Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un peu plus de 70% de notre planète est recouverte d'eau, ce qui pourrait parraitre bien terrifiant pour une créature évoluant sur terre. Pour les humains, il ne s'agit ni plus ni moins que d'immenses barrières hostiles et peu explorées, séparant les terres comme de grandes frontières. Au contraire, pour une sirène ou tout autre créature marine douée de raison, ces flots sont comparable à une immense autoroute reliant toutes les terres, toutes les cultures. Et tout cela sans passeport, s'il vous plait ! Le concept de nationalité n'existe donc pas, pour Lyli et les autres créatures marines, une sirène pouvant très bien élire domicile près des côtes japonnaises durant des mois, et le soir d'après visiter le sable chaud de miami.

Rien d'anormal donc à ce que Lyli ce soit perdu loin de son foyer habituel, aujourd'hui. il ne lui avait fallut que 2 ou 3 heures après tout, pour traverser les eaux japonnaises jusqu'à celles des terres du rêve américain. Un grand voyage à l'échelle humaine, juste une randonnée un peu longue pour une sirène.

S'il est vrai que tout ici était bien plus grand, et différent, Lyli ne voyait pas spécialement cela comme un signe de richesse ou de pouvoir. Elle ne connaissait pas assez les coutumes et vices humains pour que la vue des grattes-ciels et du dollar américain ne lui procure cet effet. Juste une plage à un endroit différent, avec le même sable, le même soleil, et une eau peut-être un peu plus chaude. Lyli en avait comme à ses habitudes profité pour avoir quelques conquêtes, aussi bien avec des touristes que des natives de la région. Celà lui permettait, en plus du lien tissé, d'en apprendre un peu plus sur ce continent encore inexploré pour elle, tel un Christophe Colomb croyant avoir découvert l'amérique.

Un soir ou tout semblait plus calme, et à force d'exploration, Lyli se retrouva à nager dans la zone portuaire. Ah, la zone portuaire... Y nager, pour une sirène, ce serait comme visiter pour la première fois un quartier malfamé, si on devait comparer. L'odeur de gazoil prends aux narines, l'eau n'y est pas franchement la plus agréable et agresse même un peu les yeux. Cette zone là, Lyli ne va pas s'y attarder, c'est certain. Elle y aurait déjà même fait demi-tour si seulement cette jolie nymphe n'avait pas sauté à l'eau, comme un petit ange soudainement tombé du ciel.

Cette petite étoile filante ne semble pas être tombée par hasard, sa posture montre même le contraire : la jeune fille semble vouloir rester sous l'eau. Cette nymphe humaine est plutôt mignonne, ses longues mèches brûnatres dansant autours de son visage typé plus asiatique qu'américain lui confèrent une certaine aura séduisante. Elle ne semble pas encore avoir remarqué la sirène, surement trop occupé à retenir sa respiration, en gardant un oeuil sur les deux ombres malfaisantes au delà de la surface.

Oh d'accord, le tableau est plus aisé à dresser maintenant, la pauvre petite chose essaye d'échapper à de vilains monsieurs... ou madames ? Difficile à reconnaitre, avec ces voix rongées par les années de cigarettes. Bon, l'autre voix semble un peu plus féminine, targant même sa complice d'une blague, sur le fait que la pauvre fille serait peut-être un poisson. A cette question, la demoiselle cachée proche de l'échelle répondra " bloup... bloub.. " Non, ce n'est clairement pas un poisson, parole de sirène. Si ça continue ainsi, elle risque même de vite boire la tasse.

Sans un bruit, la sirène se dandine gracieusement vers la demoiselle en détresse, ondulant son corps d'une manière presque hypnotique. Sa longue chevelure de feu ondule elle aussi trés joliment autours de son visage serein et souriant. Mais même avec toute les bonnes intentions du monde, voir une femme s'approcher sous l'eau ainsi, alors qu'on ne s'y attends pas, peut faire un choc. Elle pourrait même prendre Lyli pour une de ses agresseuses. Pour couper le germe de cette idée, la sirène se montre aussitôt rassurante, plaquant la main devant la bouche de la demoiselle, et de son autre, porte l'index à ses propres lèvres comme lui demander de ne pas faire de bruit, toujours avec ce même sourire trés rassurant, un brun charmeur même. Ne voulant pas trahir sa nature de sirène, elle ne lui parle pas directement, mais laisse parler la gestielle plutôt que les mots. Ainsi, au bout d'un petit moment à partir duquel Lyli se demande si l'humaine ne va pas craquer, elle lui prend la main, en entremêlant ses doigts dans ceux de la belle. Ce geste ayant pour signification " tiens bon ", ne suffira peut-être pas à aider. Après tout le temps passe, les secondes filent, chaque instant sous l'eau est pour l'humaine un étau qui se resserre de plus en plus. L'oxygène qui manque de plus en plus, le dioxyde de carbone qui chauffe les poumons, et l'envie irrépressible de respirer qui en devient une obsession.

La pauvrette a t-elle besoin de respirer ? Surement, en tout cas tout semble l'indiquer. A moins que le rouge lui montant aux joues ne soit la couleur d'un coup de foudre envers la sirène ? Peu de chance tout de même, malgré que Lyli soit belle. Il lui faut donc agri, et vite. Elle se posera peut-être des question sur les capacités en apnée de Lyli, mais bon tant pis. La sirène va délicatement glisser sa main contre une des joues de la demoiselle, puis pose l'instant d'après ses lèvres chaudes et accueillantes contre les siennes. Un tendre baiser ? Oui, mais pas que... en fait, il s'agit même plus de lui donner de l'air qu'un vrai baiser. Elle pourra alors sentir Lyli, qui lui partage son oxygène, écartant à peine les lèvres pour expirer son oxygène dans la bouche de sa complice. Bon, ce n'est pas aussi efficace q'un grand bol d'air frais à la surface, mais ça l'aidera à tenir bon, de s'oxygéner un peu.

De toute façon heureusement, les bruits de talons à la surface s'estompent. Elles semblent partir ? Parfait, la sirène peut alors enfin rompre le baiser qui scellaient jusque là leurs lèvres, puis, toujours avec ce même sourire, lui fait signe du doigt qu'elles peuvent remonter. Ele doit surement en avoir sacrément envie.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le Aujourd'hui à 10:27:35 »
Priscilla ouvrit grand ses yeux, sans bouger, en entendant son tuteur mentionner Manchester. Son cauchemar la poursuivait, mais elle devait le dénier, elle devait tout faire pour qu'il pense que c'était un malentendu.

« N... non ? Pourquoi je penserais à Manchester ? » dit-elle d'une voix tremblante.

Son jeu d'acteur était mauvais pour ne pas dire inexistant. Non seulement sa voix frémissait mais son corps semblait à peine vouloir bouger si ce n'était que pour trembloter. Au milieu de ses tremblements, Tachibana-sensei l'avertissait de devoir faire bien mieux sous peine de devoir renoncer à ses rêves. L'étudiante était confuse. Elle ne savait pas si elle devait mettre fin à leur leçon, mais le professeur n'avait pourtant pas l'air d'avoir de mauvaises intentions, il semblait s'inquiéter pour le futur de la jeune femme, et étrangement même pour son bien être. Son touché n'était pas forcément agressif ou même déplacé, il était presque attentionné pour la rassurer que tout allait bien se passer. Il lui proposa de boire une boisson chaude pour se calmer, et comme prise par un élan d'énergie, profitant de cette opportunité, se leva d'un coup, s'enlevant du même mouvement de la main de son tuteur.

« Je vais aller faire du thé ! »


Priscilla s'excusa dans la kitchenette qui était juste à-côté pour faire bouillir de l'eau. Elle en profita pour réfléchir à la suite des évènements, mais elle devait réfléchir rapidement, elle n'avait que très peu de temps devant elle. Elle pouvait mettre fin à leurs leçons, mais si elle le faisait, elle pouvait aussi dire adieu à ses chances d'apprendre à écrire et lire la langue correctement dans le laps de temps voulu. La jeune femme n'avait aucune idée de ce que son professeur voulait faire avec l'information qu'elle était bel et bien cette pauvre fille à Manchester. Peut être qu'il voulait juste l'aider ? Ou bien il allait lui aussi la faire chanter, mais il avait l'air bienveillant pour l'instant en tout cas. Ou peut être qu'il s'en fichait tout simplement, mais garder un oeil sur lui était le seul moyen que Priscilla avait pour s'assurer que son passé ne vienne pas se répandre à Seikusu.

Elle versa deux tasses, infusées de jasmin et vint se rasseoir. Elle posa une tasse près de Tachibana-sensei qui était sur son téléphone.

« Si je me donne à fond, est-ce qu'il y a une chance que je passe mes examens ? »

Priscilla semblait craintive de sa réponse. Elle ne voulait pas répéter son passé, mais échouer était hors de question. Elle avait réussit à se défaire de ses tourmenteurs, elle devait juste maintenant réussir ses études, qu'importe si son tuteur l'avait reconnu. Rien ne serait pire que ce qu'elle avait déjà enduré à Manchester, Tachibana-sensei ne lui semblait pas être le genre de personne à vouloir faire du mal à quelqu'un, mais Priscilla était terriblement mauvaise pour juger les intentions de son entourage.
3
Les alentours de la ville / Divine rencontre...{Los Angeles} {Jin et Hédoné}
« Dernier message par Luxury le Aujourd'hui à 00:50:36 »
«Vous devriez penser à votre santé...le sport...»
«Pardon ?»
«Je disais que vous devriez...»
«Non la suite.»
«Le sport ?»
«...»

Le silence que laissa Edwina Papadakis voulait tout dire. Bien plus que si elle avait mis des mots. Installées de toute sa longueur dans une méridienne aux pieds dorés, elle regarda son vis-à-vis de la tête aux pieds, lentement, remonta ses yeux de ses pieds à sa tête, deux fois, puis soupira, avant de se redresser sur son séant.

«Vous êtes sérieux là ?»
«He bien...c’est à dire que...»

L’employé de maison n’était pas à l’aise, d’autant que sa collègue n’arrêtait pas de le regarder avec insistance depuis son poste, juste derrière leur patronne. Elle secoua la tête plusieurs fois, comme pour lui dire de ne pas continuer sur cette voie-là.

«C’est à dire que...je me suis dit que...enfin vous savez...»
«Je ne sais pas. Dites-le moi ? Je vous écoute...je suis...toute ouïe !»

Et pour appuyer ses dires, Edwina s’était penchée en avant, les coudes sur ses genoux, sans quitter des yeux l’odieux qui osait lui dire que faire de sa santé, de sa vie, de son corps...tout ce qu’elle détestait. Plus il s’enfonçait dans des recherches explicatives, plus la femme semblait prendre plaisir à le laisser se noyer dans des justifications.

« Votre médecin à dit hier, que vous deviez faire un peu d’exercice pour...»
« Non mais allez-y, sincèrement. Je ne vais pas vous manger, c’est promis. Dites moi, allez...»

Son ton, faussement maternant, était amusé, presque sadique. La jeune femme derrière sa maîtresse, continuait de secouer la tête, lui faisant des petits signes pour qu’il arrête le massacre. Car il ne ferait qu’offrir une opportunité de scandale à miss Papadakis, qui adorait ça, au fond.

«Dites le.»
« Vous devriez faire plus attention à votre poids.»

Nouveau silence, qui fut brisé par le petit bruit d’une claque sur un front. C’était la jeune domestique, derrière, qui venait plaquer sa paume contre son visage, se mordant l’intérieur de la joue pour ne pas rire. Car au fond, elle savait que l’employé avait raison.

«Charles...mon petit Charles...»
«C’est Tom madame.»
«Soit. Tommy chéri. Est-ce que je vous paie à faire la balance ? Dans tous les sens du terme ?»
«Non madame me paie pour entretenir la maison et m’assurer que les placards soient toujours garni et...»
«Donc, votre avis sur la question importe peu n’est-ce pas ?»

Le ton doucereux qu’adopta Edwina n’augurait rien de bon. Parfois, lorsque la grecque était trop calme dans ses propos, c’était uniquement comme dans l’expression «le calme avant la tempête.» De plus, il était très malvenu dans cette maison, de parler de sport, car la maîtresse des lieux avait horreur de tout ce qui lui demandait des efforts, sauf si c’était dans l’optique de trouver du plaisir. En somme, le seul sport qu’elle acceptait était le sport en chambre. D’autant que certes, elle ne faisait pas beaucoup d’exercice, oui, elle aimait manger et sa gourmandise n’était plus à refaire, mais elle n’était pas grosse. Elle avait simplement la coquetterie d’aimer laisser des rondeurs sur son corps, là où elle savait que les amants aiment à y mettre les mains. Et qu’un employé, même pas payer à son bien être physique, nouveau de surcroît, se permette de lui faire la moral, était quelque chose qui avait tendance à la mettre en colère. L’irrité. Il risquait sa place en osant des mots pareil, surtout à l’heure de la sieste digestive, un peu avant son repas de midi.

«Oui, madame. Mais. Je ne voulais pas vous...enfin je ne faisais que...»
«TAISEZ-VOUS !»

Edwina se leva, souplement, remettant de l’ordre dans son peignoir, replaçant ses orbes charnus qui menaçaient à tout moment de s’échapper du tissu finement brodé de la robe de chambre qu’elle ne quittait jamais avant sa sieste du matin. Théâtrale dans la gestuelle, elle s’approcha de Tom et pointa un doigt manucuré et empli de bagues dorées, sur son costume parfaitement repassé, sans un pli, au niveau de son petit ventre rond.

«Vous me parlez de sport, alors que vous avez la bedaine d’un homme aimant un peu trop la bière. Je me trompe ? Vous me faites la moral sur ma santé, alors que pas plus tard qu’hier au soir, je vous ai aperçu dans la rue, en état d’ébriété au bras d’une demoiselle qui l’était tout autant. VOUS OSEZ me prodiguer des conseil sans importance, juste parce que vous avez assisté à mon entrevue avec cet affreux petit personnage qui ose se dire «docteur» ?? JE VOUS EN PRIE !»
«Madame...vous ne devriez pas vous énerver, c’est l’heure de votre sieste et...vous n’allez pas trouver le sommeil.»

C’était les premiers mots depuis le début de cette conversation, qui sortirent des lèvres légèrement maquillée de Rosie, la demoiselle de compagnie d’Edwina. Une jolie brune aux boucles qu’elle laissait retombées sur ses épaules, selon les désir de sa maîtresse. La jeune femme quitta son poste derrière la méridienne et se plaça derrière Edwina qui la dépassait d’une tête, posant ses mains délicates et manucurées sur ses épaules, les lui massant délicatement.

«Madame...s’il-vous plaît.»
«BIEN...Pardon. Vous avez raison, Josie.»
«Rosie madame...»

Le timbre onctueux, la voix cristalline de Rosie avait le don de calmer le volcan avant qu’il n’entre en éruption. Et Rosie était la seule capable de cette prouesse. D’autant que Tom avait choisi le pire moment et le pire sujet à aborder devant Edwina. Ses rondeurs dérangeaient le corps médical, dans un monde où la plupart des femmes désiraient une taille fine, un ventre plat, des jambes de nymphes. Tout ce qu’Edwina ne possédait pas, elle qui avait une croupe large, un petit ventre arrondi, une poitrine lourde.

«Barrez-vous. Maintenant.»

Sa voix était froide et sans appel, contraste parfait avec le ton empli de langueur qu’elle employa la seconde d’après, tout en se laissant tomber sur sa méridienne, paupière à demi baissée sur le bleu de ses yeux.

«Josie...avez-vous des nouvelles de ce...délicieux coach sportif ?»

Peut-être avait-elle eu un ton un peu...dégoûté sur le dernier mot, mais le reste, elle l’avait dit avec un délice à peine dissimulé. Rosie soupira, s’apprêtant à corriger une nouvelle fois sa patronne sur l’emploi erroné de son prénom, mais se ravisa et alla prendre une enveloppe sur le guéridon du petit salon. Bien que «petit», il ne l’était pas.

«Oui. Il y a un courrier qui est parvenu ce matin. J’allais le parcourir lorsque Charles...je veux dire Tom, est entré madame.»
«Bien. Lisez-le moi s’il-vous-plaît. Si c’est un refus...»

Elle ne termina pas. Edwina ne supportait pas les refus et espérait que ce ne serait pas le cas, tout comme Rosie, qui savait qu’autrement, miss Papadakis allait être d’une humeur de chien pour le reste de la journée. Et elle savait se montrer infernale, tout autant que théâtrale dans sa manière offusquée et capricieuse d’être intolérante aux refus, quel qu’il soit.

«Madame...»

Mais après que la jeune femme soit arrivée à la partie «J’accepte votre demande», Edwina s’endormit, le sourire aux lèvres.

C’était il y a quelques semaines, que miss Papadakis s’était mise activement à la recherche de quelqu’un qui serait capable de l’entraîner. Évidemment, elle ne faisait pas cela pour elle, mais pour qu’on la laisse tranquille avec son poids, ses rondeurs et ses habitudes oisives. Plus désireuse de faire taire son médecin, que de réellement faire l’effort de suer un peu plus afin d’obtenir quelque chose qu’elle ne désirait même pas. Il allait de soi que son entourage n’était pas au courant que même si elle avait un léger embonpoint, cela n’allait en rien mettre en danger sa santé, étant donné sa nature divine, mais elle ne pouvait pas avancer ces arguments, au risque de se retrouver en psychiatrie ou enfermé quelque part par des scientifiques un peu timbré. Drôle d’époque…

Elle avait parcouru bon nombre de site, bataillant avec la technologie qu’elle n’était toujours pas parvenue à maîtriser, avait demandé de l’aide à Rosie, s’était tournée vers différents conseiller avant de très rapidement abandonné. C’était tout par hasard, lors d’une soirée de solitude où elle s’était tournée vers Onan, qu’elle avait vu celui qu’elle désirait à ses côtés. Jin Tanaka. Il portait un autre nom, pour le film qui lui avait permis d’atteindre le plaisir en solitaire, mais du fait de sa situation de déesse, elle n’avait pas eu besoin de chercher, contrairement au mortel, pour connaître sa véritable identité. Ce serait lui ou personne d’autre. Et lorsque Edwina avait une idée en tête, elle ne l’avait pas ailleurs.

Les semaines qui suivirent sa découverte, elle se mit à la rédaction d’une lettre, un courrier long mais précis, à l’attention du fameux Jin, ne laissant pas filtrer dans son courrier, qu’elle l’avait connu à travers un de ses films. Au contraire, elle fit preuve, selon son propre jugement, d’ingéniosité, en disant qu’elle avait eu connaissance de son nom par l’ami d’un ami, qui l’avait rencontré dans une salle de sport, quelque part au Japon. Qu’elle-même aurait beaucoup aimé venir à sa rencontre, mais que son état ne pouvait lui permettre le voyage. Oui. Quitte à se faire passer pour quelque peu indisposée, tout, plutôt que quitter le confort de son domaine.

Ses arguments pour le faire venir était plutôt alléchant. Une paie plus que satisfaisante pour quelques heures de sport, tout frais payés. Évidemment ! La richesse de miss Papadakis était sans limite, aussi, elle proposait de lui faire préparer un jet privé, qui viendrait le conduirait à l’aéroport de Los Angeles et son chauffeur viendrait le chercher afin de le conduire dans son manoir où elle l’accueillerait avec plaisir et où, s’il le voulait bien, il serait logé et nourri. Il pourrait discuter des formalités un peu plus précisément, mais tout ce qu’elle désirait et cherchait, c’était un coach sportif. Sa demande était potentiellement excentrique, mais miss Papadakis l’était tout autant. Sur elle, elle ne disait pas grand-chose. Simplement qu’elle était une femme en surpoids, selon ses médecins et afin de les rassurer, elle avait promis de trouver quelqu’un pour remettre les choses en ordre.

Edwina n’était pas aller jusqu’à lui dire qu’elle se fichait royalement de ses capacités sportives et que tout ce qui l’intéressait, c’était son physique d’Apollon. Non. Ça, elle ne le mentionna pas dans son courrier, il le découvrirait bien assez rapidement. Elle glissa la lettre dans une belle enveloppe et la posta elle-même, en grand secret. Seule Rosie et son chauffeur était au courant de sa démarche. Et elle-seule savait que Jin Tanaka n’était pas simplement un sportif aguerri et il n’était pas forcément coach, mais bel et bien professeur. Elle se doutait sans avoir à chercher très loin, que ce serait risqué d’essuyer un refus catégorique si elle mentionnait ses films. Edwina n’avait pas besoin de faire appel à sa nature de déesse pour comprendre que monsieur Tanaka ne désirait probablement pas que s’ébruite les films sulfureux dont il était le...chibre principal.

« Madame ? C’est l’heure de votre dîner...»

--------

Une semaine après réception de la lettre, Edwina fit appeler son chauffeur. Elle lui expliqua qu’il devait aller chercher monsieur Tanaka à l’aéroport et le conduire ici aussi vite que possible. Elle avait hâte de faire sa connaissance. Officiellement «J’ai envie de me remettre en forme rapidement...» et personne pour douter de ça, en tout cas pas devant elle.

«Ainsi, Jerry, il faut aller à l’aéroport. Josie à préparé un panneau avec le nom de l’homme que vous devez récupérer. Il y a son plan de vol dans l’enveloppe qui se trouve sur la table, ainsi qu’un peu d’argent au cas où ce monsieur désire faire une halte quelque part ou s’acheter quelque chose à manger...mais tâchez de ne pas traîner, vous savez que je n’aime pas attendre...»
«Oui madame.»

Jerry n’était pas son nom. Il s’appelait Terry McCoy. Mais son chauffeur était plus qu’habitué à la mauvaise mémoire des noms de sa patronne et ne s’en offusquait pas. Elle payait bien et aussi, même si elle avait voulu le renommer Lindsay, il serait aller jusqu’à changer son nom sur sa carte d’identité. Pourquoi pas ? Après avoir encore écouté les directives de la dame, Terry, un homme noir de presque deux mètres, attrapa l’enveloppe, passa prendre le petit panneau avec écrit «Tanaka» dessus et se dirigea à l’extérieur, entrant sa grande taille dans la Bentley qu’Edwina affectionnait particulièrement. Il la bichonnait d’ailleurs, fier de conduire un aussi beau véhicule.

Il ne mit pas longtemps avant de s’engager sur la route et après deux heures de trajet, arriva à l’aéroport. Il gara le véhicule directement sur la piste des jets privés, près à accueillir Tanaka, qui devait se sentir seul dans ce vol où il n’y aurait que lui et quelques employés de vol, ainsi que, peut-être, un ou deux passagers qui payaient pour voler dans le jet de la Papadakis. Il n’eut pas longtemps à patienter, adosser contre la Bentley, pour voir au loin un point qui grossissait rapidement, avant de venir se poser sans encombre sur le tarmac. Une fois le véhicule à l’arrêt, il prit son panneau et s’avança vers le jet, laissant la porte s’ouvrir et les employés laisser descendre les quelques voyageurs. Il faisait chaud à Los Angeles et c’était une journée radieuse pour emmener Jin Tanaka vers la riche femme qui l’attendait impatiemment.

----

Impatiemment était le mot. Edwina faisait les cent pas, s’arrêtant de temps en temps pour observer son reflet dans la glace du grand salon. Elle avait tressé sa longue chevelure, serti sa crinière brune de fleurs dorées et portait un collier finement taillé dont la pierre  pendaient entre ses seins. Comme toujours, elle avait de nombreuses bagues en or à ses doigts, ainsi que des bracelets assortis, aux poignets et aux chevilles, ses pieds nus sur le carrelage frais de la demeure. La robe qu’elle avait choisie était légère, largement ouverte sur ses cuisses, dans un vert tendre qui mettait en valeur le nacre de sa peau. Les tissus choisis par Edwina étaient toujours léger et doux, la dame détestant par-dessus tout de se sentir serrée dans des vêtements, certes, plus modernes, mais qui étaient bien loin du confort qu’elle trouvait dans les toilettes de style antiques.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Regalis le vendredi 17 mai 2024, 20:49:08 »
Est visiblement une fraude sur league of legend d'apres les copains et dieu sait qu'ils ont raison!  :kappa:

20:49
5
Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Em le vendredi 17 mai 2024, 20:14:55 »
C'est calme...

J'aime pas trop beaucoup ça...

Je préfère quand c'est un peu plus moins calme...

14;14
6
One Shot / Re : Hollywood Trap
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 17:50:34 »

C’est derrière moi, c’était vraiment un calvaire, une descente aux enfers pour la belle actrice, qui avait tout pour devenir la véritable icône du septième art. Depuis son Enfance, elle était baignée dans ce monde people. Grâce à ses parents qui eux aussi avaient été acteur ou bien producteur. C’était pour elle une destinée de pouvoir briller parmi les nombreuses étoiles d’Hollywood. Mais quelque chose a fait son apparition, une ombre dans le tableau qui détruit en un instant tout ce qu’elle avait construit, et pourtant, sa notoriété n’était plus approuvée. Son génie devant les caméra n’était plus à mettre à l’épreuve. Mais malheureusement son apocalypse s’appelle : Dio Brando…

Au début, quand elle regardait les infos, les magazines, elle ne comprenait pas ce que les gens pouvaient lui trouver. Certes, il était bel homme, mais il avait quoi de plus, surtout qu’il était inconnu comment s’était possible, Kim le rencontre sur un tournage, alors qu’elle devait prendre le premier rôle qu’il vient bien évidemment lui lui piquer sous le nez, la laissant se débattre avec le second rôle. C’était un échec qu’elle ne pouvait pas digérer avec le sourire, et elle décrète littéralement que cet homme lui sort par les tournées, malgré un charisme, et une prestance bien étrange qui attire la jeune fille. Sûrement cette sensation qui a poussé tout le monde à se tourner vers lui mais elle tient bon.

À la cérémonie des récompenses, elle était magnifique dans une robe bustier de couleur rouge, bordeaux, avec une parure de diamant autour de son cou au niveau de ses oreilles, puis l’un de ses doigts. Les coiffures irréprochables, elles étaient tout simplement le modèle à suivre pour toutes les jeunes filles qui désirent être à la page. et pourtant ce n’était pas sur elle, que les regards et les caméras, s’étaient tournés mets encore cet homme… d’ailleurs, alors que César était en train de faire durer un suspense qui ne l’était pas. Tant pour elle, l’annonce de celui qui gagne le plus grand Graal. C’était Dio.

Kim reste dans son coin en tenant fermement son petit sac à main. Elle voulait que cette soirée se termine le plus vite possible alors qu’elle était prête à se diriger vers la pièce de réception où il y avait un énorme buffet et de quoi boire pour oublier ce calvaire. l’acteur n’a aucune pudeur à venir se présenter devant elle pour lui demander si ça va

Eh bien si tu attends comme réponse que oui ça va, ce serait plutôt mentir mais félicitations pour ton prix… je pense que tu vas avoir beaucoup de mains à serrer… donc je ne vais pas te faire perdre ton temps

Alors qu’elle était prête à tourner les talons, son corps refuse de bouger. Il y avait une attraction bien étrange qu’il dégage et au fond d’elle, son instinct vient lui signifier qu’elle ne devait pas rester trop longtemps à ses côtés, mais ce n’est pas pour autant qu’elle arrive à se mouvoir. Bien évidemment, cette confrontation n’échappe pas au regard des journalistes qui viennent prendre LA photo et demande le ressenti de la jeune fille à haute voix : qu’est-ce que ça fait de perdre le prix, est ce qu’elle était contente pour son homologue est-ce qu’il y avait quelque chose entre les deux ? Est-ce que est-ce que est-ce que est-ce que… beaucoup trop de questions avant d’entendre ce qu’elle redoute le plus, un journaliste qui espère pouvoir prendre en photo les deux acteurs de manière plus convivial
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One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« Dernier message par Lilly le vendredi 17 mai 2024, 17:43:34 »
INTRODUCING:


***************

Si quelqu'un ou quelque chose pouvait se plaindre à cet instant, c'était bien la porte de la chambre de Souta. La malheureuse se faisait raboter par Kimberly qui en prenait tout autant. Sauf que pour la californienne, c'était calculé, voulu, désiré et intensément vécu. Tordue dans une position à peine tenable, elle prenait de plein fouet le résultat de l'abstinence récente du garçon. Il l'avait pliée et martelait frénétiquement entre ses cuisses. A coup sûr, elle en ressortirait avec des bleus et des crampes. Néanmoins, elle gémissait tant et plus, se moquant du boucan qui résonnait dans le couloir.

Souta y allait dur et Kimberly avait l'impression d'accoucher à chaque fois qu'il se retirait d'elle. Bien qu'il la tienne, elle avait réussi à caler le creux de ses genoux sur les épaules du garçon et ses jambes battaient l'air au rythme du bourrinage. C'est exactement ce qu'il lui fallait: pas de demi-mesure ni de trucs trop mignons. Elle répondit à la langue de Souta en lui mordant le menton avant de lécher la marque que ses dents avaient laissé. Ensuite elle aussi s'appliqua à humidifier le cou du garçon avant de revenir se perdre au contact de ses lèvres. C'était chaud mais incomparable avec le surmenage de son cratère personnel. Entre ses cuisses, dans son ventre, tous ses muscles étaient contractés autour de la queue de Souta comme s'ils voulaient l'arracher à son propriétaire. Il devait forcer sans merci pour passer puis se concentrer comme un dingue pour en sortir. Le message était clair puisque quand elle le voulait, l'accès était aussi accessible qu'il le voulait. Cela n'avait rien à voir avec du masochisme, Kimberly aimait juste se faire secouer méchamment.

Mais le bougre savait y faire et elle qui comptait bien résister le plus possible hurla aussi fort que son orgasme la ravagea. Elle se cambra au point de réussir l'exploit de le repousser un peu, avant de s'affaler contre son corps musclé alors qu'il ne cessait de lui faire un sort. Béate, elle décida qu'il fallait absolument qu'elle préserve cette pépite de l'agression prochaine des autres filles.

Et c'est précisément à cet instant, alors qu'elle dégoulinait de cyprine, qu'une voix énervée résonna de l'autre côté de la paroi qui séparait sa chambre de la 307. Swan braillait.

Swan: "C'est pas fini ce bordel???"

Et pour lui faire écho, on tambourina à la porte.

Kimberly: "On s'en fout ... Finis! Lâche tout!!"

Et experte et souple comme elle l'était, elle parvint à glisser une main entre leur deux corps pour lui saisir la base de la queue et le branler en elle. Hors de question qu'elle reparte sans sa dose!! Pour inciter Souta à suivre son exigence, elle lui murmura à l'oreille des insanités qui auraient fait rougir de honte n'importe quelle mère maquerelle.

OoOoOoOoO

De l'autre côté de la porte, Daniela et Ayame écoutaient le couple s'envoyer en l'air. La chambre de Daniela était toute proche et les deux filles y travaillaient quand, comme tout l'étage, elles avaient été dérangées par le bordel de Kim et du nouveau gardien. Alors quittes à être dérangées, autant que ce soit pour quelque chose. Bien entendu, elles suivaient de près les commentaires du chat perso qui se garnissait de commentaires bien gras. Elles avaient aussi entendu Swan gueuler et connaissant bien le caractère de cette dernière, elles avaient pris les devants avant que cette dernière ne vienne enfoncer la porte. Daniela frappa encore à la porte.

Daniela: "Kim! Tu fais chier! Ouvre!!"


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Ville-Etat de Nexus / Re : Le dieu sauvage et ces bourses pleines (PV->Neel)
« Dernier message par Kana le vendredi 17 mai 2024, 17:11:15 »
Je souris à sa vanne, comme tous les mâles j’ai envie de dire mais je garde ma bouche fermer. Je me remonte rapidement sur lui et l’embrasse tout en pressant mes seins contre son tors, les mâles aiment ça, et rapidement il vient les empoigner pour confirmer ce que je pensais. Je lui demande alors s’il a encore envie, et sa réponse ne se fit pas attendre, un gros “oui” se fit entendre. Je me couche alors sur le dos et l’invite me prendre comme il l’entendait, et il ne se fit pas prier, mais pas dans cette position.

Il claqua des mains et me retourna pour me mettre à quatre pattes, il se mis derrière moi et je peux sentir ces queues se mettre en place. Cela me faisait plaisir qu’il prenne une initiative, jusqu’à présent il avait TOUT fait pour me satisfaire moi, mais sans grand intervention personnelle. Hor j’aimais bien qu’un homme prenne soin de sa femelle, mais qu’il impose ce qu’il veut aussi. Je sentis rapidement le début de ces pénis entre en moi, mais sans défoncer les entrées, il n’y allait pas comme un barbare au moins.

Je gémis doucement à ces allée et sortie en moi, aimant particulièrement les picots qui forte mes paroi interne. Il me dit alors en m’agrippent par les épaules, qu’il me donnerait autant de sperme que mon imagination le veut, ce qui le faisais retourner dans ces mauvais travers...

- J’en veux autant que ce que tu en donner naturellement, sans interférence de ma part...

Je pense avoir été claire sur mes intentions et joins même le geste à la parole en imaginant le dieu et ces pénis me prendre comme IL le veut vraiment sans interférence de ma part. Il me prend alors par les seins, facilement trouvable grâce à la lubrification mise plus tôt, et tire sur mes tétons avant de rentre la totalité de ces pénis dans mes deux trous. Personnellement je m’agrippe aux rebords de mon lit et le laisse faire son travail de mâle alpha.

-Oh ouai... mon mâle a moi...

Je passe une main sur mon ventre pour confirmer ce que je pensais, il n’avait pas un pénis de cheval, mais je sentais quand même son pénis en moi, surtout les picots qui déclenche des gémissements incontrôlés à chaque aller et retour...
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Le Musée / Re : Re : Re : Entre les nus & les aquarelles [PV ASTRAL BOND - HEI]
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 16:26:55 »






Elle aime tellement se faire baiser la bouche comme ça qu’elle pourrait le faire toute la journée avec autant d’hommes qu’il le faut. Et apparemment c’est nouveaux Maîtres avaient l’air d’être friands de ce genre de choses. Elle allait pouvoir s’en donner à cœur joie pour extérioriser ce côté nymphomane. Alors qu’elle était en train de subir les coûts de bassin dans sa gorge, il vient se libérer à nouveau pour venir lui faire boire ce qui allait être sa boisson favorite sans nul doute. Elle vient aspirer le sperme comme elle pouvait pour boire en plusieurs gorgées de tout, malgré la position qu’elle pouvait avoir pour finalement sentir sa grosse, bite sortir de sa bouche dans un bruit de ventouse, elle garde ses lèvres ouvertes pour respirer fortement en gardant la langue en dehors pour bien lui montrer qu’elle avait tout avalé

Haaaaa… c’était terriblement bon un goût parfaitement exquis pour ma bouche de salope

Tenshi alors lui laisser le loisir de reposer sa queue contre sa joue pour s’frotter et venir lui souiller le visage. Heureusement que son maquillage pouvait tenir. L’humidité est rester en place. Au bout d’un moment, elle se redresse pour se et reviens se mettre en position assis sur l’une des caisses., elle attrape la cravate du manager pour le tirer contre elle, afin qu’il puisse garder sa grosse queue contre sa chatte, complètement trempée et pleine de sperme et de mouille

Je suis tellement heureuse que vous puissiez valider mes aptitudes à vous satisfaire. J’espère que les autres seront du même avis que vous.…haaaan tellement comment est-ce que vous pouvez me baiser et surtout que l’endroit quel qu’il soit ne vous fait pas peur.

Tenshi Se mordit et se lèche la lèvre avant de se redresser pour venir l’embrasser en jouant avec sa langue de manière vulgaire et continue de faire frotter ses gros seins contre lui alors qu’elle garde ses cuisses bien ouverte pour lui montrer l’œuvre parfaite du manager sur son corps
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One Shot / Re : Re : Re : Prince & Princesse. [ft. Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le vendredi 17 mai 2024, 15:53:55 »






Tenshi avait elle aussi eu son orgasme en même tant que lui, elle était terriblement en colère intérieurement d’avoir pu offrir ça à un traître au lieu qu’à son futur mari mais ce n’était pas à lui qu’elle était en train d’en vouloir, mais plutôt à elle car elle venait de prendre un plaisir monumental à se faire baiser de la sorte. Alors qu’elle reste sur lui pour le laisser se vider complètement dans sa chatte il a clairement l’intention de la garder, rien que pour lui et cela à vie. Elle savait très bien qu’elle devait encore essayer de tenir Bon pour ne pas laisser sa volonté. Partir en éclat mais là toute seule il n’y avait personne pour l’aider à faire face à cet homme, bien plus puissant.

Haaaan… je n’essaye pas de cacher mon jeu…haaaaan

Elle devait se résigne toutes les paroles qu’il était en train de lui offrir n’étaient que pure vérité, la vie de noble, ce n’était pas pour elle à la base, mais elle n’avait pas vraiment le choix alors que maintenant elle ne l’avait toujours pas mais elle n’était pas tenue de tout le cinéma, qu’il fallait faire pour rester dans les bonnes Graces de sa belle-famille. Elle se laisse alors manipuler comme une poupée pour revenir à genoux et poser mains par terre pour se cambrer et mettre sa grosse poitrine. En avant, elle pouvait bien sentir le sperme qui coule sur le sol du palais, tout en regardant la grosse bite qui continue de venir la faire, languir Intérieurement. Son regard était autoritaire, et il parlait pour lui, sans avoir besoin de mots pour exprimer son désir actuel

Vous ne pouvez pas comprendre que ce résigner, ce n’est pas facile…

Elle se mordit la lèvre avant de revenir à quatre pattes entre ses cuisses pour por sa tête, faire la grosse bite. Tenshi laisse sa langue revenir contact de sa grosse queue pour la lécher surtout la longueur ne pouvant s’empêcher de gémir. Elle vient de de plus en plus se coller contre le corps de son nouveau propriétaire ouvrant bien la bouche pour venir sucer le gland en faisant bouger sa langue dessus, comment est-ce qu’elle pouvait encore lui dire non, alors qu’elle était en train de revenir le sucer sans y être vraiment forcée
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