Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Verena

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: lundi 16 juillet 2018, 00:05:29 »
Elle se fout de moi ! Je ne suis rien pour elle, à part un exutoire pour satisfaire ses instincts. Elle me le confirme même, sans détours :
« Silence ! Les chiennes ne parlent pas, elles aboient ! »

Heureusement qu'elle m'écoute quand même un peu, et qu'elle arrêt de me triturer le cul sans aucun égard. Heureusement encore qu'elle remplace ses doigts par sa langue. C'est si doux, je ne pensais pas que c'était aussi excitant par là. Je me laisse faire, je commence même à onduler des hanches. Je comprends pourquoi elle aime que je lui fasse pareil, et je redouble même d'efforts. Et, vu comme appuie son cul sur mon visage, c'est qu'elle aime vraiment
« Hmmm... tu es délicieuuuuse... »
Ca m'aurait fait plaisir d'entendre ça, si elle n'avait pas labouré mes cuisses en même temps !

Pourtant, je m'applique, alors qu'elle lève son bassin.
« Oh Elisabeth, je voulais vous... »
Elle claque avec violence ses fesses sur mon visage, un coup féroce qui me fait mal. Je dois endurer, mais elle recommence à délirer.
D'ailleurs, elle recommence, tout court, relevant son bassin.
« Elisabeth, ce n'est pas ce... »
Elle le reclaque plus violemment encore, comme pour me faire vraiment taire. Les fluides encore présents sur mon visage, et encore prêts dans son bas-ventre, recommencent à se mélanger sur moi. Et encore ! Et encore !

Je ne peux rien dire, juste subir.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 15 juillet 2018, 22:34:37 »
« Justement, salope. Justement. »
Le mot claque pire qu'un fouet. J'ai envie de lui dire que je ne suis pas une salope, mais, avec tout ce que j'ai déjà fait, elle en ricanerait, et le doute n'est même plus permis.
Mais, là aussi étrangement, ce mot claque comme s'il prolongeait encore le soulagement de ma vessie ; je n'avais jamais uriné aussi longtemps, à moins que je n'aie perdu toute notion du temps.

D'ailleurs, je profite qu'Elisabeth soulève le bassin, pour lui dire.
« Ca m'a fait tout... arghhh ! »
Quatre mots ! Quatre mots avant qu'elle recommence. Elle avait juste soulevé son bassin pour m'uriner dessus, et j'en avale malgré moi, bouche ouverte. Je la referme vite, mais trop tard, et le restant continue à culer sur mon visage.

Je dois être un infection, avec tout ce que j'ai pris depuis que Elisabeth m'a léché le visage. Entre sa cyprine anale et son urine, mon visage doit faire peur. Et avec tout ça que j'ai aussi en bouche, me forçant à déglutir malgré moi, puisqu'elle rappuie son anus sur mon visage, sitôt sa vessie soulagée, je n'ai pas d'autre choix que d'avaler ce liquide avec difficulté et écoeurement.

Je ne dois rien laisser paraître, je reprends avec ma langue dans son anus, avec douceur et insistance. Tout le contraire d'Elisabeth qui, après avoir meurtri mes seins, malaxé ma chatte sans retenue, me triture l'anus sans aucune délicatesse, comme si ma virginité l'excitait.
J'ai dit que je cherchais celle à laquelle j'offrirai ma virginité vaginale, je n'ai jamais dit que je voulais perdre ma virginité anale !
Stoppant net ma caresse buccale, je lui lance un sec « Eh, doucement ! ».

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 15 juillet 2018, 21:19:43 »
Je suis à la fois inquiète et rassurée. Rassurée, parce que Elisabeth me confirme que je me débrouille bien, que je sais lui donner du plaisir. Inquiète, parce qu'elle est toujours aussi imprévisible, que tout peut changer en un instant.

Grâce à elle, je me rends compte que, outre ma virginité, mes connaissances livresques du sexe sont nulles et inutiles.
Je ne savais pas qu'une femme mouillait de l'anus comme ça. Là, je ne cesse de la boire, l'impression que ça ne s'arrêtera jamais.
Je ne savais pas que les seins pouvaient gonfler comme les miens désormais, et même être plus sensibles que les œufs au plat que j'avais auparavant.
Je ne savais pas qu'uriner provoquait un tel plaisir, du moins Elisabeth aime donner et recevoir ; moi, ce n'est pas le cas pour le moment.
Je ne savais pas que la langue d'une femme pouvait autant se tordre et aller aussi loin que celle d'Elisabeth dans mon sexe, et c'est délicieux.

Mais elle est imprévisible, je le sais, et quand elle met ses doigts dans mon cul, c'est très violent.
« Aïe, ça fait mal ! »
J'ai l'impression qu'elle met une force surhumaine à m'élargir l'entrée, après avoir mis deux doigts avec la même violence dans mon petit trou.
« Doucement je suis vierge là aussi ! »
Zut, je me suis trahie. Peut-être ne savait-elle rien de mon pucelage, en général. Il ne faudrait pas que ça lui donne des idées incongrues.

Ce qui est imprévu, c'est que ses doigts dans mon cul ont le don de me troubler, m'exciter même, et mes jets d'urine continuent même, ce qui semble lui faire très plaisir.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 15 juillet 2018, 14:16:35 »
Je suis bien, je ne sais pas ce que la suite me réserve, mais je suis bien. Je savoure cet instant de douceur, je découvre ce que les livres appelle un anilingus. Je sens un liquide humecter les parois de l'anus d'Elisabeth, j'aime ce goût, je m'applique. Je suis peut-être meilleure amante que ne le laisse penser ma virginité. Je m'interromps, juste un instant.
« Surtout, Elisabeth, dites-moi si je fais mal ; je suis toute disposée à apprendre ».

Je ne sais pas pourquoi je suis si passive d'une certaine manière. Passive, mais réceptive, car je sens que mes seins aux nouvelles formes ont les tétons dressés, et aussi que mon sexe s'humidifie.
Elisabeth a dû s'en rendre compte, je sens sa langue. C'est bizarre, on dirait comme une sorte de serpent, ou plutôt de tentacule. Même quand je me caressais avec mes doigts en pensant à elle, je n'allais pas si loin que sa langue. Mais c'est bon, si bon, et je gémis sans cesser ma caresse.

Je m'interromps, encore, un instant.
« C'est délicieux, Elisabeth, j'espère que vous aimez ».
Et je reprends de plus belle, j'aimerais tant la faire jouir comme ça. Tout se mélange, d'autres effluves aussi, celle de sa mouille c'est sûr, celle de son urine aussi.

Une idée fixe chez elle !
« Si tu veux pisser, pisse moi dans la bouche s'il te plaît."
La proposition me surprend. Recevoir, ou plutôt subir, je l'ai fait. Mais le faire ?
Certes, j'ai bu mon litre d'eau aujourd'hui, et j'urinerais tout de suite si j'allais aux toilettes. Mais là, Je ne savais pas que ça faisait partie du sexe.
« Je... je vais essayer... si vous aimez »
Même la pose n'est pas idéale, mais je ne vais pas faire ma mijaurée.
La langue tentaculaire d'Elisabeth m'a ouvert les lèvres intimes, je pousse, vraiment, mais rien ne sort. J'ai une envie physiologique, mais comme un blocage aussi.
« Je n'y arrive pas... mais je vais insister ».
Je force encore, j'essaie de penser à ce qu'elle a fait, et soudain le premier jet doré jaillit en laser, presque soudain, presque continu, direct dans sa bouche j'en suis sure.

« Que fais-tu, Verena, pour être si répugnante ? », ma conscience essaie de me raisonner, mais je crois que je suis partie loin, pour ne plus revenir en arrière.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: dimanche 15 juillet 2018, 07:34:13 »
Je comprends de moins en moins Elisabeth, elle alterne tellement le chaud et le froid. Pour ma première vraie expérience sexuelle, je suis tombée sur elle que je ne sais pas comment qualifier. Celles que je connais ont été déflorées par un garçon, sans jouir même, juse pour le faire. Et moi, qu suis toujours vierge, je me suis fait pisser dessus, j'ai mes seins qui ont gonflé, et voilà que je lèche un petit trou, avec de plus en plus de plaisir, à celle qui...
« Désolée... désolée... pardon... »
Je la comprends de moins en moins, mais ça, je ne veux pas. Aussi imprévisible qu'elle soit, elle m'a fait du bien. J'interromps à regret ma troublante caresse :
« Ne pleurez pas, Elisabeth ; vous ne pouvez pas imaginer ce que vous m'avez fait ».

Juste quelques mots, et cette envie aussi nouvelle que folle de retourner explorer de ma langue ce petit trou. Oui, elle ne sait pas ce qu'elle m'a fait,moi qui n'aurais jamais osé ça. J'ai même envie d'oser davantage, remonter mes bras, caresser ses cuisses, cette peau si douce, envie d'oser aller aussi caresser son sexe, qui doit être ce mélange de mouille et d'urine avec lequel elle m'a ravagée.

Elle recommence à me faire monter, mes seins que j'ai je ne sais comment, sont si sensibles. Elle appuie sur mon corps, je ne peux pas faire tous les mouvements que je veux, mais nos seins qui se frôlent, je n'imaginais pas ça dans mes rêves.
« Hmmm... aaaaaaah... »

Je suis bien, si bien. Elle est si douce, je suis si heureuse d'être attentionnée à bien lécher son petit trou, à bien faire tourner ma langue, à enfoncer la pointe aussi loin que je peux ; il en émane un délicieux parfum, et je le sens qui s'entrouvre sous mes caresses.

Je m'ouvre aussi, j'écarte de plus en plus les cuisses, comme une offrande, comme une supplique. La douceur d'Elisabeth est merveilleuse, elle frôle juste ce qu'il faut mon sexe, sans brutalité, sans excès, et ma respiration monte peu à peu. Oh, si ce moment pouvait durer...

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 21:52:38 »
Je ne connaissais pas ces pratiques, mais je n'ai pas le dégoût que je pouvais craindre. Je deviens même plus audacieuse, ma langue se fait serpent, tourne sur elle-même, titille de sa pointe. Ce petit trou est délicieux, je ne sais pas si tous le sont ainsi. Mais, même si elle m'a uriné dessus, Elisabeth prend très soin de tout son corps.
Comme j'avais bu avidement son lait, je joue de son petit trou. Il est si étroit que je me demande comment certains hommes y mettent leur sexe. Mais il me semble que, depuis que ma langue y est, il s'est un peu agrandi. On dirait même qu'il y a comme une sorte de mouille, là aussi, et ça coule sur mon visage qu'Elisabeth avait pourtant nettoyé.

« Je peux modifier ce que je touche à volonté. Je me suis donc permise de te donner un cadeau, grosse salope. »

Il faut que je me fasse une raison ; ce mot, comme tant d'autres, je l'entendrai encore et encore tant qu'Elisabeth sera là. Je dois dépasser mon rejet ; dans sa bouche, c'est peut-être un compliment.

Un rare compliment alors, dans ce rapport étrange où Elisabeth peut passer de la douceur à la violence. Et nouveaux sans être à moi, mes seins sursautent sous l'effet des claques qu'elle commence à leur infliger. Ce ne sont pas vraiment les miens, mais je ressens tout comme s'ils étaient miens depuis toujours.
À quoi sert de les avoir ainsi fait grandir, sans que je sache comment, si c'est pour les maltraiter comme ça. Ils sont si beaux, j'en rêvais ; j'aimerais les garder aussi beaux, et pas zébrés de morsures ou bleus de coups.

Je ne sais pas vraiment ce qu'elle veut, où elle veut en venir. Elle n'a fait qu'abuser de l'avantage qu'elle a pris sur moi, elle a bousculé tous mes tabous sans même s'en soucier, elle ne m'a offert que très peu de tendresse, elle a les moyens de me briser à Mishima. Elle a des sortes de pouvoirs que je ne connais pas, et je suis peut-être loin de tout avoir découvert.
Je dois être prudente, en entrer dans son jeu.
« Plus vite, salope ! Fous ta langue dedans, je veux la sentir remuer dans mon cul ! »

Apparemment, je ne suis pas à la hauteur. Pourtant, je m'applique, je ne fais pas ma mijaurée, et j'enfonce ma langue aussi loin que je peux. Si elle s'attendait à ce que ça remplace un sexe par la longueur et par la largeur, c'est qu'elle n'a jamais essayé.
En tout cas, je m'applique du mieux que je peux.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 19:47:43 »
Le flot chaud s'interrompt enfin, et je peux réagir sans en prendre encore.
« Mais ça ne se... »
Trois mots, trois mots seulement, avant que Elisabeth ne se jette sur moi, et me lèche tout le visage, le nettoyant avec un soin qui me sidère. Soit c'est vraiment de la perversité, soit elle a plus que de l'avance sur moi, non aux jeux de l'amour, mais aux jeux du sexe. Parce que, uriner sur elle, jamais ça ne me serait venu à l'esprit !

Sa langue est un délice, elle court sur mon visage, et je me fends d'un « Hum, c'est bon comme ça », qui trahit mon bonheur de l'instant, après tant d'interrogations. Et c'est avec sincérité que je lui offre ma bouche pour un baiser langoureux, même si ça donne plutôt l'impression qu'elle me viole encore le palais.

Mais il est dit qu'elle me surprendra et ne m'épargnera rien. Aussitôt interrompu ce baiser, aussitôt elle recommence à uriner, mais sur mon ventre. Moi qui prends tant soin de ma peau et de mes senteurs, traquant la moindre odeur corporelle suspecte, je n'ose imaginer ce que le commun des mortels penserait de moi à cet instant précis.

Je ne peux rien faire avec ces liens qui m'entravent, je ne peux que subir tant la force d'Elisabeth est impressionnante, je ne peux pas m'échapper avec des habits en lambeaux. Elisabeth le sait, et, autant je ne compris pas comment je fus attachée, autant je ne comprends pas comment je fus détachée. C'est instantané, c'est comme magique ; je retrouve ma liberté de mouvement.

Je pourrais me venger, la repousser, lui montrer ce que des années de sport de combat m'ont appris. Mais, étrangement, mon corps ne réagit pas comme il le faudrait. Une sorte d'engourdissement, de passivité. Et puis, sortir comme ça dans les couloirs, c'est tout foutre en l'air pour moi, réputation, job, études, carrière. Elisabeth le sait, elle en profite.
Elle n'est pas calmée, elle recommence à me triturer les seins. Malgré la douleur soudaine, je reste calme, juste un « Aïe » pour la freiner un peu.
« Je vais te donner ton cadeau. »

Vu comme elle maltraite mes tétons, je m'attends au pire, alors qu'elle empaume mes seins, de vrai oeufs au plat, face à ses obus. Elle va en griffer la peau, ou bien les comprimer avec force ! Mais la suite me laisse totalement éberluée. Je vois mes petits globes sans vraie forme gonfler, pas gonfler d'excitation, mais gonfler, prendre chair, comme si ma peau prenait une nouvelle forme de manière totalement naturelle.
La métamorphose s'arrête, alors que ma poitrine a atteint quasiment la dimension de celle d'Elisabeth que j'enviais tant. Je ne comprends pas, pas davantage que les liens qui arrivent et repartent.
« Comment tu as fait ça ? »

Elisabeth ne répond pas, et m'étouffe de nouveau, mais cette fois avec sa chatte, dont l'effluve est absolument délicieuse, et que je devine mélangée à ma propre cyprine. Ravissement de courte durée, car elle bouge juste un peu, en me lançant :
« Si tu es une bonne petite chienne et que tu veux les garder, lèche moi le trou du cul. Plus vite que ça. »
Quelle horreur ! Je n'ai jamais fait ça, j'ignorais même qu'on puisse le demander.
J'ai la liberté de mouvement, il suffit que je la renverse sur le côté, pour m'enfuir... nue dans les couloirs. Pas top ! Et puis, si elle raconte certaines choses, ça mettra un doute contre moi.

Je regarde son anus, me demandant si, vu ce qu'elle semble avoir comme expérience, elle a déjà fait un truc qui s'appelle la sodomie. Il paraît que c'est excitant, mais ça n me paraît pas très propre.
Pourtant, je n'ai pas vraiment le choix. Etirant la pointe de ma langue, j'effleure son petit trou, crainte d'odeurs, crainte de relents. C'est assez gênant, mais c'est comme si elle avait tout bien nettoyé avant.
Comme si elle avait tout prémédité, songe-je.
Fi des réflexions, je pousse ma langue plus avant, le conduit est étroit, mais les parois ne me répugnent pas, et, de la pointe, je les effleure, les caresse.

Pute... Salope... Chienne... je crois que je n'ai pas fini d'entendre les qualificatifs.

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 16:05:32 »
Il y a même pas une heure, je n'étais qu'une banale surveillante, fantasmant sur une élève timide aux formes opulentes. Et voilà que je me retrouve soumise au bon vouloir de cette élève, tétant goulûment son sein.

Je suis en transes, je n'ai jamais connu ça, il ne fait pas que Elisabeth s'arrête !
« Regardes toi ! Tu remues comme une pute, tu aimes ça et tu en redemandes. »
Je m'en fous, elle peut me dire ce qu'elle veut. J'aime et j'en redemande ! Je veux même qu'elle insiste, qu'elle force, qu'elle ne se retienne pas. Je veux sentir sa chatte, ses doigts, sa langue. Je veux qu'elle me baise vraiment. Je veux perdre ma virginité avec Elisabeth !

Et ça monte, ça monte avec une intensité que je n'ai jamais connue. Je voulais de la tendresse, un doux dépucelage, mais, là, je prends mon pied sans cette douceur, avec une violence folle. Je voudrais lui hurler, lui dire que je l'aime, lui dire que je suis à elle. Mais son sein continue de m'oppresser, de m'étouffer, de m'inonder de lait.

Ça monte encore, il ne reste que peu de temps avant que je parte à la dérive. Personne ne m'a fait ça, comme ça, et ça va être tout autre que quand je me caresse. Même être attachée m'excite, ce que je ne pouvais pas faire moi-même.

Et, quand ça arrive enfin, ça m'emporte, ça jaillit comme un feu d'artifice, je perds tout le contrôle des mouvements de ma taille, je hurle en mordillant malgré moi son sein, étouffant ma jouissance dans ce globe qui continue de déverser son lait.

Je ferme les yeux, pour mieux savourer, comme si chaque once de ma peau voulait s'imprégner de cet instant unique. Mais Elisabeth n'est pas aussi inactive que moi ! Elle s'est déjà relevée, comme si l'orgasme n'était qu'une étape pour elle.

Elle se retrouve au dessus de mon visage, accroupie. Je vois son sexe trempé, sa chatte béante, mais je ferme très vite les yeux, car elle continue à déverser sa mouille.
Quand le flot s'interrompt enfin, je ne suis plus qu'une loque, souillée, trempée.

Je suis heureuse, je veux juste faire une pause avant de continuer.
Mais Elisabeth ne semble pas être du même avis.
« Hmmm... ouvre la bouche, salope... »
Sans doute  la dernière goutte de sa mouille va-t-elle tomber, et elle veut que je l'avale.

Mais la surprise est de taille ! Le jet brûlant passe entre mes lèvres, atteint directement ma gorge, mais ce n'est pas de la cyprine. Elle me pisse dessus. Je bouge la tête de droite et de gauche pour éviter le jet, mais j'en prends autant sur le visage, et, à chaque fois que je veux lui dire non, le jet trouve ma bouche ouverte, manquant m'étouffer.

Je dois être un repoussoir, couverte de sueur et de lait, de mouille et de pisse. Il faudrait qu'elle soit sacrément excitée ou diablement perverse, pour continuer à me rudoyer ainsi.

39
Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 07:55:15 »
C'est bon, c'est trop bon ; je me surprends moi-même à aimer ça. Pourtant, c'est pervers, ça ne se fait pas entre fille. Le lait, ce n'est pas fait pour ça. Mais la peau de ce sein est si douce, ce téton est si délicieux, ce lait est comme un liquide divin. Ma pauvre Verena, tu deviens complètement folle !

Même ma chatte est en feu, j'agite les hanches sous le contact de nos lèvres intimes. Je me tortille, signe de ma capitulation. Je voudrais dire plein de choses, mais ce sein, ce superbe sein, m'empêche de parler. Etouffée par un sein, si on m'avait dit...

J'en veux plus, la chaleur en moi est bien autre que ce me procuraient mes caresses. J'étais excitée en pensant à Elisabeth, mais là, dans le concret imprévu, je suis dans un tout autre état. J'ai envie de lui hurler « plus vite, plus fort, partout », mais ça, elle le sait déjà.

C'est presque une délivrance lorsque je me retrouve seins à l'air, peu importe si je repars chemisier ou soutien-gorge déchirés. Ses griffes sur ma peau, mes tétons qu'elle maltraite vraiment, je veux ça, je veux tout ça, je veux encore. J'agite mes jambes, je veux le contact de nos chattes, je me sens si trempée, déjà.

« Voilà, comme ça... hmmm... suce bien... »
Je me concentre sur ce sein, sur cette source ; Elisabeth ne s'imagine pas le pouvoir qu'elle a avec de si beaux attributs ; elle peut rendre fous les garçons, et faire des trucs incroyables aux filles. Et, ce soir, c'est tout pour moi ! Je m'en fous d'être attachée, ça va donner.

Mais je ne sais pas jusqu'où. Parfois, un éclair de lucidité, de moins en moins fréquent d'ailleurs, me recommande la prudence. Mais, aussi fermement attachée, les habits plus ou moins en lambeaux, mon sexe qui trahit mon excitation, que puis-je faire ?

Pourtant, Elisabeth me fourre les doigts dans la chatte sans aucune délicatesse. Quatre d'un coup, j'en suis sure, comme une espèce de queue, pas longue mais bien large.
« Humph... Non ! » parviens-je à articuler, songeant à ma virginité préservée, mais quasi inaudible par ce sein qui oppresse ma bouche.

Je ne maîtrise plus rien, mais je ne sais pas si je dois avoir peur ou envie. Elisabeth alterne la douceur et la violence, et je ne suis qu'un jouet entre ses mains, un jouet dans ses délires.

40
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 01:13:08 »
« Hahaha ! Regarde toi, tu mouilles comme une pute ! Tu ne peux plus te cacher maintenant, salope ! »
Une pute, encore et toujours ce mot ! Je me défends d'être cela ; je suis une fille de bonne famille, enfin une enfant élevée dans les règles, en fait issue d'une famille de dégénérés. Et qui sait si je ne deviendrai pas moi aussi une tarée.
Une folle peut-être, une pute non !
« Vous ne pouvez pas dire ça ! » rétorque-je. Mais Elisabeth s'en fout, c'est évident. Elle a son idée en tête, et je ne maîtrise plus rien. Si j'exécute se consignes, à condition qu'elles ne soient pas trop absurdes, je devrais m'en tirer. Et là, direct le bureau du directeur, et dehors la cinglée !

Elle continue dans son trip, et m'arrache littéralement ma culotte. Je rêvais d'être nue avec une jeune femme, pour lui offrir ma virginité, mais pas comme ça. Ce que j'ai préservé contre tout et tous va être éclaté sans délicatesse par une foldingue.

« Suce bien, lèche, et je te donnerai une récompense à la fin. »


Une récompense ? Là où j'en suis, je ne sais même pas ce que c'est. Mais c'est aussi absurde que le lait qui se met à couler. Les premières gouttes manquent même m'étouffer, mais je dois ingurgiter à défaut d'en avoir la nausée. Aurait-elle caché qu'elle est enceinte ? Encore un motif d'exclusion ! Mais non, ça ne va pas, c'est absurde. Comment fait-elle ça.

De toutes façons, je n'ai pas le choix, je lèche le sein, je gobe le mamelon, et l'ensemble me procure de douces sensations. Je n'avais jamais fait ça, disons dans un tel contexte. Et je me mets même à gober avec entrain.
« Eh Verena, arrête ! Redeviens lucide ! »
Ma conscience essaie de rattraper la dérive, mais je suis emportée, et le contact de nos lèvres intime n'arrange rien. Je mouillais déjà avant, je dois l'admettre, et Elisabeth n'a vraiment plus le moindre doute désormais.

41
Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: samedi 14 juillet 2018, 00:06:05 »
Je dois essayer de contenir la situation, même si je n'en ai plus le contrôle physique. Elisabeth est fragile, je devrais parvenir à garder le contrôle mental.
Mais ma tête vole d'un côté sous la gifle qu'elle m'assène, avant que la suivante ne renvoie ma tête de l'autre côté, et qu'elle me roule encore un de ces patins ravageurs.
Oui, Elisabeth a vraiment un problème, sauf que je me suis mise à sa merci, et que je sais de moins en moins comment l'appréhender.

« Tu m'as menacée, tu vas me le payer. Traîtresse. Je sais que tu aimes ça, ne fait pas l'innocente ! Je sais que tu m'aimes ! »
« Mais non, je... »
Une fois de plus, ma phrase se perd dans le non-dit, parce qu'un nouveau patin très appuyé l'a renvoyée au plus profond.

Je n'ai plus aucun vrai contrôle de la situation, surtout que mon bas-ventre me trahit. Au lieu de demeurer imperturbable, je sens que les frottements auxquels se livre Elisabeth commencent à produire de l'effet.
Si je suis encore vierge, j'ai déployé tout un art des caresses, et je sais précisément quand et comment réagit mon corps. Et là, il réagit, et même malgré moi.

Elle est folle, j'en suis de plus en plus persuadée, mais je ne sais pas jusqu'où elle peut aller, en ouvrant son chemisier. Oh, ces seins, magnifiques, un rêve que je n'aurai jamais, encore plus beaux que... quand je me caressais en y pensant.
Vite, faire fuir ces pensées !
« Elisabeth, vous ne croyez pas que... »
Ces seins, je les ai rêvés, sans songer que l'un d'eux m'empêcherait presque de respirer ! Je n'ai pas d'autre choix que d'ouvrir la bouche, juste autour de son téton, de bouger la langue comme je peux, de le caresser comme malgré moi.

« Je suis sûre que tu t'es déjà doigtée comme une pute en pensant à moi ! Je le sais ! »
Oui, c'est vrai que je me suis caressée en pensant à ses seins, précisément, en m'imaginant ce que je leur fais plus ou moins là. Comment le sait-elle ?

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 13 juillet 2018, 23:06:09 »
Ca va trop vite pour moi, la surprise, la réaction. Je n'ai même pas compris comment je me retrouve poignets et chevilles liés. Et qu'on ne me fasse pas le coup qu'à Seikusu il y a des choses étranges qui se passent. Je ne parviens même pas à sortir un mot, à crier, à hurler, à appeler au secours. C'est comme si tout était bloqué dans ma gorge, comme si je ne sais quoi empêchait ma voix d'émettre le moindre son.

« Tais toi... tais toi... ferme la... »
Je n'ai rien dit, mais, vu le regard d'Elisabeth, et vu l'incapacité que j'ai à m'enfuir, je n'ai pas vraiment envie de la contrarier.
Bon, ça commence relativement doucement, mais, vu comme elle me maintenait au sol avec facilité, je n'ai plus aucun doute sur sa force, ni sur le danger qu'elle représente.
Ses baisers sont doux, dangereusement doux, dangereusement agréables. C'est comme si elle en avait été privée, elle m'en donne à profusion.

La situation est étrange ; elle m'a attachée je ne sais pas comment, mais c'est pour m'embrasser. La question ne trotte pas longtemps dans ma tête, car, alors que je me détends un peu, Eliasbeth en profite, et sa langue viole littéralement ma bouche.
Elle est maline, elle est diabolique même, elle maintient ma tête juste comme il lui sied, avec les mains, et elle sait bien que je ne peux pas me défiler, ni détourner la tête.
D'ailleurs, ce baiser dure une éternité, au point que nos salives finissent par se mêler. Mais, là aussi, je ne comprends pas pourquoi je suis sans réaction.
Je la regarde faire, comme si j'étais ailleurs, mais je refuse d'admettre que la situation me plaît, même si j'aurais préférer la maîtriser. Mais, en tirant sur mes liens, je constate avec dépit qu'ils sont serrés d'une manière incroyable.

Je la regarde, interloquée ; elle est si sure d'elle, comme si elle avait tout prémédité. Elle savait que je faisais ma tournée le soir, elle savait qu'une lumière allumée m'interpellerait, elle savait que je réagirais ainsi face à elle. Tout était prémédité ;
Et, quand enlève sa jupe et la mienne, j'en ai la certitude.
« Elisabeth, que faites-vous ? »
Tout va vite, très vite, comme si elle avait vraiment très envie de moi. Malgré moi, je ne suis pas en reste, et le contact de sa chatte sur la mienne, même à travers le tissu, me fait chavirer les yeux.
« Nooooon ! »
Mais on corps dit oui, me trahit.
« Je sais que tu me veux... C'est pour ça que tu me traites de la sorte, hmm ? Tu es jalouse parce que je me soulageais seule ? »
Elle joue un jeu, ce n'est pas possible !
« Mais non, je n'ai rien dit de mal ».
J'essaie de calmer la situation, car je ne suis pas vraiment à l'aise. Je suis à sa merci, et elle alterne dangereusement le chaud et le froid, entre ses baisers tendres et mes liens serrés.
Ses propos sont d'ailleurs très clairs, elle a du ressentiment envers moi. Personne ne sait que je suis ici, et, si elle se mettait à délirer, personne ne me retrouverait.
J'ai intérêt à entrer dans son jeu, sauf que c'est mon corps qui prend les devants au delà du raisonnable, et je devine qu'elle a très bien perçu le trouble sous ma culotte..

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 13 juillet 2018, 19:41:49 »
Je dois garder cette fermeté de ton, car je me sens de moins en moins assurée. C'est la première fois que je me retrouve avec une élève qui me trouble. Ça m'est déjà arrivé avec un petit puceau qui se tripotait dans les vestiaires des filles, mais il était si honteux qu'il ne bronchait pas. Ça m'est arrivé plusieurs fois de me retrouver seule face à des lycéennes, aussi, à chaque fois occupées à baiser entre filles ou avec un garçon du lycée, mais elles étaient toutes si écervelées qu'elles se moquaient de la sanction, juste impatientes de finir leur orgasme en cours.

Avec Elisabeth, c'est différent ; ça me gêne, parce que la sens depuis toujours fragile, et parce qu'un trouble étrange est né en moi, la première fois où je lui ai tendu la main parce qu'un garçon l'avait jetée à terre pour lui faire son affaire. Elle est venue se blottir contre moi, pleurant à chaudes larmes, et sentir contre ma poitrine ses seins hors du commun m'a fait quelque chose. Heureusement qu'elle ne sait pas que je me suis caressée le soir même, en y repensant !

Mais j'ai dû montrer mon hésitation, car, imprévisible, Elisabeth se jette sur moi, avec une force que je n'aurais pas imaginée, et je bascule au sol, me raccrochant sans succès à une étagère dont les livres tombent de ce fait.
« Taisez-vous ! Si... si vous continuez je... je... »
Moi qui ai déjà mis à terre certains amis insistants de mon père, je me retrouve cloué par une ado, ses genoux pesant si fort sur mes bras que je ne peux les bouger, une main bâillonnant ma bouche, l'autre main tenant fermement mon col de chemisier.

Elle, si fragile d'ordinaire, je ne l'ai jamais vue dans une telle rage. Ou plutôt à bout de nerfs, car, sitôt après ces cris, elle se met à pleurer. En une fraction de seconde, je retrouve celle que je connais depuis son arrivée au lycée. Je me sens toute penaude.
Ma posture m'empêche de bouger, mais mes yeux fixent les siens, emplis de larmes. J'essaie de me contorsionner pour retrouver quelque liberté, mais rien n'y fait. Je ne peux même pas parler, et les mots que je tente se heurtent, étouffés à sa main.
Je ne comprends pas pourquoi mon corps ne donne pas plus d'élan à la renverser ! J'ai déjà dégagé bien pire, bien plus musclé, bien plus méchant, pourtant.

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 13 juillet 2018, 06:41:36 »
Ça y est, elle m'a enfin entendue !
« M-m-mademoiselle la surveillante ? Que... qu'est-ce que vous faites ici ?! »
Ca me fait toujours bizarre d'être appelée ainsi ; après tout, je suis à peine plus âgée que certains, voire plus jeune que d'autres. Pour les profs, je ne suis qu'une blondasse qu'ils pourraient se taper comme d'autres élèves, entre deux cours ou vite fait sur le capot de leur voiture. Pour les élèves, je ne suis qu'une blonde qui se croit supérieure à eux, et à laquelle ils voudraient rappeler sa vraie place. D'ailleurs, l'une d'elle m'avait carrément menacée, un jour, en me disant que je ramperais à ses pieds, en l'appelant « Maîtresse » et en la suppliant de me prendre. Et puis quoi encore ?

Mais bon, il y a autre chose à régler, pour le moment, même si ces mots résonnent encore en moi, avec d'étranges effets.
« Vous ne m'avez pas dit ce que vous faisiez, Elisabeth, même si je m'en doute ».
Je me tiens face à elle, j'ai même pu avancer en martelant le sol de mes talons, désormais. Jambes un peu écartées, mains sur les hanches, intonation ferme, regard sans complaisance, je veux, malgré ma petite stature, en imposer.
« Je me vois obligée d'en informer la direction ».


Argument suprême, qui conforte mon ascendant, malgré moi je l'avoue, car j'ai toujours voulu protéger cette élève de ses tourmenteurs. Mais je ne peux passer ça sous silence, ça me rendrait complice, et je n'ai pas le droit de lui accorder un traitement de faveur.
« V... vous devriez y réfléchir à deux fois avant de parler de ça aux autres ! Moi aussi je... je peux inventer une histoire ! »
Je crains d'avoir mal compris. Je la regarde, moitié incrédule moitié énervée. Celle que j'ai toujours essayé de protéger, se rebellerait, contre moi qui plus est.
« Inventer une histoire ? Qui avait la main sous sa jupe, c'est bien vous ? »
Son aplomb m'a décontenancée. J'en ai pourtant bien vu pire, avec les individus louches qui trafiquent avec mon père. Alors, être décontenancée par une élève aux seins somptueux, et qui doit en plus avoir la chatte en feu, on ne me le fait pas !

« Ce n'est pas moi qui me tripotais dans ce lieu dédié à l'étude, il m semble ? ».
Je ne vais pas lui avouer que je me caresse aussi, parfois sous mes draps le soir, parfois même assise au pupitre de cette bibliothèque mais cachée par le bois, et que ce fut déjà en pensant à elle!

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Salles de cours et bibliothèque / Virginité & Littérature. [Verena]
« le: vendredi 13 juillet 2018, 00:15:34 »
Je stoppe très vite mes pas. Il y a quelque chose d'anormal. Je perçois un bruit irrégulier, que je ne parviens pas à définir. Je suis sure de n'avoir enfermé personne ici, tout à l'heure. S'il y a quelqu'un, ce ne peut être qu'un membre du personnel ! Et vu comment certains vieux tordus reluquent les jeunettes qui ne demandent pas mieux, il n'y aurait rien d'étonnant. Mais je ne sais pas ce que je dois faire dans ce cas. Rapporter les faits des élèves, oui. Mais du personnel ?

Je reprends doucement ma marche. Pas facile de marcher en silence, avec ces talons. Car, loin des petites étudiantes en ballerines, je soigne toujours ma tenue. On ne doit pas me confondre avec elle. Ainsi, je porte toujours jupe et chemisier, avec des dessous que je prends toujours soin de choisir élégants et classiques. Et, quand c'est l'hiver, j'ajoute toujours bottes et bas. Tout ça pour dire que, entre « la bourgeoise » et « la coincée », les sobriquets ne me manquent pas. Je ronge mon frein, un jour je quitterai ces êtres.

Mais, pour le moment, je dois savoir ce qui se passe. J'avance doucement, je connais les lieux par cœur, même les endroits du parquet qui grincent. Alors que d'autres ne viennent ici que pour tirer un coup, et se font coincer parce qu'ils baisent sur une table branlante. Même faire l'amour en dehors d'un lit et du mariage, ça ne s'improvise pas !

Je suis désormais au ras de l'allée d'où vient le bruit. Pas repérée, j'en suis certaine. Je me penche doucement. Elisabeth ? Oh non, ce n'est pas possible. Elisabeth, c'est, comment le dire, une chic fille, avec des seins à me rendre jalouse, des seins que mon père ne saurait créer même dans ses délires les plus tordus, mais aussi avec un caractère très réservé, renfermé même. Tous les garçons ne rêvent que de ce qu'ils appellent une « cravate de notaire », et j'en ai déjà fait punir quelques-uns pour attouchements. Mais ils s'en foutent !

Hélas, pour elle, je dois intervenir. Pas de passe-droit. Ça me fait mal au cœur, car ça signifie qu'elle va être punie, qu'une âme nauséabonde donnera le motif de la punition, et qu'elle va encore subir mille railleries. Bon, allez, je ne mettrai pas le vrai motif, mais je dois intervenir, et je me plante au milieu de l'allée.

Elisabeth ne semble même pas me voir. Mais moi, je vois bien ce qu'elle fait, et c'est moi qui pend le choc. D'abord, une chose me saute à l'esprit ; elle est belle d'être indécente. Même la main sous la jupe, les mouvements très explicites, les gémissements étouffés, elle est féminine en diable, elle est femme ainsi, elle est rayonnante et heureuse.
Et, si c'est elle qui se caresse, c'est moi qui reçois une violente décharge au plus profond de moi. Je le récuse, mais des picotements ont traversé mon intimité. Je reste plantée là, à l'admirer, à sentir mon bas-ventre étrangement traversé. Je dois réagir, malgré moi :

« Elisabeth, que faites-vous ici ? »

J'ai dû murmurer, car elle ne réagit pas du tout. Je me racle la gorge, et, d'un ton plus solennel :
« Elisabeth, cessez cela immédiatement ! »

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