Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Archangel le mercredi 10 juillet 2013, 06:23:47

Titre: La bonne auberge (suspendu)
Posté par: Archangel le mercredi 10 juillet 2013, 06:23:47
Errer d'une vie à l'autre, c'est un peu errer d'un lieu à l'autre, sans jamais se poser. C'est s'arrêter n'importe où pour simplement se restaurer, et encore plus dormir. C'est connaître tous ces endroits où l'on se posera, ne serait-ce que quelques instants. C'est n'être que de passage, et ne laisser aucune trace dans cet univers où je suis, presque malgré moi.
Pour le moment, l'Archange s'accorde une pause dans cette auberge. Pourquoi là et pas ailleurs ? Parce que le panneau extérieur indiquait simplement « La bonne auberge ». Parce qu'elle est en lisière d'un parc, et que le cadre est joli. Parce que, si la fatigue le gagne, il y aura une chambre pour l'accueillir. Parce que, là bas au bar, il y a un phénomène qu'il n'a encore jamais vu. L'association de doux yeux bleus... et d'une insolite chevelure turquoise. Un détail certes marquant, mais aussi faisant partie d'une élégante silhouette, menue presque chétive, avec cependant une poitrine qui se dessine parfaitement de profil sans en être ostentatoire. Le tout enveloppé dans une tenue très incongrue dans une auberge de campagne, comme si elle prenait un verre avant d'aller jouer quelque rôle au théâtre local Une femme jeune et élégante, bien jeune même par rapport à lui.
Mais que fait-elle seule là ? Depuis le temps qu'il l'observe, en savourant un délicieux magret aux morilles, accompagné d'un simple vin blanc digne des plus grandes cuvées, nul n'est venu vers elle. Quand le plaisir des papilles se conjugue au plaisir des yeux, tout cela dans un endroit où rien n'y prédisposait, on n'a guère envie de rompre le charme. La belle inconnue semble tout autant savourer son verre, dont, à distance, il ne saurait identifier le contenu.
Plus il l'observe sans qu'elle ne s'en doute, moins ses pensées sont ordonnées. Il a plus de questions que de réponses, il n'a d'ailleurs plus le sentiment d'avoir tous ses esprits. Ce n'est qu'une inconnue comme tant d'autres, dans une auberge comme tant d'autres elle aussi, mais la conjoncture du tout le projette dans ce qui lui apparaît soudain comme un lieu de perdition et de débauche, lieu où les âmes se perdent, lieu où les corps se débauchent.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le mercredi 10 juillet 2013, 14:03:40
La vie entre la Terre et Terra est parfois complexe, faut souvent voyager d’un côté ou de l’autre, parfois on se mélange d’endroit. Mais Arashi est bien habituée au voyage entre Terre et Terra, sa en est rendue une habitude. Mais à chaque changement de dimension, la jeune femme se sent plus affaiblie, elle recouvre vite ce qu’elle perd pendant le voyage, mais parfois sa en est déroutant.  La jeune femme arriva alors que la nuit allait bientôt tomber, elle avait bien un appartement, mais elle était toujours perdue pour le retrouver, pour cette nuit elle ira dans un auberge/hôtels pour ce reposer.

Arriver à destination de cet endroit le plus près, elle eut un sourire et s’approcha, la pancarte la fit sourire ‘’ La bonne auberge’’ qu’elle drôle de nom. Elle y entra, avant d’aller se reposer,  l’alcool devras pénétrer son corps, après un voyage entre les deux mondes, cela lui fait toujours du bien.

Arashi était habiller d’une petite robe blanche bien simple, aimant de temps en temps rester neutre dans ses habits, sur cette robe on pouvait remarquer les détails de sa personne, sa poitrine étant en valeurs dans celle-ci, ses courbes bien accentuée dans celle-ci. La jeune femme prenait un verre d’alcool sucrer, car elle détestait sentir le goût de l’alcool dans ses verres, elle écoutait les blagues de ses voisins de chaises à moitié sous qui racontait leurs exploits dans la vie pour impression la jeune femme, bien sûr la polymorphe trouvait la situation bien comique. Elle commençait à bien aimer sa forme qu’elle avait à ce moment, peut-être est-ce sa vrai apparence?

Les deux soulons durent partir, pas qu’ils voulaient, mais le barman, attention si vous devenez trop sous devant lui, il vous jette en dehors et/ou il vous emporte à votre chambre rapido presto. La jeune femme discuta avec le Barman un peu, mais il lui dit qu’il allait devoir allez en arrière une vingtaine de minute. La jeune polymorphe se retrouva donc seule dans ce bar aux chambres d’hôtel. Enfin seul, elle ne remarquait pas cette personne qui l’épiait, elle qui est naturellement  et malgré ses pouvoirs vampirique semblait pas remarquer cela, elle posa un pourboire sur le comptoir, elle commençait à être fatiguée, elle se leva de sa chaise, s’étira et partie dans sa chambre, facile à retenir, il s’agissait de la 001.

La jeune femme marcha jusqu’à celle-ci ferma la forme, ne la barra pas, enfin si, elle pensa l’avoir barré, mais non elle ne l’était pas. Elle regarda partout et enleva sa robe pour se retrouve en sous-vêtement, puis elle mit ses sous-vêtements à côté de son lit, dormir sans rien était toujours bon pour le sommeil.  La jeune femme s’endormit rapidement, sous l’odeur d’un lit fraichement laver du matin même.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le mercredi 10 juillet 2013, 23:05:15
Après un bon repas, une bonne nuit s'impose. Les deux ivrognes ont été éjectés avant qu'ils ne finissent de lui gâcher le dîner. Il se serait bien levé pour leur trancher la gorge, et se poser en sauveur devant la belle inconnue, mais lui aurait encore attiré des ennuis, alors qu'il n'aurait fait que débarrasser l'univers d'inutilités. Ces deux abrutis constituaient un obstacle entre lui et cette inconnue... seule.
Oui, seule, dans cet endroit désormais vide, à part peut-être le patron occupé il ne sait où. Sa note est payée, il ne s'inquiétera pas de  son absence, il ne cherchera pas à savoir s'il est dehors ou dans une chambre, il ne pourra imaginer que l'instinct du chasseur s'est réveillé en lui, que l'âme de son grand-père a fait rejaillir des images.
Il vérifie la dague au long de sa cuisse, le couloir jusqu'aux chambres est dans la pénombre, la seule chambre occupée doit être celle de l'inconnue, la 1 a-t-il entendu. Facile à trouver, il effleure la poignée, sait-on jamais... Aucun déclic, aucune résistance, ça s'ouvre, c'est trop beau, il doit y avoir un piège. Il pose la main sur sa dague, cette fois en défensive. La porte s'ouvre, pas le moindre bruit, les mécanismes modernes ont du bon. Pourvu que la lumière du couloir, aussi faible soit-elle, ne le trahisse pas.
L'oreille aux aguets, il perçoit une respiration ; elle semble dormir paisiblement. Il repousse doucement la porte, aucun signal ne doit sortir. Il avance à genoux, guidé par une légère lumière passant par les volets. Il retrouve son instinct, la proie est là. Dans un tel cas, son célèbre aïeul aurait été moins discret et se serait aussitôt jeté sur sa proie, finissant par lui trancher la gorge une fois l'affaire entendue. Mais lui, il a le temps. Il voit sa jolie robe blanche posée avec soin sur la chaise ; c'est vrai qu'elle était délicieusement silhouettée ainsi. Pas loin, ses sous-vêtements, hum de jolis tissus qu'il saisit doucement pour en humer ses senteurs. Hum, ce délicat mélange de parfum et de peau, le chasseur l'aime.
Il est désormais tout près du lit, sa respiration est toujours aussi paisible. Il se lève un peu, son visage se devine, paisible, dans la pénombre. Son sommeil semble toutefois agité, le drap s'est un peu écarté, elle a des seins magnifiques. Doucement, l'Archange fais glisser le drap davantage ; ce corps est trop parfait, il ne va pas laisser passer une chance unique. Il saisit sa dague, déjà lourdement chargée du sang des victimes de son aïeul. La lame sur le cou de sa main droite, tandis que sa main gauche enserre sa bouche pour l'empêcher de crier. L'Archange est prêt...
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le jeudi 11 juillet 2013, 03:00:30
La nuit, si beau moment pour dormir, étrange n'est-ce pas pour un vampire? Pour la jeune polymorphe ça ne l'est pas anormale, elle aime montrer son coté encore ''polymorphe'' sans coté vampirique. Malgré tout ses changements dans son corps, elle reste la même jeune femme: idiote, innocente, aucun sens du danger,etc etc... Et donc dans ce sommeil elle était encore en quelque sorte consciente, mais en même temps non.

La jeune femme frissonna, elle bougeait souvent dans son sommeil, il était toujours agité, surtout une odeur particulière frappant ses narines de pleins fouet, elle bougea un peau, la couverture glissa pour dévoila son corps nu, elle ne ressentait pas vraiment le sens des températures différentes, la jeune femme frissonna et l'odeur remplie sa narine, son réveil était assurer, cette odeur était une odeur qu'elle connaissait, qu'elle adorait... Le sang.

Elle sentit quelque chose sur son cou et une main sur sa bouche, elle ouvrit les yeux et aperçut un homme, elle l'avait vue dans le bar en bas. Son regard baissa et elle vit la lame ensanglanté de sang, son regard bleutés se leva vers l'homme, leurs regard se croisèrent, la teinte de ses yeux commença à se modifier, devenant vers la teinte d'un rouge profond et ses iris s'étirer, ses crocs apparurent dans sa bouche, le danger planait dans l'atmosphère.

Mais étrangement, sa faiblesse revint, la faiblesse qui arrive toujours quand elle traverse entre Terra et Terre. La jeune femme paniqua, son regard revint bleu tout comme ses crocs, à cause de ce qu'elle était une polymorphe, son apparence vampire fait partie un peu d'elle même et peut apparaître comme si c'était une simple forme, et malheureusement, sa force était toujours diminuer à celui d'un humain normal quand elle traversait les portails.

La jeune femme trembla et elle fixa l'homme encore, avec ses mains dégagés, elle vint poser ceux-ci sur chacun des bras de l'homme et tenta d'enlever son emprise, mais étrangement elle semblait calme malgré ses tremblement.
Titre: La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le jeudi 11 juillet 2013, 13:59:18
A l'avoir vue bouger un peu, j'avais eu peur qu'elle ne se réveille, mais ouf, sauvé, j'ai pu atteindre ma cible ; elle est à ma merci, quoique autant assurer ma prise et sauter sur le lit pour bloquer son corps. Même avec la lame sur sa gorge, elle pourrait être d'une agilité ou d'une fourberie que je n'aurais pas prévue.

« Silence ! Pas un mot ! Sinon ta gorge ne sera plus qu'un flot de sang... »

Autant lui mettre clairement les conditions en mains. Ses mains justement ! Au moment même où je lui intime cet ordre, elle a déployé ses bras avec uns vivacité inouïe, et a saisi mes bras, soudain tétanisés. Mais je ne ressens pas d'étau, plutôt comme la douce caresse de la soie combinée à d'étranges vibrations. Quelle est donc cette magie ? D'où sort-elle ? Je suis même sûr que ses yeux sont devenus rouges, même s'ils sont à nouveau bleus. Ce n'est pas une femme, qu'est ce que c'est ? Plus méfiant que jamais, je resserre ma dague, ôtant de sa bouche ma main toujours prisonnière. Elle ne relâche pas son étreinte, mais elle n'osera pas crier, car le froid de la lame sur son cou devrait l'en dissuader.
De ma main gauche désormais libre, j'écarte le drap qu'elle avait déjà fait un peu glisser au gré de ses mouvements. Et pourtant, là, aucun doute, c'est bel et bien une femme ! Avec des seins d'une forme parfaite, d'un galbe exquis, au point que ma main se pose sur l'un puis sur l'autre, dessinant le contour, frôlant les aréoles, pinçant chaque téton. Je ne m'étais pas trompé ; sous sa tenue classique se dissimulaient des trésors. Mais, là encore, pourquoi sa main accompagne-t-elle chacun de mes mouvements, sans desserrer son étreinte ? Mais sans m'empêcher non plus...

« Hum, je vois que la Nature t'a dotée pour mon plaisir ; alors ne me le refuse pas. Cette lame porte encore le sang de celles qui ont dit non, ne l'oublie pas. »

Finies les questions ou les hallucinations, ses yeux qui se métamorphosent, les crocs même que j'avais cru voir, un corps presque trop parfait. Ce corps, justement... Le drap vole à terre, je sais ce que je veux, il n'y a pas besoin de ça... à moins que je n'y découpe des morceaux pour l'attacher à ma merci ?
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le jeudi 11 juillet 2013, 14:35:57
Un homme dans sa chambre, pas n'importe qu'elle homme, un tueur? Un violeur? On peut dire que dans ce cas, c'était les deux, mais malheureusement pour l’agressée, ses pouvoirs vampiriques faisait défaut, du sang pourrait peut-être l'aider à les ressortir? Elle allait devoir essayer, car sinon la lame sous sa gorge reprendra un célèbre proverbe : Qui se couche avec la fenêtre ouverte se réveille avec la gorge qui rie, mais dans ce cas, ce seras pas la fenêtre, mais la porte.

« Silence ! Pas un mot ! Sinon ta gorge ne sera plus qu'un flot de sang... »

C'était trop tard, mes mains sur ses bras, essayant d'écarter ses bras, elle tremblait, la peur emprisonner dans son ventre. Il la fixe, la lame contre sa gorge, elle sentait l'acier contre sa peau, un coup et sa gorge riait, il enleva sa main, mais la jeune femme ne cria pas, elle savait que sa en valait pas la peine, car il la tuerait, il écarta le drap, dévoilant complétement son corps à nue, sa main vint caresser l'un de ses seins, puis l'autre, elle frissonna à ses contacts et eut l'idée du siècle, elle allait le laisser profiter d'elle, mais d'abord il devait laisser son couteau plus loin et au pire sur la table à coté, elle allait même être gentille et lui laisser l'attacher les mains, elle allait pouvoir s'en libérer une fois ses pouvoirs là, la seule chose qui était important est que sa tête soit libre et que dès que l'occasion se présente, elle le mordra pour boire de son sang et récupérer ses pouvoirs.

« Hum, je vois que la Nature t'a dotée pour mon plaisir ; alors ne me le refuse pas. Cette lame porte encore le sang de celles qui ont dit non, ne l'oublie pas. »

Le drap partie complétement, la jeune femme trembla et elle le regarda l'observer, il allait vraiment la violer, la scène était là, elle allait devoir jouer son théatre, chaque seconde était précieuse. La jeune femme ouvrit la bouche, ses crocs étaient la, mais minime, on pouvait tous croire que c'était des dents normal, ses yeux était bleu avec une légère teinte de rouge et la jeune femme parla à voir basse, une voix qui semblait inviter la luxure à se joindre :

-Tu n'aura pas besoin de ton couteau, je te refuse pas... Si tu as si peur que je m'échappe, attache moi et laisse le couteau, une fois attacher je ne pourrais pas fuir et je serait à ta merci pour tout les supplices que tu va vouloir me faire subir...

Accompagnant ses gestes à sa paroles, elle le lâcha, ses mains allant vers les barreaux du lit, l'endroit parfait pour attacher ses mains. Ses yeux le regardant, un léger sourire sur les lèvres, la luxure dans son regard, le jeux pouvait commmencer.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le vendredi 12 juillet 2013, 11:49:57
J'ai la maîtrise, j'ai le pouvoir, elle est à moi ! Son visage trahit à merveille sa soumission, elle sait qui est le plus fort, et je ne vais pas me priver d'en abuser. Mais je me demande si je lui laisserai la vie sauve au matin ; je ne connais pas les règles de ce monde, et je n'ai pas envie qu'elle me dénonce. On verra ça en temps et en heure, ça dépendra aussi d'elle. Pour le moment, autant savourer le temps présent.
Je saute sur le lit, l'enjambe avec souplesse, pour me retrouver à califourchon sur son corps nu étendu. La lame s'est à peine écartée de sa gorge ; je n'aurais pas voulu la saigner avant même d'en abuser. J'adore ce regard de biche apeurée, il me donne un sentiment de virilité inouï.

« Tu n'auras pas besoin de ton couteau, je te refuse pas... Si tu as si peur que je m'échappe, attache moi et laisse le couteau, une fois attacher je ne pourrais pas fuir et je serait à ta merci pour tout les supplices que tu va vouloir me faire subir... »

Une soumise ? Une esclave ? Elle étai là pour ça ? Je n'ose y croire... Pourtant, elle remonte ses bras nus vers le haut du lit, elle sait déjà ce qu'elle doit faire pour me plaire, et ses yeux en disent long, un regard lubrique qui me murmure « Possède-moi ! ». Otant la lame de sa gorge, je saisis le drap de l'autre main, et en découpe deux longues bandes desquelles j'enserre aussitôt ses poignets aux angles supérieurs du lit. Et je m'écarte, pour savourer le spectacle :

« Te voilà comme je le souhaite, livrée à toutes mes volontés. »

Et ce corps gracile ne demande qu'à subir mes outrages ; il y a là de quoi pincer, mordre, fouetter, marquer, posséder... La nuit est à moi !

« Maintenant, je vais poser ma dague, mais hors de ta portée. Si tu obéis à mes ordres, je ne m'en servirai pas. Si tu cries au secours, c'est ton cadavre qu'on découvrira après que je me sois enfui. Et, si tu sais te montrer à la hauteur, peut-être te laisserai-je la vie sauve. »

Je range la dague au fourreau, et je fais glisser mon pantalon de grosse toile. Mon sexe déjà gonflé se devine au travers du tissu qui reste. Il y a trop longtemps que je n'ai eu de femelle à saillir, et elle va me servir à rattraper le temps perdu !
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le vendredi 12 juillet 2013, 15:24:54
Elle regardait cette homme qui semblait surpris de sa réponse, elle savait exactement quoi dire pour le déstabiliser, il enleva la lame de sa gorge, parfait petit oiseau, tu sais exactement quoi faire pour te conformer au plan de la vampire. Peut-être pensait-il qu'elle était une esclave sexuelle? Si oui, totalement faux, elle sait jusque son corps attire beaucoup alors faut bien en profiter. Il semblait bien aimer l'idée de l'attacher, il découpa les couvertures pour en faire des lanières et attacha ses mains plus haut du lit, il s'écarta pour l'observer et la jeune femme fit exprès pour mettre son corps en valeur dans la position qu'il regardait.


« Te voilà comme je le souhaite, livrée à toutes mes volontés. Maintenant, je vais poser ma dague, mais hors de ta portée. Si tu obéis à mes ordres, je ne m'en servirai pas. Si tu cries au secours, c'est ton cadavre qu'on découvrira après que je me sois enfui. Et, si tu sais te montrer à la hauteur, peut-être te laisserai-je la vie sauve. »

La jeune femme prit un air apeurée et trembla, elle viens d'avoir une autre idée, son plan marchait si bien que cela n'était que gratifiant pour la vampire, mais voila que cette idée était formidable, elle le regarda enlever son pantalon, son sexe se faisait voir à travers de son caleçon, il avait été gâté, le violeur.

La jeune femme tremblait ses lèvres tremblait et elle ouvrit la bouche et elle dit d'une voix apeurée elle disa :

-Fai...faite attention... je... je suis encore vierge...

Bien sûr c'était faux, mais étant polymorphe, elle pouvait transformer n'importe qu'elle partie de son corps et elle s'avait modifier pour être vierge à nouveau. La jeune femme avait reprit un air de biche, elle tremblait sous cette air de soumission, elle regardait l'homme avec un petit regard chétif tirant un peu sur ses liens pour voir si elle était bien attachée.

(HRP : Désoler petit RP pas trop inspirée)

Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le vendredi 12 juillet 2013, 22:50:04
Hum, quand le sentiment de ma puissance s’ajoute au sentiment de peur de ma victime, j’exulte, et ce n’est que le début d’un plaisir qui devra durer toute la nuit. J’ôte ma chemise blanche, sur mon torse qui restera à tout jamais marqué de la balafre que me fit ce maudit Comte de Griselles, juste avant que je ne fasse sauter sa tête d’un coup de sabre. Au moins cette marque indique-t-elle à celles qui me voient ainsi que je ne suis pas un enfant de chœur !
Ca se voit dans ses yeux, elle tremble, elle a compris.

-Fai...faite attention... je... je suis encore vierge...

Une vierge ? Vêtue comme ça ! Seule dans une auberge perdue ? Attendant quoi ? Il y a quelque chose qui cloche ! C’est trop beau pour être vrai. Une vierge qui me demande de l’attacher pour que je prenne son pucelage. Ceux que j’ai déjà pris, je n’avais pas attendu qu’on m’autorise…

« Méfie-toi ! Si tu me racontes des salades, tu t’en rappelleras, car, là, n’espère pas un seul instant que je fasse attention, et c’est avec ma dague que je te rappellerai comment on voit si la virginité est encore là ! »

Tiens, elle est moins sûre la demoiselle ; elle vérifie ses liens. Aucun danger qu’elle s’en échappe, je ne suis pas un débutant en la matière

« Inutile d’espérer quoi que ce soit ! Tu t’es toi-même jetée dans la gueule du loup, et tu m’as dit que tu ne refuseras rien. Alors, attends-toi à ce que je fasse tout ce dont j’ai envie, et il est d’ailleurs temps  de passer aux choses sérieuses. »

Dis-je, baissant mon caleçon, et lui révélant ainsi mon sexe déjà dressé par le spectacle qu’elle m’offre.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le samedi 13 juillet 2013, 01:36:49
L'homme était torse nue, dévoila une grande cicatrice sur son torse, un combat? Une femme qui avait tenter de le tuer? Qui sait!? Lui, mais bon c'est un détail! Le regard de l'homme sembla incrédule quand elle  lui dit qu'elle était encore vierge, peut-être avait-elle trop pousser a note?


« Méfie-toi ! Si tu me racontes des salades, tu t’en rappelleras, car, là, n’espère pas un seul instant que je fasse attention, et c’est avec ma dague que je te rappellerai comment on voit si la virginité est encore là ! »

Elle trembla fixa l'homme, il ne la croyait pas du tout, elle trembla.

« Inutile d’espérer quoi que ce soit ! Tu t’es toi-même jetée dans la gueule du loup, et tu m’as dit que tu ne refuseras rien. Alors, attends-toi à ce que je fasse tout ce dont j’ai envie, et il est d’ailleurs temps  de passer aux choses sérieuses. »

Il baisa son caleçon, dévoilant un membre tendue sous l'excitation du moment, elle devait jouer le jeu, faire le rôle de la jeune femme apeurée, puis elle se mit à pleurer, des chaudes larmes coulants sur ses joues, elle tremblait intensément et elle dis d'une voix chargés d'émotion.

-Je...Snif...je ne vous compte pas de menterie... Comment voulez...comment voulez-vous que je réagisse quand on à une lame à...à notre gorge?  Je...Je...Je veux pas mourire! Je suis...suis trop jeune pour mourir!

La jeune femme tentait à nouveau de bouger des bras, puis elle bougea du bassin, essayant de se dégager, elle tremblait comme une feuille Ses poignets étaient devenue rouge dû à ses tissus serrés, de longue larmes coulaient de ses yeux, rendant son regard lumineux, elle regardait de gauche à droite, cherchant un repaire, elle tremblait et n'osait pas regarder son agresseur.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le samedi 13 juillet 2013, 06:33:50
Voilà qu'elle pleure ! J'en ai vu d'autres pleurer, même pour me supplier de ne pas les égorger, et ça ne m'a rien fait. Alors celle-là, qui m'a dit qu'elle ne refusait pas...

« -Je...Snif...je ne vous compte pas de menterie... Comment voulez...comment voulez-vous que je réagisse quand on à une lame à...à notre gorge?  Je...Je...Je veux pas mourire! Je suis...suis trop jeune pour mourir! »

Tiens, tiens, ma lame a donc gardé son pouvoir de conviction ! Il faut dire que, entre les victimes de mon aïeul et les miennes, l'odeur du sang séché a traversé les siècles, et sait faire taire bien des velléités... Saisissant à nouveau ma dague dans son étui, j'en vérifie le tranchant et le pointu. Aucun souci ; si cette vierge ose quoi que ce soit, je serai rapide et efficace !

« Te tuer ? Pas maintenant ! Pas avant que j'ai profité de toi... Pas avant que j'ai pris ton pucelage... Quoique je ne sais si je devrais le dire au singulier ou au pluriel... »

Et je pars d'un rire, heureux de cette peur que je lis dans ses yeux, heureux de sa voix qui me supplie, heureux de son corps qui tremble. J'ai besoin de cette excitation, je caresse doucement mon sexe, la situation le rend plus dur encore.
Je monte sur le lit, m'agenouille en écartant sans ménagement ses jambes, posant un doigt sur ses lèvres sans encore l'enfoncer ; il faut faire durer le plaisir, et, quand la charge sera sonnée, y aller sans aucun ménagement !

« Hum, voilà donc ce que je vais baiser, et, crois-moi, pour ta première fois, tu vas savoir ce que c'est que d'être baisée. Mais j'ai toute la nuit, j'ai plein de choses à faire de ton corps, et je verrai si tu mérites de rester en vie... »

Dis-je en saisissant sans délicatesse sa crinière turquoise par les quelques mèches qui tombent sur son front, tout en avançant à genoux au dessus de son corps, le sexe dressé vers son visage. Je remarque alors sa pâleur, qui contraste étrangement avec une lueur que je ne parviens pas à définir dans ses yeux, mais qui, ajoutée aux larmes ayant séché, a fait partir un peu de fond de teint... La pitié étreint autrui, pas moi... J'exulte !
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le samedi 13 juillet 2013, 16:40:03
La jeune femme tremblait comme une feuille et quand elle vit la lame trembla encore plus et lâcha des petite plainte entre deux pleures, jouer le théâtre, c'est ennuyant.

« Te tuer ? Pas maintenant ! Pas avant que j'ai profité de toi... Pas avant que j'ai pris ton pucelage... Quoique je ne sais si je devrais le dire au singulier ou au pluriel... »

Puis il éclata de rire, il caressa son membre, dure et montrant sa virilité haut et fier. Il monta sur le lit, à genoux... Il écarta ses jambes sans ménagement, sans douceur, elle trembla. Son doigt vint se placer ses lèvres intimes, elle trembla, son intimité était légèrement mouiller de son délicat nectar. Elle fixa le violeur qui parla.

« Hum, voilà donc ce que je vais baiser, et, crois-moi, pour ta première fois, tu vas savoir ce que c'est que d'être baisée. Mais j'ai toute la nuit, j'ai plein de choses à faire de ton corps, et je verrai si tu mérites de rester en vie... »

Sa main agrippa une mèche de cheveux, il avançait vers son visage, son membre pointant celui-ci, elle tremblait, donc il voulait mettre son membre dans sa bouche... Intéressant, elle pourrait très bien le mordre et l'arracher, mais sa serait moins drôle, elle décida d'en profiter un peu, un instant, le théâtre continuait à jouer, mais pour combien de temps?

-Je...Je ne veux pas!

Elle mettait son visage sur le coté, tenant ses lèvres fermer le plus fort qu'elle pouvait, son corps tremblant, elle avait fermé les yeux, ses points serrer tentant encore de ce libérer de l'emprise de l'attachement.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le samedi 13 juillet 2013, 17:10:17
Pour quelqu'un qui ne refuse pas, la résistance est là ! Malgré ses poignets attachés, pas aussi facile que je le pensais ! D'ailleurs, vu comme elle tire sur ses liens, il vaudra mieux que je les vérifie avant la fin de la nuit ; il ne s'agit pas de me faire surprendre. Elle a compris ce que je veux faire et, malgré ses cheveux que je tiens, sa tête ne cesse de ballotter de côté.

« Je.. . Je ne veux pas ! »

Moi qui voulait commencer par sa bouche, il va falloir être persuasif. Me penchant au maximum, j'arrive à me saisir de ma dague et à la présenter devant son cou.

« Ouvre les yeux, et regarde ça ! J'ai envie de commencer par ta bouche. Elle doit être vierge, elle aussi. Alors, soit tu écartes tes lèvres, soit ma lame y fera elle-même le passage ! »

Profitant de la surprise, de sa tête qui a cessé de bouger, je pose à nouveau la lame sur son cou.

« Ouvre tes lèvres, et ne t'avise surtout pas de me mordre, sinon je te saigne ! »

C'est en prononçant ces mots que je réalise le danger. Je ne sais d'où elle vient et je ne sais ce qu'elle recherche vraiment, j'ai des doutes sur elle et peut-être même que je risque une mauvaise surprise. Et, dans ce rayon, mettre mon sexe entre ses dents, alors que j'ai cru apercevoir tout à l'heure ce qui ressemblait à des crocs, n'est peut-être pas prudent.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le samedi 13 juillet 2013, 17:33:56
Il se penchait saisie sa dague et la mit près du coup de la polymorphe, elle trembla, elle sentait la lame près d'elle.

« Ouvre les yeux, et regarde ça ! J'ai envie de commencer par ta bouche. Elle doit être vierge, elle aussi. Alors, soit tu écartes tes lèvres, soit ma lame y fera elle-même le passage ! »

La vampire ouvrit un oeil, apercevant la lame sur son cou, un tremblement vint. Pendant qu'il la regardait, elle se força a modifier ses dents, les rendant normal à la vue ,ses crocs disparaissant.

« Ouvre tes lèvres, et ne t'avise surtout pas de me mordre, sinon je te saigne ! »

Elle trembla, fixa l'homme de ses deux yeux à présent ouvert, son visage face à lui et à sa verge, elle trembla encore une fois. La lame l’inquiétait beaucoup, poser sur sa gorge, faisant d'elle le gibier, la jeune femme continuait de pleurer et elle parla :

-D'a...d'accord... Mais s'il vous plaît... faites attention... poser ce couteau et je...je vais faire tout ce que vous...vous voulez...

Elle trembla à nouveau, ses cheveux coller contre son crâne, ses yeux bleu avec une légère teinte de rouge regardait la verge avec une inquiétude apparente, lentement elle ouvrit la bouche, on pouvait voir que des dents normal dans sa bouche, peut-être avait-il eut une simple hallucination? La jeune femme essaya de toucher avec sa bouche la verge de l'homme.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le samedi 13 juillet 2013, 18:18:25
Hum, mon coup de colère semble avoir fait de l'effet :

« -D'a...d'accord... Mais s'il vous plaît... faites attention... poser ce couteau et je...je vais faire tout ce que vous...vous voulez... »

J'adore ce regard – tiens, il me semble encore voir une lueur rouge, ce doit être l'excitation, j'ai des hallucinations ! - qui dit si bien sa peur. Hum, et ses lèvres, elles ont l'air si rondes, si douces, et elles s'entrouvrent enfin. Elle a compris, j'espère, mais, à tendre ainsi son cou, elle pourrait se blesser, et ce serait dommage...

« Tu as raison ; je ne voudrais pas que tu te blesses en gobant mon sexe. J'ai bien mieux, et comme ça, tu seras libre de tes mouvements... »

Et, joignant le geste à la parole, j'écarte la lame de sa gorge, pour la poser juste à l'orée de son intimité, la pointe légèrement entrée, histoire que le froid la fasse ainsi frissonner.

« Tu vois, ma lame est juste posée ; un seul geste de trop, une tentative de me mordre, et je te tranche le sexe en deux ! »

Décalottant mon sexe tendu comme je ne l'aurais jamais imaginé, je pose le gland sur ses lèvres. J'ai une envie folle de pousser d'un coup, de voir ses yeux se révulser, de l'entendre quasi s'étouffer, de lui montrer ainsi qui est le maître ici.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le dimanche 14 juillet 2013, 15:09:51
« Tu as raison ; je ne voudrais pas que tu te blesses en gobant mon sexe. J'ai bien mieux, et comme ça, tu seras libre de tes mouvements... »

La jeune femme tremblait, son corps chétifs cherchait toujours à tirer sur ses liens, la jeune femme fixa l'agresseur qui écarta sa lame, puis il la posa à une autre endroit, inusité qui fit comprendre à la jeune femme de ne pas faire rien de louche pour le moment, la lame sur son intimité, la pointe légèrement entrée, elle tremblait le froid de celle-ci se faisant sentir, elle se força à arrêter de trembler, pour sentir moins la lame sur ses lèvres, elle avait un regard paniquer.

-Non...

« Tu vois, ma lame est juste posée ; un seul geste de trop, une tentative de me mordre, et je te tranche le sexe en deux ! »

L'homme décalotta son sexe, faisant découvrir son gland son son habit qui le recouvrait, elle trembla, puis elle sentit la lame, elle ferma ses yeux et il posa son gland sur ses lèvres, la jeune femme n'eut d'autre choix que d'ouvrir la bouche et lentement prendre le gland dans sa bouche, le frollant de sa langue, puis de lentement faire de léger va et viens, avec difficulté à cause de sa position.

Elle avait les yeux fermés, ne voulait pas voir ce qu'elle faisait, elle avait son plan en tête, mais pour ne rien risquer, elle allait devoir patienter, alors tant qu'à devoir attendre le bon moment, qu'elle en profite un peu en gardant son rôle, ses larmes coulait sur ses joues pendant qu'elle lui faisait une douce fellation, pas brusque, juste très lente, sa langue accrocha de temps en temps son gland.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le dimanche 14 juillet 2013, 15:56:54
Hum, pour une vierge, elle sait y faire ; elle a juste cette douceur qu'il faut.

« C'est bizarre, on dirait que ce n'est pas la première fois que tu suces ! Je me demande vraiment comment tu peux être encore vierge... »

Elle a l'art pour elle, sa langue est une douceur qui tourne, ses lèvres ont un arrondi sublime, ses mouvements sont juste en rythme. C'est dommage que les larmes coulent sur ses joues, elle devrait plutôt penser au plaisir ; même si je la baise, autant qu'elle en jouisse...
Dans cette situation pourtant violente, je me surprends à ne pas abuser, à me retenir de baiser sa bouche comme un sauvage en rut, je me surprends même à faire attention que la lame ne la blesse pas. Ce serait dommage, alors que sa virginité ne demande qu'à...
Qu'à être perdue, et par moi évidement ! Il est temps de s'en occuper, j'aurai d'autres moments pour une fellation... C'est quand même à regrets que je me relève, toujours dans le plus simple appareil, prenant soin d'écarter la pointe de ma lame, avant d'aller ranger la dague dans son étui.

« Tu es très douée, mais nous aurons toute la nuit pour recommencer. Il est temps de passer aux choses sérieuses, maintenant. »

Revenant vers le lit, m'asseyant cette fois, je pose un doigt sur ses lèvres, constatant que la lame ne l'a pas blessée. Hum, voilà un mets de choix ; personne n'est passé par là, je vais être le premier. Là aussi, du doigté ! Inutile de tout précipiter ; de toutes façons, elle y passera... J'avance mon majeur, le pousse en la fixant dans les yeux.

« Mais tu mouilles, petite salope ! C'est quoi, ça ? Une vierge qui traîne dans les bars, qui suce déjà fort bien, et qui mouille quand on la force... »

Il y a quelque chose qui cloche, il y a une incohérence quelque part. Moi, je ne sais pas pourquoi je suis arrivé dans cette auberge, mais elle ? Ce n'est pas par hasard. Que veut-elle vraiment ? Pourtant, je ne cours aucun risque, car elle est attachée ; et, vu comme elle pleure, elle va encore moins me sauter dessus. Où est le piège alors ? Un complice caché ? Tournant le dos au lit, et interrompant à mon grand regret cette découverte d'un sexe encore vierge, je parcours la chambre du regard, en quête de quelque ennemi. Ma dague est rangée, presque de l'autre côté de la pièce. Je suis nu, donc encore plus vulnérable. Je scrute la pénombre, sans vraiment savoir ce que je cherche, délaissant le corps nu pourtant offert sur le lit...
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le dimanche 14 juillet 2013, 19:04:36
« C'est bizarre, on dirait que ce n'est pas la première fois que tu suces ! Je me demande vraiment comment tu peux être encore vierge... »

Pfft, n'importe qui peut sucer, c'est pas la chose la plus compliquer à faire, même si sa aurait été sa première fois, elle aurait fait la même chose, dans la même technique et de la même façon. La jeune femme s'étonna qu'il la laisse faire et qu'il ne pousse pas sa verge dans sa gorge ou qu'il ne fasse rien de brusque, avait-il de la pitié? Lentement il la fit sortir, puis enleva la lame d'entre ses jambes, faisant attention à ne pas la blesser et la ranger dans son étui.

« Tu es très douée, mais nous aurons toute la nuit pour recommencer. Il est temps de passer aux choses sérieuses, maintenant. »

Il revint sur le lit, s'asseyant tranquillement, posa un doigt sur ses fines lèvres, elle trembla, mais au moins elle n'était pas blesser, au moins, sinon il l'aurait payer cher... Il la regarda dans les yeux et lentement entra son majeur, elle trembla.

« Mais tu mouilles, petite salope ! C'est quoi, ça ? Une vierge qui traîne dans les bars, qui suce déjà fort bien, et qui mouille quand on la force... »


Il se releva, tournant dos à elle, qu'est-ce qui se passe? Elle regarda de gauche à droite, elle trembla, il devait se demander s'il y avait un piège, si il y en a un... mais plus tard... Elle ferma ses yeux, personne sur l'étage, au bar, personne tout le monde semblait partie, enfin non le serveur ou le propriétaire était encore a l'arrière. La jeune femme trembla, elle tira sur ses liens, elle n'avait pas sa force de vampire vit qu'elle devait boire du sang, faut donc ramener cet homme près d'elle, mais comment? Il semble chercher un piège, mais le piège est la jeune femme.

Elle eut un idée, peut-être cela marcheras, peut-être que non, au pire il lui fera mal, mais elle se vengeras! La jeune femme en pleure trembla tirant sur ses liens pour tenter de se libérer, elle ne tirait pas assez fort pour réussir à s'évader. Puis elle y repensa à son plan, non cela ne pouvait pas marcher, il la tuerait au lieu de faire l'effet qu'elle voulait. Alors elle resteras qu'à la base, tirer sur ses liens et d'avoir l'air appeuré, déjà là, c'est bien.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le lundi 15 juillet 2013, 20:44:26
Rien, je ne vois rien comme piège, il faut que j’arrête de me méfier. Peut-être que, dans ce monde, il est naturel qu’une vierge s’offre à celui qui sait la persuader. Ca devient de la parano ! J’ai une vierge nue qui m’attend attachée sur le lit, et la seule chose qui m’intéresse est de savoir quel piège elle m’a tendu. Je la regarde, les poignets liés, les jambes resserrées pour me masquer cette virginité que je vais prendre. Que peut-elle me faire ?

« Il n’y a pas à dire, j’ai tiré un sacré lot, et je ne vais pas me contenter de te dépuceler ! Je vais même te baiser, comme le mérite la garce que tu es ! Car tu n’es rien d’autre que ça, pour être venue me provoquer… Juste le temps de m’assurer de ne pas être dérangé. »

Un complice… Pourquoi pas ? Le patron, par exemple ? Cela expliquerait pourquoi il a fait mine d’aller dans son arrière-boutique, en me laissant suivre une proie que je crois facile. Elle ne serit qu’un leurre et moi, sombre crétin, je serais tombé dans le panneau. Mais pour quoi ? Je n’ai rien de valeur sur moi. Un amusement, où ce cochon matera, à travers un miroir sans tain, sa complice se faire déflorer par un inconnu de passage ? Une mise à mort, où les deux amants diaboliques libèreront leurs vils instincts jusqu’à ce que j’en trépasse ? Que sais-je encore ? Mais rien de tout ça. Les murs sont lisses et il n’y a aucune aspérité insolite, la fenêtre est fermée et la vitre est scellée, la porte est verrouillée et je pose une chaise pour la caler.

« Tout est prêt, petite salope. Il n’y a rien qui ne pourra m’en empêcher. Si quelqu’un intervient, je te tue devant lui, avant de le trucider aussi. »

Plus rien ne me retient désormais. Je m'agenouille sur le lit, écartant ses jambes avec les miennes. Un beau compas qui s'ouvre sur un sexe nu et vierge. Je repasse mon majeur inquisiteur entre ses lèvres, les écarte. Hum, elle mouille, peu m'importe que ce soit malgré elle ou pas.mon majeur se fraie un chemin, écartant ses fines lèvres intimes. Tout en elle est fin et délicat, mais ça ne va pas me retenir ! Je commence à masser doucement son intimité, guettant une réaction dans son regard. Peur ou plaisir, je m'en moque ; c'est mon propre plaisir qui m'intéresse.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le lundi 15 juillet 2013, 23:10:29
La comédie, qu'elle drôle de chose à faire lorsqu'elle à soif, les humains sont si naïf, la plupart ne crois pas que les créatures fantastiques peuvent exister, les vampires pour eux c'est une histoire pour empêcher les enfants de sortir la nuit ou bien de leurs faire manger de l'ail. La vampire guêtait sa proie qui ne sentait pas le danger qu'elle allait être, lorsque son cou seras proche d'elle. L'homme la regardait, il se posait des questions, je le regardait paniquer tirant sur mes liens.

« Il n’y a pas à dire, j’ai tiré un sacré lot, et je ne vais pas me contenter de te dépuceler ! Je vais même te baiser, comme le mérite la garce que tu es ! Car tu n’es rien d’autre que ça, pour être venue me provoquer… Juste le temps de m’assurer de ne pas être dérangé. »

Le pire est qu'elle n'avait rien fait, juste oublier de barrer sa porter, ce n'est pas de sa faute si elle est belle naturellement, elle aime s'habiller pour se plaire elle même et non pour se cacher, elle est bien de son corps... Son corps naturel. L'homme regarda partout, sur les murs, il pensait sérieusement, qu'il avait quelque chose qui clochait!? Il s'approcha de la porte et posa un chaise pour empêcher d'ouvrir la porte quiconque viendrait, mais qui viendrait dans sa chambre?

« Tout est prêt, petite salope. Il n’y a rien qui ne pourra m’en empêcher. Si quelqu’un intervient, je te tue devant lui, avant de le trucider aussi. »


Il vint s'agenouiller sur le lit, écarta ses jambes, son majeur venant se poser sur les lèvres cacher de la jeune femme, elle trembla et il les écarta légèrement, elle mouillait, l'excitation de se savoir attacher et si ''vulnérable'' l'excitait, savoir que lorsqu'il seras elle buverait son sang, l'excitait encore plus. Il vint masser son intimité, elle tremblait, ses larmes coulaient et elle lâchait des petits reniflement de pleure, elle évitait le regard de l'homme en regardant en haut.

-Je...je vous en supplie...Arrêter... Je...je ne veux pas...je ne suis pas une salope... je... je ne veux pas...mourire...

Elle tremblait et se tu, ferma ses yeux pour ne pas voir la suite, elle tremblait ses bras tirant sur les liens, on pu voir un peu de sang couler de ceux-ci, elle tirait si fort qu'elle s'avait couper à cause de l'irritation du tissu.
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le mardi 16 juillet 2013, 06:34:30
Oh, ce sentiment de puissance, quel bonheur !  Ses larmes ? Je m'en moque...

« -Je...je vous en supplie...Arrêter... Je...je ne veux pas...je ne suis pas une salope... je... je ne veux pas...mourire... »

Il faudra que je vérifie la légende ; il paraît que prendre une virginité vous donne des forces à vous rendre éternel. Déjà que je franchis les siècles, ce serait un plus. Mais je ne sais pas s'il faut sacrifier la vierge après l'avoir dépucelée...

« Te tuer ? Mais ça ne dépend que de toi. Tu as une bouche accueillante, et j'ai encore envie de m'en servir. Tu as un sexe qui mouille déjà, et ça veut dire que tu aimes ça. Et il y a encore bien d'autres choses à découvrir. Si ru es à la hauteur, pourquoi ne te garderais-je pas comme esclave sexuelle ? »

Et je me mets de nouveau à rire, d'un rire gras et même grossier. Peu m'importe de souiller ce joli corps frêle, peu m'importe de mettre à mal l'innocence de cette belle jeune femme ! Mon index a rejoint mon majeur, ses lèvres intimes s'ouvrent, pour la première fois à un homme ; elle mouille, ce n'est pas que de la peur. Son petit bouton, mon index l'a trouvé. Hum, il y a si longtemps que je n'en avais touché un...

« Non, non, non, tu as raison, tu n'es pas une salope. Mais explique-moi pourquoi tes jambes restent écartées pour que je vois bien. Explique-moi pourquoi j'ai ta mouille sur les doigts. Explique-moi pourquoi ton bouton réagit sous mon doigt »

J'adore, et je suis sûr qu'elle adore aussi, même si elle ne l'avoue pas. Zut, ses poignets, elle saigne ! Cette imbécile s'est blessée à force de tirer sur ses liens. Il ne faut pas qu'elle me claque entre les doigts avant que j'en aie fini...
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le mardi 16 juillet 2013, 15:00:12
« Te tuer ? Mais ça ne dépend que de toi. Tu as une bouche accueillante, et j'ai encore envie de m'en servir. Tu as un sexe qui mouille déjà, et ça veut dire que tu aimes ça. Et il y a encore bien d'autres choses à découvrir. Si ru es à la hauteur, pourquoi ne te garderais-je pas comme esclave sexuelle ? »

Il se remit à rire, cela existait des personnes qui rient aussi mal? La vampire trembla, esclave sexuelle, personne ne peut la garder en esclavage, personne réussira.  La mouille, et bien c'est normal qu'on aime ou qu'on aime pas jouer à cette endroit et vous mouiller, mais fallait dire qu'elle aimait bien sa la dominance, mais tout cela à un prix et c'est cet homme qui va avoir à payer... Elle frissonna au contact de ses doigts sur ses lèvres, mais elle faisait semblant de dégoût, dans sa tête plein d'idée tordue prenait place.

« Non, non, non, tu as raison, tu n'es pas une salope. Mais explique-moi pourquoi tes jambes restent écartées pour que je vois bien. Explique-moi pourquoi j'ai ta mouille sur les doigts. Explique-moi pourquoi ton bouton réagit sous mon doigt »


Elle trembla et pleurait, reniflait et elle disa d'une voix tremblante et apeurée :

-Je...je sais pas! Je...je sais vraiment pas....

Une idée vint, parfois mieux vos y aller de la manière dure pour obtenir ce qu'elle désire. Elle allait user de sa flexibilité, elle se mit alors a bouger ses jambes, pour ensuite passé une jambe entre celle de son agresseur, je vous laisse imaginer le suite, vous ne savez pas ce qu'elle fait? Et bien elle lève sa jambe durement et frappe entre les jambes de l’homme, à cette endroit très sensible. Elle se mit a s'agiter encore plus, elle tentait de pousser l'homme en bas du lit à l'aide de ses jambes. C'est de sa faute si elle avait décider d'y aller avec la force, il avait qu'à se rapprocher la tête plus près d'elle.

-Maintenant libérer moi! Ou je vais devoir vous faire mal!

Elle avait dit cela sur un ton inoffensif! Presque comme une enfant de 10 ans qui essaie d'être méchant et qui ne l'ai pas du tout, elle était inoffensive, surtout dans la position qu'elle était. Elle continua à rester agiter sur le lit, tirant sur ses liens.

Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le mardi 16 juillet 2013, 23:33:12
Je pensais sentir la douceur de ce sexe encore vierge, mais c'est un coup soudain dans les testicules qui me fait hurler, non de plaisir, mais de douleur. L'attaque a été aussi soudaine que violente, et me surprend. Instinctivement, je porte la main à mon bas-ventre ; l'érection s'est brutalement interrompue, et seule la douleur est là.

« -Maintenant libérer moi! Ou je vais devoir vous faire mal! »

J'ai les hanches en feu, à moitié recroquevillé tellement le premier coup suivi d'autres répétés m'a broyé, et, c'est comme si elle me demande poliment de la détacher ! Je veux saisir ma dague, mais ma main tremble, ma vue est confuse, et d'ailleurs je ne sais même plus où elle est..
Je ne sais plus ce qui se passe, c'est comme si elle battait en mesure sur tout ce qui fait ma virilité ; mes bourses sont comme réduites en miettes, mon sexe semble cassé en deux tant il est tordu, j'ai l'impression d'être poussé hors du lit.
Que ça s'arrête ! Il faut que ça cesse ! Je n'en peux plus ! La détacher ? Elle le veut ? Je m'en moque ! Je suis prêt à tout pour qu'elle ne me broie plus ; c'est comme si sa jambe enserre ma virilité dans un étau qui la compresse. Et qu'elle s'en aille, j'aurai d'autres vierges après elle...
J'essaie de tendre mes bras au dessus de sa tête, la libérer et qu'elle parte, je défais les deux cordons de draps qui portent des traces de sang sur ses poignets. Ca y est, elle est libre ! Mais le dernier coup porté à mon bas-ventre me projette sur le haut du lit, ma tête s'écrasant sur l'oreiller juste à côté de son visage. Je suis sonné !
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le mercredi 17 juillet 2013, 00:03:35
La réaction avait été parfaite, le voila sonner, il l'a détacher, tout son autre plan avait marcher, le voila face à elle, plié de douleur, elle le fixa, un large sourire sadique apparue sur ses lèvres, le cœur de la jeune femme était généralement remplie de douceur, mais en cette nuit il en était complétement l'inverse. Elle se leva tranquillement, partie ou le reste de couverture, et détacha de large morceau, l'homme était sonner et semblait pas se rendre compte de sa situation. Puis lentement elle s'approcha de lui, attacha ses mains au lit, pour une jeune femme, elle semblait forte, elle attachait ses poignets avec force. Puis elle alla attacher ses jambes au bas du lit...

Elle fixa son agresseur, maintenant rendue la victime. La jeune femme avait des yeux rouges comme le feu, un large sourire était graver sur ses lèvres, dévoilant des crocs pointues. Elle lâcha un rire sadique et elle fixa l'homme et lentement elle s'approcha de lui, embarqua sur celui-ci et sa main vint toucher son membre.

-Alors on a mal, pauvre petit choux, tu avait raison, il y avait bien un piége, et c'est moi! Si tu aurait garder tes pulsions à toi, cela aurait pu bien ce passer et tu ne serait pas là et moi je me serait reposer et reprit sans danger ma fatigue et ma force, mais tu m'en donne pas le choix... Oh mon choux attends... J'ai mieux!

Elle se leva et alla lentement chercher le couteau et elle se rapprocha de l'homme qu'elle embarqua dessus et s'assit nue sur son ventre. Elle prit des bandages qui avait servit à attacher la jeune femme et elle en fit une boule et la mit dans la bouche de l'homme.

-Tu voulais jouer avec mon corps et bien d'accord, mais cela va être moi qui va utiliser le tien pour MES désirs... Hihi! Tu voulais te faire violent et bien moi je suis vampire et il ne faut pas énerver une vampire tu sais?

Elle approcha la lame du couteau de l'homme et elle murmura à son oreille :

-Sur cette lame tâcher, le tien s'y retrouveras aussi!

Puis lentement la lame frolla sa gorge sans l'écorcher, puis lentement la lame descendit sur son torse, là elle fit une petite coupure, du sang coula et l'homme put sentir la langue de la jeune femme lécher le sang, puis elle balança la lame au coin de la pièce et sa tête vint ou le cou de l'homme, il put sentir les crocs de la jeune femme sur sa gorge, puis elle planta ceux-ci d'un coup sans préparation rien, un coup dure dans sa gorge pour boire de son sang qui se mit à couler.

(HRP : Surprise revirement de situation :D )
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le mercredi 17 juillet 2013, 06:47:23
Mes yeux sont brouillés, mais je devine qu'elle se lève ; elle s'en va, je suis sauvé ! Il faut juste que j'arrive à porter mes mains à mon sexe, à vérifier qu'il n'est pas détruit, et qu'il pourra encore me servir. Au matin, je me réveillerai, et tout ça ne sera plus qu'un cauchemar...
Mais que fait-elle ?

« Non, arrête ! Pas ça ! »

Ce n'est même pas un cri qui sort de ma bouche quand je réalise qu'elle attache mes poignets au lit. C'est comme si ma voix avait aussi été cassée par ses coups répétés sur ma virilité. Même mon corps, en essayant de bouger, ne fait que de petits mouvements bien ridicules. L'horreur ! Je me retrouve comme elle fut... Pire, je sens les mêmes liens enserrer mes chevilles, et je me retrouve, grotesque, nu et attaché en crois à sa merci.
Je trouve juste la force d'articuler...

« Nooon, détache-moi ! »

Mais elle semble rire en me regardant. Ses yeux sont rouges ! J'avais donc bien vu. Qu'est-ce que c'est que ce truc ?

« Va-t-en, je te laisse partir... »

Des mots toujours si peu audibles, et d'autant plus stupides que c'est elle qui me tient, et non l'inverse.
Et ce rire, c'est quoi ? Je vois des crocs. Je suis fou, ça doit être le choc... Sa ain sur mon sexe, elle ne va pas y planter ses crocs ? Ce n'est pas possible...

« -Alors on a mal, pauvre petit choux, tu avait raison, il y avait bien un piége, et c'est moi! Si tu aurait garder tes pulsions à toi, cela aurait pu bien ce passer et tu ne serait pas là et moi je me serait reposer et reprit sans danger ma fatigue et ma force, mais tu m'en donne pas le choix... Oh mon choux attends... J'ai mieux! »

Je suis tombé sur une folle ! Elle a mieux ? Là aussi, j'en doute ; je ne pense pas qu'elle reprenne la fellation à peine esquissée tout à l'heure. Là, côté pulsions, les miennes sont à zéro, et je ne connais pas les siennes.

« Groumpf ! »

J'ai juste le temps de prononcer cette onomatopée, que je me retrouve avec ses précédents liens enfouis dans ma bouche, l'odeur de son sang encore sur le tissu. Je le sans à califourchon sur moi, je doute qu'elle vient s'empaler sur mon sexe, si tan est qu'il reprenne vie...

« -Tu voulais jouer avec mon corps et bien d'accord, mais cela va être moi qui va utiliser le tien pour MES désirs... Hihi! Tu voulais te faire violent et bien moi je suis vampire et il ne faut pas énerver une vampire tu sais? »

C'est quoi ça ? Ca n'existe pas, les vampires ! Je dois vraiment faire un cauchemar, il faut que je me réveille, mon sexe va rebander parce qu'une très belle femme est au-dessus de moi, mes liens vont s'évanouir comme par magie. Oui, je veux jouer, mais pas comme ça !

« -Sur cette lame tâcher, le tien s'y retrouveras aussi! »


Je me raidis tout ce que je peux, les lueurs nocturnes se reflètent sur ma dague. Je tends mon cou pour éviter une entaille mortelle, je retrouve juste un peu de force et de lucidité mais mes liens me rappellent à la réalité. Ai-je trop bougé ? Ou m'a-t-elle sciemment entaillé ? Je sens la douleur, cette douleur que j'ai tant vécue lors de mes combats d'autrefois ; mon torse, ça me brûle, j'ai mal. Et cette folle qui lèche mon sang ! Non, les vampires, ça n'existe pas... Enfin, pas avec une aussi jolie silhouette !
Mais je n'ai pas le temps d'en deviser qu'un électrochoc emporte mon corps, je me sens me raidir, comme tendu au dessus des draps, juste maintenu par les liens. Même mon sexe semble avoir pris cette raideur , tandis que mon cou me fait mal, si mal. Je ne sais ce qui se passe, je l'ai juste vue se pencher sur moi, avant de sentir comme au moins deux piqûres. Je suis raide tétanisé, je sens mon corps m'échapper, je dois résister mais ma vue se brouille de nouveau...
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le jeudi 18 juillet 2013, 05:54:09
Son ancien agresseur, ne semblait pas réaliser à qui il avait à faire, sa va douloureuse l'excitait, ses crocs enfoncer dans chair lui donnait des pulsions dans tout son corps, elle le vit commencer à sombre dans l'inconscience. Elle le regarda et le gifla dans sur le visage :

-T'ai-je ordonné de tombé dans l'inconscience mon choux? Non!

Elle le gifla à nouveau, sa langue caressa sa nuque à nouveau caressant ses trous causé par ses crocs. Il pouvait sentir son corps nue contre lui, ses seins sur son torse, puis il put sentir des griffes sur son corps et une main lui agripper le membre :

-Oh la vilaine que je suis, je t'ai causé tant de douleur à ton petit membre, je suis tellement désoler, mais il fallait bien que je fasse quelque chose pour que je soit capable de boire un peu de ton sang, mon pauvre choux.

Elle commença lentement à descendre, et sa langue vint caresser son membre, elle allait le gâter un peu, car il allait avoir une nuit éprouvante, elle allait être celle qui ressentirait le plus de plaisir et lui... tout va dépendre s'il est obéissant, en tout cas, dans la position qu'il est en se moment, il n'avait pas le choix. Puis doucement elle engloba son membre dans sa bouche, il pouvait sentir ses crocs sur son membre, elle faisait attention pour ne pas que ses crocs ne le dérange pas, elle avait seulement envie de le croquer et de le voir gémir, mais elle le feras plus tard. La jeune femme revint faire face à l'homme et le fixa droit dans les yeux, et elle lui sourit :

-Si je te libère la bouche, tu éviteras de crier ou de faire tout insulte qu'il soit envers moi, sinon... je te tuerait pas, mais je peut te promettre que ton membre ne banderas plus jamais, devant des vierges comme moi, et même devant n'importe quoi! Si tu me promets que tu ne feras rien, cligne deux fois des yeux, sinon tu resteras avec cela dans bouche!
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le jeudi 18 juillet 2013, 06:30:59
Le bruit déchire l'air et ma tête part vers la droite sous l'effet d'une gifle à laquelle, même si peu lucide, je ne m'attendais pas. Comment une femme si fluette et si fragile a-t-elle une telle force ? Un démon, ou je ne sais quoi ; voilà qui explique...

« -T'ai-je ordonné de tombé dans l'inconscience mon choux? Non! »

La deuxième gifle, en sens inverse, a remis ma tête en place, physiquement comme mentalement. Ne ps sombrer, surtout pas, car ce serait me condamner moi-même à mort ! Comment peut-on être si belle, et si désirable même car j'ai encore un peu de virilité pour réagir à ses tétons (et ils me paraissent même durs, comme si la situation l'excitait vraiment), et si diabolique a passer sa langue sur ma nuque où j'ai si mal ? J'ai peur, mais je ne dois pas lui montrer. J'ai mal, mais j'ai peine à lui cacher. Mon cou me brûle, et j'ai l'impression que de grosses aiguilles l'ont traversé de part en part. Mon sexe me fait mal, et je songe avec effroi qu'il pourrait ne plus jamais bander.

« -Oh la vilaine que je suis, je t'ai causé tant de douleur à ton petit membre, je suis tellement désoler, mais il fallait bien que je fasse quelque chose pour que je soit capable de boire un peu de ton sang, mon pauvre choux. »

Sa main dessus, justement. Je me débats, tirant en vain sur mes liens. Elle ne va pas y planter ses crocs aussi ! Ce n'est pas possible, je ne supporterai pas, plutôt mourir... Sa langue ! Non, ce n'est pas vrai, elle ne va pas me faire une fellation, elle se prépare à le sacrifier à ses délires ! Elle te tient dans sa main... Non, pas ça ; mais elle a tant serré les liens que mon bassin, comme tétanisé, ne peut même pas bouger ! Je sens deux pointes frôler le gland … Pas ça, pas là, c'est si sensible ! Ses lèvres, celles qu'elle refusait d'ouvrir tout à l'heure, je les sens descendre. Mon sexe, je le sens réagir, je devine les veines qui gonflent, elle ne l'a pas détruit... Non, ce n'est pas vrai, ne rêve pas ! Elle ne t'a pas fait des trous dans le cou pour te sucer ensuite...

« -Si je te libère la bouche, tu éviteras de crier ou de faire tout insulte qu'il soit envers moi, sinon... je te tuerait pas, mais je peut te promettre que ton membre ne banderas plus jamais, devant des vierges comme moi, et même devant n'importe quoi! Si tu me promets que tu ne feras rien, cligne deux fois des yeux, sinon tu resteras avec cela dans bouche! »

C'est quoi cette nouvelle folie ? Au moins, je sais que j'ai de fortes de chances de rester en vie. Enfin, je ne sais même plus si ça vaut mieux ou pas. Avec les crocs qu'elle m'a plantés dans la nuque, qu'ai je attrapé ? Un virus ? Un truc à vouloir faire moi aussi la même chose ? Et puis, à quoi bon vivre si je ne peux plus bander ?
Alors, je cligne des yeux deux fois, comme elle le veut, en regardant ses yeux rouges, une couleur que j'avais donc bien vue auparavant. Mais je ne sais ce qui se cache vraiment dans ce regard, entre la lubricité et la perversité. Une horrible vision me traverse l'esprit, songer qu'elle pourrait me faire une délicieuse fellation et me planter un croc dans le gland juste au moment où je libère enfin le jet de plaisir. Quelle horreur ! Mais elle m'a dit qu'elle préservera mon sexe si je suis sage. Donc, pas d'acte inconsidéré, surtout vu comme elle me tient à sa merci. Si l'occasion se présente, je la saisirai...
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Arashi le vendredi 19 juillet 2013, 04:35:34
Elle le vit cligner des yeux, elle avait un large sourire d’où on voyait ses crocs, elle le regarda et ses dents comportant à présent de petite griffe caressa le visage de l'homme qu'elle empoigna entre ses doigts et l'observa et elle eut un rire :

-Tu sais, tu n'est pas le seul à vouloir t'amuser avec un corps, considère toi chanceux, je me sens clémente à soir, mais je vais m'amuser comme je le souhaite, de la manière que je le veux, violent ou non...D'accord? Ah de toute façon t'a pas le choix!

Elle rentra ses doigts dans la bouche de l'homme puis elle lui enleva le tissu, elle le fixa, toujours en califourchon par dessus lui. Ses coudes contre son torse, sa tête en sur ses mains, elle le regardait de ses yeux rouges, elle se lécha la lèvre du haut, lentement du bout de la langue, laissant voir ses crocs. Archangel pouvait sentir contre son membre, les fesses de la jeune femme le frôler, elle ne voulait pas l'anal, juste stimuler une nouvelle érection à son ancien agresseur.

-J'espère que tu est conscient que je vais me défoncer sur toi, tu le sait, mon choux, j'espère que tu est content, c'est un bel honneur que je te fait et si tu me déçoit cela va aller mal!

Avec une de ses griffes elle vint caresser le menton de l'homme qu'elle appuya dessus pour lentement appuyer pour transperçer celui-ci et juste faire une ligne de sang, elle sortie sa langue et lécha le sang qui sortait!

-Alors Mon choux, tu veux que je te fasse quoi en premier? Je te conseil de choisir, sinon je crois pas que tu aimeras mon traitement! ♥
Titre: Re : La bonne auberge (Arashi)
Posté par: Archangel le vendredi 19 juillet 2013, 05:56:45
C'est franchement mal engagé ! Ca ne ressemble pas du tout à un rêve même si les seins de cette femme lui offrent un délicieux spectacle, ses griffes qui viennent d'apparaître sont autant de nouveaux dangers.

« (…) je vais m'amuser comme je le souhaite (...) »

C'aurait pu être très agréable, même s'il ne se souvient pas avoir été ainsi soumis au bon vouloir sexuel d'une femme. Mais celle-ci est plus qu'une femme, comme si un démon avait pris une apparence féminine pour le séduire et en faire son jouet. Et elle y parvient, en le rassurant même, car il se sent rebander comme il ne l'espérait plus. Elle le regarde tout en ondulant des fesses ; il rêvait de lui prendre aussi son pucelage anal, ça devient intéressant.

« (…) si tu me déçoit cela va aller mal! (...)» 

Ce n'est pas le moment de bander mou ! Regarde ses seins comme ils sont beaux... Sens la raie de son cul qui ne demande qu'à s'ouvrir... Pense à sa chatte où tu seras le premier à entrer... N'oublie pas qu'elle t'a dit qu'elle allait se défoncer sur toi...
Archangel sent son sexe grossir encore, comme si l'excitation du moment lui donne une forme et une force nouvelle. La défoncer, elle a trouvé l'expression ; et, s'il avait mains et poignets libres, il la retournerait sur le lit et la prendrait en levrette sans aucun ménagement ni préliminaire, qu'elle en hurle ou pas. Mais là c'est lui qui pousse un cri, sentant son menton déchiré comme une simple feuille de papier. Un cri d'effroi, vite étouffé par une main ; elle lèche son sang, horreur, une folle ou une vampire ?

« Pas de cri, je te rappelle !» 

Il le sait ! Mais ça fait mal, la douleur est fulgurante... mais n'a pas perturbé son érection qui devient  de plus en plus raide.

« (…) tu veux que je te fasse quoi en premier? Je te conseil de choisir (...) »

L'esprit d'Archangel gamberge vite. Elle lui demande ce qu'il aime, autant en profiter, même si elle n'en fera qu'à sa tête. Si elle frotte ses fesses contre son sexe, ce n'est pas que pour le faire durcir ou parce qu'elle rêve de se faire dépuceler par là ? Lui reviennent en mémoire celles qu'il sodomisa sans délicatesse, et même de l'une qui lui jura que, si elle le retrouvait, elle lui ferait subir le même sort. Et ses lèvres, oui, juste pour commencer, une douce fellation avec ses lèvres bien arrondies et la pointe de sa langue toute chaude. Mais ses crocs ? Et les griffes qui viennent d'apparaître. S'il lui prend une folie, elle lui transperce le sexe voire lui tranche, quelle horreur ! Reste son pucelage, ce doux antre inexploré, cet hymen qu'il sera le premier à prendre, voir l'expression de son visage tandis qu'elle sent le mâle pour la première fois. Mais, laisser jaillir sa semence en elle, courir le moindre risque d'être complice de ce qu'elle enfanterait, non il ne doit pas faire ça pour la survie de l'humanité ! Il a toutes les envies, toutes les peurs aussi, et une fraction de seconde pour décider comment... elle veut le baiser, car c'est ça la réalité !
Autant donc revenir à son instinct initial... Prenant une voix la plus mesurée possible, pour ne pas déclencher quelque nouvelle griffure ou morsure :

« J'ai envie, enfin si vous le voulez bien, que vous m'offriez votre virginité ; quand vous me l'avez dit, ça m'a rendu comme fou, et c'est pour ça que j'ai fait ça. »

Comme si la violer et la dépuceler étaient associés ! En espérant qu'elle ne juge pas cette excuse de travers, en espérant que sa virginité n'ait pas été qu'un leurre, en espérant qu'il bande toute la nuit pour ne pas la mettre en colère...
Joignant le geste à la parole, il bouge un peu le bassin. Elle est si légère, mais elle a une force incroyable à ainsi l'enserrer sans qu'il ne puisse vraiment bouger à sa guise ; elle le maîtrise, elle a toutes les cartes en mains ! Dans les mouvements qu'il a esquissés, il perçoit néanmoins que son sexe est bien raide, et que la posture allongée de son corps le fait dresser. Ca devrait la satisfaire, elle qui veut se défoncer sur lui !