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Sujets - Donna Troy

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Cela faisait quelques années déjà que Donna Troy avait posé ses valises au Japon, plus précisément à Seikusu. Après toutes les difficultés qu'elle avait rencontré dans son début de vie d'adulte, la jeune femme savait qu'elle devait aller de l'avant. Aujourd'hui, malgré tout ce malheur qui s'était abattu sur elle, ce passé prenait de moins en moins de place dans son chemin de vie. Certes, il y aura toujours des séquelles, Donna ayant toujours une certaine méfiance à l'égard de la population masculine mais sa phobie avait disparu. Si aujourd'hui, elle ne faisait que rester sur ses gardes, c'était en grande partie grâce à Kyle...Sentinel Prime, ce super-héros en collant moulant, était devenu son professeur, son guide, ainsi que son meilleur ami. Grâce à lui, en partie, elle avait surmonté ses angoisses, et avait transformé ses peurs en force. Tout cela, lié aux enseignements du héros universel, lui permit de devenir super-héroïne à son tour, sous le pseudonyme de Wonder Girl...

En dehors de cette double vie qu'elle gardait très secrète de sa famille et ses amis « normaux », comme Tonia et James, les fameux propriétaires de l'épicerie américaine Pearl Harbor, situé dans le quartier de la Toussaint, son train de vie était des plus paisibles. Elle ne voulait pas qu'ils soient mêlés à ce genre de problèmes que lui amenaient ses tours de garde. Elle avait des superpouvoirs et combattait des criminels, allant du simple voleur à des meurtriers...Alors elle gardait ça pour elle.

Le reste du temps, elle était juste Donna Troy, la traductrice d'une maison d'édition. C'est M.Archer qui lui avait offert ce poste. Écrivain américain ayant pour lien avec le Japon était son ancienne compagne mais surtout, son enfant...Malheureusement, il parlait que peu et mal le japonais. Avec sa rencontre avec le belle brune, ils avaient eu une belle amourette. Cela n'avait pas fonctionné sur la longueur, mais ils s'étaient séparés en bons termes. Encore aujourd'hui, Donna travaillait sous ses directives, même si son patron partait ici et là au Japon, comme en Europe ou aux States. Depuis Quincy, la demoiselle n'avait eu d'autres relations intimes avec un homme. Avec son train de vie et avec son manque de confiance envers la gente masculine, cela n'aidait en rien à se défaire de ce célibat...Qu'importe...

C'était une journée des plus banales dans la vie de Donna Troy. Un bruit désagréable fit sortir la jeune femme de sa torpeur. Quelle saleté d'invention, tout de même...Mollement, elle se rendit dans sa petite cuisine pour se préparer un simple petit déjeuner: un bol de céréales. Le bol finira dans l'évier avec le reste de la vaisselle car la demoiselle n'eut pas le temps de la faire juste avant de partir travailler. Tant pis, cela attendra...

La suite de la journée s'enchaîna doucement et sans encombre. L'Américaine adorait son travail ! Cela lui changeait des heures qu'elle faisait et des conditions de travail qu'elle avait losqu'elle était serveuse...Son job lui permettait de réviser perpétuellement son japonais, ainsi que sa langue maternelle. La belle brune était bien loin de son pays natal et il lui manquait, ainsi que sa famille et ses amis restés là-bas. Heureusement, elle pouvait se ressourcer auprès de Tonia et James. Le Pearl Harbor était devenu un refuge, où elle y retrouvait la nourriture de chez elle, mais aussi cette chaleur humaine que dégage le couple d'amoureux. Ils étaient devenus sa seconde famille. Il n'était pas rare que Donna se rende dans l'épicerie après le travail, deux à trois fois par semaine, brisant sa solitude habituelle.

D'ailleurs, c'était un jour comme ceux-là où, après avoir fermé la porte de son bureau, elle sortit de l'office pour se rendre à sa boutique préférée. Rien que de songer aux bons plats que lui préparait Tonia, elle en bavait et sentait l'odeur de loin, un peu comme si cela indiquait le chemin à suivre pour franchir l'arrivée. Sur place, elle embrassa ses amis, prit de leurs nouvelles avant de faire un petit tour dans la boutique. Sa « deuxième maman » lui avait préparé un petit paquet de papier, avec de bons burgers dont elle avait le secret. Une fois ses emplettes terminées, Miss Troy salua sa famille d'adoption, reprenant le chemin vers son appartement.

Sur le trajet, ses pensées lui donnaient le sourire. Bientôt, elle irait dans cette baignoire pour se décrasser, puis enfilera son beau costume sombre, recouvert d'éclats d'étoiles. Au détour d'une ruelle, une petite chose attira l'attention de la surhumaine. Un carton se tenait là, collé à un mur, un son distinctif s'en échappant. S'approchant du dit carton, un miaulement plaintif éclata. Deux pauvres chatons habitaient ce niche de papier. L'un d'eux était roux, levant la truffe vers la jeune femme. Il miaulait, semblant bien vif. L'autre, d'un gris profond, était inerte. L'observant plus attentivement, Donna se rendit compte que ce petit corps ne bougeait pas d'un poil. Le malheureux n'était plus...

- Pauvre petit chou, je suis désolée...

Le petit cœur de la jeune femme se serra un instant, une moue triste tirant les traits de son visage. Avec toute la délicatesse possible, elle approcha sa main vers le petit roux qui ne faisait que miauler. Le laissant s'habituer à son odeur, elle le prit alors doucement dans ses mains. Jouant d'ingéniosité pour garder le petit félin contre elle et ses courses, en plus de son sac à main, elle fit en sorte d'avancer le plus vite possible pour rejoindre son petit nid douillet.

- Tu viens avec moi, mon petit. Ne t'inquiètes pas, je ne te ferai aucun mal.

Quelques minutes plus tard, elle aperçut son bâtiment. Son appartement était situé au dernier étage. Elle prit l'ascenseur. Les escaliers auraient apeuré le petit rouquin, le bousculant à chaque pas. En quatrième vitesse, elle ouvrit sa porte puis referma derrière elle. Donna, toujours délicate, posa le félin au sol, puis, prenant soin de ne pas l'écraser, déposa ses sacs pour ranger ses courses dans ses placards et son frigo. D'emblée, elle sortir deux petits bols, l'un qu'elle remplit d'eau, l'autre de petits bouts de steak provenant d'un de ses burgers.

- Je n'ai que ça pour toi pour l'instant...J'irai te chercher du lait demain, et on fera un tour chez le véto aussi, voir si tu vas bien.

L'héroïne le laissa prendre ses marques, l'observant quelques secondes en le poussant vers les petits bols servant de gamelles. Se redressant, Donna se dirigea vers sa salle de bain, préparant sa baignoire en faisant couler l'eau et y ajoutant du produit pour avoir un bain moussant.

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Les alentours de la ville / Another hero [Blacksmith]
« le: mercredi 04 décembre 2013, 20:40:52 »
Il avait beau faire nuit, le ciel, drapé de ce manteau sombre, était parsemé de ces milliers de petites lucioles, qui papillonnent parfois derrière quelques cotons. Le bel astre lunaire veillait sur la ville de Seikusu, l’illuminant de sa douce lumière. Mais une autre personne veillait au grain et à la sécurité de ce bourg japonais. Donna avait pris le temps de bien nettoyer sa combinaison de super-héroïne, avant de l’enfiler au crépuscule, pour qu’à la nuit tombée, Wonder Girl guette au raz des buildings. Aux aguets, son regard azuré scrutait le moindre recoin des rues, œil de faucon à l’affut d’un quelconque souci, y compris dans les lieux moins fréquentés. Même si la jeune femme avait encore du mal à parfaitement jouer le rôle de protecteur de la cité, tout du moins, à cause de son manque de confiance en elle et sa phobie des hommes, elle prenait sur elle au maximum pour sécuriser son coin d’adoption. Son costume de super-héroïne ressemblait étrangement à ce ciel, en réalité. D’une obscurité profonde, elle scintille de mille et unes petits diamants, de ce qui semble plutôt être des paillettes. Wonder Girl, petit joyau de nuit, voguait dans les airs.

Soudain, un hurlement parvint à ses oreilles…


HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaa…


Et celui-ci s’éteignit quelques secondes après…

Ce genre de cri strident à en glacer le sang, même de Donna. La jeune femme s’arrêta en plein vol, droite comme un « i », évaluant la zone d’où provenait ce son meurtri. Reprenant sa course, la brunette ne mit pas longtemps avant d’arriver sur les lieux du…massacre. Un haut-le-cœur la prit, mettant la main devant sa bouche pour ne pas rendre. Le spectacle était tel que la demoiselle en était malade rien qu’à la vue de ce cadavre de femme. Jonchant à même le sol dans une petite ruelle, finissant en cul-de-sac, Donna ne saurait reconnaître la personne, à part dire qu’elle était blonde. Son visage avait été grignoté. De sa poitrine, il n’en restait qu’un sein, presque intact, l’autre ayant disparu du torse de la victime. Son ventre…Celui-ci était totalement ouvert, presque exempt de tout organe, à part de l’intestin grêle dont un court morceau donnait l’impression de s’enfuir du corps cadavérique. Le corps était encore chaud. L’odeur du sang prenait de trop le nez de la super-héroïne pour qu’elle ose s’en approcher de trop, juste à peine pour lui toucher la peau au niveau de la cheville.

Qui, ou quoi, avait bien pu faire une chose aussi horrible ? Car oui, à force de rondes, la belle américaine avait pu rencontrer, sur Seikusu, des…Choses hors du commun. Des monstres, des créatures, qu’elle n’aurait jamais cru voir de sa vie. Mais depuis sa transformation, ou plutôt sa mutation, à l’aide du bromure d’éthidium, Donna s’était bien ancrée en tête que si ce genre de choses pouvait arriver, alors, dans ce monde, il pouvait bien exister des créatures qu’on cite dans les légendes. Oh, elle n’avait pas tout vu non plus, et sincèrement, si la brunette pouvait éviter d’avoir affaire à ce genre de bestioles, elle le ferait. Mais on dirait bien qu’il en est autrement, désormais…

Un autre cri parvint aux oreilles de la jeune femme, qui détourna les yeux du cadavre frais, surprise. Ce n’était pas très loin. Surprise, très chère…Ce cadavre, qui encore quelques secondes auparavant, remua très lentement, s’éveillant. Un grognement attira l’attention de la belle brune, qui en écarquilla les yeux d’étonnement. Que ? Un mort qui revient à la vie ? Un…Un zombie ? Sérieusement ? Oh, bon dieu…Un frisson parcourut l’échine de la demoiselle alors qu’elle se relevait en un sursaut. Du dégoût se lisait sur son visage alors que la bête prenait vie sous ses yeux. Le cadavre sans visage se retrouve rapidement debout. Soudainement, il s’attaqua à la personne qui se trouvait devant elle, c’est-à-dire Wonder Girl. Vision d’enfer. Le monstre se rua sur Donna, la plaquant au sol, essayant de la mordre. Chose qu’elle arriva, au niveau de l’épaule. La super-héroïne couina sous la morsure, tirant sur la mâchoire de la créature pour lui faire lâcher prise. Elle la lui arracha, y ayant mis trop de force, avant de finalement lui briser la nuque, jusqu’à lui ôter la tête du reste du corps.


- Eurk…


Donna serra les dent en voyant l’état de son épaule gauche. Mais la jeune femme n’avait pas le temps de se plaindre. Elle devait rejoindre l’endroit d’où provenait l’autre cri. La ruelle voisine. S’y précipitant, elle vit ce qu’elle avait rencontré juste quelques secondes auparavant. Des morts-vivants. Ceux-ci, au nombre de sept, étaient encore attroupés, grognant, autour d’une nouvelle victime, en train de la dévorer sans retenue. Un nouveau haut-le-cœur la prit, avant de s’élancer pour réduire en bouillie cette vermine. Un par un, elle transperça leurs corps, leur arrachant la tête à chacun pour clairement les éliminer. Non, qu’ils ne se relèvent plus jamais.

Il devait en rester deux ou trois, alors que subitement, une voix sembla résonner dans le crâne de l’américaine. Toi…La jeune femme se sentit quitter le sol, comme si elle s’envolait, mais en aucun cas, elle ne faisait appel à ses pouvoirs. Son corps s’éleva dans les airs, à quelques mètres au-dessus du groupe de macchabés ambulants, qui sautillaient pour attraper leur repas.


- Mais que… ?


Ses muscles se tordaient doucement, jusqu’à lui faire craquer certaines articulations. Son dos se cambra sous une force qu’elle n’arriva pas à maîtriser. Ses jambes pendaient dans le vide, alors que ses bras, ses poignets furent ramenés dans son dos, comme si on l’avait menottée pour l’emmener au poste.


- Pas touche à mes minions…


What the  fuck ? Ces creatures avides de chair fraîche étaient des sortes de serviteurs ? Mais de qui ? Quand Donna osa enfin poser le regard d’où provenait cette voix d’outre-monde, elle en haussa les sourcils de surprise. Ce…truc contrôlait ces bestioles ? Pourquoi ? La question devrait être, de suite, comment se sortir de ce pétrin.

3
Il fait bien froid sur Seikusu ce soir. Et le ciel n’est guère clément. Il est une nuit fraîche alors que Donna effectue sa ronde. L’air vient faire frissonner sa peau, alors que de fines gouttelettes ruisselaient le long de sa nouvelle combinaison de Wonder Girl. C’est Kyle qui lui avait donné l’adresse pour se faire faire une combinaison sur mesure, de plus, en spandex. Elle était noire, légèrement pailletée, rappelant le ciel étoilé qu’elle côtoyait désormais, ses hanches bercées par une ceinture grisâtre, simplement décoratrice en fait. La super-héroïne ne porte que des bottes blanches, avec un léger talon, et remontant jusqu’à mi-mollets. Sur ses bras reposent de grands bracelets faits dans un métal inconnu de la demoiselle, mais dit très résistant, dont aucune balle ne peut passer à travers, ni même un laser. Elle prend soin de laisser ses cheveux détachés, maintenant trempés par la pluie, pour ne pas trop ressembler à ce qu’elle est en civil. Le petit détail, et qui lui tient à cœur, ce sont ses boucles d’oreilles, ses étoiles en argent, qui lui rappellent tant Kyle. Cela lui donne l’impression qu’il est toujours là, malgré tout.


Un soupir dépassant ses lèvres charnelles, la demoiselle était, à l’heure qu’il est, trempée jusqu’au cou. Mais, malgré ça, elle continuait sa ronde dans Seikusu, à l’affût du moindre problème. Et même dans l’espoir de voir Kyle, ou Marie. Mais il était déjà bien tard, et le ciel se faisait de plus en plus sombre. Quelques nuages grondaient légèrement, laissant apparaître ces flashs qui annoncent mauvaise augure.


Alors, Donna stoppe son vol quelques instants. S’étant arrêtée sur le haut d’un immeuble, elle se posta droite sur le rebord d’un toit, observant les alentours d’un peu plus près, que la pluie gênait pour y voir correctement. Elle resta là un petit moment, avant de finalement quitter ce toit, et filer vers d’autres buildings, volant à raz des toits, pour mieux observer les alentours, et distinguer les éventuels malfrats qui y trainaient…

4
Le quartier de la Toussaint / Parfois la vie, c'est simple comme "Bonjour" [pv]
« le: dimanche 14 octobre 2012, 19:39:26 »
♫ You're my escape when I'm stuck in this small town.
I turn you up whenever I feel down.
You let me know like no one else
That it's okay to be myself ♫



Donna chante. La musique dans les oreilles à l’aide de son MP3, elle se détache du monde extérieur. Elle fait moins attention à tout ce qui l’entoure, en particulier les hommes. C’est sa façon de se protéger de sa phobie, encore présente. Elle ne s’habille pas de façon provocante ou à montrer ses formes féminines, tout simplement parce qu’elle ne souhaite pas attirer l’attention sur elle. Un jean, des tennis, un tee-shirt masculin pour cacher sa poitrine appétissante qui ameutait la gente masculine. Rien de bien féminin en somme, à part peut-être sa paire de lunettes rectangulaires et son sac à main. Bien lourd d’ailleurs, car il contenait ses affaires pour le travail.


Regardant parfois le ciel sur le chemin, elle s’était mise à penser aux deux tourtereaux. Kyle et Hitomi étaient bien mieux ensemble, et même si parfois c’était encore dur pour l’américaine, elle en était heureuse pour eux. Elle s’était promis de trouver quelqu’un aussi, et ce jour-là, Donna le présentera fièrement à son meilleur ami et à la rouquine, à Marie aussi, pour sûr. Son sourire qui avait étiré doucement ses lèvres rosées et charnues, disparût soudainement. Sa phobie lui était revenue en pleine poire quand elle heurta sans mal un passant. S’excusant rapidement d’un hochement de tête, au visage devenu bien pâle, Donna se rappelle maintenant. Elle ne trouvera peut-être jamais quelqu’un qui l’accepterait avec sa peur grandissante, son passé et son futur si extraordinaire. Pourtant, Kyle avait bien réussi à trouver quelqu’un, lui qui en doutait tellement…


Un rire étouffé l’égaya quelques secondes. La journée allait être longue, mais quand faut y aller, faut y aller ! Se dirigeant dans le grand hall d’entrée du centre commercial, elle haussa un sourcil d’étonnement de voir autant de monde à cette heure-ci. Il n’était pas encore midi pourtant ! Un long soupir passa ses lèvres, alors que ses pas l’emmenaient vers le café où elle travaillait. D’un banal déconcertant, Donna n’était pas très ravie à chaque fois que la patronne lui demandait de changer de tenue. Jupe droite et noire, arrivant à mi-cuisses, un chemisier blanc ENFIN à sa taille et manches courtes, le tout agrémenté d’un petit tablier blanc à la taille. Rajouté à cela ses lunettes lui donnant un côté secrétaire sexy, et son chignon remonté mais pas trop stricte, ainsi que sa paire d’escarpins noirs, simples mais qui lui faisaient des jambes parfaitement galbées…Donna voudrait bien y voir sa patronne, à prendre les commandes et que lorsqu’elle se retourne, la brunette prenait parfois des mains aux fesses. Mais non, elle n’avait rien droit de dire, rien droit de faire, juste pâlir à ce contact qui l’horripilait et ravaler sa salive.


Quinze heures. Enfin, Donna allait pouvoir se reposer. Pause ! Et en plus du fait qu’elle commençait à avoir mal aux pieds, son estomac lui rappelait toutes les minutes qu’il crevait de faim. Cherchant son porte-monnaie dans son vestiaire, elle fit signe à sa patronne qu’elle partait manger. Deux bonnes heures, au moins, pour ça, la vieille peau était sympa. Se dépêchant d’acheter sandwich, soda et morceau de moelleux au chocolat, sa petite gourmandise, elle prit place pas loin du café. Juste en face, il y avait un espace détente si l’on peut dire, deux bancs dos à dos. S’affalant dessus sans aucune grâce et profitant qu’il n’y ait personne, elle se plongea de nouveau dans son monde, la musique dans les oreilles. C’est une autre façon de voyager, faut dire. Et les States lui manquaient à vrai dire. Ouvrant le paquet de son sandwich, la première bouchée fut comme une libération, son estomac gargouillant une dernière fois comme pour la remercier. Il en faut peu pour être heureux, non ? Prenant davantage ses aises, elle retira ses escarpins, posant les pieds nus dessus, qui avaient d’ailleurs pris légèrement les traces du contour de la chaussure.


Plusieurs bouchées plus tard, Donna entama son soda, non sans un petit son distinctif des boissons gazeuses qui ne passa pas la barrière de ses lèvres. Ce n’est pas très fin, mais bon, c’est Donna aussi. Avec délice, l’américaine se lécha les babines en ouvrant le sachet de sa gourmandise du jour. D’ailleurs, elle n’en mangea que la moitié, préférant en garder un bout pour la fin du service, ou bien même pour quand elle rentrerait chez elle. Il lui restait bien une bonne grosse heure avant de reprendre le travail au café. Alors, elle jeta ses déchets dans la poubelle voisine, toujours les pieds nus, et se réinstalla sur le banc. Donna ne se gêna nullement pour y poser les pieds dessus, rabattant quand même ses jambes vers elle, assise, le bras accoudé au dossier, la tête maintenue par sa main. D’abord murmurant, presque inaudible, elle se mit à chanter plus fort, dans son accent américain de l’Iowa. Elle ne savait pas si elle chantait bien ou non, mais cela ne l’empêchait nullement de se laisser aller à la mélodie de la musique. Fermant doucement les yeux, elle se laissa porter par les notes de musique.


♫ I was broken, I was choking.
I was lost, this song saved my life.
I was bleeding, stop believing
Could have died, this song saved my life.
I was down, I was drowning
But it came on just in this time.
This song saved my life. ♫


5
Elle hésitait. Était-il déjà rentré ou non ? Et d’abord, est-ce qu’il faisait encore ses patrouilles le soir ? Les journaux et autres médias avaient lancé la rumeur de la mort de Sentinel Prime. Chose impossible, car Donna était déjà venue plusieurs fois observer l’appartement de Kyle, et à chaque fois, elle y voyait de la lumière, et la fameuse porte-fenêtre ouverte. Le costume de super-héros n’avait pas été remis depuis un moment, c’est pour cela que tout le monde pensait avoir perdu le héros. Mais Kyle dans tout ça ?


Un mois. Un putain de long mois qu’avaient passé ensemble Kyle et Donna. Ils s’étaient rapprochés, devenant de très bons amis. Les quatre cents coups ensemble ! Lui racontait sa nouvelle rencontre, une jeune femme du nom d’Hitomi et semblait aux anges. Donna qui en était très heureuse pour lui, le jeune homme pensant ne jamais trouver la perle rare. La jeune brune avait même pensé à la rencontrer, mais avait pensé qu’il était encore trop tôt pour cela, et avait pris la décision d’attendre que le couple revienne d’Irlande. Là où la rouquine Hitomi avait emmené Kyle pour lui faire découvrir ses racines…


Mais depuis, plus rien. Pas une visite surprise à l’appartement de Donna, ni à son travail. Pas un coup de téléphone. Aucune conversation internet. Rien. Le vide total. Mais qu’est-ce qu’il s’était passé pour que Kyle réagisse ainsi à son retour ? Il évitait carrément la jeune femme ! Elle ne comptait plus les fois où elle était venue taper à sa porte et qu’il n’avait pas daigné lui ouvrir, ou même lui répondre. Elle s’inquiétait !


Perchée sur l’immeuble d’en-face de celui de Kyle, elle hésitait. Et s’il l’ignorait parce qu’Hitomi était jalouse de Donna ? Après tout, sûrement que Kyle avait parlé de la brunette à sa rouquine, et que leur proximité n’avait pas plus à la demoiselle…Non, mais même si c’était ainsi, Kyle l’aurait avoué à Donna ! À moins que non, pour ne pas la blesser. Ou alors, il s’était passé quelque chose de bien plus grave, là-bas, au pays des leprechauns ?


En tout cas, ce n’était pas en restant sur le toit de l’immeuble que Donna aurait des réponses. Une faible lueur émanait de l’appartement du jeune homme, et la porte-fenêtre menant au balcon était encore ouverte. Alors, c’était le moment. Dans sa combinaison moulante de Wonder Girl, elle s’envola vers le balcon de son ami, passa la porte et referma derrière elle. La clé sur la porte, elle la verrouilla, puis cacha cette clé là où elle cachait le fameux bout de drap.


Et Kyle était là. À moitié nu, en caleçon, avachi sur son canapé, à regarder un film à caractères pornographiques. La table basse ? Elle était remplie de plusieurs cadavres de bouteilles d’alcool. Whisky, téquila, scotch, vodka, bière, et j’en passe. Il avait bu tout cela ce soir, ou bien sur plusieurs jours ? Son regard était vide, son teint blafard. Mais il y avait autre chose qui choqua Donna : il était blessé. S’il-vous-plaît, Sentinel Prime avec une main dans le plâtre ! Avec en prime, quelques hématomes sur le corps, et le bras droit entièrement bandé…Il pouvait résister à bien des chocs, alors comment était-ce arrivé ? Oula, trop de questions se bousculaient dans l’esprit de la brunette.


Mais faisons les choses, une à la fois. Donna ne s’était guère annoncée, et restait muette. Elle s’avança vers la table basse, ramassant chaque bouteille qui traînait, et partit les jeter à la poubelle. Tout cela sans mot. Sur le chemin vers la dite poubelle, elle remarqua un vêtement qu’elle n’avait jamais vu : un costume, paraissant à celui rouge et bleu de Sentinel, mais celui-ci était d’autant plus sombre. Dans une mine triste, elle repassa devant Kyle, qui ne réagissait apparemment toujours pas face à la présence de Donna. Attrapant la télécommande, elle éteignit la télévision, s’installa à même la table basse, y posant ses fesses même si ce n’était guère propre. Tant pis, ça se lave un costume.


Elle était là, face à Kyle, en tailleur. Elle approcha doucement sa main, pour relever le visage du jeune homme, afin qu’il la regarde dans les yeux.


- Et maintenant, si tu me disais ce qui ne va pas…J’imagine que cela concerne Hitomi, n’est-ce pas ?


Sa voix n’était pas sèche, ni rien. Déçue ? Elle l’était un peu. Kyle était son ami et il n’était pas venu vers elle, alors que pour lui, tout allait mal. Son cœur se serrait de voir son ami dans cet état, et se retint comme elle put pour ne pas verser des larmes…

6
Les alentours de la ville / Fais-moi pousser des ailes...[Sentinel Prime]
« le: lundi 30 avril 2012, 22:49:59 »
Encore une fois, c’était apparu. Cette sensation que quelque chose de nouveau allait arriver se faisait plus présente. C’était à chaque fois pareil : Donna ressentait une petite étincelle au fond d’elle, une flamme qui grandissait de plus en plus chaque jour. L’apparition des pouvoirs était aléatoire. Sa capacité à soulever plusieurs tonnes, elle l’avait découverte quand elle avait voulu grimper à un arbre, réussissant à déraciner l’arbre en question. Son endurance, développée à son travail, à faire plusieurs choses en même temps et durant plusieurs longues journées sans être fatiguée. Vitesse, un mot qui lui plaisait, et encore plus quand elle vit qu’elle rattrapait des voitures sur l’autoroute ! Et son agilité…Elle le découvrit, maladroite qu’elle est, en faisant tomber de nombreux objets cassants au sol et les rattrapa à l’aide de ses pieds et mains.


Encore une fois, c’était apparu. Ce petit bourgeon dans son estomac lui procurait un grand courage, une estime de soi qu’elle n’avait pas habituellement. Cela faisait déjà quelques jours qu’elle ressentait cette chose au plus profond d’elle. Mais qu’est-ce que cela allait être cette fois ? Des super-lasers dans les yeux ? Une super-voix à exploser toutes les vitres ? Rien de tout ça. Bizarrement, elle se sentait plus légère. Vraiment comme une plume. Elle s’était étonnée à être restée quelques secondes de trop en l’air, quand elle avait un saut de son canapé pour rejoindre sa cuisine. Cela l’avait perturbé, il faut le dire. La découverte d’un pouvoir est quelque chose d’à la fois tétanisant et par-dessus tout…Grisant. C’est le mot qui convient le mieux.


Ce soir, elle tentera bien des choses. Comme chaque soir depuis quelques jours, mais ici, sans succès. Quelques dizaines de minutes avant, elle avait enfilé sa combinaison noire, qui épouse son corps si bien, et une paire de bottes blanches. C’est l’heure de la chasse. Enfin, habituellement, il en est ainsi. Postée sur un toit d’immeuble, debout juste sur le rebord, elle observait la population de Seikusu qui pullulait encore à cette heure tardive. Elle pouvait rester là durant des heures, recherchant du regard la trace d’un ou de plusieurs de ses agresseurs. Des flashs du viol lui revenaient à l’instant, l’assommant presque, la déstabilisant. D’ailleurs, elle faillit presque tomber dans le vide. Presque…Mais elle continuait de regarder en bas, puis finalement, descendit du rebord pour reculer. Son objectif ? Le toit de l’immeuble en face, pas très proche d’ailleurs. Plusieurs pas en arrière, un élan rapide, un appui sur le rebord et un bon de plusieurs mètres. C’était dans ce moment-là qu’elle se sentait poussée des ailes. Son saut était plus important que d’ordinaire. Aurait-elle volé ?


Arrivée sur l’autre toit, accroupie, elle se mit à sourire fortement, comme un petit enfant super heureux d’avoir franchi une difficulté. Mais elle n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. Elle recommença l’expérience une fois, deux fois, trois fois…Encore et encore, entre les deux toits. Elle sentait que cela pouvait venir. Cette sensation de voler n’était pas que pure imagination. Puis, elle s’arrêta, légèrement essoufflée, les joues rouges d’effort. Un sourire aux lèvres, elle se sentait capable d’y arriver. Elle se réinstalla sur le fameux rebord. Et si cette fois-ci, on essayait sans élan ?

7
Prélude / Donna, la Wonder Girl... [validée]
« le: lundi 30 avril 2012, 19:36:15 »
Donna Troy   //   Wonder Girl


24 ans.
Femme, hétérosexuelle.
Humaine.




Donna est née un 8 mars, il y a de cela vingt-quatre années maintenant. Ce bout de chou naquit aux États-Unis, plus précisément dans la ville de Spirit Lake, dans l’Iowa. Née d’un père américain et d’une mère hispanique de la Vieille Europe, Donna vécut toute son enfance et son adolescence auprès de ses parents et du reste de sa famille. C’est une fille unique, mais elle a appris à vivre avec. Cela ne la gênait pas plus que cela, très entourée par ses amis durant sa vie. Elle avait le don d’attirer les gens vers elle, comme si sur son front, il était noté Venez vers moi ou Confiez-vous à moi. Jusqu’à ses dix-huit ans, elle vécut au rythme des grands froids, des pieds dans la neige, aussi dans l’eau, à braver les tornades. On ne peut pas dire que ce soit réellement une vie, surtout que les parents de Donna, étant agriculteurs, subissaient chaque année les aléas météorologiques et perdaient une partie de leurs revenus…Donna s’était pris à rêver d’une vie autre que celle qui l’attendait. Elle rêvait de partir au Japon : sa langue, ses coutumes, ses traditions. Un vrai rêve pour elle. Mais voilà, c’était beaucoup trop loin et c’est pour cela que ses parents ne voulaient pas qu’elle y aille. Mais qu’importe, il était clair pour Donna qu’elle investirait la grande université de Tokyo et son campus. Oui, elle irait là-bas pour faire des études de japonais. Elle y perfectionnerait sa langue, soit pour devenir professeur de japonais aux States, soit pour rester ici et apprendre l’anglais aux nippons.

Donna prépara alors ses valises et partit pour Tokyo. Un nouveau monde s’offrait à elle. Tout cela était si différent de sa campagne profonde : les rêves encore de l’exode rural, plus étendus ici. Dix-huit ans à peine, elle était livrée à elle-même dans cette capitale, en particulier dans le campus de l’université. Les deux premières années à l’université furent des plus agréables, rencontrant et se faisant quelques bons amis sur lesquels elle pouvait compter en cas de soucis, tout comme elle pouvait compter sur ses parents pour financer les dépenses qu’elle engendrait. Oui, jusqu’à ce que les parents de Donna ne puissent plus aider leur fille en totalité, notamment dû aux intempéries ayant causé pas mal de dégâts dans l’Iowa. Il était temps pour Donna de se chercher un travail. Aidée par son physique de jeune fille en fleur, elle trouva rapidement un job de serveuse dans un petit café du centre commercial : le Way’s. Ce n’était pas forcément de tout repos ni très bien payé, mais c’était mieux que rien.

Mais arriva un jour qui changera le court de la petite vie de Donna. Tokyo n’était pas une ville aussi tranquille qu’elle paraissait être. Il y avait du danger partout, à chaque coin de rue…Comme celle que va emprunter Donna, dans un instant. Il n’est guère prudent pour une jeune femme de se rendre seule à son travail, même en plein jour. Nous sommes le 6 mars, au seuil de la vingt-et-unième année de Donna. Deux nuits plus tard, elle aurait du fêter son anniversaire auprès de ses amis, mais le destin en a décidé autrement…19h, heure où il fait déjà nuit, et Donna longe les quartiers populaires pour se rendre au Way’s, comme chaque soir. Un homme vint l’interpeller pour demander son chemin…Son chemin ? Tu parles ! Un homme, puis un autre, et encore un autre. Ils étaient cinq au total…Cinq hommes qui l’emmenèrent dans une ruelle, tabassèrent la jeune Donna, déchirèrent ses vêtements, et ben…La violèrent pardi…Adieu virginité, adieu tout le monde…Ils avaient laissé le corps inerte de Donna dans cette ruelle, un corps en sang et prêt à rendre l’âme…

Mais une bonne âme (peut-être bien une super-âme) la retrouva, inconsciente, et l’emmena directement aux urgences. Elle ne connaîtra d’ailleurs jamais son nom…Installée en soins intensifs durant un mois, elle ne se réveilla pas. Son état devint stable mais elle restait toujours dans le coma. Et cela dura trois ans. Les chercheurs de Tokyo, et même du Japon entier, se mirent à se pencher sur l’effet d’un agent mutagène, du bromure d’éthidium, sur un corps inconscient. Mais comme pour toute expérience, il faut un, et même, plusieurs cobayes. Les parents de Donna, qui étaient venus au Japon pour leur fille, désespérés, acceptèrent que leur fille endormie subisse le traitement. Trois injections en vingt-quatre heures. C’était le 7 mars, la veille de son anniversaire, et Donna vient de se réveiller.

Elle apprend qu’elle a perdu trois années de sa vie, et autre chose encore. On lui fit remémorer l’attaque, le viol…Donna revoit des images, des flashs, se mettant à trembler et à pleurer. C’est à partir de ce moment-là qu’elle devint phobique…Phobique des hommes…Enfin guérie, elle put sortir de l’hôpital et regagner l’université. Elle ne recommença pas les cours tout de suite, se laissant un ou deux mois pour récupérer de toute cette histoire. Sa vie avait changé, mais durant ce premier mois sabbatique, elle se rendit compte que sa destinée avait muté, tout comme son corps. Bromure d’éthidium, coupable ! Elle se découvrit quelques pouvoirs : force, endurance, agilité, rapidité. Ce bouleversement faisait qu’à la fin du deuxième mois sabbatique, Donna ne retourna pas à l’université. Après de nombreuses recherches, elle retrouva enfin la trace des cinq hommes qui ont bouleversé son existence. Direction Seikusu, où elle s’installa dans un petit appartement. Elle retrouva son job de serveuse dans un café, proche du centre commercial. À croire qu’elle est faite pour ça. Aujourd’hui, du haut de ses vingt-quatre ans, elle les traque. Le jour, elle est Donna Troy. La nuit, elle se transforme en Wonder Girl comme elle aime à s’appeler, tout neuve héroïne.



Autrefois très souriante et généreuse, Donna était une bosseuse, toujours prête à aider les autres. Néanmoins, elle était quelque peu susceptible et jalouse parfois. D’un naturel patient, Donna est très aimante et attend le prince charmant. Aujourd’hui, elle n’a plus confiance en elle, ni en personne d’autre. Elle n’a plus l’habitude des rapports sociaux, ne serait-ce qu’amicaux. Elle reste très maladroite dans ses gestes et dans ses paroles.Très peureuse et anxieuse après l’accident, elle a développé une phobie des hommes, cherchant à tout prix à limiter les contacts avec eux. Elle est devenue un peu parano aussi. Le moindre contact physique lui fait peur. Pauvre fille. Elle reste néanmoins déterminée à foutre au trou ses cinq agresseurs. Surtout, ne pas la mettre en colère ! Oui, parce qu’elle ne contrôle pas encore correctement ses pouvoirs. Et qui sait si elle en a d’autres en réserve…



Physiquement, Donna fait un bon mètre soixante-quinze, pour cinquante-neuf kilos. C’est une jeune femme qui possède un corps à courbes. Finement taillé de muscles. Sa chevelure noire lui tombe jusqu’à la chute de reins et casse avec sa peau blanche mais douce comme la pêche. Mais grâce à ses origines hispaniques, elle bronze facilement, ayant ensuite un beau teint hâlé. Des orbes d’un bleu envoûtant lui servent de regard sur le monde extérieur, habillés de longs cils. Son nez est fin, où dessous, on y trouve naissance d’une bouche pulpeuse. C’est une femme très désirable, dont la poitrine voluptueuse et les fesses rebondies attirent l’œil.
D’un point de vue vestimentaire, Donna ne souhaite pas trop se faire remarquer ou attirer l’attention sur elle en civile. C’est pourquoi elle s’habille dans un style décontracté, voire même un peu masculin. En Wonder Girl, elle opte pour une combinaison noire légèrement décolletée et sans manche.



Récapitulation des pouvoirs :

- Force : Donna peut soulever un poids de maximum 20 tonnes sans effort.
- Endurance : Elle peut courir, soulever des poids, faire n’importe quoi, durant très longtemps sans fatiguer.
- Rapidité : Tel un guépard, elle peut piquer des sprints sur d’assez longues distances. Un 100m à 150 km/h, ça fait quel temps ?
- Agilité : Mademoiselle Troy est très souple, et esquive facilement les choses.



Et le forum, dans tout ça ? Bouche à oreille. Chose que je peux toujours essayer de faire de mon côté.


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