Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Setyhs Inoru

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Mais quelle horreur! On vient de me coller à devoir balayer l'arrière cour, tout ça à cause d'une petite conne qui a voulu faire sa maligne avec moi! Elle m'a tellement énervée que je me suis levée en plein cour et je lui ai foutue une tarte en pleine gueule! Pour le reste, l'imbécile de prof n'a pas traîné pour me foutre des heures de colles qui se transforment en heures de... nettoyage... Et me voilà donc arrivée dans cet espace infecte qui déprave toute mon existence à devoir nettoyer ce lieu sordide, local à poubelles inclus...

- Berk! Mais c'est immonde! Il mettent quoi dans ces bacs? Des cadavres d'animaux ou d'étudiants trop cons que pour arriver à compter sur les doigts de leurs pieds?...

Je n'ai pas fais deux pas dans celui-ci, que mon estomac commence à se retourner. Non là c'était trop pour moi! Déjà que ma présence n'avait rien à faire ici, alors en plus de...

- Oh! Oh! Oh! Oh! Ooooh!!!!!

A peine je me remets de cette vision d'horreur qui se mêle avec ses odeurs putréfiantes qui contamine mes narines sensibles, qu'un vent incroyable se lève sans prévenir, en moins de deux secondes montre, horloge, réveil ou téléphone en main. Il est si puissant qu'il commence même à me pousser! Encore trois secondes de plus, que je vois des éclairs oranges qui se forment dans l'air et qui se suit avec une déflagration. Complétement en panique, je me colle au mur en me croyant être l'ultime témoin de la fin imminente de cette petite planète aussi grande qu'un grain de poussière dans la voie lactée. Et lorsque je rouvre les yeux, c'est pour voir un monstre avec un pagne... Ah non ce n'est pas un monstre en fait, mais plutôt une espèce d'humain de race dégénérée. L'homme venu du fin fond de la préhistoire s'écrase soudainement juste à côté moi, manquant de peut de broyer mon pauvre corps sous sa masse infecte et puante.

- Oh bon sang! Dégage! Ne me touche pas vermine!

Pendant que je me décale et qu'il crie comme une bête sauvage affamée avec ses... ses yeux rouges effrayants, un autre type sort par cette même lueur étrange... C'est bizarre parce que ça me rappelle vaguement quelque chose, mais dans une version différente...
Peu importe parce que pendant que je me décale héroiquement, ce mec qui est apparut et qui ressemble à un ninja avec son écharpe flottante, se met à lancer la tirade la plus pitoyable que j'ai jamais entendu de toute ma vie. Heureusement il s'arrête de parler en pleine action, mais c'est pour me voir me faufiler hors de cet endroit de fou...

- Ne faites pas attention à moi! Je ne fais que... aaaaaah!!!

Prête à trouver une excuse pour partir, voilà que son ami l'homme des cavernes avec son gros pagne qui doit cacher un truc que je n'ai pas du tout envie de voir, se précipite sur moi! Mais le gros mec dégueulasse, puant et super collant tombe au sol en se prenant la honte, pendant que le ninja le tire ensuite vers lui avec un... un fouet brillant... Là je me dis être heureuse de n'avoir respiré que pendant seulement trois secondes, les émanations sordides de ce local à poubelles... Bref peut-être que je suis en train d'halluciner mais en attendant, celui qui essaie de se faire passer pour le héros du jour, me demande de ne pas paniquer. Par chance, comme ce type m'a donc dit de ne pas m'effrayer de voir ce spectacle, il est donc certain que je ne peux que l'écouter et ne plus être terrorisée du tout! C'est magique! Les mots d'un homme parviennent toujours a apaiser les plus grand esprits de ce monde, comme le mien par exemple.

Réduite pour l'instant en spectatrice de ce fiasco monumental, le ninja ne s'arrête pas là et sort maintenant de son sac, un parchemin qui explose et qui fait apparaitre des murs bleus... Il s'ensuit ensuite un combat sans paroles, sans bruits. Tout me confirme que je suis bel et bien prise par une bouffée de délire et que je vais devoir appeler la police... qui elle-même s'en référera certainement à l'armée qui feront passer le message aux armées des armées de notre système galactique, pour qu'ils viennent inspecter ce local à poubelles très suspect.

La fin de combat tout droit sortit de mon imagination très productive, se termine avec un éclair que l'autre ninja renvoie sur le barbare avec son vieux pagne crade. Le colosse s'écroule, puis les murs bleus bizarres s'arrêtent de briller. Ensuite tout redevient calme, pendant que l'homme me salue et me demande si je n'ai pas eu trop peur...

- Pour... pour une hallucination que mon cerveau a créé en produisant une fin particulièrement ratée?

Encore convaincue d'être sous l'emprise d'une drogue tout droit sortie des poubelles de derrière, le type qui devrait apparemment être mon fantasme masculin, range son épée comme si de rien n'était dans son sac minuscule. Puis il en ressort un sceau qu'il dépose sur l'animal... Oui enfin c'est une bête pour moi! Donc l'homme issue d'un temps préhistorique se désagrège, pour certainement rentrer chez lui. Et lorsque tout est enfin terminé pour de bon, à part qu'il reste encore la présence de mon "sauveur", il me pose des questions qui sont toutes aussi stupides que celle de sa réplique inachevée de tout à l'heure.

- Qu'est-ce que ça peut te faire de savoir en quelle année je suis? Retourne dans le local à détritus et reste-y avec ton ami! En tout cas bravo pour les effets spéciaux. C'était presque aussi bien que ma magie. Dommage que tout ceci ne soit pas réel et...

Une seconde... Normalement mes sortilèges d'illusions doivent naturellement pouvoir me protéger contre les hallucinations. Ou au moins contre les effets subitement délirants qui proviendraient des drogues ou des émanations...
Pendant que je me rapproche de cet homme, j'utilise un pouvoir de dissipation mentale sur moi-même en touchant ma tête. Lorsque rien ne semble se produire, je touche le bras de l'homme. Ce mec semble réel...

- Oh non! Ne me dis pas que t'es vraiment réel? Tu ne vas pas me faire croire qu'il puisse exister sur cette planète, un mec capable de faire des répliques aussi pitoyables, qu'il sait faire des sortilèges abracadabrants? Et aussi ranger le tout dans un sac surprise, trop petit pour pouvoir transporter une épée?

Je regarde le sac qu'il tient pendant un instant avant de m'en emparer sans le prévenir.

- Donne le sac!

Lorsque je le tiens en mains, je plonge alors ma main dedans et je touche le fond qui me semble vide. Je le retourne et rien n'en sort non plus... Je lui le lui renvoie d'un air franchement blasé.

- C'est du bidon! Il n'y a rien là dedans! C'est que du vent depuis le début! Comme toi depuis que tu es arrivé ici, avec ton ami qui ne ferait pas fureur dans un défilé de mode!

Je croise ensuite les bras sans bouger, tout en regardant l'espèce de ninja pathétique qui me faisait face et qui croyait vraiment m'avoir impressionnée avec ses sortilèges et les objets de son sac. Mais le pire, c'est qu'il a faillit réussir! Pour une fois qu'un homme aurait put entrer dans ma haute estime, je suis vraiment déçue...

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Lorsque je ressors de la boutique de ma mère après l'avoir aidée et reçus son réconfort habituel que j'avais besoin depuis ce qui était arrivé l'autre fois, je retourne seule vers le lycée. Epaules raides, avec la têtes rentrée dans celles-ci, je pars presque au pas de course vers la station de métro. Veillant à ne rien laisser au hasard, j'essaie de faire le plus rapidement possible converger mes pensées vers des choses plus agréables. Surtout ne pas repenser encore à tout ça...

Je vais être franche, j'ai régulièrement des craintes depuis ce jour là. J'ai des angoisses mais heureusement que ma mère a les moyens de pouvoir soulager un peu ma conscience qui reste parfois tendue. Grâce à elle et à ses talents, j'arrive déjà à retrouver une vie à peu près normal. J'essaie de continuer à vivre comme si de rien n'était. Comme elle, j'essayais d'oublier cet instant traumatisant. Sauf que je ne savais pas encore que j'allais le retrouver. Il était là, si proche de moi. Lui! Ce sale pervers détraqué qui a... osé me violer sauvagement ma mère et moi! Il était là sur les quais quelque part, sans que je m'en aperçoive. Il m'espionnait et il attendait tranquillement le bon moment pour recommencer ses trucs dégueulasses sur moi...

Naturellement je n'en savais rien et je montais dans un wagon, tout en faisant attention à me retrouver dans une rame suffisamment pleine pour éviter toute agression. Coups d'oeils furtifs de temps en temps lorsque je me perds sur mon téléphone, ce truc terrien qui t'aspire tout ton temps et toute ta misérable intelligence qui ne pourra jamais égaliser la mienne, je finis par vite arriver à la station qui se trouve près du lycée. Comme tout à l'heure, je ne perds pas une seconde et je file à toute vitesse, la tête encore une fois bien rentrée dans les épaules.

Je souffle et je me détends un peu, lorsque j'arrive dans le hall du bahut en début de soirée. Tout en saluant les deux ou trois connaissances que je croise en remontant vers ma chambre, je finis par m'arrêter devant la porte avec un pressentiment désagréable que je chasse immédiatement. Dans ce monde cruel, je devais tout faire pour ne pas montrer ma faiblesse. je m'étais mise d'accord avec ma mère pour que mon frère ne sache rien de ce qui était arrivé. Nous ne voulions pas qu'il souffre lui aussi de tout ça...

Lorsque la porte s'ouvre et grince légèrement, j'allume la chambre qui s'éclaire aussitôt. Comme d'habitude c'était le bordel à cause de Tet. On partageait la chambre et même si on baisait ensemble, le seul mec avec lequel j'étais consentante il faut le préciser et c'est mon frère, on faisait un peu chacun notre vie tout en se retrouvant tous les jours.

- Quel con! Il a rien rangé du tout!

Un peu lassée, je remets un peu d'ordre dans cette chambre aussi minable qu'indigne de m'accueillir, puis lorsque j'ai terminé, je pianote encore peut-être un long moment sur le téléphone. Je voulais attendre que l'heure avance suffisamment, pour être certaine de croiser le moins de monde possible en allant prendre une douche. Puis comme je n'avais pas vraiment faim, j'ai donc sauté le repas de merde que l'on nous sert chaque jour dans cette cantine infecte, que même les pays les plus sous-développés de cette planète ne voudrait pas.

Après avoir jeté un oeil à la fenêtre qui était restée ouverte, je décide de la refermer avec un nouveau petit frisson désagréable, avant de prendre enfin mes affaires de toilettes pour me diriger vers les douches. Lumières éteintes et porte de la chambre bien refermée, j'arrive en quelques gracieuses enjambées dans l'endroit qui se retrouve désert. Tant mieux.

Je me déshabille et je pose mes affaires et je traverse ce coin pouilleux pour aller dans une cabine. Voir personne ne voulait pas dire que je ne voulais pas m'isoler complétement de tout... Gel douche en mains, je commence à faire couler l'eau que je mets à température convenable, avant que celle-ci ne commence à me détremper. Sa chaleur rassurante et apaisante se met à glisser le long de mon corps nu et éternellement sublime. Pendant que je commence à voir la buée et que je ferme un instant les yeux, je sursaute lorsque j'entends un bruit. Quelqu'un était entré dans les vestiaires. Mais je décide ne pas faire attention, prête à commencer à me laver.

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J'ai mal! Mon coeur me tambourine dans les tempes qui menacent d'exploser sur place, à tout instant. J'ai la tête qui tourne et je commence à voir des points étoiles...  Mon pauvre corps souillé par cette merde immonde,  se retrouve à devoir se trainer lamentablement par terre dans une lenteur horrible. Mais je ne pensais plus qu'à vivre! Car Je ne voulais pas mourir! Je ne voulais pas que ma vie s'arrête tristement comme ça! Ce monde aussi petit et insignifiant soit-il, représentait pour moi une nouvelle vie. Une nouvelle planète avec un nouveau futur pour vivre tous les trois ensemble avec mon frère et notre mère que nous avions si longtemps espérés! Unis tous les trois!... Mais la vérité c'est que je suis seule... Je ne peux plus que compter que sur moi-même pour pouvoir me sortir vivante d'ici et d'espérer fuir, si je ne voulais pas finir réduite en brochette par propres mains de ce malade. De ce gros porc avec sa tronche de cauchemar sur pattes!

Par chance, mon illusion semble fonctionner. Le dégénéré commence à s'étouffer et je le vois se mettre à flancher au sol. Je suis prise d'un élan d'espoir, lorsque je le vois croire à sa propre mort. Et si son cerveau parvient à rester suffisamment longtemps dans cet état, son coeur peut vraiment finir par s'arrêter!

- Ouais! Tu vas crever connard! Tu vas crever comme une merde dans d'affreuses souffrances, t'entends?

Doucement, je continue de me trainer jusque vers la porte, sans quitter mon regard impitoyable sur cet enculé. Mais mes oreilles s'affaissent et je suis prise par un frisson d'effroi, lorsque je le vois faire apparaitre une étrange aura verte tout autour de lui, avant de se relever.

- Qu'est-ce que tu as...? Non! Merde! Merde!...

Mes derniers espoirs de me sortir vivante d'ici s'envolent, lorsque je le vois terminer de se remettre debout. Terrorisée de croiser encore le même regard de tueur psychopathe fou qu'il avait pour moi, juste avant que je me libère de cette face de rat, j'essaie d'utiliser mes dernières forces pour continuer de ramper vers la sortie. Vers la lamentable issue de mon salut... jusqu'à ce que je sois prise d'une violente douleur dans le dos qui me fait immédiatement crier!

- Ah! Aaaaah!!! Aaaaaah!!!

Je finis de paniquer et de péter complétement un câble. Je me mets à crier, en utilisant les dernières forces qui me restent. J'étais plaquée au sol et je ne pouvais plus bouger. Et pendant que je tremble sur place et que mon coeur redouble de battements encore plus violets, je me fais agripper le crâne et soulevée du sol. J'étais lancée dans une panique incontrôlable, alors que je le voyais me regarder cruellement comme un démon sortit des enfers! Quelque chose en lui avait changé mais pour moi, ce n'était plus que devenu un détail. Je me balançais comme une merde sous sa main que j'essayais de faire se relâcher en vain de ma tête. Mais j'étais devenue trop faible et je ne contrôlais plus rien de mes mouvements. Et pendant que je lui servais de balançoire, le timbré aux yeux d'aliens me colle une baffe à m'arracher des dents, avant de m'en renvoyer gratuitement une autre sur l'autre joue. Pendant que les douleurs continuent de s'accumuler sur mon corps qui tombe de plus en plus en morceaux comme on brise un verre fait de porcelaine, je me retrouve pendue par la seule masse de mes cheveux.

- Arrête! Arrête!...

Je me mets alors à pleurer. Je manquais d'air sous la panique et mes sanglots étaient entre-coupés par des larmes, qui commençaient à rouler sur mes joues qui venaient se mélanger avec le foutre gluant et répugnant de ce mec. Mais le psychopathe me lâche et je retombe au sol. il vient alors douloureusement m'écraser les coudes avec ses énormes genoux, pour m'empêcher de bouger. Nouveau cri, nouvelles souffrances, nouvel effroi. Me voilà ensuite encore avec sa queue dégueulasse, qu'il vient foutre dans ma bouche que j'essaie de mordre. Mais le connard avait tout calculé, en venant m'écarter la mâchoire. Coincée, m'attendant à recevoir de force sa putain de grosse saloperie dans la bouche pour subir une pipe forcée, le mec m'insulte. Spectatrice de ma propre lamentable déchéance, j'entendais des mots qui faisait mal à ma fierté qu'il avait piétiné, brisé depuis qu'il avait commencé à me violer. Et alors que je crie, ce dégénéré de merde me... pisse dessus! Avec la tête relevée, je me retrouve à devoir être forcée de boire sa putain de pisse! Comme si ça ne suffisait déjà pas, ce fils de pute m'arrose la bouche, pendant que je suis en train de me noyer misérablement en même temps dans son urine. Je pensais avoir déjà touché le fond dans ma fierté, je me rend alors douloureusement compte que je pouvais encore tomber plus bas! Tomber... dans les abysses où ne vivent que les merdes les plus répugnantes au monde comme lui!

- Touss! Touss!... Kof!!! Kof!!! Touss!!!...

Pendant que je tousse et que je continue d'avaler de force sa putain de pisse immonde, j'en ressens le gout horriblement dégueulasse et acide. Durant les prochaines secondes de cette interminable déchirante torture, les points lumineux que je voyais devant mes yeux s'accentuent encore. Ils grandissent encore et encore. Jusqu'à ce qu'il finissent par fusionner tous ensemble, pendant que j'avais l'impression que mon âme sortait de mon corps. Lorsque je ne vois plus qu'une intense coloration lumineuse sous les yeux, tout devient noir d'un coup...

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Le parc et son sous-bois / Re : Enlacement végétal [Akita Celebrindal]
« le: samedi 10 avril 2021, 20:10:56 »
On... JE continue cette baise de haut rang élevée par mes seules compétences, pendant que la chose stupide mais drôlement adroite, me fourre encore son truc en forme de bite, dans ma chatte déjà remplie. Ca ne dure bizarrement pas longtemps, mais suffisamment pour faire de mon antre de jouissance divinatoire, l'équivalent d'une piscine débordante. Ouah...

J'y vais encore à coups de commentaires bien chiants pour elle mais honnêtes, avant de préférer momentanément la laisser pleinement faire à sa guise, comme mon animal de compagnie. Quand elle se retire de moi, la succion m'arrache un cri et me fait encore une fois jubiler. Bien que j'étais enlacée, je pouvais admirer mon bas-ventre qui avait pris en volume, en emmagasinant ce liquide dégueulasse. En se retirant, je ressens l'air frais de l'endroit venir me caresser la croupe et s'infiltrer dans mon intimité parfaite. Le liquide coule lentement le long de mes cuisses, pendant que je tremble d'extase!

Je n'ai pas le temps de souffler, que la revoilà avec sa racine en forme de bite, en train de me caresser mon autre intimité sensible et précieuse. Lorsqu'elle recommence à faire entrer sa chose reproductive en moi par le côté opposé, la sensation change radicalement. Le début n'est pas du tout à la hauteur. Il est même douloureux et curieusement fait avec de curieuses formes répétitives qui grossissent, au fur et à mesure qu'elle plonge entre mes fesses...

- Ouh! Aie!... Mais qu'est-ce que tu fiches? Déjà que tu ne dois pas être compétente en dehors de la baise, essaie au moins de t'appliquer...

La chose avec ses racines me murmure en réponse quelques mots d'abord désagréables, avant qu'elle me prévienne du prochain arrivage de foutre épais et pourri qu'elle compte m'envoyer au fond du cul.

- On s'en fout! Prends-moi! Dépêche!

Consternée que ma grande présence doit se faire autant désirer pour que vienne la suite dans cette part de souffrance, mon cul se fait encore agresser. Je reçois encore un coup de son truc irrégulier, qui vient me taper violemment l'intérieur et me faire mal. Je crie encore une fois de douleur, avant que l'ensemble me parait devenir comme plus doux et régulier, malgré la grosseur de son truc. Frustrée par cette entrée douteuse dans mon aéroport prestigieux, je crie frustration lorsqu'elle termine de me casser le cul en deux!

- Enfin! Je... Aaah! Aiiie! Putain doucement... Mais quelle conne!

Sa bite trop bizarre m'empale d'abord péniblement le cul, avant que je commence à ressentir des sensations... Donc elle me passe directement sur les fesses avec son avion de chasse de troisième classe et sans grâce, avant que je prenne enfin dignement mon pied! Je me remets à rire avec béatitude et à chauffer sous la violente pression répétitive, pendant que la gourde retourne me claquer mon trésor de chair. En même temps qu'elle gigote comme une forcenée dans mon hangar, je gémis, je crie. Bref je m'éclate comme une folle, sans chercher à savoir dans quel état trop louche j'ai été balancé. Mais un nouveau problème arrive encore, lorsque je ressens une folle envie d'aller pisser! Et comme elle m'encule, forcément elle appuie sur ma vessie à chaque contraction...

- Stop! Arrête de faire entrer ton avion préhistorique! Je dois pisser!

Pendant que je lui ordonne d'arrêter tout de suite, la chose continue de me ramoner grossièrement le cul. J'allais crier à plein poumons pour faire comprendre à mademoiselle deux points de QI de s'arrêter, quand je me sens encore sauvagement être agressée par la chatte qu'elle avait foutrement remplie à ras bord! Et en plus, mes tétons, mes seins, tout y passait! J'étais dans une telle intensité de sensations, que je n'arrivais plus à parler. La chatte me bouillonne encore, quand je ressens l'effet d'une double pénétration qui se termine plus ou moins obscènement dans ma bouche. En plus de ma cyprine qui coule comme une fontaine de jouvence, elle me fait gouter à son truc infâme qui a un gout étonnement sucré...

Tous ces effets qui venaient de partout, me faisaient tourner la tête et ça m'étouffait! Et lorsque je ressens un nouveau jet épais venir encore me presser le ventre et couler comme un torrent dans mon cul, j'explose! J'émet un râle particulièrement bruyant et grossier, tandis que je pisse par terre! Comme une chose dégoutante, rabaissée au même niveau que cette folle, je fais couler les égouts de mon indignité. Une grande partie se retrouve honteusement à se déverser sur mes cuisses, pour terminer outrageusement sa course jusqu'à mes pieds! Et dans cette horrible honte, je me remets encore à jouir! Je me délecte de mon sort et des fluides que la fille m'envoie à coup de litres. J'avais la sensation de n'être plus qu'une vache qui se faisait traire, mais à l'envers.

- Espèce de folle! Je t'avais pourtant bien dis d'arrêter! C'est scandaleux de me faire un coup pareil! Tu vas perdre des points pour ça, tu m'entends?

En colère d'avoir pissé par terre comme un bébé kitsune, la fille continue de m'enculer férocement. Mais très vite, je récupère mon bien-fait et j'oublie presque cette anecdote humiliante de ma vie idyllique.

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One Shot / Re : Une proie pour en chasser une autre { Pv ~ Setyhs/Tetyhs }
« le: vendredi 02 avril 2021, 22:37:41 »
Résumons la situation... Je me suis fait injustement agressée par une folle qui a essayer de porter atteinte à ma noble vie. Probablement victime de mon propre succès, j'ai commencé à vite paniquer lorsque j'ai vu que j'avais un peu foiré ma stratégie qui devait pourtant n'avoir aucune faille. Tetyhs est alors miraculeusement apparu et a commencer à l'attaquer comme un dieu! Sur sa demande, je n'ai malheureusement eu d'autres choix que de partir en vitesse d'ici. Que de devoir le laisser seul face à cette tarée sortit de nul part... Ce n'était pas quelque chose qui me plaisait, mais connaissant la réactivité exemplaire de mon frangin grâce à son pouvoir presque aussi enviable que le mien, je lui ai donc fais confiance. Erreur de stratégie ou non, l'autre pot de colle est alors réapparue peu de temps après juste devant moi. Et pendant que je faisais route, hors de cet endroit vraiment inapproprié pour mettre mes talents au service d'un publique qui mériterait de tomber sous le charme de mon aura, je chute subitement au sol avant de me prendre un méchant coup sur la tête...

Ca c'était ce que je suis souvenu en me réveillant. Car lorsque j'ai repris mes esprits, je me voyais dangereusement transportée sur l'épaule de la folle qui était en train de faire des bonds de cinq-cent mètres au dessus du vide... Heureusement que j'ai eu alors l'idée très perspicace de ne rien tenter et de continuer de faire semblant d'être un boulet inutile. D'attendre le bon moment pour agir. Car ouais, Tet a beau me rappeler de ne pas faire n'importe quoi, dès fois c'est lui qui se retrouve beaucoup trop présomptueux. Surtout dans les moments où sa soeur adorée se retrouve être dans une merde aussi répugnante que cette barge, avec sa tête de démone sortit d'une fête pour shootés à coup d'hallucinogènes...

Je tente alors ma chance lorsque je vois Tet utiliser son attaque qu'il n'a jamais voulu me montrer, lorsqu'il est transformé dans son tas de joyeuses particules aussi brillantes que mon intelligence et ma beauté. Je me suis alors libérée de ses infâmes griffes de perverse qui doit aimer enlever pour aller se taper des ravissantes jeunes filles comme moi que l'on finit par retrouver les bureaux des annonces "d'alerte enlèvement". J'ai ensuite profité de sa faiblesse pour envoyer sur cette garce arrogante et donneuse de morale, un pouvoir qui l'empêcherait de voir et d'entendre Tetyhs et moi-même, pendant un long moment. Et le fait qu'elle soit dans un état second à ce moment là, m'a grandement facilité la tâche. Merci à ma subtilité raffinée.

Malheureusement, je n'avais pas les moyens de pouvoir aller aider mon frère au-delà. J'espérais seulement pouvoir gagner du temps pour m'enfuir et appeler les flics. Et si j'étais encore une fois inquiète pour Tet, j'avais maintenant bien compris que c'était à ma merveilleuse personne seulement qu'elle en voulait... Et puis mon frère est invincible quand il est transformé!

Mais le temps que je commence à partir en espérant que mon frère me rejoigne au plus vite, l'autre folle qui n'arrêtait plus de scander mon nom de star, s'est mise à fracasser le toit au-dessus de ma tête. Par chance, j'ai pu rapidement m'engouffrer dans l'avant dernier étage de cette bâtisse immonde, avant de voir les débris continuer de dévaler en masse les escaliers. Sous le coup de l'angoisse, j'arrivais à entendre la voix particulièrement désagréable de l'autre maboule hystérique avec sa tête de zombie. Elle semblait se trouver juste à l'étage au dessus du mien. Et si j'étais momentanément tirée d'affaire et qu'elle n'avait pas remarqué ma nouvelle illusion de génie, il y avait deux nouveaux problèmes là où j'étais. D'abord il faisait presque entièrement noir et l'énorme poussière qu'elle avait fait voler, était en tain de se propager dans tout l'étage...

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Aucun doute, j'avais réussis haut la main avec les cinq doigts le nez, à faire craquer cette jolie fille. Et pour mieux laisser planer le mystère dont je possède le secret bien gardé, je laisse un instant de silence tout en l'observant. Je ne pouvais pas vraiment juger correctement son joli physique, à cause de son foulard, mais elles semblait vraiment pas mal. Elle s'emmêle bien sûr un peu les pinceaux, avant de me regarder en se parant d'un large sourire. Nul doute que si mon intro était brillante et aurait mérité l'oscar de la meilleure comédienne de l'année, que j'étais allé un peu trop loin sur les arguments réels de ventes. Jusqu'au point qu'elle semble croire pouvoir faire de la magie...

- Euh tu sais... je ne voudrais pas te briser le coeur, alors que tu as un si joli visage que tu caches outrageusement avec ton tissu immonde sur ta tête, mais on ne fait pas dans la magie noire ici. Ici on fait dans la magie noire ici. C'est de la... de la cure de soin et de remise en forme on va dire...

Notre très chère mère nous avait expressément demandé à Tet et moi, de ne pas révéler la vraie nature de la magie de cet endroit. Tout comme nous devions injustement cacher nos propres pouvoirs et ne les utiliser qu'en cas d'extrême nécessité. Et bien sûr le Tet l'a écouté religieusement et vient me gonfler à chaque fois que j'ai envie d'essayer de faire un truc...

Avec mon sourire de déesse, je me rapproche de cette jolie fleur pour la prendre par la taille et lui montrer les différents étalages. Comme chacun possédait un type de cristal aux propriétés précises, c'était encore plus simple. Pas besoin d'être un génie, pour aller expliquer que chaque couleur n'apportera pas les mêmes effets. Et pour pouvoir mieux définir ce que ma mère vend, je venais alors d'avoir l'idée de me servir de son histoire. Ou du peu que je savais, pour pouvoir parler sans détours et continuer d'émerveiller cette beauté qui pourrait commencer à me concurrencer dans une autre vie. Le tout saupoudré par le début d'une histoire passionnante et complétement improvisée par une fille géniale comme moi...

- Laisse-moi t'expliquer en détail certains effets que peut te procurer ce lieu fantastique... C'est donc l'histoire d'une femme qui un jour s'était retrouvée enfermée et isolée, dans un endroit horrible. Dans la souffrance, elle donna naissance à deux enfants aussi beaux que des dieux vivants, surtout la fille. Malheureusement pour eux, les pauvres ont étés injustement séparés d'elle immédiatement après avoir vus le jour. Mais avec le temps, malgré des destins brisés et des vies compliquées, un passage, une communication établie depuis les étoiles à finit par apparaitre. La petite famille s'est ainsi retrouvé de par les rêves. Tous les soirs ou presque, la magnifique mère aux cheveux d'argent avec ses yeux aussi bleus que ceux de l'océan, s'était mise à communiquer avec ses enfants en apparaissant devant eux. A leur faire savoir qu'à travers des rencontres sans réelles paroles, qu'elle serait toujours là pour eux... Pendant plusieurs années, ils se sont ainsi soutenus mutuellement les coudes. Le temps a ainsi fait son oeuvre et la prison qui retenait les enfants de la plus belle femme du monde, a finit par être détruite. Ses enfants ont alors pu vivre une vie meilleure, dans un endroit somptueux, avec la liberté et la paix retrouvé dans un monde peuplé par des guerres et des conflits sans fins...

Tout en commençant à conter mon histoire évidemment très brodée si on omet que nous sommes vraiment beaux et puissants bien sûr, je plonge mes yeux dans ceux de la jolie cliente. Elle avait quelque chose d'à la fois curieux et qui m'était sans comprendre, vaguement familier.

- ... Bien que la communication se soit arrêtée depuis ce jour, les enfants de cette femme ont reçus des cadeaux. Des pouvoirs extraordinaire qu'elle leur a légué. Ces derniers ont appris à les maitriser et évidemment, ont écrasés en terme de réussite et de puissance, leurs semblables. Mais heureusement ils étaient sympas, ce n'était pas des connards ou des pervers... Enfin un peu pervers sur les bords, je te l'accorde.

Pour être certaine qu'elle ne se détourne pas de moi, je prends dans ma main un cristal brillant que je lui tends.

- ... Un jour, alors qu'ils marchaient dans la forêt, les deux enfants virent un étrange cristal logé au coeur même d'un arbre mourant, perdu au milieu d'une forêt somptueuse et verdoyante. Le cristal orange. Lorsqu'ils ramassèrent celui-ci, l'arbre malade, probablement en fin de vie, s'était mis à renaitre. L'essence de cette pierre s'est mystérieusement propagée jusque dans ses racines au moment de la toucher, a permis à la souche desséchée de renaitre. Il n'était plus mourant et malade...

Je reprends de ses mains le cristal de guérison des maladies, pour le reposer sur l'étalage et je fais ensuite poursuivre la visite à la petite princesse jusque vers l'étalage suivant...

- ... Parfois, les événements engendrent aussi des conséquences désastreuses. Alors qu'ils revenaient un jour dans leur village, celui-ci avait lourdement été attaqué par... un couple de dragons. Nombreuses ont étés les pertes... Au bord de l'anéantissement, les deux enfants devenus aujourd'hui de jeunes gens valeureux, se sont précipités vers les leurs, mais surtout les blessés, ceux qui étaient encore vivant et qui peut-être avaient encore une chance de vivre si les dieux le voulaient?... Les larmes qu'ils ont versés et qui se sont mis à couler sur le visages de leurs amis, les ont alors miraculeusement soignés. Leurs blessures se sont refermées et un peu comme avec l'arbre malade, ils se sont mis à revivre. Ils ne savaient comment cela était possible, mais quelque chose leur disait que leur mère était encore quelque part avec eux et qu'elle oeuvrait.

Je montre un cristal de soin à la fille, tout en continuant mon récit passionnant. Je n'avais pas vraiment besoin d'expliquer la propriété, étant donné qu'elle était déjà inscrite sur les étiquettes. Ca perdait un peu de son charme, mais tant pis...

- Les deux dragons étaient-ils la source de tous les maux? Pour savoir ce que devaient faire notre couple de jeunes héros, ils durent d'abord prendre la décision de quitter leur village. Ils devaient aller rendre visite à un homme qui vivait en ermite perdu au fin fond des montagnes des glaces. Le voyage fut long et difficile et nombreux furent les dangers. Car plus ils gravissaient la montagne, plus la neige tombait violemment. Doucement, ils réalisaient qu'ils s'égaraient. Et avec les jours et les semaines qui passaient, le doute s'installait dans leurs têtes. L'ermite existait-il réellement?... Toujours était-il qu'en chemin, ils virent un renard. Un petit renard au pelage argenté si brillant, qu'ils décidèrent naturellement de le suivre. Et lorsqu'il disparut dans une caverne et qu'ils s'y rendirent, ils trouvèrent...

M'arrêtant dans mon récit, je cherche des yeux le prochain étalage qui me donnerait l'inspiration la mieux appropriée... Je pointe alors du doigt l'étalage aux cristaux violets, ceux qui permettent d'éloigner les ténèbres et de pouvoir percevoir les esprits. En tout cas si moi j'en vois un, je me casse direct...

- ... un tombeau! L'édifice qui semblait ancien reposait à l'intérieur de la caverne. Partout sur les parois, il y avait quelque chose de luminescent qui recouvrait le sol, les murs. C'était comme de la poussière. Et sans hésitations, ils ont ouverts le tombeau. A peine ont-ils bouger le socle, qu'une puissante lumière aveuglante s'est propagée dans toute la caverne. Une ombre indescriptible est alors apparu. Elle leur parlait avec une voix douce aux résonances vaguement lointaines. Elle leur disait que pour trouver ce qu'ils cherchent, il leur faudrait d'abord comprendre. Que pour pouvoir atteindre leurs buts, qu'il leur faudrait continuer d'avancer sans jamais chercher à se retourner et à ne pas se tromper sur leurs véritables objectifs... L'esprit parlait de manière vague et énigmatique mais ce qu'il voulait surtout leur dire, c'était que parfois des choix qui demandent des sacrifices ou qui ne paraissent pas toujours être les meilleurs, peuvent parfois entrainer des issus plus favorable si l'on prend le temps de réfléchir...

Je me racle la gorge en continuant de présenter mes cristaux à cette fille intrigante. En vrai, j'ai absolument rien compris de ce que je lui ai balancé avant, mais ça sonne plutôt pas mal, donc c'est la seule chose qui compte! Et puis cette histoire à l'air assez cool! Je devrai me mettre à écrire un livre tellement je suis merveilleuse! Je laisse donc planer un instant de silence. Bien que j'avais encore une tonne d'idées géniale pour continuer de construire mon histoire, je m'arrête momentanément. Je me disais que c'était peut-être l'occasion d'en savoir plus un peu sur elle. De toutes façons, je me faisais plus chier qu'autre chose...

- Désolée, peut-être que je parle trop. J'adore me laisser emporter par tout ce que je raconte, tellement je trouve ça génial. pas toi? Je te raconterai bien la suite de mon histoire, mais peut-être que tu as juste envie de terminer de regarder le reste tranquillement? Ca n'empêche que je trouve que ton foulard ne te mets pas du tout en valeur. Pourquoi cacher une si jolie tête comme la tienne? D'ailleurs tu sais peut-être un peu mieux ce que tu recherches maintenant?...

Arrêtant pour l'instant ici mon récit complétement farfelu et improvisé malgré quelques fonds de vérités, je me mets momentanément en retrait pour faire semblant de reprendre mon activité précédente, c'est-à-dire celle de faire cet inventaire passionnant...

- Ah et si tu es comme la plupart des gens qui viennent ici pour s'augmenter leurs performances sexuelles, tu prends le cristal vert. Ca fais presque autant de ventes que le blanc mais accessoirement, ça ne fais pas que ça comme effet non plus...

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Le cauchemar se répète! Sauf que ça à l'air d'être encore bien pire que la première fois! C'était encore plus crade et immonde, que ce que j'avais prit ce soir là dans ces chiottes dégueulasses remplies de pisse et de merde, dans cette boite nuit! Le barman m'avait prise et défoncée sans le moindre ménagement. A la différence que j'avais peut-être ce soir là un peu déconné et qu'au moins, le mec ressemblait à quelque chose. Pas comme cet ogre répugnant, qui me viole sans aucune raison! Ca m'a au bout d'un moment suffit pour gerber. Sans compter que ma mère s'est faite elle aussi violée par ce type...

- Arrêêêêêête! Aaah! Aaaaah!...

Après avoir évacué, je me mets à péter complétement un câble! Je crie, je hurle, j'essaie de bouger pour me sortir des griffes de cette pourriture! Mais je ne pouvais toujours rien faire. Je ne pouvais même pas compter sur mes pouvoirs pour m'en sortir. J'étais incapable de les utiliser dans les moments critiques! C'était la déchéance totale!

Je tressaute en plus à chaque fois que mon corps reçoit de force de ce fou furieux qui ne trouve rien de mieux à faire, que se coincer dans mes entrailles! Je ressens sa bite venir me cogner à l'intérieur et elle me fait terriblement mal!... Je n'ai aucun mot pour décrire tout ce qui se passe... Aucune pensée pour pouvoir essayer de comprendre quel sens logique m'a emmenée à me retrouver ici, chez ma mère qui n'est plus là et qui m'a laissée toute seule entre les pattes de cette chose répugnante! Tout ce que je sais, c'est que je suis en train de me faire défoncer sur cette table, par une brute qui va bientôt...

Rien que d'imaginer la suite, me redonne encore la nausée. Mais je cesse immédiatement de penser encore à quoi que ce soit, quand il accélère et vient me faire mal au niveau des hanches qu'il agrippe aussi férocement qu'il laboure mon vagin qu'il a plié en deux depuis longtemps. Cet animal grossier et pervers se met à crier, lorsqu'il parvient tristement à ses fins. Horrifiée et dégoutée, le mec sort sa queue dégueulasse au dernier moment, pour venir m'asperger de partout! Son foutre pourri se balance en plusieurs jets répugnants, dont une partie vient se coller sur ma gueule, en terminant de presser sa bite dessus. L'humiliation était maintenant vraiment... totale...

Après avoir terminé son oeuvre monstrueuse, je ferme les yeux. J'étais tellement épuisée que j'avais l'impression d'avoir été piétinée par un troupeau d'éléphants. J'avais mal de partout et ma chatte devait être dans un état déplorable... Par chance, il semble me laisser respirer un court instant...

Peut-être que...

Essayant de saisir un début d'opportunité, je me redresse pour mordre le premier truc de lui que je vois. Mais avant qu'il ne puisse réagir, je tente désespérément d'utiliser un de mes pouvoirs d'illusion...

- Je vais te crever connard!...

Face à l'urgence de la situation et surtout face au malade que j'avais à faire, j'utilise mon pouvoir d'illusion le plus dangereux. Je crée une sensation de mort. Même si j'avais peu de chances de réussir, j'essayais de lui donner l'impression qu'il allait crever sur place dans d'atroces souffrances. Malaise, douleurs, étouffements... Tous les trucs les plus horribles regroupés ensemble.

Mais la fatigue et la douleur qui m'attaque, me fait trébucher et tomber au sol alors que je profite de l'opportunité pour essayer de m'enfuir. Lorsque je m'écrase sur le parquet, je recule de lui comme un vulgaire asticot qui se traine  par terre, en m'aidant de mes deux bras.

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Dortoirs et douches / Re : Nettoyage des douches ( Pv Setyhs )
« le: mercredi 31 mars 2021, 22:33:32 »
Quand on me demande c'est quoi mon secret pour être aussi géniale, je réponds toujours que c'est d'abord parce que les autres doivent apprendre à m'aduler! Alors si on veut que je sois sympa, on doit d'abord apprendre à savoir m'obéir! Et c'est pour ça qu'il est vraiment temps de mettre au pas cette petite délurée arrogante. Une première fessée lui suffit déjà pour comprendre qu'elle doit savoir mieux lécher l'intimité sa maitresse, si elle veut espérer rester dans mes grâces et mes faveurs suffisamment longtemps. Ses coups de langues réussissent donc à m'arracher un peu plus de plaisir. En revanche lorsque j'enfonce mon doigt dans le cul de miss poiscaille, elle se met à gémir de manière presque disgracieuse! Un peu comme si son cul était vierge de bites et que c'était la première fois de sa vie qu'on lui collait un doigt dans le rectum. Bien sûr je n'attends pas pour lui envoyer ma "fessée magique". Son douloureux gémissement qui arrive à mes oreilles la paralyse un instant, avant qu'elle ne se ressaisisse et qu'elle me fasse le cunnilingus que j'attends vraiment!

- Ah... bien! Et bien tu vois que tu sais être efficace, quand je te demande d'obéir en "t'aidant" un peu au passage?...

Un peu frustrée de devoir faire comprendre à cette fille sous-intelligente comment réagir correctement à chaque action, je retourne lécher son délicieux minou odorant, qui n'arrête pas d'appeler mon nez. Puis elle a beau faire des manières, ça n'empêche pas cette petite cochonne de mouiller! Et s'il y avait bien une personne envers qui elle pouvait jouir et verser des litres de cyprine rien qu'à ma vue, c'était moi!

Mettant un peu de côté mes pensées de devoir lui envoyer des piqures de rappel à l'ordre pour m'obéir, je me raidis en ressentant par la suite ses prochains coups de langues dans mon vagin aux proportions sublimes. Je gémissais et je prenais de plus en plus mon pied, à la sentir me dévorer la chatte. Je pose donc quelques baisers sulfureux sur sa vulve baisée par tous le troupeau représentés par tous les sous-mâles que peuple ce bahut terrien, avant de continuer de lui caresser avec un peu plus de douceur, son petit cul étroit. Pendant que je me concentre à lécher avec lenteur mais intensité, cette magnifique vulve qui m'hypnotise. Que j'effectue des rotations de langues qui parcourt et voyage sur ce chemin composé de son tissu de chair intime, j'applique mes prochains baisers sur son clitoris. A chaque baisers que j'envoie sur son bouton de plaisir, j'y applique d'avantage d'intensité. Au point que j'utilise une nouvelle illusion qui a pour but d'amplifier encore plus les sensations sur son clitoris. De sensible, je la faisais devenir extra sensible...

- Parfait!Je crois que tu es enfin prête pour m'encenser et m'aimer jusqu'à la fin de tes jours, très chère. Puis tu n'imagines pas la chance extraordinaire que tu as reçus, pour m'avoir rencontré aujourd'hui...

Laissant mon esclave soumise brouter le petit minou de sa maitresse avec passion, je replonge mes lèvres et ma langue, dans ses propres lèvres intimes. J'embrasse et je farfouille fougueusement dans les méandres profondes de son sexe, avec un ardeur démesurée. Je ne laissais rien au hasard et je faisais tout pour que son clitoris soit le plus malmené possible, avec mes fantastiques attaques charnelles. Maintenant que son clito était devenu plus sensible grâce à mon illusion, je ne n'arrêtais plus de la lécher un seule seconde. D'aspirer ce petit bouton sensible. Je voulais l'entendre jouir et se tordre de plaisir. Qu'elle m'encense et qu'elle glorifie l'extraordinaire répartie que je représente à ses yeux de petite délurée!

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Je me paralyse d'effroi, lorsque j'entends ce type refuser mes plus plates excuses... Ok j'avais sans doute un petit peu merdé, mais je ne méritais franchement pas ça... Et au lieu de m'écouter et de comprendre la situation, le mec continue de m'insulter. Les larmes aux yeux avec cette infâme odeur qui n'arrête plus de passer dans mon nez, le voilà qu'il me plaque contre la paroi, après avoir retiré ses doigts qu'il a commencé à m'insérer comme une brute dans mon cul. Prise d'impuissance et dans l'incapacité de pouvoir bouger, le pervers immonde et répugnant vient alors les remplacer par sa bite dégueulasse. Par son truc horrible à l'odeur aussi répugnante que ces chiottes, qu'il colle contre mes fesses... Pas le temps de comprendre ce qui se passe en plus, qu'il commence à me pénétrer comme un parfait détraqué! Il y va tellement comme un psychopathe, qu'il m'arrache un horrible cri de douleur, qui me donne l'impression d'exploser mon ventre en onze morceaux et demis..

- Stop! Au... Au secours! Putain à l'aide on me viole!

Avec la douleur insupportable qui me déchire le cul à m'étriper les boyaux, j'étais juste en train de me faire enculer par le mec le plus dégueulasse de cette planète de merde! Et ça devenait carrément encore pire, quand ce gros porc qui n'accepte même pas les excuses de quelqu'un de mon rang, s'enfonce encore plus loin! Comme une conne incapable de réagir face à tant de tortures et de médisances, me voilà que je décolle du sol. Cette fois, c'était bel et bien l'humiliation totale! C'était le genre de chose que je ne ferai même pas à mon pire ennemi. C'était monstrueux! Naturellement je redouble encore de cris. La douleur qui me pulvérisait le fion, me donnait parfois l'impression que j'allais carrément m'évanouir. Et bien sûr ça tambourinait autant dans mes pauvres fesses, que dans dans ma tête! Bref ce mec tordu jusque dans sa bite, me donnait l'impression de sodomiser mon cerveau avec!

- Arrête! S'il te plait arrête! Tu me fais mal!

Je redouble encore de supplication désespérées, lorsqu'il commence vraiment à m'enculer pour de bon. J'en pleurais de honte et de peur. Ma voix tressautait à chaque fois que j'ouvrais la bouche, pour parler ou pour simplement respirer. Si ça continue comme ça, ce malade pourrait bien finir par violer même mon cadavre, si je m'évanouissais par terre...  C'était tellement abusé, que ce fou furieux qui n'arrêtait pas de me faire gigoter comme sa poupée sexuelle de puceau toute souillée, me fait tomber par terre. Mais immédiatement, alors que je ressens une énorme brulure insupportable qui me troue de fion à ne plus en pouvoir, le mec sûrement défoncé me recolle la figure au niveau de la cuvette, en me menaçant encore...

Par terre, à quatre pattes et en ne cessant de chialer face à mon sort aussi injuste qu'inhumain, le gros connard revient me défoncer le derrière, avec sa trique merdique. Quand je crie encore, il me redresse pour m'enfoncer encore la tronche dans cette putain d'eau remplie d'excréments de personnes socialement inférieure à moi. Mais contrairement à tout à l'heure, ce taré qui ne semble n'avoir aucune limites dans sa cruauté, me laisse mariner...

Quand ce fils de pute me redresse enfin selon son bon vouloir, il me traine comme une vulgaire petite chose vers l'extérieur de la cabine, en tirant sur mes cheveux comme un enragé...

- Arrête! J'ai compris.. Ok! J'ai compris...

A cours d'arguments, je me fais ensuite bêtement trainée jusqu'aux toilettes d'à côté. Vient alors l'impensable, en me voyant prête à resubir encore le même sort dans une autre cuvette généreusement moins crade que la précédente. Le psychopathe beuglait tellement comme une vache énervée, qu'il me dit des choses que j'ai de plus en plus de mal à comprendre. A part quand il me traite de pute, bonne à ouvrir son cul...
Face à ce déchainement inhumain de violence physique et psychologique, sur ma pauvre personne soumise et vulnérable aux caprices d'un fou qui n'aurait jamais dut sortir des entrailles de sa dégénérée de mère, je reste là à trembler...

- Pi... pitié! Je t'en prie, laisse-moi rentrer chez moi. Je te demande mille fois pardon... J'ai fais n'importe quoi tout à l'heure. S'il te plait, laisse-moi partir je... je n'ai même pas dix-huit ans en vrai. J'ai débarqué là par erreur...

Continuant de tressauter et de sangloter, j'essayais de jouer sur mon âge pour tenter de le calmer.

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Dortoirs et douches / Re : Nettoyage des douches ( Pv Setyhs )
« le: mercredi 03 mars 2021, 18:55:12 »
Voilà qui était mieux à entendre pour mon moi fantastique, puisque la poiscaille se met à gémir en continu. Au point que ses gémissements bien vite bruyants, ressemblaient à ceux d'une vraie salope en manque de sexe depuis des jours.

- Ha! Mademoiselle joue la dure et à peine on la touche, qu'elle crie comme une dépravée! De toutes façons, je savais que tu étais de ce bord là, dès que j'ai vu ta sale petite tête insupportable!

Partagé entre l'excitation et le mépris de celle que je considère être devenue mon jouet, je n'ai pas besoin de forcer pour lui faire tourner la tête. Et hormis ses couinements de plus en plus excitants à entendre, la peur qu'elle éprouvait en même temps pour moi, me rendais encore plus fébrile.
Et après avoir appliqué quelques rapides préliminaires à cette petite nymphomane, je m'allonge sur elle pour faire un joli soixante-neuf. J'étais maintenant prête à continuer de brouter son intimité, avec l'ordre clair d'en faire tout autant avec la mienne.

- Arrête de faire semblant de jouer à ta timide!... Lèche plus fort bordel t'entends?

Insatisfaite par ses premiers coups de langues qui m'arrivent dans la chatte, j'envoie une fessée bien méritée sur ce joli petit cul insolent, avant de plonger ma langue au fond de ce minou délicieux, au gout de fruits de mers. Et pendant que je lèche fortement cette chatte qui s'humidifie à chacun de mes passages inoubliables pour cette primate, j'enfonce un doigt directement dans son petit cul. Sans crier gare, je force directement le passage, jusqu'à bien le ressentir en elle. Une fois plongé à l'intérieur de cet autre trou à bites, je le ressors, puis je le lui remets instantanément.

- Allez! Continues de gémir! Tu ne vas quand même pas me faire croire que je puisse réellement faire mal à ce joli petit cul défoncé tous les jours, par tout le bahut quand même?

Tout en jouant à fond sur la carte de la peur et de l'humiliation, je lui envoie une nouvelle fessée. A la différence de la précédente, que celle-ci s'accompagne d'un tout nouvel effet qui lui procure la douloureuse sensation de recevoir l'équivalent d'un coup de batte en plein sur son petit cul de mollasson.

- Allez réveille-toi la poiscaille! Lèche plus fort ta maitresse ou je vais être obligée de devoir te faire encore mal!

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Au bord du malaise et de faire carrément une syncope imminente, j'ai la respiration qui se coupe sans même crier gare, lorsque je me prends sur le cul toute une séries de frappes violentes. Complétement désorientée, comme si mon âme avait en partie quitté mon corps, de nouvelles vagues de douleurs qui se propagent depuis mes fesses à chacun des coups de ce tordu, me parviennent jusqu'à la tronche!

- Arrêêête! Pitié arrêête!

Anéantie par la situation, j'en étais pathétiquement arrivée à supplier cet idiot pour qu'il cesse... Mais il s'en fichait. Il continuait et en plus, je devais encaisser sa bite qui me déchirait sans cesse. Et bien sûr ce sale con ne se gêne pas pour encore et encore continuer de m'insulter. De profiter de ma vulnérabilité et de la torture physique et morale sans le moindre petit scrupule.
Et inlassablement, je me faisais défoncer par ce malade, alors que je sentais la gerbe qui commençait de plus en plus à monter. Je continue ensuite de me faire humilier gratuitement, lorsqu'il m'attrape par les cheveux en tirant dessus encore une fois comme un enragé... Avec mon dos qui se creuse et sa bite de gros porc obscène qui n'arrête pas de me faire pression dans l'entre-jambe, ce salopard me crache en plus au visage. Pour lui, je n'étais plus que la fille d'une pute... Elle-même une pute en souffrance, dont cet animal grossier n'avait que faire de ma condition...

J'étais tellement à bout de subir tout ce déchainement de violence à répétitions, que je manquais même de force pour pouvoir chialer. J'avais la tête qui tournait. Le corps aussi chaud que la braise et des douleurs atroces, qui se répartissaient partout. Et mon estomac qui semblait comme s'être bloqué. Je vivais un cauchemar éveillé dont je ne sortirais jamais. Même lorsque ce type aura terminé de profiter de moi...

- Non... Non...

Tout en émettant pitoyablement des sortes de râles étouffés, je continue de me faire sauvagement pénétrer. Les pressions qui semblent ne jamais vouloir se terminer, continuent. Et avec elles, toujours ces horribles bruits dégueulasses qui sortent de mon sexe...
Quelques instants encore, l'enfoiré qui n'en a que faire de moi et de savoir si je peux au moins encaisser son truc énorme et répugnant, s'arrête. Avec impuissance, je ressens son bras passer sous mon bas ventre. Soulevée et emportée comme une chose minable, les yeux rouges et détrempés, il se retire de moi lorsque je suis redressée.
Je me fais ensuite pousser sur la table, avant d'être immédiatement rattrapée. Allongée dos contre celle-ci, éternelle spectatrice et victime de mon propre viole, je vois mes jambes se faire maintenir en l'air. Le monstre avec sa carrure digne d'un gorille, vient une fois encore piétiner toute ma dignité réduite à néant, en me la remettant instantanément...
Avec toutes ces visions d'horreur et le changement de posture, la gerbe qui était restée bloquée un moment au fond de mon estomac, termine de monter. Et pendant que je me faisais une fois de plus attraper, secouer sur place en subissant ses assauts qui continuent de me fatiguer et de me faire mal, je me "déconnecte" momentanément de tout, pour vomir.

- Eeeerk!... Eeeeeerk!

Le liquide nauséabond et aussi puant que sa bite sort de ma bouche, alors que ma tête est penchée sur le côté. La gerbe se répand et une partie se met à couler par terre...

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Le parc et son sous-bois / Re : Enlacement végétal [Akita Celebrindal]
« le: vendredi 26 février 2021, 21:32:50 »
Enfin! J'étais en train de prendre mon pied à ma juste valeur. A ma juste hauteur personnifiée. Bien que je ne comprenais pas bien ce qui se passait et que je n'arrivais pas à prendre cette "agression" au sérieux, j'aimais me sentir me retrouver dans cet étrange état second! Je pouvais me lâcher et laisser exprimer mes pulsions, sans que ma grande valeur en prenne un coup. Et ça devient encore meilleur, quand je ressens un truc bien gros venir entrer dans ma chatte.

- Oh oui! Oh putain! C'est ça continue! Fais jouir ta reine putain de merde!!!

Au bord de l'hystérie, j'écarte les cuisses comme une belle salope que je suis, pour pouvoir ressentir le plus possible la chose de derrière que je ne voyais pas, bien venir en moi. D'ailleurs cette "chose" qui semble avoir une voix féminine que je ne reconnais absolument pas, me parle. Mais je n'étais déjà plus en état pour pouvoir suivre correctement la moindre conversation. Je voulais tout simplement baiser et j'avais ici une opportunité de fou!

Je gémis grossièrement lorsque je me sens être vulgairement fessée et semblerait-il "menacée " d'être remplie, par cette énorme bite qui était bien logée en moi, alors qu'elle s'enchaine et que je couine! La vache! La lourde fessée qui ressemble en même temps à un coup de fouet comme si j'étais dans une séance SM, me faisait vibrer de ton mon être! J'avais la chatte délicieusement volcanique. Je palpitais à mort et j'étais encore prête à jouir! Et en plus s'accompagnait avec ça, une délicieuse pression particulièrement intense dans mon bas-ventre. Il n'y a pas à dire, ça c'était ce que j'appelais une "baise quatre étoiles"...

- Oh ouais! Vas-y remplis-moi! Déchaine-toi sur moi, pendant que je suis de bonne humeur ma jolie! Fais moi jouir et crier, ma salope!

Prendre mon pied et sourire stupidement, ne m'empêchait pas de continuer de me moquer d'elle dans une moindre mesure. Puisqu'elle voulait baiser, alors autant que je la motive à vouloir se donner à fond, si elle veut que je me souvienne d'elle au moins suffisamment longtemps. Même si tout ça ne paraissait pas très normal...

- Oui! Oui! Ouiiii!

Alors que je suis en train de me faire ramoner l'entre-jambe comme une truie par cette chose perverse, ses mouvements se font encore plus amples et puissants. Ma chatte chauffait encore plus et la pression, accompagné des vibrations complétement folles, pulsait jusqu'à mon cerveau bientôt hautement diplômé dans cette petite société. Et alors que je suis à deux doigts de jouir, avec mon clito qui n'arrêtait pas de se faire lui aussi agresser en continu, je ressens un liquide chaud venir m'asperger les entrailles! Le truc était en train de me remplir la vulve. Et c'était tellement puissant, que je me laissais aller à jouir de nouveau!

- Oh oui! Remplis-moi! Oh je te sens! Encore!!! Encore!!!

Tout en l'encourageant, je me laisse aller sans état d'âme dans mon orgasme. Je grimace et je tire la langue comme une vulgaire chienne en manque, sans oublier de jubiler! Je ne savais pas qui était cette fille ou cette chose, mais au moins elle savait baiser! Au moins je lui trouvais un intérêt qui fasse que je reporte le temps de notre fougueuse baise, une attention suffisante. Et quand madame perverse semble avoir finit de jouir en moi, elle continue de remuer et de m'envoyer ses saccades bruyantes. Mon cul se refait légèrement agresser au passage, pendant qu'elle en profite pour m'envoyer d'autres nouvelles fessées agréables à entendre à mes oreilles. Le son mélodieux du claquement de mes fesses parfaites, vient danser dans mes excroissances rendues invisibles grâce à mes soins, alors que les fessées qu'elle m'administre semblent devenir de plus en plus régulières et violentes. Mais qu'importe ce qu'elle pouvait me faire, tant qu'elle me baisait!

- Ah putain! Mais t'es vraiment incroyable! Tu baises presque aussi bien que moi!

Pendant que je complimente sans doute son seul talent dans la vie, elle me fait gouter au passage à de nouveaux fruits. Je profitais une fois de plus de notre intense débat, pour obéir à mes envies et tous mes désirs. Et gouter à des fruits pouvait tout à fait en faire partis. Je croque et je mâche plusieurs bouchées en plein acte sexuel, comme le ferait tous les dieux légendaires.

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Dortoirs et douches / Re : Nettoyage des douches ( Pv Setyhs )
« le: vendredi 26 février 2021, 18:53:09 »
Enfin! Cette fois-ci la garce me prenait réellement au sérieux! Elle semblait visiblement paniquée et incapable de pouvoir encore réagir! Et comme d'habitude, la pauvre débile qui n'avait rien compris à toutes mes illusions extraordinaires, semble avoir vraiment craqué, sitôt qu'elle commençait à croire qu'elle étouffait. Ses expressions qui m'amusaient, se lisaient comme dans un livre ouvert. Encore une prune qui ne doit pas être bien futée, malgré son physique qui m'était de plus en plus désirable...

- Bien! C'est bien ma jolie! Tu vois qu'il te suffit d'être bien sage. D'être toute obéissante envers ta reine et tu ne craindras rien. Ou presque...

Alors que mes oreilles vibrent en l'entendant gémir, avec mon doigt bien calé à l'intérieur de sa fente que je commence à attaquer sans me retenir, je m'amuse à faire régulièrement des rotations et à gigoter. Après quelques instants à admirer sa vulve et toutes ses expressions de parfaite idiote devenue enfin soumise et raisonnable, je retire mon doigt de sa petite intimité pour le sentir. Avec une expression faussement dégoutée lorsque son odeur poissonneuse vient chatouiller mes narines délicates, je l'enfonce de tout son long dans ma bouche.

- Mmmh! Quelle délicieux parfum de poisson tu as là, ma belle! Je sens que je vais me régaler à te dévorer! Tu verras qu'à la fin, tu me remercieras d'avoir été l'objet de toutes mes attentions. Surtout que tu sembles avoir compris que je n'étais pas n'importe qui ici?

Tout en continuant de prendre mes aises et sans altérer la température illusoire de mon doigt qui retourne se loger dans ses délicieuses chaires intimes, je le retire une fois encore, pour le foutre dans ma propre chatte. Immédiatement, je pousse un gémissement étouffé, lorsque je fusionne sa cyprine avec la mienne, avec son odeur qui va avec...

- Mhpf! Putain ça c'est le pied, ma chérie!

Ne souhaitant pas faire trop attendre la poiscaille soumise à sa reine, j'écarte sa chatte avec mes doigts. Puis tout en approchant mon visage, je commence à la lécher. Immédiatement, toute son odeur des plus parfumée vient encore pénétrer mes narines, alors que je m'attèle à lécher son trou à bites. En quelques instants, je me mets à caresser son sexe de tout son long avec ma langue, tout allant régulièrement cogner son clitoris avec. De mon côté, je commençais à avoir ma propre chatte qui vibrait sous mes vêtements. Aussi je me relève et je commence à me déshabiller fébrilement devant elle...

- Tu sais que t'es franchement délicieuse et sacrément bonne à lécher, pour une petite conne comme toi? Je crois que t'as bien mérité de venir me gouter aussi! Tu vas pouvoir lécher joyeusement la chatte étroite de ta maitresse. Et aussi pouvoir admirer mon corps de déesse à sa juste valeur.

De plus en plus excitée, je souris dans une expression qui se veut être volontairement malsaine, alors que je finis de me déshabiller. Une fois à mes aises et tout en laissant ma petite esclave me mater, je me positionne sur elle à quatre pattes. Lorsque je m'allonge sur elle en position inversée, pour nous offrir mutuellement un délicieux soixante-neuf, je lui force à avoir ma chatte bien collée sur sa tronche de petite idiote.

- Vas-y lèches! Tu vas bien gentiment lécher la chatte de ta reine, si tu ne veux pas que je te fasse mal une fois de plus. Et tu as intérêt à t'appliquer! T'entends la poiscaille?

Ma chatte bien collée sur sa tronche de boulet, je me remets alors à dévorer sans retenues, sa propre intimité toute poissonneuse! A ce rythme, je pourrais limite bien vite devenir accro à cette conne...

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Le parc et son sous-bois / Re : Enlacement végétal [Akita Celebrindal]
« le: mardi 02 février 2021, 22:42:52 »
Tout en partant, je chantonne. Je chantonne une chanson nulle et toute pourrie de chez moi, qui me sert à me moquer encore un peu plus de mon "agresseuse". Oui. Pour une raison surprenante, ma mauvaise humeur de tout à l'heure s'était subitement envolée. Je me sentais maintenant légère et reposée. Peut-être que le fait d'avoir regardé quelques étoiles terriennes minables et d'avoir déjoué avec mon adresse légendaire habituelle, la tentative pathétique de mon idiote d'amie, m'avait elle rendue un peu de mon si beau sourire?...

- Hein?

D'abord étonnée après m'être retrouvée comme dans un curieux état d'égarement, des sortes de minuscules racines sortent du sol et m'immobilisent. Elle m'agrippent en une seconde les poignets, les jambe et la taille... Mais malgré l'effet de surprise, je ne suis ni en panique, ni en colère. C'était comme si je vivais une sorte de détachement. Qu'est-ce que c'est ce bordel?...
Tout en restant un semblant étonnée, je vois alors toutes ces "racines vivantes", venir agresser mes vêtements. En quelques instants, elles me déshabillaient...

- Eh! C'est pas très gentil ça! Bats les pattes!...

Bien que je me sentais frustrée par ce qui m'arrivait, je n'arrivais pas à prendre la situation parfaitement au sérieux. C'était comme si l'on m'avait fait ingérer en réponse à mon immense cerveau aux connaissances quasi illimitées, une drogue. Comme si j'étais plongé dans un bien-être qui me détendait. Seulement il se passe encore quelque chose, lorsque ces machins se mettent à enserrer ma poitrine de déesse et se terminent sur mes tétons. La pression sur mes seins, ainsi que sur le bout de mes chaires sensibles, se renvoyaient en plein dans mon entre-jambe!
Tout en gémissant, voilà que ces choses se mettent à caresser ma chatte exposée maintenant à l'air. En quelques instants seulement, j'étais à poil! Mon corps nu exhibait toute sa beauté avec mes courbes parfaite, à cette petite mère nature fragile...

- Oh.... Oh putain! Oh putain qu'est-ce qui se passe???

Encore comme prisonnière d'un état second étrange et indescriptible, tous les muscles de mon corps se tendent, lorsque je ressens mon intimité se faire agresser. C'était tellement agréable et délicieux, que je voulais que ça continue. Et d'ailleurs ça continuait. Au point que mon petit cul se retrouve lui aussi agressé en surface et que je ressentais ma cyprine couler délicieusement, le long de mes cuisses. Ces choses étranges tout droit sorties du sol, étaient comme en train de me faire tourner la tête! J'avais la sensation bizarre de perdre une partie de la raison. De n'être plus parfaitement moi-même et de devenir lentement dépendante du sort sexuel bizarre que je subissais en première ligne... Seulement, je brûlais! Je brûlais d'hardeur et de désir!

- Oh mon Dieu! Oh c'est carrément le pied! Mais c'est quoi ce truc de taré?...

Alors que mon cerveau fonctionnait de plus en plus au ralentit. Que mes envies et mes désirs m'envahissaient des pieds à la tête, cette dernière se faisait comme enserrer. Et avec ça, un truc gros et délicieux me caresse mes lèvres intimes, en plus de ces machins qui me font... qui me font...

- Grah! Ouiiiii!

Cette fois j'implosais sur place! Je jouissais, alors que ma chatte était prise d'assaut! Mon clito était en feu comme jamais il ne l'avait été de toute ma vie! La sensation était si renversante, que j'avais l'impression de ne faire plus qu'un avec la terre! Avec ce sol terrien, dont je flattais ma présence avec mes pieds nus. Et pour couronner magistralement le tout, alors que je râle de plaisir plus que ce je criais, quelque chose derrière m'enserrait la nuque! S'ensuit un claquement violent sur mon petit cul, avant que je n'entende une voix que j'avais complétement oublié, l'espace d'un instant...

- Oh oui!... Punis moi!... Punis moi! De toute façons plus rien d'autre ne pourra m'atteindre, hormis de bénir cette terre de ma cyprine...

J'étais si excitée, que tout le reste passait pour moi au second plan. On pourrait m'annoncer la fin du monde, que seul mon désir comptait!

- Oh ouais! Oh bordel claques-moi le cul comme une chienne! Ouais c'est ça!...

Et pendant que j'encourageais la meuf qui m'aurait faite avoir une attaque cardiaque dans d'autres conditions, je prenais encore une fois mon pied à me sentir me faire perforer maintenant le cul, par ses racines subliminales! En un instant, j'étais devenu le chef d'oeuvre de l'érotisme de mère nature! Encore une fois, ma vie et ma personne entière reposait sur de l'art.

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- Maman!!! Mamaaaaaaan!!! Aides-moi maman!

Alors que je crie pour qu'elle m'aide, je ne l'entendais plus... De là d'où j'étais, je ne la voyais pas... Je me suis donc mise à crier à pleins poumons, prise par l'horreur lorsque la brute s'était mise juste avant de la menacer d'aller me tuer, si jamais elle appelait les flics... Seulement quoiqu'il se passe, je ressentais le malade essayer de me pénétrer. J'étais en train de me faire violer et j'étais incapable d'agir! J'avais beau tenter de bouger et de gémir, il était beaucoup trop fort pour moi! Mais surtout, je ne comprenais pas pourquoi ma mère ne réagissait plus, après qu'il l'ait menacée. Pourquoi restait-elle silencieuse?

- Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!

Prise par l'effet de surprise, mon visage se déforme dans un rictus de souffrance abominable, alors que je ressens sa bite dégueulasse venir me déchirer l'intérieur. Tout va alors très vite et le temps que je réalise, la putain de douleur qui me sort depuis la chatte, se disperse et se propage jusque dans les entrailles de mon bas ventre!... C'était horrible! Je n'avais jamais eu aussi mal de toute ma vie en étant pénétrée... Comme prête à m'évanouir et vomir mes tripes, je ressentais quelque chose de désagréablement chaud et humide... Ce connard était en moi! Il était en moi! Et je réalisais jusqu'à quel point il me faisait mal et qu'il allait me déchirer!

Angoissée et paniquée comme je ne l'avais jamais été auparavant, je me remets à hurler douloureusement dans un rictus qui déforme une fois de plus mon visage, lorsque je ressens la bite du gros porc qui me dégoutait, s'enfoncer encore plus en moi! Encore... Il était en train de me détruire! Il allait réduire en bouillie ma chatte et tout ce qu'il y avait autour, c'était maintenant certain! Mentalement, je ne me voyais pas survivre face à cette barbarie immonde! Ce type allait me défoncer toute la chair de mes entrailles avec mes boyaux. Et lorsqu'il partirait ensuite, je me viderais mon sang. Mais surtout, je me demandais toujours ce que foutais ma mère. Pourquoi ne venait-elle pas m'aider, alors que j'avais plus que jamais besoin d'elle? Merde!...

- Haaaaaaa!!!... Connard!!! Espèce de Connard!!!...

Yeux écarquillés, bouche ouverte, je me mets à baver de souffrance, alors qu'il se retire et retourne encore plus profondément en moi! Cette fois ce n'était plus de la torture que je subissais, c'était carrément du lynchage!... La douleur était tellement forte, que je criais de rage, tellement il était en train de me pulvériser!...
Mais alors que ne je pouvais rien faire, que je pensais pourtant avoir atteint le fond du gouffre de mon calvaire, j'entends la porte qui claque. Puis derrière, ma mère qui crie... Stupéfaite, choquée, comme momentanément déconnectée du temps présent, je réalise alors que ma mère s'était... barrée? Elle s'était barrée en me laissant entre les mains de cet ignoble pervers qui allait rire de ma souffrance et me violer à mort comme un vulgaire jouet sexuel???

- Nooooon!!! Maman reviens! Pourquoi tu t'en vas? Maman???... Mamaaaaaaaaaaaaan!!!

Horrifiée par l'impensable, je me mets à crier à pleins poumons en puisant dans mes dernières réserves, après ma mère! Je lui suppliais de revenir! Je me disais que ce n'était pas possible! Qu'elle ne pouvait pas m'avoir abandonné... Pas sa propre fille...
Prise de lourdeur, j'écrase une fois encore mon front contre le matelas, alors qu'une partie de mon mental semble soudainement comme se briser en éclat. Anéantie par l'impensable, je pleurais toutes les larmes de mon corps dans un désespoir aussi noir que sans fin. J'allais mourir violée et j'allais crever comme une chienne et comme une merde, dans mon sang et mes excréments. Quelle fin minable...

- Erk!... Erk!!!...

Prise alors de tremblements, suivi d'un malaise terrifiant qui accompagne la souffrance qui n'arrêtait plus de me torturer l'entre-jambe à cause de ce pervers répugnant, je commence à gerber. J'étais en train de tourner de l'oeil face à ce trop plein. J'allais rendre le contenu de toute ma bouillie et de ma bile, qui allaient entacher et détremper les draps qui étaient juste sous moi...

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