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Prélude / Re : La malédiction d'une sorcière [Darthestar]
« le: jeudi 26 janvier 2017, 04:52:06 »
Welcome, malédiction.
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Prélude / Re : Tsubasa Hanekawa
« le: mardi 24 janvier 2017, 18:52:23 »
Welcome. Un vrai plaisir de faire face à tes deux faces.
*Sors*
En tout cas amuse-toi.
*Sors*
En tout cas amuse-toi.
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Le coin du chalant / Re : Peu importe, dès que ça importe...
« le: mardi 24 janvier 2017, 18:41:06 »
Petit up pour signaler que je suis libre, bourses remplies quoi. 😆😘
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: dimanche 22 janvier 2017, 19:02:32 »
J'étais assis sur le sol, ma verge pointant en sa direction alors qu'elle s'amenait. Je m'étais mis à me caresser le pénis doucement, partant du gland pour arriver à la base. La fille se positionnant juste au dessus de moi, ne fit que plier les jambes pour que mon gland caresse son intimité et doucement, elle s'empala dessus, ne pouvant supporter que la moitié. De ses deux mains, elle me livrait sa petite poitrine, alors sans plus tarder, je portai mes mains jusqu'à ses hanches, la tirant vers moi tout en l'embrochant complètement sur ma queue. Par la même occasion, l'un de ses seins s'étaient retrouvés dans ma bouche, le suçotant vigoureusement, mordillant ses tétons, l'aspirant puis le relâchant pour ensuite le reprendre avec plus d'ardeur. Je me délectais de ses tétons, y laissant des filets de ma salive, les torturant de ma langue habile.
Mes pénétrations ne cessaient pas pour autant. Je martelais son intérieur de véritables coups de ma verge, qui sans difficulté atteignait ses entrailles même. Elle était secouée, culbutée, car j'avais mis assez de force, assez pour qu'elle se sente réduite à un niveau équivalent à celui d'un esclave sexuel. Alors que ses fesses claquaient contre mes cuisses, je descendis mes mains et je m'étais mis à les presser, les malaxer et parfois les gifler, les faisant rougir.
-Allez...dis que tu adores ma queue...Fais moi t'entendre couiner ! Crie !
J'aimais cette sauvagerie dans le sexe, surtout que j'avais une queue faite pour cela, dure et imposante, s'enfonçant en Erika, faisant mouiller sa chatte. Ses seins se retrouvaient à tour de rôle sous l'emprise de mes lèvres. Ses fesses, rougies et malmenées par mes mains, de quoi la faire couiner, même pleurer de plaisir. Sa mouille coulait le long de ma verge. J'allais bientôt la remplir de mon foutre.
Mes pénétrations ne cessaient pas pour autant. Je martelais son intérieur de véritables coups de ma verge, qui sans difficulté atteignait ses entrailles même. Elle était secouée, culbutée, car j'avais mis assez de force, assez pour qu'elle se sente réduite à un niveau équivalent à celui d'un esclave sexuel. Alors que ses fesses claquaient contre mes cuisses, je descendis mes mains et je m'étais mis à les presser, les malaxer et parfois les gifler, les faisant rougir.
-Allez...dis que tu adores ma queue...Fais moi t'entendre couiner ! Crie !
J'aimais cette sauvagerie dans le sexe, surtout que j'avais une queue faite pour cela, dure et imposante, s'enfonçant en Erika, faisant mouiller sa chatte. Ses seins se retrouvaient à tour de rôle sous l'emprise de mes lèvres. Ses fesses, rougies et malmenées par mes mains, de quoi la faire couiner, même pleurer de plaisir. Sa mouille coulait le long de ma verge. J'allais bientôt la remplir de mon foutre.
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Prélude / Re : Sharaz Ombrelune
« le: jeudi 19 janvier 2017, 20:53:44 »
Welcome la télékinésiste.
Amuse-toi avec ou, sans ton armure.
Amuse-toi avec ou, sans ton armure.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: jeudi 19 janvier 2017, 01:20:24 »
Le plaisir ne pouvait que s'accroître, autant que la vitesse de mes féroces pénétrations. Elle était si petite, pourtant son cul avait pu encaisser ma verge sans trop de difficulté. Elle se laissait mener et ne faisait que pousser de sérieux gémissements, son petit corps secoué par mon chibre qui la défonçait. Mon bassin heurtait ses fesses, la remontant à chaque fois puis la laissant redescendre sur mon membre veineux et parfaitement dressé. Je n'étais pas loin d'éjaculer et de la remplir de ma semence.
-Tu es si bonne...Erika.
Je disais cela alors qu'elle pouvait sentir un liquide chaud glisser doucement en elle, j'avais aussitôt enlevé mon pénis de son cul, laissant le reste gicler sur ses fesses même. Je tapotais son cul de mon membre puis je la pris par les cheveux.
-Tu es une salope. Je suis un salaud. Tous des salauds sur cette planète...
Je la relâchais, je fis quelques pas en arrière, mon mât toujours dur et pointant, je me sentais satisfait mais ma queue elle, en redemandait comme d'habitude. Je la pris entre ma main, la masturbant doucement, faisant des aller-retour d'environ 35 cm à chaque fois. Je m'étais appuyé contre la paroi de la maisonnette puis je me laissais glisser pour finalement m'asseoir sur le sol.
-T'es si...si...différente de la fille que j'ai pu rencontrer au bar. Ne voudrais-tu pas t'empaler à nouveau sur ma belle queue ? Mais cette fois...je veux ta chatte.
Je passai une main dans mes cheveux puis un rictus sur mes lèvres, je lançais :
-Et, mets toi à nue. Je veux te sucer tes petits seins. Amène-toi.
C'était à son tour de venir gigoter sur ma queue et de me montrer ses talents, ses talents de petite soumise avide de sexe.
-Tu es si bonne...Erika.
Je disais cela alors qu'elle pouvait sentir un liquide chaud glisser doucement en elle, j'avais aussitôt enlevé mon pénis de son cul, laissant le reste gicler sur ses fesses même. Je tapotais son cul de mon membre puis je la pris par les cheveux.
-Tu es une salope. Je suis un salaud. Tous des salauds sur cette planète...
Je la relâchais, je fis quelques pas en arrière, mon mât toujours dur et pointant, je me sentais satisfait mais ma queue elle, en redemandait comme d'habitude. Je la pris entre ma main, la masturbant doucement, faisant des aller-retour d'environ 35 cm à chaque fois. Je m'étais appuyé contre la paroi de la maisonnette puis je me laissais glisser pour finalement m'asseoir sur le sol.
-T'es si...si...différente de la fille que j'ai pu rencontrer au bar. Ne voudrais-tu pas t'empaler à nouveau sur ma belle queue ? Mais cette fois...je veux ta chatte.
Je passai une main dans mes cheveux puis un rictus sur mes lèvres, je lançais :
-Et, mets toi à nue. Je veux te sucer tes petits seins. Amène-toi.
C'était à son tour de venir gigoter sur ma queue et de me montrer ses talents, ses talents de petite soumise avide de sexe.
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Le parc et son sous-bois / Re : J'en avais envie... (Angeline/Asmodée)
« le: mardi 17 janvier 2017, 17:20:09 »
Je n'étais même plus en mesure de distinguer mes propres désirs d'un enchantement. J'ignorais pourquoi mais après avoir gouté ses lèvres, je n'étais plus capable de me contrôler, je la désirais ardemment. Et, je ne pouvais plus me permettre de la repousser. Je voulais me faire mettre de son corps, mais j'ignorais si en vérité, elle même me manipulait comme un objet sexuel.
-Et ta douce grotte, comment tu la nommes ?
J'avais lancé ça sur un ton hilarant alors que mon chibre la pénétrait sans relâche. Elle semblait pouvoir encaisser les véritables assauts de mon membre qui était dur comme un roc et atteignait une longueur considérable. Elle avait pris ses seins et se les pelotait. Je portai une main à sa gorge, penchant sa tête en arrière pour avoir ce sentiment d'être le dominateur. Je me retirai d'elle l'espace d'une seconde puis laissant s'échapper un long gémissement, j'avais enfoui ma verge une nouvelle fois, d'un trait. Et, je continuais à labourer sauvagement son intérieur. Son vagin s'était resseré, m'invitant à forcer et par la même occasion m'offrir une meilleure sensation.
-Où veux-tu ma semence ? Ici, ou t'aimerais l'avoir sur ton visage ?
J'étais prêt d'envoyer la première sauce. D'autres allaient suivre, car je n'avais pas encore perforé son joli cul.
-Et ta douce grotte, comment tu la nommes ?
J'avais lancé ça sur un ton hilarant alors que mon chibre la pénétrait sans relâche. Elle semblait pouvoir encaisser les véritables assauts de mon membre qui était dur comme un roc et atteignait une longueur considérable. Elle avait pris ses seins et se les pelotait. Je portai une main à sa gorge, penchant sa tête en arrière pour avoir ce sentiment d'être le dominateur. Je me retirai d'elle l'espace d'une seconde puis laissant s'échapper un long gémissement, j'avais enfoui ma verge une nouvelle fois, d'un trait. Et, je continuais à labourer sauvagement son intérieur. Son vagin s'était resseré, m'invitant à forcer et par la même occasion m'offrir une meilleure sensation.
-Où veux-tu ma semence ? Ici, ou t'aimerais l'avoir sur ton visage ?
J'étais prêt d'envoyer la première sauce. D'autres allaient suivre, car je n'avais pas encore perforé son joli cul.
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Le coin du chalant / Re : Le salon de thé au maki.
« le: lundi 16 janvier 2017, 00:23:58 »
Je me porte volontaire pour l'axe soumission/défaite.
Si ça t'intéresse, Mp moi.
Si ça t'intéresse, Mp moi.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: samedi 14 janvier 2017, 20:28:44 »
J'avais enlevé ma queue de sa bouche, la promenant sur son visage, y laissant sa salive et un avant goût de ma semence. Elle continuait à me lécher, doucement mais on pouvait remarquer une certaine passion dans chaque coup de langue. Je lui avais ordonné de se relever car il était grand temps que je goûte à ce que cachait ces vêtements de militaires.
-Avec ses habits, on ne dirait pas que t'aimes autant les queues...Je vais commencer par te défoncer ton petit cul.
Elle s'éxecuta, se redressant comme une parfaite esclave qui attend les directives du maître. Je m'approchai d'elle, d'une main ferme, je la retournai et la plaquai contre le mur. Quel joli cul ! Ma main droite empoigna son cul, et brusquement, j'avais déchiré son pantalon à cet endroit précis, faisant naître un grand trou qui exposait ses jolies fesses. Je me collai à elle, ma verge caressant son entre-jambe alors que son corps était plaqué contre le mur. Mon bassin la forçait à rester contre le mur alors que ma main vint la saisir au niveau du cou, et penchant sa tête en arrière, je la mordillais, assez fort pour la faire mal, sans pour autant causer un quelconque saignement.
Mes deux mains vinrent prendre son joli cul et l'ouvrant un maximum, j'y enfonçais ma queue d'un trait. Ainsi, à chaque coup pénétration, je la tapais sur le cul, assez fort pour l'entendre crier. Son petit corps était secoué, comme s'il était incapable de subir ce traitement. Mais, elle n'y pouvait rien. Elle allait devoir accepter le fait que mon chibre veule défoncer son cul. Et, c'était justement ce qui se passait. Mes pénétrations étaient puissantes et rapides, alors que je feintais vouloir lui arracher la peau du cou. Mes mains faisaient rougir ses fesses.
- Tu vas tout simplement gémir, hurler, et crier... Car, je vais attendre le coin le plus reculé de tes entrailles. Petite salope.
Mes deux mains s'étaient saisies de ses cuisses et brusquement, je l'avais soulevé dans les airs et, la seconde d'après, je la laissais retomber, ma verge s'enfonçant dans son cul. Elle semblait aimer ce traitement, cette brutalité dans le sexe.
Ses pieds n'atteignaient plus le sol mais mes mains la soutenaient et la laissais retomber à chaque fois sur ma queue pour ensuite la relever. Et ainsi continuait ces pénétrations brutales mais facilitant l'orgasme. Mes coups de bassin la secouaient de partout, et son cul en redemandait.
-Avec ses habits, on ne dirait pas que t'aimes autant les queues...Je vais commencer par te défoncer ton petit cul.
Elle s'éxecuta, se redressant comme une parfaite esclave qui attend les directives du maître. Je m'approchai d'elle, d'une main ferme, je la retournai et la plaquai contre le mur. Quel joli cul ! Ma main droite empoigna son cul, et brusquement, j'avais déchiré son pantalon à cet endroit précis, faisant naître un grand trou qui exposait ses jolies fesses. Je me collai à elle, ma verge caressant son entre-jambe alors que son corps était plaqué contre le mur. Mon bassin la forçait à rester contre le mur alors que ma main vint la saisir au niveau du cou, et penchant sa tête en arrière, je la mordillais, assez fort pour la faire mal, sans pour autant causer un quelconque saignement.
Mes deux mains vinrent prendre son joli cul et l'ouvrant un maximum, j'y enfonçais ma queue d'un trait. Ainsi, à chaque coup pénétration, je la tapais sur le cul, assez fort pour l'entendre crier. Son petit corps était secoué, comme s'il était incapable de subir ce traitement. Mais, elle n'y pouvait rien. Elle allait devoir accepter le fait que mon chibre veule défoncer son cul. Et, c'était justement ce qui se passait. Mes pénétrations étaient puissantes et rapides, alors que je feintais vouloir lui arracher la peau du cou. Mes mains faisaient rougir ses fesses.
- Tu vas tout simplement gémir, hurler, et crier... Car, je vais attendre le coin le plus reculé de tes entrailles. Petite salope.
Mes deux mains s'étaient saisies de ses cuisses et brusquement, je l'avais soulevé dans les airs et, la seconde d'après, je la laissais retomber, ma verge s'enfonçant dans son cul. Elle semblait aimer ce traitement, cette brutalité dans le sexe.
Ses pieds n'atteignaient plus le sol mais mes mains la soutenaient et la laissais retomber à chaque fois sur ma queue pour ensuite la relever. Et ainsi continuait ces pénétrations brutales mais facilitant l'orgasme. Mes coups de bassin la secouaient de partout, et son cul en redemandait.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: samedi 14 janvier 2017, 05:50:44 »
Elle semblait aimer cela, le fait que je la traite comme une soumise, avide de sexe. Ça on pouvait encore en douter, mais une chose était sûre, elle adorait avoir ma queue dans sa bouche. En seulement quelques secondes, elle profitait pleinement de mon chibre effectuant des mouvements de va-et-vient dans sa petite bouche, qui d'ailleurs, était faite pour sucer, tellement elle excellait. Sa langue caressait littéralement mon gland alors que ma queue emplissait sa bouche, heurtant à chaque poussée le fond de sa gorge. J'avais relâché sa tête, et à chaque fois que je pénétrais mon pénis dans sa bouche, sa tête secouait en penchant vers l'arrière. Je la repris par les cheveux, empalant sa gorge sur ma queue, ne bougeant plus durant plus de 5 secondes, ce qui avait pour but de lui donner ce sentiment de m'être soumise et comment je pouvais la donner du plaisir même avec cet air de brute. Elle était au bord de l'étouffement. J'avais aussitôt enlevé mon engin de sa bouche, feintant de lui accorder quelques secondes mais d'un coup, j'avais enfoncé mon pénis dans sa bouche atteignant en un coup le fond de sa gorge. Je laissais s'échapper un gémissement de plaisir. Ce n'était que le début, et son corps me réservait un parcours amusant.
Elle venait de m'appeler maître et ne manquant pas de complimenter ma verge. Elle m'avait même dit de jouir quand cela me plaisait. C'était amusant et excitant comment elle s'était vite adaptée et elle s'était laissée aller à ses envies primaires. Et j'allais en profiter.
-Ma salope...T'aimes bien cette queue.
En disant cela, j'avais posé une main sur sa tête alors que l'autre avait sorti mon chibre veineux de sa bouche et lui caressait le visage de ce membre gros et imposant.
-Lèche la...Sors ta langue, et lèche la !
Je présentai mon pénis devant sa bouche, attendant qu'elle sorte sa langue. Totalement soumise, elle s'executa, sa langue me caressant partout. Aucun doute, elle aimait ma queue.
-Lève-toi...Il est temps que tu couines.
Elle venait de m'appeler maître et ne manquant pas de complimenter ma verge. Elle m'avait même dit de jouir quand cela me plaisait. C'était amusant et excitant comment elle s'était vite adaptée et elle s'était laissée aller à ses envies primaires. Et j'allais en profiter.
-Ma salope...T'aimes bien cette queue.
En disant cela, j'avais posé une main sur sa tête alors que l'autre avait sorti mon chibre veineux de sa bouche et lui caressait le visage de ce membre gros et imposant.
-Lèche la...Sors ta langue, et lèche la !
Je présentai mon pénis devant sa bouche, attendant qu'elle sorte sa langue. Totalement soumise, elle s'executa, sa langue me caressant partout. Aucun doute, elle aimait ma queue.
-Lève-toi...Il est temps que tu couines.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: jeudi 12 janvier 2017, 04:48:38 »
Je n'aimais guère l'injustice, certes, je ne la combattais pas et je ne mettais pas mes capacités aux services de la justice, toutefois je portais une haine en mon cœur envers ceux qui profitaient des autres. Ce n'était pas une question de bon cœur, loin de là. L'injustice déplait à tout le monde et ceci, même à celui ou celle qui la pratique, d'une façon plus ou moins indirecte. Je ne profitais pas des gens, mais quand quelqu'un se livrait à moi, je veillais toujours à en faire bon usage, histoire de ne rien regretter. C'était le cas de cette jeune fille qui, après avoir perdu le combat, s'amena dans la maison, venant même à s'agenouiller devant moi. C'était pour le moins, jouissif.
Je fis un tour sur moi-même, inspectant les lieux. Le sol était légèrement poussiéreux et il n'y avait personne à part nous deux. Les murs fissurés démontraient clairement qu'il ne s'agissait pas d'une maison en bon état et à n'importe quel moment, elle pouvait s'écrouler sur nous. A cette idée, un rictus se dessina sur mes lèvres alors que j'avais reporté mon regard sur la fille agenouillée et se livrant totalement à moi. Elle ne m'avait pas combattu, elle s'était laissée abattre et je voyais clair dans son petit jeu.
-Tu n'es qu'une petite coquine. Tu ne m'as pas combattu, tu voulais juste m'être soumise pour que je puisse jouir de toi.
J'enlevai mon manteau que j'avais pris le soin d'accrocher sur la porte, alors que mon épée se retrouvait au sol parfaitement enfouie dans son étui métallique. Sans plus tarder, je détachai mon pantalon qui glissa jusqu'à mes chevilles, la fille se trouvant tout juste à la hauteur adéquate.
-Contente toi de sucer. Tu cherchais désespérément cette partie de plaisir, c'est pour cela que tu as laissé tomber le combat aussi vite. Allez, ramène ta petite bouche et suce moi !
J'avais sorti mon chibre du caleçon et n'attendant même pas la réponse de la petite fille, je m'étais saisi de sa tête d'une main ferme et dans un mouvement brusque, ma verge encore molle entra dans sa bouche. Il ne me fallut que quelques coups de langue de sa part pour que mon pénis devienne dur comme un roc, prêt à atteindre le fond de sa gorge. Pour l'aider à mieux se délecter de mon chibre, je faisais des mouvements de va-et-vient dans sa bouche, passant sur sa langue pour ensuite atteindre le fond de sa gorge. Sa bave dégoulinait sur ma queue et sur chaque coté de ses lèvres. C'est ce qui m'excitait le plus, le fait de la regarder me sucer comme une folle, comme si sa vie dépendait de la saveur de mon pénis. On pouvait même entendre le son produit par le contact de mon engin avec le fond de sa gorge. Agenouillée, elle pouvait s'amuser à me sucer.
Je fis un tour sur moi-même, inspectant les lieux. Le sol était légèrement poussiéreux et il n'y avait personne à part nous deux. Les murs fissurés démontraient clairement qu'il ne s'agissait pas d'une maison en bon état et à n'importe quel moment, elle pouvait s'écrouler sur nous. A cette idée, un rictus se dessina sur mes lèvres alors que j'avais reporté mon regard sur la fille agenouillée et se livrant totalement à moi. Elle ne m'avait pas combattu, elle s'était laissée abattre et je voyais clair dans son petit jeu.
-Tu n'es qu'une petite coquine. Tu ne m'as pas combattu, tu voulais juste m'être soumise pour que je puisse jouir de toi.
J'enlevai mon manteau que j'avais pris le soin d'accrocher sur la porte, alors que mon épée se retrouvait au sol parfaitement enfouie dans son étui métallique. Sans plus tarder, je détachai mon pantalon qui glissa jusqu'à mes chevilles, la fille se trouvant tout juste à la hauteur adéquate.
-Contente toi de sucer. Tu cherchais désespérément cette partie de plaisir, c'est pour cela que tu as laissé tomber le combat aussi vite. Allez, ramène ta petite bouche et suce moi !
J'avais sorti mon chibre du caleçon et n'attendant même pas la réponse de la petite fille, je m'étais saisi de sa tête d'une main ferme et dans un mouvement brusque, ma verge encore molle entra dans sa bouche. Il ne me fallut que quelques coups de langue de sa part pour que mon pénis devienne dur comme un roc, prêt à atteindre le fond de sa gorge. Pour l'aider à mieux se délecter de mon chibre, je faisais des mouvements de va-et-vient dans sa bouche, passant sur sa langue pour ensuite atteindre le fond de sa gorge. Sa bave dégoulinait sur ma queue et sur chaque coté de ses lèvres. C'est ce qui m'excitait le plus, le fait de la regarder me sucer comme une folle, comme si sa vie dépendait de la saveur de mon pénis. On pouvait même entendre le son produit par le contact de mon engin avec le fond de sa gorge. Agenouillée, elle pouvait s'amuser à me sucer.
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Le parc et son sous-bois / Re : J'en avais envie... (Angeline/Asmodée)
« le: mercredi 11 janvier 2017, 18:52:20 »
En seulement quelques contacts, j'avais senti mon membre se durcir et prendre de l'ampleur dans mon pantalon. Le baiser se poursuivait, et cela ne me dérangeait aucunement de me délecter de ses lèvres aussi pulpeuses que douces. Sans plus tarder elle avait rompu le baiser et elle s'empressa d'écarter ses jambes, me dévoilant son intimité, une belle chatte rosée. Un rictus se dessina sur mes lèvres alors que je sentis ses mains glisser le long de mon pantalon, allant caresser mon membre qui ne demandait qu'a être relâché afin d'atteindre sa dureté et sa longueur maximale. Afin de lui faciliter la tache, je détachai mon pantalon qui glissa jusqu'au niveau de mes chevilles, puis ce fut le tour à mon caleçon. Elle avait mon pénis en main, une vraie verge toute veineuse d'une longueur considérable, et elle effectuait de ses mains habiles des mouvements de haut en bas, partant de la tête jusqu'à la base. Aussitôt, elle avait soulevé son pied en le posant sur mon épaule alors que son dos était appuyé sur le dossier du banc.
Sans plus tarder je pris mon pénis dans ma main droite et doucement, je m'étais mis à caresser la rondelle de sa chatte du gland. L'autre main s'était saisie de son soutien-gorge et le tirant vers le bas, ses seins furent mis à l'air. Sa poitrine était ferme, tout ce dont un véritable homme pourrait rêver d'avoir sous l'emprise de ses lèvres. J'empoignai avec force son sein gauche alors qu'au même moment, sans même la prévenir, j'avais enfoncé ma queue dans son entre-jambe, de puissants mouvements de va-et-vient suivirent, heurtant à chaque poussée ses fesses de mon bassin. On pouvait même entendre le son qu'un tel choc produisait. Elle se sentait saccadée car mes mouvements étaient rapides et puissants. Ma main gauche jouait de son sein, pressant parfois le téton, ou malaxant le sein même. L'autre sein était à l'air mais ne cessait de bouger à cause de mes puissantes pénétrations.
A un moment donné, ne cessant aucunement d'enfouir ma verge en elle, je lâchai son sein et cette même main passa sous son pied et le porta jusque sur mon épaule. Ses deux pieds passaient de chaque coté de ma tête, ainsi je pouvais augmenter non seulement le rythme mais également la puissance de mes coups de reins. Sa tête penchée en arrière et ses seins ne cessant de remuer, je la pénétrais de tout mes forces, atteignant facilement les zones les plus reculées de sa chatte.
Sans plus tarder je pris mon pénis dans ma main droite et doucement, je m'étais mis à caresser la rondelle de sa chatte du gland. L'autre main s'était saisie de son soutien-gorge et le tirant vers le bas, ses seins furent mis à l'air. Sa poitrine était ferme, tout ce dont un véritable homme pourrait rêver d'avoir sous l'emprise de ses lèvres. J'empoignai avec force son sein gauche alors qu'au même moment, sans même la prévenir, j'avais enfoncé ma queue dans son entre-jambe, de puissants mouvements de va-et-vient suivirent, heurtant à chaque poussée ses fesses de mon bassin. On pouvait même entendre le son qu'un tel choc produisait. Elle se sentait saccadée car mes mouvements étaient rapides et puissants. Ma main gauche jouait de son sein, pressant parfois le téton, ou malaxant le sein même. L'autre sein était à l'air mais ne cessait de bouger à cause de mes puissantes pénétrations.
A un moment donné, ne cessant aucunement d'enfouir ma verge en elle, je lâchai son sein et cette même main passa sous son pied et le porta jusque sur mon épaule. Ses deux pieds passaient de chaque coté de ma tête, ainsi je pouvais augmenter non seulement le rythme mais également la puissance de mes coups de reins. Sa tête penchée en arrière et ses seins ne cessant de remuer, je la pénétrais de tout mes forces, atteignant facilement les zones les plus reculées de sa chatte.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: mercredi 11 janvier 2017, 18:06:58 »
Tout cela prenait une tournure assez intéressante. Avec une telle facilité, cette jolie jeune fille avait fait disparaitre mon ennui, en plus de cela, mon taux d'adrénaline bouillonnait et ne cessait de s'accroitre. Sa proposition m'avait fait sourire, mais elle ne semblait pas non plus être une proie facile. Elle semblait être une guerrière, une vraie, une fille qui ne se laissait pas facilement marcher dessus. Et par dessus tout, elle avait un amour pour les armes blanches, et particulièrement pour mon épée. Et, j'allais lui offrir la chance de pouvoir la posséder, car pour tout vous dire, si elle remportait ce combat, je n'hésiterais pas à lui remettre mon épée. J'étais un homme loyal, un homme de parole. Et j'espérais qu'elle allait faire de même si toutefois j'arrivais à la mettre au sol, le but n'étant pas de blesser son adversaire mais de prouver sa supériorité.
Sans plus tarder, elle me devança en m'invitant à la suivre dans une ruelle qu'on qualifierait de déserte, il y avait pas mal de maisonnettes mais toutes probablement abandonnées. Je ne me fis pas prier alors d'un saut, je retombais au milieu de la ruelle, tenant d'une main ferme mon épée dans ma main droite. On avait laissé le bar ainsi que tous les balourds qui se trouvaient en son sein. Il s'agissait là d'une autre étape qui, peut-être, allait durer même au cours de la nuit. A cette idée, j'esquissai un sourire. Une brise s'amena et fit virevolter mes cheveux. La fille tendit sa main en ma direction et une lueur orangée donna naissance à une claymore puis ce fut le tour d'une épée. J'ignorais s'il s'agissait de magie, mais c'était assez impressionnant. Aussitôt, je me rendis compte qu'elle n'était pas de cette planète elle non plus. Tout cela s’annonçait excitant mais, moi je voulais bruler cette étape, et éventuellement faire d'elle ma soumise durant toute la durée de ce mois.
- Amène toi...Amène toi.
Elle s'était ruée en ma direction, formant une croix avec ses épées. Je m'étais mis à sourire, connaissant déjà comment se combat allait se terminer, et l'idée ne pouvait que m'enchanter. Je ramenais ma main droite derrière mon dos afin de prendre de l'élan, quelques secondes s'écoulaient, je concentrais mon énergie dans ma main afin de fortifier mon coup.
- Tu voulais cette épée ? Tu la voulais ? Alors...Tiens !!!
Tournoyant sur moi-même, j'avais lancé l'épée dans sa direction. L'épée fendait l'air dans une position horizontale, prête à couper tout ce qui s'amenait, en plus de cela, mon énergie avait su augmenter sa vitesse considérablement. La seconde suivante, la fille ne me voyait plus, je m'étais servi de l'épée comme une diversion, et usant de ma vitesse, j'étais déjà passé dans le dos de mon adversaire. Je lui donnai un coup derrière la nuque, la faisant chuter au niveau du sol. L'épée arrivait droit sur moi, usant de ma télékinésie, ce fut difficilement que l'épée avait atteint la paume de ma main sans la trancher en deux. Je la remis à sa place, c'est à dire dans son étui, accroché à mon dos. Erika se retrouvait sur le sol, une petite douleur à la nuque, mais rien de bien grave. Je me rabaissai au près d'elle et d'un air amusé, je lançai:
-Alors, il me semble que tu as perdu Erika. Viens donc me prouver ta parfaite soumission à l'intérieur de l'une de ces maisonnettes.
Aussitôt, je m'étais mis à marcher en direction de celle qui était la plus proche. Ne devrait-elle pas respecter son pari ?
Sans plus tarder, elle me devança en m'invitant à la suivre dans une ruelle qu'on qualifierait de déserte, il y avait pas mal de maisonnettes mais toutes probablement abandonnées. Je ne me fis pas prier alors d'un saut, je retombais au milieu de la ruelle, tenant d'une main ferme mon épée dans ma main droite. On avait laissé le bar ainsi que tous les balourds qui se trouvaient en son sein. Il s'agissait là d'une autre étape qui, peut-être, allait durer même au cours de la nuit. A cette idée, j'esquissai un sourire. Une brise s'amena et fit virevolter mes cheveux. La fille tendit sa main en ma direction et une lueur orangée donna naissance à une claymore puis ce fut le tour d'une épée. J'ignorais s'il s'agissait de magie, mais c'était assez impressionnant. Aussitôt, je me rendis compte qu'elle n'était pas de cette planète elle non plus. Tout cela s’annonçait excitant mais, moi je voulais bruler cette étape, et éventuellement faire d'elle ma soumise durant toute la durée de ce mois.
- Amène toi...Amène toi.
Elle s'était ruée en ma direction, formant une croix avec ses épées. Je m'étais mis à sourire, connaissant déjà comment se combat allait se terminer, et l'idée ne pouvait que m'enchanter. Je ramenais ma main droite derrière mon dos afin de prendre de l'élan, quelques secondes s'écoulaient, je concentrais mon énergie dans ma main afin de fortifier mon coup.
- Tu voulais cette épée ? Tu la voulais ? Alors...Tiens !!!
Tournoyant sur moi-même, j'avais lancé l'épée dans sa direction. L'épée fendait l'air dans une position horizontale, prête à couper tout ce qui s'amenait, en plus de cela, mon énergie avait su augmenter sa vitesse considérablement. La seconde suivante, la fille ne me voyait plus, je m'étais servi de l'épée comme une diversion, et usant de ma vitesse, j'étais déjà passé dans le dos de mon adversaire. Je lui donnai un coup derrière la nuque, la faisant chuter au niveau du sol. L'épée arrivait droit sur moi, usant de ma télékinésie, ce fut difficilement que l'épée avait atteint la paume de ma main sans la trancher en deux. Je la remis à sa place, c'est à dire dans son étui, accroché à mon dos. Erika se retrouvait sur le sol, une petite douleur à la nuque, mais rien de bien grave. Je me rabaissai au près d'elle et d'un air amusé, je lançai:
-Alors, il me semble que tu as perdu Erika. Viens donc me prouver ta parfaite soumission à l'intérieur de l'une de ces maisonnettes.
Aussitôt, je m'étais mis à marcher en direction de celle qui était la plus proche. Ne devrait-elle pas respecter son pari ?
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Le parc et son sous-bois / Re : Pendant que le loup y est [pv Scott Helden]
« le: mercredi 11 janvier 2017, 17:15:02 »
Je ne saurais dire que j'étais un être "normal", car le monde dans lequel j'évolue actuellement n'admettait pas mes capacités comme étant conformes aux lois de la nature. J'étais considéré comme un être surnaturel, et parfois on osait me comparer à une divinité. Et, franchement, quand je me regardais par rapport à certains, je me disais qu'en fait, je n'avais rien de si extraordinaire. Ma puissance n'obéissait pas aux lois de la physique: la télékinésie, la capacité de sauter aussi haut, ma vitesse qui défiait la gravité même, et finalement la capacité de concentrer toute mon énergie spirituelle en un point pour ensuite créer un onde de choc ou une explosion titanesque. Mais, il y avait des capacités qui semblaient découler d'une aspiration divine. Cette fille qui combattait les loup-garous dans cette forêt en était l'exemple. Et, tout cela m'intriguait. Elle avait éveillé ma curiosité.
Aussitôt qu'elle constata ma blessure, la fille passa dans mon dos et lentement, j'avais senti sa main s'y poser et au bout de quelques secondes, la blessure n'était plus, mon sang cessa de couler. Elle avait pu refermer une plaie en seulement quelques secondes, c'était impressionnant. Je regardai autour de moi, une quantité incalculable de loup-garous se promenaient autour de nous, se dirigeant vers l'endroit ou nous étions il y a quelques minutes, mais ils étaient incapables de nous apercevoir, ou même de sentir notre présence. Cette barrière que la fille avait créée agissait comme une sorte de dimension partielle transportée sur terre. Elle agissait comme un morceau d'un monde d'une autre dimension qui a été apposé au beau milieu de cette clairière. Les bêtes étaient donc incapables de nous voir car, vraisemblablement, nous étions sur terre, mais dans une autre dimension. C'était assez étrange, mais plus rien venant de cette fille ne pourrait me surprendre.
Elle décida de briser la glace du silence:
- Ils ne nous poursuivront pas, en effet. Mais vous avez été témoin de certaines choses… dont vous ne devriez pas connaitre l’existence. J’aimerais savoir qui et surtout… ce que vous êtes.
Mes yeux inspectaient les lieux, et je commençais à ressentir un malaise. Je regardai le dos de ma main et le tatouage qui m'avait été imposé ma planète avait disparu. La maitresse de ma planète m'avait marqué de ce tatouage afin de limiter ma puissance quand j'étais sur Terre, uniquement sur Terre. Mais là, je me trouvais dans un autre monde, un monde qui m'était totalement inconnu et dès que je laissais la dimension terrestre, la marque disparaissait et je sentais toute la puissance d'un Immaculéen déferler en moi. La fille en face de moi avait pu sentir mon énergie, une aura colossale se dégageait de de mon corps. Mes yeux se mirent à s'illuminer d'un jaune éblouissant, instinctivement, je portai mes mains à mes yeux. Je ne souffrais pas, non, mais je ne voulais aucunement perdre le contrôle. Je me relevai, je me retournai dans la direction opposée et sans plus tarder, j'avais ouvert mes yeux; ce qui en résultait serait catastrophique si nous nous étions pas retrouvés en ce morceau de dimension. Un rayon d'énergie avait jailli de mes yeux et fusa telle une flèche, il était si puissant qu'on dirait que son diamètre dépassait largement celui de mes propres pupilles. Je tombai à genoux, ce spectacle ne durait que quelques secondes. Ensuite, mes pupilles revinrent à la normale, mais la manifestation involontaire de ma puissance n'allait pas prendre fin de si tôt. Je m'étais mis à léviter, mes pieds ne touchaient plus le sol et je montais toujours plus haut. Mais comment allais-je faire pour... Je fus projeté au sol, comme si le poids de la pesanteur m'y avait carrément propulsé, et ce n'était pas sans douleur. Je tendis une main en direction de la fille en face de moi, forcée d’être témoin de ce spectacle et mon souffle haletant, je lançai:
-Ce...Ce...Cela va s’arrêter bientôt, je vous...vous... prie de m'excus...
Je n'avais pas eu le temps de finir ma phrase qu'une force me propulsa contre la paroi de la barrière ténébreuse. C'était la manifestation de ma vitesse. Je poussai un cri, car le choc était brutal à cause de la vitesse de l'action, je ne contrôlais même plus mon propre corps. Ce spectacle se répétait trois fois de suite à une vitesse hallucinante, j'étais comme un punchingball, valsant du coté gauche au coté droit de la barrière, et finalement au bout d'une minute, j'avais retrouvé le calme. J'étais comme neuf. Je ne ressentais aucune douleur malgré tout ce qui venait de se produire. C'était ainsi à chaque fois que je laissais la dimension terrestre. Cette puissance incontrôlée avait grandement besoin de se manifester. Lentement, je me relevai et marchai en direction de la fille, réduisant la distance qui nous séparait.
-Je crois que malgré moi, vous avez eu votre réponse. Je ne suis pas un Terrien. Je viens d'une autre planète, d'une autre dimension, d'un tout autre monde.
Je portai une main à ma tête. En une seconde, j'avais eu le vertige mais cela n'avait duré qu'une seconde. Je passai au coté de la fille, la touchant presque, j'avais senti son aura, une aura puissante, qui ne présageait rien de bon. Mais, malgré cela, elle n'avait pas l'air de s'en servir pour répandre le mal autour d'elle, au contraire, elle s'en servait pour purifier la terre. J'étais derrière elle, et je posai ma main contre la barrière ténébreuse. Un rictus se dessina sur mes lèvres alors que je me retournai, la regardant de dos:
-Je ne vous connais pas, mais je me suis déjà fait une idée de vos origines. J'ai une mince connaissance des affaires célestes, de celles provenant des enfers et des nuances existant entre lumières et ténèbres. Toutefois, j'aimerais bien connaitre votre nom si cela ne vous dérange pas.
Je pris une courte pause, et avant même qu'elle puisse me répondre, je repris la parole:
-Helden. Je me nomme Helden, mais appelez moi Hell.
Enfermés dans cette barrière, hors du champ de vision des loups-garou et quasiment hors de dangers, j'avais envie de faire sa connaissance. Si elle était un être divin, j'étais un extra-terrestre...Tous deux, surnaturels.
Aussitôt qu'elle constata ma blessure, la fille passa dans mon dos et lentement, j'avais senti sa main s'y poser et au bout de quelques secondes, la blessure n'était plus, mon sang cessa de couler. Elle avait pu refermer une plaie en seulement quelques secondes, c'était impressionnant. Je regardai autour de moi, une quantité incalculable de loup-garous se promenaient autour de nous, se dirigeant vers l'endroit ou nous étions il y a quelques minutes, mais ils étaient incapables de nous apercevoir, ou même de sentir notre présence. Cette barrière que la fille avait créée agissait comme une sorte de dimension partielle transportée sur terre. Elle agissait comme un morceau d'un monde d'une autre dimension qui a été apposé au beau milieu de cette clairière. Les bêtes étaient donc incapables de nous voir car, vraisemblablement, nous étions sur terre, mais dans une autre dimension. C'était assez étrange, mais plus rien venant de cette fille ne pourrait me surprendre.
Elle décida de briser la glace du silence:
- Ils ne nous poursuivront pas, en effet. Mais vous avez été témoin de certaines choses… dont vous ne devriez pas connaitre l’existence. J’aimerais savoir qui et surtout… ce que vous êtes.
Mes yeux inspectaient les lieux, et je commençais à ressentir un malaise. Je regardai le dos de ma main et le tatouage qui m'avait été imposé ma planète avait disparu. La maitresse de ma planète m'avait marqué de ce tatouage afin de limiter ma puissance quand j'étais sur Terre, uniquement sur Terre. Mais là, je me trouvais dans un autre monde, un monde qui m'était totalement inconnu et dès que je laissais la dimension terrestre, la marque disparaissait et je sentais toute la puissance d'un Immaculéen déferler en moi. La fille en face de moi avait pu sentir mon énergie, une aura colossale se dégageait de de mon corps. Mes yeux se mirent à s'illuminer d'un jaune éblouissant, instinctivement, je portai mes mains à mes yeux. Je ne souffrais pas, non, mais je ne voulais aucunement perdre le contrôle. Je me relevai, je me retournai dans la direction opposée et sans plus tarder, j'avais ouvert mes yeux; ce qui en résultait serait catastrophique si nous nous étions pas retrouvés en ce morceau de dimension. Un rayon d'énergie avait jailli de mes yeux et fusa telle une flèche, il était si puissant qu'on dirait que son diamètre dépassait largement celui de mes propres pupilles. Je tombai à genoux, ce spectacle ne durait que quelques secondes. Ensuite, mes pupilles revinrent à la normale, mais la manifestation involontaire de ma puissance n'allait pas prendre fin de si tôt. Je m'étais mis à léviter, mes pieds ne touchaient plus le sol et je montais toujours plus haut. Mais comment allais-je faire pour... Je fus projeté au sol, comme si le poids de la pesanteur m'y avait carrément propulsé, et ce n'était pas sans douleur. Je tendis une main en direction de la fille en face de moi, forcée d’être témoin de ce spectacle et mon souffle haletant, je lançai:
-Ce...Ce...Cela va s’arrêter bientôt, je vous...vous... prie de m'excus...
Je n'avais pas eu le temps de finir ma phrase qu'une force me propulsa contre la paroi de la barrière ténébreuse. C'était la manifestation de ma vitesse. Je poussai un cri, car le choc était brutal à cause de la vitesse de l'action, je ne contrôlais même plus mon propre corps. Ce spectacle se répétait trois fois de suite à une vitesse hallucinante, j'étais comme un punchingball, valsant du coté gauche au coté droit de la barrière, et finalement au bout d'une minute, j'avais retrouvé le calme. J'étais comme neuf. Je ne ressentais aucune douleur malgré tout ce qui venait de se produire. C'était ainsi à chaque fois que je laissais la dimension terrestre. Cette puissance incontrôlée avait grandement besoin de se manifester. Lentement, je me relevai et marchai en direction de la fille, réduisant la distance qui nous séparait.
-Je crois que malgré moi, vous avez eu votre réponse. Je ne suis pas un Terrien. Je viens d'une autre planète, d'une autre dimension, d'un tout autre monde.
Je portai une main à ma tête. En une seconde, j'avais eu le vertige mais cela n'avait duré qu'une seconde. Je passai au coté de la fille, la touchant presque, j'avais senti son aura, une aura puissante, qui ne présageait rien de bon. Mais, malgré cela, elle n'avait pas l'air de s'en servir pour répandre le mal autour d'elle, au contraire, elle s'en servait pour purifier la terre. J'étais derrière elle, et je posai ma main contre la barrière ténébreuse. Un rictus se dessina sur mes lèvres alors que je me retournai, la regardant de dos:
-Je ne vous connais pas, mais je me suis déjà fait une idée de vos origines. J'ai une mince connaissance des affaires célestes, de celles provenant des enfers et des nuances existant entre lumières et ténèbres. Toutefois, j'aimerais bien connaitre votre nom si cela ne vous dérange pas.
Je pris une courte pause, et avant même qu'elle puisse me répondre, je repris la parole:
-Helden. Je me nomme Helden, mais appelez moi Hell.
Enfermés dans cette barrière, hors du champ de vision des loups-garou et quasiment hors de dangers, j'avais envie de faire sa connaissance. Si elle était un être divin, j'étais un extra-terrestre...Tous deux, surnaturels.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre impromptue.
« le: mercredi 11 janvier 2017, 03:43:41 »
Je ne m'ennuyais plus, il y avait cette fille qui me tenait compagnie, et comme je l'avais dit précédemment, le monde autour de moi s'effaçait petit à petit. Surtout que, malgré moi, je ne cessais de la reluquer. Eh non, elle n'était pas particulièrement canon comme plusieurs autres que j'ai pu rencontrer avant elle, mais c'est justement son petit corps qui attisait ma curiosité. Ma curiosité ? Ou ma perversité ? Peu importe...L'important c'était le fait que cette fille en face de moi avait pu retenir mon attention et ne rendait pas la conversation monotone. C'était tout ce qui m'intéressait, enfin, pour l'instant...
- Pour un terrien ?
M'avait-elle lancé, comme si elle voulait connaitre ma race. Un petit rictus se dessina sur mes lèvres, elle était bien curieuse dis-donc. Mais cela ne me dérangeait aucunement. Je n'avais rien à craindre d'elle, elle ne me semblait pas si dangereuse que ça. Pour tout vous avouer, elle me paraissait dangereuse, mais pas assez pour m'effrayer. Je ne cherchais aucunement à me vanter de mes capacités mais, depuis mon retour sur Immacula, j'avais découvert une qu'il y avait une source d'énergie et de puissance cachée au plus profond de mon être. Jusqu'à date, j'avais choisi de me limiter dans son utilisation car selon certains dires, la libérer reviendrait à libérer un titan, et surtout qu'il y avait des effets secondaire très néfastes à ma santé.
Le rictus sur mes lèvres, je lui lançai sur un ton amusé:
-Dis-donc, tu veux tout savoir sur moi aussi rapidement ? On est deux à vouloir "explorer" l'autre...
J'ignorais si ma phrase avait une toute autre signification, mais rassurez-vous, il n'y avait rien de pervers dans mes dires ! Enfin, un peu...un tout p'tit peu quoi. Finalement, ouais, ma phrase, elle voulait dire un paquet d'trucs. Ceci dit, il ne s'agissait pas d'un péché alors je pouvais me permettre de pimenter notre conversation. Une nouvelle fois, elle me questionna:
- Erika, et si tu veux on pourrait sortir d'ici que je tâte un peu ton épée ?
Elle m'avait dicté son nom et par la même occasion, elle m'avait demandé de toucher mon épée. Décidément, elle aimait trop les armes cette petite. Sans plus tarder, je m'étais relevé du tabouret, et passant au niveau de ma nuque, j'avais sorti l'arme que je plantai au sol devant moi, fissurant le plancher du bar. Tous les regards se portèrent en ma direction, alors que mon attention n'était que pour la blonde en face de moi, qui de par sa curiosité, commençait à m'amuser. Je n'avais pas eu le temps de refuser sa demande...Eh oui, j'allais refuser. Elle poursuivit:
- On se fait un duel dehors ? Épée uniquement, j'éviterai de te couper en deux bien sûr... Et si tu me bats, je suis à toi pour la nuit...
Je m'approchai d'elle lentement, l'épée trainant au sol derrière moi. Arrivé à quelques centimètres d'elle, je pris la parole:
- Me couper en deux ? Ne t'en fais pas...Je gagne, et ce soir c'est moi qui vais te couper en deux, Erika.
Aussitôt, je pris la route de la sortie tout en prenant le soin d'écouter ce qu'elle avait à dire concernant la perte de mon épée si je venais à perdre ce combat. C'était assez amusant, mais je ne répondais pas. Je me tenais sur le seuil de la porte et lui faisant un signe de la tête, je lui invitai à venir.
- Je voudrais bien passer à l'étape ou t'es à moi...Pourquoi perdre notre temps à nous affronter ?
(HRP: Si le combat a lieu, voilà le tableau )
- Pour un terrien ?
M'avait-elle lancé, comme si elle voulait connaitre ma race. Un petit rictus se dessina sur mes lèvres, elle était bien curieuse dis-donc. Mais cela ne me dérangeait aucunement. Je n'avais rien à craindre d'elle, elle ne me semblait pas si dangereuse que ça. Pour tout vous avouer, elle me paraissait dangereuse, mais pas assez pour m'effrayer. Je ne cherchais aucunement à me vanter de mes capacités mais, depuis mon retour sur Immacula, j'avais découvert une qu'il y avait une source d'énergie et de puissance cachée au plus profond de mon être. Jusqu'à date, j'avais choisi de me limiter dans son utilisation car selon certains dires, la libérer reviendrait à libérer un titan, et surtout qu'il y avait des effets secondaire très néfastes à ma santé.
Le rictus sur mes lèvres, je lui lançai sur un ton amusé:
-Dis-donc, tu veux tout savoir sur moi aussi rapidement ? On est deux à vouloir "explorer" l'autre...
J'ignorais si ma phrase avait une toute autre signification, mais rassurez-vous, il n'y avait rien de pervers dans mes dires ! Enfin, un peu...un tout p'tit peu quoi. Finalement, ouais, ma phrase, elle voulait dire un paquet d'trucs. Ceci dit, il ne s'agissait pas d'un péché alors je pouvais me permettre de pimenter notre conversation. Une nouvelle fois, elle me questionna:
- Erika, et si tu veux on pourrait sortir d'ici que je tâte un peu ton épée ?
Elle m'avait dicté son nom et par la même occasion, elle m'avait demandé de toucher mon épée. Décidément, elle aimait trop les armes cette petite. Sans plus tarder, je m'étais relevé du tabouret, et passant au niveau de ma nuque, j'avais sorti l'arme que je plantai au sol devant moi, fissurant le plancher du bar. Tous les regards se portèrent en ma direction, alors que mon attention n'était que pour la blonde en face de moi, qui de par sa curiosité, commençait à m'amuser. Je n'avais pas eu le temps de refuser sa demande...Eh oui, j'allais refuser. Elle poursuivit:
- On se fait un duel dehors ? Épée uniquement, j'éviterai de te couper en deux bien sûr... Et si tu me bats, je suis à toi pour la nuit...
Je m'approchai d'elle lentement, l'épée trainant au sol derrière moi. Arrivé à quelques centimètres d'elle, je pris la parole:
- Me couper en deux ? Ne t'en fais pas...Je gagne, et ce soir c'est moi qui vais te couper en deux, Erika.
Aussitôt, je pris la route de la sortie tout en prenant le soin d'écouter ce qu'elle avait à dire concernant la perte de mon épée si je venais à perdre ce combat. C'était assez amusant, mais je ne répondais pas. Je me tenais sur le seuil de la porte et lui faisant un signe de la tête, je lui invitai à venir.
- Je voudrais bien passer à l'étape ou t'es à moi...Pourquoi perdre notre temps à nous affronter ?
(HRP: Si le combat a lieu, voilà le tableau
)Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
