Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Vanadis

Pages: 1 2 [3] 4
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Archives / Re : Kama sutra
« le: jeudi 19 décembre 2013, 00:19:47 »
+1 pour Abi, car le latex, c'est le bien (voui voui)

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Prélude / Re : Une nature conciliante
« le: mercredi 18 décembre 2013, 20:54:46 »
Bienvenue toi ^w^

Une petite prostituée sans domicile ? On peut t'accueillir si tu veux ^^ Tu aime le latex ?

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Yûna... De toutes les Kamori de l'établissement, celle-ci était la plus jeune et la plus ouverte d'esprit. En un mot comme en cent, elle aimait le sexe. Entendez par là qu'elle aimait toutes les positions praticables, y compris les plus ardues à exécutés, mais s'intéressait également beaucoup aux déviances, mais pas toutes pour autant, tel que la nécrophilie. En revanche, elle n'avait rien contre l'urophilie et la zoophilie, qu'elle n'avait encore jamais eu l'occasion de tester, ni même la pédophilie, sachant qu'elle avait débutée le métier à l'âge de 9 ans. Concernant la Scatophilie, si le client aimait qu'on lui chie à la face, elle n'allait pas contredire, mais il n'"tait pas question pour elle qu'on lui fasse la même chose. De même pour le gore, elle tenait bien trop à son corps pour se faire découper. Mais si c'était le kif de ses partenaires de finir en morceau... pourquoi pas. Tant que l'envie et la passion étaient présentes, il n'y avait aucune raison que le sexe soit quelque chose de mal.

Pourquoi parler de ces derniers points ? Parce que justement, la cliente du jours était venue en fauteuil roulant et avait été placée dans sa chambre après avoir payée le service. Il s'agissait d'une jeune femme ayant à peu près 28 ans, qui avait apparemment subit une quadruple mutilation, dont il ne restait que la tête et le tronc. Les moignons de membres parfaitement cicatrisés, elle devait être dans cet état depuis quelques années maintenant. De ce que la jeune fille compris, le fantasme de cette femme était de se faire baiser par une jeune ado, qui abuserais de son corps, incapable de se défendre. Yûna étant très tolérante en matière de sexe, avait acceptée le travail. Et depuis près de deux heures, elle baisait avec force ce tronc de femmes comme elle se masturberait avec un traversin modifié. L'ado lui avait mise une tenue de latex (autant que possible du moins) et toutes deux étaient reliées l'une à l'autre par un double gode vibromasseur. Et la jeune femme elle, était littéralement aux anges. Comme Yûna le disait toujours, tout les gouts étaient dans la nature. Et si cette femme était soumise au point de ne plus vouloir de membres, c'était après tout son choix.

Plus bas, Sayaka était à son bureau et observait ses différentes sœurs via son écran. Toutes étaient occupées avec un ou plusieurs clients, sauf Megane qui se masturbait toute seule devant un porno. L'aînée de la fratrie avait de la peine pour elle et espérait que de nouveaux clients allait pouvoir s'occuper de sa seconde cadette. Comme si une divinité quelconque l'avait entendue, Sayaka entendit la sonnette dans le hall et alla voir de qui il s'agissait. Et aux premiers coup d'œil, la jeune femme pu voir qu'il s'agissait de deux jumelles blondes, encore assez jeunes pour allez au lycée. Et vu leurs vêtements, ce devaient être de riches héritières. Néanmoins, il ne fallait pas être diplômée pour comprendre pourquoi elles étaient ici. Les bordels légaux respectaient scrupuleusement la loi et interdisaient tout simplement l'accès ou une place aux personnes qui n'avait pas la majorité à 21 ans. Si personne ne les avaient encore dénoncées, c'était avant tout parce qu'aucune des prostituées de l'établissement n'était encore majeure. Même Sayaka, qui était pourtant la plus âgée, avait seulement la vingtaine. Les dénoncer, ce serrait renoncer aux corps chauds et accueillant des mineures qu'elles étaient encore, autant pour les clients adultes, que pour les clients ado. Avec son sourire le plus séducteur, Sayaka accueillit les demoiselles, toujours aussi peu vêtue qu'à l'accoutumé.

- Bienvenue au Kamori Pleasure Mlles. Avez-vous une envie précise ou êtes vous seulement là pour découvrir ?

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D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, Nodoka avait toujours été une grande masochiste. Profondément amoureuse de sa grande sœur Mako, celle-ci s'en était rapidement rendue compte et, assez perverse, avait vite soumise sa cadette à ses désirs. Au début, il s'agissait simplement de petits attouchements lorsque leurs parents avait le regard tourné ailleurs, quelques jeux dans la salle de bain aussi et, petit à petit, cela avait dérivé vers une relation plus débridée. Une nuit, alors que leurs parents étaient partis en week-end, les deux jeunes filles avaient poussées leurs jeux plus loin. Nue, avec uniquement un collier de chien et une laisse, Nodoka avait marché à quatre pattes dans les rue, Mako étant simplement habillée avec son uniforme scolaire. Elles avaient croisées des garçons jouant au foot dans le parc, qui était un peu plus vieux qu'elles, et l'aînée avait tout naturellement dirigée sa cadette vers cette direction. Cela avait non seulement été sa première fois avec un garçon, mais également sa première humiliation publique. Et Nodoka en avait eu plusieurs orgasme.
Depuis ce temps là, la plus jeune des deux ne ressentait du plaisir que dans la douleur et la dégradation. Si quelqu'un souhaitait être douce avec elle, tout ce que Nodoka ressentirait serait un ennuis profond, sauf si c'était de sa grande sœur chérie dont il s'agissait.

Lorsque le groupe de fille tapota à la porte, Mako punissait sa sœur de quelques coups de cravache. En effet, Nodoka avait osée appeler sa sœur "Onessan" au lieu de "Maîtresse". Maintenant, elle mouillait en abondance à chaque coup qu'elle recevait sur ses tétons ou son clitoris, de la salive s'écoulant de sa langue pendante.

- Entrez.

La porte s'ouvrit et révéla quatre appétissantes jeunes femmes, qu'aucune des deux ne connaissait encore. Si Gia et Myriam étaient déjà venues dans l'établissement, elles étaient d'avantage adepte des quatre autres sœurs, plus communes. Si Mako esquissa un sourire de prédatrice, Nodoka elle, resta dans sa bulle de luxure, n'ayant pas conscience des nouvelles arrivantes.

- Nous sommes vos premières clientes ! je suis Gia !

- Je suis Asuri !

- Je suis Myriam !

- Je... Je suis Alice !


L'aînée allait s'avencée vers les beautés qui se présentaient à elle, lorsqu'elle entendit un soupir de plaisir émaner de sa sœur, et lui administra aussitôt un autre coup de cravache sur le clitoris bien gonflé.

- T'ai-je autorisée à émettre un son, petite sœur ?

- N-non Maî...


Nouveau coup sur le téton droit, qui fit se cambrer de plaisir la soumise.

- Je t'entend encore une fois et je te laisse ainsi jusqu'à demain soir, compris ?

Nodoka se contenta de hocher la tête, montrant ainsi qu'elle avait bien compris. Nodoka ne voulait pas décevoir sa sœur et, si elle restait ainsi 24h durant, elle ne pourrait plus gouter à ses lèvres d'ici là. Et ça, ce serait trop pour elle. Mako la complimenta d'une petite claque sur le cul.

- Brave petite. Pourquoi nous avez-vous choisies mes belles ?

- On a payé pour la totale, on a voulu être généreuses avec le petit commerce et la libre-entreprise.

- La totale donc ? Parfait. Etant donc six ce soir, il y aura au choix deux ou trois Maîtresses pour nos jeux. Il y a quelques tenues de convenance dans le vestiaire d'à coté. Je vous propose donc de vous changer, avant de commencer. Je verrais bien qui sont les plus soumises du lot.


D'un geste de la main, elle indiquait une porte vers une pièce adjacente qui comportait quelques casiers, ainsi qu'un dressing. Et celui-ci ne proposait que des tenues en latex noir, bien entendu.

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Prélude / Re : Kaguya, la princesse des souhaits.
« le: mardi 10 décembre 2013, 12:46:35 »
Citer
Oui je sais, l'urophilie va dégoûter pas mal de gens, je pense, mais bon, au moins j'innove en faisant un perso avec des penchants dégueux :p

*Nodoka à les yeux qui brillent *^* *

Bienvenue à toi ^^ Il semble que ma petite cousine t'apprécie déjà :P

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Prélude / Re : Evildia Masseuse Immortelle
« le: mardi 10 décembre 2013, 12:28:12 »
bienvenue à toi ^^

(oh, une Elin de Tera :3)

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Les filles de l'établissement étaient toutes habituée au sexe, ce depuis leur enfance. Prendre du plaisir et en offrir était autant un emplois qu'une passion. Mais les prostituée n'étaient pas des esclaves pour autant, livrées à elles même, elle connaissait la valeur du travail bien fait et la nécessitée de l'argent, leur seul moyen de vivre. Mais surtout, contrairement aux esclaves, les filles étaient libre de leurs choix, elles avaient choisi de vivre ainsi, sans être forcées. Une esclave était soumise par des règles et risquait fortement d'être violentée ou tuée si elle tentait de fuir. Au contraire, une prostituée pouvait partir à tout moment pour vivre sa vie autrement. En fait, ce qui les différenciait des esclaves, c'était qu'elles avaient le choix et la liberté.

C'était aussi pour conserver ces valeurs qu'elle avaient rejetée l'idée de contacter les Yakuza ou encore d'accepter l'offre de certaines personnes riches déjà venues ici. Elles ne souhaitaient pas être dépendantes et exploitées. Mais aujourd'hui, force était de constater qu'avec des personnes influentes, leur établissement aurait pu bénéficier d'une meilleure sécurité. Car là, les sœurs n'avaient d'autre choix que de se laisser violer – sans argent en retour – et les laisser voler la caisse, ou se faire tuer. Yûna lançait des regards meurtriers à ses agresseurs, gémissant de douleur chaque fois que cet immonde pénis la pénétrait. Sérieusement, depuis combien de temps ces déchets ne s'étaient-ils pas lavés ? En plus du viol, elle devait également subir cette ignoble odeur. Heureusement pas pour longtemps, car le client de leur aînée, Cyscek, s'occupa rapidement de leur cas, les envoyant dans les bras de morphé en quelques secondes seulement. La jeune fille ne se fit pas prier et, dès qu'elle en eu l'occasion, alla se cacher dans la chambre de Sayaka, rejointe rapidement par cette dernière, ainsi que par Megane.

De son coté, Ako avait toute les peine du monde à retenir un haut le cœur, obligée de sucer ce sexe nauséeux et avec un gout atroce d'emmental périmé, sous peine de se prendre une balle en pleine tête. Dans un coin de sa tête, elle se demandait même si c'est type n'était pas des adeptes du smegma. La jeune femme espérait aussi que le sperme de cet homme était identique à celui des mortels, au moins ça rehausserait le gout vomitif de ce membre. Mais, une fois de plus, ce fut Cyscek qui vint à son secours. Ako eu juste le temps de croiser son regard, un dixième de seconde, avant de décaler sa tête de coté. Trois secondes, un coup de feu et un vomis plus tard, le violeur était mal en point, la prostituée se tenait le ventre avec un air maladif sur le visage et un trou ornait désormais le plafond.

- Vous êtes combien ?! Parle !

- Se... Sept ! On est sept ! S'il vous plait ne m ...


Coup de cross sur la tête et lui aussi fut envoyé au pays des rêves. Ako, qui avait un peu de mal à tenir debout, fut aidée par l'homme qui était venu la sauver. Elle avait quelques bleus sur le ventre, preuves qu'on l'avait battue avant d'entreprendre de la violer.

- Va rejoindre Yûna, fermez à clé et ne sortez pas de la chambre.

Elle hocha la tête et se dirigea d'un pas lent vers l'étage, appuyée contre le mur. En chemin, elle croisa sa sœur ainée armée d'un teaser, visiblement en colère contre les malfrats. Elle eu malgré tout droit à une brève étreinte, Sayaka étant rassurée de la savoir en vie. Lorsque celle-ci rejoignit Cyscek dans le hall, l'homme la regarda d'un air grave.

- Il en manque deux ...

La femme hocha la tête et regarda en direction de la cave.

- La salle des tortures... Mako et Nodoka y faisaient une séance.

--------------------------------------------------------------------------------------------------

Depuis plus d'une heure, les deux sœurs, cousines des quatre autres, jouaient à la Maîtresse et à la soumise. Nodoka avait été attachée sur la crois, bras et jambes écartées, et se faisait délicieusement défoncée depuis tout ce temps par une machine sexuelle, qui enfonçait dans ses deux orifices intimes des gode vibro munis de petits picots mous. Enfermée dans son monde de luxure infinie, les oreilles bouchées et la vue masquée, une gag-ball dans la bouche qui laissait sa salive s'écouler, la jeune fille n'avait pas conscience de son environnement, et du fait que la séance avait été écourtée par l'arrivée de deux indésirables. Vu leur airs menaçants et les coutelas qu'ils tenaient en main, ce n'était pas des clients. Cependant, il serait précipité de dire que les deux prostituées étaient en mauvaise posture. En effet, Mako tenait les deux hommes à distance à l'aide d'un solide fouet en cuir, qu'elle faisait claquer devant eux chaque fois qu'ils tentaient de s'approcher.

L'un d'eux, à bout de patience, fini cependant par s'élancer vers elle, initiant un mouvement pour la planter dans le bras. Deux coups de fouet plus tard, le couteau gisait au sol et l'homme hurlait de douleur, se tenant ses précieuses, à genoux au sol.

- Peuh ! Vous jouez les durs mais vous êtes faibles. Vous me dégoûtez, et pas qu'à cause de votre odeur.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 09 décembre 2013, 23:06:52 »
Citer
et te prostituer dans les quartiers craignos de ta ville

Eh ! Je le permet pas >.<

23h07

Allez, faut que je fasse une intro pour les Karistal... Même si ça fait déjà deux plombes que je stagne T_T

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 décembre 2013, 22:10:35 »
Et nous VDD, on peut venir ? :3

Comme ça, on serra 9 dans la petite sauterie *^*

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Prélude / Re : Shinjo, like a dream.
« le: lundi 09 décembre 2013, 20:14:23 »
Bienvenu ^^

Nous, on a pas besoin de ça pour donner du rêve aux autres 8D

41
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 décembre 2013, 19:17:05 »
*Ako, Megane, Yûna et Nodoka s'exécute aussitôt sous l'ordre de la VDD °Q°*

*Mako veut participer à la séance de Fouetage °^°*

*Sayaka regarde la scène d'un air amusé ^w^*

C'est toujours bien de trouver de nouvelles clientes :P

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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 09 décembre 2013, 18:31:22 »
La VDD du VDD de ma VDD (°w°) devrait savoir que ce genre de vêtements est très confortable et même très idéal pour exciter son entourage sans avoir à user de phéromones ou d'aphrodisiaques ^w^

Et on approuve à 100% le style de notre VDD o/

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Contre le réseau de prostituées des Yakuza, nan, je pense pas ;D

Z'avez l'air d'aimer les matières noires et brillantes... ça vous dit de travailler chez nous ? :3

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Le soleil, bien que toujours présent dans le ciel, commençait doucement à disparaître à l'horizon. L'heure d'ouverture de leur établissement approchait à grand pas et Sayaka, derrière son écran d'ordinateur, vérifiait que ses sœurs étaient toutes prêtes pour recevoir leurs clients. Depuis qu'elles avaient été attaquées directement chez elles, l'aînée de la fratrie avait pas mal investie afin de renforcer leur sécurité, avec des caméra de surveillances assez discrètes pour vérifier que tout se passait bien dans les différentes salles – même si se faire filmer durant leurs ébats excitaient grandement les filles – et un petit mécanisme situé à l'accueil et dans les chambres permettait de prévenir la sécurité, qui elle, était gérée par Cyscek via un contrat passé. L'homme se montrait particulièrement protecteur envers elles et leur laissait une totale liberté de mouvement, malgré son "métier".

Si Sayaka devait bien admettre une chose, c'est bien qu'elle-même ressentait beaucoup de plaisir à observer ses sœurs et ses cousines. Chacune d'entre elles était si profondément marquée par le sexe, qu'elles le vivaient sans gêne au quotidien, y étant tellement habituée que cela était parfaitement normal. Par exemple, Yûna était actuellement en train de lire un manga, même pas un hentaï, mais se masturbait dans le même temps à l'aide d'un gros gode. Megane de son coté, se faisait toute belle et semblait beaucoup hésiter entre deux tenues en latex devant son miroir, demandant son avis à Ako qui se déshabillait à coté pour prendre la douche. Nul doute qu'elles feraient probablement l'amour sous l'eau chaude. Enfin, les deux cousines elles, étaient déjà en pleine séance dans la salle des tortures, la soumise à cheval sur le tréteau, les bras suspendus au dessus d'elle, sa sœur aînée usant d'une cravache de temps à autre sur ses tétons. Et comme à chaque fois qu'elles utilisaient cette pièce, elles avaient placées différentes tenues en latex noir dans les vestiaires pour la clientèle, qu'ils soient hommes ou femmes.

Peu avant l'ouverture de l'établissement, les filles étaient prêtes à recevoir leurs clients, sensuellement allongées sur leurs matelas, dans leur tenue noire et brillante, leurs parties intimes plus ou moins visibles. Seules les deux cousines étaient totalement prises dans leur jeu sexuel, ayant visiblement envie de passer la nuit dans cette pièce. Et, pile à l'heure d'ouverture, la porte s'ouvrit. Un simple coup d'œil à son écran permis à Sayaka de voir qu'il s'agissait de quatre jeunes filles, autant en âge d'être à la fac qu'au lycée. En tête du groupe, la jeune femme reconnue Gia, une habituée des lieux et une cliente appréciée. Elle-même était une "employée" d'une certaine Melinda, qui était également déjà venue en ces lieux. Plusieurs fois, Melinda avait proposée de racheter l'établissement, mais Sayaka avait à chaque fois refusée cette offre. Malgré cette insistance, il fallait toutefois admettre que cette jeune femme et les filles qui travaillaient pour elle étaient une sacré manne.

Pour qu'elle vienne accompagnée de trois amies, Gia devait avoir une idée en tête et c'est avec  un léger sourire aux lèvres qu'elle alla les accueillir, passant la porte située derrière la réception, uniquement vêtue de sa légère tenue de latex, qui laissait à la vue de tous ses seins, cachant le reste sous le meuble. Sauf si on se penchait par-dessus.

- Gia, quel plaisir de te voir ma belle... Qu'est-ce qu'il te faudra pour toi et tes amies ce soir ?

- Nous voudrions réserver la chambre 2 pour nous quatre. Prix de groupe, donc. Pénétration, sodomie, bondage, soumission... En fait, je crois qu’on va réserver la totale.


Sayaka se mordit sensuellement la lèvre inferieur. La vache, ça allait faire une sacré somme tout ça... Et vu la liasse de billet que Gia sortait, elle avait déjà dû prévoir l'argent dont elle avait besoin pour payer. Non décidément, les "protégées" de Warren étaient de très bonnes clientes, et charmantes avec ça. Tout en comptant les billet, la concernée se pencha vers l'aînée de la fratrie et lui chuchota une petite phrase très intéressante.

- C’est elle, la fille dont je te parlais...

Quelques jours auparavant, lorsque Gia était venue baiser avec Sayaka, elles avaient un peu discutées comme à chaque fois, au beau milieu d'une position en huitre, un double gode filant dans leurs vagins. Sayaka avait en effet cette capacité de pouvoir parler clairement, comme si elle prenait simplement un café avec quelqu'un, alors qu'en réalité tout son corps transpirait de plaisir. Et durant l'une de ces "discutions", Gia lui avait parlée d'une de ses connaissance, très perverse en intimité mais qui l'assumait difficilement en public, rougissant rapidement à la moindre allusion. De ce que la prostituée en avait compris, Gia voulait aider son amie à se décoincer un peu, et l'idée de faire un stage dans l'établissement serait un bon moyen d'y parvenir. Tout ce qu'il restait désormais à faire, était de parvenir à la prendre sous son aile deux ou trois nuits, le temps de la dévergonder un peu.

- Je pense que ça devrait être assez, non ?

Sayaka pris la liasse et la soupesa, un léger sourire aux lèvres, avant de confirmer d'un signe de tête.

- Comme d'habitude. Par contre, la chambre 2 est indisponible... Car Mako et Nodoka ont décidées, pour ce soir, d'accueillir la clientèle dans l'autre salle. Tu connais le chemin maintenant...

Sayaka s'autorisa un petit extra avant de les laisser, se penchant par-dessus le comptoir pour échanger un langoureux baisé avec Gia, une vingtaine de seconde, suivit d'une caresse sur la joue, avant de faire demi-tour en dandinant sensuellement du cul et de retourner à son bureau.

- Amusées-vous bien les filles

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Depuis quelques mois maintenant, Cyscek, ce bel homme baraqué et mystérieux, était devenu l'un des habitués de l'établissement, et chacune des filles était déjà passée sous ses assauts. Enfin... presque toutes. Mako, qui était dominatrice de nature, avait sans doute dû ressentir se coté également chez l'homme et, de part sa fierté, se refusait à coucher avec un homme s'il ne lui était pas soumis. Aussi, leur relation était-elle légèrement différentes, en ce sens où elle et lui "dressaient" ensembles Nodoka, qui au contraire de sa sœur, était littéralement aux anges d'être dominée par deux êtres en même temps.

Chacune des filles se souvenaient de l'arrivée de Cyscek. Les premiers instants, il avait parût légèrement paumé, alors qu'il cherchait visiblement leur établissement. Lorsqu'il l'avait finalement trouvé, il était tombé d'emblée sur Yûna, la plus jeune de la famille, qui raccompagnait un client à la sortie. Ils avaient alors un peu discutés et le nouveau venu avait finalement accepté de coucher avec elle. Le lendemain, il était devenu l'un des plus appréciés. En effet, si une grande majorité de la clientèle tenait difficilement plus de deux heures d'affilées, lui au contraire, était suffisamment endurant pour passer une nuit complète, de l'ouverture à la fermeture de l'établissement. C'en était à croire qu'il ne ressentait pas la fatigue. Les ébats avec lui pouvaient également être aussi intenses que doux et sensuels.

Mais revenons au présent. Dans la chambre concernée, la lumière était légèrement tamisée, pour coller à l'ambiance sensuelle et studieuse qui se dégageait des ébats. De par son passé, Sayaka était sans le moindre doute la prostituée la plus expérimentée de l'établissement. Elle avait beau n'avoir que la vingtaine, elle avait autant d'expérience qu'une femme ayant la trentaine. Il fallait aussi avouer qu'elle avait commencée la profession très jeune, cela devait donc pas mal aider. Ce qu'il faut surtout comprendre, c'est que contrairement à ses sœurs et ses cousines, plus jeunes, elle était parfaitement capable de forniquer avec des hommes et des femmes en silence, sans laisser échapper le moindre gémissement ou cris, sauf si le client en faisait explicitement la demande. La jeune femme en arrivait même à parler clairement pendant qu'elle se faisait sévèrement tringler. Discuter de tout et de rien avec un client pendant une levrette lui était coutumier et cela faisait d'elle une bonne confidente durant l'acte.

Actuellement cependant, Sayaka était bien incapable de parler, bien trop occupée à lui procurer une bien agréable fellation. Replaçant doucement une mèche de cheveux derrière son oreille droite, elle astiquait langoureusement le vît de l'homme, sa langue tournant doucement autour du gland gonflé de plaisir et ses doigts gantés de latex malaxant sensuellement les testicules. Le seul bruit audible était un son mouillé provenant de sa bouche, la femme aspirant régulièrement sa salive pour ne pas en laisser couler au sol, n'ayant d'yeux que pour le délicieux phallus qu'elle dégustait. La fille de joie aurait put continuer ainsi, durant de très longues minutes encore, avant de le sentir jouir dans son gosier, mais il en fut tout autrement, au grand damne des deux amants du soir.

Au bruit qu'elle venait d'entendre, il ne pouvait s'agir que de la vitre de la porte du bureau, là où était géré l'établissement et aussi où se trouvait le coffre blindé, où étaient stockée les recettes de la nuit, avant d'êtres déposées sur le compte de la famille. Hors, aucune des filles n'aurait pu la briser. Il devait donc s'agir ni plus ni moins d'un vol. Au bruit de verre brisé, Sayaka arrêta net son office, suspicieuse, et ne se releva définitivement que lorsqu'elle entendit le cris d'une de ses sœurs. Au timbre de voix, il devait s'agir de Yûna, particulièrement effrayée, qui se trouvait dans la chambre d'à coté. Bien entendu, la brune voulut sortir immédiatement afin de lui venir en aide, mais son amant d'un soir la retint par le bras, un air déterminé sur le visage.

- Reste là, je vais voir.

Il sortit immédiatement et, à l'ouverture de la porte, Sayaka entendit distinctement une voix masculine ordonner de se servir de ses sœurs. Elles étaient des putes, certes, mais elles vivaient ainsi avant tout pour vivre, pas pour le plaisir des raclures de la société. Et là, il s'agissait sans aucun doute possible d'une bande de voyous, qui pensaient sans doute voler leur argent durement gagné et les violer en toute tranquillité. Seulement voilà, le hasard avait voulu qu'ils attaquent alors qu'un homme musclé se trouvait sur les lieux. Et le chef de la bande en fit les frais, s'écroulant au sol, le visage en piteux état.

- Hiiiiiiiiiiii !!!! Lachez moi !!

- Ta gueule salope, laisse toi baiser comme une gentille pute, si tu veux pas faire connaissance avec ma lame !


Depuis une autre chambre, un autre voyous commençait déjà à pénétrer allègrement une autre de ses sœurs. Vu les pleurs, il devait s'agir de Megane. L'aînée de la fratrie était bien évidement très inquiète pour ses cadettes. Visiblement, ces types comptaient bien toutes les violer avant de les refroidir. Malgré la demande de Cyscek, Sayaka sortit un teaser de son tiroir et se rendit elle aussi dans le couloir, où gisait au sol le chef inconscient. Elle croisa également le regard de son client, lui demandant silencieusement d'aider Yûna, tandis qu'elle-même entra dans la chambre de Megane pour sauver cette dernière. Lorsqu'elle entra, elle fut horrifiée par la scène. Sa sœur avait les mains attachée dans le dos et était incapable de se défendre alors, qu'aux pieds du lit, un client gisait sur le sol dans une marre de sang, la gorge tranchée. Devant elle, un homme qui ne l'avait pas vu entrer, particulièrement sale et odorant, la pénétrait avec force sans prendre en considération sa douleur. Il ne fallut qu'un geste en direction du meurtrier, pour envoyer un courant suffisamment puissant dans son corps, pour lui faire perdre connaissance. Inerte, il chuta en arrière et termina sur le cadavre encore frais.

- O... Onee... Je... J-J'ai... T-Tellement...

Sayaka se précipita sur elle et la serra bien fort dans une étreinte qui se voulait protectrice et rassurante. Elle avait tellement eu peur pour elle, mais d'autres membres de sa famille étaient encore en danger. Sayaka continua de la bercer doucement et lui embrassa le front.

- Là... C'est fini... Tu es en sécurité maintenant...

- Et... Et Ako ?


La grande sœur ne su que répondre... Ako était celle qui, pendant qu'elle-même s'occupait de Cyscek, était chargée de l'accueil. Sayaka espérait grandement qu'elle était toujours en vie et seulement inconsciente. Il y'avait également la situation de leurs cousines, Mako et Nodoka, qui les préoccupaient. Avec un peu de chance, elles étaient dans la cave, en train d'utiliser la "salle des torture" qui était insonorisée et les voyous n'avaient probablement pas songé à s'y rendre...

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