Une journée passablement inintéressante se terminait. Les cours s’achevaient, et il faisait encore beau et chaud dehors. Les élèves rentraient chez eux, à la bibliothèque, à la plage, dans les cafés, et allaient s’occuper l’esprit, jusqu’à ce qu’une autre journée recommence. Quoi de plus banal et de plus morne qu’une sortie de lycée ? Un troupeau se pressait vers la sortie, formant une masse compacte d’élèves. Le constat était encore plus troublant au Japon, où les élèves devaient porter des uniformes scolaires. On avait l’impression de voir une armée désorganisée sortant de la caserne pour aller dans ses baraquements. Pour tous, cette soirée serait comme les autres. On regarderait la télé, on ferait ses devoirs, on lirait un roman, on flânerait sur Internet, on tuerait des armées de pixels sur des jeux vidéos, on écouterait la musique, on forniquerait avec sa petite amie... Pour tous, ce serait une soirée qu’on oublierait, comme tant d’autres soirées à répéter inlassablement les mêmes choses... Pour tous, sauf pour elle.
Elle. Elle n’était pas dans la même classe que Mélinda, mais cette dernière s’était intéressée à elle. Elle avait de beaux cheveux bleus, et venait normalement, d’après son emploi du temps, de finir un cours insipide. Mélinda était dans le couloir, l’attendant, la guettant. Elle fondrait sur elle, telle la prédatrice qu’elle était, car elle avait envie de jouer, et elle avait trouvé sa proie. Et, quand Mélinda avait cette envie-là, l’en empêcher était difficile. Comme une joueuse se préparant à un combat de stratégie, elle avait envisagé son plan d’attaque, réfléchi à ses coups, envisagé sa stratégie globale, et songé aux éventuelles ripostes que l’ennemi, désorganisé et surpris, serait tenté de produire. Ce soir, on lui lécherait les pieds. Au moins.
Elle. Elle s’appelait Yamada Asami, et était l’élève introvertie qu’on ne remarquait pas forcément. Elle était inscrite au club de natation, et était une élève assidue. Un modèle d’intégrité, conforme à l’idéal japonais, empreint de conformisme et de confucianisme. Un visage d’ange, mais qui, comme tout visage d’ange, se révélait être un masque masquant une réalité plus trouble. Le projecteur de son sérieux avait des zones d’ombres, des coins silencieux. Yamada voulait avoir une bonne image, une bonne réputation. Elle ne fréquentait pas n’importe qui, et les profs l’aimaient plutôt bien. Rien à lui reprocher, son bulletin scolaire devait être assorti de ces petits stupidités qui ravivaient les parents, ces appréciations inutiles et ridicules dont le seul objectif était de gonfler l’égo de jeunes élèves. Votre fille est assidue, très attentive, et participe beaucoup en classe. Les humains étaient fascinants, en ce sens qu’ils passaient leur temps à se féliciter de tout et de n’importe quoi. Mais, à force de trop employer des mots aussi forts, ils en perdaient leur valeur, et, en définitive, ne signifiaient plus rien.
Elle. Elle avait couché avec un autre élève du lycée, un élève qui, pour son malheur (ou son bonheur), était aussi liée à Mélinda par un serment contre lequel on ne pouvait que difficilement se délier. C’était un serment de vie et de mort, le serment d’une petite goule. Elle avait eu un rapport sexuel avec lui, et Mélinda l’avait su. Et, même à Mishima, c’était le genre de choses qui, ;devenues publiques, faisaient jaser. Alors, si c’était sur une petite perle, une femme parfaite au visage d’ange... La vampire allait bluffer, tout simplement. C’était ce qu’elle savait faire de mieux. Elle allait jouer la bonne vieille pioche du bâton et de la carotte, en commençant par le bâton, puis en lui amenant la carotte. Et Yamada lui lécherait les pieds. Cette perspective l’intéressait beaucoup, car elle avait vu des photos d’elle. Elle était mignonne. Très mignonne, même. La vampire n’avait pas besoin de plus.
Les élèves commençaient à sortir, et elle fit attention. Elle sentait tous ces groupes sanguins près de ses narines. Un buffet sur pattes ! Elle ne tarda pas à voir, dans la mêlée, Yamada, et entreprit de la suivre. Elle ne voulait pas lui parler avec tout ce monde. Elle préférait attendre un peu, que le groupe se dilue. Elle suivit donc la jeune femme, jusqu’à descendre un escalier. Les lycéens parlaient rapidement entre eux, sans que Mélinda n’arrive vraiment à comrpendre de quoi ils pouvaient bien parler.
« Et là, le monstre, je lui fais baaam, là, comme ça, j’te dis !
- Ouais, genre ! » entendit-elle ainsi.
Elle se concentra, voyant le dos de Yamada, et se rapprocha lentement, jusqu’à s’avancer dans un autre couloir qui conduisait vers la cour de sortie. Ce faisant, Mélinda se rapprocha alors très près de Yamada, jusqu’à se trouver dans le dos de la femme, et murmura dans le creux de son oreille, de manière à ce qu’elle seule puisse l’entendre.
« Je sais ce que tu as fait dans les douches avec mon esclave, petite catin. »
Pas plus, pas moins. Mélinda s’écarta ensuite, et, rapidement, plusieurs élèves passèrent devant elle, entre Mélinda et Yamada. Un esclave avait le droit d’avoir un esclave, mais, dans la continuité, le maître du maître de l’esclave était aussi le maître de l’esclave. Ce qui appartenait à l’esclave, en définitive, revenait au maître.
Remarque : Si la relation entre Mélinda et Yamada vous captive, vous pourrez en lire la suite dans ce RP (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=10730.0).
Asami devenait nerveuse : La situation dans laquelle elle était ressemblait définitivement bien trop à un piège, quelle que soit la façon de laquelle elle agirait, elle ne pourrait gagner et s'en sortir "indemne", il y aurait forcément un prix, de quelque sorte qu'il soit. En vérité, il pourrait même être aussi élevé que la jeune femme le souhaitait, car peu de choses seraient aussi humiliantes et surtout néfastes pour la lycéenne que de voir son histoire des douches révélées : Elle se voyait déjà incapable de regarder quiconque dans les yeux, au lycée, évidement, mais même ses parents qui, habitant à Seikusu même, en entendraient eux aussi parler...
Elle cessa de penser à tout cela, car, finalement, quoi que demanderai la "maîtresse" de la goule avec laquelle elle s'était honteusement débauchée, elle devrait accepter, elle s'en convainquit : Elle ferait tout ce qu'il faut pour éviter ce véritable scandale. Cependant, aussitôt que son interlocutrice reprit la parole, cette confiance vacilla, non pas qu'Asami se mit à douter ou à révoquer ce qu'elle s'était promis, mais il lui était complètement impossible de rester insensible à la jeune femme lui faisant face : Elle parlait avec une assurance presque malsaine tant elle était sûre d'elle alors même que parlant d'un sujet sérieux, adulte et potentiellement grave, et sa gestuelle comme son corps n'admettait aucune faille.
Elle commença vite ses exigences : Étrangement, et peut-être malheureusement, ne faisant que plus languir Asami qui attendait résolument sa punition, elle évoqua d'abord ce qu'elle ne voulait pas, et finalement, lorsqu'elle en vint à évoquer ce qu'elle désirait, elle restait vague. La lycéenne, à l'évocation d'autre chose que l'argent qu'elle possèderait, sentit vite que ceci était son propre corps, par instinct peut-être, mais sans doute plus car d'un bout à l'autre, des douches à cet instant précis, il semblait que cette histoire ne savait être que déluré.
Cela ne faisait que renforcer l'inconfort d'Asami, et la confirmation de ses pensées ne fit que surenchérir, la jeune femme caressant brièvement sa joue et semblant s'en délecter d'une manière malsaine. Elle expliqua ensuite que Theorem était "sa" goule, qu'elle en était la maîtresse...La jeune fille craignit subir le même sort, devenant une sorte d'être plus tout à fait humain dévoué au plaisir charnel...Mais "heureusement" - Et cela dénotait déjà le changement des notions de bonheur ou de malheur d'Asami - elle sembla simplement vouloir soumettre la jeune fille à sa volonté, sans bien plus...
De même, elle avait dévoilé de véritables crocs et semblait plus proche que jamais de la lycéenne, sans doute une des visiblement multiples facettes de son don pour séduire et dominer tous ceux et celles qui l'entouraient...Mais force était de reconnaître que c'était plus qu'efficace : Asami était déjà, à ce point, convaincue que pour son propre bien, elle devait obéir, et qu'elle devrait le faire sans rechigner, du mieux qu'elle pouvait.
Durant toute l'énonciation de ses volontés, la jeune femme, désormais visiblement "Maîtresse", ne cessa de sourire, d'une façon perçue par Asami comme pire que malsaine, au moins autant que ses paroles : Elle avouait éhontément ses vices, les projetant sur la lycéenne, l'entraînant dans son jeu, en faisant son jouet, comme, à la plus grande horreur de la jeune fille, beaucoup avant elle...
Lorsqu'elle exigea pour la première fois réellement quelque chose d'Asami, celle-ci hésita à peine, alors même que ce choix semblait impossible : C'était tellement dégradant, une promesse délurée qu'elle se soumettrait totalement à sa "Maîtresse", de plus alors que quelqu'un pourrait les surprendre...Mais sa raison lui intimait d'obtempérer, et la domination déjà forte que la jeune femme exerçait sur elle faisait passer le même message, cette fois comme s'il était hurlé.
Aussi opposée à cela qu'elle put être, Asami le fit comme si elle y croyait, et, d'une façon perverse sans doute voulue par la dame aux crocs, en réalité, elle y croyait, car par cela passait la tenue de l'accord passé, et le silence de la jeune femme, et de ce fait la volonté même de la lycéenne.
Alors elle courba lentement les genoux, ses yeux plongés dans ceux de celle à laquelle elle se promettait, ses mains se posant au creux de ses hanches après avoir dans le même mouvement déposé son sac auprès d'elle. Ses genoux touchant le sol, elle continuait de descendre, jusqu'à ce que ses fesses atteignent ses talons : Elle était maintenant clairement en dessous de la jeune femme, devant lever le tête pour ne serait-ce qu'atteindre ses yeux du regard, car elle ne la regardait pas directement, elle maintenant sa tête juste assez levée pour que ses yeux émeraudes puissent se plonger dans le regard plein de jubilation de la femme.
Contemplant une dernière fois ses yeux pleins de désir, d'envie pour elle et sa posture dominatrice, elle ne put même pas soutenir ce regard les quelques instants durant lesquelles elle se jurait son esclave.
« Je serai votre servante...Je ferai ce que vous voudrez, tout ce que vous me demanderez...Tous vos désirs, vos moindres exigences, je les comblerai...Je suis à vous, je vous obéirai, Maîtresse... »
Asami ne savait d'où elle sortait ces paroles...Peut-être avait-elle simplement évoqué ses peurs, cristallisé tout ce qu'elle craignait et qu'il pouvait lui arriver avec cette femme...Enfin, désormais, sa Maîtresse...
Asami était fébrile après son serment : Celui-ci avait demandé une certaine forme de courage et, il faut l’avouer, était l’aveu, des propres lèvres de la lycéenne, de sa soumission totale et, elle le pensait, son plus grand malheur. Elle eut peur que cela n’ait résonné dans la tête de cette femme que comme une invitation aux pires actes dépravés, mais, à sa grande surprise, ce ne fut pas le cas.
Ses mains, dont la jeune fille éloigna légèrement le visage, presque par réflexe, dès que celles-ci se mirent à bouger, ne vinrent finalement que doucement caresser ses joues. C’était un toucher froid et assez déplaisant, bien que cela était sans doute due au cœur d’Asami qui pulsait son sang bouillant à un rythme effréné et à sa perception plus que négative des évènements, mais ce contact était pourtant doux et, en bien des manières, dénué de toute brutalité.
Les mains de la femme révélaient réellement de l’intérêt pour la lycéenne, caressant ses joues, ses oreilles et passant délicatement dans ses cheveux, comme si elles appréciaient le visage de la jeune fille. Très vite, cela dissipa quelques de ses craintes, et Asami se laissa aller à simplement apprécier cela, car sa « Maîtresse » lui en laissait étrangement l’occasion, ne soufflant mot ni ne faisant quoi que ce soit d’autre : Ce contact était paisible, et, peut-être uniquement parce qu’elle était dans une situation plus que délicate, rassurant et agréable. Cependant, après un bon moment qui passa pour une tentative de trêve, une excuse pour l’esclavagisme vitesse grand-V que venait de subir la lycéenne, la femme rassembla ses mains autour du menton d’Asami, la serrant légèrement et ramenant à sa réalité, présentement, d’esclave.
Elle la félicita, peut-être de son serment qui, jugé selon ses critères, aurait été intéressant, mais la jeune fille se demandait si tout cela ne visait pas plutôt à l’amadouer, car cette théorie était plutôt étrange, surtout que cette allégeance avait maintenant plus d’une minute. Mais surtout, sa « Maîtresse » lui ordonna de se relever, cependant pas d’une manière autoritaire, presque au contraire, d’ailleurs, à la vue de l’ordre qui ramenait Asami debout : cela ressemblait plus à une gracieuse délivrance.
Après tout cela, la pression de la lycéenne avait grandement chuté, elle se disait que peut-être, si elle se contentait de faire ce qu’elle demandait, elle s’en sortirait en fait passablement bien. Mais ces pensées réconfortantes furent interrompues par la femme qui la poussait - Bien que pas brutalement mais au contraire très doucement - contre le mur, l’y faisant légèrement se heurter, bien qu’Asami eut surtout la frayeur que ce doux traitement qu’elle avait reçu ne soit en fait qu’un piège. Elle y fut vite rejointe par le corps même de la femme, leurs jambes s’entremêlant et leurs poitrines se pressant légèrement l’une contre l’autre.
La lycéenne se sentait assez oppressée, retournant à un sentiment écrasant de domination, ou plutôt en ce qui la concernait, de soumission. Malgré que l’empoignement de ses cheveux lui fit craindre le pire, ce fut finalement un geste de tendresse qui mit fin à ses doutes : La femme l’embrassait, d’abord assez simplement, leurs lèvres pressées ensemble dans la plus grande douceur, et une main se posa paisiblement sur sa hanche, la faisant légèrement sursauter. Asami avait fermé ses yeux, profitant de tout cela et s’abandonnant - Après tout, c’était maintenant sa « Maîtresse » - à elle. Elle sentait ses joues se gorger de sang alors qu’elle prenait un plaisir qu’elle aurait bien elle même put juger malsain à se faire ainsi embrasser.
Mais ce baiser n’en resta pas là : La femme lui fit ouvrir la bouche, d’un ordre plus qu’agréable puisque prenant la forme d’une embrassade, et y glissa sa langue. Au départ, celle de la lycéenne était restée au fond de sa gorge, mais au fur et à mesure des effleurements qu’elle subissait, elle finit par se laisser apprivoisée par l’organe de la « Maîtresse », et se plaça docilement sous celui-ci, esquissant parfois quelques soubresauts, ne parvenant pas à simplement rester en place. Asami finit par apprécier chaque seconde de ce contact doux et chaud se livrant totalement à cette valse de leurs langues, rougissant honteusement, et lorsque tout se finit, elle fut presque déçue et laissa maladroitement échapper un bien léger gémissement à la séparation de leurs lèvres, priant que celui-ci passerait pour une quelconque expiration maladroite, ce baiser ayant après tout duré assez longtemps.
Ceci fait, la femme déclara solennellement qu’elle n’attendait d’Asami que de l’obéissance, ce qui la rassura presque, car cela lui offrait au moins l’assurance qu’elle pouvait, si elle respectait sa parole, au moins, s’en sortir. S’attendant à d’autres paroles, même un ordre, la lycéenne fut finalement surprise de sentir la main de sa Maîtresse, l’autre étant déjà légèrement au dessus de sa poitrine, lentement glisser du bas de son dos, ce qui l’avait déjà faite légèrement tressaillir, jusqu’à ses fesses, allant même jusqu’à s’introduire sous sa jupe, pressant sa culotte contre sa peau dans un toucher qui la fit rougir presque autant de honte que d’un certain plaisir. Quant à la langue de la dame, elle put vite à nouveau sentir son agréable toucher, celle-ci lui léchant brièvement la joue, mobilisant, par réflexe, une main, qui vint se porter à l’endroit encore mouillé.
Presque comme une incarnation de ce que venait de ressentir Asami, qui était finalement fait d’une dose honteuse de plaisir, sa Maîtresse lui promit beaucoup de bonheur avec elle, au moins charnel, et exigeait en retour qu’elle ne se plaigne jamais. Ne sachant trop si elle devait répondre ou non, ni ce que tolérait réellement cette femme en terme d’autonomie, la lycéenne se laissa aller à lui fournir une réponse, cependant pas uniquement formulée avec des mots.
« Oui, je ne me plaindrai pas, Maîtresse... »
Sur ce, elle déplaça une de ses mains de sa joue vers celle de sa Maîtresse, l’autre, restée collée au mur depuis le début, ne sachant quoi faire, alla se placer sur sa hanche, et les lèvres nécrées d’Asami vinrent cueillir un baiser sur celles de sa Maîtresse, la lycéenne osant même caresser les lèvres de la jeune femme de sa langue, comme une invitation à une nouvelle valse.
Asami eut au départ presque peur que son baiser ne fut rejeté ou même puni, et elle avait embrassée la jeune femme avec hésitation, n’osant d’ailleurs que l’inviter à mêler leurs langues. Mais finalement, la vampire reçut cela avec plaisir, accordant ce cadeau avec plaisir : Elle répondit d’abord faiblement aux caresses du muscle rose de la lycéenne, faisant à peine de même, mais vite elle lui ouvrit sa bouche, permettant à celle-ci de s’engouffrer timidement dans sa bouche, inversant les rôles pris lors de leur précédent et à vrai dire premier baiser. Asami ne brusquait aucunement sa Maîtresse, ou plutôt ne se brusquait pas elle-même, étant de toute évidence la moins à l’aise, et sa langue se mouvait lentement dans la bouche de la jeune femme, allant doucement chercher la sienne pour les faire tendrement se caresser.
Durant tout cela, la jeune fille avait gardé les yeux fermés et légèrement penché la tête, profitant de l’instant qui s’avérait en fait plus qu’agréable : La vampire continuait de jouer avec elle - sans doute en manipulant et se divertissant d’abord de ses désirs et envies, mais cela, elle ne le ressentait pas - mais surtout lui caressant doucement les fesses, parfois les effleurant simplement de ses doigts fins, d’autres fois en tirant sa culotte puis la relâchant, avec à chaque fois le même effet, de légers gémissements étouffés par leur embrassade et des tressaillements accompagnés d’une rougeur toujours plus vive des joues de la lycéenne. En même temps, sans doute pour entretenir le climat surprenant de désir qui les liait, elle passait sa main dans ses cheveux, les faisant cycliquement retomber lentement sur ses épaules et semblant par la même d’autant plus s’occuper d’elle.
Ces instants où Asami était prise dans son désir pour sa Maîtresse semblèrent durer longtemps, bien entendu pour son plus grand plaisir, tant même qu’elle finit par ne plus se préoccuper de personnes pouvant arriver ou quoi que ce soit d’autre : La seule personne qui saurait la priver de ce délice serait la vampire. Lorsqu’elle le fit finalement, la jeune fille fut évidemment déçue, mais elle n’en dit mot, respectant sa promesse, et, plongeant ses yeux dans ceux de sa Maîtresse, elle attendit de savoir ce qui l’avait faite interrompre ce si beau moment. Elle la complimenta puis lui parlant, comme si celui-ci lui semblait délicieux, de son sang. Asami eut légèrement peur, tressaillant faiblement alors que les lèvres de la jeune femme descendaient divinement le long de son visage et de son cou. Elle savait qu’elle était une vampire, mais pas réellement ce que cela signifiait exactement , et, bien que sa dernière rencontre avec un être fantastique - Theorem - fut magnifique, elle angoissait légèrement. Voir son sang bu ne la transformerait pas en vampire, ne la tuerait pas ?
Durant ces interrogations, la vampire n’avait pas perdu de temps et libéré la poitrine de la lycéenne de quelques boutons tout en la graciant de baisers doux et agréables. Cependant, elle n’alla pas plus loin, comme si elle avait besoin de faire quelque chose avant, et remonta vivement, couronnant sa joue d’un dernier baiser avant de lui glisser des paroles à l’oreille.
« Tu as fait connaissance avec ma goule, alors je suppose que tu dois savoir ce que je suis. Tu rougis tellement fort que tu m’excites terriblement... Alors, je vais te délester un peu de ton généreux sang, ma chérie. Tu as le droit de caresser mon corps. »
Elle savait, mais maintenant mieux : Si elle pouvait lui ponctionner un peu de son sang aussi facilement, sans doute cela n’était-il pas mortel, bien que cela lui faisant un peu peur, en vérité tout autant qu’une piqure. Reprenant ses embrassades le long de sa peau, elle atteint finalement sa nuque, Asami n’ayant osé bougé depuis son annonce, et y planta « délicatement » - Autant que l’on pouvait l’être avec une paire de crocs - ses canines avant de sucer le liquide d’un rouge profond qui en sortait. La perforation fut douloureuse, et la lycéenne laissa échapper un léger cri de douleur, mais, sans doute était-ce l’action de sa salive ou de ses lèvres, comme pour la piqure de certains insectes, la douleur se résorba vite, laissant place à un doux sentiment, presque agréable, d’une aspiration tout le long de son cou, d’autant qu’après tout, c’était un baiser unique en son genre que lui donnait sa Maîtresse. Se laissant quelques instants absorber par cette sensation, Asami reprit vite ses esprits, ou plutôt se souvint de l’autorisation généreuse de la vampire. Ses mains s’étant tétanisées le long de son corps, légèrement dans les airs, à cause de sa peur et de la légère douleur de la morsure, la lycéenne en reprit vite le contrôle. Elle décida premièrement de placer une de ses mains sur une hanche de la jeune femme, la faisant doucement glisser vers sa jupe, effleurant sa peau à chaque instant, quant à l’autre, elle prit la liberté, inspirée par l’exemple de sa Maîtresse, de la placer sur ses fesses. La lycéenne eut vite les deux mains sous la jupe de la vampire, celle ayant agréablement remonté sa jambe élancée la contourna pour elle aussi se retrouver sur son postérieur, et, des deux mains, elle le massa.
Elle effleurait d’abord simplement sa peau, peu couverte par sa culotte, ce qui était de toute évidence une volonté de la jeune femme que d’ainsi se dévoiler, mais vite elle arrivant aux bords de celle-ci, et infiltra ses doigts fins en dessous. Saisissant par intermittence chaque fesse à pleine main, interrompant des caresses circulaires, Asami profitait des formes généreuses de sa Maîtresse, et, son action une nouvelle fois dictée par son expérience avec celle-ci, elle entreprit parfois de soulever la culotte, ne laissant qu’un doigt sous celle-ci puis levant simplement la main, attirant à elle la pièce de lingerie et par la même exerçant une pression sur les fesses de la vampire. La tête de la lycéenne ne pouvait cependant rien faire, à son plus grand regret, un quelconque mouvement gênant sans doute la jeune femme qui lui suçait le sang, aussi celle-ci semblait simplement dédiée à profiter de cet instant : Penchée en arrière, ses cheveux coulaient dans son dos, son beau visage exprimait tout le plaisir qu’elle ressentait, ses yeux fermés, se concentrant pleinement sur les sensations qui la harcelaient, et sa bouche mi-ouverte laissant de faibles gémissements de plaisir s’échapper de ses lèvres nacrées.
Asami se laissait aller à la routine que la vampire laissait s’installer, qui devait satisfaire les deux femmes, l’une léchant affectueusement le membre de l’autre tout en se masturbant. Mais cela du vite lasser l’« hermaphrodite » puisqu’elle relâcha la tête de la lycéenne alors qu’elle en extrayait son sexe encore couvert salive. Elle lui intima dans le même mouvement de se relever, lui faisant abandonner sa masturbation, et, une fois à sa hauteur, fit mine de l’embrasser, mais les gouttes de sperme qui coulaient de ses lèvres la firent s’arrêter lui donnèrent une bien meilleure idée, celle de les lécher avant de les partager avec sa servante. Via un baiser langoureux, la langue couverte de semence put étaler le liquide sur l’autre alors qu’elles s’entremêlaient, le lui faisant à nouveau goûter dans un délice accentué par la façon dont la Maîtresse nourrissait son esclave.
Ce baiser fut bref, et les mains avaient à peine eut le temps de venir caresser les joues d’Asami que leurs langues se séparaient, permettant par ailleurs à la jeune fille d’avaler sa part de la semence. Ne pouvant que tomber d’accord avec la vampire, elle répondit simplement à sa question :
« Oui, c’est très bon... »
Cette remarque lui fit réaliser tout le plaisir que lui avait apporté sa Maîtresse, et peut-être pour la première fois depuis sa rencontre, elle lui sourit, agrémentant son visage d’une joie qu’elle n’avait pas encore pu exposer et qui la sublimait bien plus que toute autre chose. Dans ce que la lycéenne interprétait comme un geste d’affection, la jeune femme frotta, pleine de tendresse, leurs deux nez, ce qui rassurait Asami en plus de la lui faire prendre en affection, bien que cet effet soit sans doute assez pervers et calculé par la vampire. D’ailleurs, au même moment, son sexe, déjà encore, ou plutôt toujours en érection, car même quelques instants après avoir joui, il était encore dure dans la bouche de la lycéenne, effleurait délicatement la culotte de la jeune fille, sa Maîtresse ayant sans doute remarqué l’intérêt qu’elle y réclamait.
Inversant alors les rôles, la vampire s’abaissa, sa tête arrivant, comme si la taille des deux femmes était parfaite pour leurs unions charnels, pile au niveau de son sexe qu’elle entreprit vite de lécher à travers le sous-vêtement déjà largement mouillé. Pour mieux apprécier tout cela, Asami appuya son dos sur le mur, y collant par ailleurs ses mains, dont l’une était d’ailleurs encore légèrement humide pour la même raison que sa culotte, et ferma les yeux pour apprécier les divines caresses de sa Maîtresse. Après quelques instants ainsi dûment savourés dans un silence à peine rompu par quelques très faibles gémissements de la jeune fille, la vampire décida de découvrir le sexe de son esclave. Cela la fit légèrement rougir, mais la vampire semblait ne pas être affectée le moins du monde, l’habitude l’ayant sans doute lassée, et elle commença aussitôt à s’en approcher, n’interrompant jamais ses délicieux coups de langues qui arrachaient maintenant clairement à la lycéenne des gémissements de plaisir qu’elle tentait en vain d’étouffer. Même amusée par l’excitation de celle-ci, elle se permit de lâcher une remarque quant à cela, mais elle ravissait en fait la jeune fille puisque lui promettant de mettre fin à cette attente.
Se relavant à son niveau, la vampire ne lui accorda cependant aucun baiser, tout au plus un regard, et plaça une main sur sa nuque, clairement un appui puisqu’en réalité quasiment pas appréciable, alors que l’autre caressait lentement son sexe. Tout cela, en plus de l’affirmation de sa Maîtresse, qui justement lui refusait pour l’instant toute explication, les repoussant à plus tard, semblait confirmer l’imminence de l’acte. Elle initia alors un mouvement dans son bassin qui fit adroitement se coller son membre au sexe d’Asami, résolument prêt à le pénétrer, la légère pression suffisant d’ailleurs à faire gémir la jeune fille, le sexe de sa Maîtresse épousant parfaitement le sien. Mais cela n’alla pas plus loin, étrangement, frustrant absolument la servante qui, faisant déjà ruisseler de la cyprine sur le sexe de sa Maîtresse, pouvait sentir le moindre des soubresauts de son membre qui semblait se répercuter dans tout son corps, lui arrachant de petits gémissements.
Cherchant l’explication sur le visage de la vampire, Asami la trouva vite, enfin, sous la forme d’une interrogation mêlée de surprise : Peut-être ne voulait-elle pas la déflorer ainsi, l’occasion étant peut-être légèrement précaire et peu adaptée à ce moment qu’on voulait souvent délicieux. La jeune fille ne put que répondre.
« Non...Il ne m’a pas pénétrée là...Mais...Mes fesses sont à vous si vous voulez, Maîtresse... »
La mention de Theorem l’avait ramenée à tout ce qu’il lui avait fait, dont s’occuper presque à outrance de ses fesses qui semblaient d’ailleurs grandement intéresser la vampire, aussi Asami eut-elle l’idée de proposer cette idée de manière un peu maladroite mais en aucun cas dénuée d’envie et, car il était vrai que le lieu et l’ambiance n’étaient peut-être pas idéaux, lui évitait de perdre sa virginité, au moins tant qu’elle serait ici.
Asami était stressée par sa question, dont la réponse lui importait assez, ne voulant surtout pas perdre sa virginité ici. Bien qu’elle tenta un moment de se convaincre que c’était la preuve de sa réticence à faire des choses plus osées avec la vampire...Elle ne put même pas y croire ne serait-ce que quelques instants : Elle ne refusait pas grand chose, tout au plus ne faisait qu’offrir d’elle même et de plus belle qu’un peu moins, et encore, ce ne serait de toutes façons qu’une question de temps...Comme réponse, la lycéenne n’eut que la douce bien que regrettable sensation du membre de sa Maîtresse quittant les lèvres de son sexe, alors que celle-ci allait pour l’embrasser, ce à quoi la jeune fille n’eut comme réaction que d’avidement présenter ses lèvres, réalisant définitivement sa soumission, ou plutôt l’addiction dont elle était victime.
Mais ça ne dura pas longtemps, et bien vite, la vampire retourna à ses affaires, défaisant le restant des boutons de sa chemise, dévoilant son ventre et sa poitrine alors qu’elle rougissait, et finalement la faisant tomber de ses épaules, ne manquant pas d’au passage caresser la douce peau d’Asami. Elle était maintenant quasi intégralement nue, et, ce qui passait pour étrange, alors qu’elle ne portait plus depuis quelques temps sa culotte, tout le bas de son corps exposé avec la seule exception de ses jambes dont la finesse et la longueur étaient soulignées par ses collants, son soutien-gorge était encore en place. Ceci fait, la jeune femme ne profita même pas de tout ce terrain de jeu mis à nu, ce qui décevait presque Asami, et lui demanda directement de se retourner pour répondre à son offre et assouvir ses désirs. Sa voix était à ce moment autoritaire, témoignant peut-être d’une certaine envie de profiter de la lycéenne ainsi que, s’étant après tout montrée assez intentionnée, l’intention de la rassurer, mais elle restait douce, tant par son intonation que ses promesses exquises. Elle s’exécuta alors, sachant très bien ce que sa Maîtresse attendait d’elle, elle se cambra en avant, accompagnée des mains de celle-ci qui se posaient délicatement sur son corps, un contact très appréciable, et posa presque une de ses joues contre le mur, ne pouvant cependant regarder la vampire directement, elle en devinait du coin du regard les mouvements.
Elle sentit vite les mains de la vampire à nouveau se poser sur elle, cette fois dans le but résolu d’enfin profiter de son corps. Elle devait avoir vu juste en lui proposant de profiter de ses fesses, car elle ne s’attarda que sur cette partie de son corps, les massant longuement, ne faisant que cela : Elle devait y prendre un sacré plaisir, et Asami faisait de même, adorant le doux contact de ses mains ainsi que la façon dont elle était ainsi désirée, d’autant que, sans doute par habitude ou passion, ce toucher était orchestré d’une manière douce et sensuelle, caressant chaque parcelle de son fessier...Durant ces longues minutes, son excitation monta en flèche, la préparant à ce qui allait lui arriver alors que de la cyprine coulait lentement le long de ses jambes écartées et qu’elle gémissait parfois d’un long souffle. Finalement, la Maîtresse daigna poser ses lèvres sur son esclaves, dans son cou plus précisément, ce qu’elle apprécia sans retenue, fermant les yeux et se plaquant contre le mur, laissant échapper un soupir de plaisir, ouvrant ses lèvres sous cette sensation, prête à se plaindre de ne pouvoir les coller à celles de la vampire...
Enfin, ses mains laissèrent ses fesses en paix de même que ses lèvres la quittèrent. Ces deux actions étaient très regrettables, mais au moins elles annonçaient l’assouvissement prochain de son désir formulé tout à l’heure. Elle sentit vite son membre l’effleurer, la caresser, sans aucune véritable intention de la pénétrer : Sans doute était-ce un jeu de sa Maîtresse dont elle devait tirer un malin plaisir, malheureusement pour elle. Excitée comme jamais, son corps entier réclamait l’organe qui caressait ses fesses, et, aussi agréable que cela-soit, elle finit vite par supplier la vampire de mettre fin à cette attente, d’une voix étouffée par le plaisir et la soumission, mais emplie de désir et de douceur.
« S’il vous plaît...Je vous veux en moi... »
Cette déclaration l’emplissait de honte et ne faisait que confirmer sa déchéance, mais au fond elle s’y offrait bien volontiers. Peut-être grâce à cela, bien que penser qu’Asami avait une réelle influence sur celle dont elle n’était maintenant que l’esclave était osé, la jeune femme décida finalement d’aligner son membre avec l’orifice de la lycéenne. Il ne resta pas ainsi, simplement posé, très longtemps, et assez vite, la jeune fille put sentir une légère pression, bien qu’elle n’avait que peu d’effet, et, assez logiquement, celle-ci s’amplifia vite, le trou ne réagissant quasiment pas, s’ouvrant à peine et en aucun cas assez pour que ça ait une quelconque utilité.
Visiblement impatiente, soupirant longuement et lâchant des petits bruits d’agacement, la vampire posa une main sur les fesses d’Asami, s’y fixant, mais, cela ne suffisant toujours pas, elle posa aussi une main sur un des seins de la jeune fille, une pression qu’elle sentit quelques instants avant que son soutien-gorge ne soit littéralement arraché, tombant au sol. Se servant finalement de sa poitrine désormais libre comme appui, elle parvint enfin à élargir l’anus de la vierge, lui faisant pousser de forts gémissements alors que ses yeux restaient fermés sous l’afflux de sensations.
Lorsque l’orifice fut assez élargi, le membre eut assez vite raison de sa résistance et s’enfonça rapidement en Asami, lui arrachant un gémissement si fort qu’il lui fit même craindre qu’elles ne soient découvertes par quelqu’un alors que l’à-coup avait fait balancer sa poitrine. La vampire n’avait pas tout de suite commencé ses va-et-vient, laissant son pénis enfoncé dans la jeune fille alors que le choc de la pénétration retentissait encore dans son corps. Elle sentait une douleur, mais celle-ci se laissait effacer par le plaisir et la chaleur qui l’envahissaient, d’autant qu’elle avait tant désiré cela qu’il était maintenant dure d’en souffrir, et son anus, se contractaient parfois, stimulait le membre de sa Maîtresse sans même un mouvement, de même que son sexe, qui lui expulsait désormais un flot ininterrompu de cyprine dont quelques gouttes commençaient à tomber par terre selon les mouvements de la vampire et les coups de bassin qu’elle infligeait à son esclave.
La bouche ouverte de plaisir, raisonnant encore de quelques gémissements, ses lèvres couvertes de salive puisqu’elle passait parfois sa langue dessus et se les mordait sous toutes ces sensations, Asami appréciait ce moment, où elle sentait sans même un mouvement de rein de sa Maîtresse toute la domination qu’elle exerçait sur elle et sa puissance, sa plus grande représentation d’ailleurs fichée au plus profond d’elle. Tout cela ne fut pas interrompu par l’instauration de doux va-et-vient par la vampire mais par une vive claque sur ses fesses qui lui permit de s’accaparer toute l’attention de la jeune fille qui entendit clairement sa question malgré tout ce qu’elle pouvait ressentir. Ne pouvant qu’être d’accord, et excitée dans une certaine mesure par le « Ma chérie », ne sachant cependant pas si c’était le nom dont elle était gracieusement qualifiée ou simplement la possession qui lui causait cet effet, elle répondit, sentant une légère brûlure sur sa fesse qui rougissait sous l'effet de cette fessée...
« Oui...Maîtresse...Mais commencez à remuer, je n’en peux plus... »
Asami attendait avec une impatience indescriptible que sa Maîtresse la gracie enfin de mouvements, lui permettant enfin de réellement apprécier ce qu’elle lui faisait au lieu de s’exciter sur la simple présence de son membre en elle. Non pas que cela était désagréable, à vrai dire légèrement douloureux, bien que, installé ainsi depuis quelques instants, cela s’estompait, mais sentir la chaleur de la vampire, sa puissance et toute sa passion au plus profond d’elle valait bien tout cela, et la lycéenne ne pouvait, à défaut de se plaindre, qu’apprécier tout cela, son corps la trahissant au premier regard. Elle gémissait parfois, son simple désir couplé aux fins mais ô combien appréciables soubresauts du membre en elle le lui ordonnant, son anus se contractant de même autour de celui-ci et quelques gouttes de la cyprine qui ruisselait le long de ses jambes giclant parfois au sol sous ses propres tressaillements. Elle n’attendait vraiment qu’une chose malgré tout cela : Que la vampire se mette à bouger en elle, à profiter autant qu’elle voulait de son anus, car malgré qu’elle n’avait jamais été pénétrée ainsi qu’une fois, Asami avait bien compris à quel point cela était agréable, et, encore peu encline à l’admettre, la simple soumission que cela représentait envers sa Maîtresse était en elle-même stimulante.
Enfin, faisant irrésistiblement sourire la jeune fille, son vœu se réalisa et elle put sentir le pénis doucement et encore un peu difficilement glisser en elle. Cependant, même si les mouvements étaient un peu douloureux, le plus difficile était fait, et les sensations qu’elle en tirait en valaient bien la peine, se bonifiant d’ailleurs avec le temps, la gêne s’estompant petit à petit, rendant décidément cette expérience délicieuse. En vérité, la vampire n’était pas tout à fait tendre, saisissant avec forces les fesses d’Asami et s’acharnant toujours plus fort en elle, mais ce n’était pas pour lui déplaire, car ces pénétrations n’étaient quasiment plus douloureuses et la force et la puissance qu’imprimait en elles la Maîtresse était aussi agréable que les « caresses » de son membre.
Les mouvements de la jeune femme se faisaient de plus en plus profond dans sa servante, exprimant sa domination sur elle comme jamais, l’utilisant plus qu’autre chose : Elle gémissait fortement, son corps tout entier se balançant au grés des pénétrations, sa poitrine y faisant magnifiquement écho, et son sexe réclamait de l’attention, expulsant à chaque à-coup quelques gouttes de cyprine qui commençaient à visiblement mouiller le sol sous la jeune fille, ce qu’elle ne remarqua même pas, gardant les yeux fermés sous pour mieux apprécier tout cela. L’intensité des coups de rein de sa Maîtresse se faisant de plus en plus fort, en même temps que plus profond, ce qui n’était pas pour lui déplaire, Asami s’approchait lentement du mur, ses jambes ne semblant qu’à peine avoir la force de rester debout, elles ne compensaient quasiment pas les mouvements en avant que lui imposait sa partenaire chaque fois qu’elle tapait fermement contre ses fesses, son membre entrant désormais presque entièrement dans la jeune fille.
Après quelques instants ainsi, la lycéenne fut surprise de sentir le corps tout entier de sa Maîtresse la plaquer contre le mur, au lieu de simplement son pénis. Sa joue comme ses seins s’écrasaient contre la paroi, et elle n’ouvrait les yeux qu’à moitié pour avoir une vague idée de ce qu’elle manigançait. Elle surprit le visage de la vampire à seulement quelques centimètres du sien, mais il ne venait pas pour l’embrasser ni même la gratifier d’une quelconque affection, du moins pas selon des critères normaux. Non, elle lui susurra, entre deux gémissements, qu’elle était folle de son cul qui, de mots d’experte, était particulièrement appréciable, et, ce qui la partagea entre l’apitoiement et le désir mêlé à la joie, qu’elle était sa « pute ». Asami ne sut quoi dire, acquiesçant de son silence, ou plutôt des quelques gémissements qui s’échappèrent de ses lèvres aussitôt les pénétrations reprises, à un rythme effréné il fallait dire. Ses jambes toujours pas décidées à faire autre chose que la tenir debout, elle restait ainsi plaquée contre le mur, ce qui en réalité ne changeait pas grand chose pour elle, toujours dans un état d’appréciation mêlé à la soumission, celle-ci peut-être renforcée à la rigueur.
Le rythme renforcé déliait cependant complètement la langue de la lycéenne, non pas en parole, non, mais bien en cris de plaisir, ceux-ci se mêlant d’ailleurs à ceux de l’autre jeune femme, quasiment à l’unisson puisque les deux voix répondaient aux pénétrations. Asami s’habituait au sentiment de chaleur qui l’envahissait, s’empourprant d’ailleurs progressivement avec ce sentiment, à la présence de sa Maîtresse en elle, à son rôle presque d’objet, bien qu’y prenant grand plaisir, dominée comme il se devait pour l’esclave qu’elle était, fonction qui en devenait presque enviable. Elle sentait cependant avec le temps ses jambes défaillir, la portant à peine, ses genoux devenant quelque peu douloureux, et ne tenant que par la volonté de la lycéenne à satisfaire sa maîtresse, et elle, par la même occasion, ces deux notions étant étroitement mêlées, comme leurs corps actuellement. Pour ne rien arranger, les pénétrations étaient aussi forte que rapides, Asami sentant le membre au plus profond d’elle alors qu’il harcelait son cul, en stimulant les parois à un rythme effréné et glissant en lui avec une étonnante facilité, sans doute était-il désormais élargi par les minutes de sodomie qu’elle avait déjà subies sans interruption.
Ne prenant même pas la peine de s’arrêter, ce qu’aucune des deux femmes ne voulait de toute façon, la Maîtresse s’adressa à nouveau à elle, bien que cette fois, toujours au milieu de l’action, la lycéenne ne put écouter que d’une oreille distraite par les sensations qui affluaient en elle. Cela était d’autant plus difficile que même la vampire ne pouvait contenir ses gémissements qui entrecoupaient du coup chacune de ses phrases.
« Hum-hum-huuuuuuuuuuummmm... Tu aimes, ça, hein ?! Ohhhh, dis-le ! Dis-le, comme c’est bon ! Je veux que tu me le dises !! »
Prenant quelques instants de réflexion, ou plutôt de concentration pour arriver à parler distinctement, Asami arriva finalement à parler, ses paroles cependant délicieusement interrompues par des gémissements incontrôlables.
« Oui...J’adore ça ! Ah ! Continuez Maîtresse, s’il vous plaît ne - Aaaah ! - vous arrêtez pas ! Défoncez mon cul, Ah, c’est tellement bon ! Aah ! »
Asami était plaquée contre le mur, sa poitrine se déformant parfois lorsque sa Maîtresse la pénétrait particulièrement fortement, et elle gémissait fortement à chacune d’elle, ce qu’elle ressentait étant incroyablement fort. Elle sentait une certaine douleur, bien qu’elle s’était légèrement estompée avec le temps, et chaque va-et-vient semblait raviver le peu qui en persistait, mais la jeune fille n’en était pas pour autant insatisfaite, et elle n’aurait même presque pas voulu se débarrasser de cette douleur, qui était l’incarnation de la domination de la vampire, un symbole des sacrifices qu’elle devait faire pour elle, et, d’une certaine façon, la lycéenne se mettait presque à l’apprécier, à la savourer. Bien entendu, même sans compter cette accoutumance « malsaine », la jeune fille y trouvait bien son compte, la sodomie lui procurant bien assez de plaisir pour contrebalancer cette menue douleur, et son corps le reflétait bien, lui arrachant des cris, tâchant le sol de son excitation, et son anus comme son sexe se contractant au grés des pénétrations.
Cette « routine » - Car celle-ci était installée depuis déjà quelques minutes - fut brisée par un sentiment de brûlure sur ses hanches, pas bien douloureux, mais assez remarquable pour qu’Asami y accorde son attention malgré son occupation actuelle, soit profiter de ce dont sa Maîtresse la graciait. Ces faibles douleurs coïncidaient très exactement avec les doigts de celle-ci, et il ne fallait pas beaucoup d’imagination pour deviner qu’elle la griffait, cependant la raison était laissée à celle de la lycéenne. Était-ce simplement une sorte de crispation, le plaisir qu’elle ressentait étant sans doute au moins aussi délectable que celui que prenait sa servante ? Ou peut-être voulait-elle la réveiller, lui rappeler le rôle d’esclave qu’était le sien, et, le choix lui étant libre, c’est ce que choisit de croire Asami, car c’était en fait bien la version qu’elle trouvait la plus intéressante, elle se voyait bien comme son esclave, simplement son jouet, bien consentante, et elle prit réellement conscience de sa soumission, ou plutôt le plaisir qu’elle y prenait, et cette simple réalisation décupla tout ce qu’elle ressentait, lui faisant apprécier les ongles lacérant faiblement sa peau, la pression sur celle-ci, les pénétrations légèrement douloureuses, et bien entendu la force que lui implorait la vampire, la plaquant contre le mur.
Son plaisir montant en flèche, le temps lui aussi aidant, la lycéenne commençait à en montrer les signes, ses mains, placées au dessus de sa tête, ses bras la surmontant, posés contre le mur, se crispant alors que ses lèvres faisaient le contraire, se séparant toujours plus pour pousser des cris plus forts et ô combien délicieux tant ils exprimaient son plaisir. Son corps lui, ne pouvant faire plus, ne faisait qu’accentuer les signes de son excitation, ce que devait d’ailleurs savourer sa Maîtresse. Peut-être pour la même raison, la vampire ne cessait d’être plus violente, de mettre toujours plus d’énergie dans ses coups de reins, allant jusqu’à se plaquer contre Asami, la coinçant d’autant plus contre le mur et, intentionnellement ou non, la dominant exquisément pour son plus grand bonheur, leurs corps communiant presque, son souffle chaud et rapide caressant son cou. Celle-ci finit d’ailleurs par sortir des griffes - Ce qui n’étonna qu’à peine la jeune fille, étant donné ce qu’elle était en train de vivre, tant en étrangeté qu’en plaisir : au fond elle s’en moquait presque - qui se plantèrent alors immédiatement dans sa peau, lacérant les hanches de la jeune fille qui en gémit d’autant plus, la sensation de brûlure persistant bien plus cette fois, celle de plaisir l’imitant alors qu’une longue et délicieuse vague de tressaillement traversait son corps à chaque griffure.
Cette scène délicieuse dura de longues minutes, qu’Asami aurait souhaité pouvoir prolonger voire rendre éternelles, tant elle en savourait chaque seconde, chaque instant, mais sa Maîtresse décida d’en changer, et il était après tout peut-être temps, ses jambes commençant à faillir, même si pour rien au monde elle n’aurait laissé cette simple gêne la priver de tout cela. La main de la vampire vint entourer son cou, un signal qui la rappela immédiatement à l’obéissance qu’elle lui devait, et elle suivit docilement les mouvements du bras qui la saisissait, la jeune femme n’ayant au plus qu’à la guider pour la mouvoir. Haletante, et la lycéenne l’aurait sûrement été si elle avait voulu parler, mais elle ne souhaitait que profiter, d’autant que sa position de servante ne s’y prêtait pas réellement, l’hermaphrodite temporaire la jeta presque au sol, n’ayant qu’à légèrement incliner sa tête vers celui-ci pour que la jeune fille s’y précipite.
Ses genoux heurtèrent lourdement le sol, de même que ses avant-bras quelques instants après, mais le membre qui l’avait quittée ne suivit pas instantanément. Asami était ainsi, cambrée, son cul relevé, bien présenté à sa Maîtresse, son anus dilaté par les longues minutes de pénétration, palpitant sous le regard de celle qui l’avait élargi, alors que son sexe, un peu en dessous, faisait de même, de la cyprine coulant le long de ses fines jambes et perlant parfois avant de tomber en gouttes sur le sol. La posture de la lycéenne, maintenant plus acculée sur un mur, la plaçait bien plus dans la lumière : Sa peau renvoyait légèrement les traits du soleil, la sueur y perlant par endroit, et on pouvait voir les marques rouges des griffures de la vampire, bien que son sang, lui, ne coulait pas, bien qu’elle priait pour, car peut-être cela aurait pu lui attirer les faveurs de la langue avide de sang...Globalement, Asami était ainsi complètement soumise, ses fesses marquées de la sodomie présentées royalement à sa Maîtresse alors que son corps transpirait le désir et le plaisir, en plus de porter des marques de fatigue, suant, haletant, et bien entendu celles des doigts de la vampire qui avait ainsi marquée sa servante pour quelques jours, alors que l’empreinte des crocs de Theorem, encore relativement fraiche, était bien visible.
Mais ce calme tout relatif ne pouvait durer, surtout pas alors que la Maîtresse était excitée par de longue minutes de pénétration, et son membre retourna bien vite dans le cul de son esclave, lui arrachant un cri de plaisir qui rompit le bref silence qui avait régné jusqu’ici, et il ne reviendrait pas avant un moment, car Asami gémissait maintenant à chaque pénétration, soit très souvent. La tête de la lycéenne touchait presque le sol, ses cheveux ondulant au gré des coups de reins de la vampire, quelques mèches alourdies par la sueur qui y perlait. La jeune fille ne parlait pas, ses cris de plaisir signifiant bien plus que tout ce qu’elle pouvait dire, mais la déclaration de sa Maîtresse ne pouvait la laisser insensible et était sans doute un appel à son propre ressenti, aussi parvint elle à réprimer quelques gémissements pour lâcher :
« Moi aussi - ha~ - Maîtresse j’adore ça, ha~, continuez à m’utilis-HA~, je veux être votre jouet, ha~, profitez de moi comme, ha~n, vous voulez ! ha~ ! »
Asami adorait décidément sentir sa Maîtresse en elle, sa domination se faisant plus forte alors que la douleur s’amenuisait avec la durée croissante de cette sodomie. Sa position semblait faite pour qu’on profite d’elle, qu’on la prenne, car elle ne pouvait rien y faire, sa poitrine touchant le sol alors que son cul était aussi haut qu’elle pouvait le porter, ses mains servant au plus à ce qu’elle ne se fasse pas trop mal, sa tête reposant dessus. Quant à elle, plus que cela, elle était la représentation même du plaisir, son visage l’incarnant, rouge de plaisir et d’endurance, ses yeux à demi fermés sous le même coup, sa bouche entre-ouverte et sa langue en sortant légèrement alors que s’en extrayaient à chaque instant des gémissements qu’elle ne pouvait contenir. Ses jambes commençaient à peiner à la porter, faillant un peu plus à chaque minute de sodomie, alors que ruisselait sur elles la cyprine sortant de son sexe et qu’une flaque du liquide transparent, témoin de son excitation, se formait entre ses bas, seuls vêtements que la jeune fille portait encore, des gouttes y tombant sous les à-coups que subissait le corps.
Peut-être à cause de tout cela, ou simplement parce qu’elle en avait le caprice, l’acte durant depuis de longues minute, poussant à l’impatience, la vampire ne cessait d’accélérer la cadence, s’enfonçant avec toujours plus de force et de vitesse dans son esclave, et, parallèlement, giflait le cul qui lui était présenté autant que possible, remédiant peut-être au fait que la douleur de la sodomie s’estompait, pour le plus grand et paradoxal plaisir d’Asami. La lycéenne se délectait de toute la force qu’exprimait sur elle celle qui la pénétrait, adorant se complaire dans sa domination, dans sa soumission, et acceptant comme des présents chacun des actes les plus dépravés dont elle la gratifiait, ses gifles la faisant gémir non pas de douleur mais d’un plaisir coupable et honteux qu’elle ne pouvait cacher. Ces claques traversaient le corps de la jeune fille, rebondissant sur ses fesses puis le corps entier qui se cabrait sous cette impulsion, celle-ci n’osant s’opposer à sa Maîtresse et ne le souhaitant de toute façon pas : elle aimait sentir sa tête rebondir sur cet à-coup, ses cheveux ondulant faiblement sous la force de la vampire que celle-ci ne prenait même pas la peine de retenir, marquant son fessier de rougeurs qui laissaient à la lycéenne, même lorsque la main de sa pénétrante l’avait quittée, un souvenir pas si doux de son passage qu’elle pouvait savourer.
Au bout de longues minutes, la vampire se mit à haleter légèrement plus fortement, alors que les deux femmes subissaient le coup de la fatigue, le cul d’Asami s’étant abaissé au fil du temps, seulement maintenu en l’air par les coups de reins répétitifs de sa Maîtresse et ses mains qui lui rappelait qu’elle ne pouvait se laisser aller, et son visage se complaisait dans le plaisir, ses yeux fermés d’appréciation et ses lèvres mi-ouvertes d’où ne s’arrachaient que des gémissements de plaisir. Les pénétrations de la femme s’étaient mises à, au moins pour ces longues minutes, rythmer le corps entier de la jeune fille, celui-ci ondulant au grés des coups de reins, et la lycéenne ne vivait plus que par ceux-ci, ne sentant qu’eux, s’étant abandonnée aux sensations que sa Maîtresse lui donnait et reniant toutes les autres, son souffle haletant constituant sa seule musique. Et c’est ainsi qu’elle perçut d’une manière divine son cri de jouissance et son sperme giclant en elle, sa chaleur l’envahissant en quelques vagues successives, lui donnant un sentiment agréable de récompense qu’elle lui aurait accordé, mais pour autant, elle ne s’arrêta pas là. Les pénétrations reprirent, de plus belle même, et la semence se mit à sortir au fil des va-et-vient de l’orifice d’Asami, coulant le long de ses jambes et se mêlant à la flaque de sa propre excitation s’étalant sous elle. La Maîtresse se mit aussi à ne plus simplement laisser son membre glisser dans le cul de son esclave, mais le faisait complètement sortir à chaque fois, laissant l’orifice ouvert et exposé à sa vue pendant quelques instants, avant de brutalement retourner en elle, lui arrachant un cri de plaisir qui devait raisonner divinement à ses oreilles. La lycéenne, elle, se sentait comme réveillée par cela, ses yeux rouverts par la douleur ravivée des pénétrations lourdes et subites, et elle sentit, ce retour la satisfaisant presque, les réelles griffes de la vampire s’enfoncer dans ses fesses, cette fois y perçant complètement la peau et faisant perler son sang sur ses formes, les gouttes tremblant à chaque coup de la vampire, ceux-ci plus violents que jamais.
Entre le sentiment de domination de sa Maîtresse qui se faisait plus fort que jamais et ses pénétrations qui avaient redoublé de force, Asami approchait dangereusement se l’orgasme, et lorsque la vampire la rabaissa comme jamais et jouit pour une deuxième fois en elle, la souillant à nouveau de son sperme, elle fit de même. Ses jambes faillirent lâcher, tremblant légèrement malgré les ongles de la vampire plantées en elles, et elle se resserra autour du membre enfoncé au plus profond d’elle, alors que son sexe expulsa en quelques petites giclées un liquide translucide sur le sol et que ses lèvres laissaient sortir un cri de jouissance. Se sentant presque délivrée, ce qui ne fut pas si faux une fois le pénis de sa Maîtresse hors d’elle, lui arrachant un long soupir et laissant son cul encore écarté expulser le surplus de semence de son ventre. La lycéenne était alors dans un état assez pitoyable, du sperme longeant ses jambes, son corps entier presque effondré sur le sol, rouge des claques et griffures de la vampire et recouvert de sueur après cet acte intense, son visage rendu l’incarnation même du plaisir, ses yeux à peine ouverts, la jeune fille préférant se concentrer sur les douces sensations que lui avait octroyé sa Maîtresse, et ses lèvres presque souriantes lâchant de longs souffles raisonnant encore de désir.
Ne cessant de vouloir profiter d’Asami, ce qui au fond ne la dérangeait pas tout à fait, la vampire posa son pied sur ses fesses, n’ayant besoin que d’une légère pression pour la faire tomber au sol, ses jambes s’effondrant et s’écartant à peine son ordre intimé, et, n’ayant pas fini de jouer avec elle, lui ordonna de se mettre en position pour qu’elle puisse récolter les quelques filets de sang perlant sur ses fesses, ne voulant sans doute pas gâcher le liquide rouge, sûrement précieux pour elle. La jeune fille heurta le sol assez lourdement, presque incapable de s’opposer à ce mouvement tant le bas de son corps était endolori et fatigué, et lorsqu’elle le fit, quelques gouttes de sperme giclèrent de son cul, rejoignant la flaque de divers liquides, fruit des excitations et orgasmes, dans laquelle baignait désormais Asami. Après quelques instants de repos que lui avait gracieusement accordé sa Maîtresse, elle joignit lentement ses jambes de manière à ce que ses fesses soient légèrement surélevées, présentées royalement à la vampire. Après tout cela, la lycéenne ne put s’empêcher d’ajouter, comme pour complimenter et remercier sa Maîtresse, du moins plus que ses gémissements de plaisir qui avaient déjà bien ce sens :
« Ha~... Merci Maîtresse... Faites de moi ce que vous voulez, c’est si agréable...Je suis ravie d’être votre esclave... »
Ces paroles dites, elle se détendit après ce moment intense, reposant les muscles de tout son corps, la douleur dans ses jambes d’évaporant, sa tête reposant sur ses bras croisés, les yeux fermés, soupirant lentement dans une sorte de calme d’extase.