Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Anderson le mardi 05 juin 2012, 14:39:46
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Lorsque vous êtes étudiant dans un lycée étranger, il y a deux inconvénients majeurs. L'intégration, parfois difficile, même en sachant parler la langue du pays. Et.. les révisions.
Anderson Kaeden, le jeune brésilien à la peau mâte, était totalement confrontés à ces deux inconvénients. Mais, il fallait bien réviser pour ne pas se noyer rapidement sous tout un tas de cours incompréhensibles..
La journée de cours avait été épuisante, avec notamment pas mal de matières scientifiques. Le pire avait surement été les 2 heures de math d'affilée, avec un professeur dictateur et fou.
Anderson ne connaissait encore presque personne, et cela ne l'aidait pas à trouver de bons côtés à ces cours barbant. Il observait pour le moment les autres lycéens, surtout les filles. Beaucoup étaient très jolies.. Mais il n'était pas encore venu le temps de draguer.
Lorsque Anderson sorti du bâtiment principal du lycée, en fin d'après-midi, il pleuvait. Le jeune homme était vêtu d'un t-shirt gris en col en V, et d'un bermuda en jean bleu. Pas vraiment des fringues qui protègent du mauvais temps pas vrai ?
Il fallait donc qu'il se décide rapidement. Où aller, si possible à l'abri de cette pluie à laquelle il n'était pas habitué dans son pays d'origine, le Brésil. Après quelques minutes de réflexion, son choix se porta sur la bibliothèque. Il avait quelques petites choses à réviser, et il ne connaissait pas encore cette partie du lycée. Il se rendit donc à la bibliothèque, un grand bâtiment ou régnait un calme absolu. Il entra, gratifia le bibliothécaire d'un "Bonjour" et d'un signe de tête, et parti s'asseoir à une table placée entre plusieurs rayonnages, au fond de cette immense pièce.
Il posa son sac à bandoulière sur une chaise, sorti ses cours.
- De la biologie, de la biologie, et encore de la biologie..
Ouvrant son lit de bio' à la page de son cours du moment, il se pencha sur ses cours, ne faisant que très peu attention à ce qu'il se passait dans le reste de la bibliothèque. De toute façon, il ne connaissait personne, alors, il n'allait surement pas être dérangé..
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Je soupirai quand la sonnerie annonçant la fin des cours retentit. La journée avait été éprouvante. C'était la journée la plus dure de la semaine, et la plus détestée par les élèves. Et pour cause, trois-quart des matières avait été des matières scientifiques. Mathématiques, Sciences physiques, Biologie... Ma tête était sur le point d'exploser. En règle générale, je n'ai pas de dégoût sur quelque matière que ce soit, ma concentrées de la sorte, autant d'heures de cours rebuteraient n'importe qui.
Rapidement, je rangea mes affaires. Je me dirigeai vers la sortie, accompagnée de mes amies, lorsque je remarquais qu'il pleuvait. Manque de chance, aujourd'hui je n'avais pas mon parapluie, et Wolfgang n'était pas là pour venir me chercher... Je souhaita donc une bonne soirée à mes amies, et passa un rapide coup de téléphone chez moi, pour prévenir. Il ne restait plus qu'à attendre Wolfgang... Pour passer le temps, je décida d'aller réviser à la bibliothèque. Surtout que le professeur de Biologie nous avait posé une interrogation pour la semaine prochaine.
Arrivée sur les lieux, je salua la bibliothécaire, puis m'avança entre les étagères, à la recherche d'une table. Comme à son habitude, la bibliothèque était peu fréquentée. A l’exception d'une table, à laquelle se trouvait un garçon de ma classe. C'était le nouveau, il s'appelait... Anderson, voila. D'après ses dires, il était d'origine brésilienne. Ce qui devait être vrai, vu le joli teint halé qu'il abordait. Il n'avait pas encore reçu son uniforme, et était donc vêtu de vêtements communs et légers, pas adaptés à la météo en dehors... Ce qui expliquait sa présence ici. Je décida de m'installer à sa table, réviser avec quelqu'un était toujours mieux que de le faire seul.
" Bonjour Anderson. Tu permets que je m'installe ici pour réviser ?
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Je révisai la biologie depuis maintenant quelques minutes, et ça me prenait déjà la tête. Absolument insensible aux "charmes multiples de cette magnifique science qu'est la biologie" (Mon cher prof de bio'), je me perdais déjà entre mes cours et ce livre, ne sachant pas que réviser.
La bibliothèque était calme, seules quelques personnes traînaient de-ci de-là, révisant ou se reposant juste à une table.
Soudain, ce que je n'attendais pas se produisit. Quelqu'un me parlait. Je relevais la tête pour apercevoir une jeune lycée. Je la reconnaissais. Elle était dans ma classe, je l'avais aperçu aujourd'hui.
- Yukio c'est ça ? Oui bien sur, installe-toi.
Je me demandai pourquoi cette fille venait s'asseoir à la table d'un étudiant solitaire, qui ne connaissait personne au sein du lycée, alors que la bibliothèque était pratiquement vide et que toutes les tables étaient libres. Mais bon, il était temps de faire preuve d'un peu de politesse et de sociabilité.
- Nous sommes ensembles en cours je crois. Excuse-moi, je ne connais personne ici et j'ai encore du mal à me souvenir de tout le monde..
J'observais un peu plus cette fille. Petite et mince, elle semblait fragile..un peu tout le contraire de moi, avec mon mètre 90 et mes larges épaules. Et, elle était très belle. Je détournai le regard, pour ne pas avoir l'air trop pressant, et le reportai sur mes cours.
Finalement, avoir l'occasion de faire la connaissance de quelqu'un de la classe, ce n'était pas si mal. Je me sentirai surement moins seul ici.
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Je me retins de lui rire au nez. Sa façon de présenter les choses me faisait penser à moi, quand je venais d'arriver dans ce lycée. Il me suivi du regard tandis que je m'installais à coté de lui, et que je sortais mes affaires. Puis il retourna à ses révisions, qui s'avéraient être de la biologie, la matière que je comptais réviser.
A mon tour, je l'observa. Pour sur, cet Anderson était séduisant. Un corps musclé, un teint bronzé, sa coiffure de cheveux était originale, mais n'enlevait rien à son charme. Je ramena mon attention sur mon cours. Certes, il était beau, mais ce n'était pas le moment pour commencer à avoir ce genre de pensées. J'avais une interrogation à préparer !
J'étais en train d'alterner relecture de mon cours, du livre et des exercices déjà réalisés, lorsque j'entendis mon voisin soupirer. Je lui jetais un coup d’œil. Il se tenait la tête, penché sur ses cours, un air abattu sur son visage. On aurait dit qu'il avait des difficultés à réviser. Je ne résista pas à lui proposer mon aide.
Excuse-moi, mais si tu veux, on peut réviser ensemble. J'ai vu que toi aussi tu travaillais la biologie.
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Tout en révisant, je jetais des regards en coin à Yukio. Elle sortait également des affaires pour réviser. De la biologie aussi, apparemment.
Alors que je me perdais entre tous ces paragraphes incompréhensibles, je l'entendis me proposer de m'aider à réviser, puisque nous révisions la même matière.
- Ecoute, oui, avec plaisir, cela sera surement moins compliqué si nous révisons à deux.
J'étais assis en face d'elle.
- Ça ne te dérange pas que je m'assois à côté de toi ? Pour réviser, ça sera plus simple !
Je glissais mes cours à côté d'elle, me levait et faisait le tour de la table. Oui, je confirme qu'avec mon mètre 90, elle paraissait bien fragile. Mais incroyablement belle et à mon goût. Mais bon, ce n'était peut-être pas le moment de s'égarer..
Je m'asseyais à côté d'elle, plutôt proche. La bouche sèche, je passais ma langue sur mes lèvres pour les humidifier, dévoilant ainsi le discret piercing que j'avais à la langue.
Je me tourna vers elle.
- Alors, cette biologie.. On s'en sortira jamais..
Alors que j'allais attraper le livre de Bio', elle tenta de faire la même chose. Nos mains se touchèrent.
- Ah, pardon, dis-je en souriant.
Je la laissais prendre le livre en souriant.
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Anderson accepta ma proposition, et vint s’asseoir juste à coté de moi. Il était incroyablement grand, à ses cotés je sentait comme toute petite. Certes, je n'était pas très haute de base, mais là, j'avais l'impression d'avoir à faire à un géant. Et si on combinait sa taille et sa musculature, il semblait très fort... Je devais soudainement ressembler à une poupée de porcelaine : petite et fragile.
- Alors, cette biologie.. On s'en sortira jamais..
Un léger rire s'échappa de mes lèvres face à son désemparement.
" Allons, ce n'est pas si difficile que ça. C'est assez simple, même, regarde... "
Je voulu attraper le livre, mais simultanément, Anderson eut le même geste, et nos mains se rencontrèrent.
- Ah, pardon
" Non, c'est moi... "
Il retira sa main, me laissant prendre le livre. Je le ramenais, mais une sensation sur mon visage m’intrigua. Je... rosissais ? Ce simple contact avait suffit ? Anderson me faisait de l'effet, ça n'allait pas...
" Bon, commençons par ce chapitre. "
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Venait-elle de rougir ? Au contact de sa main, sa peau, plutôt blanche, avait prit une étrange teinte rosée. Cela n'avait pas duré longtemps, juste l'espace de quelques petites secondes. Mais je l'avais vu.
Je me tournais vers elle sur ma chaise, de sorte d'être presque en face d'elle tout en étant à côté, bien plus pratique pour réviser.
Je pencha ma tête vers le livre quand elle me montra du doigt un chapitre.
- Oui, je crois que c'est celui sur lequel j'ai le plus de mal. Et on va avoir une interrogation dessus, j'aimerai ne pas me retrouver avec une note négative, lui dis-je en rigolant.
Je posa mon regard vert clair dans le sien et lui souriait.
- J'espère que tu es plus douée que moi en Bio', sinon on devra trouver une autre activité, on serait un peu dans la merde..
Décidément, j'étais en train de..de tenter de la séduire. C'était clair, Yukio ne me laissait pas insensible. Mon regard dévia furtivement sur sa poitrine, mais je me reprenais et tournais les yeux vers le livre.
Je me pencha vers elle et dit, d'une voix peut-être plus sensuelle que je ne l'aurai voulu..
- Alors, ce premier chapitre..
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- Alors, ce premier chapitre..
Anderson avait parlé d'une voix presque sensuelle, à laquelle je n'étais pas indifférente. Le timbre chaud de sa voix sonnait agréablement à mes oreilles, déclenchant dans mon corps tout un tas de réactions : accélération de mon cœur et de ma respiration, montée de sang au visage... Je réfreinais ces sentiments montants, pour me concentrer sur le cours.
" Oui, commençons... "
J'ouvris le livre, et mon cœur manqua un battement : c'était le sujet de la reproduction ! Je tentais de me raisonner. En lui même, le sujet était innocent. Mais l'aborder avec un garçon qui lui plaisait, c'était déjà autre chose. Je secoua la tête et pris une grande inspiration, et commença mes explications.
Anderson n'était pas un mauvais élève, mais il semblait avoir quelques lacunes. Je m'efforçais de répondre du mieux que je pouvais à ses questions. Mais discuter d'organes reproducteurs, actes sexuels, fluides et gamètes, avec un splendide garçon, cela jouait sur mon esprit. Bien que le cours restait neutre et traitait de la reproduction d'un point de vue scientifique, mon imagination échauffée me jouait des tours, et je me surprenais à imaginer des scènes...
Finalement, je n'y tenais plus. Mon corps se réchauffait, le sang me montait à la tête. Il fallait que je respire de l'air frais, sinon je ne sais pas ce qui risquait d'arriver.
" Excuse-moi, je vais respirer un peu, j'étouffe ici... "
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La reproduction. Le chapitre révisé était la reproduction. Cela me fit sourire, mais je ne dis rien. Tout au long de ses explications, je tentais de rester concentré mais..le comportement de Yukio me troublait. Elle semblait rougir, et ne tenait pas en place sur sa chaise. Je fronçais discrètement les sourcils. Etait-ce moi qui lui faisais cet effet ? Ou se sentait-elle mal ?
Soudain, elle fit mine de se lever en disant qu'elle voulait aller prendre l'air, car elle étouffait. Or, la bibliothèque était parfaitement climatisée.
Je me levais et posais une main sur son épaule.
- Non, restes, commence par enlever ta veste, tu te sentiras peut-être mieux.
Je posais délicatement mes mains sur ses épaules et la faisait se rasseoir doucement.
- Allez, ça va aller. Tu veux un verre d'eau, je peux en demander au bibliothécaire.
Inconsciemment, je massais doucement ses épaules pour la détendre. Je me rassis, une main toujours posée sur le haut de son dos. Je me rapprochai d'elle.
- Yukio.. tu es sure que ça va.. ?
Je posais ma main sur le livre de biologie et le repoussais plus loin sur la table, un peu sans le vouloir..
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Alors que je me levais, Anderson me fit rasseoir. Il avait placé ses mais sur mes épaules, et commença à les masser lentement. Je me retins de gémir, tellement cela me faisait du bien. Sous l'action de ses doigts, la chaleur de mon corps migra vers mon bas-ventre. Je serrais les cuisses comme je sentais ma culotte commencer à s’humidifier du fait de mon excitation.
Sur ses conseils, je retirais ma veste, mais la chaleur que je ressentais venait de l’intérieur de mon corps, quelque-chose d'aussi simple ne pouvait marcher... J’ôtais mon ruban, et défis le premier bouton de mon chemisier, rapidement suivi du deuxième. De là où il était, Anderson devait surement apercevoir la naissance de mes seins, voire mon soutien-gorge. A vrai dire, je n'en avais cure, puisque mon excitation était telle que des idées perverses commençaient à germer dans mon esprit.
Anderson se rassit à coté de moi, une main toujours sur mon dos. Il se rapprocha et me parla, bien que je ne fit aucunement attention à ce qu'il venait de me dire. Mon cœur battait la chamade, j'haletais doucement. Je me laissa soudainement aller contre lui. Sous ma min posée sur son torse, je sentais ses muscles incroyablement bien dessinés, et qui avaient du en faire baver plus d'une. Pour le moment, j'essayais de me calmer, et je ferma les yeux. Ce que je me sentais bien contre ses pectoraux...
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Alors que je tentais de la calmer, je compris que ce n'était en aucun cas une présumée chaleur qui lui faisait cet effet, mais bien moi. Elle enleva le ruban de ses cheveux, puis défis deux boutons de son chemisier. J'avais désormais une vue plongeante sur sa poitrine, son soutien-gorge..et cela me donnait également très chaud tout d'un coup.
Soudain, elle se laissa aller contre moi, posant une main sur mon torse par dessus mon t-shirt. Je n'avais désormais plus aucune envie de réviser, ni la biologie, ni rien d'autre..
- Yukio..
Presque comme un geste dirigé par une envie et non pas par mon cerveau, je glissais ma main sur sa poitrine, au dessus de son chemisier, et lui dégrafais un troisième bouton, puis un quatrième.. Mon autre main passa dans ses cheveux, les caressant doucement. Désormais, tout était clair. Cette fille là l'avait séduite en peu de temps, et il ne voulait plus qu'une chose. Elle.
Sa main passa sous son chemisier, et il attrapa en douceur un de ses seins par dessus le soutien-gorge. Il ne disait rien, il n'y avait pas besoin de mots à ce moment là. Il releva le visage de la jeune femme, la regarda dans les yeux.
- La biologique, je m'en fiche.. Et la bibliothèque est vide..
Son visage d'ange, ses lèvres attirantes à souhait, ses seins bien fermes, sa petite taille.. Je ne pouvais résister. Je collais mes lèvres aux siennes et glissa ma langue sur sa lèvre inférieure, puis dans sa bouche, massant son sein avec envie.
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Alors que je me reposais, la tête sur le torse magnifique d'Anderson, je sentis sa main venir défaire le reste de mon chemisier. Une fille normale se serait offusquée, mais pas moi, pas dans mon état. J'étais désormais à demi-nue, mon soutien-gorge de dentelle noire complètement exposé à son regard. Je ne ressentais pourtant ni gêne, ni honte.
" Humm... "
Sa grande main vint prendre tendrement mon sein. C'était très différent de ce que j'avais imaginé, mais c'était loin d'être désagréable. Anderson commença à masser mon sein, ses doigts s'agitant le tissu. Une douce chaleur s'empara de ma poitrine. Puis il me releva la tête.
- La biologique, je m'en fiche.. Et la bibliothèque est vide..
Et sur ces paroles, Anderson m'embrassa. Il pouvait bien y avoir la moitié du lycée en train de regarder, je m'en fichais complétement. Sa langue vint caresser ma lèvre, et je la fis entrer dans ma bouche. C'était mon premier baiser, mais instinctivement, je sus quoi faire, et nos langues entamèrent un balai dont la scène était nos bouches liées.
Quand le contact fut rompu, je planais sur un nuage. Embrasser ce splendide garçon m'avais fait un bien fou. Je ne resista pas à l'envie de le taquiner.
" Alors, quel effet ça fait de voler le premier baiser d'une fille ? "
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Le premier baiser d'une fille ? Alors, c'était donc une novice en la matière ? Soudainement, j'étais encore plus excité.
- Mh..c'est encore plus excitant, d'autant plus que je ne veux pas te voler qu'un baiser..
Je pouvais désormais voir son soutien-gorge en dentelle noire, et c'est sans aucune hésitation que je lui enleva son chemisier, le posant sur une chaise proche. Sans forcer, je la souleva de sa chaise et la fit s'asseoir sur le bord de la table en bois massif. Je glissa ma tête dans son coup et mordilla doucement sa peau, tout en dégrafant son soutien-gorge.
Je m'arrêtai quelques instants pour retirer mon t-shirt, dévoilant mon torse musclé et bronzé à souhait.
Je jetais son soutien gorge de côté, et, sans plus attendre, ma tête fut contre ses seins. Pas forcément gros, mais de bonne taille et surtout bien fermes, ses seins m'excitaient au plus haut point. Ma langue se posa sur un de ses tétons, léchant cette douce oréole rose. Je m'amusais à faire durcir ce petit bout, et le mordillait doucement. Une de mes mains était posée entre les jambes de Yukio, par dessus son bas, et caressait doucement son intimité, dont j'avais envie de m'occuper réellement.
- Je ne vais donc pas pouvoir réviser la bio.. Mais le prof comprendra surement.
Je posai ma langue sur son téton et la descendit doucement sur son ventre, titillant son nombril en y mettant sa langue. L'envie montait, et cela se voyait également sous son bermuda..
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- Mh..c'est encore plus excitant, d'autant plus que je ne veux pas te voler qu'un baiser..
Pas qu'un baiser ? Il avait l'intention d'aller jusqu'au bout ? D'un autre coté, je n'étais pas en état de m'y opposer, surtout que mon corps le demandait. J'étais juste nerveuse, ce serait la première fois que je le ferais avec un garçon, et pas avec un objet... Je me posais des questions sur ce qui allait ce passer. Je décidais donc de me laisser faire. Je ne fut pas déçue.
Déjà, Anderson fit tomber mon chemisier, qui était devenu quelque peu inutile du fait qu'il soit grand ouvert. Puis, chose qui m'enchanta, il me souleva sans difficulté pour m'asseoir sur la table. J'étais impressionnée par la force physique dont il faisait preuve. Il me mordlla alors le cou, répandant des frissons dans chaque parcelle de mon corps, pendant que je sentais ses mains s'activer sur l'agraffe de mon soutien-gorge. Il fint par libérer ma poitrine, certes pas extrêmement développée, mais d'un belle forme et ferme. Il se retira un instant pour oter son T-shirt, et je pus admirer son incroyable torse, musclé et bronzé. Scuptural, je n'avais pas d'autre mot.
Anderson revintà la charge, et commença lécher l'un de mes seins. Le téton, même. La surprise et le plaisir engendrés me firent gémir, bien que je serrais les lèvres pour ne pas trop attirer l'attention. Dans le même temps, une de ses mains vint carresser mon entre-jambe au travers du tissu de ma culotte, laquelle devenait sérieusement trempée.
- Je ne vais donc pas pouvoir réviser la bio.. Mais le prof comprendra surement.
Je ne répondis pas, j'avais le cerveau en feu et étais incapable de réfléchir à une phrase à dire. J'haletais, et poussais de temps à autre un petit gémissement, sous les stimulations d'Anderson. Celui-ci fit descendre sa langue le long de mon ventre...
" Aanh ! "
Anderson venait de me lécher le nombril ! Je l'ignorais, mais cette zone était erogène, et la réaction de mon corps ne se fit pas attendre quand une décharge de plaisir me traversa. Mon intimité était brulante, je n'avais qu'une envie, qu'il s'en occupe. Mes mains virent relever ma jupe, révélant la culotte assortie au soutien-gorge que je portais naguère. L'une de mes mains remonta alors sur la tête d'Anderson, pour le pousser vers le bas.
" S'il te pl-plait, occupe-t'en... Aah... S'il te plait... "
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Je sentais, avec ma main posée sur sa culotte, son vagin s'humidifier de plus en plus. Yukio, assise sur la table, avait la tête légèrement en arrière, bouche entre-ouverte, et ne demandait qu'à s'enflammer complètement.
Sa culotte trempée collé à la fente de son intimité, ce qui faisait monter en moi un désir immense. Cette fille, novice en la matière, offerte à moi, dans une bibliothèque..
Je posais mes mains sur son ventre et la poussais doucement pour l'allonger sur la table en bois. Je redescendis mes mains sur ses hanches, des deux côtés de sa culotte en dentelle noire. J'attrapa les bords et la descendis d'un seul coup, sans plus la faire attendre. C'était la première fois que je voyais son intimité et..quel spectacle. Mouillé à souhait, son nectar ne demandait qu'à couler. Et cela se passerait dans ma bouche, pas ailleurs.
J'écartais ses cuisses au maximum, et glissa un doigt sur sa douce fente, ce qui la fit frissonner.
- Laisse toi aller..
Alors qu'elle passait une main sur ma tête pour la pousser vers son orifice, je dirigea de-moi même mon visage, le mettant entre ses jambes. Ma langue ne tarda pas à sortir de ma bouche pour se poser sur sa fente toute humide. Dans mon bermuda, l'excitant était à son plus haut point, et garder le bermuda était désormais un supplice. Je glissa ma langue de bas en haut de son vagin, léchant pour le moment l'entrée de son orifice. Rapidement, cela ne me suffit plus. J'attrapai dans ma bouche le bord d'une de ses lèvres intimes et la suçotai doucement.
Nous étions dans une bibliothèque, quelqu'un pouvait entrer à tout moment.. Mais je m'en fichais. Je rajoutais mes doigts, et commençait à caresser son intimité, écartant ses lèvres avec mes doigts. Ma langue pénétra rapidement ce si doux vagin, attrapant son clitoris pour l'entraîner dans une danse indiablée. Je sentais Yukio se crisper. Rapidement, elle ne pu plus se retenir, lâchant gémissement sur gémissement. Et lâchant son corps, ainsi que son doux nectar. Je sentis couler dans ma bouche un liquide que je lappais tel un chat lappe du lait. Et c'était si bon..
Je ne pu résister et pénétrais un doigt en bas de sa fente, entamant des mouvements de va-et-vient tout en léchant le plus que je le pouvais. Ma main libre monta attraper un de ses seins et en particulier le téton que je pinçais doucement pour la faire réagir.
Je comptais bien la rendre folle de plaisir, pour sa première expérience.
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Anderson me guida doucement, pour m'allonger sur la table. Puis il descendit ses mains le long de mon corps, ce qui me fit frissonner. Dans le même mouvement, il entraîna ma culotte, et je me trouvais ainsi complètement nue face à lui. Pourtant, je ne ressentais aucune honte, aucune gêne. Mon intimité était exposée à son regard, fente trempée légèrement écartée par le plaisir qui me parcourait, et surmontée d'une petite touffe de poils pubiens. Et de cette situation, se nourrissait mon excitation.
Anderson écarta mes cuisses, sans que je n'y oppose une résistance. Puis je sentis son doigt venir au contact de ma fente, ce qui me fit frémir.
" Hmm... "
- Laisse toi aller..
Obéissant à ses directives, je me détendis, du moins j'essayais, car l'appréhension de ce qui allait suivre me stressait un peu.
Anderson descendit son visage vers mon intimité, et sa langue chaude vint toucher ma fente. Il commença à lécher mes lèvres, et mon plaisir grimpa en flèche. Je serrais les dents pour ne pas gémir tant et plus, tant c'était bon. Mon compagnon continuait à me donner du plaisir, et je me mordis le doigt. Finalement, les doigts d'Anderson écartèrent mes lèvres, et sa langue vint au contact de mon clitoris. Elle entraîna mon petit bouton dans une danse aux pas rapides, alors que ses doigts pénétraient mon antre. Une vague de chaleur parcouru mon corps, et je me crispais, cambrant le dos. Puis, commençant à me faire à ces nouvelles sensations, je me détendis petit à petit.
" Hmm... Humm... Aah... Oui, con... Continue... Aanh... "
Je n'en pouvais plus. Sa langue sur mon clitoris, ses doigts dans mon vagin, et maintentant, sa main sur mon sein... Je devenais folle. Le plaisir me parcourait comme du courant éléctrique. Finalement, Anderson me pinça le téton.
" AAAAAAAAAAAAHH !! "
Ce fut comme s'il avait appuyé sur un détonnateur quelconque. Un feu blanc emplit mon cerveau, pendant que mon corps était prit de tremblements incontrolables. Une vague de plaisir, ou plutôt un tsunami, me traversa, et j'eu à pene concience de mon vagin se contractant pour expulser ma cyprine sur le visage d'Anderson. Je venais d'avoir mon premier orgasme avec un garçon...
Quand la déferlante de plaisir recula enfin, je gisais allongée sur la table, les jambes toujours écartées, haletante. Je jeta uncoup d'oeil à Anderson. Il se tenait là, droit, son corps magnifiquement scuplté et bronzé à portée de main. Je sentais l'envie d'y gouter, de lui rendre ce plaisir qu'il m'avait donné.
Toujours sur la table, je passais sur mes genoux, puis l'attira à moi. De cette façon, j'arrivais presque à hauteur de sa tête, chose impossible si j'étais debout à coté de lui. Passant mes bras autour de son cou, je l'embrassais passionnément.
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Mon visage était maintenant assez..mouillé. Elle ne s'était pas gêné pour jouir sur mon visage, son doux nectar éclaboussant mon visage bronzé.
Maintenant, cela allait être à elle de s'entraîner à faire du bien à un homme. Alors que je me redressais, elle se mit à genou et passa les bras autour de mon cou, m'embrassant passionnément. Je défis ma braguette et laissait tomber mon bermuda en jean, que je repoussais sous la table d'un coup de pied. Je n'étais désormais plus qu'en boxer. Un sous-vêtement ultra-moulant qui moulait justement à la perfection une érection que je ne voulais même plus cacher.
Je retirais ma bouche de celle de ma partenaire et me reculait d'un pas.
Je choisis mon regard le plus provocateur et, sans un mot, tout en la regardant dans les yeux, descendis mon boxer.
Droit et levé vers le ciel, ma verge, rasée, avait une peau aussi bronzée que le reste de mon corps. Elle était tellement tendue que mon gland ressortait, comme pour faire signe à Yukio de venir s'occuper de lui. Je n'aimais pas me vanter mais..elle était vraiment de taille généreuse.
- J'espère qu'elle te plait..
Je me rapprocha de ma partenaire, lui prit une main et la fit poser dessus.
- Donne moi autant de plaisir que ce que moi je t'en ai donné..
Lui chuchotai-je à l'oreille. Je sorti ma langue et lécha son lob d'oreille avant de le prendre dans ma bouche, le pénis dressé dans sa main. Elle aussi allait goûter mon nectar, puis je lui ferai goûter à un plaisir tout autre.
Soudain, j'entendis un bruit sur la gauche. Une jeune fille, plus jeune que nous deux, se tenait devant nous, l'air choqué. Elle mit la main devant sa bouche et ses yeux et s'enfuis en courant. L'air amusé, je me retournais vers Yukio.
- Elle ne dira rien..continuons..Continue.
Je lui pinçais à nouveau le téton avec un regard provocateur plein d'envie.
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Anderson rompit le contact, à mon regret. C'est alors que je remarqua qu'il avait enlevé son bermuda. Il ne lui restait plus que son sous-vêtement, un boxer rendu difforme par la splendide érection qu'il avait. Ne cherchant pas à se cacher, Anderson me regarda d'un air provoquant, et baissa son boxer. Je pouvais enfin contempler sa verge, incroyablement dressée et dure. De plus, elle était bronzée comme le reste de son corps... Et de fort belle taille, à l'image de son corps.
- J'espère qu'elle te plait..
Je ne pu résister à l'envie de l'aguicher un peu. Toujours à genoux, je portais un doigt à ma bouche pour le suçoter, avant de répondre.
" Elle est magnifique... "
- Donne moi autant de plaisir que ce que moi je t'en ai donné..
Dans le même temps qu'il me susurrait ceci dans le creux de l'oreille, il m'avait fait prendre sa verge dans ma main. Elle était douce et chaude, et palpitait légèrement. Comment y résister, quand on est déjà terriblement excitée ? Presque instinctivement, ma main commença à faire de lents va-et-viens sur son pénis. C'est alors qu'un bruit me fit tourner la tête.
C'était le bruit d'un livre tombant par terre. La personne qui l'avait échappé était une lycéenne, plus jeune que nous deux. Elle nous regardait, choquée. Je m'imaginais la scène : Anderson nu, verge au garde-à-vous, et moi en train de le masturber, uniquement vêtue de ma jupe. Oui, je suppose qu'il y avait de quoi être choquée. Avant que quelqu'un puisse dire quelque-chose, elle tourna le dos et disparue entre deux étagères.
- Elle ne dira rien..continuons..Continue.
Anderson me pinça un téton. Son regard trahissait son désir. Je lui répondis en plissant les yeux, le regard aguicheur.
" Rien ne presse, mon beau dieu... Ferme les yeux et savoure... "
Alors qu'il obtempérerait, je vins lécher ses lèvres et son menton, encore recouverts de mon nectar. C'était un peu bizarre de gouter à mes propres fluides, mais ce n'était pas désagréable. Ma langue descendit le long de son cou, pendant que mes mains allaient caresser ses superbes pectoraux. Je continuais ma descente, maintenant je lui léchais les tétons. Je ne sais pas si je m'y prenais correctement, mais les petits râles qu'Anderson produisait me mettaient sur la bonne voie. Finalement, en continuant toujours plus bas, alors que je m'occupais de son nombril, je sentis sa verge tendue contre mon sein. Je souris en la prenant en main.
" je vais maintenant te rembourser... "
Ma main commença par effectuer des va-et-viens sur la longueur de sa verge. Dans le même temps, j'approchais mes lèvres pour venir embrasser son gland. Je continuais ce manège quelques temps, avant de venir carrément avaler le bout de sa verge. Je ne croyais pas moi-même à ma propre audace, un garçon que je connaissais à peine...
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Ma verge était d'après elle magnifique. Et, je dois dire que..ce n'était pas faux. Bronzée tout autant que le reste de mon corps, dure, dressée, c'était au moins une bonne vingtaine de centimètres qu'elle tenait dans la main. Elle commença à me masturber, et je sentis une vague de plaisir monter en moi, et une vague de désir. J'en étais désormais sure, nous allions prendre un plaisir immense, qui avait déjà commencé quelques minutes plus tôt, preuve en était mon visage trempée de sa très forte jouissance. Son nectar était divin, j'avais hâte d'y goûter à nouveau.
Je sentais sa petite main douce s'activer autour de mon sexe, qui avait l'air de l'impressionner. Petit à petit, Yukio prenait de l'assurance, venant même me lécher un téton.
Elle descendait encore & toujours avec sa bouche, et la fin de ce parcours serait pour moi source de plaisir extrême, dont les images défilaient déjà dans ma tête. Et puis, soudain..je ne l'avais pas vu descendre si vite. Mon gland touchait son sein, quand elle vint déposer un baiser sur celui-ci, faisant frémir ma verge qui palpitait dans sa main. Rapidement, elle prit le bout de ma verge dans sa bouche.
- Attends..
Je récupérais une chaise et m'assit dessus, et la fit descendre de la table. Je la fis mettre à genou devant moi, assis sur cette chaise.
- Maintenant, vas y..
Je lui mis une main sur les cheveux et les caressa doucement en faisant descendre sa tête jusque devant ma verge. Je la redressais et lui mit mon gland dans la bouche, puis relâchait sa tête pour la laisser me procurer le plaisir tant attendu.
- Oh oui, rembourse moi.. et n'oublis d'ailleurs pas mes bourses..
Dis-je en souriant. Je lui pris une main et la luit fit poser sur mes bourses, pleines et ne demandant..qu'à se vider.
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Anderson me fit descendre de la table, faisant jouer une nouvelle fois sa musculature. J'étais vraiment sous le charme de cette puissance musculaire. Il me manipulait comme il le voulait. J'étais à sa merci, une vraie poupée. Anderson s'assit sur une chaise et me déposa à genoux devant lui. J'étais face à sa verge tendue, à à peine une poignée de centimètres. Sa main vint guider ma tête, la rapprochant de son membre. Je me laissais complétement guider, n'opposant aucune résistance quand son gland vint écarter mes lèvres.
- Oh oui, rembourse moi.. et n'oublis d'ailleurs pas mes bourses..
Hum... Ses bourses ? Quelles genres d'attention un garçon pouvait aimer à ce genre d'endroit ? Laissant parler mon instinct, je commençais à caresser ses testicules, avant qu'un élan d'inspiration me souffla de les faire tourner entre mes doigts, dans une parodie de massage. Pendant ce temps, ma bouche ne restait pas inactive. Ayant gobé son gland, ma langue commença à le caresser, décrivant des cercles dessus. Puis je rompis le contact, pour faire courir mon organe buccal le long de sa hampe.
Je notais que du liquide séminal commençait à poindre au sommet de son gland. J'esquissais un sourire, puis ma langue, suivie de mes lèvres, virent récolter cette production. J'embrassais le sommet de sa verge, et dans un élan d'audace, je commençais à la faire coulisser entre mes lèvres. J'enfonçais son pénis dans ma bouche, puis ma gorge, avant de la faire ressortir, puis recommençais. Je continuais ainsi encore et encore, testant les limites de ma gorge, jusqu'où je pourrais avaler sa verge.
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Je sentais sa langue s'activer autour de mon gland, imitant ses mains qui caressaient mes bourses. Sa langue glissait lentement le long de ma hampe, puis commença à lécher de bas en haut ma verge tendue à l'extrême. Il n'y avait plus aucun signe de l'étudiante qui était partie en courant après nous avoir vu, j'espérais simplement qu'elle ne soit pas parti nous dénoncer..
Mes inquiétudes furent vite évaporées par le plaisir que me procurait Yukio. Un peu de mon liquide séminal sortait au sommet de mon pénis, et elle vint le lécher, pour mon plus grand plaisir. Enfin, elle enfonça la totalité de mon pénis dans sa bouche et sa gorge. Elle répéta le même geste à plusieurs reprises, enfonçant chaque fois un peu plus loin ma verge. Je mis mes mains sur sa tête, caressant ses cheveux, et appuyais doucement dessus quand elle avalait mon sexe dans sa totalité.
Je lâchais un gémissement que j'étouffais directement dans ma gorge en me rendant compte que nous étions dans la bibliothèque, et, alors que ma verge était entièrement dans sa bouche et qu'elle s'activait sur cette formidable fellation depuis de longues minutes, je ne pu me retenir de jouir. J'éjaculais dans sa bouche et sa gorge en me retenant de crier, je posais les mains sur les deux côtés de la chaise et serrait fort pour m'empêcher de gémir et de faire du bruit.
Je la vis déglutir plusieurs fois, avalant ma semence.
- Haaan.. Tu fais ça à merveille, chuchotai-je.
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Comme je le suspectais, Anderson ne resta pas de marbre face à mes efforts. Je l'entendais se retenir de gémir. Je prenais ça pour une sorte de compliment, preuve qu'il y prenait du plaisir. Finalement, son pénis laissa s'échapper son sperme brulant dans ma bouche et ma gorge, en un puissant jet. Une partie descendit le long de ma gorge, directement dans mon ventre. Le reste se répandit dans ma bouche, alors que je recrachais son pénis. C'était la première fois que je goutais la semence d'un homme. Le gout était particulier, unique en son genre. Je le gardais en bouche un instant, avant de déglutir, avalant ce liquide épais.
- Haaan.. Tu fais ça à merveille
" Merci du compliment. C'était une première pour moi, pourtant. "
Quelle devait être la suite ? J'en avais une petite idée. Seulement, j'étais un peu intimidée. Ce ne serait pas la première fois que je ferais entrer quelque-chose dans mon intimité, mais c'est la première fois que j'y ferais entrer un vrai pénis, chaud et palpitant. Je pris une inspiration pour me donner du courage. Je me releva, et porta mes mains à ma taille pour défaire le bouton et la fermeture de ma jupe. Elle glissa finalement sur les chevilles, me laissant entièrement nue face à Anderson, qui n'avait pas bougé de sa chaise. Je m'assis sur la table, et écarta les jambes. Audacieuse, je portais deux doigts à mon entrejambe et les utilisais pour écarter les grandes lèvres de mon intimité, exposant la chair rosée en dessous.
" À toi de jouer... Sois doux s'il-te-plait... "
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C'était sans doute la première fois qu'elle avait fait ça. Et elle avait avaler ma semence sans se plaindre, elle avait d'ailleurs peut-être apprécié, et savoir que j'étais le premier était en quelque sorte une fierté.
Elle se releva et se déshabilla. Totalement nue devant moi, je pu voir ce corps si bien fait, ses seins, petits mais parfaits. Elle s'assit sur la table devant moi et écarta les jambes, me faisant fondre littéralement. Elle porta deux de ses doigts entre ses cuisses et écarta les grandes lèvres intime de son vagin, me laissant voir cette chaire si délicieuse dont je m'étais délecté auparavant.
" À toi de jouer... Sois doux s'il-te-plait... "
Je m'approchais de la table et d'elle, et me collais à elle, mon bassin en face du sien, mon sexe posé sur le bois de la table.
Je pris une de ses si douces mains et la fit poser sur mon sexe, plutôt imposant et bronzé.
- Je le serai..
Je posais mes mains sur ses hanches et la fit venir contre moi sans forcer. Mes mains vagabondèrent sur son dos, puis chacune d'elle se posa sur chacune de ses deux fesses, entre le bois de la table et elle. Ma bouche attrapa la sienne et ma langue glissa en elle, caressant la sienne, tandis que le bout de mon sexe pénétrait son vagin. J'étais le premier a "entrer", et j'allais lui donner goût à ce si doux plaisir.
Mon pénis s'enfonça entièrement mais doucement, ne forçant pas au début. Je la tenais fermement par les fesses, et je la fis décoller de la table. Je la plaquais contre le mur en douceur.
- Accroche toi bien..
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Anderson me fit glisser lentement vers son pénis, sans à-coups. Je fermais les yeux et me forçais à ne pas me tendre, tellement le trac me rongeait. C'était ma première fois avec un garçon, après tout. Je sentais ses mains courir dans mon dos, puis venir m'attraper les fesses, mais sans violence, juste pour me porter. Sa bouche vint sceller la mienne, dans un long et doux baiser.
En bas, son gland écarta mes lèvres intimes, glissant sans problème tant mon intimité était mouillée de mon nectar. Je le sentais, organe chaud, s'introduire en moi. Et sa chaleur de se répandre en moi, partant de mon bassin. Anderson joua une nouvelle fois de sa musculature, et me souleva de la table. Instinctivement, mes mains virent s'enrouler autour de son cou, tout comme mes jambes lui enroulèrent la taille. Il ne semblait pas gêné pour autant de me porter de la sorte, et alla m'adosser doucement contre un mur proche.
- Accroche toi bien..
Et ça commença. Le pénis d'Anderson entama de longs et tendres va-et-viens dans mon intimité. Le frottement de son membre contre mes parois me renvoyait des vagues de chaleur et de frissons dans chaque fibre de mon être. Je restais à peine consciente d'être dans la bibliothèque de mon lycée, aussi je me concentrais du mieux que je pouvais pour ne pas gémir de plaisir.