dit précédemment, elle voulait découvrir le sexe... Avec la volonté de tout contrôler... Bref, quoiqu'il en soit, elle attendait une réaction du fameux garçon à la tresse... Dont elle connaissait toujours pas le nom.

64
Elle faisait la maligne, comme toujours, mais en vrai, elle ne savait vraiment pas trop quoi faire, dans cette situation. C’était tellement étrange comme situation… Et le pire, c’est q’uen face, il ne devait avoir aucune idée de qui elle était… Comment expliquer, en même temps, qu’elle était un homme de vingt ans qui avait été puni par une fée après l’avoir violée, de reprendre sa vie, quatre ans auparavant, et maintenant, devenir une fille… C’était… Boah, c’était littéralement n’importe quoi. Si elle racontait cela, le fameux garçon à la tresse la prendrait pour une folle. Elle même avait du mal à le croire… Et si cela était entièrement faux ? Et si la version masculine de Camille Catalino n’avait jamais existé… ? Non, elle devait se calmer, et se concentrer sur les déclarations de son interlocuteur… Interlocuteur qui déclarait :

- T'as du culot de me surnommer sans me connaître, j'aime bien ça.  T'as juste d'ange que l'apparence.  Pour ta question c'est assez simple. Dans moins d'une semaine il y a un exam. Tu sembles forte, moi j'ai besoin de m'en sortir avec la moyenne. Le deal est simple. Tu me laisses recopier quelques réponses.

Alors, là, c’était surréaliste à ses yeux. Elle devait bien avouer qu’elle n’aurait jamais, au grand jamais, attendu qu’on lui dise cela un jour, qu’on avait besoin d’aide, de SON aide pour un devoir… Elle rigolait intérieurement : elle se souvenait de toutes les fois, où la position avait été inverse, et c’était elle qui avait demandé à quelqu’un de… Comment dire… Qui avait demandé qu’on l’aide pour un DS, un DM ou tout exercice du genre ! Elle avait eu, à l’époque où elle était encore un garçon, eu la réputation d’un lacheur pendant les exposés, à ne rien faire, et laisser les autres faire tout le reste… Bon, d’accord, elle devait bien avouer que cela avait été vrai… Mais maintenant, elle était une autre personne ! Qu’elle le veuille ou non… Mais elle continua d’écouter les déclarations du fameux garçon à la tresse.

- Comme tu sembles avoir une bonne réputation on va pas t'accuser de triche. Par contre …

« Mmh… ? »


Par contre ? Encore plus de demande… Non. Heureusement, c’était juste un moyen pour le fameux garçon à la tresse, d’expliquer que justement, non seulement, il n’avait pas d’autres demandes, mais qu’il n’était pas du genre à arnaquer les gens… Car en effet, il expliqua :

- Je te fais pas sa gratuitement. T'as qu'à me dire ce que tu souhaites en échange et je m'arrangerais pour l'avoir. C'est donnant-donnant, même si dans ton cas le risque est de zéro. Je suis pas le genre de crevard à faire chanter, ça c'est pour les lopettes qui ont pas comprit le principe d'un bon échange de service. Par contre pour tout ce qui est drogue et compagnie je pourrais pas t'aider. Dans le cas où tu cherches des beaux gosses, j'ai quelques contact qui pourraient te dénicher quelques chose, des nanas aussi si t'es plutôt du genre à aimer ça.

Ah, cela, c’était déjà plus intéressant… Bon, visiblement, en effet, quoiqu’il arrivait, il gagnait dans cette histoire… C’en était presque louche. Qui proposerait de donner « ce qu’elle souhaite », en échange juste de montrer sa copie lors d’un exam ? C’était ridicule. D’habitude, l’échange se faisait quand même de donnant-donnant, certes, mais autant en faveur de l’un que de l’autre. Mais là, non. Ce n’était pas le cas…

- Tu voudras quoi en échange de ce service, en sachant que je pourrais te demander ce services pour les autres exams. Tu as le choix de ton paiement, un risque zéro, sympas , non ? 

« Ah bah ça va. Si je me fais chopper, j’aurais quoi ? Une heure de colle ? Ca va, tranquille. »


Oui… Notre fameuse Camille avait toujours eu peur de l’autorité… mais à une limite. Elle n’était pas une lopette qui s’évanouissait à l’idée d’avoir une heure de colle. Alors, attention. Là, elle faisait la maligne, mais si on lui menaçait un renvoi pur et dur… Et bien, là, là elle ne ferait vraiment pas la maligne, et viendrait pigner, supplier, promettre la lune etc. pour pas se faire renvoyer, car elle aurait vraiment peur. Mais l’idée de prendre une heure de colle… Franchement, ce n’était pas grand-chose. Elle espérait, sincèrement, que le fameux garçon à la tresse n’était pas du genre à avoir peur juste d’une petite heure de colle, sinon, elle aurait vraiment affaire à une chochotte… Et sérieusement, si c’était une chochotte, elle aurait aucune envie de l’aider… Qu’il se démerde. Bon, allez, elle allait répondre. Elle déclara alors :

« Par contre, ce que tu peux me donner… Boah, je vois pas trop. Je suis nouvelle ici, je connais pas grand-chose. Puis la drogue, j’ai raccroché. C’était pas pour moi. »

En effet, là, c’était la vérité : notre fameuse Camille, à l’époque où elle était un garçon, avait consommé de la drogue. Elle avait très vite arrêté, car elle n’aimait pas l’idée de ne pas être en plein contrôle de ses moyens… Bien sur, aux yeux de son interlocuteur, cela pouvait sembler bizarre… Car je rappelle que notre fameuse Camille n’était qu’une gamine de seize ans. Hors, elle disait qu’elle avait raccroché. Qu’est-ce que cela voulait dire ? Cela pouvait vouloir dire deux choses : Soit elle était entrain de se vanter, et elle avait juste fumée un joint, et s’en était vanté sur tout les toits… Soit elle avait commencé vachement jeune. La réponse ? Aucun des deux mon général : la réponse était ailleurs, Mulder… Ouah, j’ai fais deux références. Si vous les comprenez, vous irez loin ! Enfin, si les petits cochons ne vous mangent pas avant… Quoiqu’il en soit, ne sachant pas trop quoi demander, Camille demanda :

« Tu me proposerai quoi, la Tresse, concrètement… ? »

Elle avait une idée. Vraiment… Mais elle n’osait pas le dire, donc, elle préférait attendre… Une proposition. Avec un peu de chance… Il pourrait le proposer, qui sait. Qu’est-ce que cela serait… ? Et bien… Et bien… Elle avouait qu’elle aurait envie… De se faire le garçon à la tresse. Là. Maintenant. Elle se demandait littéralement ce que cela faisait, de se faire un garçon, et cela pourrait être un moyen de tenter. Surtout que ça serait ELLE qui l’aurait décidé, et qui dominerait. Elle pourrait même tout arrêter si elle n’osait plus. Pourquoi le voulait-elle ? Elle en avait aucune idée. Peut-être était-ce un mauvais tour de la fée ? Après tout, elle avait dit qu’elle vivrait ce qu’elle avait fait subir à ses filles. Cela serait compréhensible… Mais de l’autre côté, elle voulait pas le dire. Elle n’osait pas le dire. Elle était un garçon, avant… Mais c’était fini. Bon, allez, elle devait se concentrer sur ce qu’il allait dire.

65
Des maths. Sérieusement girl ? Des maths ? C’est tout ce qui est passé dans ta cervelle d’étudiante en master d’histoire de l’art ? Pff. Voilà ce que pensait très certainement notre chère Camille si elle s’était appelée Deadpool. Sauf qu’elle ne s’appelle pas Deadpool. Bref, en effet, nous avions affaire à des maths… Les math ! Une matière que je déteste, mais dont je reconnais l’intérêt. Sans les maths, nous ne pourrons pas être sur ce forum, de toute façon, ni même sur des ordinateurs ou autres téléphones portables. Bref, les maths, c’était utile. Mais bon… Ce n’était pas forcément très apprécié. En même temps, à haut niveau, cela devenait très vite abstrait, et même, il faut bien l’avouer, relativement chiant. Bref, ainsi, c’était une matière très polarisé… En général, les gens n’aimaient pas… Mais parfois, que voulez-vous, il y avait des miracles, et cela donnait Stephen Hawking. Oui, bon, c’est un peu simplifier.

Dans ce cours était donc la jeune Camille Catalino. Camille n’aimait pas les maths, mais n’avait jamais été trop mauvaise en math. Elle détestait bien plus le Japonais, la Littérature, l’Histoire… Toutes ses matières qui selon elle, reposait sur du vent. Au moins, l’avantage avec les maths, c’est que si x devait faire 8, et bien, x faisait 8. Tu devais pas faire quatre pages d’argumentations, en disant : « Oui, mais dans un contexte... » Non. Huit. Faisait. Toujours. Huit. Heureusement pour elle qu’elle s’est arrêté au math de Lycée, car… Car bien plus tard, avec le quantique et tout ça, ce n’est plus le cas, mais passons. Ainsi, la fameuse Camille était donc pendant ce cours de math, et suivait d’une seule oreille, quand soudainement, un des élèves fut interrogé par le professeur, et raconta littéralement n’importe quoi… Normal. Le professeur, visiblement mécontent, déclara, se tournant vers Camille :


« Comme monsieur semble bien s’amuser, et a décidé de faire le pitre, je vais demander à quelqu’un d’autres… Camille ?
-Oui monsieur. »


Ainsi s’installa au tableau la fameuse Camille… Et chose amusante, pensait-elle… Elle pouvait y arriver, alors que la fois elle était… La première fois qu’elle avait fait son lycée, elle n’aurait jamais réussi à trouver la réponse à ce problème… Mais là, déjà, c’était la deuxième fois qu’elle faisait le lycée, et puis… Maintenant, elle tenait à se tailler une bonne réputation, surtout pour ne pas avoir la réputation de trainée stupide. Quand on était un homme, ça allait ce genre de réputation, mais Camille se rendait compte que quand on était une fille… Peut-être… Peut-être que c’était àa que voulait lui faire apprendre la fée ? Quoiqu’il en soit, une fois quelle eut fini de répondre à ses problèmes de trigonométrie… Elle retourna à sa place.

Quel ne fut pas sa surprise alors de découvrir… Un mot ! Oh mon dieu ! Elle espérait que ce n’était pas un mot d’amour… Non, ce n’était pas possible. Cela ne pouvait pas être un mot d’amour. Bon d’accord, la fée, quand elle avait transformée notre chère Camille en Camille, mais l’un est masculin, l’autre est féminin, avait fait en sorte de donner un corps plutôt…. Agréable au regard, disons, pour faire dans l’euphémisme… Mais de là à recevoir des mots d’amours ? Heureusement… Ce n’était pas le cas. En effet, quand la fameuse lycéenne regarda le mot, elle se rendit compte que c’était… Beaucoup plus mystérieux. En effet, c’était une demande de rester à la fin du cours. Elle accepta alors, le cours se passa, et finalement, il ne reste plus qu’elle, et l’autre ahuri de tout à l’heure… Elle s’approcha de lui, et déclara, les mains dans les poches :

« Salut. J’ai eu ton message. Je veux dire que je veux pas d’ennui, la tresse, comprit ? Tu me veux quoi... »

Camille regarda alors son interlocuteur. C’était assez troublant de se dire, pensait-elle, qu’elle venait de rester alors qu’un garçon lui disait de le faire… C’était… Bon sang, elle espérait qu’il n’allait pas se mettre à genoux, et demander qu’ils sortent ensemble… Dans ce genre de cas… Que pourrait-elle bien répondre ? Elle n’en n’avait aucune idée. Bref, elle devait attendre. Cela lui semblait le plus logique, mais de l’autre côté, voilà quoi… C’était assez étrange comme position. Elle ne s’y attendait pas. De l’autre côté, toute sa vie était devenue assez étrange, depuis que cette fée avait fait d’elle une… Bah… Une fille. Elle devait s’habituer à des trucs de filles, et bien… Et bien, c’était relativement relou, mais c’était comme ça. Donc, elle attendait les déclarations de « La tresse ». Joli surnom, d’ailleurs, de la part de la petite peste à la bouille, il faut bien l’avouer, véritablement adorable.

66
Quel belle journée ! Les oiseaux brillent, le soleil chante… Euh… Je crois que je me suis emmêlée les pinceaux quelques part ! Bref… Camille se levai tranquillement. Le samedi, c’était un chouette jour : elle n’avait pas cours, et était donc tranquille. Donc, elle se leva, s’étira longuement, et s’approcha de son placard… Elle prit alors quelques vêtements, abandonna son pyjama, et s’habilla complètement. Contrairement à certains, elle avait encore le droit à des vêtements. Certains ? Et bien, elle ouvrit un placard, et contempla son œuvre. Une jeune demoiselle, attachée solidement, ne pouvant pas s’enfuir, avec ses seins, son anus, et sa chatte martyrisée par quelques jouets sexuelles qu’elle avait récupérée. Quel plaisir de voir cette demoiselle ainsi… Camille pensait qu’elle pourrait la libérer… Mais non.

Pauline. Son adorable cousine. Et son moyen de ne pas sombrer dans la folie, et… Devenir une fille. Elle avait eu disons… Quelques ennuis, et s’était même retrouvée plus d’une fois dans des situations où elle se retrouvait littéralement… Littéralement une soumise pour d’autres filles. C’était arrivée, et elle ne voulait pas que cela arrive. Elle était un garçon. Elle… Il était un violeur ! Un homme qui avait fait peur à des tas de femmes… Grâce à Pauline, elle avait cette petite pute, qu’elle pouvait martyrisé, et ainsi, avoir un lien avec son passé. Elle pouvait se venger de ce qui lui arrivait, considérant maintenant, que Pauline était… Etait son dernier lien avec son passé. Un passé qu’elle avait peur de voir disparaître. Elle ne voulait pas devenir une fille soumise… Ou pire, une fille comme Pauline. Et pourtant, c’était ce qui allait lui arriver. Mais chut.

Cependant, Pauline avait tentée de la trahir, et voilà pourquoi elle subissait ses tourments. Camille avait besoin de Pauline, pour se sentir encore homme, viril et dominateur, car en vrai, son corps, son envie, ses désirs lui criaient qu’elle ne voulait pas ça. Qu’elle voulait être punie pour ses actes, qu’elle voulait qu’on la châtie de ses crimes. Mais grâce à Pauline, elle pouvait se dire qu’elle était encore Camille Catalino, celui qui avait réussi à violer une fée. Bref, laissant sa cousine dans le placard, la cadette des Catalino décida d’aller manger son petit déjeuner, et peut-être travailler un peu à la bibliothèque. Ce n’était pas forcément très nécessaire, mais elle s’était taillée une réputation de bonne élève, d’efficace en cours… Et elle en profitait pas mal.


Sa matinée se passa tranquillement. Franchement, rien à détailler. Si, quand même… Elle croisa quelques uns des bullies qui la maryrisaient… Quelqu’unes de ses autres victimes, mais qui avaient un bien meilleur sort que Pauline, il faut bien l’avouer… Oui, car Pauline… Pauline, c’était Pauline. Pauline, elle avait le droit à une place d’honneur. Après tout, c’était quand même sa cousine, et sa cousine méritait un traitement de faveur, par rapport aux autres. D’ailleurs, regardant l’heure, elle devinait qu’elle devait retourner la voir. Cela faisait presque 12 heures qu’elle était dans le placard, elle méritait d’être libérer. En théorie, elle devrait ainsi avoir compris la leçon. Peut-être même que ça y est, elle serait suffisamment brisée, pour qu’elle soit enfin, entièrement à elle…  Elle l’espérait… Mais cependant, une surprise l’attendait… L’attendait au tournant du couloir, vu que quand elle y pénétra…

« Que… ? »

SA… SA PORTE ?! Attendez, c’était pas possible ça !? La porte avait été littéralement… Littéralement… Que… WHAT ?! La fameuse jeune Catalino, la cadette des deux cousines, ne comprenait pas. Comment sa porte aurait put être arrachée ? C’était pas possible, il y avait un Ours qui avait décidé de venir pour manger Pauline ? Alors, premièrement, elle doutait qu’il y avait beaucoup d’Ours à Seikusu, et deuxièmement, l’ours n’aurait pas pu sentir la fameuse… Puis, qu’est-ce qu’elle racontait ! Cela ne pouvait pas être un ours ! C’était complètement stupide ! Donc, ainsi, enjambant la porte arrachée dans son couloir, elle entra alors dans sa chambre, et qu’elle ne fut pas sa surprise d’apercevoir une femme, vêtu d’une très élégante robe dorée, installée sur son lit… Elle déclara alors :

« Eh, t’es dans ma chambre ! T’as défoncé ma porte ? Mais t’es une malade ?! »

Ce fut un choc… Mais quelle ne fut pas le choc, quand elle apperçu… Pauline. Pauline libre, entrain de lécher les pieds de cette femme. Qu’elle lèche les pieds d’une femme n’étonnait pas Camille : Camille considérait Pauline comme une pute. Cela, elle avait bien compris… Mais comment cette femme avait pu… Découvrir son secret ? Elle avait bien fait en sorte de tout faire pour que personne ne le sache… Là, la peur était grande en Camille. Elle ouvrait en grand ses deux yeux bleus, et tremblait de tout son frèle corps… Elle était foutue. Si Pauline annonçait ce qu’elle avait fait, elle… Elle… Elle ne savait même pas ce qui lui arriverait, mais elle savait qu’elle aurait des énormes ennuis. Et elle avait tout sauf envie de cela. Que faire… Que faire… Pour le moment, son cerveau lui chuchottait : Rien. En effet, elle restait debout, planté comme un piquet, devant sa cousine et sa future maîtresse. Mais chut, elle ne le savait pas encore.

67
Elle devait rester calme. Elle savait que c’était son premier cours de sport… Mais il fallait rester calme… Malgré tout. Elle restait Camille Catalino. Ce n’était pas non plus une incapable ! Elle pouvait très bien tenir. Après tout, bon, c’est vrai que la fée l’avait transformée en fille… Mais elle pourrait s’ne sortir, et se débrouiller malgré cela ! Elle était bien plus forte que cela, et elle valait mieux qu’un mec qui lachait à la première difficulté. Non, pas un mec. Une fille. Damn, elle devait s’habituer à cela. Déjà, une fois, elle avait fait toute une rédaction, à la première personne avec tout les accords au masculin par oubli… Bref, alors qu’elle était prête, concentrée, elle sursauta : quelqu’un lui adressa la parole. Qui c’est qui tout d’un coup lui adressait la parole… Quelle ne fut pas sa surprise, quand il vit… Oh mon dieu… Ce n’était pas possible…

- Coucou Camille. Je m'appelle Pauline. On ne se serait pas déjà vu quelque-part ? Ton visage me dit quelque-chose, mais je ne sais pas pourquoi. J'ai l'impression de bien te connaître, c'est bizarre, non ?

« Bon… Bonjour... »


… PAULINE ?! Elle avait envie de crier. Mais elle se retint de peu. Elle passait sur tout les couleurs possibles et imaginables. Elle connaissait bien sa cousine, elle avait même été sa première victime… Mais alors là… Elle s’attendait à tout, véritablement à tout, sauf retomber sur elle, alors qu’elle était devenue une demoiselle… Quelle était la probabilité pour que Pauline réapparaisse dans sa vie… Camille avait entendu dire qu’elle avait disparu, quand « il » avait 15 ans. C’était… C’était pas possible qu’elle réapparaisse comme ça ! Ou peut-être… elle ne savait pas, elle n’avait pas eu de contact avec sa famille depuis très longtemps… Bref, rien à faire… Elle était bien en face sa cousine, et elle savait pas quoi dire… Heureusement, Pauline s’occupait de parler, permettant ainsi à la fameuse lycéenne de rester relativement muette…

- Tu sais qu'on a le même nom de famille ? En plus on se ressemble. Tu dois certainement être une cousine très très éloignée hihi.

« C’est… C’est sans doute… Une co… Co... »


Elle bafouillait comme une enfant qu’on aurait surpris entrain de faire une bêtise… C’était… C’était incroyable… Elle n’arriva pas à finir sa phrase, et se dirigea alors pour le cours de natation… S’en suivit alors le cours de natation… Ce fut horrible. Elle arriva littéralement à rien. Chose relativement logique, étant donné qu’elle n’était pas habituée à ses centres de gravités, ni à son nouveau poids, sa nouvelle taille etc. Et bien, elle n’arrivait pas à nager, et manqua plusieurs fois de se noyer. De plus, son maillot de bain était beaucoup trop moulant à son goût, et elle repéra plusieurs garçons lui lancer des regards… Un tata même ses fesses, faisant rougir la demoiselle, qui frisonna de tout son corps… Le pire, c’est que ça l’excita sur le coup… Heureusement, le cours finalement eu fin… Camille tenta d’esquiver Pauline, mais celle-ci revint à la charge. Se changeant plus vite -notre chère Camille avait du mal avec les maillots de bain féminins-, une fois que cette dernière était nue :

- Camille ? C'est vraiment toi ? Je reconnais ce grain de beauté !

« Je… Voyons, je ne peux pas être ton cousin Camille, idiote, je suis une fi... »


Elle s’arrêta au beau milieu… Vous connaissez un des ressorts narratifs très utilisés, au point qu’on l’appelle un « cliché », dans les thrillers, romans policiers, séries policières, films policiers, ça fait beaucoup de fois le mot « policier » dans une même phrase… ? Et bien, c’est le ressort narratif qui consiste à faire accuser un coupable, en lui faisait déclarer un élément que seul le coupable peux connaître. Par exemple, faire dire au coupable la façon dont la victime est morte, avant que cette façon ne soit révélé par une autopsie. Le fait même que le personnage connaisse cela, montre qu’il est au moins témoin… Mais bien souvent, qu’il est coupable. Et bien, dans le cas de Camille, c’était révélateur. Seul Camille Catalino pouvait savoir que Pauline et Camille était cousin. Donc, ainsi, en déclarant « Je ne peux pas être ton cousin Camille », Camille montrait qu’elle savait ce lien entre les deux. Voilà ! Et cela… Et bien, notre chère Camille venait de le capter. Elle déclara, alors :

« Je suis une abrutie. »

Elle se fit un magnifique facepalm. Toujours entièrement nue, les deux femmes étaient maintenant la dernière présente dans le vestiaire de la salle de bain. Pourquoi était-elle tombée sur la fameuse Pauline ? Pauline se souvenait-elle de la crasse qu’elle avait fait ? Allait-elle se venger ? Des milliers de scénarios passaient dans la tête… Et ainsi, paralysée, elle s’était plaquée contre le mur, et regardait sa fameuse cousine. Elle était bien là, oui… C’était bien elle. Camille Catalino. La seule et l’unique. Celle qui avait été un garçon, et qui maintenant était une fille. Comment allait-elle expliquer ce qui s’était passé ? Heureusement, elle espérait un syndrome de Scully… En expliquant ce qui était arrivé, en ne mentant pas, Pauline la prendrait pour une folle, et arrêterait de croire qu’elle était son cousin… Malheureusement pour Camille, Pauline avait elle aussi subi un destin complexe…

68
Petit up pour dire que Camille est maintenant disponible ! Voilà donc la recherche :

Cassandre :
Réservé : 0 RP.
En cours : 3 RP.
Demande de RP : Pas de recherche, mais vous pouvez demander.

Maud :
Réservé : 0 RP.
En cours : 3 RP.
Demande de RP : Pas de recherche.

Camille
Réservé : 0 RP.
En cours : 1 RP.
Demande de RP : Recherche.

OS : 2 en cours.

Merci de votre attention !


69
Prélude / Re : Une nouvelle au lycée ? [Validarthée]
« le: dimanche 05 février 2017, 15:44:30 »
Oh, la grande vilaine Warren va capturer la pauvre Catalino <3
Merci à vous tous !

70
S’il y avait UNE chose qui avait changer depuis que Camille Catalino, jeune demoiselle, autrefois homme, était de retour au Lycée… Une seule et unique chose… C’était aller aux toilettes. Zut. Effectivement, cela est plus différents que ce dont je dois parler… Damn, j’ai pas été très maligne sur le coup. Donc, s’il y avait une seconde chose à mentionner, et bien… C’était bel et bien les cours de sports. En effet, le corps de la fameuse Camille avait été très modifié… Ainsi, chose ironique… Alors qu’elle était excellente dans énormément de cours… Elle ne l’était plus du tout en sport. Dans la plupart des cours, elle se souvenait de ce qu’elle avait vu, donc, elle connaissait bien !Mais en sport… Déjà, Camille devait s’habituer à son nouveau corps, et ce n’était franchement pas facile. Ainsi, elle était franchement assez mauvaise.

Mais de tout les sports, il y en avait un qui franchement, remportait la palme… En effet, vous devinez facilement lequel. C’était la piscine. Encore les sports collectifs, l’athlétisme, etc. Cela allait. Bien sur, elle devait mettre des maillots féminins, ce qui était assez étrange, elle n’en n’avait pas l’habitude… Mais pour la piscine, elle mettait un maillot… Qui était complètement, mais alors complètement différents de celui des hommes. Encore heureux, d’ailleurs. Bien que sans aucun doute, les garçons apprécieraient particulièrement que tout les filles passent en Top-Less… Mais bon, ce n’était pas le cas, encore heureux. Bref, en tout cas, la fameuse Camille était très mal à l’aise…

Mettre des maillots de bain… Alors, à l’époque où elle était encore un garçon, elle aurait rêvait de ce qu’elle allait faire… Mais maintenant… De quoi je parle ? Et bien, du fait que… Qu’elle allait se changer… Au milieux des filles… C’était… Ouah ! Bref, en tout cas, la fameuse Camille se disait qu’elle allait pouvoir se changer… Sauf que manque de bol : il n’y avait pas autant de cabine que de filles, et quand elle arriva, vu qu’elle traînait toujours, toutes les cabines individuelles étaient prises… Donc, et bien… Et bien, elle devait faire avec, et donc, elle devait se contenter du vestiaire collectif des filles. Elle devait prendre son courage à deux mains… Puis, sans aucun doute, que toutes les filles se tourneraient, au moins où il faut se changer… Sauf que…

Elle était surprise… Elle aurait pensée que beaucoup de filles seraient bien plus pudique que cela, mais si les filles se tournaient, et n’allait pas directement voir quand les femmes étaient nues, et bien, la pudeur était bien moins importante que chez les hommes, où aucun homme ne se regardaient alors qu’ils se changeaient… Camille remarquait bien que les timides, elles, n’osaient pas trop, et se cachaient… Mais chez les groupes d’amies, et bien… C’était classique de voir les filles se changer, sans honte, tout en continuant de discuter, se tournant surtout au moment clef de l’intimité. C’était tout. Camille alors se disait qu’elle devait se dépêcher. La natation allait bientôt commencer… Et bien, elle ne devait pas être en retard. Sinon, elle aurait des ennuis, et c’était son tout premier cours de sport.


« Courage, Camille. Tu peux le faire. »

Elle chuchotta ça. Elle ne voulait pas passer pour une fille chelou qui parle toute seule. Pas du tout !  Déjà, elle était assez mal vue par beaucoup de demoiselles de sa classe, étant donnée qu’elle arrivait comme ça, tout d’un coup, au cours de l’année, sans qu’on sache trop d’où elle venait. Puis, elle était pas bavarde, mangeait toute seule, et en plus… C’était une sale intello. Son premier DS, elle avait eu 18 ! Alors qu’elle était même pas là auparavant, pour suivre les cours. Ayant peur d’être regardée, jugée, etc. Notre fameux Camille se changeait, retirant un à un tout ses vêtements, pour finalement mettre son maillot. Elle laissa alors son sac, toujours étiqueté avec son nom. Quel honte… Elle avait tenté de retirer toutes ses étiquettes avec son nom… Mais la magie de la fée était bien plus puissante… Donc, elle devait faire avec. Elle laissa alors son sac, sa serviette, et s’apprêtait à partir nager.

71
Prélude / Re : Une nouvelle au lycée ?
« le: dimanche 05 février 2017, 11:47:06 »
Merci <333 !

Je suis maintenant une gentille fille cousine D= ! Voyons <3 !

72
Prélude / Une nouvelle au lycée ? [Validarthée]
« le: dimanche 05 février 2017, 11:31:00 »
Identité : Camille Catalino
Âge : 16 ans (Anciennement 20 ans)
Sexe : Féminin (Anciennement masculin)
Race : Humaine
Sexualité : Vierge. Elle n’en sait rien, depuis ce qui lui est arrivée. (Anciennement, strictement hétérosexuelle, avec une grande expérience.)

[H.F. (Hors fiche) : L’histoire a été inversé par rapport aux descriptions physiques et mentales pour des raisons qui seront explicités dans l’Histoire. Celle-ci doit être lue pour comprendre les descriptions physiques et mentales. Merci de votre compréhension !
L’utilisation du personnage de Pauline a été approuvé par cette dernière.]

Histoire :

Les Catalino… Une famille que vous connaissez déjà, la plus adorable soumise de Seikusu… Mais là, ce n’est pas la famille « principale » que nous allons voir. Ni Anton Catalino, ni Pauline… Non, une autre branche de la famille. Vous savez, quand on rencontre un homme, il a parfois toute une famille, grande, complexe… Et bien, les Catalino n’échappaient pas à cette règle. A côté d’Anton, se trouvait un petit frère, Piotr, qui n’avait qu’une petite année de moins que son grand frère. Mais ce dernier, sans doute plus séducteur, sans doute plus doué, eut d’abord son premier enfant. En effet, le jeune prodige arriva à se marier et avoir un enfant à seulement 18 ans… Les plus optimistes racontaient que Piotr avait trouvé l’amour aussi rapidement… Les plus cyniques et réalistes voyaient en cela un adolescent qui avait tiré son coup sans protection, mais qui au moins, payait les conséquences de ses actions, en épousant la femme, et garantissant à l’enfant, une vie agréable, et un minimum organisé…

Cependant, parfois, le malheur tombe sur un enfant : malgré une bonne éducation, l’enfant tourne mal. C’était le cas de Camille. Nommé ainsi car sa mère voulait être sûr d’avoir un bon nom, que cela soit un garçon ou une fille, le jeune homme fut un garçon insupportable. Même bébé, il pleurait, mangeait, pleurait, mangeait, pleurait… Insupportable, grandir n’aida pas spécialement. Ses premières années montraient un garçon particulièrement exécrable, malgré ses jeunes années… Faisant bêtises sur bêtises, n’hésitant pas à tirer les queues des chats, pleurant pour un oui ou un non… Le garçon était aussi un parfait comédien, dès son plus jeune âge. Il savait parfaitement être adorable quand on le regardait, pour refaire les conneries une fois que les gens avaient le dos était tourné…

En grandissant… Peut-être allait-il s’améliorer ? Ce n’était pas le cas. Au contraire, un point se renforçait avec le temps : il martyrisait toujours les plus faibles… Et était extrêmement lache. Faisant de la lèche aux plus forts du primaire, il était exactement pareil avec les professeurs. Ainsi, ses souffre-douleurs, dès qu’ils allaient se plaindre à leur professeurs, se faisaient rembarrer : « Comment osez-vous » disaient les professeurs ! Camille est un garçon adorable, travailleur, et qui n’hésite pas à aider les gens qui sont haut placé, et leur dire des compliments. Tous n’étaient pas dupe, bien sur, mais dès que Camille risquait un peu, il se dégonflait, et se cachait. Toujours, ses sales coups se faisaient soit derrière le primaire, puis le Collège, soit grâce à ses groupes d’amis, qui lui permettait d’être à l’abri.

Quel chance que ce garçon n’avait pas de frères ni de sœurs ! Ainsi, une fois dans le cadre familiale, Camille se calmait. Ayant peur de l’autorité, Camille s’était amélioré par rapport à ses parents. On racontait même que ce dernier était entrain de devenir un bon garçon. Ou du moins, faisait des efforts. Etait-il intelligent, doué en cours ? Non, pas vraiment. Il était très moyen. Mais, extrêmement content de voir l’enfant s’améliorer, et étant trop inexpérimentés pour comprendre que le jeune garçon, de 12 ans maintenant, était un jeune manipulateur, ses parents lachaient la surveillance, et laissait le garçon faire un peu ce qu’il voulait. Puis, après tout… Il n’avait que 12 ans. Comment cela pouvait mal tourner ? Et bien, ils avaient raison… Sauf que peu à peu, les années passaient, et le garçon de douze ans, devint un jeune adolescent de quatorze ans, dont les hormones commençaient à le travailler… Et un jour, quand la famille se retrouva ensemble chez Anton Catalino, l’aîné des deux frères, Camille demande à sa jeune cousine :

« Alors, cousine, tu me présentes pas ta chambre ? »

Sous le prétexte d’un jeu, et profitant de la naïveté de la pauvre fille, le fameux jeune homme, d’âge à découvrir cela, put voir pour la première fois une fille nue. Quel ne fut pas sa déception. C’était qu’une fillette, en même temps… Il regarda quand même, mais globalement, aurait préféré voir une vraie femme constituée… Mais c’était bien au moins ! Pauvre Pauline ! Celle-ci ne comprenaient sans doute pas tout ce qui lui arrivait, et n’avait ici qu’un avant goût de ce qu’elle subirait plus tard, après son kidnapping. Mais cela n’avait aucun lien avec son histoire. Une fois son méfait accompli, une fois qu’il estimait qu’il avait… Assez… Joué avec sa cousine, l’avait assez humiliée, il estima qu’il était temps de partir. Alors, prenant les vêtements, il s’installa à la fenêtre, profitant qu’ils étaient au rez-de-chaussée, et déclara :

« C’était sympa comme jeu ! Je garde ça, tu veux ? Tu t’expliqueras avec tes parents ! »

Ce fut sa première vraie crasse. Une horreur sans nom, qui fut sans conséquence, heureusement pour le garçon. Pauline s’était très certainement rhabillée, vu qu’elle était dans sa chambre, et notre cher Camille garda alors les vêtements comme trophée. Il les installa plus tard dans un petit coffre, de sa chambre de Lycée. En effet, il venait d’entrer au Lycée, et il avait décidé de mettre dans son petit appartement, plus une chambre de résidence pour jeune personne. En effet, sous sa propre demande, Camille prit son envol du cocon familiale à l’âge de seize ans. En effet, depuis ce qu’il avait fait subir à Pauline, le fameux Camille se sentait alors en tête, de faire des crimes de plus en plus grave, mais sans jamais se faire prendre. Le frisson de l’interdit… L’adrénaline… Tout cela se mélangeait avec cette immense peur de se faire choper et d’en payer les conséquences. Il voulait faire ce qu’il veux… Tant qu’il n’en payait pas le prix.

Ainsi, commença sa vie au Lycée. Un double jeu tout à fait abject, où se cotoyait de la lèche et de l’obéissance envers toutes personnes ayant de l’autorité, et de la violence sur tout faibles qui s’approchaient de sa trajectoire… Un double jeu qui lui donnait de plus en plus de plaisir, de plus en plus de goût pour tout cela… C’était amusant, et tellement grisant. Sinon, il fit sa première fois, et cela, de manière consentante. Une fille qu’il avait dragué, et avec qui il arriva finalement à conclure, pour son plus grand bonheur. Ce fut génial, et il adora. A telle point que quand celle-ci eut fini, et voulu se coucher… Il déclara que non. C’était pas fini. Et un deuxième tour commença, sans le consentement cette fois de sa copine. Deuxième tour plus violent, bien plus amusant, et ainsi, se termina la meilleure soirée de sa vie…

Ses prochains jours furent dans la peur. Et si cette salope prévenait la police ? Et si elle foutait sa vie en l’air ? Heureusement, cette dernière n’appela jamais la police. Il était sauvé. Il se demanda parfois pourquoi ne l’avait-elle pas fait. Avait-elle considéré que c’était « normal » ? Avait-elle peur d’éventuelle conséquence ? Camille ne le sut jamais. En effet, il ne revit jamais cette demoiselle, mise à part à quelques cours, de temps en temps, ou dans les couloirs, mais les deux n’en parlèrent jamais. Comme si de rien n’était. Cela permit alors à Camille de continuer son lycée, sans complication, alors qu’il approchait maintenant du diplôme final. Bientôt, il sera libre de tout ses cours et autres stupidités. C’était cool ! Donc, il travaillait un minimum, et finalement, le jour J… Réussite ! De rien du tout, mais une réussite quand même. Il était maintenant libre ! Putain, cela faisait super plaisir !

Commença alors une nouvelle partie, et une dernière, de sa vie. Une fois le lycée fini, et le diplôme en poche… Le fameux Camille devina qu’il devait maintenant se trouver une vie… Dur de trouver un boulot, quand l’honnêteté et le travail nous déplaît ! Littéralement, il regretta très rapidement ses années de Lycée. L’époque où tout était facile, et où l’argent coulait à flot, car les parents n’hésitaient pas à donner de l’argent, quand le compte en banque passait dans le rouge, et bien, c’était terminé ! Et dieu que cela lui faisait chier. Il n’avait pas envie de faire un boulot chiant, dur, et dont la rémunération était ridicule… Quant aux études ? Par pitié ! Il avait pas quitté le lycée pour retourner à un truc quasi identique… Fallait pas le prendre pour un gros con non plus ! Il y avait d’autres moyens de vivre dans ce monde...

Alors, il commença la vie « underground ». Récupérant un petit foyer miteux, mais dont le loyer était ridicule, il commença les trafics de drogues, les larcins, et autres magouilles. Encore une fois, sa lâcheté et sa peur des autorités étaient d’une grande aide. Les fournisseurs savaient qu’au moins, avec le Catalino, ils ne risquaient rien… Mais de l’autre côté, ils le méprisaient pour son côté lâche et trouillard. Ainsi, Camille Catalino était la risée de tout le monde de la drogue, mais était apprécié pour son « utilité ». Monsieur croyait qu’il était roi du monde, puissant, efficace, le baron de la drogue… Que nenni ! Il n’était qu’une petite magouille, ridicule et obéissante, qui risquait à tout moment d’être lâché par ses patrons. Ceci étaient clairs sur ce qu’ils pensaient de lui : il n’était rien. Et il ne sera jamais rien.

Finalement, sa vie bascula une soirée, après un deal de shit particulièrement fructueux. Ayant reçu un bon paquet en liquide, et passant dans une ruelle, il vit une belle femme peu vêtue. De suite, il tenta de l’acheter avec des billets. Après tout, c’était sans doute une pute ! Quelle ne fut pas sa surprise, quand la femme le gifla, et se tourna. Son sang ne fit qu’un tour, il plaqua la femme contre le sol. Celle-ci tenta de résister, mais Camille avait plus d’accroches, et arracha les vêtements de cette catin, à ses yeux. Et il prit son pied. Putain, cela faisait du bien ! Cette grosse pute n’avait que ce qu’elle mérite à ses yeux. C’était elle qui avait refusé ses avances, et c’était qu’une femme fragile. Personne pour l’arrêter, personne pour l’empêcher de faire ça, comme toujours, dans ce genre de situation, il se sentait le plus fort. Ainsi, le viol fut pour lui un bon moyen de passer sa soirée, et finalement, une fois son méfait accompli, se rhabillant, il écouta la pauvre femme se plaindre de ce qui lui était arrivée.


« … Je… Je n’avais jamais vu ça… En 1300 ans d’existences... »

Tient, se dit-il alors en s’amusant. Elle avait perdue la tête la pauvre… Et là, un grand flash de lumière l’aveugla, et il en tomba à la renverse. Encore cul nu, il vit la fille qu’il venait de violer, s’être transformer en une fée, une véritable fée… Et elle était furieuse. Il remarqua que tout les coups de violence, et même le fait qu’il l’avait déshabillée avait également disparue : Elle était en parfaite état, comme si de rien n’était. Une seule chose permettait de montrer qu’il avait fait ce terrible viol : la fée était furieuse. Elle regardait l’humain, en croisant les bras, une baguette entre ls mains… C’est pas possible… Non, il était entrain de rêver… La fée, le regarda attentivement, et hésita… Elle avait très envie de le tuer, mais non… Il fallait qu’il comprenne la gravité de ses actes… Elle leva sa baguette, et déclara en hurlant :

« Tu… TU VAS PAYER POUR CELA ! »

Alors, une grande douleur prit tout son corps. C’était indescriptible -donc on va tenter quand même, car je suis folle et/ou masochiste-. Ce fut littéralement comme si son corps était entrain de fondre, ses os, ses muscles, son visage… D’abord, la douleur le prit au niveau de l’entrejambe, qui disparaissait… Il avait envie de crier, mais la douleur était telle qu’elle en devenait blanche, littéralement. Une douleur sourde, qui lui donnait envie de mourir. Son pénis disparaissait, pour laisser place à un vagin tout à fait fonctionnel… Tout ses muscles fondaient, sa cage thoracique était écrasée d’un nouveau poids… Que cela stoppe !!! Heureusement, comme si sa prière sourde avait fini par atteindre les oreilles d’un Dieu, celle-ci prit fin, après facilement cinq minutes de tortures… C’était les pires cinq minutes de sa vie… Et qu’elle ne fut pas sa surprise, de voir que dans ses vêtements flottant… Il était devenu… Une fille. « Elle » était une charmante demoiselle, et avait perdu tout de sa masculinité… La fée, contemplant son action, déclara, avant de disparaître, sa vengeance accomplie :

« Voilà, tu es… Bien mieux comme ça ! Ainsi, tu sais ce qu’est, être une femme. Ou du moins, tu vas le découvrir. Pour payer tes crimes, ceci est ta renaissance. Bonne chance. Réfléchis à tes actions. »

Choquée, la nouvelle jeune demoiselle ne savait pas quoi faire, ni quoi dire. Il… Il venait de rencontrer une fée, et celle-ci l’avait littéralement transformée… En fille ? Mais c’était n’importe quoi ?! Elle se pinça plusieurs fois, se frappa la tête, bref… Tout ce qu’elle pouvait faire pour se convaincre que ce n’était pas un rêve. Une fois la confirmation ayant tombée, il tenta de rentrer chez elle, dans son petit appartement miteux. Camille fut de suite chassé par la concierge… Que faire… Rentrer chez lui, et prévenir ses parents ? Cela faisait 4 ans qu’elle ne les avait pas vu, et jamais ses derniers ne le croiraient s’elle avouait la vérité… Finalement, la réponse vint à « elle ». Alors qu’elle pleurait sur un banc public, un policier en civil, rassuré de la trouver, lui déclara qu’elle devait rentrer au lycée, et que sa « fugue » avait assez durée ! Ne comprenant rien, elle accepta de suivre le policier, ayant trop peur des conséquences d’un refus.

Elle arriva alors à l’ancien dortoir qu’elle occupait. Elle fut bien surprise de découvrir que la chambre était… Tout à fait prête. Avec toutes ses affaires. Comme si les deux années de sa vie après le Lycée ne s’était pas passé… Elle n’avait aucune idée de ce qui s’était passé exactement, mais Camille devinait… Et bien, c’était sans doute que la magie avait sans doute un lien. La fée avait sans doute décidée cela. Elle regarda sa carte de Lycéen, et sa surprise fut de nouveau présente, quand il vit « Camille Catalino », et une photo d’elle, sous sa nouvelle forme, et tout les renseignements d’une nouvelle vie. Elle était une jeune lycéenne, de seize ans, et elle devait tout recommencer… Que… Elle ne pouvait rien faire de plus. Maintenant, tout ce qui lui restait… Et bien c’était une vie normale. Avec un nouveau corps. Sans repères, et avec une peur au ventre de la magie, elle commençait ce grand renouveau.



Physique :

Quel adorable jeune demoiselle ! Dur de penser qu’elle a été un jour un garçon… Rapidement, parlons d’ailleurs de cet ancien garçon. Il avait de nombreuses similitude avec ce qu’elle est devenue, mais globalement, c’était un garçon grand, assez musclé, sans véritablement pouvoir se vanter d’une musculature viril et puissante, aux cheveux marron foncé et court, virant presque au noir, qui seront retrouvés sous sa forme féminine. Mais attendez qu’on arrive aux paragraphes la décrivant elle, la jeune demoiselle. Cheveux court, visage triangulaire, très beaux yeux bleus… Bref, un homme qui aurait put réussir par sa beauté, son charme, si cela n’avait pas été une petite crapule, qui n’avait jamais joué sur son charme, mais plutôt sur sa « force », et son charisme… Pas de bol !

Mais ça, c’était avant. C’était avant la rencontre avec la fée. Maintenant, faisons une description « classique », en zoom. Ainsi, la jeune demoiselle est une demoiselle pas bien grande, vu qu’elle fait un petit mètre soixante, et n’est pas spécialement lourde. -Mais on ne demande pas le poids à une demoiselle- ! Sinon, c’est littéralement une crevette. Adieu les muscles légèrement présent quand il était un homme ? Maintenant, le jeune demoiselle est véritablement fine comme une allumette, et on pourrait aisément faire la blague sur le fait qu’il serait capable de la briser, juste en lui éternuant dessus… Et cela ne serait pas totalement faux. Pour ce qui est des plaisirs féminins, ni sa poitrine ni son fessier n’est très développé. Elle reste assez plate, ce qui ne la dérange pas trop, n’ayant pas trop envie de perdre l’équilibre qu’elle avait quand elle était un garçon.

Comment s’habillait-elle ? Pour le moment, comme elle peut… C’est à dire, avec les uniformes scolaires qu’elle a dans ses placards… Et c’est tout. En effet, elle ne possède aucun autre vêtements… Et heureusement, car ne connaissant rien à comment s’habille une fille, elle s’habillerait comme un sac. Donc, vous imaginez le résultat ? Bref, ainsi, elle profite de la « gentillesse » de la fée, qui avait fait en sorte de permettre à la nouvelle jeune fille d’avoir des tenues à sa fille. C’était… C’était gentil ? Bonne question. Bref, en tout cas, la fameuse jeune demoiselle s’habille toujours assez décemment. Elle a assez peur des hommes, niveau habillement. Chose logique : Elle était attirée, à l’époque où elle était un homme, par les femmes peu vêtue… Elle ne voulait guère attirer les hommes, violeur et autres joyeuseté qu’elle connaissait que trop bien, pour l’avoir été.

Rapprochons-nous… Et regardons donc, le visage de notre jeune demoiselle. Une chose à dire : Camille est mignonne. Sa transformation en fille, a permit alors à la demoiselle d’avoir un visage extrêmement doux, bien plus doux que quand elle était un homme. Très légèrement marqué au niveau du menton, il reste globalement rond, encadré par des cheveux mi-long marron foncé, tendant vers le noir, comme nous avions pu voir à l’époque où elle avait encore un phallus. Mais le plus marquant, ce sont sans doute ses magnifiques yeux bleus. Des yeux bleus clairs, profond, qui sont presque une marque de fabriques chez les Catalino du côté de Piotr. Adorable, la fameuse Camille regrette presque cela parfois, estimant qu’elle aurait moins risquée si elle avait été plus moche… Malheureusement, la fée était allée jusqu’au bout, pour sa punition.


Caractère :

Maintenant que Camille est une fille… Comment décrire son caractère ? Et bien, ce n’est pas forcément chose aisée, mais je tente le coup ! Alors, commençons par ce qui n’a nullement changer… Sa peur de l’autorité. En effet, comme quand elle était un garçon, la fameuse Camille a peur d’une chose, véritablement : C’est l’autorité. Elle a peur des conséquences de ses actes, et très souvent, a tendance à tenter d’y échapper le plus rapidement possible. Vous comprenez ? Ainsi, la jeune demoiselle a tendance à toujours éviter les surveillants, professeurs, policiers… Elle sait très bien que ce qu’elle fait régulièrement est mal. Donc, elle ne veux pas se faire chopper et punir. Trouillarde, peu responsable… Notre fameuse Camille a tendance à oublier que ce qu’on fait… Peux amener de terribles conséquences… Pourtant, sa forme actuelle en est bien liée.

Cela fait d’elle une lache… Peut-on continuer sur ses peurs ? Oui ! En effet, maintenant qu’elle est devenue une fille, et bien… Camille est assez mal à l’aise avec tout cela. Elle sait très bien qu’elle est devenue une demoiselle, et qu’elle peux difficilement faire autrement. Donc, les hommes, mais aussi les femmes, peuvent lui faire peur. Elle a presque l’impression que tout le monde connaît son passé, et peux la faire chanter à tout moment. Bien sur, cela fait naître une grande paranoïa, et une tendance à esquiver les autres… Presque agoraphobe, elle préfère être tranquille, et tenter de vivre sa vie tranquillement, sans qu’elle n’ait le moindre problème… Bien sur, elle devine que cela ne sera pas aussi facile…

Roh la la la… Peut-on au moins lui trouver une qualité, à cette fille ? Et bien…Oui. On peux trouver en effet, une qualité à la jeune demoiselle. Celle-ci est discrète, et peu bavarde, et sait user de sa mignonneté s’il faut. Presque une réminiscence de son enfance, elle se rappelle comment être gentille… Et parfois, cette gentillesse, ce masque, et bien… Devient la réalité. Peu à peu, si on est gentil avec elle, si on l’aide à se sentir bien dans sa peau, qui sait, même, l’aider à être heureuse en temps que fille, on peux se rendre compte que la fée a bien fait de faire de lui une fille : elle devient beaucoup plus sympathique, presque mignonne et gentille. Ce qui lui faut, c’est bien s’occuper d’elle… Très bien s’occuper d’elle. Si on est même un peu sévère, sa crainte de l’autorité peux la transformer en parfaite soumise, en demoiselle qui sera parfaite pour obéir à tout vos ordres, et ainsi, en faire une parfaite esclave. Quoi ? Vous dîtes que c’est méchant… Et bien, vous ne devriez pas… Car voilà ce qui peux arriver, si vous ne le faîtes pas.

En effet, Camille reste Camille. Même devenue une fille, elle garde au fond d’elle, son ancien caractère sadique. Derrière son côté adorable, se cache aussi un être narcissique, et qui a tendance à vouloir posséder tout. Ainsi, si vous êtes gentil mais trop laxiste avec elle… Elle peux très bien considéré que maintenant, vous lui appartenez. Et elle est TRES possessive. Alors, Camille peux décider de vous garder, de faire en sorte que maintenant, vous ne serez qu’à elle. Et personne d’autres aura le droit à vous avoir. Et oui, cette demoiselle peut vite virer Yandere, si elle n’a pas ce qu’elle veux. Ce qui n’est pas une bonne chose. Donc, soyez gentil avec Camille… Mais ne la laissez pas avoir ce qu’elle veux. Matez-la, dressez-la, et vous aurez une Catalino rien que pour vous, obéissante et gentille… C’est comme un élément instable, Camille… Bien géré, cela peux donner de grand résultat… Mais le moindre déséquilibre peux tout faire sauter !


Autre :
Rien de spécifique à dire, à part un IMMENSE merci à Pauline Catalino pour m’avoir permit de faire de Camille un personnage lié à la famille Catalino, ce qui permettra de super RP ensembles <3 Bref, gros coeur à Pauline !
Sinon, DC d’une vachette et d’une paladine raciste !

Pages: 1 ... 3 4 [5]