Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Mario

E.S.P.er

Intrus. [Mary-Lou Nolan]

mardi 29 juin 2010, 20:51:24

Bien qu’il n’ait jamais été lycéen ici, et qu’il ne le soit pas plus présentement, Mario s’était retrouvé dans une salle de cours. Non pas qu’il ait pour les lieux un quelconque intérêt, mais tout simplement parce qu’un peu plus tôt, alors qu’il marchait dans le couloir – sans plus de raisons d’ailleurs – il avait vu la lumière bleuté d’une télévision s’épanouir dans l’obscurité. Lorsqu’il avait pressé le pas, on l’avait entendu et il avait rapidement vu des jeunes gens en train de fuir la présence de ce qu’ils pensaient être la pionne… Celle-ci dormait en réalité profondément au premier étage du bâtiment et ne risquait pas de poser problème aux lycéens ou à l’intrus. Allant jusque dans la salle où on avait pas eu le temps de récupérer le DVD, il fronça les sourcils et usa de la télécommande comme on le lui avait appris à peine quelques semaines plus tôt lorsqu’il s’était retrouvé par un hasard plus que douteux sur Terre. Actionnant quelques boutons il tomba bien vite sur le sujet du délit des internes. En effet ils s’étaient glissés jusqu’ici pour voir un film pornographique, lequel mettait au centre des festivités le plaisir – et la dilatation – anal. Restant un moment sans trop savoir quoi faire d’une pareille vidéo il se souvint de la pratique connue sous le nom de masturbation. Le novice du sexe – bien loin de l’être en ce qui concerne le corps humain – se mit alors à s’astiquer volontairement tout en tentant de trouver de l’inspiration dans les images plutôt choquantes qui s’affichaient à l’écran. Celui-ci était d’ailleurs tout aussi visible que son sexe lorsqu’on franchissait la porte… Et celle-ci fut franchie !

Mary-Lou Jonhson

Invité

  • Messages:

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 1 mardi 29 juin 2010, 21:02:54

Elle fut franchie en effet, par Mary-Lou. Mary-Lou qui avait été élue déléguée de classe à l'hunanimité à peine quelques jours plus tôt. Pourquoi? Parce qu'elle était d'une simplicité navrante à manipuler, et obstinée quand on savait la manoeuvrer. Ca, tout le monde l'avait compris depuis le temps, aussi ses camarades en profitaient-ils sans la moindre gène. Au conseil de classe, ils lui disaient presque mot à mot ce qu'elle devait dire pour chacun. En cours, ils lui soufflaient des questions, qu'elle devait poser alors qu'elle en ignorait le sens. Oui, ces taquineries pavaient ses journées. Et celle de cette journée-ci était d'aller dans la salle indiquée à l'heure à laquelle ils savaient pertinemment que d'autres regarderaient un film pornographique. Ils voulaient évidemment voir si elle partirait en courant, choquée, comme ils le supposaient. C'était une preuve de leur ignorance concernant Lou. Enfin bon...
La porte fut franchie donc, au moment le moins opportun puisque quelqu'un était déjà là. Et pas en train de faire du tricot. Enfin... La baguette qu'il avait dans les mains était un peu plus particulière que celle qu'on utilise pour faire du tricot. La tête de Mary-Lou s'inclina sur le côté et elle sourit, avant de secouer négativement la tête.


- Tu aurais dû fermer la porte si tu voulais quelques instants d'intimité pour te faire du bien. Ne fais pas attention à moi, je ne fais que passer.

Elle avait toujours trouvé dommage que des garçons doivent recourir à ce genre de pratiques, mais bon. Ca les regardait après tout. Lou ne prêtait pas d'attention au film, c'était à peine si elle avait réagit en le voyant. Elle n'était pas frigide, loin de là, ça n'était tout simplement pas des choses qui l'excitaient. Elle était plus tactile et textuelle que visuelle, ainsi va la vie. Donc pendant que Mario faisait sa petite affaire, elle elle furetait dans les différents coins de la salle pour essayer de trouver le petit canard en plastique qu'on lui avait demandé de redescendre.

Mario

E.S.P.er

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 2 mardi 29 juin 2010, 21:16:48

A vrai dire Mario n’était pas dans le cas des garçons qui ont pour habitude de se donner ce genre de plaisirs solitaires. Il essayait simplement d’expérimenter la chose et ce pour la première fois de sa vie. En effet, le jeune qui quelques jours plus tôt n’avait jamais vu un sexe féminin en face, était aujourd’hui sur la voie de l’apprentissage sexuel. Il avait remarqué que contrairement à la plupart des gens sa douleur et son plaisir physiques n’affectaient pas son esprit. En effet il pouvait tout à fait rester de marbre alors qu’on lui tordait le bras, ressentant la douleur comme une information et rien de plus, et il en allait de même lorsqu’il s’agissait de se masturber. Il sentait son corps s’ouvrir à l’effort et apprécier les caresses à grand renfort d’hormones et d’accélération cardiaque, mais au-delà de ça, ça n’atteignait pas son esprit. Le plaisir était une simple information.  Pourtant il avait déjà pris du plaisir au sexe, en donnant du plaisir. Ca ne faisait pas pour autant de lui quelqu’un de particulièrement charitable et un amant véritablement charmant.

En effet il avait découvert le sexe avec une jeune soumise qui lui avait fait comprendre qu’être dominée était un plaisir pour les femmes. Cette première impression était maintenant totalement ancrée en lui et alors qu’il était entièrement nue, il bondit avec l’agilité d’un félin sur l’une des tables d’élèves puis rapidement se porta jusqu’à la jeune fille, retombant sur le sol tout en la plaquant contre l’armoire qui se trouvait en bout de salle. Le jeune homme n’était pas particulièrement loquace, mais elle comprit bientôt quelle était son intention lorsqu’il la saisit par les cheveux et d’un mouvement de hanche digne de l’artiste martial qu’il était, la fit pivoter pour qu’elle se retrouve face au meuble. Elle put alors sentir le majeur et l’index en train de masser l’entrée de sa voie la plus étroite au travers du tissu. Alors qu’il la tenait toujours par les cheveux et qu’il poursuivait avec insistance, il voulait sans doute qu’elle se déshabille toute seule.

Mary-Lou Jonhson

Invité

  • Messages:

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 3 mardi 29 juin 2010, 21:37:34

Et bien! La moindre des choses à reconnaître au sujet de cet homme était qu'il n'y allait pas par quatre chemins, ne tournait pas autour du pot. Il allait directement droit au but. Elle ne savait même pas son nom. Mais à la réflexion, ça n'était pas tellement important. C'était même excitant. Un bel homme qui voulait la prendre comme ça alors qu'ils ne se connaissaient pas... Oui, un fantasme qu'ont beaucoup de gens, parmi lesquels Mary-Lou. Aussi, si elle fut surprise au début de le retrouver si près et qu'il la saisisse par les cheveux, elle ne luta pas, se laissa aculer contre l'armoire et ne chercha pas à l'empêcher de glisser sa main sous la jupe courte de son uniforme. Les caresses prodiguées lui firent monter le rouge aux joues et rendirent inégale sa respiration. La tête de Lou s'inclina sur le côté alors que ses épaules s'afaissaient et que sa bouche s'entrouvrait.
Elle ne comprit pas les attentes immédiates de Mario cependant. Elle su qu'il avait envie d'elle, sa main étant en train d'aller et venir sur son corps, lui donnant chaud et une envie toujours plus présente de sexe, mais de là à deviner qu'il souhaitait qu'elle enlève elle-même son uniforme d'écolière... Peut-être aimait-il arracher les vêtements? Peut-être aimait-il coucher alors que sa partenaire avait toujours les siens?

Autant de possibilités toutes plus probables les unes que les autres, et qu'une jeune femme l'ayant vu depuis à peine trois secondes ne pouvait deviner. Aussi, pour ne pas rester les bras balant uniquement, le seul geste qu'elle esquissa mais non des moindres fut celui de remplacer les doigts de Mario sur sa virilité et de poursuivre ce qu'il avait commencé en solitaire.
Aussi les mains de Lou vinrent enserrer le membre du jeune homme et entamèrent une série de va et vient lents et fermes, accélérant un peu de temps à autres ou au contraire ralentissant, en réactions aux sensations que faisait naître Mario en elle.
« Modifié: mardi 29 juin 2010, 21:57:21 par Mary-Lou Nolan »

Mario

E.S.P.er

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 4 mardi 29 juin 2010, 22:10:16

Il s’attendait à ce qu’elle comprenne qu’il voulait qu’elle se déshabille mais de toute évidence ça n’était pas aussi explicite qu’il le pensait. Et bien soit, de toute évidence son état de novice n’était pas encore résolu. Il ne montra cependant aucun signe d’impatience et attrapa le sous-vêtement qu’il était en train de caresser au niveau de la petite entrée de la jeune femme. Tirant brusquement sur celui-ci, il la fit glisser en arrière, son visage se baissant alors qu’elle avait les fesses plus en arrière.

Dans un craquement, l’étoffe s’était déchirée et il la laissa tomber au sol. Mario était toujours persuadé que faire preuve de bestialité, dans une violence dominatrice purement dirigée vers le sexe, était le meilleur moyen de lui donner du plaisir. Il laissa son corps produire plus de salive qu’à l’accoutumer alors que d’un coup de hanche il empêchait la jeune femme de toucher à son membre plus longtemps, lui intimant tacitement l’ordre de rester bien dos à lui. Il joignit ses lèvres et laissa couler la salive sur sa queue qui n’avait rien de surdimensionnée et tout d’humaine. Le liquide nappa celle-ci et il prit bien soin d’en répartir une couche uniforme sur le gland avant de brusquement s’avancer. Son sexe dressé et parfaitement dur, du fait de la science du corps de ce jeune homme, entra de tout son entier dans le cul de sa partenaire.

Il resta bien collé à elle et laissa coulisser ses pouces entre les reins de la jeune femme. Dans son dos, près de sa colonne, puis plus vers ses hanches. Il passa alors sa paume sur la croupe de la belle et d’un mouvement puissant insuffla une chaleur experte qui vint soulager ses muscles lisses, dilatant ses vaisseaux sanguins et amenant son anus à se dilater largement. Sentant la tension peu à peu disparaître dans les muscles de son dos et autour de son pénis, l’éphèbe entama des vas et viens brutaux, la maintenant par les hanches pour employer toute la force qu’il avait obtenu du fait de sa pratique martiale depuis tant d’années. Autant dire que la jeune fille se retrouva bientôt plaquée contre le meuble, joue et poitrine écrasées contre le battant de bois alors qu’une sodomie sévère et brutale s’opérait avec une expertise du corps qui était toute étrange pour quelqu’un qui savait si peu de chose au sexe quelques jours plus tôt.

Mary-Lou Jonhson

Invité

  • Messages:

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 5 mercredi 30 juin 2010, 00:31:34

Lou était toujours réticente à ce qu'on la prenne par ce côté là. Souvent, parce que la première entrée était douloureuse, et parce que parfois, la douleur ne laissait pas la place au plaisir, comme elle l'aurait dû. Aussi la plupart du temps laissait-elle faire et simulait-elle le plaisir, ses cris de douleur passant aisément aux yeux de celui qui s'en fiche comme des cris de plaisir.
Si le fait de déchirer sa culotte l'excitait en effet, ça lui posait aussi un certain problème. Comment allait-elle terminer sa journée? Sa jupe était courte, ça ne resterait pas inconnu des gens bien longtemps qu'elle n'avait plus de culotte. Mais bon, sans doute en avait-elle une dans son casier. Elle irait l'enfiler dans les toilettes, après avoir été la chercher, quand le jeune homme en aurait fini avec elle. Certains diraient que Mary-Lou n'était qu'un sac à foutre. Ils auraient probablement raison. Il faut cependant voir aussi ça comme un choix. Un choix de la jeune fille de se préserver de la souffrance. Chaque fois, elle tombait sur plus fort qu'elle. Si elle se refusait, elle ne doutait pas qu'ils avaient la force et l'envie de la violer. Alors, quitte à recevoir quand même les "hommages" de ces hommes, autant y prendre plaisir aussi. Ca l'empêchait de déprimer et de se morfondre et c'était bon, pour le moral et pour ailleurs.

Ses fesses se retrouvèrent donc offertes sur un plateau d'argent à Mario et ses mains bannies de son membre. Elle devait donc faire l'étoile de mer? Parfait, moins on en fait, mieux on se porte. Elle se servit donc de ses menottes nouvellement absoues de tout effort pour se retenir contre la porte en bois de l'armoire. Mario avait raison, se retrouvée dominée ainsi était exceptionnellement excitant. Elle ne put réprimer cependant un bref cri de douleur quand il s'imisça en elle jusqu'à la garde dès sa première entrée. Haletante, elle chercha à reprendre  une contenance alors qu'elle sentait les doigts de l'intrus se mouvoir sur sa peau, décrivant des caresses un peu spéciales car très ciblées, mais loin d'être désagréables, bien au contraire. La chaleur prodiguée par Mario se diffusa autour de la zone qu'il avait traité, et Lou poussa un profond soupir de soulagement, accolant son front contre l'armoire alors qu'elle sentait ses parois anales déserrer lentement leur étreinte autour de la hampe de Mario, celle-ci devant rapidement beaucoup moins douloureuse.
Et bien mieux que douloureuse, la présence de la stribe dans son fondement devint un plaisir. Un plaisir qui se vit s'accroître alors que l'intrus entamait des mouvements brutaux qui la contraignaient contre le meuble mais le faisaient également bouger sensiblement à chacune de ses poussées.

Lou ne tarda pas à se mettre à gémir de plaisir, ce qui l'étonna elle-même. Ca n'était pas si rapide d'habitude.


- Hmmmm... Oui... Encore...

Mario

E.S.P.er

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 6 mercredi 30 juin 2010, 11:27:32

Le jeune homme fut bien content d’entendre ces quelques mots. Lui qui ne prenait pas de plaisir physique à l’acte était bien heureux de pouvoir en donner, d’autant qu’il semblait avoir trouvé la formule magique en la personne de Lili. En effet celle-ci lui avait fait découvrir le sexe, lui faisant comprendre comment dominer et à présent il en était certain, c’était en dominant qu’il amènerait à la jouissance ! Il la prit fermement par les cheveux d’une main tout en contrôlant toujours son bassin de l’autre. Son membre continuait de la prendre avec brusquerie, allant en elle comme une arme qui perfore la chair de l’ennemi, mais là où venait la douleur c’était du plaisir ici, là où venait la mort c’était l’orgasme ici. La petite mort, justement. La prenant toujours avec brutalité, il pouvait sentir l’orifice frotter contre son membre lubrifié de salive, peu à peu une chaleur douce s’en dégager. Puis il commença à sentir quelque chose de plus intense, la chaleur devenait plus grande, presque brûlante, autant due au désir de sa partenaire qu’au frottement de leurs chairs intimes. Son petit cul était chaud et réellement plaisant à prendre pour bien des hommes, il n’en doutait pas. Dans son cas la chose inspirait à son corps bien des efforts mais ça n’atteignait pas vraiment sa pensée, celle-ci n’était tournée que vers le plaisir de sa partenaire et celle-ci lui en demander plus.

Tirant sur ses cheveux pour bien la cambrer en arrière, il accéléra significativement ses mouvements de hanche. Le corps rompu à l’entraînement que portait le jeune homme se mit en branle avec une fluidité pour le moins déconcertante. Tout d’abord sans le moindre à-coup, il effectua de brusque allaient et retours, puis finalement prolongea le mouvement jusqu’à ce que son bassin claque contre les fesses de la belle, ses couilles allant brusquement à la rencontre de sa féminité. Les doigts qu’il avait sur sa hanche glissèrent alors jusqu’à son intimité, glissant des caresses d’une délicatesse infinie sur l’épicentre de ses plaisirs tout en la prenant avec bestialité. Oui, Mario était en train de l’enculer brutalement, la sodomisant avec la ferveur d’un animal ! Tout son être n’était plus qu’une illusion créée pour l’amener à la violence sexuelle. Ses muscles et son âme ne comptaient plus, ne rester plus d’important que l’action de sa queue si vivace dans le fondement de la belle, la douceur de ses doigts sur sa perle de bonheur. Plus rien n’existait sinon cet acte sexuel si avilissant aux yeux de certain et auquel il s’adonnait avec un plaisir sans cesse renouveler. Puis soudain il se retira de son cul, le laissant béant à la sortie de son membre, comme s’il refusait de se refermer et de refuser l’entrée à cette virilité qui l’avait si puissamment abusé.

Usant de la main qu’il avait dans les cheveux de la belle, il la fit pencher sur le côté jusqu’à ce qu’il l’amène à genoux, sur le sol, de sa main libre il lui fit une légère clef de bras et appuya sur sa tête jusqu’à ce que sa joue et sa poitrine s’écrasent sur le dallage de la salle de cours. Son membre dressé perfora alors la fine barrière de ses lèvres intimes et poursuivit son chemin jusqu’à ce que la chaleur de ses testicules viennent se poser sur le clitoris de la belle. Il relança alors ses efforts de vas et viens, son bassin – qui n’était pourtant pas si épais que ça – la poussant vers l’avant à chaque fois qu’il venait frapper ses fesses. La jeune femme glissait peu à peu part terre sous l’effet des coups de bélier de ce corps de combattant.

Mary-Lou Jonhson

Invité

  • Messages:

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 7 vendredi 09 juillet 2010, 11:14:30

Mary-Lou et Mario n’avaient rien à envier aux protagoniste du film qui passait dans leur dos, et où une femme subissait le même traitement que celui que lui infligeait Mario présentement. Comme un outrage même, une plaisanterie plutôt glauque, les gémissements de Lou à chaque coups de reins du combattant, qui faisait s’enfoncer à chaque fois au plus profond de son fondement son membre viril, trouvaient écho dans ceux que poussaient l’actrice porno. Plus encore, ceux de Lou étaient bien plus convaincants.  Sa voix était plus fluette, plus douce. Lou étaient une jeune femme relativement innocente, elle ne cherchait pas à déguiser ses cris. Ils étaient comme des diamants bruts et n’avaient rien d’édulcoré ou d’exagéré comme ceux de la femme derrière eux.

Pour ne pas souffrir quand Mario lui tirait les cheveux, Lou suivait les mouvements qu’il imposait à son corps sans se plaindre. De toutes façons, qui aurait eu envie de se plaindre quand on atteignait aussi rapidement et aussi brutalement des niveaux pareils de plaisir ? Pas Lou en tous cas, qui adorait le sexe et la sensation de chaleur que l’activité lui faisait éprouver, du creux des reins jusqu’aux pieds en passant par sa poitrine, ses doigts et sa tête. Témoin de l’excitation et de la béatitude sexuelle dans laquelle la plongeait Mario, de la mouille s’écoulait en abondance de son intimité, coulant sur la peau fine de ses cuisses et traçant des sillons humides jusqu’au creux de son genou, où des gouttes se détachaient alors pour tomber sur le sol. Les doigts du jeune homme n’avaient encore qu’effleuré son intimité qu’il pouvait déjà en apprécier l’humidité. Pire encore lorsqu’il se mit à titiller son clitoris. La bouche de Lou s’entrouvrit alors que sa tête se rejeta en arrière et qu’elle se cambrait, entièrement soumise aux gestes du combattant et ne pensant plus qu’à son plaisir. Si quelqu’un entrait à ce moment là, nul doute que sa réputation en prendrait un coup sérieux. En même temps, ce n’est pas comme si elle avait voulu avoir une réputation ou quoique ce soit de ce genre. De toutes façons, même si c’avait été le cas, Lou n’aurait jamais pu s’interrompre. Elle voulait que Mario la fasse jouir, quoiqu’il arrive.


-Aah… Oui… C’est bon… Encore… J’en veux plus…

Difficile à satisfaire en plus la coquine, puisqu’elle voulu appuyer sur les doigts de Mario afin de le contraindre à les faire entrer en elle, mais il ne lui en laissa pas l’occasion. Se retirant d’elle, la faisant craindre un instant qu’il ne la laisse insatisfaite dans un état d’excitation aussi avancé, elle se plia à sa volonté une fois encore, attendant la suite, son intimité frémissant rien que d’y fantasmer. La clé de bras était superflue, le contact du carrelage froid contre la peau bouillante de la jeune femme était bien plus intéressant que la lutte ou la passivité.
Lou récupéra ses bras et posa ses mains au sol, alors que Mario s’emparait cette fois de son vagin, sans la moindre douceur. Son hymen craqua, elle poussa un cri de douleur. Mais elle ne se débattit pas, elle était habituée. Elle savait qu’il fallait toujours en passer par là avant de connaître l’orgasme. Haletante, les coups de butoirs du combattant lui firent légèrement tourner la tête, la faisant un peu glisser malgré elle contre le carrelage. Elle raffermit alors sa position et campa ses mains sur le sol, stabilisant sa pose et pouvant cette fois se laisser enivrer par le plaisir. Chaque entrée en elle la faisait gémir, un peu plus fort et un peu plus aigu à chaque fois.


-Oui ! C’est bon ! Plus fort ! Plus fort !

Mario

E.S.P.er

Re : Intrus. [Mary-Lou Nolan]

Réponse 8 dimanche 11 juillet 2010, 12:10:59

Le combattant était heureux, elle était en train de crier, hurlant son bonheur au travers de cette salle au point qu'on devait l'entendre dans tout l'étage. Celui-ci bien heureusement se devait d'être désert. Mario, qui n'avait plus aucun intérêt pour la vidéo depuis l'arrivée de la jeune fille, ne se fit pas prier lorsqu'elle lui demanda d'aller plus fort. Il appliqua tout son don à prédisposer ses membres à l'acte sexuel.

Son sceptre des délices, plus dur que jamais, palpité sous un rythme cardiaque croissant, les veines qui parcouraient le membre semblant aussi solides que celui-ci, déformant en des lignes hasardeuses l'intérieur de la jeune femme, venant stimuler jusqu'aux zones les plus agréables de son anatomie. Pendant ce temps il employait deux de ses doigts à frotter avec insistance le clitoris de la belle alors que de son autre main il la tenait fermement par une hanche pour être certain qu'elle subissait l'entière puissance de ses à-coups dévastateurs. Il soupirait, laissant échapper dans les airs le détail de son effort physique. Son corps réagissait d'une manière merveilleuse à la jeune femme, cette voie plus confortable en cela qu'elle était parfaitement lubrifiée berçait avec grandeur les instincts animaux de ce jeune homme.

Celui-ci, conscient de son corps dans son entièreté, voyait dans ses flux toute l'énergie que sa chair avait à vouloir communier avec celle de la splendide demoiselle. C'était comme si cette communion était un ordre plus qu'un choix, comme si au plus profond de lui la chaleur était plus vivace que jamais. Sans doute aurait-il été en danger de mort, son corps n'aurait pas été plus actif qu'à présent. C'était merveilleux, lui qui avait toujours fuit la destruction des corps il voyait là tout le sublime qu'ils pouvaient avoir. Chaque courbe de la belle l'attirait, comme si la moindre parcelle de son corps était l'objet de son désir. Il voulait l'entendre jouir, oui, qu'elle hurle à s'en décrocher la mâchoire. Il voulait l'entendre atteindre le paroxysme de cet extase charnel...

Sans qu'il le sache, deux paires d'yeux innocents en la personne de deux étudiantes venaient de se profilaient à la porte.


Répondre
Tags :