Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Hata Hidesawa

Pages: [1]
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Centre-ville de Seikusu / Re : Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: vendredi 09 octobre 2015, 15:07:59 »
D’autres intimidations se manifestèrent lorsque Félicia justifia au grandiloquent chef d’entreprise qu’il finirait par sommeiller dans une cellule s’il perpétuait son petit jeu malsain. La chatte noire ne saisissait manifestement pas grand-chose vis-à-vis de son attitude qu’on cataloguait à tort comme étant trop égocentrique. Depuis le temps que la brutalité n’avait plus aucun effet sur lui, ce n’est certainement pas dans une malheureuse geôle que son effroi naitrait. Hata ne fonctionnait que par le biais d’un seul carburant ; celui de la luxure, pas par des menaces. D’autres avaient tentés bien avant elles, et hormis le fait qu’ils étaient plus convaincants, la réalité les avait vite rattrapés lorsqu’ils avaient brusquement assimilé la vérité. Une entreprise consacrée exclusivement au mannequinat ne disposerait jamais d’une telle renommée si elle se satisfaisait d’instaurer de pauvres modèles affectés à des carrières bien plus grotesques que la sienne. Qu’on lui ait inoculé un sérum dans les vaisseaux sanguins était une chose fantastique, sûrement disposait-elle d’un don que beaucoup rêveraient d’obtenir. De son côté, le beau gosse était authentiquement rusé, ayant armaturé un prestige avec la seule puissance de son âme.

« Un simple dandy qui vous intéresse beaucoup visiblement. Sincèrement, vous n’obtiendrez rien de moi par la haine. Quand bien même mon corps serait perforé par vos charmantes griffes que je subsisterais muet comme une carpe. Ne me faites pas croire que vos mains agiles ne sont aptes qu’à chaparder des objets, sinon à quoi bon vous servirait cette opulente poitrine ? »

Le message était clair. Si elle désirait véritablement tout savoir sur son institution dans les moindres parties, peut-être lui avouerait-il ce que recélait vraiment la société. Dans le cas contraire, la cambrioleuse devrait se contenter d’intervenir chez ses concurrents, qui à moindre mal, devaient tout aussi bien cacher quelques anomalies. En toute sincérité, il se fichait ouvertement de son statut de justicière, car tout ce qu’il voyait en elle, surtout dans les conjonctures actuelles, c’était une femme et rien d’autre. Il n'avait jamais masqué son penchant pour les belles silhouettes bien galbés comme il pouvait le relever en ce moment même. De son point de vue totalement personnelle, le sexe révélait bon nombre d’informations. Encore fallait-il savoir conduire l’acte pour y puiser toute source selon son bon vouloir. Dépourvu d’un semblant de gêne, Hata ne se priva pas une seule seconde et insinua sa main dans l’eau bouillante. Les mouvements qu’il instaura, bien qu’imperceptibles, ne laissèrent aucun doute sur ses agissements. L’homme se caressait la verge, purement et simplement, laissant soin au timbre de l’eau de dénoncer le rythme avec lequel il se plaisait à se masturber. Son regard promené sur le corps alléchant de la kleptomane, il épia ses atouts sous toutes les coutures, décontracté et taciturne.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: jeudi 01 octobre 2015, 15:26:47 »
Se jauger était une bonne chose; essayer d'enquêter comme lors d'une partie d'échecs comportait hélas quelques risques. Hata maniait les mots similairement à l'entretien de son personnel. Il savait quand et avec quel mot frapper afin d'obtenir le meilleur d'eux. Son comportement variait en fonction des réponses qu'il obtenait, selon la convenance des propos dont il était l'unique juge. Son entretien avec Félicia était une expérience qu'il avait vécue un millier de fois depuis son plus jeune âge, par conséquent, ses réponses ne dévoileraient jamais l'exacte vérité. La chatte noire s'intéressait à lui pour un simple abus émotionnel vis-à-vis de ses employés ? Soit c'était complètement vrai et cela signifiait un déclin chez l'héroïne, soit elle mentait en apportant de piètres justifications. L'un comme l'autre, le mannequin n'avait de compte à rendre à personne, encore moins à l'un de ses psychopathes qui vivaient éternellement le soir d'Halloween. Avant de lui rétorquer ses propres réponses, ce dernier leva son verre dans le but de porter un toast à leur rencontre.

« Vous savez Félicia, si vous pensez que le SHIELD ou toute autre organisation est infaillible, vous vous trompez. Vous avez réussi à vous infiltrer dans mon empire, alors dites-moi très chère... » L'homme s'approcha brusquement de la femme dénudée, approchant lentement ses lèvres du creux de l'oreille de cette dernière, le verre toujours en main. « Qu’est-ce qui vous fait croire qu’un mec comme moi n’a aucune compétence pour les infiltrer ? » Un mec comme lui oui, il ne lésinait pas sur les mots pour se désigner. Qu’elle veuille croire que le SHIELD comportait tous les génies de ce monde, c’était son droit, mais un homme reste un homme. Ils ont en commun aux marionnettes qu’ils peuvent indéniablement être manipulés en toutes circonstances, pour cela il suffit simplement de savoir sur quel fil tirer pour obtenir tel ou telle chose de quelqu’un.

L’homme, sûr de ses capacités, revint à sa position initiale avant de poser sereinement le verre sur le côté. Ce jeu du chat et de la souris commençait sérieusement à manquer de… punch. Il ne s’amusait pas, d’aucune façon. Un entretien sans saveur ne pouvait déboucher sur aucune issue agréable. Tandis qu’il réfléchissait à moyen de rendre le tout plus intéressant, il s’adressa autoritairement à son convive.

« Par curiosité, qu’est-ce que je risque si effectivement je vous avouais les mauvais traitements au sein de ma firme ? Si vous me répondez "la mort" je vous préviens, je peux m’égosiller. »
Car de telles réponses font place à tellement de clichés qu’il ne craignait pas les menaces de mort. Pour vivre dans le milieu du Business, les agressions et menaces faisaient partie du travail. Il fallait l’accepter et vivre en conséquence, c’est pourquoi il ne comprenait toujours pas l’intérêt de sa présence.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: dimanche 20 septembre 2015, 00:43:56 »
Au fur et à mesure de son effeuillage, Hata découvrit qu'il ne s'était pas trompé en imaginant ce qui se dissimulait derrière le costume en cuir. A des lieux d'être intimidé par le corps nu d'une femme, il était au contraire très à l'aise avec ça. Homme expérimenté qu'il était dans les relations sociales avec la gent féminine, il se satisfaisait d'observer la cambrure de la charmante Félicia, épiant avec une outrancière assiduité toutes les parcelles de son corps. Indéniablement, elle avait tous les atouts en mains afin de séduire les misogynes les plus endurcis. Un beau visage dont les traits marquaient la provocation, de longues jambes fuselées, une taille aux mensurations exemplaires, une paire de seins ouvertement gonflés à l'hélium, sans oublier des fesses sublimement rebondies. En tout point, cette dissection suffisait au mannequin pour concevoir qu'elle se servait fréquemment de son corps pour faire converser certaines de ces victimes. Là où ce qualificatif prenait tout son sens, c'est que le beau jeune homme se sentait chanceux de ne pas être limité en termes de ressources. Qu’elle soit dénuée de toute pudeur surprenait agréablement le mâle qui ne s'était pas attendu à une telle réactivité chez elle. Pour ainsi dire, elle inscrivit quelques légers points en se comportant avec autant de spontanéité qu'il s’accordait lui-même à adopter.

Si elle opta pour le Jacuzzi en alléguant les arguments qu'elle citait, le séducteur devait admettre que pour une raison purement procédurale, le bassin chauffant était effectivement plus convivial pour parler affaires. Ce n'est pas la première fois qu'il réglait des conflits dans un endroit censé être basé sur la détente et la profonde relaxation. En vérité, il se fichait royalement d'aller dans le sauna plutôt qu'ailleurs, alors pourquoi ne pas s’en satisfaire ?

« Vous avez raison. C'est sans doute mieux ainsi. »

Il ferma le robinet de douche puis s'en alla rejoindre sa convive déjà aisément aménagée. Cette petite douche chaude n'avait pas été vaine, au moins elle avait permis de l'éveiller totalement. Dans des conditions optimales, il s'apparentait à un véritable carnassier, sensiblement prêt à s'emparer de la proie à n'importe quel moment. Il était sur son terrain et la chasse semblait plutôt bonne pour le moment. Lentement, il s'était engouffré dans l'eau, se glissant à une distance qui était actuellement toujours respectable. Fermant les yeux durant quelques secondes, le souverain relaxa tous ses muscles sans exception, allant de ses bras et de ses jambes mirifiquement calibrés à son engin de reproduction qui pataugeait presque à la surface à cause de la pression des bulles. En toute circonstance, il se sentait plus à l'aise que jamais. Tandis qu'il releva ses paupières, il saisit la bouteille de champagne qu'il avait engagé à consommer avant son apparition puis versa le précieux contenu dans un second verre qu'il tendit aimablement à la chatte noire.

« Faites-moi plaisir et consommez un peu. Jacuzzi et alcool sont indissociables l'un de l'autre, à moins que vous ne preniez le volant ensuite. »

De l'ironie, toujours. Hata doutait qu'elle puisse employer un moyen de locomotion aussi monotone lors de ces missions d'infiltration. En revanche, il espérait creuser un peu plus sa personnalité et découvrir ce qu'elle lui cachait. Qu'est-ce qui la retenait ici alors qu'elle aurait pu s'enfuir à de multiples occasions ? Mystère. Quoi qu'il en soit, le mannequin se rapprocha davantage de la belle, s’appuyant de son regard de braise dans le but de la sonder.

« Et si vous répondiez à ma politesse par une autre ? En quoi un banal chef d'entreprise peut attiser la curiosité d'une femme qui doit avoir des chefs d'œuvre insoupçonnés en sa possession ? »

Il était en droit de poser la question, comme elle était en droit de se taire. Néanmoins, il mettrait toutes les chances de son côté pour arracher les réponses.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Pour un petit pendentif vert [Hata Hidesawa]
« le: dimanche 20 septembre 2015, 00:30:48 »
Au creux de sa main, un anneau aux aspects antiques flottait curieusement en effectuant de nombreuses rotations variables. Ce magot, parmi tant d'autres, était une amulette que le souverain du mannequinat se faisait une joie d'étudier sous toutes les coutures. Au sein de ses activités insolites, la chasse aux artefacts figurait dans le top trois de sa liste. Grâce à ses experts chevronnés et les liaisons professionnels qu'il agençait quotidiennement dans sa fonction, l'homme avait l'immense privilège d'être prématurément au courant lorsque les outils qu’il souhaitait entraient sur le marché. L'argent qu'il déployait rentablement au sein de son entreprise servait également à s'enrichir de ces fameuses technologies extraterrestres aux capacités souvent astrales. Si Hata ne croyait en aucun dieu autre que lui-même, il savait néanmoins que de tels diamants bruts pouvaient lui offrir de sérieuses prérogatives à l'avenir. Sa collection en était présentement à son accouchement. Il n'avait pour lui qu'en tout et pour tout exclusivement réussi à dégoter que trois artefacts. S'il en connaissait les facultés extraordinaires, il ne parvenait pas toujours à les faire fonctionner sans l'appui de grands savants dans le domaine. La sorcellerie qui résidait en chacun de ces ustensiles réfléchissait la personnalité de l'individu, perpétuellement à la reconnaissance de la perfection. Tous les joyaux qu'il avait réussi à obtenir s'étaient fait de multiples manières, allant parfois jusqu'à la violence extrême pour s'en emparer à tout prix. Le riche célibataire ne se fixait aucune limite, car à partir du moment où il exigeait fortement quelque chose, il mettait toujours la main dessus. Il déposait les reliques dans un endroit très clos et protégé dont lui seul détenait toutes les clés pour s’y introduire. Il s'agissait d'un agencement délicat que même Hulk aurait été incapable de débrider malgré sa puissance phénoménale. Là où le génie du prodige avait fait surface, c'est qu'il les scellait par une mécanique particulièrement habile qui se manipulait avec prudence. À l'instar de ses prouesses tout au long de sa vie, on pouvait comparer ça à l'une de ses plus belles œuvres.

Tandis qu'il se disposait à quitter son bureau dans l'idée de partir pour un rendez-vous capital pour les affaires, le téléphone portable qui était sagement aménagé dans sa poche de jean arrière se mit à vibrer tout en interprétant sa sonnerie d'appel. Hata décrocha au bout de la troisième sonnerie.

« Que voulez-vous Jerry ? »
« Votre Majesté, nous avons localisé ce que vous cherchiez depuis des années ! La pierre éternelle ! »
« La légendaire Kilàdra... Où se situe-t-elle ? Vite ! »
« Je vous envoie tout de suite sa position par GPS. »
« Très bien. Bon boulot. »           


Il raccrocha instantanément puis rangea son cellulaire. Le rendez-vous allait malheureusement devoir attendre encore un peu. Depuis le temps qu'il s'impatientait de trouver cette relique datant de l'Égypte ancienne, l'homme n'aurait pu se priver de cette chasse pour rien au monde. En guise de fusil, l'homme se satisfit de la seule arme qu'il ne quittait jamais; son intelligence. L'unique matériel dont il avait réellement besoin, c'est d'une petite tablette tactile qui lui indiquait avec une précision sans faille où se trouvait son futur bien. Aussitôt emparé du strict nécessaire, il se dirigea ensuite vers son garage privé où de nombreux véhicules en tous genres étaient garés et  conservés avec le plus grand soin. Pour cette aventure qui se qualifiait d’ores et déjà comme étant palpitante, le bellâtre opta pour une moto de course particulièrement impérieuse et complexe dans sa construction. Nul doute que cette dernière avait subi quelques transformations. Ni une ni deux, il enfourcha sa bécane et fit vrombir le moteur. D'un léger mouvement du poignet, il démarra le monstre qui s'engloutit sans plus attendre sur la route. Quelques minutes après son départ, l'identité de la possesseuse était connu; Aude Haern. En l'ayant prit en filature en toute discrétion, il se trouvait désormais devant sa porte. Il frappa à trois reprises.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: mercredi 16 septembre 2015, 11:22:54 »
A chaque prononciation des mots qu’il employait, Hata notait chaque répercussion que cela suscitait chez la voleuse.  Son sens complexe de l’observation trahissait la belle dans la stupéfaction, le dédain et la réticence. Elle était indéniablement sur la défensive, prête à surgir sur son hôte à n’importe quel moment. Si elle était bel et bien l’instigatrice de son intrusion, les rôles avaient subitement été bouleversés, si bien que c’est à présent le mannequin qui s’infiltrait dans son esprit. Elle avait toutes les raisons de s’inquiéter d’un homme qui agissait avec tant de familiarité, d’autant plus qu’il disposait d’informations en provenance d’une source toute aussi énigmatique. Il savait qu’il avait toutes les cartes en main. La façon dont il les déployait était intelligemment pondéré, et c’est sans doute en partie à cause de ça qu’il était en mesure d’alarmer quiconque lui faisait face. Aux nombreuses interrogations de la cambrioleuse, celui-ci aurait pu mentir de milles et une façon, mais là encore il préférait être honnête et opter pour une incroyable franchise.

« Si vous êtes venus ici dans l’intention de me rencontrer, c’est que vous savez déjà à qui vous avez à faire. Vous n’attendiez pas de moi que je hurle comme une pucelle de quatorze ans n’est-ce pas ? Je fréquente beaucoup d’organisations secrètes, vous savez donc ce que cela signifie. Avec du savoir-faire, on peut manipuler beaucoup de sociétés et de personnalités importantes. Les médias disent de moi ce que j’ai envie qu’ils disent. »

L’homme cessa brusquement son monologue. Il se trouvait lui-même trop loquace et savait d’expérience qu’il requérait mieux d’écouter les femmes que de converser à sens unique. Si elles appréciaient la culture et le savoir, elles n’aimaient guère être forcées d’auditionner les inepties d’un séducteur calculateur et narcissique. Quoiqu’il en soit, il savait plus ou moins ce qu’une femme d’un tel calibre pouvait attendre de lui. La voir débarquer dans sa tenue de "travail" n’avait pour seul intérêt que d’attiser les soupçons du chef d’entreprise. Dans le fond, il se fichait bien de savoir ce qu’elle était venue quérir, car la probabilité pour laquelle elle parvienne à accomplir sa mission était proche du néant.

« Je sais que vous n’êtes pas ici pour un bal costumé donc… Soyez franche avec moi, et je le serais avec vous. »

Hata avait pour principe de ne jamais rien révéler ni concéder à partir du moment où l’offre n’était pas à la hauteur de ses attentes. Si Félicia désirait quelque chose, elle devait le mériter d’une façon ou d’une autre. Sans même jeter un œil à sa convive du jour, l’homme se conduisit vers la cabine qui renfermait le sauna. Il était assez moderne pour recueillir une dizaine de personnes. Avant de s’introduire dans l’antre de la chaleur condensé, le mannequin abandonna sa serviette afin de faire un détour en direction des nombreuses douches. Il prit soin de bien faire face à la ravissante chatte noire.

« Je vous conseille d’ôter votre costume et de me rejoindre. On dit des hommes qu’ils ont tendance à être particulièrement volubile dans ces situations torrides. »

Il déclarait avec humour ce message consacré à lui faire comprendre tout un tas de choses qu’il espérait le plus ambiguë possible. Peut-être avouerait-il réellement plus de détails dans une parfaites parité entre deux individus totalement découvert de leurs biens, ou alors aspirait-il simplement tirer un coup et passer à autre chose. Le concernant, il ne se gênait aucunement pour afficher ses muscles saillants qu’il palpait d’une manière peu orthodoxe.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: mercredi 09 septembre 2015, 15:39:04 »
Aussi patient que pouvait l'être Hata, il n'aimait pas beaucoup que l'on se moque impunément de lui et de son système sécuritaire développé. Il avait mis plusieurs années avant de l'améliorer et de trouver les constantes et les variables qui faisaient de son établissement un lieu infranchissable pour le public de l'extérieur. Les rares qui se sont infiltrés dans son royaume ont toutefois appris que le mannequin était bien pire que toute la prévention mise à disposition, et n'ont par la suite plus jamais réitéré de le provoquer. Car quand confrontation il y avait, elle ne durait jamais bien longtemps. Le jeune homme était conscient que d'autres univers existaient, que des puissances dont il ne soupçonnait même pas l'existence régissaient probablement ce monde. Il savait que des super héros, au même titre que les super méchants avaient davantage de pouvoirs physiques qu'il n'en aura jamais. Pour faire court, il était tout à fait en mesure d'établir que malgré son règne, d'autres vies sur terre pouvaient l'anéantir en moins de deux, et pourtant... pourtant il ne se sentait nullement inférieur à eux. Comme tout a chacun, il possédait ses forces et ses faiblesses. La différence, c'est qu'il était suffisamment intelligent pour s'en rendre compte et pour amenuiser ce qui le rendait faible. A contrario, il aiguisait de jour en jour ses forces pour en faire une arme redoutable. C'est ainsi qu'est Hata : évolutif. Telle une machine façonnée pour être constamment mise à jour, il est ce que la société a de mieux dans ce monde. Il est l'espoir d'un avenir radieux, et c'est en cela qu'il est le pire des hommes ; il sait tout ça.

Pour en revenir à la situation actuelle, celle de cette intrusion du jour, le séducteur n'avait aucun plan précis en tête pour lui faire passer l'envie de répéter sa bêtise. Le génie qui le caractérisait n'avait pas besoin de prévoir quelque chose à l'avance pour être terrible, il s'adaptait en fonction de la personne, des événements qui se déroulaient, ou pire encore, de son humeur. Pour le moment, elle n'était ni bonne ni mauvaise. Il était neutre dans sa psychologie actuelle, n'ayant aucune envie autre que celle de faire la connaissance de cette personne. Harisson mettait un temps fou à la ramener. Quel que soit le contretemps dont il était victime, celui-ci devrait s'attendre à une petite réduction de salaire dans les mois à venir. Après tout, c'est pour cette raison qu'il était grassement payé, pour suivre des ordres précis selon une exigence très particulière. C'est finalement après une interminable attente que le prince de la mode fut dérangé par le bruit métallique de la porte blindée. La silhouette familière qu'était ce grand gaillard de sergent entra le premier, alors qu'il tenait solidement le bras de celle qui avait eu l'idée saugrenue de s'introduire au sein d'une monarchie en dehors de ses moyens.

La femme en question avait de longs cheveux blanchâtres et des yeux bleus au regard aguicheur. Mais ce qui la définissait le plus ne se trouvait pas dans ses attributs physiques, et ce même si sa poitrine disposait de gros atouts. Ce qu'elle avait d'original, c'était cette combinaison noire en cuir, aussi extravagante qu’étriquée, avec laquelle elle avait adopté un petit masque arborant le contour de ses yeux. Pour une femme, Hata devait reconnaître qu'elle était impressionnante. Elle dégageait quelque chose, c'était indéniable, bien qu'il fallait beaucoup plus qu'une aura pour fasciner le mannequin. Il laissa un long silence s'installer alors qu'il buvait une gorgée de son délicieux champagne, stoppant net le garde qui s’apprêtait à prendre la parole. « Merci, sergent Harisson. Je vais à présent m'entretenir avec notre belle cambrioleuse. » Adressa-t-il à son sous-fifre avant de lui faire comprendre que son utilité n'avait plus de raison d'être ici. « Bien maître. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je serais à côté. » Précisa-t-il en quittant solennellement la pièce, transmettant un ultime avertissement envers la provocatrice qu'il fusillait du regard. L'adonis mit un certain temps avant de poser ses yeux sur la nouvelle venue. Il prenait son temps, siphonnait sa boisson et se prélassait sans dire le moindre mot pendant de longues secondes.

Puis il bougea enfin, se décidant à se redresser sans avoir le moindre gène concernant son corps dénudé qu'il ne cherchait pas une seule seconde à dissimuler. Il était loin d'être pudique, c'est pourquoi il sortit de son Jacuzzi, flûte de champagne toujours tenu entre ses doigts effilés. Dans son plus simple appareil, il examina rapidement la voleuse de bas an haut, après quoi il s'orienta vers le porte-serviette pour saisir une pièce de linge. Tandis que l'homme frictionnait son épiderme, celui-ci prit enfin la parole alors qu'il demeurait dos à elle. « Félicia Hardy si je ne m'abuse ? Vous pouvez cesser de faire semblant avec moi. Ça fait bien longtemps que de telles menottes ne vous entravent plus. » Il avait effectivement fallu un simple "scan" à l'homme pour attester de cette supercherie. La chatte noire n'était pas la première pilleuse célèbre à être attirée par ce que renfermait la société, et elle ne serait sûrement pas la dernière. Pendant qu'il noua sa serviette autour de sa taille, Hata rejoignit une armoire qui renfermait une étonnante collection d’alcool en tous genres. Il s'empara d'un des nombreux verres qui se trouvait en dessous. « Vous semblez connaître beaucoup de choses sur moi et j'en sais tout autant sur vous. Si vous aviez envie de me rencontrer, il suffisait d'emprunter l'entrée principale, vous auriez gagné du temps. » Il prit une bouteille au hasard et versa son contenu dans la coupe. Il apporta ensuite la liqueur à la princesse du vol, lui tendant généreusement le récipient en plongeant ses iris dans les siens. « Je présume que prendre un tel risque pour me voir n'est pas dû au hasard. Que puis-je vous apporter au juste ? » Le mannequin révélait présentement son visage le plus angélique. Il agissait et s'exprimait différemment de ce que les journaux et la presse à scandale relataient sur lui. Les rumeurs allaient bon train sur ses procédures d'employeur ainsi que la manière dont il se comportait avec la gent féminine. Comme toujours, dans ces récits pour écervelés se trouvait toujours une part de vérité. Il attendait une réponse, étudiant dans les moindres détails le comportement et l'élocution de son interlocutrice.

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Le coin du chalant / Re : Premiers pas à Seikusu
« le: dimanche 06 septembre 2015, 13:13:07 »
Personnellement, je suis intéressé par les deux premières trames de la terre.

A toi de voir si mon personnage te convient 8D

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Centre-ville de Seikusu / Tel est pris qui croyait prendre [Félicia]
« le: lundi 24 août 2015, 01:47:22 »
Hata, un homme très occupé par ses multiples interactions sociales, contemplait le monde des insectes de son pied d'estrade. Au sommet de sa tour royale, le chef d'entreprise était confortablement installé sur sa chaise en cuir tanné d'une valeur qui devait outrepasser le salaire mensuel moyen de la population. Derrière l'immense baie vitrée qui façonnait son bureau, les rayons du soleil illuminaient son beau visage d'ange sur lequel on pouvait distinguer une expression d'un dédain hors norme. Il savait que l'argent contrôlait ce monde. Tout n'était qu'une question de prix ou la négociation avait une place forte, presque centrale dans la direction publique et politique. Combien de personnes avait-il soudoyées depuis qu'il en avait les moyens ? Combien étaient tombés sous son joug pour la simple raison qu'ils ne pouvaient l'égaler financièrement parlant ? Le pouvoir se mesure en pièce d'or. Même le plus idiot des hommes peut devenir important à partir du moment où sa richesse pèse lourd dans la balance. Ce n'était pas le cas du mannequin, car en plus d'avoir de quoi acheter la ville, son intelligence n'était pas en reste. De A à Z, il avait érigé un monde devenu très populaire à force d'un travail acharné incorporé à son génie inné pour les affaires. C'est pour cette raison qu'il éprouvait à chaque fois de la peine lorsqu’il regardait le peuple aller et venir dans leur quotidien routinier. Ils n'avaient aucune ambition, tous se contentaient d'une vie minable et morose pour le reste de leur existence.

Détournant les yeux de ce magnifique panorama, Hata se tourna vers son bureau en chêne massif. Il était incroyablement propre et vide d'ornementations. Il n'était pas le genre de personnes à s'encombrer d'objets insignifiants qui ne lui apportaient aucune profitabilité. Plus c'était sobre, mieux c'était. Appliquant un paquet de feuilles sur la table, l'homme s'empressa de saisir entre ses doigts l'unique stylo disposé sur la table. Il avait quelques documents à remplir afin de stipuler qu'il donnait son accord pour de futurs projets. Ses collaborateurs étaient très productifs et particulièrement compétents dans le domaine qui leur était confié. Il avait fait en sorte de s'entourer des meilleurs, quelle que soit l'importance du poste au sein de son entreprise. Par ce fait, rien ne l'aurait empêché de confier la tâche ingrate qu'il accomplissait à n'importe quel sous-fifre, mais il se refusait de jouer la carte de la paresse. Le professionnalisme qui était sien était sans aucun doute sa plus grande qualité, même s'il détournait parfois ses propres règles, il n'en demeurait pas moins la personnification de la rentabilité. Ces quelques tâches administratives complétées, le bel étalon rangea méthodiquement les dossiers dans un emplacement qui leur était réservé. Il appuya ensuite sur un bouton incrusté à son bureau ministériel, celui-là même qui était directement lié à l'interphone.

« Que puis-je faire pour vous, sire Hidesawa ? »

La hiérarchie était bâtie de telle sorte que ses salariés le désignaient tous par un titre honorifique que l'on donnait habituellement aux souverains. L'idée avait germé en un temps où l'un de ses hommes lui avait gentiment demandé par quel intitulé il souhaitait être invoqué. Naturellement, il avait fait tout un discours à base de métaphore sur l'importance et l'indispensabilité que représentaient les titres. Sa rhétorique avait, semble-t-il, tellement plus qu'ils s'étaient tous mis à l'appeler "sire". Depuis, c'était devenu un moyen comme un autre de s'adresser à lui sans attendre un retour de bâton. Quoi qu'il en soit, sa fantaisie se résumait à peu de choses.

« Steven, veuillez préparer mon sauna personnel. Faites également en sorte que le jacuzzi soit prêt lorsque je descendrais. »
« Très bien sire, c'est comme si c'était fait. »


Hata se leva séance tenante de sa chaise. Avant de quitter son appartement, il posa ses yeux sur chaque élément architectural, vérifiant que tout était à sa place. Lorsqu'il eut satisfaction, il entrepris de traverser la porte et se dirigea avec assurance vers l’ascenseur qui le conduirait à sa prochaine destination. Sa salle de relaxation se trouvait au sous-sol, à l'abri de tout. Lui et seulement quelques rares associés avaient la possibilité de s'y rendre. Les cartes d'accès étant limitées, il en avait fourni quelques-unes à ceux en qui il avait le plus confiance. Le concernant c'était bien plus simple d'y pénétrer puisqu’il suffisait d'utiliser le scanner oculaire. Passé le seuil de la porte automatique, l'ambiance venait directement à lui. Chaleureuse et détendue, la douce mélodie n'avait d'autre but que d'apaiser l'esprit. L'intérieur était des plus chics ; le parfum capiteux de l'encens imprégnait l'air, et des bougies à la flamme vacillante projetaient une lumière tamisée sur une aire circulaire délimité par tout ce qui constituait l'espace détente. Jacuzzi, sauna, hammam, tables de massage. Tout était à disposition sans la moindre restriction. Le mannequin préférait tout d'abord commencer par se purger dans le liquide bouillant avant d'entamer le bien-être par la vapeur. Il se déshabilla et plaça soigneusement ses vêtements coûteux dans une remise qui leur était réservée. Enfin en pleine disposition pour se relâcher, le jeune patron s'introduisit dans l'eau bouillante. D'abord les pieds, puis lentement il engouffra le reste de son corps en suivant les petites marches qui lui autorisaient l'accès au fond du bassin. Assez spacieux pour accueillir un bus entier, le plaisir de se sentir privilégie n'en était que plus grand. Nonobstant, alors qu'il venait à peine de s'installer, le téléphone qui était posé à sa droite se mit à sonner. Où qu'il aille, il fallait savoir que chaque pièce était dotée d'un cellulaire, accessible uniquement pour les urgences bien entendu. À contrecœur, l'homme soupira, allongea son bras pour saisir l'appareil et décrocha.

« Que se passe-t-il ? » cracha-t-il sèchement.
« Maitre Hidesawa, c'est le sergent Harisson à l'appareil. J'ai appréhendé une jeune femme qui tentait de s'intro... qui s'est introduite dans les locaux. J'ignore comment elle a réussi à percer les défenses, mais soyez sûr d'une chose, nous allons-lui... »
« Amener là moi ! »
« Pardon ? »
« Je vous ordonne de la ramener ici ! Je vais lui faire passer l'envie de vouloir jouer les apprenties délinquantes. »
« Très bien. Je vous la fais escorter. »


Le bip sonore suspendit la conversation. Le sergent le savait aussi bien que n'importe quel autre employé. Tomber entre les mains d'Hata était le pire châtiment à recevoir. À chaque fois qu'il s'occupait personnellement d'un cas, ça ne se terminait jamais bien pour sa poire.

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Le coin du chalant / Re : N'ayez pas peur de la volupté
« le: samedi 22 août 2015, 10:42:34 »
UP. Si le Hentai vous gêne, on peut aussi faire autre chose.  ;)

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Le coin du chalant / N'ayez pas peur de la volupté
« le: lundi 17 août 2015, 23:46:40 »
J'ai vu que certains d’entre vous composaient des trames. Je vais donc prendre exemple et en proposer quelques unes. Bien sûr, si vous avez d'autres idées, je vous encourage à me les suggérer, c'est toujours bon à prendre. Si vous êtes intéressés, merci de me contacter ici ou par MP, comme bon vous semble. :)

Sur Terre :

Trame 1 : Hata se trouve confortablement allongé dans son sauna. L'esprit tranquille, il ne s'attend pas à recevoir la visite d'un vigile, qui tient désespérément le bras d'une femme dans sa main droite. D'après ses dires, elle s'est infiltré sans invitation dans l'entreprise. Le mannequin compte bien connaître le fin mot de l'histoire, et fera ainsi tout son possible pour lui tirer les vers du nez.
Trame 2 : C'est le jour où le bel homme doit tenir une conférence très importante pour lui. Trop occupé par les nombreuses tâches qu'il doit accomplir, Hata doit absolument trouver une partenaire de dernière minute pour l’épauler. Pour cause, la totalité de ses collaboratrices sont absentes.
Trame 3 : L' « Hata Corporation » dispose d'une pièce secrète où tous les plaisirs sont permis. Seulement, peu d'élus ont le droit d'y accéder et de goûter un jour aux sept délices du monde. Vous cherchez un moyen désespéré de convaincre le boss que vous êtes tout à fait disposée à faire partie de ce cercle très fermé.

Sur Terra :

Trame 1 : Dans l'absolu, Hata doit fructifier son royaume. Pour ce faire, il manque cruellement de diversités, autant au sein de ses clients que dans celui de ses modèles. Dans le but de rectifier le tir, il décide de se rendre sur Terra pour trouver la ou les personnes qu'il désire obtenir.

Trame 2 : Il semblerait que l'un de ses plus fidèles associés se soit fait agressé par un habitant de Terra. Hata ne peut se permettre d'accepter de tels agissements sans punir sévèrement celle ou celui qui compromet le développement de son empire.


Inutile de vous dire que la plupart des trames aboutiront sans aucun doute sur du Hentai. Vous êtes prévenues ;)

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Prélude / Re : Hata, mannequin dominant [Validey]
« le: lundi 17 août 2015, 18:41:34 »
Merci à tous !

Catalina => Tu as raison mais pour ma défense j'écrivais sur une tablette, et on sait à quel point ce n'est pas adapté pour l'écriture. ^^

Lucrezia => Pareillement, j'espère avoir l'occasion... d'échanger avec toi ;D

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Prélude / Hata, mannequin dominant [Validey]
« le: lundi 17 août 2015, 03:26:17 »
Identité : Hata Hidesawa
Âge : 26 ans
Sexe : Homme
Race : Humain
Sexualité : Hetero

Physique : Etant à la fois mannequin et modèle pour les plus grands couturiers, Hata attache un soin tout particulier à l’élaboration de son physique. Grand et imposant, le jeune homme représente une marque, mieux, il représente son empire. Pour cette raison, il se doit d’avoir un corps magnifique, sculpté dans la même roche qui a servi à confectionner le beau Apollon. Ses longs cheveux noir de jais lui descendent jusqu’aux omoplates, peignés et entretenus avec la précision des plus grands coiffeurs de cette ère. Ses yeux, profonds et merveilleux ont l’aspect de deux topazes auxquels beaucoup d’hommes et de femmes ont succombé. Dans l’ensemble son visage est particulièrement élégant ; lèvres pulpeuses et nez excessivement fin le composant.

Évidement, inutile de dire que le prince du mannequinat est habillé selon un code très précis, honorant la marque qu’il a constitué de ses deux pleines mains. Ses vêtements sont à la fois décontractés, lui permettant d’accomplir des mouvements très souples et très chic, le distinguant aisément du peuple standard qui pollue les rues de Seikusu.




Caractère : En tant que roi d’un empire, Hata demande et exige beaucoup des autres comme envers lui-même. Véritable maniaque de la propreté, il ne supporte pas voir quelque chose qui n’est pas correctement à sa place. Il préfère vivre dans un environnement prodigieusement propre que de voir ses vêtements ou son bureau souillé par n’importe quel tâche arriviste. C’est pareil concernant ceux qui travaillent à ses côtés. Il ne s’entoure que des meilleurs, bannissant toute personne inapte à accomplir ses devoirs dans le cachot de la honte. Malgré cette image « irréprochable », Hata est doté d'une personnalité froide et inaccessible. D’après ses plus proches contributeurs, il est violent et impénétrable. Sa manière de parler se veut rarement polie, et il fait parfois des commentaires grossier ou inappropriés. Son sens de l’humour noir, souvent incompris, est désagréable et peut être même perçu comme vulgaire. Il a tendance à exprimer ses désirs de manière strict et insultante, n’hésitant pas à provoquer ou à rabaisser qui il veut s’il l’estime nécessaire. Il n’en demeure pas moins maître de ses émotions, sinon il serait bien incapable de manipuler autrui pour parvenir à ses fins. La peur qu’il insuffles aux autres lui permet également de se frayer un chemin tout tracé. Génie dans l’âme, il sait frapper psychologiquement où ça fait mal afin de s’approprier n’importe qui.



Histoire :

L’enfance du précoce Hata s’est déroulé dans la plus grande monopole du Japon. A son jeune âge déjà, ses parents étaient très fiers de la beauté de leur garnements, si bien qu'il passa un nombre incroyable de castings sans même avoir la mentalité de s’en rendre compte. Pubs en tout genre, bébé modèle pour des shooting photos, tournages de courtes scènes afin d’apparaitre dans les plus grosses productions... Le moins que l’on puisse dire, c’est que sa vie de bébé a été remplie plus qu’aucune autre. Sa mère travaillait dans le milieu de la mode en tant que styliste, reconnue par les plus grands pour son savoir faire indéniable en la matière. Son père était quand à lui un grand comédien de films d’actions, tournant essentiellement ses cascades lui-même. Eh oui, on a beau déclarer ce qu’on veut, tout le monde n’est pas égale sur terre. Affiché sous les feux des projecteurs plus rapidement que n’importe quel star du système, Hata a considérablement vu sa popularité augmenter au fil des années. Il suffit de parcourir son adolescence pour se rendre compte qu’il a sans cesse été au dessus des autres, pourvoyant les postes que personne a part lui ne pouvait obtenir, étudiant dans les plus grandes universités liés à la mode et au management, posant quotidiennement pour les compagnies d’autres continents. De prouesses en prouesses, le jeune prodige de la mode parvenait à sortir des sentiers battus en proposant d’ériger un royaume qui lui appartiendrait, et qui à jamais, serait sous son règne. Passé à l’âge adulte, il concrétisa son projet de former un empire à son nom : une multinationale qui avait pour ambition de découvrir et de former les mannequins les plus talentueux du monde. Véritable référence en la matière, la réputation de son royaume grimpa exponentiellement en flèche, accueillant et attirant non seulement les habitants de la terre dans un premier temps, mais aussi quelques rares élus de Terra, pour laquelle ladite formation différait de la classique, s’adaptant à tout styles de créatures, aussi bien portés sur le mal que sur son contraire. Mais ce n’est pas tout. Alors que son empire fleurissait au delà de son imagination, Hata en profita pour faire de son entreprise un lieu de débauche absolue, ou pouvaient aller et venir tous les êtres tentés de se jeter tête la première dans les bras de la luxure. Alcool, prostitués, services sexuelles et énormément d’autres choses s’y déroulant à présent. « L’Hata Corporation » était plus que jamais sous l’emprise de son concepteur, fusionnant deux activités majeures de l’économie pour lesquelles il était passé de simple conformiste à seigneur. Nul doute qu’il fermenterais encore d’autres programmes afin de développer encore davantage son système.

Autres :

Comme il habite au sein même de son entreprise, Hata vis au dernier étage de celle-ci, pour semble t-il, contempler les fourmis qui pullulent et représentent la société. Grâce à ses nombreuses années d’études, ses connaissances sur le monde sont variés. Plus cultivé et intelligent que la normale.

Vu qu’il dirige une des sociétés les plus populaires du moment, le jeune homme connaît beaucoup de personnes très influentes. Aussi, il est globalement assez proches des chefs de gangs et des hautes autorités, ceux là étant de fidèles clients.

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