Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Le Roi Bouc

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Le Roi Bouc

Pages: [1]
1
Les terres de glace / Garzaor le pillard ! [Pv Double-Lune]
« le: vendredi 06 juin 2014, 20:33:32 »

Garzaor le terrible ! Un homme-bouc légèrement plus imposant que les autres, terrible fléaux des villages frontalier avec leur grand nord inhospitalier à la vie. Lui et son petit clan faisaient partis de la Harde du roi bouc, et il était tout naturellement sous les ordres direct de Gurzak.
Ce dernier avait depuis quelques mois lancé une tactique de harcèlement très agressive, comme le désirait son roi mégalomane aux désirs de conquête et de gloire.
Mais il était inutile de se leurrer et Gurzak comme son roi le savaient, leur armée n'avait pas la discipline et la maîtrise des armées humaines. Ils leur faillaient donc miser sur leur sauvagerie, leur bestialité et la peur qu'elle pourrait inspiré.

Garzaor, ainsi que bien beaucoup d'autre, avait donc reçu pour mission d'effectuer une série de razzia ultra violente et destructrice. Libérant le bétail, massacrant les hommes, violant à tour de rôle les femmes et les enfants, brûlant les maisons et les récoltes. Avec bien évidemment la fâcheuse tendance à laisser quelques survivants afin qu'ils racontent à l'horreur qu'il avait vu, et qui loue ses misérables dieux que ces monstres sans pitié ne l'ai pas vu alors qu'il se cachait dans la fange des porcs.
L'homme bouc avait rapidement démontré un certain savoir faire naturel, et son nom fut rapidement associé au cauchemar grandissant de l'homme bête violant les femmes et massacrant les hommes. On disait de lui qu'il faisait la taille de trois hommes, large comme deux, et que des flammes sortaient de sa bouche lorsqu'il hurlait. Des mythes bien entendu, mais la peur déforme souvent la réalité.

Son dernier raid avait été d'une rare violence, et de nombreuse femme et enfant... après avoir été bien évidemment violé à la chaine par tout les guerriers de Garzaor, furent enfermer dans l'église qui fut incendier. Leur cris résonnant dans l'immensité des plaines enneigées qui encerclaient le village.
Le maire du village fut miraculeusement parmi les survivants, et témoin de cette atrocité, avait immédiatement chargé un mercenaire de poursuivre et massacrer la horde de pillard.
On lui avait promis une somme très importante et toute la gratitude des seigneurs locaux. Mais la pauvre ne disposait que de très peu d'information... seulement d'un nom, afin de commencer sa traque : La forêt d'Urk

Un lieu sinistre, depuis longtemps en proie à des démons tout droit sorti des légendes urbaines locales. Un lieu où il ne fallait pas s'aventurer seul à ce qu'on disait... un lieu rempli d'arbre mort, torturé et sinueux donc le bois faisait de large nœud grisonnant.

2
Les terres de glace / Un oiseau sans plumage [Pv : Kamiyu Okane]
« le: mercredi 04 juin 2014, 02:06:12 »
L’oiseau était assez exceptionnel. Un oiseau de paradis, marchandé à prix d’or, arborant de vives couleurs et un plumage aussi doux que délicat.
La shamane n’avait accès qu’a des corbeaux dans la région, mais ce marchand itinérant avait été une aubaine. Il se dirigeait visiblement vers Zon’Da et avait consenti à négocier quelque marchandise avec la shamane bien moins hostile que le reste de la Harde. Ce pauvre bougre n’avait même pas conscience de la chance qu’il avait eu d’être tombé sur Ophelia plutôt que sur l’un de ses hommes boucs vicieux et sournois. Elle l’avait laissé repartir avec un avertissement, lui expliquant qu’avant Zon’Da, elle aurait été sa plus délicieuse et agréable hôte. Le marchand avait pris cela pour une petite plaisanterie avant de partir. Elle apprit plus tard qu’il avait été intercepté et littéralement massacré par les siens.
Mais son sort ne l’importa que très peu. Elle n’était pas une méchante fille mais avait dû s’endurcir pour parvenir à survivre dans ce monde violent et brutal, parmi tous ses mâles en ruts et super belliqueux. Heureusement pour elle, son importance et sa stature semi-divine lui conférait une protection bien plus efficace que le plus gros des gardes du corps.

La forêt était sombre à cette heure-ci… et comme à toutes les autres. Ophelia aimait cette particularité de la forêt d’Hurk. Une forêt danse et profonde, où être discret était devenu une compétence inné de la shamane. C’était important pour elle, d’être seule lorsqu’elle faisait ça.
En général on s’attroupait autour d’elle comme d’un animal exotique, prit entre peur et admiration. Cela avait tendance à l’énerver et à la déconcentré. Mais au fond de la forêt au moins elle serait seule, elle serait tranquille.
Surtout que c’était la première fois qu’elle évincerait un oiseau de cet aspect, elle n’en connaissait pas encore la puissance divinatoire et les conséquences d’un tel rituel. Si elle échouait elle préférait être seule, afin de ne pas perdre du crédit aux yeux de la Harde qui serait rapidement moins clémente ou pire… auprès du terrible roi bouc. Elle s’imaginait déjà esclave de se puissant seigneur de guerre. Non que sa compagnie lui déplairaient, mais ces esclaves enduraient souvent bien pire que de simple sévices sexuels. Heureusement qu’elle n’était pas humaine. A cette simple pensé elle ne put s’empêcher de lâcher un petit cri d’horreur qu’elle fit taire avec ses fins doigts devant sa bouche.
Elle secoua ensuite la tête, il ne fallait pas se déconcentré… et le rituel allait lui demander une grande vigilance.

Elle l’entama donc, récitant l’incantation, supplication auprès du dieu primal. Le rituel était en soit très simple, elle n’avait plus qu’à ouvrir le pauvre oiseau mort et à en lire les entrailles, suivant simplement les consignes des dieux animaux qui la soumettaient à une série de vision perturbante et chaotique qu’elle avait appris à interpréter.
Son couteau se planta dans la poitrine de l’oiseau qu’elle ouvrit en deux d’un geste expert. Glissant la pointe de sa lame, elle en fit sauter les entrailles mais une gerbe d’étincelle étrange jaillir de l’animal. Poussant la shamane à se coller contre un arbre… elle se maudissait alors que de plus en plus d’étincelle de divers couleur émanait de ce pauvre animal. Elle comprit rapidement son erreur, cet oiseau devait être atteint par une forme de magie, allant à l’encontre direct avec ses sciences occultes, convoquant un sort aussi aléatoire que potentiellement destructeur. La suite ne s’annonçait pas bonne du tout pour la pauvre terranide terrorisé parce qu’elle venait de déclencher.

3
Le coin du chalant / La volonté du roi bouc
« le: mardi 03 juin 2014, 03:24:28 »

Un cor retenti, lourd et profond ! Résonnant dans les entrailles de chacun. Un être frêle et de petite taille sorti lentement de la forêt, maintenant fièrement une lance alors qu'un long cor pendait à son cou, retenu par une cordelette.

- Je me présente à vous en qualité d'émissaire ! Je parle au nom du Roi bouc et des ses Innombrables troupes...

Le terranide fit planer sa main au dessus d'une plaine invisible, comme pour présenter la taille infinie de la harde qui si trouvait. L'acte se voulait terrifiant à en jugé du regard insistant qu'il porte à son assemblée.

- Aussi... le roi bouc étant fort occupé, je prendrais note de vos requêtes concernant les trames proposées. Loué soit le roi bouc, l'unificateur, l'homme et le bouc, la bête de le roi !

Il sort une parchemin... vierge, ne sachant pas lire, le roi bouc lui conseilla de faire comme si ! Afin de lui donner une noblesse et un savoir qu'il n'avait pas.

- Mais le Roi bouc est un roi bon ! Il m'a vivement conseillé de vous remettre ses quelques humbles mais malgré tout merveilleuses idée.

Trame générale : (Ces trames vises à faire évoluer l'histoire général du roi bouc et de son entourage)

- Le roi bouc et ses troupes entrent en guerre. Celui-ci compte bien s’emparer de votre ville, village, royaume... mais le roi bouc n'est point fou, aussi ne se mesurera-t-il pas à plus fort que lui.

- Les armées du roi bouc sont pour vous une force d'allié non négligeable... encore faudra-t-il le convaincre de l'intérêt d'une telle alliance.

- La cause du roi bouc à fait échos dans votre cœur, que vous soyez terranide ou non, libre à vous de tenter de le rejoindre vous ainsi que vos troupes si vous en disposez.

- Le roi bouc est un personnage politique important, aussi il est normal qu'on cherche à l'assassiner. Mais celui-ci est méfiant, et à part une jolie créature, nul ne pourrait s'approcher assez prêt pour espérer le tuer.

- Le roi bouc est gourmand... toujours à la recherche d'esclave ou de se précieux nectar humain appelé vin ! Ouvrir certaines voie commerciales avec son royaume pourrait vous êtes profitables...

- Le roi bouc est bien entouré, du moins le pense-t-il... peut être souhaiteriez vous approcher l'un de ses généraux, pour des fins peut recommandable ?

- Le roi bouc vous casses les couilles ? Peut être que vos troupes se risqueront dans sa forêt...

Trame secondaire : (Trame n'ayant pas forcément d'impact sur la chronologie des trames, événement d'ordre personnelle afin d'illustrer les personnages en dehors de leur destiné)

- Vous faites un petit pique nique dans la forêt gelée, ce qui déjà à la base est une idée de merde... hélaaaas pour vous, un groupe d'éclaireur de la harde vous tombe dessus.

- Vous êtes un esclave terranide en fuite, cherchant à rejoindre le campement de la harde (Trame pouvant devenir "général" selon la tournure de la trame)

- Esclave récemment acheté par le roi bouc... vous allez bientôt être honoré de sa compagnie (Trame pouvant devenir "général" selon la tournure de la trame)

Le petit héraut semblait petit à petit à court d'idée... et à force de zieuter un parchemin vierge, l'inspiration vient à lui manquer.

- Heum... bref, ben voilà ! Surtout n'hésitez pas...  ;D et n'ayez pas peur ! Le roi bouc aime rp avec tout le monde et n'exige que votre humble présence à ses côtés afin qu'il puisse démontrer sa superbe.

4
Prélude / Bouc et homme, roi et bête ! (Valiprimé !)
« le: lundi 02 juin 2014, 21:13:40 »
Le roi bouc, bouc et homme, roi et bête !
Il est écrit, sur l’autel sang de la forêt perdu et figé d’Hurk
Aux confins des terres gelées Terranide
qu’un homme se lèvera parmi les bêtes
qu’une bête règnera parmi les hommes
l’unificateur, le grand seigneur du mélange de l’homme et de l’animal
Les shamans l’avaient prédits et craints
Nuls ne pourraient ignorer sa nature belliqueuse, son origine tragique et sa fin violente

Le roi bouc, bouc et homme !
Son pelage est brun comme la terre, ses yeux sont rouge comme le sang
Ses cornes sont une couronne parmi les siens, les seuls bois qui se dressent au lieu de s’enrouler
Il reste fier, droit et solide, large comme deux hommes, haut comme trois
Il devient chef, alors que les buffles se courbaient
Il devient maître, alors que les rhox le craignaient
Il devient roi, alors que les centaures l’acclamaient
Il devient dieu, lorsque que les siens le vénéraient
Et à présent, tous forme son armée
Une harde de peur, une harde de malheur, une harde de terreur
Et terreur il était venu imposé, par la force des cornes et de l’épée

Le roi bouc, roi et bête !
Son enfance fut celle d’un esclave
L’esclave devient homme, l’homme gladiateur, le gladiateur devient libre
Libre par la force de ses mains, de ses bras, de ses pattes
Libre était la bête et son cœur empli d’une soif de vengeance sans égal
Sa bouche faites de dent plates, s’abreuvèrent de sang et de haine
Ses larges naseaux humèrent la peur dans le cœur de ceux qui l’avait un jour enfermé
Et la bête se vengea, haït et s’abreuva
Mais une douce folie c’était emparée de lui, scellant son destin à jamais
Son cœur était devenu de pierre
Ses rêves à jamais des cauchemars
Et sa haine, l’amante qu’il embrassa pour le reste de son existence

Tremble la terre sur laquelle il passe
Pleure les enfants dont le père l’affronta
Honte aux mères qu’il marqua de sa sauvage souillure

Le roi se prit pour un homme, pour une bête libre, pour un dieu aimé
Son armée, sa harde, sa famille obéirent à sa douce folie
Le roi était devenu capricieux, joueur et cruel
Son message de liberté s’estompa peu à peu
Il était né esclave, il allait mourir esclave
Esclave de sa colère, de sa folie et de son obsession de détruire toute humanité

Fort de leur trois mètres de haut
Fort de leur arme d’acier
Fort de leur lourde armure
Les buffles sont la base solide d’une armée violente et agressive
Leur sabot font trembler le sol et le cœur de leur ennemi
Leur cornes heurtent les corps, déchirent la chair et pulvérisent les os
Leur cri de fureur font écho à l’appel de la guerre
Ils se sont courbés face aux rois, fier de lui obéir, furieux de le décevoir

La noblesse d’un cœur vaillant
L’intelligence d’un esprit savant
La force d’un corps taillé pour la guerre
Les centaures sont l’élites d’une armée violente et agressive
Ils sont véloces et agiles
Leur corps caparaçonnée et armée de lance et bouclier
Leur arc sont précis et meurtrier
Et lorsque le cœur de la bataille fait rage, il est de leur devoir d’en analyser toute les débouchés
Ils ont acclamés le roi, heureux de le soutenir, sûr de lui être nécessaire

La force d’une montagne
La résistance du plus solide des métaux
La volonté de détruire tous ce qui leur fait face
Les rhox, peuple barbare et violent, fer de lance d’une armée violente et agressive
Ils sont lourds et solides
Leur corps est une armure, leur défense est une lance, leur poing des marteaux
Mort est l’homme qui supportera leur lourde charge
Détruit est la citadelle qui devra s’en défendre
Leur rhox, dans sa grande puissance, appris à craindre le roi
Soumis à son autorité pour implorer sa clémence

La cruauté d’un démon
La sauvagerie d’un animal enragé
Le poids insupportable d’un nombre infini
L’homme bouc, digne représentant de la race de son roi, est la masse saccarifiable d’une armée agressive et violente.
Ils sont nombreux et belliqueux
Compensant leur manque de force, leur manque de rapidité ou leur manque de résistance par le nombre.
Haut comme un humain, fort comme deux d’entre eux
Il porte fièrement armée et bouclier
Leur cris inondent les champs de bataille
Leur ombre hantent les rêves des villages sans muraille
Ils vénérèrent leur roi, le voyant comme le dieu qu’il interprétait, le voyant comme le messie de leur race disgracieuse.

Longue vie au roi bouc
Le bouc et l’homme
Le roi et la bête

Que tremble le monde de sa venue

Pages: [1]